Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tienne - Page 3 sur 5
Voyageur immobile...
Le soleil sur la mer disparaît lentement
La nuit viendra bientôt, étoiles au firmament
Je vogue vers les cieux, voyageur immobile
Et bientôt le passé fait un retour habile
Cette fuite du temps qui coule entre mes doigts
Une nouvelle fois me ramène à toi
Je te retrouve encore avec ton charme unique
Mon âme avec la tienne à nouveau communique
Tes yeux d’Azur qui brillent, parfum de tes cheveux
Souvenir bien aimé que j’appelle de mes vœux
Musique de ton rire clair; ravi par ton sourire
De mes lèvres sur tes lèvres je clos les mots à dire
Vers la grotte enchantée, j’ai à nouveau vogué
Et j’ai mis à la voile sur des flots argentés
Nous ne faisons plus qu’un ; tu murmures extasiée
« Enfin je te retrouve car jamais rassasiée… »
Jan
Retour au passé...
La nuit viendra bientôt, étoiles au firmament
Je vogue vers les cieux, voyageur immobile
Et bientôt le passé fait un retour habile
Cette fuite du temps qui coule entre mes doigts
Une nouvelle fois me ramène à toi
Je te retrouve encore avec ton charme unique
Mon âme avec la tienne à nouveau communique
Tes yeux d’Azur qui brillent, parfum de tes cheveux
Souvenir bien aimé que j’appelle de mes vœux
Musique de ton rire clair; ravi par ton sourire
De mes lèvres sur tes lèvres je clos les mots à dire
Vers la grotte enchantée, j’ai à nouveau vogué
Et j’ai mis à la voile sur des flots argentés
Nous ne faisons plus qu’un ; tu murmures extasiée
« Enfin je te retrouve car jamais rassasiée… »
Jan
Retour au passé...
Sam 01 Sep 2007, 14:56 par
jan goure sur Histoires d'amour
Nuit d'Orage et Glissement de... Temps
[...]
Le geste est doux mais arrache à Kaila un gémissement; ses doigts glissent des épaules de Aodhan, dont la main aussitôt abandonne son sein. Son bras l’attire contre son torse, et sa bouche maintenant contre son oreille, il murmure:
- Tá grá agam duit, a Aingeal...
Assis au milieu du grand lit de chêne, la tête penchée sur le côté, la tenant blottie au creux de son bras, il observe l’étrange sourire dessiné sur les lèvres de Kaila. Au regard qu’elle lui tend, il comprend que l’inquiétude qu’il a ressentie n’avait pas de raison d’être. Il l’embrasse au coin des lèvres, elle l’embrasse aussi et lui sourit.
- Je t’ai fait peur. Je suis désolée.
- Non, c’est moi qui... commence-t-il.
Elle l’interrompt d’un doigt posé sur sa bouche.
- "C’est toi qui"... m’affoles. Tout à l’heure déjà... C’était tellement bon de te sentir lâcher prise aussi totalement. Et je n’étais pas encore redescendue des étoiles que tu m’y renvoyais déjà. C’est très stupide, n’est-ce pas...?
Il se penche sur elle pour l’envelopper davantage, sourit aussi.
- Oh non, pas stupide. Absolument charmant. Extrêmement communicatif... Parfaitement délicieux. Terriblement troublant...
Elle l’embrasse, mord sa lèvre, doucement, caresse son torse. Ses doigts s’attardent... elle se reprend.
- Tu étais en train de m’expliquer quelque chose. Tu n’as pas terminé. Continue...
Elle se laisse aller en arrière sur le lit, il se penche pour embrasser son cou, s’allonge contre elle. Il pose la main sur sa gorge, descend lentement vers ses seins.
