Et l’envie qui te brûle le bout des doigts,
J’entends aussi le désir que tu chuchotes au plus profond de toi
Et je vois ton corps qui grelotte de désir intense.
Il appelle timidement mes mains pour qu’elles le caressent.
Couine de plaisir et crie de rage.
Les mots de la passion ont un doux visage d’ange
Tes yeux langoureux et profonds !
Les mots du cœur ont une couleur rouge foudroyant
Des baisers tendres et une douce saveur subtile et délicate
D’un mélange de parfums et de sueurs
Où la douceur embrasse la douceur de nos corps.
Mes lèvres qui se penchent sur tes reins.
Je sens l’ardeur des flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le corps,
Je te veux dans mes petit bras.
Je te veux dans mes draps.
Je te veux poème.
Je te veux poète.
Je te veux une tempête.
Que rien n’arrête.
Je te veux comme tu es.
Qu’on s’embrasse dans la différence, dans l’innocence
Et dans le silence de notre désir.
Qu’on s’embrasse à ne plus en finir,
Que la douce lueur du matin nous dévoile l’un à l’autre
Dans la plus merveilleuse lumière aux mille reflets de couleurs
Et qu’au petit matin nous formions plus qu’un Nous,
Et que ce Nous se transforme en Amour réel,
Celui dont même la mort ne peut défaire.
julia
Ecrit le
Lun 21 Août 2006, 11:27
par joullia,
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