Et te vis-je...
Je me suis surpris à te regarder au lever du soleil,
Débarrassé des limbes aux obscures auréoles,
J’ai trouvé beau ton visage envahi de sommeil,
L’empreinte fleurie des anges s’éveillant sur tes épaules.
C’est dans cette aube printanière aux invisibles volets
Qu’étendu sur ma couche, les paupières encore
Braisées de rêves, je t’ai découverte ensoleillée,
Brillante comme une mer lisse aux reflets méchés d’or.
Ecrit le
Dim 27 Avril 2008, 10:06
par Ole Touroque,
0 commentaire