Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur voudrais - Page 12 sur 12
à Christine et Marie ....
en écho à ton message marquise, je voudrais vous transmettre les écrits de mon âme jumelle .... belle histoire, triste fin
=============================
A votre avis, devenir maman grâce (à cause de?) à internet, vous croyez que ça veut dire qu’internet peut changer une vie ? ;-)
Quand on vit seule dans une ville comme Paris, internet c’est une bénédiction. D’abord, pour mener une vie de débauches (vi, je sais... merci internet), et puis, un jour, suite à une annonce (... sur internet), une rencontre qui ne se passe pas comme les autres, la découverte du grand amour (oué, oué, merci internet), un déménagement à l’étranger (pour vivre avec Lui, bien sûr) et, dans la foulée, un magnifique bébé qui reste en contact étroit avec ses grands-parents grâce à... Internet !
Tout ça, ca vaut bien des milliers d’ASV pour rien, non ?!
;-)
==================================================
A la demande générale, je développe mon avis:
En été 2000, mon bureau me mute (bon d’accord, c’était un petit peu à ma demande, pffff) sur Paris où je ne connaissais absolument personne. Ceci dit, Paris quand on a 30 ans et qu’on est célibataire, ce n’est pas ce qu’il y a de pire...
Durant les quelques mois suivant mon arrivée, j’ai donc "meublé" mes soirées grâce à internet: d’abord sur des sites de tchatche et de rencontres, ensuite en organisant de nombreuses soirées avec des personnes rencontrées sur ces sites. Et puis, un jour, au bureau (bah oui, chuis accro, je vous ai dit, je me connectais même au boulot), un jeune homme se connecte sur le site de rencontres sur lequel j’étais inscrite. Par un réflexe habituel, je clique sur son profil... ouaaaaaaaaah, la photo !!!!! Ouaaaaaaah, les beaux yeux bleus ! Enfin, bref, je plonge, je drague (je sais, c po bô pour une fille de faire ça) et le soir de la rencontre fatidique, je suis là, à rougir comme une collégienne, encombrée de mes deux mains (tiens, quand est-ce qu’on m’a mis ça??) J’ose à peine le regarder, mais chaque fois que j’ose un coup d’oeil en coin, son sourire me fait craquer. Merde, c’est pourtant pas du tout mon genre de faire dans la guimauve, keski m’arrive ! Enfin, on commande un verre , on discute un peu (lui surtout, moi je bois ses paroles au détriment de mon verre de vin) et lorsqu’on se quitte sur le quai du métro, je l’enlace et je l’embrasse (ouiiiiiiiiii, j’ai osé faire ça !!!!) Je suis rentrée chez moi des étoiles plein les yeux. "C’est le plus beau, le plus gentil, le plus charmant, le plus sexy, le plus tendre, le plus plus, quoi !!!"
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A votre avis, devenir maman grâce (à cause de?) à internet, vous croyez que ça veut dire qu’internet peut changer une vie ? ;-)
Quand on vit seule dans une ville comme Paris, internet c’est une bénédiction. D’abord, pour mener une vie de débauches (vi, je sais... merci internet), et puis, un jour, suite à une annonce (... sur internet), une rencontre qui ne se passe pas comme les autres, la découverte du grand amour (oué, oué, merci internet), un déménagement à l’étranger (pour vivre avec Lui, bien sûr) et, dans la foulée, un magnifique bébé qui reste en contact étroit avec ses grands-parents grâce à... Internet !
Tout ça, ca vaut bien des milliers d’ASV pour rien, non ?!
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A la demande générale, je développe mon avis:
En été 2000, mon bureau me mute (bon d’accord, c’était un petit peu à ma demande, pffff) sur Paris où je ne connaissais absolument personne. Ceci dit, Paris quand on a 30 ans et qu’on est célibataire, ce n’est pas ce qu’il y a de pire...
