Je laisse durant la semaine qui nous sépare la braise envahir mon ventre. Cette braise de plus en plus chaude en devient presque insupportable, brûlante.
Laissant échapper quelques gouttes de sève, tel un volcan jaillissant de sa lave, ma fente opprimée dans sa petite culotte ne demande qu’à être délivrée par ton membre chaud. Je suis là à travailler à installer cet harnais électrique, à fantasmer à l’idée de frotter délicieusement mes jolis petits seins sur ton visage, pour ensuite les passer sur ton pénis en érection. Je veux tes mains douces et baladeuses sur mes fesses rebondies et sa rosette timide, bien logée entre les deux beignets frais , j’imagine ta langue et ton souffle chaud l’effleurer tout en laissant ton index pénétrer mon vagin.
Toutes ces idées se bousculent dans ma tête. Quand sont passées ces pulsions génitales, je repense à ton sourire. Tu as des yeux si amoureux quand tu me regardes ! Tes longs cils noirs, ton iris bleu minuit, tout ce mystère dans ton regard ! Je vois
toutes ces petites attentions qui font de toi un homme charmant.
Je m’ennuie !
Hélas !quand je m’ennuie de toi, même si je reviens à notre amour qui grandit de jour en jour, mes pulsions animales me font repenser, toujours, à ce four qui brûle dans mon ventre.
Ecrit le
Jeu 29 Déc 2005, 09:50
par mistelle,
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