Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur totalement - Page 4 sur 4
Retour au bureau
Si je la vois le matin, c’est irrémédiable: la journée est foutue.
C’est idiot, je pourrais faire semblant, utiliser un ton social impersonnel, lui demander comment ça va sans en avoir rien à faire, et tout ça et tout ça. Mais non ça ne passe pas.
Je lui dit bonjour et son éclat me brûle, mon cœur s’emballe et il faut que je donne le change, si possible en essayant de faire progresser les choses où d’en prendre la mesure. Je suis à peine capable de lui dire bonjour…
Ce sentiment d’échec me mine, non pas parce que je ne gagne pas, mais parce que je suis peut-être en train de perdre. Je me dis qu’au moins je fais passer un message bien malgré moi. Ma gène ne doit pas être invisible surtout aux yeux d’une femme, qui, à mon sens, doit savoir repérer ça. C’est amusant, je me doutais qu’après cette soirée, où finalement on s’est un peu rencontré, nos bonjours seraient emprunts de cette même gène qui se dégageait quand on se rencontrait dans les couloirs. Comme j’aurais préféré avoir tort. Comme j’aurais préféré. Je me dis que si à ce stade, il fallait se dévoiler, ce serait quasi impossible. Trop violent. Il manque cette multitude de petits repères qui permettent de prendre la mesure de l’autre, de savoir où il en est dans ses émotions et de faire ou dire ce qu’il faut pour rester dans son sillage. Je veux quand même croire qu’il n’est nul besoin de petits repères pour savoir que chacun de nous à localisé l’autre sur son petit radar affectif. Je ne dis pas ici que nous convergeons vers une hypothétique liaison, mais plutôt que je sais qu’elle sait. Ce que je ne sais pas, c’est si elle veut.
Et c’est ça qui m’empêche de dormir et c’est ça qui est bon. Ce doute, que finalement je ne veux pas lever violemment que je veux supposer stupide comme tous ces doutes d’amoureux, ce doute je veux que nous le dissipions ensemble. Que main dans la main, nous nous attelions à cette tâche, de la façon la plus belle qu’il soit. En somme, c’est mon impatience qui me rend malheureux, pas elle. Sera-t-elle s’en servir, mais surtout voudra-t-elle le voir ? Fasse que si elle le veuille, elle comprenne les milliards d’erreurs que je vais faire. Et pour comprendre il faut connaître. Mais pourquoi est ce qu’on ne prend pas des jours de vacances qu’on se concocte un petit programme en tout bien tout honneur. Juste pour se connaître. Ca serait doux. Si ça colle pas on s’en rendrait compte doucement et ça ne ferait pas mal. Et si ça colle, on éclairerait tout doucement les zones d’ombre à la flamme de notre désir.
Ca, c’est un rêve. La réalité est toute autre. Se connaître sera possible par le biais de rencontres informellements organisées. Ce genre de soirée ou on vient pour un motif qui est totalement différent de celui qui nous anime. Un motif derrière lequel on peut se cacher, se protéger. A ce moment il faut peut-être utiliser un vocabulaire ambigu, au milieu de gens dont on veut cacher notre réelle motivation. Quel paradoxe ! Etre obligé de cacher ce que l’on voudrait voir éclater au grand jour. Et vu comment je suis volubile quand je l’ai devant moi, c’est pas gagné du tout. Je me suis rendu compte que mes extrapolations me menaient sur des sentiers hasardeux, où l’illusion se jouait de moi, me prenait dans ses bras, pour me rendre à cette réalité trop froide ensuite. Alors je ne veux plus espérer, ça fait mal. Je veux juste rêver. Juste imaginer ce que pourrait générer la satisfaction du besoin qui me ronge.
Si auparavant mes erreurs me la faisaient percevoir comme promise, mon recalage me la fait voir comme possible.
Et mon cœur s’emballe de la même façon.
