Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur virgule
Tout correspond
Bonjour,
Etant perdu face aux femmes, je viens de lire votre texte.
Tout correspond à la virgule près, à ce que je pense et à ce que je ressent.
Votre texte rentre comme en résonance avec mon esprit.
J’étais persuadé que c’était le texte d’un homme.
Votre "PS je suis une femme" m’a scotché.
En effet je comprend mieux pourquoi tant de femmes sont seules à 40 ans et plus.
Elles veulent nous forger à leur idéal.
Elles se focalisent sur les 10% (ce qu’on a dit ou fait) qui ne leur convient pas, les 90 % restant comme actes ou paroles parfaits "Ca compte pas, c’est normal".
Il y a TOUJOURS quelque chose qui ne va pas, JAMAIS CONTENTES.
Elles nous embrouillent le cerveau avec leurs diatribes d’intellectuelles.
Bref, ce stress permanent de voir leur Misses Hyde surgir d’un instant à l’autre nous VIIIIDE COMPLETEMENT.
Je comprend maintenant pourquoi tant d’hommes se réfugient dans l’alcool, le sport, les jeux, le travail ou d’autre femmes plus aimantes.
Question du jour :
Est-ce l’inconscient collectif féminin d’avoir été rabaissées par les hommes pendant plusieurs siècles qu’elles nous font payer maintenant ?
Etant perdu face aux femmes, je viens de lire votre texte.
Tout correspond à la virgule près, à ce que je pense et à ce que je ressent.
Votre texte rentre comme en résonance avec mon esprit.
J’étais persuadé que c’était le texte d’un homme.
Votre "PS je suis une femme" m’a scotché.
En effet je comprend mieux pourquoi tant de femmes sont seules à 40 ans et plus.
Elles veulent nous forger à leur idéal.
Elles se focalisent sur les 10% (ce qu’on a dit ou fait) qui ne leur convient pas, les 90 % restant comme actes ou paroles parfaits "Ca compte pas, c’est normal".
Il y a TOUJOURS quelque chose qui ne va pas, JAMAIS CONTENTES.
Elles nous embrouillent le cerveau avec leurs diatribes d’intellectuelles.
Bref, ce stress permanent de voir leur Misses Hyde surgir d’un instant à l’autre nous VIIIIDE COMPLETEMENT.
Je comprend maintenant pourquoi tant d’hommes se réfugient dans l’alcool, le sport, les jeux, le travail ou d’autre femmes plus aimantes.
Question du jour :
Est-ce l’inconscient collectif féminin d’avoir été rabaissées par les hommes pendant plusieurs siècles qu’elles nous font payer maintenant ?
Sam 10 Oct 2015, 21:42 par
PhB sur La vie à deux
A chaque virgule
A l’ombre de chaque mot je me posais un peu plus
A l’ordre de chaque virgule je m’opposais un peu plus
J’avais mis sur la feuille ce qu’il restait de l’autre
Que je n’avais vomi durant tout ce temps
Celui qui attendait dans l’encre patiemment,
Qui me faisait du mal, pas sciemment.
J’entrais en majuscule dans l’instant ridicule
Où toutes ces minuscules reflétaient le recul
De acharnement à cacher l’évidence de l’être.
Du mal être. De mes lettres.
Par pile et malhabile je les avais laissées encartonnées
Au gré de mes plumes d’un soir sous la houlette obscure
D’un règlement de compte avec le calendrier.
Je rompais le silence de mes propres questions
Assidûment devant cette évidence
Assis dûment derrière ma pointe noire
Ainsi dû ment sur la feuille blanche.
Mon cœur y gisait là. Décrit plus qu’il ne faut.
Sous toutes les coutures de mes tournures
S’embrasant par endroit, s’étiolant par moment
Selon l’heure de la nuit, le soleil d’un automne
Où la froideur d’un jour.
L’abstrait abscons y côtoyait la clairvoyance
Les certitudes se nattaient dans les doutes
L’échevelé du style y bordait le posé
Moi, résumé ainsi dans sa désinvolture.
