Piqués à ce vieux fou d’Hugo,
Lui qui savait dire : « je t’aime »
Sans jamais avoir l’air idiot.
Je te parlais d’Apollinaire
Et de Rimbaud et de Verlaine,
ce rêve étrange et pénétrant,
Moi aussi, je l’ai fait souvent...
Je ne t’écrirai plus,
Je n’en ai plus besoin
Je ne t’écrirai plus,
Maintenant tout va bien !
Je ne t’écrirai plus,
Le calme est revenu,
La tempête a cessé,
J’ai fini de t’aimer...
Claude Barzotti
Ecrit le
Mar 10 Jan 2006, 12:11
par dolce vita,
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