L’an Neuf mit sur son trente et un,
Trouva le jour et le moment opportun.
Il prit un banjo pour elle, pour toi, pour moi et lui,
Rythment ballades, refrains jusqu’au bout de la nuit.
Il fit danser les gens du commun,
Cheveux blonds, blancs et bruns.
L’an Neuf espiègle munit d’un sauf-conduit,
Fit jaillir le bonheur d’un de ses étuis.
Malgré son nom d’emprunt,
Il voulait réussir , comme tout un chacun.
Puis l’an Neuf charmeur se mit au piano sans bruit,
En attendant les douze coups de minuit.
Il chanta une douce romance faites de parfums,
De vœux riches d’espérance et de doux embruns.
On lui dit merci de ces perles de pluies,
Et dans toutes les langues il fut traduit…
Vers à soi
Ecrit le
Mar 27 Déc 2005, 09:38
par vers à soi,
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