Illisible à l’œil nu, la plainte du sang
Celui qui coule en étranger au fond de moi.
L’impression fertile d’avoir des veines en déveines.
Et cette date qui martèle mes tempes
intemporellement, un temps pour elle, et tant pour moi
Combien de fois barrée de ma verve farouche
Combien de fois embuée à la fin d’une ligne.
La poésie de ma peau hésite me disais-je
Et la musique que moi seul fais-je
S’éteint lentement dans la discordance des notes
Jeux des croches. Je me rattrape.
A chaque virgule, expiatrice.
JIME
A l’ordre de chaque virgule je m’opposais un peu plus
J’avais mis sur la feuille ce qu’il restait de l’autre
Que je n’avais vomi durant tout ce temps
Celui qui attendait dans l’encre patiemment,
Qui me faisait du mal, pas sciemment.
J’entrais en majuscule dans l’instant ridicule
Où toutes ces minuscules reflétaient le recul
De acharnement à cacher l’évidence de l’être.
Du mal être. De mes lettres.
Par pile et malhabile je les avais laissées encartonnées
Au gré de mes plumes d’un soir sous la houlette obscure
D’un règlement de compte avec le calendrier.
Je rompais le silence de mes propres questions
Assidûment devant cette évidence
Assis dûment derrière ma pointe noire
Ainsi dû ment sur la feuille blanche.
Mon cœur y gisait là. Décrit plus qu’il ne faut.
Sous toutes les coutures de mes tournures
S’embrasant par endroit, s’étiolant par moment
Selon l’heure de la nuit, le soleil d’un automne
Où la froideur d’un jour.
L’abstrait abscons y côtoyait la clairvoyance
Les certitudes se nattaient dans les doutes
L’échevelé du style y bordait le posé
Moi, résumé ainsi dans sa désinvolture.
Illisible à l’œil nu, la plainte du sang
Celui qui coule en étranger au fond de moi.
L’impression fertile d’avoir des veines en déveines.
Et cette date qui martèle mes tempes
intemporellement, un temps pour elle, et tant pour moi
Combien de fois barrée de ma verve farouche
Combien de fois embuée à la fin d’une ligne.
La poésie de ma peau hésite me disais-je
Et la musique que moi seul fais-je
S’éteint lentement dans la discordance des notes
Jeux des croches. Je me rattrape.
A chaque virgule, expiatrice.
JIME
Jeu 30 Oct 2014, 16:02 par
Jime sur Mille choses
La danseuse aux pies nus( duo caressedesyeux/inconnu
La danseuse aux pieds nus
Une douce musique résonne songeuse
Rebondissant sur les murs ensommeillés
Lentement, par gestes précis et calculés,
Les mouvements s’ajustent à la danseuse
Elle va, vient, virevolte, pirouette, bondit
S’élance d’une belle aisance singulière
Sur les accords d’une symphonie légère
Tel un oiseau s’envolant du nid
Sa chorégraphie est souple et aérienne
Ses pieds sont nus, tel un vibrant archet
Jouant, fringants, sur le bois blanc du parquet,
La partition d’une magicienne
Une dernière note et la musique se tait
La ballerine s’arrête en spirale
Le vent qui souffle en rafale
Inonde la pièce de son air frais
L’ardeur s’estompe et la sueur se colle
Elle ressent soudain le froid d’un frisson
Le plancher, tantôt chaud, est devenu glaçon
La froidure envahit la classe d’école
Elle frotte un pied contre l’autre pied
Les masse fort, pour que le sang circule
Un mèche tombe formant une virgule
Sur son front aux traits tirés
Puis enfile vite des grands bas de laine
Pose une mantille cachemire et soie
Ce voile lui provoque un grand émoi
Là, sur ses épaules nues, il rappelle sa peine
Elle éternue, bâille, se frotte les yeux
Elle est fatiguée sans doute
Un mug de café chaud pour la route
Viendra-t-il, aujourd’hui, son amoureux ?
