Lorsqu’elle ne dit pas assez,
elle en dit trop peu...
Lorsqu’elle en fait beaucoup,
alors, elle en fait trop...
Et, lui, en fait-il assez pour être abandonné,
abandonner ou s’abandonner?
Tandis que se positionner, s’ajuster,
c’est se modifier...
Se décider, c’est forcément se séparer,
mais de qui, de quoi?
De sa solitude, de sa rêverie,
de son manque de manque, de son manque
à être ou d’un a-ménage-ment qui ressemble
à un bricolage...?
Le choix, quel qu’il soit, ébrèche, entame toujours.
Est-ce possible d’être "trop heureux"?
Alors, "trop peureux" ou "trop heureux",
concerneraient-ils ceux qui préfèrent l’abandon
au don?
Ecrit le
Sam 19 Juin 2010, 11:16
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