Durant les quelques mois suivant mon arrivée, j’ai donc "meublé" mes soirées grâce à internet: d’abord sur des sites de tchatche et de rencontres, ensuite en organisant de nombreuses soirées avec des personnes rencontrées sur ces sites. Et puis, un jour, au bureau (bah oui, chuis accro, je vous ai dit, je me connectais même au boulot), un jeune homme se connecte sur le site de rencontres sur lequel j’étais inscrite. Par un réflexe habituel, je clique sur son profil... ouaaaaaaaaah, la photo !!!!! Ouaaaaaaah, les beaux yeux bleus ! Enfin, bref, je plonge, je drague (je sais, c po bô pour une fille de faire ça) et le soir de la rencontre fatidique, je suis là, à rougir comme une collégienne, encombrée de mes deux mains (tiens, quand est-ce qu’on m’a mis ça??) J’ose à peine le regarder, mais chaque fois que j’ose un coup d’oeil en coin, son sourire me fait craquer. Merde, c’est pourtant pas du tout mon genre de faire dans la guimauve, keski m’arrive ! Enfin, on commande un verre , on discute un peu (lui surtout, moi je bois ses paroles au détriment de mon verre de vin) et lorsqu’on se quitte sur le quai du métro, je l’enlace et je l’embrasse (ouiiiiiiiiii, j’ai osé faire ça !!!!) Je suis rentrée chez moi des étoiles plein les yeux. "C’est le plus beau, le plus gentil, le plus charmant, le plus sexy, le plus tendre, le plus plus, quoi !!!"
Mar 13 Jan 2004, 14:13 par
la_tulipe_noire sur Amour internet
in "Aurore" de Jean Paul Enthoven (grasset)
J’aurais pu mettre ce post dans la catégorie "citations"
--> ben voilà c’est fait
Mais la dernière perle de Hugo offerte par Petitprince mérite à mon avis de rester plus longtemps en première page
--> ben ça aussi c’est fait
Alors comme ici nous sommes dans le "monde parfait", (ben non on n’y est plus andouille va ! ) où l’on doit évoquer des gens croisés au hasard de notre vie, je voudrais remercier un écrivain pour des mots qui m’ont permis de comprendre que l’amour est chose compliquée.
Rien de nouveau là dedans me direz vous ...sauf que l’on a parfois l’impression d’être seul sur Terre à ressentir des sentiments que l’on juge inacessible au commun des mortels. A travers cette lecture, je me suis rendu compte que ce que j’avais pu ressentir n’était en fait que de l’amour (ou devrais je dire de la passion), et en tout cas, quelque chose d’apparemment bassement universel. Alors, grâce aux mots de cet auteur, qui décortique avec talent les tourments de l’esprit, je me sens moins seul ... et surtout moins fou
Désolé enfin d’être toujours un peu sombre alors que certains s’évertuent ici à distiller de la bonne humeur. Mais j’espère que ceux qui manient avec habileté l’introspection trouveront là matière à cogiter. Désolé aussi d’être un peu long ....
Avant de rencontrer Aurore, je ne savais pas que l’amour était un long processus d’anéantissement. Et je ne savais pas davantage, avant qu’elle ne me l’apprît, qu’il y avait, au terme de ce processus, un miroir dans lequel le hasard impose de s’observer, puis de découvrir avec dépit qui l’on est. Ce fut, dans mon cas, une intoxication méticuleuse. Une noyade. Un enchevêtrement de chaînes mentales, de causes et d’effets, dont l’ensemble précipita des évènements où je me suis cru subjugué par un ennemi habile alors que j’y étais mon seul tyran.
Certains prétendent que, dans cette expérience, on meurt utilement, et afin d’accéder à un destin mieux accompli. Ils se trompent. Ou ils mentent. Car j’ai pu vérifier, à la faveur d’une histoire singulière, que l’amour n’impose que la compagnie d’une part inutile de soi-même. Et que l’on s’y mesure à une déchéance qui aurait pu, aussi bien, en choisir un autre.
Cette déchéance, que j’ai d’abord accueillie sans déplaisir, ne mérite aucun égard. Elle est cruelle, orgueilleuse, détestable. Elle trouve sa source dans des arrière-mondes où il vaut mieux ne pas s’attarder. C’est un mauvais maître dont le pouvoir tient à l’avidité de celui qui lui réclame sa dose d’humiliation. Est-il même indispensable, après tout, de découvrir qui l’on est ? Et n’y a-t-il pas plus de joie à se méconnaître, et à se perdre de vue ?
