Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tienne - Page 4 sur 5
âmes...
Je viens de la rencontrer,
l’âme qui fait écho à la mienne..
elles se sont trouvées
sans qu’elles aient eu besoin de se dire,
cela ne s’explique pas…
au début, elles ont batifolé, nos deux âmes,
tellement heureuses de s’être reconnues…
elles se sont écrits des mots forts…trop…
des mots qui les emmenaient sur une voie
qu’elles n’étaient pas prêtes à emprunter…
c’était une sorte d’exaltation, ces mots échangés…
presque une pulsion, un besoin, une nécessité…
c’était comme un mouvement, un flot continu
qui enfle et ne sait pas se contenir…
Aujourd’hui elles ont appris à se poser…
il le fallait, mais elles continuent de se surprendre…
tendrement, elles sont là l’une pour l’autre…
et cette âme m’est précieuse car entière, car fragile,
car comme la mienne, car en attente
même si elle sait que son chemin est celui de la solitude…
il me fait mal son chemin de solitude…il me pèse…
peut-être parce que mon âme, semblable à la sienne
doit aussi emprunter ce genre de chemin…
peut-être parce que mon âme pleine de ton amour
et si peu sereine jusqu’alors
est destinée à toucher la tienne, monange
je ne sais pas…non ça je ne le sais pas…
je suis tellement en devenir, en attente et en demande…
de moi…de beaucoup…de tout…
de toi…
l’âme qui fait écho à la mienne..
elles se sont trouvées
sans qu’elles aient eu besoin de se dire,
cela ne s’explique pas…
au début, elles ont batifolé, nos deux âmes,
tellement heureuses de s’être reconnues…
elles se sont écrits des mots forts…trop…
des mots qui les emmenaient sur une voie
qu’elles n’étaient pas prêtes à emprunter…
c’était une sorte d’exaltation, ces mots échangés…
presque une pulsion, un besoin, une nécessité…
c’était comme un mouvement, un flot continu
qui enfle et ne sait pas se contenir…
Aujourd’hui elles ont appris à se poser…
il le fallait, mais elles continuent de se surprendre…
tendrement, elles sont là l’une pour l’autre…
et cette âme m’est précieuse car entière, car fragile,
car comme la mienne, car en attente
même si elle sait que son chemin est celui de la solitude…
il me fait mal son chemin de solitude…il me pèse…
peut-être parce que mon âme, semblable à la sienne
doit aussi emprunter ce genre de chemin…
peut-être parce que mon âme pleine de ton amour
et si peu sereine jusqu’alors
est destinée à toucher la tienne, monange
je ne sais pas…non ça je ne le sais pas…
je suis tellement en devenir, en attente et en demande…
de moi…de beaucoup…de tout…
de toi…
Jeu 20 Oct 2005, 15:54 par
danslalune sur Histoires d'amour
c'était en février....
Que j’étais dans mes petits souliers ce jour-là...le jour où tu es arrivée vraiment dans ma vie…avec tout ce que je n’avais jamais vu de toi mais que j’avais deviné..
Et le T G V s’est arrêté…
Je guettais sans en avoir l’air l’ouverture de la porte de ton compartiment, te voir…oui, te voir…je n’ai vu que ton sourire et mes yeux se sont baissés, perdus sur le quai : mes yeux je leur avais dit de ne pas trop en faire, ou plutôt de faire bonne impression !
Ta peau était fraîche ; j’étais glacée et mon cœur, qui s’était mis à battre un peu plus vite à ta descente du train, ne s’est pas calmé...je crois bien qu’il a gardé ce rythme tout au long de ce week-end…
«deux bises ? –non, ici c’est quatre…-alors, va pour quatre… »
Oui, ta peau était fraîche et tes lèvres tièdes sur mes joues…
Pas très animé, le trajet en voiture… Nous avons dû parler, de tout, de rien…il fallait ne pas laisser le silence s’installer, alors je t’ai écoutée…je répondais comme je pouvais, entre deux pensées contraires qui me projetaient déjà entre tes bras...faut-il déjà ?...ne faut-il pas? Un délice, ta voix…un enfer, mes doutes!
« la maison est là…nous y sommes… » et tu es entrée chez moi…J’étais dans la tourmente, au beau milieu de mes interrogations, incapable de me résoudre à….à passer mes bras autour de toi… à juste prendre ta main…à seulement te regarder…
J’étais chez moi, en terrain connu mais voilà, j’avais perdu tous mes repères…choisir le fauteuil et mettre un peu de distance entre nous, m’installer sur le canapé à côté de toi ?
Tu as pris l’initiative et d’un mot accompagnant ton sourire tu m’as invitée à m’asseoir près de toi sur le canapé…
Ta main s’est appropriée la mienne, nos doigts se sont trouvés. Naturellement ta tête s’est posée sur mon épaule…mon autre main s’est trouvée bête au bout de mon bras, bête à ne pas savoir où se poser : ton bras ? ta cuisse ? ton visage ? La tienne s’en est prise à ma chemise...déjà, il te fallait t’accrocher…nous en étions là lorsque le téléphone a sonné.
Sans le savoir, mon frère venait de sauver mon autre main du naufrage…tes doigts jouaient avec le pli de mon jean’s, le parcouraient, défaisaient, refaisaient…et mon frère me parlait, il ne se doutait pas. La conversation n’en finissait pas, mais moi pendant ce temps, je refaisais surface…petit à petit, je me suis retrouvée.
Après…après, ma main a suivi le chemin de ton bras, s’y est promenée, est allée découvrir ta peau douce et tiède sous la manche de ton pull…
Voilà…c’est toi que je caressais, toi qui me donnais chaud soudainement, toi qui me faisais frissonner et trembler…ma main s’est faite un peu plus insistante, je crois pour cacher ce tremblement…un baiser sur ma joue, la coin de ma bouche, tes lèvres sur les miennes...enfin…
Là…ce premier baiser et ton premier soupir lorsque nos langues se sont mêlées, quand ma main s’est glissée sous ton pull…mon désir et mon doute mélangés. Ton corps, je l’ai senti se tendre…mes mains, ma bouche je les savais faites pour lui…
Tu t’es allongée et tu m’as guidée… je ressentais ton envie et tu savais la mienne : tes yeux me le disaient. Les miens ont suivi la montée de ton plaisir. Je t’ai apprise…j’ai appris tes frémissements, tes attentes, tes mots, les parties de ton corps sensibles, si réactives…tu m’as laissée te faire l’amour…je suis devenue ton amante…
A cet instant, celui de ton abandon, celui où pour la première fois je t’ai vue faible au creux de mes bras, mon regard s’est un peu troublé; j’ai mis ma tête tout près de ton cou…c’était chaud ce qui coulait sur ma joue…ça aussi, c’était la première fois…
Et le T G V s’est arrêté…
Je guettais sans en avoir l’air l’ouverture de la porte de ton compartiment, te voir…oui, te voir…je n’ai vu que ton sourire et mes yeux se sont baissés, perdus sur le quai : mes yeux je leur avais dit de ne pas trop en faire, ou plutôt de faire bonne impression !
