Je me dois de te trouver, de t’étreindre et t’assimiler, il en va de ma survie.
Tu erres quelque part, noyé dans la décadence du monde, caché par mes ressentiments, masqué par mes échecs mais néanmoins toujours présent.
Bien que nombreux sont ceux qui s’avancent en ta direction sans même te reconnaître à coup sûr, je ne peux que rester en queue de file et patienter pour t’apercevoir avant de plonger.
On te nomme amour, on te surnomme bonheur mais permet moi de t’appeler, sans vouloir t’offenser, incertitude.
Ecrit le
Lun 28 Sep 2009, 00:18
par rémanence,
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