Avant de rencontrer Aurore, je n’avais de moi-même, qu’une perception vague mais heureuse. J’avançais à mon rythme. Je posais sur les êtres et les choses un regard indifférent. J’étais inachevé, mais une vie m’attendait dans cet inachèvement. Je ne savais pas, à cette époque, que l’amour dévore par prédilection ceux qui exigent chacun des supplices qu’il promet.
Bouquin à lire absolument pour ceux qui aiment ... l’amour
--> ben voilà c’est fait
Mais la dernière perle de Hugo offerte par Petitprince mérite à mon avis de rester plus longtemps en première page
--> ben ça aussi c’est fait
Victor Hugo a écrit: |
"Il faut s’aimer, et puis il faut se le dire, et puis il faut se l’écrire, et puis il faut se baiser sur la bouche, sur les yeux et ailleurs" |
Alors comme ici nous sommes dans le "monde parfait", (ben non on n’y est plus andouille va ! ) où l’on doit évoquer des gens croisés au hasard de notre vie, je voudrais remercier un écrivain pour des mots qui m’ont permis de comprendre que l’amour est chose compliquée.
Rien de nouveau là dedans me direz vous ...sauf que l’on a parfois l’impression d’être seul sur Terre à ressentir des sentiments que l’on juge inacessible au commun des mortels. A travers cette lecture, je me suis rendu compte que ce que j’avais pu ressentir n’était en fait que de l’amour (ou devrais je dire de la passion), et en tout cas, quelque chose d’apparemment bassement universel. Alors, grâce aux mots de cet auteur, qui décortique avec talent les tourments de l’esprit, je me sens moins seul ... et surtout moins fou
Désolé enfin d’être toujours un peu sombre alors que certains s’évertuent ici à distiller de la bonne humeur. Mais j’espère que ceux qui manient avec habileté l’introspection trouveront là matière à cogiter. Désolé aussi d’être un peu long ....
Avant de rencontrer Aurore, je ne savais pas que l’amour était un long processus d’anéantissement. Et je ne savais pas davantage, avant qu’elle ne me l’apprît, qu’il y avait, au terme de ce processus, un miroir dans lequel le hasard impose de s’observer, puis de découvrir avec dépit qui l’on est. Ce fut, dans mon cas, une intoxication méticuleuse. Une noyade. Un enchevêtrement de chaînes mentales, de causes et d’effets, dont l’ensemble précipita des évènements où je me suis cru subjugué par un ennemi habile alors que j’y étais mon seul tyran.
Certains prétendent que, dans cette expérience, on meurt utilement, et afin d’accéder à un destin mieux accompli. Ils se trompent. Ou ils mentent. Car j’ai pu vérifier, à la faveur d’une histoire singulière, que l’amour n’impose que la compagnie d’une part inutile de soi-même. Et que l’on s’y mesure à une déchéance qui aurait pu, aussi bien, en choisir un autre.
Cette déchéance, que j’ai d’abord accueillie sans déplaisir, ne mérite aucun égard. Elle est cruelle, orgueilleuse, détestable. Elle trouve sa source dans des arrière-mondes où il vaut mieux ne pas s’attarder. C’est un mauvais maître dont le pouvoir tient à l’avidité de celui qui lui réclame sa dose d’humiliation. Est-il même indispensable, après tout, de découvrir qui l’on est ? Et n’y a-t-il pas plus de joie à se méconnaître, et à se perdre de vue ?
Avant de rencontrer Aurore, je n’avais de moi-même, qu’une perception vague mais heureuse. J’avançais à mon rythme. Je posais sur les êtres et les choses un regard indifférent. J’étais inachevé, mais une vie m’attendait dans cet inachèvement. Je ne savais pas, à cette époque, que l’amour dévore par prédilection ceux qui exigent chacun des supplices qu’il promet.
Bouquin à lire absolument pour ceux qui aiment ... l’amour
Sam 13 Déc 2003, 12:33 par
la_tulipe_noire sur Citations
La première fois (et la dernière) ....
... que je lui ais dit que je l’aimais.