Ta peau était fraîche ; j’étais glacée et mon cœur, qui s’était mis à battre un peu plus vite à ta descente du train, ne s’est pas calmé...je crois bien qu’il a gardé ce rythme tout au long de ce week-end…
«deux bises ? –non, ici c’est quatre…-alors, va pour quatre… »
Oui, ta peau était fraîche et tes lèvres tièdes sur mes joues…
Pas très animé, le trajet en voiture… Nous avons dû parler, de tout, de rien…il fallait ne pas laisser le silence s’installer, alors je t’ai écoutée…je répondais comme je pouvais, entre deux pensées contraires qui me projetaient déjà entre tes bras...faut-il déjà ?...ne faut-il pas? Un délice, ta voix…un enfer, mes doutes!
« la maison est là…nous y sommes… » et tu es entrée chez moi…J’étais dans la tourmente, au beau milieu de mes interrogations, incapable de me résoudre à….à passer mes bras autour de toi… à juste prendre ta main…à seulement te regarder…
J’étais chez moi, en terrain connu mais voilà, j’avais perdu tous mes repères…choisir le fauteuil et mettre un peu de distance entre nous, m’installer sur le canapé à côté de toi ?
Tu as pris l’initiative et d’un mot accompagnant ton sourire tu m’as invitée à m’asseoir près de toi sur le canapé…
Ta main s’est appropriée la mienne, nos doigts se sont trouvés. Naturellement ta tête s’est posée sur mon épaule…mon autre main s’est trouvée bête au bout de mon bras, bête à ne pas savoir où se poser : ton bras ? ta cuisse ? ton visage ? La tienne s’en est prise à ma chemise...déjà, il te fallait t’accrocher…nous en étions là lorsque le téléphone a sonné.
Sans le savoir, mon frère venait de sauver mon autre main du naufrage…tes doigts jouaient avec le pli de mon jean’s, le parcouraient, défaisaient, refaisaient…et mon frère me parlait, il ne se doutait pas. La conversation n’en finissait pas, mais moi pendant ce temps, je refaisais surface…petit à petit, je me suis retrouvée.
Après…après, ma main a suivi le chemin de ton bras, s’y est promenée, est allée découvrir ta peau douce et tiède sous la manche de ton pull…
Voilà…c’est toi que je caressais, toi qui me donnais chaud soudainement, toi qui me faisais frissonner et trembler…ma main s’est faite un peu plus insistante, je crois pour cacher ce tremblement…un baiser sur ma joue, la coin de ma bouche, tes lèvres sur les miennes...enfin…
Là…ce premier baiser et ton premier soupir lorsque nos langues se sont mêlées, quand ma main s’est glissée sous ton pull…mon désir et mon doute mélangés. Ton corps, je l’ai senti se tendre…mes mains, ma bouche je les savais faites pour lui…
Tu t’es allongée et tu m’as guidée… je ressentais ton envie et tu savais la mienne : tes yeux me le disaient. Les miens ont suivi la montée de ton plaisir. Je t’ai apprise…j’ai appris tes frémissements, tes attentes, tes mots, les parties de ton corps sensibles, si réactives…tu m’as laissée te faire l’amour…je suis devenue ton amante…
A cet instant, celui de ton abandon, celui où pour la première fois je t’ai vue faible au creux de mes bras, mon regard s’est un peu troublé; j’ai mis ma tête tout près de ton cou…c’était chaud ce qui coulait sur ma joue…ça aussi, c’était la première fois…
Mar 04 Oct 2005, 21:06 par
danslalune sur La première fois
ce matin..
j’ai envie de te troubler et même plus...
si j’étais là, avec toi...si tes seins sur les miens...
ton ventre sur le mien puis nos cuisses enlacées...
ma chaleur, la tienne...
tes caresses, les miennes aussi...
nos soupirs et nos souffles mêlés...
nos baisers sensuels, plus que troublants...
mon attente, la tienne...
ta jouissance et la mienne..enfin...
...j’ai envie de t’aimer, alors voilà...
si j’étais là, avec toi, ce matin..
si j’étais là, avec toi...si tes seins sur les miens...
ton ventre sur le mien puis nos cuisses enlacées...
ma chaleur, la tienne...
tes caresses, les miennes aussi...
nos soupirs et nos souffles mêlés...
nos baisers sensuels, plus que troublants...
mon attente, la tienne...
ta jouissance et la mienne..enfin...
...j’ai envie de t’aimer, alors voilà...
si j’étais là, avec toi, ce matin..
Dim 02 Oct 2005, 05:50 par
danslalune sur L'amour en vrac
Le soleil aussi me manque..
Il y a des jours comme ça, on se dit qu’il vaudrait mieux rester sous le drap...dehors le ciel est d’un gris déprimant et, comble du "bonheur" j’écoute un standard de Stevie Wonder:"Lately", de quoi faire sombrer la plus pêchue de toutes les optimistes. Oui, j’ai tendance à écouter de la musique qui reflète mon humeur du moment.
Si le temps était au beau, je serais souriante...comme la semaine dernière: nous étions ensemble et ta présence faisait une sacrée concurrence au soleil...si, si!
Pas de chance, aujourd’hui j’aurais bien besoin d’un soupçon de chaleur; à défaut de chaleur humaine, la tienne, j’opterais pour un bain de soleil...diffus toutefois, pas trop ardent...enfin une lumière tout juste tamisée, qui ressemblerait comme deux rayons de soleil à celle qui galbe tes courbes au petit matin...juste avant que ma main, oui, juste avant...
Le soleil est un grand espiègle; s’il m’oblige à chausser mes lunettes teintées, formidable invention, s’il m’invite à m’installer à la terrasse d’un café, à jouir du défilé des passantes, à accompagner certaines du regard jusqu’au coin de la rue, à profiter de ces instants qui filent toujours trop vite, il sait aussi, lorsqu’il ne me rend pas visite, faire durer les autres moments: ils n’en finissent pas de ne pas s’écouler ces autres moments!