- Tu es tellement belle, a Chuisle mo Chroi... Ton corps m’a frôlé, au salon, ce premier soir à Cobh, et j’ai ressenti comme une vague qui me traversait. Je ne voulais pas te regarder, mais je n’ai pas pu m’en empêcher. J’ai imaginé comme tu serais légère dans mes bras, imaginé ton corps contre moi, ton parfum... Je n’ai plus pu porter cette veste et cette chemise sans imaginer ta peau contre la mienne. J’ai passé tant de nuits blanches à essayer de te chasser de mon esprit... Tu me faisais penser à Caitlin, et Caitlin me faisait penser à toi. J’imaginais ta peau et je me souvenais de la sienne, je revoyais son corps et j’imaginais le tien. La courbe de ta hanche, celles de tes seins, la finesse de ta taille... Je me sentais perdre la raison, parce que c’était comme si je la trahissais, et en même temps, j’avais l’impression que c’était elle, qui me poussait vers toi, qu’elle essayait de me montrer quelque chose. Je craignais ton retour et je l’attendais. Quand j’ai vu ta voiture devant la maison, j’ai voulu faire demi-tour, mais tu as ouvert la porte et il était trop tard pour fuir... J’ai passé devant toi si vite, en rasant le mur, mais c’était comme si ton corps passait au travers du mien, et j’ai senti cette vague, à nouveau... et je me suis senti mieux. Quand tu m’as dit que si j’étais là, Caitlin y était aussi, j’ai compris. Et puis tu t’es reprise, et j’ai pensé que jamais je ne pourrais t’avouer qui j’étais, que jamais tu ne croirais avoir été Caitlin, et j’ai tout rejeté parce que tout cela était trop fou. Je me trompais, j’imaginais, bien sûr, il ne pouvait en être autrement... Mais cela n’y changeait rien, et je me suis rendu compte que je luttais pour ne pas te prendre dans mes bras. Alors je t’ai fui... J’ai marché sous la pluie, et le vent, le froid, la nuit ne m’ont pas apaisé mais j’ai pris la résolution de partir le plus vite possible, en évitant entre-temps de me trouver trop près de toi. Et puis je suis rentré, et tu étais là, immobile devant moi à me dévisager sans songer à me laisser passer. Toute ma vie venait de repasser devant mes yeux et tous les morceaux en étaient éparpillés, et je n’en pouvais plus... Tu étais tellement près que je sentais le parfum de ta peau, et ce mélange de souffrance et de désir me rendaient fou. Et toi, l’air terrifié, qui commences à me déshabiller en me disant que je vais prendre froid parce que je suis trempé... Tu m’as tenu contre toi pour me mener à la bibliothèque, et j’ai concentré mon esprit sur un seul mot: résister. Tout le temps que tu as soigné ma joue, ma main, que tu me touchais, que ton corps me frôlait, j’ai lutté contre l’envie de te plaquer contre moi... Quand tu t’es collée à moi, j’ai cru que j’allais hurler... et soudain j’ai senti que ma peau réagissait à la tienne comme à celle de Caitlin, comme elle n’avait jamais réagi à aucune autre. Tu as eu ce geste, qui était le sien... Alors j’ai accepté de comprendre, de croire...
Il approche son visage de celui de Kaila, ses lèvres prennent les siennes. Il se redresse un peu, et ses doigts s’alanguissent au velours soyeux de ses seins.
- J’ai eu envie de toi le premier soir, a Aingeal, et j’ai envie de toi à chaque instant, à chaque fois que je te regarde, à chaque seconde où je pense à toi. Le désir que j’ai de toi est à la fois tendre et sauvage, doux et violent, et...
[...]
Le geste est doux mais arrache à Kaila un gémissement; ses doigts glissent des épaules de Aodhan, dont la main aussitôt abandonne son sein. Son bras l’attire contre son torse, et sa bouche maintenant contre son oreille, il murmure:
- Tá grá agam duit, a Aingeal...
Assis au milieu du grand lit de chêne, la tête penchée sur le côté, la tenant blottie au creux de son bras, il observe l’étrange sourire dessiné sur les lèvres de Kaila. Au regard qu’elle lui tend, il comprend que l’inquiétude qu’il a ressentie n’avait pas de raison d’être. Il l’embrasse au coin des lèvres, elle l’embrasse aussi et lui sourit.
- Je t’ai fait peur. Je suis désolée.
- Non, c’est moi qui... commence-t-il.
Elle l’interrompt d’un doigt posé sur sa bouche.
- "C’est toi qui"... m’affoles. Tout à l’heure déjà... C’était tellement bon de te sentir lâcher prise aussi totalement. Et je n’étais pas encore redescendue des étoiles que tu m’y renvoyais déjà. C’est très stupide, n’est-ce pas...?
Il se penche sur elle pour l’envelopper davantage, sourit aussi.
- Oh non, pas stupide. Absolument charmant. Extrêmement communicatif... Parfaitement délicieux. Terriblement troublant...
Elle l’embrasse, mord sa lèvre, doucement, caresse son torse. Ses doigts s’attardent... elle se reprend.
- Tu étais en train de m’expliquer quelque chose. Tu n’as pas terminé. Continue...
Elle se laisse aller en arrière sur le lit, il se penche pour embrasser son cou, s’allonge contre elle. Il pose la main sur sa gorge, descend lentement vers ses seins.
