Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - danslalune
Tu sais mon envie...
Le Jeu 11 Août 2005, 05:36 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Je me suis glissée derrière ton corps...
Sur ta nuque, ton cou, tes épaules, mon souffle, mes lèvres, mes mains pressées.
Sur le creux de tes reins, mon ventre...je découvre tes seins.
Tu me laisses t’explorer du bout des doigts, de la paume de ma main.
Tu te laisses envahir...ton désir murmuré:
"...viens mon amour...", je me glisse dans ton corps...
Sur ta nuque, ton cou, tes épaules, mon souffle, mes lèvres, mes mains pressées.
Sur le creux de tes reins, mon ventre...je découvre tes seins.
Tu me laisses t’explorer du bout des doigts, de la paume de ma main.
Tu te laisses envahir...ton désir murmuré:
"...viens mon amour...", je me glisse dans ton corps...
Plaisir des yeux.
Le Mer 10 Août 2005, 05:59 sur Citations, 0 commentaire
Que tu me plais dans cette robe
Qui te déshabille si bien
Théophile Gautier (A une robe rose)
Qui te déshabille si bien
Théophile Gautier (A une robe rose)
Sur ma peau...
Le Jeu 04 Août 2005, 23:53 sur Mille choses, 0 commentaire
je garde cette sensation sur ma peau...
La chaleur de ton regard qui en dit long...un frisson qui me prend lorsque ton sourire se pose sur le mien...un sursaut dès que ta main dessine mes courbes...mon corps qui se cambre brusquement, qui cherche tes lèvres...mon désir de toi, mon plaisir qui n’attend que toi...
La chaleur de ton regard qui en dit long...un frisson qui me prend lorsque ton sourire se pose sur le mien...un sursaut dès que ta main dessine mes courbes...mon corps qui se cambre brusquement, qui cherche tes lèvres...mon désir de toi, mon plaisir qui n’attend que toi...
Tous mes trésors...
Le Jeu 04 Août 2005, 20:36 sur Mille choses, 0 commentaire
...tout ce qui me ramène à toi: un petit coquillage, je le trimballe de jean’s en jean’s...une bougie multicolore, elle est là sous mes yeux...une tasse, ma préférée, celle que tu m’as offerte...des cd audio, tous écoutés, pas tous appréciés...une télévision, l’étrange lucarne qui te fascine...le lit, celui qui fera partie du déménagement.
Mon pull, ton préféré, celui que tu malmènes...mon jean’s taille basse, tes mains plaquées sur sa ceinture.
Une feuille de papier faite en tissu recyclé, écologiquement correct, qui attend près d’une plume...un livre prêté, à peine entamé...un porte-clefs que tu as fabriqué, pour y accrocher le clef de mon appartement.
Des tickets de métro passés à la machine dans la poche de mon 501...des photos dans mon ordinateur, de toi, de tes enfants...des textes, ceux que je dépose sur le site, d’autres encore.
Ce matin, un texte: ta "bonne nuit...." douce et caressante.
La Lune s’est levée, l’Ange l’a embrassée...
L’Ange et la Lune se sont aimés...
La Lune s’est couchée, l’Ange s’est envolé...
Mon pull, ton préféré, celui que tu malmènes...mon jean’s taille basse, tes mains plaquées sur sa ceinture.
Une feuille de papier faite en tissu recyclé, écologiquement correct, qui attend près d’une plume...un livre prêté, à peine entamé...un porte-clefs que tu as fabriqué, pour y accrocher le clef de mon appartement.
Des tickets de métro passés à la machine dans la poche de mon 501...des photos dans mon ordinateur, de toi, de tes enfants...des textes, ceux que je dépose sur le site, d’autres encore.
Ce matin, un texte: ta "bonne nuit...." douce et caressante.
La Lune s’est levée, l’Ange l’a embrassée...
L’Ange et la Lune se sont aimés...
La Lune s’est couchée, l’Ange s’est envolé...