Si les instants les plus tendres sont impalpables, s’ils m’enveloppent d’une douceur infinie, d’un parfum légérement enivrant, délicatement troublant; les moments en demi teinte qui virent au gris sale et qui ne me font voir que la partie vide du verre à moitié plein, sont tristement longs et sinistrement oppressants...elles sont longues-longues, elles se plaisent à durer ces heures sans toi...
Si le temps était au beau, je serais souriante...comme la semaine dernière: nous étions ensemble et ta présence faisait une sacrée concurrence au soleil...si, si!
Pas de chance, aujourd’hui j’aurais bien besoin d’un soupçon de chaleur; à défaut de chaleur humaine, la tienne, j’opterais pour un bain de soleil...diffus toutefois, pas trop ardent...enfin une lumière tout juste tamisée, qui ressemblerait comme deux rayons de soleil à celle qui galbe tes courbes au petit matin...juste avant que ma main, oui, juste avant...
Le soleil est un grand espiègle; s’il m’oblige à chausser mes lunettes teintées, formidable invention, s’il m’invite à m’installer à la terrasse d’un café, à jouir du défilé des passantes, à accompagner certaines du regard jusqu’au coin de la rue, à profiter de ces instants qui filent toujours trop vite, il sait aussi, lorsqu’il ne me rend pas visite, faire durer les autres moments: ils n’en finissent pas de ne pas s’écouler ces autres moments!
Si les instants les plus tendres sont impalpables, s’ils m’enveloppent d’une douceur infinie, d’un parfum légérement enivrant, délicatement troublant; les moments en demi teinte qui virent au gris sale et qui ne me font voir que la partie vide du verre à moitié plein, sont tristement longs et sinistrement oppressants...elles sont longues-longues, elles se plaisent à durer ces heures sans toi...
Lun 01 Août 2005, 19:00 par
danslalune sur L'amour en vrac
Ô pute
Ô pute, Ô salope,
Toi la chienne que je desirais,
et qui gemissant de désir
est allée me tromper.
Toi, dont la libido exacerbée
m’a un jour subjugué, ennivré.
Tu m’as cru tien,
et je fus bien tienne!
Je pleure. Je pleure. Je pleure.
Je crie à la terre cette erreur
que j’ai faite commise dans l’émoi,
en te prenant alors que je n’étais pas à toi.
Aujourd’hui pleure toi aussi,
pour cette infamie dont je t’accuse
mais surtout pleure aussi,
pour ma douleur, cette enfant promise.
Toi la chienne que je desirais,
et qui gemissant de désir
est allée me tromper.
Toi, dont la libido exacerbée
m’a un jour subjugué, ennivré.
Tu m’as cru tien,
et je fus bien tienne!
Je pleure. Je pleure. Je pleure.
Je crie à la terre cette erreur
que j’ai faite commise dans l’émoi,
en te prenant alors que je n’étais pas à toi.
Aujourd’hui pleure toi aussi,
pour cette infamie dont je t’accuse
mais surtout pleure aussi,
pour ma douleur, cette enfant promise.
Mar 16 Nov 2004, 23:28 par
PetitPrince sur Un monde parfait
Lundi après-midi
Dans la tourmente de ton ascension,
Dans le chagrin de ton obscession,
Emporte-moi,
Caresse-moi,
Epanouis-toi,
Ô mon âme, coule ta tendresse sauvage le long de ma rivière en feu,
Apaise notre envie de destruction maligne,
Engendre la crainte dans ta peur de mon noir,
Jouis de ton opiniâtreté et rassure ma véloce armure de ta douce attaque.
Les flots de nous s’envolent par-delà nos terreurs
Et déversent leur colère dans le trop-plein de nos caresses.
Transpire et assoupis-toi,
Crie et souffre de moi,
Je suis tienne et tu ne refuses pas,
L’allégresse de nos ardeurs comblées.
Découd ta bouche de ma peau,
Relève tes mains de mon être,
Notre amertume est terminée.
Tu repars loin de l’autre côté
De mes pensées infidèles.
Oh, couvre-moi de tes baisers fragiles,
L’incertitude de mes gestes dociles.
Tu es mien, tu me gouvernes,
Accroche ta vie à la mienne
Je suis tes pas à la dérive.
Merveilleux voyage de ma mine impatiente.
Dans le chagrin de ton obscession,
Emporte-moi,
Caresse-moi,
Epanouis-toi,
Ô mon âme, coule ta tendresse sauvage le long de ma rivière en feu,
Apaise notre envie de destruction maligne,
Engendre la crainte dans ta peur de mon noir,
Jouis de ton opiniâtreté et rassure ma véloce armure de ta douce attaque.
Les flots de nous s’envolent par-delà nos terreurs
Et déversent leur colère dans le trop-plein de nos caresses.
Transpire et assoupis-toi,
Crie et souffre de moi,
Je suis tienne et tu ne refuses pas,
L’allégresse de nos ardeurs comblées.
Découd ta bouche de ma peau,
Relève tes mains de mon être,
Notre amertume est terminée.
Tu repars loin de l’autre côté
De mes pensées infidèles.
Oh, couvre-moi de tes baisers fragiles,
L’incertitude de mes gestes dociles.
Tu es mien, tu me gouvernes,
Accroche ta vie à la mienne
Je suis tes pas à la dérive.
Merveilleux voyage de ma mine impatiente.
Ven 12 Nov 2004, 19:36 par
Iuina sur La vie à deux
Comprendre
Comprendre ? Oh que oui, malhereusement, et ce depuis un moment!
Tes propos me déçoivent, mais ne me surprennent pas.
Effectivement, ton effronterie habituelle, ta volonté de briller, ton indifférence aux conséquences de ces agissements, se traduit une fois de plus par un conflit sur le site des âmes tendres. Comment veux tu persister à dire que ce tu fais est beau devant une telle démonstration ?
Je souris aux mots « Faire de moi ton amant ». J’aurais été alors un autre homme objet qui tombe entre tes mains, c’est ça ? Cette façon de parler ne traduit elle pas ce qui sous tendait la façon de séduire que je critiquais, et dont tu as choisi arbitrairement de m’affubler ? Finalement, tu viens de nous prouver en deux mots gorgés d’orgueil que c’est la tienne.
L’acte ne vaut que par l’intention. Tes actes sont jolis d’apparence, mais je n’aime pas ce qui les anime. Et effectivement, je ne suis pas le seul. Peut être devrais tu songer qu’il y a un vent de vérité dans les critiques qui te sont formulées.
