A toi, l’ indéfinissable.
A toi qui est capable du pire comme du meilleur.
Toi qui, en un sourire, fait disparaître mes peurs.
A toi, mon aîné, que je devrais vouvoyer.
A toi qui m’aura fait tant rêver et pleurer.
Toi, l’homme de lettre, à qui je dédie ce poème.
Toi, à qui je ne dirai jamais "je t’aime"
A toi, pourtant, que je ne cesserai pas d’aimer.
Ecrit le
Lun 05 Jan 2009, 21:16
par femme-de-lettres,
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