froide a mon egard
je suis comme une ile
perdu dans le brouillard
cette joie de vivre
que je voyais en toi
disparaît dès que tu rentres
que tu es seule avec moi
je ne sais plus te surprendre
te faire rire,ou simplement sourire
tu me laisses tout seul
a bord de ce navire
tu cherches ton bonheur ailleurs
sans doute tu le trouveras
mais qui sait si ce bonheur
un jour ne te quittera pas
pour une autre que toi
et tu rechercheras
et encore tu trouveras
et tu recommenceras
du bonheur tu en auras
du moins tu le croiras
mais aucun de ces bonheurs
ne t’aimera comme moi
avec tant de tendresse
avec tant de pasion
que j’en perds la tete
que j’en perds la raison
lorsque tu me souris
je suis bien,je suis heureux
pour m’impregner de ton visage
je ne dis rien,je ferme les yeux
et quand je dors près de toi
et que je ne trouve pas le sommeil
je ressens ton indifference
c’est elle,qui me tient en eveil
tous deux on s’etait promis
d’être fidèles pour la vie
mais, quelle ironie de ta part
sans cesse tu m’as menti
je voudrais te donner
tout ce que tu desires
mais par ou commencer ?
c’est a toi de me le dire
je peux tout accepter
tu le sais depuis toujours
excepte de te perdre
de perdre ton amour
la maison de tes reves
je ne pourrais pas la finir
car si je dois te perdre
je préfère mourir
pour que tu sois heureuse
que tu n’aies plus a souffrir
pour que tu sois heureuse
je préfère partir
Ecrit le
Dim 08 Juil 2007, 19:24
par pierre de la carolina,
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