Je combattrai toujours ardemment les femmes dans ton genre. Celles-ci qui croyant bien faire parce que centrées sur elles même. Celles-ci qui n’imaginent pas une seule seconde les conséquences réelles de leurs actes dans le cœur de leurs amants. Celles qui avec le temps dévoilent le visage de l’horreur derrière un regard manipulateur. Celles qui prétextent la beauté en servant la laideur. Pour certain, c’est peu de choses que ces travers là, pour moi c’est énorme.
Rien ne dure, et notre belle histoire se meurt dans ces lignes.
Tes propos me déçoivent, mais ne me surprennent pas.
Effectivement, ton effronterie habituelle, ta volonté de briller, ton indifférence aux conséquences de ces agissements, se traduit une fois de plus par un conflit sur le site des âmes tendres. Comment veux tu persister à dire que ce tu fais est beau devant une telle démonstration ?
Je souris aux mots « Faire de moi ton amant ». J’aurais été alors un autre homme objet qui tombe entre tes mains, c’est ça ? Cette façon de parler ne traduit elle pas ce qui sous tendait la façon de séduire que je critiquais, et dont tu as choisi arbitrairement de m’affubler ? Finalement, tu viens de nous prouver en deux mots gorgés d’orgueil que c’est la tienne.
L’acte ne vaut que par l’intention. Tes actes sont jolis d’apparence, mais je n’aime pas ce qui les anime. Et effectivement, je ne suis pas le seul. Peut être devrais tu songer qu’il y a un vent de vérité dans les critiques qui te sont formulées.
Je combattrai toujours ardemment les femmes dans ton genre. Celles-ci qui croyant bien faire parce que centrées sur elles même. Celles-ci qui n’imaginent pas une seule seconde les conséquences réelles de leurs actes dans le cœur de leurs amants. Celles qui avec le temps dévoilent le visage de l’horreur derrière un regard manipulateur. Celles qui prétextent la beauté en servant la laideur. Pour certain, c’est peu de choses que ces travers là, pour moi c’est énorme.
Rien ne dure, et notre belle histoire se meurt dans ces lignes.
Mar 31 Août 2004, 12:45 par
PetitPrince sur La séduction
Promenade.
Quel délice de l’accompagner dans ses balades estivales chaque matin. Un vrai régal. Elle ne marche pas, elle vole. Son corps si menu, ses mains si fines, ses lèvres fraîches et tendres sont la representation même de la perfection.
Aujourd’hui, elle a envie de parcourir les rues pavées de l’ancienne ville. Elle s’est vêtue d’une petite robe légère qui lui fait une seconde peau quand le vent frippon la colle contre son corps. Par une de ses courbes, pas un seul de ses muscles ne peut échapper au regard. En cette fin de matinée, une bise légère nous accompagne. De temps à autre, elle se glisse entre ses cuisses, remonte doucement et soulève un pan de sa robe, décachant ses jambes café au lait. A d’autres instants, c’est à son décolleté qu’elle s’attaque, écartant le tissu qui repose sur ses petits seins en pomme.
J’aimerais tant qu’elle me serre dans ses bras, qu’elle me tienne au chaud contre ses seins ronds et moelleux, qu’elle me laisse humer son parfum, gouter son cou... parfois elle se laisse faire. Quand ma langue passe sous son menton, ça la fait sourire, je la chatouille me dit-elle.
Allez, j’utilise les grands moyens! Je me fige, je ne veux plus avancer, pas tant que je n’aurais pas senti la chaleur de ses mains sur moi!
Elle se baisse, passe ses doigts entre mes oreilles, me sourit, elle a compris.
"Petit polisson, tu ne veux plus te promener? Je vais devoir te porter jusqu’à la maison? Aurais-tu envie de te faire cajoler ?"
Elle comprend toujours ce que je veux, elle a du être chien dans une autre vie.
Ils ont tous la langue aussi longue que la mienne... il faut dire que penchée sur moi pour me caresser, le spectacle de la naissance de ses seins n’étaient pas qu’un plaisir pour moi! Aucun passant n’avait manqué ce délice, ni les clients du bistrot face à nous d’ailleurs. Aucun des clients du bar derrière non plus. Tous avaient vu le temps s’arreter quelques secondes, contemplant ce morceau d’eden qui se déployait devant eux.
Elle me prit à bout de bras, me serra contre sa poitrine parfumée à la rose, j’y passai ma langue légèrement, elle rigola. Elle était heureuse, j’étais au paradis, ils étaient sans voix.
Aujourd’hui, elle a envie de parcourir les rues pavées de l’ancienne ville. Elle s’est vêtue d’une petite robe légère qui lui fait une seconde peau quand le vent frippon la colle contre son corps. Par une de ses courbes, pas un seul de ses muscles ne peut échapper au regard. En cette fin de matinée, une bise légère nous accompagne. De temps à autre, elle se glisse entre ses cuisses, remonte doucement et soulève un pan de sa robe, décachant ses jambes café au lait. A d’autres instants, c’est à son décolleté qu’elle s’attaque, écartant le tissu qui repose sur ses petits seins en pomme.
J’aimerais tant qu’elle me serre dans ses bras, qu’elle me tienne au chaud contre ses seins ronds et moelleux, qu’elle me laisse humer son parfum, gouter son cou... parfois elle se laisse faire. Quand ma langue passe sous son menton, ça la fait sourire, je la chatouille me dit-elle.
Allez, j’utilise les grands moyens! Je me fige, je ne veux plus avancer, pas tant que je n’aurais pas senti la chaleur de ses mains sur moi!
Elle se baisse, passe ses doigts entre mes oreilles, me sourit, elle a compris.
"Petit polisson, tu ne veux plus te promener? Je vais devoir te porter jusqu’à la maison? Aurais-tu envie de te faire cajoler ?"
Elle comprend toujours ce que je veux, elle a du être chien dans une autre vie.
Ils ont tous la langue aussi longue que la mienne... il faut dire que penchée sur moi pour me caresser, le spectacle de la naissance de ses seins n’étaient pas qu’un plaisir pour moi! Aucun passant n’avait manqué ce délice, ni les clients du bistrot face à nous d’ailleurs. Aucun des clients du bar derrière non plus. Tous avaient vu le temps s’arreter quelques secondes, contemplant ce morceau d’eden qui se déployait devant eux.
Elle me prit à bout de bras, me serra contre sa poitrine parfumée à la rose, j’y passai ma langue légèrement, elle rigola. Elle était heureuse, j’étais au paradis, ils étaient sans voix.
