Liberté, j'écris ton Nom... / seront

Liberté, j'écris ton Nom...

Notre liberté, ce n’est pas de choisir notre destin
Mais la façon d’appréhender celui-ci...

Marie

Ecrit le Sam 30 Juin 2007, 21:58 par

Satine

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Liberté, j'écris ton nom ( 2 )...

La critique, c’est le bagne à perpétuité.

Louis Aragon
Extrait du " Traité du style "

Ecrit le Ven 06 Juil 2007, 18:01 par

Satine

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Liberté, j'écris ton nom ( 3 )...

Tolérance...

Marie

Ecrit le Dim 08 Juil 2007, 18:15 par

Satine

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Liberté, j'écris ton nom ( 4 )...

Un petit oiseau se retrouve un jour enfermé dans une cage.

Ce petit oiseau a de quoi boire, manger, une petite balançoire pour s’amuser
mais il lui manque l’essentiel : la liberté de voler...
Alors il se résigne, se dit qu’il va pouvoir supporter son enfermement.
Le temps passe...
Il réfléchit, se dit qu’il " doit être fort " mais un matin, le doute s’empare de lui...
Il se dit : " si ma vie c’est d’être enfermé " à moi de trouver
un moyen pour sortir de cette cage dans laquelle je me sens prisonnier.
Des tas de pensées traversent son esprit...

Il se dit : je vais manger beaucoup, je serais gros et assez fort
pour écarter les barreaux de ma cage,
mais au lieu de cela il se rend malade...

Alors, il pense qu’il n’a pas trouvé le bon moyen...

Il se dit : je vais grâce à la force de mon esprit me persuader que" je suis fort ",
que les battements de mes ailes seront si puissants
que les barreaux n’y résisteront pas, mais au lieu de cela il se cogne...

Alors, il pense qu’il n’a toujours pas trouvé le bon moyen

Il se dit : je vais arrêter de manger, je serais maigre, et je passerais à travers
les barreaux de ma cage et je retrouverais ma liberté..
mais au lieu de cela il tombe...
A bout de force...

Il reste ainsi des jours sans boire, ni manger, regarde du fond de sa cage
la balançoire qui est son seul jeu...
sans réfléchir...à quoi bon puisque sa réflexion est veine...

Affaibli, le petit oiseau se dit que la liberté, ce n’est pas pour lui.
Il reste allongé au fond de sa cage et attend que " la mort le prenne "
Pour s’envoler vers la liberté éternelle...

Marie

Ecrit le Lun 09 Juil 2007, 11:57 par

Satine

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Liberté, j'écris ton nom ( 5 )...

A quoi me sert ma liberté,
Si tu n’es pas là pour la partager...

Loyd

Ecrit le Lun 09 Juil 2007, 16:24 par

Loyd

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Liberté, j'écris ton nom ( 6 )...

Petit oiseau
A bout de force ce soir...
Comment dois je supplier
Celui qui détient la clef
De ma cage
De cesser de me " torturer "...

Marie

Ecrit le Mer 11 Juil 2007, 21:20 par

Satine

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La clef...

Pourquoi l’oiseau a oublié
Qu’il a donné la clef
Et s’est choisi un geolier
A lui de la récupérer

Et puis il convient de choisir
Avoir un maître ou la liberté :
les deux ne se peuvent conjuguer...

Ecrit le Sam 14 Juil 2007, 22:20 par

dolce vita

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La clef ( 2 )...

L’oiseau n’a pas choisi d’être enfermé...
Il ne peut donc récupérer la clef...

Marie

Ecrit le Dim 15 Juil 2007, 09:32 par

Satine

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Liberté, j'écris ton nom ( 7 )...

Personne ne choisit d’être enfermée...

Marie

Ecrit le Dim 15 Juil 2007, 10:51 par

Satine

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Liberté, j'écris ton nom ( 8 )...

Ô liberté,
Tu m’as donné tout les droits
Et je souffre de ta trop grande place
Tu m’as laissé le choix
Et je ne sais plus où aller...

Ecrit le Mar 17 Juil 2007, 18:32 par

Loyd

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Liberté, j'écris ton nom ( 9 )...

Parce que tu me fais trop mal...
Parce que je ne veux pas continuer à être ton souffre-douleur...
Parce que je veux encore exister pour mon fils qui partage ma vie...

Marie

Je suis venu te dir’que je m’en vais
et tes larmes n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours anciens et tu pleures
tu suffoques, tu blémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
oui je t’aimais, oui, mais- je suis venu te dir’que je m’en vais
tes sanglots longs n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu d’te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
car tu m’en as trop fait- je suis venu te dir’que je m’en vais
et tes larmes n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
tu t’souviens des jours anciens et tu pleures
tu suffoques, tu blémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
oui je t’aimais, oui, mais- je suis venu te dir’que je m’en vais
tes sanglots longs n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu d’te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
car tu m’en as trop fait

Serge Gainsbourg

Ecrit le Mer 18 Juil 2007, 12:14 par

Satine

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	Tes désirs sont des ordres Eric Mouzat J'ai lu
	L'eau à la bouche Anne Bert Pocket
	Récits coquins des plaisirs défendus Elisabeth Vanasse J'ai lu
	Homo erectus Tonino Benacquista Gallimard
	La femme de papier Françoise Rey Pocket
	Le bandeau Jean-François Mopin J'ai lu
	Libérer son écriture et enrichir son style Pascal Perrat Editions Victoires
	Le baton et la carotte Esparbec La Musardine
	Proposition perverse Guillaume Perrotte Pocket
	Dictionnaire des idées suggérées par les mots : trouver le mot juste Paul Rouaix Le Livre de Poche

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