C’est idiot, je pourrais faire semblant, utiliser un ton social impersonnel, lui demander comment ça va sans en avoir rien à faire, et tout ça et tout ça. Mais non ça ne passe pas.
Je lui dit bonjour et son éclat me brûle, mon cœur s’emballe et il faut que je donne le change, si possible en essayant de faire progresser les choses où d’en prendre la mesure. Je suis à peine capable de lui dire bonjour…
Ce sentiment d’échec me mine, non pas parce que je ne gagne pas, mais parce que je suis peut-être en train de perdre. Je me dis qu’au moins je fais passer un message bien malgré moi. Ma gène ne doit pas être invisible surtout aux yeux d’une femme, qui, à mon sens, doit savoir repérer ça. C’est amusant, je me doutais qu’après cette soirée, où finalement on s’est un peu rencontré, nos bonjours seraient emprunts de cette même gène qui se dégageait quand on se rencontrait dans les couloirs. Comme j’aurais préféré avoir tort. Comme j’aurais préféré. Je me dis que si à ce stade, il fallait se dévoiler, ce serait quasi impossible. Trop violent. Il manque cette multitude de petits repères qui permettent de prendre la mesure de l’autre, de savoir où il en est dans ses émotions et de faire ou dire ce qu’il faut pour rester dans son sillage. Je veux quand même croire qu’il n’est nul besoin de petits repères pour savoir que chacun de nous à localisé l’autre sur son petit radar affectif. Je ne dis pas ici que nous convergeons vers une hypothétique liaison, mais plutôt que je sais qu’elle sait. Ce que je ne sais pas, c’est si elle veut.
Et c’est ça qui m’empêche de dormir et c’est ça qui est bon. Ce doute, que finalement je ne veux pas lever violemment que je veux supposer stupide comme tous ces doutes d’amoureux, ce doute je veux que nous le dissipions ensemble. Que main dans la main, nous nous attelions à cette tâche, de la façon la plus belle qu’il soit. En somme, c’est mon impatience qui me rend malheureux, pas elle. Sera-t-elle s’en servir, mais surtout voudra-t-elle le voir ? Fasse que si elle le veuille, elle comprenne les milliards d’erreurs que je vais faire. Et pour comprendre il faut connaître. Mais pourquoi est ce qu’on ne prend pas des jours de vacances qu’on se concocte un petit programme en tout bien tout honneur. Juste pour se connaître. Ca serait doux. Si ça colle pas on s’en rendrait compte doucement et ça ne ferait pas mal. Et si ça colle, on éclairerait tout doucement les zones d’ombre à la flamme de notre désir.
Ca, c’est un rêve. La réalité est toute autre. Se connaître sera possible par le biais de rencontres informellements organisées. Ce genre de soirée ou on vient pour un motif qui est totalement différent de celui qui nous anime. Un motif derrière lequel on peut se cacher, se protéger. A ce moment il faut peut-être utiliser un vocabulaire ambigu, au milieu de gens dont on veut cacher notre réelle motivation. Quel paradoxe ! Etre obligé de cacher ce que l’on voudrait voir éclater au grand jour. Et vu comment je suis volubile quand je l’ai devant moi, c’est pas gagné du tout. Je me suis rendu compte que mes extrapolations me menaient sur des sentiers hasardeux, où l’illusion se jouait de moi, me prenait dans ses bras, pour me rendre à cette réalité trop froide ensuite. Alors je ne veux plus espérer, ça fait mal. Je veux juste rêver. Juste imaginer ce que pourrait générer la satisfaction du besoin qui me ronge.
Si auparavant mes erreurs me la faisaient percevoir comme promise, mon recalage me la fait voir comme possible.
Et mon cœur s’emballe de la même façon.
Mer 04 Fév 2004, 10:57 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
De quoi donc?
Grande question qui ne pourra être résolue par l’intervention que d’une seule et unique personne, mais qui peut effectivement ouvrir un débat avec l’avis que chacun, chacune, pourra donner sur le sujet.
