Tant tu le desirais, que tu croyais l’aimer
Mais le désir nait du manque, et tu l’avais oublié.
Ce qui est rare, est précieux,
Et quand vint la peur de le perdre,
Encore une fois, tu as cru l’aimer,
Que la route parait longue pour qui veut aimer
Tant qu’il n’admet pas qu’il ne fait que desirer,
Et qu’il ne voit pas qu’il a toujours su aimer.
Aimer une seconde, ou une eternité,
Etre soi, sans être à l’autre,
Et alors gouter l’infinie légèreté.
Ecrit le
Jeu 10 Juin 2004, 19:14
par PetitPrince,
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