Jeu 26 Août 2004, 20:49 par
la marquise de sade sur Exercices de style
Je rêve
Je rêve de ton corps chaud qui se cambre. Poser mes mains, ma bouche sur ton ventre. Mes mains remontent, douces et fortes. Ma bouche descend, avide, gourmande. La fièvre monte en toi. Hâte de me sentir là où tes sensations sont si fortes. Ton corps se cabre en un lancinant désir. Voilà j’arrive ... Le bout de mes doigts découvrent la rondeur de tes seins dressés. Mes lèvres effleurent ton pubis, devinent le nec-tar né de ton sexe. Ton cœur palpite, tes tétons durcissent, tes cuisses s’écartent. Tu poses tes mains sur mes épaules et de toutes tes forces tu me pousses vers le sanctuaire de nos plaisirs partagés ... Je plonge! Mes mains prennent tes seins, les recouvrent de caresses. Ma bouche sur tes lèvres qui s’ouvrent, ferme tes yeux. Tu gémis doucement, le bonheur monte, irradie, envahit ton corps entier. Tu es un feu impatient de me dévorer quand je serai en toi, éperdu, fou, abandonné. Ma langue s’insinue, tes lèvres s’écartent sous elle. Ton clito durcit sous la pointe de ma langue. Je te savoure, c’est si bon! Je te dévore à pleine bouche, c’est si enivrant! Tu sens un premier orgasme s’approcher, tes reins se creusent, ton bassin ondule, tu te mords la main pour ne pas hurler, de l’autre tu t’agrippes où tu peux, tu te sens em-portée par une telle violence que tes jambes cherchent à s’accrocher à moi. Soudain, cela explose en toi, c’est trop, le plaisir te transperce de part en part en une éternité de jouissance qui s’apaise trop vite pour t’épuiser, alors je remonte sans que ma bouche t’abandonne. Quand elle rejoint enfin la tienne, tu sens mon sexe te pénétrer lentement, écarter les parois de ton vagin en une promesse de bonheur plus fort. Je le remplis à fond, longuement, à grands coups de reins. Tu m’excites de ta bouche, de ta langue, de tes soupirs, de ton bassin lascif, de tes mouvements frénétiques, de tes ongles dans mon dos, de tes cris enfin. Plus vite, plus fort, toujours plus vite, toujours fort, je ne résiste plus, tu m’as imposé ton rythme effréné. J’éclate, j’explose tout au fond de toi, je m’écoule en un long jet chaud, je m’écroule sur toi ma dévorant.
Un bien-être à demi-oublié par des années de tristesse m’emporte loin dans un sommeil de rêve qui ne me sépare pas totalement de toi. Le temps se suspend, se fait silencieux et discret. Je le perds de vue …
Je sens ton corps se lever du lit, ton absence me réveille déjà! Tu te rends à la salle de bain te laver, le faire belle et pure.
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Je m’éveille au bord de l’étouffement, trop enfoncé dans mon oreiller dont j’ai cru la chaleur merveilleuse et qui n’était que la mienne. Cette main qui ... n’est aussi que la mienne, comme mes songes, qui un jour seront le limon d’une création qui engendrera des rêveries, si possible féminines. Elles ne seront cependant aussi lointaines que la rumeur d’une clameur qui s’élève, indistincte, vers le gardien du phare. Cet homme perce la nuit de sa lu-mière et rêve de la mêler à celle du soleil, qui peint de morsures ses persiennes fermées et de barreaux noirs sa couche abandonnée de toi.
Un bien-être à demi-oublié par des années de tristesse m’emporte loin dans un sommeil de rêve qui ne me sépare pas totalement de toi. Le temps se suspend, se fait silencieux et discret. Je le perds de vue …
Je sens ton corps se lever du lit, ton absence me réveille déjà! Tu te rends à la salle de bain te laver, le faire belle et pure.
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L’administrateur a écrit: |
Cette partie du texte malgré sa relative beauté, est trop heurtante pour être autorisée en diffusion sur le site des âmes tendres. La laisser serait releguer le forum des âmes tendres au rang de site pornographique, ce qui n’est pas sa vocation.
Comme quoi, il est trés difficile de controler sa création littéraire et de naviguer sur les mots en tenant comptes des limites imposées. |
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Je m’éveille au bord de l’étouffement, trop enfoncé dans mon oreiller dont j’ai cru la chaleur merveilleuse et qui n’était que la mienne. Cette main qui ... n’est aussi que la mienne, comme mes songes, qui un jour seront le limon d’une création qui engendrera des rêveries, si possible féminines. Elles ne seront cependant aussi lointaines que la rumeur d’une clameur qui s’élève, indistincte, vers le gardien du phare. Cet homme perce la nuit de sa lu-mière et rêve de la mêler à celle du soleil, qui peint de morsures ses persiennes fermées et de barreaux noirs sa couche abandonnée de toi.
Jeu 26 Août 2004, 07:27 par
Franck d'Yseult sur Les liaisons sulfureuses
Deux ans après...
Petit bout,
Demain tu souffleras ta deuxième bougie, deux ans déjà que tu enchantes ma vie, tous les jours, un peu plus. Moi, j’ai trente et un an, un âge clé à mes yeux! Plus vraiment une "petite jeune", pas non plus une "has been", mais c’est là, où tu commences à bien te connaître. Tu ne sais pas encore forcément tout ce que tu veux, mais tu ne sais que trop bien ce que tu ne veux plus!
je ressens aujourd’hui le besoin de me "présenter" à toi. Quand tu seras en âge de me lire, tu seras sans doute étonnée du terme choisi et pourtant, je n’en trouve pas d’autre plus adéquat. En effet, bien que je sois ta maman et que le lien qui nous unit soit immuable, il n’est pas un gage de connaissance. Combien de mères restent un mystère pour leur enfant? J’ai eu la chance d’en avoir eu une exceptionnelle. Je constate, tous les jours, à quel point son éducation me sert. Maman m’a vraiment armée pour tout! Je peux affirmer aujourd’hui, que, quoiqu’il arrive de difficile ou douloureux, je resterai debout. Parce qu’elle m’a construite avec le ciment de l’amour, de la confiance et de la communication. Parce qu’elle m’a acceptée différente d’elle. Parce qu’elle a aussi voulu apprendre de moi. Je lui dois tout ce que je suis.
Je voudrais te transmettre ce merveilleux cadeau qu’est l’accomplissement de la personnalité. Bien que je m’appliquerai toujours à te respecter, je tiens à m’excuser d’avance pour toutes les erreurs que je ne manquerai pas de commettre...par trop d’amour.
