Qu’il est doux de te serrer bien fort contre mon coeur.
Qu’il est doux de goûter tes lèvres qui s’offrent à mes lèvres,
Qu’il est doux de respirer ton souffle, de respirer ton être,
Qu’il est doux de caresser ton corps, ta chair, tes formes
Lentement, lentement,
Et sentir ce désir qui brûle en toi... et moi...
Et tes mains qui me cherchent, et ta bouche contre ma bouche,
Et tes yeux qui me cherchent... Et mes yeux qui te cherchent
Comme pour partir pour un mystérieux voyage
Sur une mer infinie qui s’appellerait tendresse,
Sans cri, sans fureur, dans un calme bonheur,
Comme dans un rêve, un rêve qui ne finirait pas...
Viens ! Viens un instant ! Viens une minute,
Viens faire un câlin...
Tout s’efface, tout s’oublie...
Un moment d’éternité.
Ecrit le
Mar 20 Avril 2004, 08:07
par Mout,
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