Tu me manques et je pense tout le temps à toi.
J’ouvre les yeux le matin, rivés vers toi, dans mes pensées les plus intimes.
J’ai peur que quelqu’un me vole ces images de toi, par jalousie, alors je les garde dans mon coeur rien que pour toi.
Mon corps n’a qu’une envie : se fondre contre toi.
Je suce ton esprit, ici, en attendant que ce rêve soit accompli tendrement de par ma bouche qui te désire.
J’ai les doigts fatigués, tu t’écris en moi.
C’est la bonne fatigue, celle des sportifs accomplis !
Je sais, que entre mille, tu te reconnais, dans mes draps humides de toi.
Ai-je peur des préliminaires, de nos ébats :
Certainement pas, j’en bave par avance, ça c’est sûr.
J’en salive et j’en frémis d’amour et ce silence est un cri, de l’ordre du privé.
Nous ne serons pas censurés et je me délecte à te caresser en public.
Tu exhibes les dons que la nature t’a donné.
Tu me regardes, coquin, riant mais si fin.
Je pourrai te peindre nu, mais je ne voudrais te partager pour rien au monde alors je m’abstiens,
préférant te toucher de mes mains.
Sentir ta chair, ton souffle qui reprend, te voir te restaurer synchronisé au sein de mon coeur qui revit de nous voir vivre.
Un jour, mes jambes tremblèrent à ton contact, au contact de nos mains entrelacés, en une seule fois, j’ai saisi le sens large du mot "Jouissance".
J’aimerais te faire des bisous dans le cou et te voir frissonner, puis respirer ton parfum, les yeux fermés.
Je voudrais qu’on sème dans notre jardin tous nos secrets, des graines de joie pour récolter notre bonheur, en continu.
Je voudrais toute ma vie, qu’on puisse s’enlacer, près d’un cerisier ou près d’une cheminée, où tu seras je serai.
Ecrit le
Ven 21 Oct 2011, 20:47
par inlove,
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