Je te raconterai des moments de ma vie, ce qu’on appelle pompeusement "l’expérience". Tu en feras ce que tu voudras mais secrètement, j’espère qu’ils te donneront un début de réponse quand tu te poseras des questions. J’ai envie que tu saches ce qui m’a rendue heureuse ou blessée, ce qu’est ma définition du bonheur, ce que je pense de l’amour (Bien que je puisse déjà t’affirmer qu’il fait tourner le monde).
Bref, te livrer ma vérité pour que tu puisses créer la tienne.
Je suis ton commencement et une partie de ton histoire...
Comme je voudrais que ce soit une certitude de ton bonheur futur.
Syolann
Demain tu souffleras ta deuxième bougie, deux ans déjà que tu enchantes ma vie, tous les jours, un peu plus. Moi, j’ai trente et un an, un âge clé à mes yeux! Plus vraiment une "petite jeune", pas non plus une "has been", mais c’est là, où tu commences à bien te connaître. Tu ne sais pas encore forcément tout ce que tu veux, mais tu ne sais que trop bien ce que tu ne veux plus!
je ressens aujourd’hui le besoin de me "présenter" à toi. Quand tu seras en âge de me lire, tu seras sans doute étonnée du terme choisi et pourtant, je n’en trouve pas d’autre plus adéquat. En effet, bien que je sois ta maman et que le lien qui nous unit soit immuable, il n’est pas un gage de connaissance. Combien de mères restent un mystère pour leur enfant? J’ai eu la chance d’en avoir eu une exceptionnelle. Je constate, tous les jours, à quel point son éducation me sert. Maman m’a vraiment armée pour tout! Je peux affirmer aujourd’hui, que, quoiqu’il arrive de difficile ou douloureux, je resterai debout. Parce qu’elle m’a construite avec le ciment de l’amour, de la confiance et de la communication. Parce qu’elle m’a acceptée différente d’elle. Parce qu’elle a aussi voulu apprendre de moi. Je lui dois tout ce que je suis.
Je voudrais te transmettre ce merveilleux cadeau qu’est l’accomplissement de la personnalité. Bien que je m’appliquerai toujours à te respecter, je tiens à m’excuser d’avance pour toutes les erreurs que je ne manquerai pas de commettre...par trop d’amour.
Je te raconterai des moments de ma vie, ce qu’on appelle pompeusement "l’expérience". Tu en feras ce que tu voudras mais secrètement, j’espère qu’ils te donneront un début de réponse quand tu te poseras des questions. J’ai envie que tu saches ce qui m’a rendue heureuse ou blessée, ce qu’est ma définition du bonheur, ce que je pense de l’amour (Bien que je puisse déjà t’affirmer qu’il fait tourner le monde).
Bref, te livrer ma vérité pour que tu puisses créer la tienne.
Je suis ton commencement et une partie de ton histoire...
Comme je voudrais que ce soit une certitude de ton bonheur futur.
Syolann
Mer 18 Août 2004, 00:48 par
syolann sur L'amour en vrac
Pour S.
Tu es assise là sur un banc de ce square désert caché dans un recoin de cette petite ville. Je te reconnais immédiatement. Nos regards ne se trompent pas. Je m’approche de toi en souriant. L’ardeur est déjà dans mes yeux. Je m’assieds à côté de toi et sans un mot, ma main se pose délicatement sur ta joue. Ta figure se fait chatte contre elle et s’y frotte avec une langueur qui me transperce. Je passe mes doigts sur ton visage. Je le dessine tout doucement. Mon pouce s’attarde sur tes lèvres, qui l’emprisonnent un bref moment. Je ne peux résister à un tel appel! Ma bouche rejoint la tienne, nos lèvres se touchent et, brûlantes d’envie, s’ouvrent les unes aux autres. Nos langues s’attirent si vivement, nos bouches s’accordent si parfaitement que nos corps en veulent autant et bien plus! Ma main se glisse dans l’échancrure de ta robe et trouve un sein doux et palpitant dont elle effleure le bout de sa paume tendue. Il s’épanouit instantanément et ta respiration s’accélère. Tu t’allonges sur le banc. Ton bras dans mon cou m’attire sur toi. Je me dégage de ton étreinte et m’agenouille à tes côtés. Tu as laissé pendre une de tes cuisses et l’autre s’est largement dénudée sous le léger tissu de ta robe. Je te regarde en la remontant délicatement jusqu’au bas de ton ventre. Déjà je devine la fleur qui m’ensorcelle de son nectar! Mes doigts, mes mains, mes paumes rodent autour d’elle, s’en approchent, puis s’en éloignent à plusieurs reprises mais ne tardent jamais trop à revenir, chaque fois plus près. Douce torture qui entraîne ton bassin dans de profondes ondulations.
Un de mes doigts s’insinue sous l’élastique de ton string jusqu’au rebord charnu de ton pubis. Douce et obsédante tentation, effleure, caresse, s’insinue, épanouit tes pétales secrets, corolle avide au petit coeur gonflé. Tes mains s’agrippent où elles peuvent. Eperdues, en toi, les sensations mêlent un plaisir et un désir croissants que tu ne peux plus contrôler. Je maîtrise ma hâte en te dénudant langoureusement les seins que je couvre de baisers de plus en plus gourmands, de plus en plus friands. Je les sens se soulever vers moi pour s’écraser contre ma bouche avide. Je n’y tiens plus! D’un geste rapide, je fais glisser ton string entre tes jambes, que tu replies souplement pour me faciliter la tâche. Tu m’attends maintenant, apparemment calme mais apparemment seulement. Je me déshabille rapidement avant de coucher mon corps sur le tien. Nos bouches se retrouvent, toujours aussi parfaitement accordées. Je sens la belle rondeur de tes seins sous ma poitrine. Mon sexe gonflé et doux rencontre le tien, accueillant, désirant. Je l’enfonce à peine, je te découvre mais toi, tu en as tellement envie que d’un seul coup de rein, tu le prends en toi de toute sa longueur, de toute ta profondeur. Une première extase nous emporte : inat-tendue, violente. Nos reins, nos bassins s’emballent rapidement en un rythme commun, exaltant, fou, débridé. Le plaisir monte en toi, le plaisir monte en moi. Le désir de t’en donner plus toujours m’anime comme jamais. Je sens ton orgasme monter, monter pendant de longues minutes. Il rayonne de ton sexe à ton corps tout enflammé de sensations merveilleuses. Quand enfin, il ouvre ta bouche en un long gémissement, j’explose au plus profond de toi et te propulse dans une jouissance fabuleuse, ma récompense!