Nous rejoindre...
Le Mer 03 Août 2005, 06:21 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
...et attendre le plein soleil, intense; le laisser nous baigner de sa lumière crue, se laisser surprendre par sa caresse chaude, enlacées-embrassées au plus doux de notre désir.
Prendre le temps, être à l’écoute l’une de l’autre; glisser mes yeux au plus profond des tiens...te lire, te ressentir déjà...nos regards qui se troublent.
Recevoir tes mots, tes soupirs...les miens en réponses; nos lèvres se frôlent...notre baiser entre caresse et frisson...nos souffles qui se mêlent.
Goûter la pression de tes mains sur mes hanches, mes fesses, de mes seins sur tes seins...peser un peu plus sur ton corps...nous laisser porter au plus haut de notre désir.
Onduler doucement, aller au même rythme, gémir un peu plus à chacune de nos impulsions...nous éprouver sensuellement jusqu’à faire de ta jouissance la mienne et faire de mon plaisir le tien.
...en prendre plein nos sens et jouir...mon amour...
Prendre le temps, être à l’écoute l’une de l’autre; glisser mes yeux au plus profond des tiens...te lire, te ressentir déjà...nos regards qui se troublent.
Recevoir tes mots, tes soupirs...les miens en réponses; nos lèvres se frôlent...notre baiser entre caresse et frisson...nos souffles qui se mêlent.
Goûter la pression de tes mains sur mes hanches, mes fesses, de mes seins sur tes seins...peser un peu plus sur ton corps...nous laisser porter au plus haut de notre désir.
Onduler doucement, aller au même rythme, gémir un peu plus à chacune de nos impulsions...nous éprouver sensuellement jusqu’à faire de ta jouissance la mienne et faire de mon plaisir le tien.
...en prendre plein nos sens et jouir...mon amour...
Entre-deux...
Le Mar 02 Août 2005, 22:47 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Appelons le l’instant en suspend, l’instant où nous sommes entre deux: il y a eu, il y aura et maintenant il y a...nous avons partagé, nous partagerons encore, maintenant tu viens près de moi jusqu’à me toucher...
A cet instant je te devine...tout est là, dans tes silences à peine troublés par quelques soupirs; dans tes gestes, ta manière de poser ta tête au creux de mon épaule...et tes mains qui s’approprient ma nuque, mon dos, mes hanches: tu as besoin de t’accrocher...dans tes regards que je n’aime pas voir se voiler, qui m’offrent tant de douceur et ne savent pas cacher ta tristesse...les mots viendront plus tard, lorsque mes angoisses se seront calmées, lorsque mes émotions se seront apaisées, lorsque je me serai retrouvée...ce sera l’instant d’après.
A cet instant je te devine...tout est là, dans tes silences à peine troublés par quelques soupirs; dans tes gestes, ta manière de poser ta tête au creux de mon épaule...et tes mains qui s’approprient ma nuque, mon dos, mes hanches: tu as besoin de t’accrocher...dans tes regards que je n’aime pas voir se voiler, qui m’offrent tant de douceur et ne savent pas cacher ta tristesse...les mots viendront plus tard, lorsque mes angoisses se seront calmées, lorsque mes émotions se seront apaisées, lorsque je me serai retrouvée...ce sera l’instant d’après.
Le soleil aussi me manque..
Le Lun 01 Août 2005, 19:00 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Il y a des jours comme ça, on se dit qu’il vaudrait mieux rester sous le drap...dehors le ciel est d’un gris déprimant et, comble du "bonheur" j’écoute un standard de Stevie Wonder:"Lately", de quoi faire sombrer la plus pêchue de toutes les optimistes. Oui, j’ai tendance à écouter de la musique qui reflète mon humeur du moment.
Si le temps était au beau, je serais souriante...comme la semaine dernière: nous étions ensemble et ta présence faisait une sacrée concurrence au soleil...si, si!
