D’une fontaine à l’autre, découvrant les attraits
De ta ville ancienne. Mais c’est un parc tu sais
Qui attira mes pas, s’y tenaient des arènes
Je crois bien, autrefois ; les lieux étaient secrets,
Tout autant que nos rires, que l’écho renvoyait
Dans les airs, sur les bancs, dans les branches des chênes.
Le ciel était si doux et j’aimais tant tes yeux,
Que mon cœur s’y noya mais il était heureux.
Qu’importe si j’ai rêvé, si tu n’étais pas là
Un moment j’ai bien cru pourtant que c’était toi...
Ecrit le
Ven 17 Fév 2006, 14:50
par dolce vita,
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