Un de mes doigts s’insinue sous l’élastique de ton string jusqu’au rebord charnu de ton pubis. Douce et obsédante tentation, effleure, caresse, s’insinue, épanouit tes pétales secrets, corolle avide au petit coeur gonflé. Tes mains s’agrippent où elles peuvent. Eperdues, en toi, les sensations mêlent un plaisir et un désir croissants que tu ne peux plus contrôler. Je maîtrise ma hâte en te dénudant langoureusement les seins que je couvre de baisers de plus en plus gourmands, de plus en plus friands. Je les sens se soulever vers moi pour s’écraser contre ma bouche avide. Je n’y tiens plus! D’un geste rapide, je fais glisser ton string entre tes jambes, que tu replies souplement pour me faciliter la tâche. Tu m’attends maintenant, apparemment calme mais apparemment seulement. Je me déshabille rapidement avant de coucher mon corps sur le tien. Nos bouches se retrouvent, toujours aussi parfaitement accordées. Je sens la belle rondeur de tes seins sous ma poitrine. Mon sexe gonflé et doux rencontre le tien, accueillant, désirant. Je l’enfonce à peine, je te découvre mais toi, tu en as tellement envie que d’un seul coup de rein, tu le prends en toi de toute sa longueur, de toute ta profondeur. Une première extase nous emporte : inat-tendue, violente. Nos reins, nos bassins s’emballent rapidement en un rythme commun, exaltant, fou, débridé. Le plaisir monte en toi, le plaisir monte en moi. Le désir de t’en donner plus toujours m’anime comme jamais. Je sens ton orgasme monter, monter pendant de longues minutes. Il rayonne de ton sexe à ton corps tout enflammé de sensations merveilleuses. Quand enfin, il ouvre ta bouche en un long gémissement, j’explose au plus profond de toi et te propulse dans une jouissance fabuleuse, ma récompense!
Dim 18 Juil 2004, 11:58 par
Franck d'Yseult sur Les liaisons sulfureuses
Matin gris
Pourquoi, comment en sommes-nous arrivés là?
Amis et complices, on nous voyait partout,
avec les uns ou les autres mais,
comme par hasard toujours ensemble.
Je n’ai rien demandé d’autre
Lequel de nous a provoqué le glissement?
Qui nous a fait retomber en enfance?
En adolescence ?
Charmante impression
Charmante illusion
C’était trop beau trop tendre ...
Qui resisterait ?
Je savais que mes limites te lasseraient
Je ne voulais pas nous afficher
Mêler les autres à nos allusions
Toi, tu voulais m’affirmer tienne
Tu m’as amenée presque où tu voulais
Mais ... je ne sais toujours pas ce que tu voulais
Quand je me sens bien, tu es insatisfait
Quand c’est moi qui avance ... des avances
C’est toi qui fais la sourde oreille
Tu m’as entrainée dans tes conflits,
Blessée de tes blessures,
Notre légèreté s’émousse.
Les ados ont vieilli.
Nous inventons notre histoire
Mais inventons nous la meme ?
J’attends que tu me devines,
Tu attends que je te raconte.
Voilà que tu débordes dans ma vie,
Voilà que mes barrières oscillent.
Il est serait temps que je les referme,
Que je me renferme ...
D’y penser quelque chose me manque déjà
Ce qui a existé,
Ce qui est inachevé
Il vaut peut être mieux laisser les rêves rester rêves.
Une fleur non éclose aurait été la plus belle...
Amis et complices, on nous voyait partout,
avec les uns ou les autres mais,
comme par hasard toujours ensemble.
Je n’ai rien demandé d’autre
Lequel de nous a provoqué le glissement?
Qui nous a fait retomber en enfance?
En adolescence ?
Charmante impression
Charmante illusion
C’était trop beau trop tendre ...
Qui resisterait ?
Je savais que mes limites te lasseraient
Je ne voulais pas nous afficher
Mêler les autres à nos allusions
Toi, tu voulais m’affirmer tienne
Tu m’as amenée presque où tu voulais
Mais ... je ne sais toujours pas ce que tu voulais
Quand je me sens bien, tu es insatisfait
Quand c’est moi qui avance ... des avances
C’est toi qui fais la sourde oreille
Tu m’as entrainée dans tes conflits,
Blessée de tes blessures,
Notre légèreté s’émousse.
Les ados ont vieilli.
Nous inventons notre histoire
Mais inventons nous la meme ?
J’attends que tu me devines,
Tu attends que je te raconte.
Voilà que tu débordes dans ma vie,
Voilà que mes barrières oscillent.
Il est serait temps que je les referme,
Que je me renferme ...
D’y penser quelque chose me manque déjà
Ce qui a existé,
Ce qui est inachevé
Il vaut peut être mieux laisser les rêves rester rêves.
Une fleur non éclose aurait été la plus belle...
Lun 31 Mai 2004, 10:27 par
virtuelle sur La vie à deux
Portrait chinois
Si tu étais un dessert, tu serais une glace au citron.
Froid, amer, acide à la première bouchée,
Ta saveur tendre, douce et sucrée
Se dévoile et explose en mille neutrons
Si tu étais un personnage célèbre, tu serais le soldat inconnu.
Tous te connaissent et attestent de ta valeur,
Mais aucun ne connait tes combats, ce que recèlent tes profondeurs
Seul au milieu de tous, jamais tu ne mets ton âme à nu
Si tu étais un moment de la journée, tu serais la seconde avant le lever du soleil
Jamais totalement la nuit, jamais totalement le jour
Tu navigues entre deux mondes cherchant depuis toujours
La vie qui sera la tienne, tu attends l’éveil
Si tu étais un tableau, tu serais "La grande famille" ( Magritte)
Au milieu de ta tempète, perdu en pleine mer
Tu gardes au fond de toi, un petit coin de mystère
Un lieu de repos, une presqu’île
Si tu étais un phénomène naturel, tu serais la rosée
Tu apparais dans mes pensées le matin,
Comme un souvenir de mes rêves coquins
Qui me laisse humide et rassasiée
Si tu étais une chanson, tu serais "Le SOS d’un terrien en détresse"
Tu as parfois trop les pieds sur terre
Te demandant où est ta place, tu t’enterres
Ecoute ma voix, oublie ta tristesse.
Et pour vous... que serait-il/elle ?
Froid, amer, acide à la première bouchée,
Ta saveur tendre, douce et sucrée
Se dévoile et explose en mille neutrons
Si tu étais un personnage célèbre, tu serais le soldat inconnu.