Pas de chance, aujourd’hui j’aurais bien besoin d’un soupçon de chaleur; à défaut de chaleur humaine, la tienne, j’opterais pour un bain de soleil...diffus toutefois, pas trop ardent...enfin une lumière tout juste tamisée, qui ressemblerait comme deux rayons de soleil à celle qui galbe tes courbes au petit matin...juste avant que ma main, oui, juste avant...
Le soleil est un grand espiègle; s’il m’oblige à chausser mes lunettes teintées, formidable invention, s’il m’invite à m’installer à la terrasse d’un café, à jouir du défilé des passantes, à accompagner certaines du regard jusqu’au coin de la rue, à profiter de ces instants qui filent toujours trop vite, il sait aussi, lorsqu’il ne me rend pas visite, faire durer les autres moments: ils n’en finissent pas de ne pas s’écouler ces autres moments!
Si les instants les plus tendres sont impalpables, s’ils m’enveloppent d’une douceur infinie, d’un parfum légérement enivrant, délicatement troublant; les moments en demi teinte qui virent au gris sale et qui ne me font voir que la partie vide du verre à moitié plein, sont tristement longs et sinistrement oppressants...elles sont longues-longues, elles se plaisent à durer ces heures sans toi...
Si le temps était au beau, je serais souriante...comme la semaine dernière: nous étions ensemble et ta présence faisait une sacrée concurrence au soleil...si, si!
Pas de chance, aujourd’hui j’aurais bien besoin d’un soupçon de chaleur; à défaut de chaleur humaine, la tienne, j’opterais pour un bain de soleil...diffus toutefois, pas trop ardent...enfin une lumière tout juste tamisée, qui ressemblerait comme deux rayons de soleil à celle qui galbe tes courbes au petit matin...juste avant que ma main, oui, juste avant...
Le soleil est un grand espiègle; s’il m’oblige à chausser mes lunettes teintées, formidable invention, s’il m’invite à m’installer à la terrasse d’un café, à jouir du défilé des passantes, à accompagner certaines du regard jusqu’au coin de la rue, à profiter de ces instants qui filent toujours trop vite, il sait aussi, lorsqu’il ne me rend pas visite, faire durer les autres moments: ils n’en finissent pas de ne pas s’écouler ces autres moments!
Si les instants les plus tendres sont impalpables, s’ils m’enveloppent d’une douceur infinie, d’un parfum légérement enivrant, délicatement troublant; les moments en demi teinte qui virent au gris sale et qui ne me font voir que la partie vide du verre à moitié plein, sont tristement longs et sinistrement oppressants...elles sont longues-longues, elles se plaisent à durer ces heures sans toi...
T'éveiller ce matin...
Le Lun 01 Août 2005, 06:16 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Si tu étais allongée, encore endormie et moi veillant sur ton sommeil, la tentation serait grande: je laisserais ma main, mon regard survoler tes courbes avec amour, avec envie...
Si ma main venait à se poser sur ton épaule, à travers le drap, elle irait un peu plus loin, épouserait la forme de ta taille, tes hanches...elle ferait frémir ta peau ,là, au plus tendre de tes cuisses: elle te ferait t’ouvrir et doucement gémir...
Si mes lèvres s’en mêlaient, elles se feraient amoureuses...juste un frôlement et ton corps tendu qui s’offrirait à leur caresse...
Si j’étais là, au plus délicieux de ton corps, je laisserais mes sens en profiter...encore et encore...je serais en toi, délicatement sensuelle selon ton désir, plus voluptueusement selon tes soupirs...
Si tu en étais là, ma bouche gourmande deviendrait plus entreprenante et guidée par tes ondulations, elle cueillerait ton plaisir.
Si ma main venait à se poser sur ton épaule, à travers le drap, elle irait un peu plus loin, épouserait la forme de ta taille, tes hanches...elle ferait frémir ta peau ,là, au plus tendre de tes cuisses: elle te ferait t’ouvrir et doucement gémir...