- Tu es tellement belle, a Chuisle mo Chroi... Ton corps m’a frôlé, au salon, ce premier soir à Cobh, et j’ai ressenti comme une vague qui me traversait. Je ne voulais pas te regarder, mais je n’ai pas pu m’en empêcher. J’ai imaginé comme tu serais légère dans mes bras, imaginé ton corps contre moi, ton parfum... Je n’ai plus pu porter cette veste et cette chemise sans imaginer ta peau contre la mienne. J’ai passé tant de nuits blanches à essayer de te chasser de mon esprit... Tu me faisais penser à Caitlin, et Caitlin me faisait penser à toi. J’imaginais ta peau et je me souvenais de la sienne, je revoyais son corps et j’imaginais le tien. La courbe de ta hanche, celles de tes seins, la finesse de ta taille... Je me sentais perdre la raison, parce que c’était comme si je la trahissais, et en même temps, j’avais l’impression que c’était elle, qui me poussait vers toi, qu’elle essayait de me montrer quelque chose. Je craignais ton retour et je l’attendais. Quand j’ai vu ta voiture devant la maison, j’ai voulu faire demi-tour, mais tu as ouvert la porte et il était trop tard pour fuir... J’ai passé devant toi si vite, en rasant le mur, mais c’était comme si ton corps passait au travers du mien, et j’ai senti cette vague, à nouveau... et je me suis senti mieux. Quand tu m’as dit que si j’étais là, Caitlin y était aussi, j’ai compris. Et puis tu t’es reprise, et j’ai pensé que jamais je ne pourrais t’avouer qui j’étais, que jamais tu ne croirais avoir été Caitlin, et j’ai tout rejeté parce que tout cela était trop fou. Je me trompais, j’imaginais, bien sûr, il ne pouvait en être autrement... Mais cela n’y changeait rien, et je me suis rendu compte que je luttais pour ne pas te prendre dans mes bras. Alors je t’ai fui... J’ai marché sous la pluie, et le vent, le froid, la nuit ne m’ont pas apaisé mais j’ai pris la résolution de partir le plus vite possible, en évitant entre-temps de me trouver trop près de toi. Et puis je suis rentré, et tu étais là, immobile devant moi à me dévisager sans songer à me laisser passer. Toute ma vie venait de repasser devant mes yeux et tous les morceaux en étaient éparpillés, et je n’en pouvais plus... Tu étais tellement près que je sentais le parfum de ta peau, et ce mélange de souffrance et de désir me rendaient fou. Et toi, l’air terrifié, qui commences à me déshabiller en me disant que je vais prendre froid parce que je suis trempé... Tu m’as tenu contre toi pour me mener à la bibliothèque, et j’ai concentré mon esprit sur un seul mot: résister. Tout le temps que tu as soigné ma joue, ma main, que tu me touchais, que ton corps me frôlait, j’ai lutté contre l’envie de te plaquer contre moi... Quand tu t’es collée à moi, j’ai cru que j’allais hurler... et soudain j’ai senti que ma peau réagissait à la tienne comme à celle de Caitlin, comme elle n’avait jamais réagi à aucune autre. Tu as eu ce geste, qui était le sien... Alors j’ai accepté de comprendre, de croire...
Il approche son visage de celui de Kaila, ses lèvres prennent les siennes. Il se redresse un peu, et ses doigts s’alanguissent au velours soyeux de ses seins.
- J’ai eu envie de toi le premier soir, a Aingeal, et j’ai envie de toi à chaque instant, à chaque fois que je te regarde, à chaque seconde où je pense à toi. Le désir que j’ai de toi est à la fois tendre et sauvage, doux et violent, et...
[...]
Mar 26 Juin 2007, 13:31 par
Aeryn sur La première fois
Incendie
Tes yeux qui me rejoignent
Atteignent les miens
A la source de mon feu et du tien
Mes mains qui t’atteignent
Te touchent les hanches
Remontent doucement, à fleur de paumes
Jusqu’à tes seins qui m’adressent
Se dressent pour me toucher
Frémissent avec ton souffle qui s’échauffe
Ces douceurs que je palpe, évalue
Suce goulûment, pétri avec gourmandise
Pour que tu m’offres ton cou
Que je le parcoure et caresse de ma langue affamée
De l’épaule à l’oreille, doucement
Bécottant de mon haleine, de mes lèvres en retenant mon ardeur
L’incendie est sans appel
Impossible à retenir
Il me faut te parcourir
Te repérer, évaluer chaque creux, chaque vallée
Goutter ta peau, boire tes sucs
Siroter tes eaux
Te mordre, chaque morceau de ton corps
Par ma bouche et mes mains
Me nourrir et te prendre
Jusqu’à ce que mon sexe questionne le tien
Qu’il se rassasie de ta pluie
Le visite, l’interroge
Se retienne et le bouscule
Alors que toute ma vie se promène sur ma peau
Qu’à partir d’elle, toute l’énergie humaine se gémisse
Que mon corps s’affole avec le tien