Au loin, un carillon sonne l’heure
Elle se souvient de ses baisers
Viendra-t-il pour l’embrasser ?
Souvenirs d’instants de bonheur
Son regard parcourt la pièce vide
Ses pleurs s’arrêtent en quinte de toux
Personne pour susurrer des mots doux
À la danseuse au cœur livide
Une douce musique résonne songeuse
Rebondissant sur les murs ensommeillés
Lentement, par gestes précis et calculés,
Les mouvements s’ajustent à la danseuse
Elle va, vient, virevolte, pirouette, bondit
S’élance d’une belle aisance singulière
Sur les accords d’une symphonie légère
Tel un oiseau s’envolant du nid
Sa chorégraphie est souple et aérienne
Ses pieds sont nus, tel un vibrant archet
Jouant, fringants, sur le bois blanc du parquet,
La partition d’une magicienne
Une dernière note et la musique se tait
La ballerine s’arrête en spirale
Le vent qui souffle en rafale
Inonde la pièce de son air frais
L’ardeur s’estompe et la sueur se colle
Elle ressent soudain le froid d’un frisson
Le plancher, tantôt chaud, est devenu glaçon
La froidure envahit la classe d’école
Elle frotte un pied contre l’autre pied
Les masse fort, pour que le sang circule
Un mèche tombe formant une virgule
Sur son front aux traits tirés
Puis enfile vite des grands bas de laine
Pose une mantille cachemire et soie
Ce voile lui provoque un grand émoi
Là, sur ses épaules nues, il rappelle sa peine
Elle éternue, bâille, se frotte les yeux
Elle est fatiguée sans doute
Un mug de café chaud pour la route
Viendra-t-il, aujourd’hui, son amoureux ?
Au loin, un carillon sonne l’heure
Elle se souvient de ses baisers
Viendra-t-il pour l’embrasser ?
Souvenirs d’instants de bonheur
Son regard parcourt la pièce vide
Ses pleurs s’arrêtent en quinte de toux
Personne pour susurrer des mots doux
À la danseuse au cœur livide
Mer 29 Fév 2012, 14:39 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Avis Mondial
Pour vous protéger :
Parce que je ne mesure qu’ un mètre soixante trois virgule cinq centimètres et que l’ agresseur de cette mineure en fait un mètre quatre vingt quinze ( il ne m’a pas fait peur; j’ ai le droit de tuer en légitime défense et il le sait parfaitement )
Description :
Il ne ressemble à personne puisque sa mère est dans les îles et prie de ne jamais le voir revenir ( vous imaginez le tableau???)
Pour moi, sur le plan médical, il est cuit. ( à 24 ans, être déjà victime d’ une pancréatite, c’ est que l’ on se suicide, ce qui est interdit, même en prison! )
Qu’ on soit un homme, ou une femme, de n’ importe quel âge :
Si quelqu’ un vous tend la main et pue l’ alcool à plein nez, méfiez vous car il est déjà dans ses mauvaises vibes, même s’ il a l’ air gentil.
Pour ma part, cette nuit là, j’ étais au thé Indien, cigarettes taxées, et bossais à la maison à gagner de la tune en vendant sur Ebay.
Parce que je ne mesure qu’ un mètre soixante trois virgule cinq centimètres et que l’ agresseur de cette mineure en fait un mètre quatre vingt quinze ( il ne m’a pas fait peur; j’ ai le droit de tuer en légitime défense et il le sait parfaitement )
Description :
Il ne ressemble à personne puisque sa mère est dans les îles et prie de ne jamais le voir revenir ( vous imaginez le tableau???)
Pour moi, sur le plan médical, il est cuit. ( à 24 ans, être déjà victime d’ une pancréatite, c’ est que l’ on se suicide, ce qui est interdit, même en prison! )
Qu’ on soit un homme, ou une femme, de n’ importe quel âge :
Si quelqu’ un vous tend la main et pue l’ alcool à plein nez, méfiez vous car il est déjà dans ses mauvaises vibes, même s’ il a l’ air gentil.
