Deviennent du venin
Je ne m’abrite pas de ce crachin
Tu te fais plus douce que la mie de pain
Quand tes mains
M’abandonnent je suis orphelin
Il y a toujours une suite à ses joutes des mains
Par des baisers bien plus malins
Quand tes mains
Frauduleuses traversent le périmètre divin
Je sens ce satin
Qui recouvre mon corps sans fin
Quand tes mains
Sont plus agiles qu’un félin
Elles sortent de leur écrin
Elles me rappellent un souvenir lointain
Quand tes mains
Coulent comme de l’étain
Je sens la douceur du vin
Aussi doux que ce raisin
Quand tes mains
Dans un futur prochain
M’ouvriront les portes de tes reins
Je dirais oui pour un câlin.
zorgx
Ecrit le
Lun 31 Jan 2005, 01:09
par zorgx,
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