Si mes lèvres s’en mêlaient, elles se feraient amoureuses...juste un frôlement et ton corps tendu qui s’offrirait à leur caresse...
Si j’étais là, au plus délicieux de ton corps, je laisserais mes sens en profiter...encore et encore...je serais en toi, délicatement sensuelle selon ton désir, plus voluptueusement selon tes soupirs...
Si tu en étais là, ma bouche gourmande deviendrait plus entreprenante et guidée par tes ondulations, elle cueillerait ton plaisir.
C'est ainsi.
Le Sam 30 Juil 2005, 22:12 sur Parler d'amour, 0 commentaire
C’est tout bête mais tellement vrai: je t’ai sous ma main, alors je vais bien.
Je t’aime ainsi, autrement aussi...
quand mes mains savent qu’elles ne te trouveront pas toujours;
quand mes yeux savent qu’aujourd’hui, demain ils ne rencontreront pas les tiens;
quand monange, chaque matin je lis tes mots:"bonjour...as-tu bien dormi amour?"
Je t’aime ainsi, autrement aussi...
quand mes mains savent qu’elles ne te trouveront pas toujours;
quand mes yeux savent qu’aujourd’hui, demain ils ne rencontreront pas les tiens;
quand monange, chaque matin je lis tes mots:"bonjour...as-tu bien dormi amour?"
T'effleurer, rien de plus.
Le Mer 20 Juil 2005, 20:29 sur La séduction, 0 commentaire
Etre là, simplement...surtout ne pas te déranger, ne pas attirer ton attention, te laisser "flâner" ma contemplative.
Poser mes yeux sur toi, à peine...des regards légers, lancés à la sauvette, qui ne feraient que passer, n’oseraient pas s’arrêter de peur de ne plus pouvoir te lâcher...je te cherche, dis-moi: vais-je te trouver?
Poser mes yeux sur toi, à peine...des regards légers, lancés à la sauvette, qui ne feraient que passer, n’oseraient pas s’arrêter de peur de ne plus pouvoir te lâcher...je te cherche, dis-moi: vais-je te trouver?
En t'attendant...
Le Mar 05 Juil 2005, 08:04 sur L'amour en vrac, 0 commentaire
Un baiser sur chacune de tes paupières...léger-léger ce baiser.
Deux sourires, le tien qui répond au mien, "amour, viens dans mes bras...".
Trois mots:-" je t’aime..." -"amour, je n’ai pas entendu...tu peux répéter?".
"Quatre, cinq, six fois...autant que tu voudras! Je ne me lasse pas..."
Deux sourires, le tien qui répond au mien, "amour, viens dans mes bras...".
Trois mots:-" je t’aime..." -"amour, je n’ai pas entendu...tu peux répéter?".
"Quatre, cinq, six fois...autant que tu voudras! Je ne me lasse pas..."
Ah oui! les beaux jours...
Le Jeu 30 Juin 2005, 07:04 sur La vie à deux, 0 commentaire
Je ne t’ai pas vue depuis plus de six jours...tu me manques, je crois et là, je pense à toi.
J’ai envie de nos discussions sur tout, sur rien, sur nous et les autres, sur nous...envie de recevoir ton premier sourire quand tu te réveilles, de t’entendre chanter, de te laisser grimper sur l’escabeau et de t’y surprendre, de te regarder savourer une crêpe à la crème de marron accompagnée d’une boule de glace à la vanille à la place de la Chantilly...je désire lire sur tes lèvres:"...je t’aime...", prendre le temps de plonger mes yeux dans les tiens et te savourer lorsque tu es assise en face de moi à la terrasse d’un café, nous oublions les autres...envie de nos sourires entendus, de te livrer le passage dans la rue quand le trottoir se fait trop étroit...le plaisir des yeux...très envie de te frôler du regard, du geste et de la voix, de laisser tes mains me deviner dans l’obscurité du couloir de l’immeuble, de leur céder lorsqu’elles me trouvent, d’effleurer tes lèvres avec les miennes, de les caresser et de goûter notre baiser...tu me manques, c’est certain...et là, est-ce que tu penses à moi?
