humer ta vie
sauvage et femme
goûter tes courants
vivants
tellement vivants
qui glissent
le long de ton cou.
Je pourrais prendre envie
de te basculer
de te bousculer
dans toutes les directions
par toutes tes odeurs.
Je pourrais prendre envie
d’y saoûler
toutes mes retenues
d’y laisser frémir
toutes mes fibres d’homme.
Et si
tu me laissais
me perdre en toi
y défaire nos lois ?
Ecrit le
Mar 23 Jan 2007, 19:49
par Alex,
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