Au rythme intemporel de nos vies suspendues
Que je te délire, te désespère
Tu supplie, te quémande
Te violente, te bouscule
Te repousse et te garde
Incrédule, perdu, noyé
Par ta vie, ta peau sucrée
Ta chair et ton humidité
Jusqu’à la rupture du temps
De toutes les énergies primitives
Les effluves de vie, la foudre violente qui me nourrit
Se concentre, se hérisse
Me crispe et me tue
Le temps que je te donne
T’appartienne au delà de moi
Le temps que je te transmette la vie
Plus que la mienne
Celle qui s’enracine dans celle de toutes les autres vies
Qui ont généré la mienne
Et qui rejoignent la tienne
Pour un temps suspendu
Infini d’intensité
Le temps que j’en meure
Que j’en oublie jusqu’à ma vie
Totalement rendu à toi
Égaré, transféré en toi
Heureux d’être l’origine de la foudre
Le médium de l’univers
Qui se génèse dans nos corps
Dans ce moment qui nous dépasse
Par sa beauté, son altitude
Il ne reste à ma bouche
Qu’à te chanter mon amour
Qu’à te couvrir de gratitude
Et à savourer le ravissement de ta chaleur
La nourriture de ta chair de femme
Laisse-moi nous aimer encore
Te prendre et m’appartenir
Jusqu’à en guérir, en mourrir et en vivre
Atteignent les miens
A la source de mon feu et du tien
Mes mains qui t’atteignent
Te touchent les hanches
Remontent doucement, à fleur de paumes
Jusqu’à tes seins qui m’adressent
Se dressent pour me toucher
Frémissent avec ton souffle qui s’échauffe
Ces douceurs que je palpe, évalue
Suce goulûment, pétri avec gourmandise
Pour que tu m’offres ton cou
Que je le parcoure et caresse de ma langue affamée
De l’épaule à l’oreille, doucement
Bécottant de mon haleine, de mes lèvres en retenant mon ardeur
L’incendie est sans appel
Impossible à retenir
Il me faut te parcourir
Te repérer, évaluer chaque creux, chaque vallée
Goutter ta peau, boire tes sucs
Siroter tes eaux
Te mordre, chaque morceau de ton corps
Par ma bouche et mes mains
Me nourrir et te prendre
Jusqu’à ce que mon sexe questionne le tien
Qu’il se rassasie de ta pluie
Le visite, l’interroge
Se retienne et le bouscule
Alors que toute ma vie se promène sur ma peau
Qu’à partir d’elle, toute l’énergie humaine se gémisse
Que mon corps s’affole avec le tien
Au rythme intemporel de nos vies suspendues
Que je te délire, te désespère
Tu supplie, te quémande
Te violente, te bouscule
Te repousse et te garde
Incrédule, perdu, noyé
Par ta vie, ta peau sucrée
Ta chair et ton humidité
Jusqu’à la rupture du temps
De toutes les énergies primitives
Les effluves de vie, la foudre violente qui me nourrit
Se concentre, se hérisse
Me crispe et me tue
Le temps que je te donne
T’appartienne au delà de moi
Le temps que je te transmette la vie
Plus que la mienne
Celle qui s’enracine dans celle de toutes les autres vies
Qui ont généré la mienne
Et qui rejoignent la tienne
Pour un temps suspendu
Infini d’intensité
Le temps que j’en meure
Que j’en oublie jusqu’à ma vie
Totalement rendu à toi
Égaré, transféré en toi
Heureux d’être l’origine de la foudre
Le médium de l’univers
Qui se génèse dans nos corps
Dans ce moment qui nous dépasse
Par sa beauté, son altitude
Il ne reste à ma bouche
Qu’à te chanter mon amour
Qu’à te couvrir de gratitude
Et à savourer le ravissement de ta chaleur
La nourriture de ta chair de femme
Laisse-moi nous aimer encore
Te prendre et m’appartenir
Jusqu’à en guérir, en mourrir et en vivre
Lun 22 Jan 2007, 03:43 par
Alex sur Parler d'amour
Destin Eternel de Notre Amour
Je viens avec ces quelques petits mots
Te raconter mon Belle Amour Incontournable,
Avec l’espoir que tu puisses vraiment ressentir
Ces frissons incessants, ces fortes sensations,
Ces désirs fervents, ces émotions, qui brûlent dans mon cœur,
Comme un feu attisé par un doux vent incessant,
Et dans mon âme et dans tout mon être,
L’amour et le désire se mélange en une seul passion, Toi.
Ressens et écoute les vents, comme ils soufflent
Avec ces mots murmurés tout autour de Toi mon petit Coeur d’Amour:
« Je t’aime », je suis Tienne, tu es Mien,
Et rien ne peut changer ce « Destin Eternel de Notre Amour » !
Rien ne peut plus m’effrayer avec Toi à mes côtés,
Tu es mon refuge ou rien n’est impossible.
Te raconter mon Belle Amour Incontournable,
Avec l’espoir que tu puisses vraiment ressentir
Ces frissons incessants, ces fortes sensations,
Ces désirs fervents, ces émotions, qui brûlent dans mon cœur,
Comme un feu attisé par un doux vent incessant,
Et dans mon âme et dans tout mon être,
L’amour et le désire se mélange en une seul passion, Toi.