J’ai envie de nos discussions sur tout, sur rien, sur nous et les autres, sur nous...envie de recevoir ton premier sourire quand tu te réveilles, de t’entendre chanter, de te laisser grimper sur l’escabeau et de t’y surprendre, de te regarder savourer une crêpe à la crème de marron accompagnée d’une boule de glace à la vanille à la place de la Chantilly...je désire lire sur tes lèvres:"...je t’aime...", prendre le temps de plonger mes yeux dans les tiens et te savourer lorsque tu es assise en face de moi à la terrasse d’un café, nous oublions les autres...envie de nos sourires entendus, de te livrer le passage dans la rue quand le trottoir se fait trop étroit...le plaisir des yeux...très envie de te frôler du regard, du geste et de la voix, de laisser tes mains me deviner dans l’obscurité du couloir de l’immeuble, de leur céder lorsqu’elles me trouvent, d’effleurer tes lèvres avec les miennes, de les caresser et de goûter notre baiser...tu me manques, c’est certain...et là, est-ce que tu penses à moi?
L'été vient de commencer.
Le Ven 24 Juin 2005, 00:12 sur Un monde parfait, 0 commentaire
Tout en bas de l’immeuble, sur le parvis de l’hôtel de ville, Robert poussait la chansonnette...la fête de la musique battait son plein; le beau temps, la chaleur s’étaient passé le mot.
En haut de l’immeuble, le coeur "chaviré" par l’organe mélodieux du soliste, tu m’as chanté l’air de l’amoureuse soupirante: doux, irrésistible et si troublant...je t’ai aimée...la voix de l’ami Robert entonnant "Méditerranée", n’a pas suffit à couvrir tes "trémolos", amour...
En haut de l’immeuble, le coeur "chaviré" par l’organe mélodieux du soliste, tu m’as chanté l’air de l’amoureuse soupirante: doux, irrésistible et si troublant...je t’ai aimée...la voix de l’ami Robert entonnant "Méditerranée", n’a pas suffit à couvrir tes "trémolos", amour...
L'amour en douce...
Le Lun 13 Juin 2005, 23:22 sur Les liaisons sulfureuses, 0 commentaire
Mon regard ne te lâche plus: il te cueille lorsque tu sors de l’eau, se perd un instant sur le creux de tes reins et t’accompagne jusqu’aux vestiaires.
Tu te douches rapidement, tu as deviné ma présence...maintenant tu sors; tu cherches tes vêtements...tu ne les trouveras pas: je te les ai "piqués"!
...monange, tu viens dans mes bras, tu t’accroches à mon pull...et c’est tout mon corps qui se tend!
Je te tiens tout contre moi, pas question que tu attrapes froid; c’est que tu es sensible...un léger zéphyr et c’est la cata! te voilà qui mouches, qui traînes un rhume long comme ça...alors reste là. Ma bouche effleure ton oreille; j’y dépose mes mots les plus doux, ceux que tu aimes...tout un chapelet!
...et ton sourire! tu me fais les yeux qui "vont si bien avec"...avec ton air faussement innocent, éffrontément angélique; amour, je ne t’ai pas vue venir: ta cuisse se glisse entre les miennes, je soupire sur tes lèvres...là, c’est toi qui me tiens...
Naturellement une de mes mains se pose sur ta cambrure, s’y loge...je te colle un peu plus à moi; mon autre main masse ton dos, que les multiples tâches ménagères n’épargnent pas, j’insiste sur cette partie toute en reliefs rebondis...ta cuisse entre les miennes se fait plus insistante: tu gémis dans ma bouche...
Tu me laisses abandonner tes lèvres...encore un baiser...pour aller à l’aventure, pour découvrir...c’est chaque fois une découverte...tes seins, je les calole, ils me ravissent...tes tétons tendus qui se prêtent si bien aux caresses de ma bouche; amour...tes mains sur ma nuque, tes mots troublants...
