qui n’ont pas de cœur.
Rien que leur beauté
que rien ne peut ôter.
Je frôlerai les voiles,
je grifferai les toiles
de leur jonque de rêve.
Ni quartier ni trêve,
les hanter sans répit,
boire leurs dépits.
Etreinte éteinte
Désir sans plaisir
Gésir sans gémir
Ecrit le
Mer 06 Août 2008, 11:34
par Sombre errant,
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