Ressens et écoute les vents, comme ils soufflent
Avec ces mots murmurés tout autour de Toi mon petit Coeur d’Amour:
« Je t’aime », je suis Tienne, tu es Mien,
Et rien ne peut changer ce « Destin Eternel de Notre Amour » !
Rien ne peut plus m’effrayer avec Toi à mes côtés,
Tu es mon refuge ou rien n’est impossible.
Dim 27 Août 2006, 14:21 par
joullia sur Parler d'amour
Mon âme et mon toi
O mon prince du désert, mon toi, mon âme,
On a mis en mémoire des rêves qui nous ressemblent,
On arrêtait le temps quelquefois,
Sans demander comment ni pourquoi,
On se retrouvait là sur ce chat.
Est-ce que toi aussi tu trembles ?
Parce que l’avenir te fait peur,
Est-ce que nos vies se ressemblent ?
Sommes-nous à côté de nos coeurs
O mon prince du désert, mon âme, mon toi,
J’aimerais qu’on soit ensemble
Pour partager nos joies et douleur
Est ce que je compte pour toi ?
Je ne suis qu’une écorce toute gravée de toi,
O mon prince,
Même loin, rien ne me soigne,
Mon coeur éteint ses cendres,
Au coeur de tes bras.
O mon prince,
Je perds mon âme,
Je meurs de ton absence,
Délivre-moi,
De ma prison de verre,
De ma tour,
Enchaîne ma vie a la tienne.
Avant que mon sang ne se mélange,
Aux larmes tombées à nos pieds,
Je meurs de ton indifférence,
Aime-moi !
O mon prince,
J’ai peur de tes silences,
Mon coeur, tout bas, se meurt de froid.
O mon prince, mon toi et mon âme,
Je parle à moi qui ne vis plus,
Avant de perdre la mémoire,
Pourquoi faut il toujours s’enfuir ?
C’est pas normal de tant souffrir,
Je ne peux plus me taire,
La liberté se meurt,
A coup de trahison.
A coup de déraison.
Alors je crie plus fort,
A m’arracher le coeur,
Pour dire combien je t’Aime
Pour dire combien j’ai Peur.
Je parle à moi qui rend les armes,
Ouvre les yeux,
Sors de ta bulle,
Sors de ta solitude,
Sors de tes peurs,
Pourquoi faut il bâtir des murs pour ce guérir ?
C’est pas normal de tant souffrir,
Je ne veux plus me taire,
Face à ce monde de guerre et de haine,
Face à ces hommes abominables,
Face à ce manque d’Amour dans le monde....
O mon prince, mon âme soeur, mon toi
Loin de toi je n’ai plus d’ailleurs
Partout où que je sois,
Il me manque tout puisqu’il me manque toi.
Je voudrais être à cette place différence,
Celle de l’âme soeur qui comprend tout,
Celle qui sait porter secours,
Celle qui remplit ton coeur.
Je voudrais être ta femme, ta maîtresse, ton amie, ta confidente et la mère de tes enfants.
Viens jusqu’à moi.
On a mis en mémoire des rêves qui nous ressemblent,
On arrêtait le temps quelquefois,
Sans demander comment ni pourquoi,
On se retrouvait là sur ce chat.
Est-ce que toi aussi tu trembles ?
Parce que l’avenir te fait peur,
Est-ce que nos vies se ressemblent ?
Sommes-nous à côté de nos coeurs
O mon prince du désert, mon âme, mon toi,
J’aimerais qu’on soit ensemble
Pour partager nos joies et douleur
Est ce que je compte pour toi ?
Je ne suis qu’une écorce toute gravée de toi,
O mon prince,
Même loin, rien ne me soigne,
Mon coeur éteint ses cendres,
Au coeur de tes bras.
O mon prince,
Je perds mon âme,
Je meurs de ton absence,
Délivre-moi,
De ma prison de verre,
De ma tour,
Enchaîne ma vie a la tienne.
Avant que mon sang ne se mélange,
Aux larmes tombées à nos pieds,
Je meurs de ton indifférence,
Aime-moi !
O mon prince,
J’ai peur de tes silences,
Mon coeur, tout bas, se meurt de froid.
O mon prince, mon toi et mon âme,
Je parle à moi qui ne vis plus,
Avant de perdre la mémoire,
Pourquoi faut il toujours s’enfuir ?
C’est pas normal de tant souffrir,
Je ne peux plus me taire,
La liberté se meurt,
A coup de trahison.
A coup de déraison.
Alors je crie plus fort,
A m’arracher le coeur,
Pour dire combien je t’Aime
Pour dire combien j’ai Peur.
