- Le petit matin m’a trouvé brulant.
Et moi je t’ai trouvé à coté de moi, nue.
Je t’ai prise, alors doucement,
Pour que tu te reveilles, d’abord doucement.
Quand le cocon de la couette fut délicatement déchiré,
La vision ton corps de nymphe, tiède et fragile,
De tes seins ronds et genereux,de tes jambes promises,
M’ont donné envie de te gouter, toi nectar de ma jouvence.
Tes levres, entrouvertes comme tes yeux assoupis,
Furent la rosée que je degusta ce matin,
Et le festin continua, lorsque je m’en allai
Faire mes hommages à tes si jolis seins.
Ton ventre fut mon terrain de jeu.
Je virevoltai dessus, l’embrassant, le lechant,
Et ta main dans ma nuque,
Fut le guide de tes tourments.
Lorsque dans un soupir plaintif tu m’invitas,
A achever mon épopée, me rendre dans ta vallée
De ma fougue et ma passion je t’investis
Au plus profond de ton intimité.
Tu m’amenas à mon solstice,
Je te guidai vers ta lumière,
Et nul matin n’as jamais vu,
Ainsi plus beau papillon naitre
Ecrit le
Jeu 15 Jan 2004, 10:18
par PetitPrince,
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