Ceci ne sera certes pas plus une démonstration quant à une réponse certaine à cette question, trop de critères étant à prendre en considération.
Que puis je en dire, étant pour ma part, une fi-fille, depuis ma naissance hé oui!!!!
Suivant diverses circonstances, ce contact peut se faire, mais de manières différentes?
Cette prise de contact revêtra une forme totalement différente suivant qu’elle aura lieu :
Les concernés adapteront, immanquablement, leur attitude suivant l’un ou l’autre des cas.
Je prendrais pour exemple, en tout premier lieu, un contact sur tchate.
Première chose à faire Messieurs, afin de vous rendre compte, inscrivez vous sous un pseudo FEMININ, vous comprendrez dès lors beaucoup de choses.
Ensuite, par pitié, faites preuve d’imagination, votre pseudo, cassez vous un peu la tête, faite dans l’originalité, la recherche, le commun déplait fortement.
Pour ma part, j’ai TRES RAREMENT pris des contacts directs auprès des pseudos en liste sur les tchates, en tant que "nana", pas le temps tant on est submergées de messages. Mais il m’est arrivé de prendre le temps de visualiser la liste des connectés. Toujours s’en sont suivi des prises de contact sur des pseudos TRES HORS DU COMMUN (clin d’oeil à qui sera se souvenir.....). De l’accroche des mots sont nés, parfois, des dialogues très interressants, mais surtout pas du genre :
Messieurs, faites preuve d’originalité, d’immagination, d’inattendu. Etonnez, surprenez, et peut être les choses suivront elles alors un cours plus interessant.
Ceci ne sera certes pas plus une démonstration quant à une réponse certaine à cette question, trop de critères étant à prendre en considération.
Que puis je en dire, étant pour ma part, une fi-fille, depuis ma naissance hé oui!!!!
- • Qui ouvre le contact en premier, tout d’abord ?
• Comment le contact se fait il ?
• Dans quelles circonstances le contact a-t-il lieu?
Suivant diverses circonstances, ce contact peut se faire, mais de manières différentes?
Cette prise de contact revêtra une forme totalement différente suivant qu’elle aura lieu :
- • en boîte de nuit
• sur un tchate
• lors d’une soirée chez des amis
Les concernés adapteront, immanquablement, leur attitude suivant l’un ou l’autre des cas.
Je prendrais pour exemple, en tout premier lieu, un contact sur tchate.
Première chose à faire Messieurs, afin de vous rendre compte, inscrivez vous sous un pseudo FEMININ, vous comprendrez dès lors beaucoup de choses.
- • Tout d’abord la lassitude des messages que l’on peut dire "BATEAU"
• le "zapping" incontournable de ces dames
• quels sont les premiers mots à ne pas avoir
Ensuite, par pitié, faites preuve d’imagination, votre pseudo, cassez vous un peu la tête, faite dans l’originalité, la recherche, le commun déplait fortement.
Pour ma part, j’ai TRES RAREMENT pris des contacts directs auprès des pseudos en liste sur les tchates, en tant que "nana", pas le temps tant on est submergées de messages. Mais il m’est arrivé de prendre le temps de visualiser la liste des connectés. Toujours s’en sont suivi des prises de contact sur des pseudos TRES HORS DU COMMUN (clin d’oeil à qui sera se souvenir.....). De l’accroche des mots sont nés, parfois, des dialogues très interressants, mais surtout pas du genre :
- • "tu fais quoi dans la vie?"
• "t’es mariée?"
• "ASV"
• "un scenario?"
• "tu baises?"
• "etc...?"
Messieurs, faites preuve d’originalité, d’immagination, d’inattendu. Etonnez, surprenez, et peut être les choses suivront elles alors un cours plus interessant.