"Coeur de papier"
Les mots satins, les mots velours
Ceux qui vous touchent
Et ceux qu’on ose à peine toucher
De peur qu’ils en disent trop
Même à demi-mot,
Parfois à contre temps
L’encre sauvage dicte sa loi en noir,
La blancheur éblouit
Sans commentaire,
Mais qui peut ignorer les nuances ?
Aux portes de l’intimité, l’encre vacille
Le papier accueille autant la lumière
Que l’ombre des sentiments
Et ces mots qui se plient dans l’amertume des pensées
Eux seuls savent qu’ils peuvent dire autre chose
Mais le saura-t-elle ?
Une feuille qui se remplit
et mon âme qui se vide
de cet amour qui m’a planté là, pétrifié
moi qui croyait qu’aimer c’était voler
Je lui écris ...
au bout de mes doigts une plume à l’encre noire
ou mon coeur aux larmes rouge sang
qui pleure sur un océan blanc ?
Noir, blanc, rouge
les couleurs de l’amour
un étendard porté avec fierté
avant une bataille perdue d’avance
Elle ne veut pas se battre avec moi
Nous ferions de si beaux ennemis
Et j’écris encore...
Je souille cette surface immaculée
de ma noirceur intérieure
je voudrais que mes mots
au fer rouge marque son derme
sa douce fleur de peau
Mais le sait-elle ?
Un bout de papier plié en quatre,
Quelle ironie,
tant de sentiments ainsi cloitrés !
Une lettre jetée vers un aller sans retour
avec l’envie d’ainsi se débarasser
d’un bout de sa chair laissé aux vautours
d’un bout de sa vie perdue de trop aimer
Ce n’est pas une déclaration,
plutôt un exorcisme
les pensées égarées, les souffrances endurées
ce temps passé à cet amour endiablé
à regret , il fallait que je l’enterre,
d’un coup d’épistolaire ...
Mais le savait-elle ?
La tulipe noire ....noire
"Coeur de papier"
Les mots satins, les mots velours
Ceux qui vous touchent
Et ceux qu’on ose à peine toucher
De peur qu’ils en disent trop
Même à demi-mot,
Parfois à contre temps
L’encre sauvage dicte sa loi en noir,
La blancheur éblouit
Sans commentaire,
Mais qui peut ignorer les nuances ?
Aux portes de l’intimité, l’encre vacille
Le papier accueille autant la lumière
Que l’ombre des sentiments
Et ces mots qui se plient dans l’amertume des pensées
Eux seuls savent qu’ils peuvent dire autre chose
Mais le saura-t-elle ?
Une feuille qui se remplit
et mon âme qui se vide
de cet amour qui m’a planté là, pétrifié
moi qui croyait qu’aimer c’était voler
Je lui écris ...
au bout de mes doigts une plume à l’encre noire
ou mon coeur aux larmes rouge sang
qui pleure sur un océan blanc ?
Noir, blanc, rouge
les couleurs de l’amour
un étendard porté avec fierté
avant une bataille perdue d’avance
Elle ne veut pas se battre avec moi
Nous ferions de si beaux ennemis
Et j’écris encore...
Je souille cette surface immaculée
de ma noirceur intérieure
je voudrais que mes mots
au fer rouge marque son derme
sa douce fleur de peau
Mais le sait-elle ?
Un bout de papier plié en quatre,
Quelle ironie,
tant de sentiments ainsi cloitrés !
Une lettre jetée vers un aller sans retour
avec l’envie d’ainsi se débarasser
d’un bout de sa chair laissé aux vautours
d’un bout de sa vie perdue de trop aimer
Ce n’est pas une déclaration,
plutôt un exorcisme
les pensées égarées, les souffrances endurées
ce temps passé à cet amour endiablé
à regret , il fallait que je l’enterre,
d’un coup d’épistolaire ...
Mais le savait-elle ?