Pour ma part, cette nuit là, j’ étais au thé Indien, cigarettes taxées, et bossais à la maison à gagner de la tune en vendant sur Ebay.
Dim 08 Oct 2006, 13:07 par
Chogokinette sur Un monde parfait
cette nuit....
C’est une belle nuit pour écrire...
pas de pleine lune...et mon humeur qui va avec,
c’était il y a déjà...
cette nuit-là tu dormais ma brune...moi je veillais,
je posais des mots douloureux...
mes maux d’avant toi
que je croyais inévitables et récurents,
que je projetais sur nous deux...
un échec programmé en quelque sorte...
je me passais en boucle le film:
"la lune se couche, l’ange s’envole..."
c’était un film en noir et blanc...
je compose en couleurs maintenant.
C’est une belle nuit pour écrire...
pas de pleine lune...un simple croissant collé à son ciel,
le même pour toi, pour moi,
un bout pour chacune...
toi, là-bas...moi, ici...
faire le chemin, funambuler sur le fil...
ne pas perdre l’équilibre, aller doucement...
tu es face à moi, tes yeux ne me lâchent pas,
c’est un passage à gué...
tu pérégrines et tu me souris,
c’est un coup de lune...
tu es dans la place, en pays conquis,
c’est un souffle de vie...
le premier qui s’échappe de moi
depuis si longtemps,
un souffle long et profond...
un soulagement extrême,
un noeud que tu démêles patiemment…
C’est une belle nuit, une belle nuit pour te dire...
pas de pleine lune...rien qu’une parenthèse,
une virgule accrochée,
un arc de cercle sur fond marine...
c’est moi qui te regarde...
je suis bien...tu es si calme ma brune...
je suis bien...tu es là, à portée de moi...
belle sous mes yeux, douce dans mon coeur...
amour dans ma vie....
pas de pleine lune...et mon humeur qui va avec,
c’était il y a déjà...
cette nuit-là tu dormais ma brune...moi je veillais,
je posais des mots douloureux...
mes maux d’avant toi
que je croyais inévitables et récurents,
que je projetais sur nous deux...
un échec programmé en quelque sorte...
je me passais en boucle le film:
"la lune se couche, l’ange s’envole..."
c’était un film en noir et blanc...
je compose en couleurs maintenant.
C’est une belle nuit pour écrire...
pas de pleine lune...un simple croissant collé à son ciel,
le même pour toi, pour moi,
un bout pour chacune...
toi, là-bas...moi, ici...
faire le chemin, funambuler sur le fil...
ne pas perdre l’équilibre, aller doucement...
tu es face à moi, tes yeux ne me lâchent pas,
c’est un passage à gué...
tu pérégrines et tu me souris,
c’est un coup de lune...
tu es dans la place, en pays conquis,
c’est un souffle de vie...
le premier qui s’échappe de moi
depuis si longtemps,
un souffle long et profond...
un soulagement extrême,
un noeud que tu démêles patiemment…
C’est une belle nuit, une belle nuit pour te dire...
pas de pleine lune...rien qu’une parenthèse,
une virgule accrochée,
un arc de cercle sur fond marine...
c’est moi qui te regarde...
je suis bien...tu es si calme ma brune...
je suis bien...tu es là, à portée de moi...
belle sous mes yeux, douce dans mon coeur...
amour dans ma vie....
Lun 14 Nov 2005, 17:49 par
danslalune sur La vie à deux
Le baiser selon Mistinguett
Un baiser peut être une virgule, un point d’interrogation ou d’exclamation. Voici les points essentiels de la ponctuation que toute femme devrait connaître.
Mistinguett
Mistinguett
Ven 21 Jan 2005, 15:13 par
PetitPrince sur Citations
Ecrire sur virgule
Tout correspond, A chaque virgule, La danseuse aux pies nus( duo caressedesyeux/inconnu, Avis Mondial, cette nuit...., Le baiser selon Mistinguett,Il y a 6 textes utilisant le mot virgule. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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