Je parle à moi qui rend les armes,
Ouvre les yeux,
Sors de ta bulle,
Sors de ta solitude,
Sors de tes peurs,
Pourquoi faut il bâtir des murs pour ce guérir ?
C’est pas normal de tant souffrir,
Je ne veux plus me taire,
Face à ce monde de guerre et de haine,
Face à ces hommes abominables,
Face à ce manque d’Amour dans le monde....
O mon prince, mon âme soeur, mon toi
Loin de toi je n’ai plus d’ailleurs
Partout où que je sois,
Il me manque tout puisqu’il me manque toi.
Je voudrais être à cette place différence,
Celle de l’âme soeur qui comprend tout,
Celle qui sait porter secours,
Celle qui remplit ton coeur.
Je voudrais être ta femme, ta maîtresse, ton amie, ta confidente et la mère de tes enfants.
Viens jusqu’à moi.
Ven 04 Août 2006, 10:38 par
joullia sur Parler d'amour
Fille du peuple libre, je suis
Il te fallait un amour tout petit
Qui ne tienne pas de place
Un amour de poche à sortir et à faire jouer sur le coin de ton bureau
Il te fallait une poupée de poche
Qui puisse t’amuser te divertir à volonté
Il te fallait un ange qui ne sache que donner
Mais tu m’as rencontrée...
Et je tiens de la place
Et si je sais aimer, sourire, rire et amuser,
Consoler et soigner,
J’ai aussi un cœur qui demande à être comblé,
Un corps à caresser,
Des moments à partager
L’amour à inventer...
Non, on ne m’achète pas et aucune muselière ne taira la voix
Qui s’envole dans les airs.
Je suis libre tu le sais
Comme les tziganes je sais danser,
Comme les hébreux je sais prier,
Comme les touaregs m’évaporer
Dans le désert où tu ne saurais t’aventurer...
Qui ne tienne pas de place
Un amour de poche à sortir et à faire jouer sur le coin de ton bureau
Il te fallait une poupée de poche
Qui puisse t’amuser te divertir à volonté
Il te fallait un ange qui ne sache que donner
Mais tu m’as rencontrée...
Et je tiens de la place
Et si je sais aimer, sourire, rire et amuser,
Consoler et soigner,
J’ai aussi un cœur qui demande à être comblé,
Un corps à caresser,
Des moments à partager
L’amour à inventer...
Non, on ne m’achète pas et aucune muselière ne taira la voix
Qui s’envole dans les airs.
Je suis libre tu le sais
Comme les tziganes je sais danser,
Comme les hébreux je sais prier,
Comme les touaregs m’évaporer
Dans le désert où tu ne saurais t’aventurer...
Mer 26 Avril 2006, 13:24 par
dolce vita sur Un monde parfait
Mes amis, mes amants.
Mes amis, mes amants...
Quand je t’ai rencontré, j’ai su immédiatement que je pouvais t’aimer.
Je me suis fait toute petite pour ne pas me faire remarquer.
Ben oui tu étais accompagné...
La vie t’a alors isolé et je t’ai laissé en paix car je croyais qu’un chagrin devait se vivre seul.
Je soignais tes plantes vertes en rêvant te caresser comme je le faisais avec elles; je les humidifiait comme je rêvait ma peau contre la tienne.
Toi tu avais d’autres pensées, seul tu ne pouvais rester.
Quel choc le jour où tu m’as annoncé en toute "Amitié" que tu avais rencontré une âme pour partager tes soirées trop longues.
J’ai alors prit du recul et me suis à nouveau éloignée.
Grâce ou a cause d’une amie nous nous sommes rapprochés dans une course effrénée; ou bien l’ai-je aussi rêvé?
Pourquoi pendant tant d’années suis-je restée accrochée à une histoire que seule j’avais imaginée?
Elle fait aussi partie des bagages trop lourd à porter.
Aujourd’hui tu es à nouveau planté au beau milieu d’une famille reconstituée et moi je t’ai laissé.
Un autre amour est arrivé, mais c’était du copier coller.
Que n’ais je pas compris la première fois pour que la vie m’amène encore ce nouveau choix?
Je suis sans doute la seule à ne pas comprendre alors éclairez-moi pour que je puisse grandir à çà.
J’ai bien tenté de résister à ces histoires sans lendemain mais mon besoin de tendresse, d’amour et de contact humain était si grand que même en le sachant je me suis noyée dedans.
Mes amis mes amants vous avez été merveilleux et troublants.
Vous avez égayés certains jours, certaines nuits; trop peu sans doute mais le souvenir ne me quittera pas.
Je ne vous oublierez jamais tout comme vous; je le sait.
Ma vie je veux la vivre plutôt que la rêver; j’ai assez "imaginé".
Quand je t’ai rencontré, j’ai su immédiatement que je pouvais t’aimer.
Je me suis fait toute petite pour ne pas me faire remarquer.
