Pleurer son chagrin comme pleure un enfant,
S’abandonner au silence de l’instant
Et oublier le mal qu’il te fit en partant.
Poser ta tête sur les genoux du vent
Ne plus trembler de ses baisers distants
Et comme ils disent donner le temps au temps
dans un sourire dans un clin d’oeil confiant.
Ecrit le
Mar 16 Mai 2006, 14:24
par dolce vita,
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