Jeu 15 Jan 2004, 01:41 par
Ri1kedesBêtises sur Le grimoire d'amour
à Christine et Marie...suite
Dans les semaines qui ont suivi, je n’ai plus pensé qu’à lui, j’aurais voulu le voir tous les jours (ce qu’on a fait d’ailleurs) et...euh... même pas de crac-crac (ouiiiiiiii, j’ai osé ne pas faire ça aussi !!!!), j’étais bien trop intimidée et je voulais que ça se fasse au bon moment au bon endroit. Surtout ne rien brusquer, profiter à fond de la découverte de ce sentiment totalement inconnu qu’est... l’amour ??
Jusqu’à ce fameux soir, une soirée entre amis, il est tard, il me propose de dormir chez lui pour "gagner du temps", juste le temps de remettre mon coeur dans ma poitrine et j’arrive à peine à souffler un "voui, si tu veux" d’un air que j’espère désabusé.
Je vous passerai les détails, mais c’est ce soir-là que Marie a été conçue et tout s’est enchaîné très vite. Nous étions bien évidemment sortis "couverts" (quoique bien éméchés) et lorsque je me suis mise à avoir mal à la poitrine et à trouver mon corps bizarre, j’ai ricané à la face de mes amies qui étaient convaincues que j’étais enceinte (qui ça, MOAAAA ? Impossible !) Un petit test plus tard (qui m’a valu une chute tant la surprise était grande), et un coup de fil à ma moman (bah oui, même au milieu de la nuit, elle était la première personne à devoir l’apprendre, non ?!), et les questions se sont mises à déferler... comment lui dire ? que faire ? Je ne suis pas programmée pour être une mère, moi !!!
Jusqu’à ce fameux soir, une soirée entre amis, il est tard, il me propose de dormir chez lui pour "gagner du temps", juste le temps de remettre mon coeur dans ma poitrine et j’arrive à peine à souffler un "voui, si tu veux" d’un air que j’espère désabusé.
Je vous passerai les détails, mais c’est ce soir-là que Marie a été conçue et tout s’est enchaîné très vite. Nous étions bien évidemment sortis "couverts" (quoique bien éméchés) et lorsque je me suis mise à avoir mal à la poitrine et à trouver mon corps bizarre, j’ai ricané à la face de mes amies qui étaient convaincues que j’étais enceinte (qui ça, MOAAAA ? Impossible !) Un petit test plus tard (qui m’a valu une chute tant la surprise était grande), et un coup de fil à ma moman (bah oui, même au milieu de la nuit, elle était la première personne à devoir l’apprendre, non ?!), et les questions se sont mises à déferler... comment lui dire ? que faire ? Je ne suis pas programmée pour être une mère, moi !!!
Mar 13 Jan 2004, 14:15 par
la_tulipe_noire sur Amour internet
Inversion
Aujourd’hui pour la première fois, j’ai testé ma profession de l’autre côté.... Faut que je vous raconte!
6h30... l’infernale sonnerie de mon réveil retentit me tirant inopinément (non, non, ce n’est pas un gros mot! ) d’un rêve tendre et légèrement ... .... Après un passage prolongé et indispensable à la salle de bain (environ 18minutes montre en main pour effacer les traces de ma nuit agitée et surtout des marques d’oreillers ensoleillant mes joues ) je me hâtai, car je suis une éternelle stressée du retard quoique je sois perpétuellement en avance ( comprendra qui voudra ) d’enfourcher mes chaussures spéciales marche active ( 84 euros au prisunic du coin ) pour gagner mon lieu de travail...
Surprise , et non des moindres ... j’ai 1h d’avance!! je me suis trompée dans l’heure, ça ne commençait qu’à 9h et non 8h ... fichtre! ce n’est point ce petit contre temps qui va me gâcher la journée me dis-je!! Que nenni... la machine à café allait très bien s’en charger!