La tulipe noire ....noire
Dim 07 Déc 2003, 10:56 par
la_tulipe_noire sur La première fois
On peut s'aimer , se désaimer
Aujourd’hui je voudrais être seul,
Prendre les petits chemins de terre,
Ne plus m’en faire, éviter le nécessaire,
M’égarer dans une vie austère, débuter une nouvelle ère
... et ne plus t’espérer
Aujourd’hui je voudrais me cacher,
Enfoncer ma tête dans l’oreiller,
Dans le noir me réfugier, de tes rayons me protéger,
Ne plus penser à t’oublier, oublier de te penser,
... et ne plus te voir
Aujourd’hui je voudrais être sourd,
Ne plus me battre avec ce coeur-tambour,
Apaiser ce souffle trop court, soulager mon pas si lourd,
N’attendre de l’amour que la fin du compte à rebours
... et ne plus t’entendre
Aujourd’hui je voudrais vivre mort,
Ne plus avoir envie de ton corps,
Conjurer ton mauvais sort, pour toujours changer le décor,
Ne plus faire le moindre effort pour avaler mes remords,
... et ne plus t’aimer
Prendre les petits chemins de terre,
Ne plus m’en faire, éviter le nécessaire,
M’égarer dans une vie austère, débuter une nouvelle ère
... et ne plus t’espérer
Aujourd’hui je voudrais me cacher,
Enfoncer ma tête dans l’oreiller,
Dans le noir me réfugier, de tes rayons me protéger,
Ne plus penser à t’oublier, oublier de te penser,
... et ne plus te voir
Aujourd’hui je voudrais être sourd,
Ne plus me battre avec ce coeur-tambour,
Apaiser ce souffle trop court, soulager mon pas si lourd,
N’attendre de l’amour que la fin du compte à rebours
... et ne plus t’entendre
Aujourd’hui je voudrais vivre mort,
Ne plus avoir envie de ton corps,
Conjurer ton mauvais sort, pour toujours changer le décor,
Ne plus faire le moindre effort pour avaler mes remords,
... et ne plus t’aimer
Ven 05 Déc 2003, 14:01 par
la_tulipe_noire sur La séduction
J’ai toujours été fidèle
houlala,
J’ai toujours été fidèle bien que la cause d’un adultère. Je m’en suis voulu. Faire a un autre ce qu’on ne voudrais pas qu’on nous fasse.
Imaginer qu’on pourrais avoir la place du cocu, l’avoir déjà tenu et se dire qu’on joue le rôle de celui par qui on a souffert.
C’est de bonne guerre, apparemment... Cet adultère a été pour moi le début de 3 années de couple, le cocu avait un pot trop cassé.
De toute facon, de l’extérieur c un adultère, de l’intérieur c’est une histoire d’amour. A moins que ce soit juste physique.
Mais quelles que soient les raisons d’une relation plus ou moins longue, il n’y a pas de hasard ou de destin. Les choses viennent d’un choix, d’un consentement, et meme si l’action parait instantanée elle peut etre stoppée a tout moment.
Si on ne demande pas l’avis au(à la) cocu(e), les adultérins (sortis tout droit du col de l’adultérus) ont toujours le choix.
De toute façon, quand on fait cocu quelqu’un, ce n’est pas au cocu qu’on pense, lui il existe pas, on le voit pas, on sait meme pas s’il existe en vrai.
En tout cas ya pas de honte a être cocu. Ya pas de fierté a faire cocu.
Puis je crois pas que ce soit une question d’intelligence, c’est une question de rencontre. La fidélité c’est aussi une forme d’intelligence.
L’intelligence consiste peut etre à gérer de facon à ne pas blesser.
J’ai toujours été fidèle bien que la cause d’un adultère. Je m’en suis voulu. Faire a un autre ce qu’on ne voudrais pas qu’on nous fasse.
Imaginer qu’on pourrais avoir la place du cocu, l’avoir déjà tenu et se dire qu’on joue le rôle de celui par qui on a souffert.
C’est de bonne guerre, apparemment... Cet adultère a été pour moi le début de 3 années de couple, le cocu avait un pot trop cassé.
De toute facon, de l’extérieur c un adultère, de l’intérieur c’est une histoire d’amour. A moins que ce soit juste physique.
Mais quelles que soient les raisons d’une relation plus ou moins longue, il n’y a pas de hasard ou de destin. Les choses viennent d’un choix, d’un consentement, et meme si l’action parait instantanée elle peut etre stoppée a tout moment.