Ben oui tu étais accompagné...
La vie t’a alors isolé et je t’ai laissé en paix car je croyais qu’un chagrin devait se vivre seul.
Je soignais tes plantes vertes en rêvant te caresser comme je le faisais avec elles; je les humidifiait comme je rêvait ma peau contre la tienne.
Toi tu avais d’autres pensées, seul tu ne pouvais rester.
Quel choc le jour où tu m’as annoncé en toute "Amitié" que tu avais rencontré une âme pour partager tes soirées trop longues.
J’ai alors prit du recul et me suis à nouveau éloignée.
Grâce ou a cause d’une amie nous nous sommes rapprochés dans une course effrénée; ou bien l’ai-je aussi rêvé?
Pourquoi pendant tant d’années suis-je restée accrochée à une histoire que seule j’avais imaginée?
Elle fait aussi partie des bagages trop lourd à porter.
Aujourd’hui tu es à nouveau planté au beau milieu d’une famille reconstituée et moi je t’ai laissé.
Un autre amour est arrivé, mais c’était du copier coller.
Que n’ais je pas compris la première fois pour que la vie m’amène encore ce nouveau choix?
Je suis sans doute la seule à ne pas comprendre alors éclairez-moi pour que je puisse grandir à çà.
J’ai bien tenté de résister à ces histoires sans lendemain mais mon besoin de tendresse, d’amour et de contact humain était si grand que même en le sachant je me suis noyée dedans.
Mes amis mes amants vous avez été merveilleux et troublants.
Vous avez égayés certains jours, certaines nuits; trop peu sans doute mais le souvenir ne me quittera pas.
Je ne vous oublierez jamais tout comme vous; je le sait.
Ma vie je veux la vivre plutôt que la rêver; j’ai assez "imaginé".
Mer 19 Avril 2006, 10:15 par
Hécate sur L'amour en vrac
Jeux de regards
Il est des regards obséquieux, obsédants..
Un regard troublant, un regard qui me sourit,
Un regard que la raison trahit,
Le pire est le faux-semblant, le faux-fuyant..
Ce regard blafard, hagard
Qui défie ma colère, fait trembler ma rage
Ce regard con_descendant
Je le toise de ma prunelle glacée_glaciale
Mon iris vert vire au noir
Le violente en silence pour ne pas céder..
Qu’il ose se poser une seconde
Sur la douceur de l’amour de ma vie
Qu’il essaie juste un instant de le scruter ..
Et je lui darde une oeillade fulgurante ..
Puis, les yeux bandés,
Je finis par loucher ma jalousie,
Bourreau de ma vie, sans répit..
Tu me fais les yeux doux,
Voulant te faire mon garde_fou
Je voudrais tant m’y noyer,
Sans douleur, sans pudeur,
Sans paroles,
Juste ton regard dans le mien,
Ma main dans la tienne..
Joue moi nos coeurs à quatre yeux,
Le mien ne bat que pour essayer d’y croire,
Fais vite, il lutte, il s’essouffle.
Un regard troublant, un regard qui me sourit,
Un regard que la raison trahit,
Le pire est le faux-semblant, le faux-fuyant..
Ce regard blafard, hagard
Qui défie ma colère, fait trembler ma rage
Ce regard con_descendant
Je le toise de ma prunelle glacée_glaciale
Mon iris vert vire au noir
Le violente en silence pour ne pas céder..
Qu’il ose se poser une seconde
Sur la douceur de l’amour de ma vie
Qu’il essaie juste un instant de le scruter ..
Et je lui darde une oeillade fulgurante ..
Puis, les yeux bandés,
Je finis par loucher ma jalousie,
Bourreau de ma vie, sans répit..
Tu me fais les yeux doux,
Voulant te faire mon garde_fou
Je voudrais tant m’y noyer,
Sans douleur, sans pudeur,
Sans paroles,
Juste ton regard dans le mien,
Ma main dans la tienne..
Joue moi nos coeurs à quatre yeux,
Le mien ne bat que pour essayer d’y croire,
Fais vite, il lutte, il s’essouffle.