Tous te connaissent et attestent de ta valeur,
Mais aucun ne connait tes combats, ce que recèlent tes profondeurs
Seul au milieu de tous, jamais tu ne mets ton âme à nu
Si tu étais un moment de la journée, tu serais la seconde avant le lever du soleil
Jamais totalement la nuit, jamais totalement le jour
Tu navigues entre deux mondes cherchant depuis toujours
La vie qui sera la tienne, tu attends l’éveil
Si tu étais un tableau, tu serais "La grande famille" ( Magritte)
Au milieu de ta tempète, perdu en pleine mer
Tu gardes au fond de toi, un petit coin de mystère
Un lieu de repos, une presqu’île
Si tu étais un phénomène naturel, tu serais la rosée
Tu apparais dans mes pensées le matin,
Comme un souvenir de mes rêves coquins
Qui me laisse humide et rassasiée
Si tu étais une chanson, tu serais "Le SOS d’un terrien en détresse"
Tu as parfois trop les pieds sur terre
Te demandant où est ta place, tu t’enterres
Ecoute ma voix, oublie ta tristesse.
Et pour vous... que serait-il/elle ?
Dim 30 Mai 2004, 21:03 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Il était une fois...
C’est pour toi que je chante, mon enfant bien aimée,
Tous ces mots qui me hantent depuis que tu es née.
Quand Aurore est venue, j’avais déjà vécu...
Avec ta tête blonde, au regard insouciant,
Tu découvrais le monde qui condamne l’innocent.
Quand Aurore s’est levée, j’ai bien cru rêver...
Tu découvres la terre de tes yeux océan
Qui se muent en rivière quand tu as un chagrin.
Quand Aurore a pleuré, j’ai connu la rosée...
Quand ma main prend la tienne pour un bout de chemin,
Je suis roc, tu es reine, sans peur des lendemains.
Quand Aurore a marché, moi j’ai dû cravacher...
Tu n’as pas froid aux yeux, défiant tous les dangers,
Désarmant les anxieux d’un sourire malicieux.
Quand Aurore me sourit, un soleil m’éblouit...
Premiers mots, premiers pas, ils étaient pour papa ;
N’en déplaise à maman que tu aimes tout autant.
Quand Aurore m’a parlé, j’me suis mis à chanter...
J’me suis mis à chanter, quand Aurore s’est couchée.
Que seras-tu demain, poète ou magicien
Quand papa soufflera son... ultime refrain ?
Quand Aurore souffrira, je ne serai plus là ;
Tu seras enfin Toi et l’aurore s’ouvrira....
Et Aurore chantera.
Tous ces mots qui me hantent depuis que tu es née.
Quand Aurore est venue, j’avais déjà vécu...
Avec ta tête blonde, au regard insouciant,
Tu découvrais le monde qui condamne l’innocent.
Quand Aurore s’est levée, j’ai bien cru rêver...
Tu découvres la terre de tes yeux océan
Qui se muent en rivière quand tu as un chagrin.
Quand Aurore a pleuré, j’ai connu la rosée...
Quand ma main prend la tienne pour un bout de chemin,
Je suis roc, tu es reine, sans peur des lendemains.
Quand Aurore a marché, moi j’ai dû cravacher...
Tu n’as pas froid aux yeux, défiant tous les dangers,
Désarmant les anxieux d’un sourire malicieux.
Quand Aurore me sourit, un soleil m’éblouit...
Premiers mots, premiers pas, ils étaient pour papa ;
N’en déplaise à maman que tu aimes tout autant.
Quand Aurore m’a parlé, j’me suis mis à chanter...
J’me suis mis à chanter, quand Aurore s’est couchée.
Que seras-tu demain, poète ou magicien
Quand papa soufflera son... ultime refrain ?
Quand Aurore souffrira, je ne serai plus là ;
Tu seras enfin Toi et l’aurore s’ouvrira....
Et Aurore chantera.
Ven 14 Mai 2004, 18:23 par
Rose sur Un monde parfait
A mon renard ...
A mon Renard ...
Sur cet ecran froid nous étions amis
De jours en jours puis d’années en années
Se sont developpés des sentiments interdits
Sur cet ecran froid nous nous sommes apprivoisés
Née d’abord une amitié virtuelle
Puis une complicité réelle
Au dela des mots et des photos
Nous nous sommes trouvés comme deux ados
Tu avais ta vie et moi la mienne
Deux parcours tellements différents
Malgrés cela tu voulais que je sois tienne
Ne serait-ce que pour quelques instants
Pour toi j’ai depassé mes angoisses et mes peurs
Pour toi je suis allé au delà de mes limites
Et pourtant aujourd’hui j’ai le coeur qui pleure
Car aujourd’hui tu me quittes
Le temps assassin a passé
Et cet instant qui fut sans cesse repoussé
Finalement n’arrivera jamais
Une histoire achevée avant d’avoir commencée
Pour moi le champs de blé est a tout jamais cloturé
Ainsi il ne me reste plus qu’a pleurer et oublier ...
Mel ...
Sur cet ecran froid nous étions amis
De jours en jours puis d’années en années
Se sont developpés des sentiments interdits
Sur cet ecran froid nous nous sommes apprivoisés
Née d’abord une amitié virtuelle
Puis une complicité réelle
Au dela des mots et des photos
Nous nous sommes trouvés comme deux ados
Tu avais ta vie et moi la mienne
Deux parcours tellements différents
Malgrés cela tu voulais que je sois tienne
Ne serait-ce que pour quelques instants
Pour toi j’ai depassé mes angoisses et mes peurs
Pour toi je suis allé au delà de mes limites
Et pourtant aujourd’hui j’ai le coeur qui pleure
Car aujourd’hui tu me quittes
Le temps assassin a passé
Et cet instant qui fut sans cesse repoussé
Finalement n’arrivera jamais
Une histoire achevée avant d’avoir commencée
Pour moi le champs de blé est a tout jamais cloturé
Ainsi il ne me reste plus qu’a pleurer et oublier ...
Mel ...
Mer 21 Avril 2004, 12:27 par
MelKaena sur Amour internet
Ecrire sur tienne
âmes..., c'était en février...., ce matin.., Le soleil aussi me manque.., Ô pute, Lundi après-midi, Comprendre, Promenade., Je rêve, Deux ans après..., Pour S., Matin gris, Portrait chinois, Il était une fois..., A mon renard ...,Il y a 61 textes utilisant le mot tienne. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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