Si on ne demande pas l’avis au(à la) cocu(e), les adultérins (sortis tout droit du col de l’adultérus) ont toujours le choix.
De toute façon, quand on fait cocu quelqu’un, ce n’est pas au cocu qu’on pense, lui il existe pas, on le voit pas, on sait meme pas s’il existe en vrai.
En tout cas ya pas de honte a être cocu. Ya pas de fierté a faire cocu.
Puis je crois pas que ce soit une question d’intelligence, c’est une question de rencontre. La fidélité c’est aussi une forme d’intelligence.
L’intelligence consiste peut etre à gérer de facon à ne pas blesser.
Dim 16 Nov 2003, 01:00 par
Calimero,Steph & Cie sur Citations
des mots pour séduire... peut-être...
...ébauche de doux mots....
Je voudrais être dans l’air que tu respires, dans l’eau qui te caresse, dans les fibres des tissus qui t’habillent.
Je voudrais être dans les aliments qui caressent tes lèvres et ta langue.
Je voudrais être un peu de ta peau, que tu aies envie alors de toucher des parcelles de toi et avoir la sensation que c’est ma peau qui effleure la tienne.
Je voudrais être ton téléphone, te détournant de ton correspondant, glisser à ton oreille un fragment de ma respiration pour te faire ressentir mon plaisir d’être aussi proche de toi.
Je voudrais être ta montre pour que tes yeux pétillent lorsque tu la regardes dans ta course perpétuelle contre le temps.
Je voudrais être un peu de tes draps pouvoir caresser ta peau toute la nuit, t’envelopper, t’emmener et t’accompagner vers de doux rêves.
Je voudrais être sur le rebord de ton verre lorsque tu y poses tes lèvres pour boire.
Je voudrais être un peu dans toutes ces choses qui font ta vie, que le sourire naisse sur tes lèvres en songeant que peut être je suis là.
Que l’idée t’envahisse et te devienne alors peut être obsédante de n’être qu’une idée.
Que tu aies alors envie encore de moi de chair et d’os, de regards, de sourires, de caresses, de baisers, de mots glissés à ton oreille.
Que ton corps et ton esprit se révoltent contre ta raison et te rappellent les plaisirs que la folie nous a donné à vivre. ….
Je voudrais être dans l’air que tu respires, dans l’eau qui te caresse, dans les fibres des tissus qui t’habillent.
Je voudrais être dans les aliments qui caressent tes lèvres et ta langue.
Je voudrais être un peu de ta peau, que tu aies envie alors de toucher des parcelles de toi et avoir la sensation que c’est ma peau qui effleure la tienne.
Je voudrais être ton téléphone, te détournant de ton correspondant, glisser à ton oreille un fragment de ma respiration pour te faire ressentir mon plaisir d’être aussi proche de toi.
Je voudrais être ta montre pour que tes yeux pétillent lorsque tu la regardes dans ta course perpétuelle contre le temps.
Je voudrais être un peu de tes draps pouvoir caresser ta peau toute la nuit, t’envelopper, t’emmener et t’accompagner vers de doux rêves.
Je voudrais être sur le rebord de ton verre lorsque tu y poses tes lèvres pour boire.
Je voudrais être un peu dans toutes ces choses qui font ta vie, que le sourire naisse sur tes lèvres en songeant que peut être je suis là.
Que l’idée t’envahisse et te devienne alors peut être obsédante de n’être qu’une idée.
Que tu aies alors envie encore de moi de chair et d’os, de regards, de sourires, de caresses, de baisers, de mots glissés à ton oreille.
Que ton corps et ton esprit se révoltent contre ta raison et te rappellent les plaisirs que la folie nous a donné à vivre. ….
Sam 15 Nov 2003, 15:37 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
Ecrire sur voudrais
à Christine et Marie ...., in "Aurore" de Jean Paul Enthoven (grasset), La première fois (et la dernière) ...., On peut s'aimer , se désaimer, J’ai toujours été fidèle, des mots pour séduire... peut-être...,Il y a 171 textes utilisant le mot voudrais. Ces pages présentent les textes correspondant.
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- aimer
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- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
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- tête
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