Et coupé la plus belle ouverte comme ton cœur
Tu as rêvé de lui qui se glisse dans l’ombre
Te rejoint dans la nuit pourvu qu’elle soit sombre
Tout comme cette fleur trop lourde qui défaille
Tu t’es abandonnée quand j’ai ployé ta taille
J’ai enlevé ta robe aux larges plis flottants
Tout le reste a suivi sous mes doigts caressants
Dans l’ombre de l’alcôve incliné sur tes yeux
Où je lis ton amour et mon désir s’enflamme
Je veux te posséder et t’emmener aux cieux
Dans une communion des corps, des cœurs, de l’âme
Il ne reste au matin que jolis draps froissés
Et toi qui rêve encore : corps à corps embrasés
Qu’importe ta journée, ce qu’il te faudra dire
Ce qu’il te faudra faire et supporter le pire…
Jan
Ecrit le
Ven 03 Avril 2009, 16:18
par j.r.garou,
0 commentaire