De toi, de nous, en ces instants si lointains,
alors que nos deux coeurs se sont refermés,
Mais nous ne craignons rien, puisse être la Lumière du Destin.
Tout semble contre moi, la vie, mes envies et mon travail
Et je te regarde, encore, encore,
alors, que nos deux ames s’éloignent,
alors, que nos deux corps soient morts.
Mais toi, tu ne l’entends pas de cette manière,
Car toi, tout te réussi, ta vie, tes envies, plus un seul cri
Car pour toi, rien est fini tant que rien n’a été dit,
Car toi et moi menons une guerre,
Au risque de tomber en Enfer.
Si seulement l’homme tenait au creux de sa main
La rose parfaite: à l’âme pure et belle,
Ce ne serait que par la Lumière du Destin
qu’elle s’appellerait: Estelle.
Ecrit le
Mer 20 Avril 2005, 12:10
par âme en état d'âme,
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