Mes doigts flânent sur tes hanches, longuement je dessine leurs contours; flattent tes cuisses, délicatement je les sculpte; frôlent ton pubis, à peine; s’arrêtent sur ton ventre...ce qu’il est doucement tiède ton ventre, attendrissant, si accueillant: je viens m’y reposer un instant, y goûter mon bonheur...fermer les yeux, un peu, et ne penser qu’à toi...me laisser gagner par tes frémissements, m’âbimer dans tes sensations.
...ton désir, le mien conduisent ma main...ma paume épouse parfaitement la courbe de ton pubis...mes doigts entament une lente descente, croisent au large de ton bouton que seul un baiser suave pourra faire éclore, abordent les rives de ta source: ton corps se tend aussitôt...tu t’offres à leur caresse...voilà...ils se nichent au creux de ta chaude intimité, vont au rythme de ton corps, viennent à l’approche de ta jouissance...je te laisse mener la danse.
...et toujours tes mains dans mes cheveux...tes mots qui me disent...oui, dis-moi, guide-moi...tu me veux tendre, tu me veux hardie...alors mes lèvres, ma langue éprouvent ton envie, prennent le relais de mes doigts...comme tu te cambres!
...et ton envie, mon désir de toi...ma bouche fait la cour à ton clitoris "Rose ermite", l’amène à quitter sa réserve, l’apprivoise, le fait s’épanouir, doucement te mène au plaisir...tu m’appelles, tu m’invites...maintenant amour, tu t’ouvres et tu n’as plus aucun secret pour moi: je t’ai trouvée là, au plus profond de toi.
Ma caresse se fait plus soutenue, plus audacieuse aussi à chacune de tes impulsions...et tes mains qui s’accrochent aux miennes, tes mots qui scandent tes ondulations...je frissonne au moindre de tes gémissements...je t’attire, te retiens...je soupire lorsque, sans retenue tu jouis. Ce moment, le faire durer ce moment...le suspendre à ton "presque-cri"...enfin, te prendre dans mes bras, te ceindre de tendresse et t’apaiser...longuement, comme tu aimes, comme j’aime.
Voilà, l’après-midi touche à sa fin: je te rends tes vêtements, tu t’habilles rapidement...que j’ai envie de te déshabiller...encore un baiser sur ta nuque...le faire durer ce baiser...
Un dernier sourire, mes lèvres sur les tiennes et tes mains qui maltraitent mon pull...maltraîte amour, maltraîte...Je murmure ton prénom, le mien est sur tes lèvres...
Voilà, notre journée s’achève; tu dois rentrer: les enfants ont regagné la ruche...c’est l’heure, oui, il est temps...
Tu te douches rapidement, tu as deviné ma présence...maintenant tu sors; tu cherches tes vêtements...tu ne les trouveras pas: je te les ai "piqués"!
...monange, tu viens dans mes bras, tu t’accroches à mon pull...et c’est tout mon corps qui se tend!
Je te tiens tout contre moi, pas question que tu attrapes froid; c’est que tu es sensible...un léger zéphyr et c’est la cata! te voilà qui mouches, qui traînes un rhume long comme ça...alors reste là. Ma bouche effleure ton oreille; j’y dépose mes mots les plus doux, ceux que tu aimes...tout un chapelet!
...et ton sourire! tu me fais les yeux qui "vont si bien avec"...avec ton air faussement innocent, éffrontément angélique; amour, je ne t’ai pas vue venir: ta cuisse se glisse entre les miennes, je soupire sur tes lèvres...là, c’est toi qui me tiens...
Naturellement une de mes mains se pose sur ta cambrure, s’y loge...je te colle un peu plus à moi; mon autre main masse ton dos, que les multiples tâches ménagères n’épargnent pas, j’insiste sur cette partie toute en reliefs rebondis...ta cuisse entre les miennes se fait plus insistante: tu gémis dans ma bouche...