9h tapante... mon rôle d’élève allait commencer, car pour ceux qui ne le sauraient pas.. et je crois que c’est le cas de vous tous je suis prof ... et aujourd’hui, c’est journée de formation! Je m’installai donc à la place de l’élève par excellence ... près du radiateur ! Mon dieu! qu’on y est bien! Il fait chaud, c’est confortable, légèrement ombré, on y entend à peine les bruits des énergumènes bien décidés à améliorer nos connaissances ... L’avant midi se passe, les feuilles volettent dans le parc voisin, un écureuil fait ses provisions pour l’hiver, les passants emmitouflés dans leur pardessus luttent contre le vent, et moi je rêvasse...
L’après midi se déroule de même, perturbée par quelques interrogations totalement incompréhensibles des professeurs : "Mademoiselle? voulez vous nous expliquer votre point de vue sur les évaluations certificatives des compétences transversales dans l’enseignement de votre discipline?" me demande gentiment le monsieur " Non" réponse nette précise, franche, ne demandant aucun commentaire inutile ...
Aaaaaaaaaaaaaaah qu’il est bon d’être élève.. ce n’était pas la première fois pour moi, mais en tout cas cela faisait bien longtemps que cela ne m’était plus arrivé ...
Demain au programme de la leçon : comment ke ça fait quand on est prof ... j’inverse les rôles, préparez vous chères petites têtes blondes.. surtout toi petit Benjamin... le radiateur est déjà réservé!
La marquise ... cancre qui s’ignorait!
6h30... l’infernale sonnerie de mon réveil retentit me tirant inopinément (non, non, ce n’est pas un gros mot! ) d’un rêve tendre et légèrement ... .... Après un passage prolongé et indispensable à la salle de bain (environ 18minutes montre en main pour effacer les traces de ma nuit agitée et surtout des marques d’oreillers ensoleillant mes joues ) je me hâtai, car je suis une éternelle stressée du retard quoique je sois perpétuellement en avance ( comprendra qui voudra ) d’enfourcher mes chaussures spéciales marche active ( 84 euros au prisunic du coin ) pour gagner mon lieu de travail...
Surprise , et non des moindres ... j’ai 1h d’avance!! je me suis trompée dans l’heure, ça ne commençait qu’à 9h et non 8h ... fichtre! ce n’est point ce petit contre temps qui va me gâcher la journée me dis-je!! Que nenni... la machine à café allait très bien s’en charger!
9h tapante... mon rôle d’élève allait commencer, car pour ceux qui ne le sauraient pas.. et je crois que c’est le cas de vous tous je suis prof ... et aujourd’hui, c’est journée de formation! Je m’installai donc à la place de l’élève par excellence ... près du radiateur ! Mon dieu! qu’on y est bien! Il fait chaud, c’est confortable, légèrement ombré, on y entend à peine les bruits des énergumènes bien décidés à améliorer nos connaissances ... L’avant midi se passe, les feuilles volettent dans le parc voisin, un écureuil fait ses provisions pour l’hiver, les passants emmitouflés dans leur pardessus luttent contre le vent, et moi je rêvasse...
L’après midi se déroule de même, perturbée par quelques interrogations totalement incompréhensibles des professeurs : "Mademoiselle? voulez vous nous expliquer votre point de vue sur les évaluations certificatives des compétences transversales dans l’enseignement de votre discipline?" me demande gentiment le monsieur " Non" réponse nette précise, franche, ne demandant aucun commentaire inutile ...
Aaaaaaaaaaaaaaah qu’il est bon d’être élève.. ce n’était pas la première fois pour moi, mais en tout cas cela faisait bien longtemps que cela ne m’était plus arrivé ...
Demain au programme de la leçon : comment ke ça fait quand on est prof ... j’inverse les rôles, préparez vous chères petites têtes blondes.. surtout toi petit Benjamin... le radiateur est déjà réservé!
La marquise ... cancre qui s’ignorait!
Lun 17 Nov 2003, 20:28 par
la marquise de sade sur La première fois
Ecrire sur totalement
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