Ton regard silencieux qui me tient loin de toi.
Mais le vent noir de la folie
Soufflant son ire sur nos vies
La voie d’amour en devient sombre
Et de nos coeurs pleurent des ombres.
J’aimerais tant t’aimer encore
Te voir paisible quand tu dors,
Te dire ces mots que je dois taire
Pour ne plus invoquer l’enfer.
Les poings serrés font moins saigner
Que deux trois mots non prononcés.
J’appréhende la peur, la colère et le froid,
Mon regard silencieux qui te tient loin de moi.
Ecrit le
Mar 10 Avril 2012, 08:35
par Epiméthée,
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