Tu me laisses abandonner tes lèvres...encore un baiser...pour aller à l’aventure, pour découvrir...c’est chaque fois une découverte...tes seins, je les calole, ils me ravissent...tes tétons tendus qui se prêtent si bien aux caresses de ma bouche; amour...tes mains sur ma nuque, tes mots troublants...
Mes doigts flânent sur tes hanches, longuement je dessine leurs contours; flattent tes cuisses, délicatement je les sculpte; frôlent ton pubis, à peine; s’arrêtent sur ton ventre...ce qu’il est doucement tiède ton ventre, attendrissant, si accueillant: je viens m’y reposer un instant, y goûter mon bonheur...fermer les yeux, un peu, et ne penser qu’à toi...me laisser gagner par tes frémissements, m’âbimer dans tes sensations.
...ton désir, le mien conduisent ma main...ma paume épouse parfaitement la courbe de ton pubis...mes doigts entament une lente descente, croisent au large de ton bouton que seul un baiser suave pourra faire éclore, abordent les rives de ta source: ton corps se tend aussitôt...tu t’offres à leur caresse...voilà...ils se nichent au creux de ta chaude intimité, vont au rythme de ton corps, viennent à l’approche de ta jouissance...je te laisse mener la danse.
...et toujours tes mains dans mes cheveux...tes mots qui me disent...oui, dis-moi, guide-moi...tu me veux tendre, tu me veux hardie...alors mes lèvres, ma langue éprouvent ton envie, prennent le relais de mes doigts...comme tu te cambres!
...et ton envie, mon désir de toi...ma bouche fait la cour à ton clitoris "Rose ermite", l’amène à quitter sa réserve, l’apprivoise, le fait s’épanouir, doucement te mène au plaisir...tu m’appelles, tu m’invites...maintenant amour, tu t’ouvres et tu n’as plus aucun secret pour moi: je t’ai trouvée là, au plus profond de toi.
Ma caresse se fait plus soutenue, plus audacieuse aussi à chacune de tes impulsions...et tes mains qui s’accrochent aux miennes, tes mots qui scandent tes ondulations...je frissonne au moindre de tes gémissements...je t’attire, te retiens...je soupire lorsque, sans retenue tu jouis. Ce moment, le faire durer ce moment...le suspendre à ton "presque-cri"...enfin, te prendre dans mes bras, te ceindre de tendresse et t’apaiser...longuement, comme tu aimes, comme j’aime.
Voilà, l’après-midi touche à sa fin: je te rends tes vêtements, tu t’habilles rapidement...que j’ai envie de te déshabiller...encore un baiser sur ta nuque...le faire durer ce baiser...
Un dernier sourire, mes lèvres sur les tiennes et tes mains qui maltraitent mon pull...maltraîte amour, maltraîte...Je murmure ton prénom, le mien est sur tes lèvres...
Voilà, notre journée s’achève; tu dois rentrer: les enfants ont regagné la ruche...c’est l’heure, oui, il est temps...
"c'est le jour et la nuit..."
Le Dim 12 Juin 2005, 22:13 sur Mille choses, 0 commentaire
Je suis la mère de deux bouquets de sourires; la vie s’est chargée de les bousculer, de leur jouer un air qu’ils n’étaient pas prêts à écouter...si semblables et tellement différents...l’un se complaît dans ce qui était, l’autre conjugue au futur: lui reste, elle avance.
De l’arbre, il est les racines...fortement attaché à son coin de terre; elle est la ramure...légèrement posée, sur le point de s’envoler.
De l’arbre, il est les racines...fortement attaché à son coin de terre; elle est la ramure...légèrement posée, sur le point de s’envoler.
danslalune

Dans les nuages
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- désir
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- lorsque
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- mains
- mien
- mienne
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- peau
- peine
- plaisir
- pose
- poser
- presque
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