Lun 20 Fév 2006, 01:45 par
Luna_Lou sur Mille choses
Aimer à en mourir
Un amour impossible entre l’eau et le feu a pourtant vu le jour :
c’était un bel amour et qui m’a fait franchir les sommets escarpés. Mon âme et la tienne communiaient dans la joie ; nos coeurs s’étaient donnés. Plusieurs fois, avant cela, nous nous étions surpris de la complicité intime de nos êtres... Plusieurs fois, tu avais posé tes yeux sur moi et les miens ne s’étaient pas dérobés. Ce soir là, nos regards durèrent tant et tant qu’ils détruisirent le temps et l’espace entre nous, dans une innocence avide, nos âmes aspirées - en communion d’amour qu’on ne peut retracer, qu’on ne peut inventer, indicible, bien au delà de tout - se trouvèrent enlacées, brillant de bel amour. Seigneur, que j’étais bien ! J’avais ton cœur, tu possédais le mien ! Mais, sans trahir nulle femme tu n’avais pas le droit à cet amour pour moi. Oh, oui, je le savais ! Je n’en conçus nulle peur. Te voir me suffisait, me comblait de bonheur ! J’avais goûté au Ciel ! Tout nous faisait comprendre que nous étions ensemble et pour l’éternité ! Je me crûs forte. Je fus sage. Trop sage... Un jour heureux après moult combats, au téléphone tu osas une déclaration qui réveilla ma joie. Le lendemain fut funeste, c’est l’œuvre de mes mains ! Je niais les désirs de mon corps et du tien, je brisais l’élan de mon cœur qui m’appelait vers toi qui me tendis les bras. Tu t’étais arrangé pour que nous soyons seuls, nous êtions à l’aube de l’été... Je pris peur de nous, du désir qui jaillissait de nous, consciente de l’interdit formel répondant à tes voeux... Je partis en courant, te laissant chancelant... Ah, ciel, tes regards, lorsque je te retrouvais au milieu de ces gens qui nous dévisageaient, attendant le faux pas. Devinant tout l’amour nous unissant déjà. Je ne répondis pas aux questionnements que tes yeux murmuraient apeurés : pourquoi ? Pourquoi... Peu après ta décision fut prise de m’éloigner de toi... Mais, tant que nous étions amenés à nous voir, nous ne le pouvions pas, tantôt toi, tantôt moi, nous revenions vers l’autre. Alors, tu pris la décision de partir sans retour. J’ai crû mourir, l’ai souhaité plus souvent qu’à mon tour... Et puis, j’ai essayé de reprendre le chemin de la vie, de t’oublier et de renaître à l’amour pour un autre que toi... Mais non, hélas, c’est toujours impossible, je ne le puis pas, malgré ma soif d’aimer, malgré tout le désir qui a pris corps en moi, il ne s’adresse qu’à toi qui ne me lira pas. Combien de lettres t’ai-je écrites dont la plupart ne te parvinrent pas ? ! Quelle importance ?! Un jour, n’y tenant plus, je t’ai appelé et c’est ta voix qui m’a répondu, une dernière fois, avec toute la douceur que je n’oublierai pas... Je sais que tes yeux ne se poseront pas sur ces lignes, je ne sais si ton cœur est loin de moi aujourd’hui, comme la raison le voudrait... Parfois, la douleur s’atténue et je me crois guérie et puis, un mot, un geste et en moi tout jaillit... je dois laisser mon coeur se reposer. Ils sont nombreux aujourd’hui à me parler de toi, ceux qui, hier encore, me montraient du doigt, moi dont le crime demeure impuni : oser aimer, voilà de quoi je suis coupable, aimer un homme à en mourir...
c’était un bel amour et qui m’a fait franchir les sommets escarpés. Mon âme et la tienne communiaient dans la joie ; nos coeurs s’étaient donnés. Plusieurs fois, avant cela, nous nous étions surpris de la complicité intime de nos êtres... Plusieurs fois, tu avais posé tes yeux sur moi et les miens ne s’étaient pas dérobés. Ce soir là, nos regards durèrent tant et tant qu’ils détruisirent le temps et l’espace entre nous, dans une innocence avide, nos âmes aspirées - en communion d’amour qu’on ne peut retracer, qu’on ne peut inventer, indicible, bien au delà de tout - se trouvèrent enlacées, brillant de bel amour. Seigneur, que j’étais bien ! J’avais ton cœur, tu possédais le mien ! Mais, sans trahir nulle femme tu n’avais pas le droit à cet amour pour moi. Oh, oui, je le savais ! Je n’en conçus nulle peur. Te voir me suffisait, me comblait de bonheur ! J’avais goûté au Ciel ! Tout nous faisait comprendre que nous étions ensemble et pour l’éternité ! Je me crûs forte. Je fus sage. Trop sage... Un jour heureux après moult combats, au téléphone tu osas une déclaration qui réveilla ma joie. Le lendemain fut funeste, c’est l’œuvre de mes mains ! Je niais les désirs de mon corps et du tien, je brisais l’élan de mon cœur qui m’appelait vers toi qui me tendis les bras. Tu t’étais arrangé pour que nous soyons seuls, nous êtions à l’aube de l’été... Je pris peur de nous, du désir qui jaillissait de nous, consciente de l’interdit formel répondant à tes voeux... Je partis en courant, te laissant chancelant... Ah, ciel, tes regards, lorsque je te retrouvais au milieu de ces gens qui nous dévisageaient, attendant le faux pas. Devinant tout l’amour nous unissant déjà. Je ne répondis pas aux questionnements que tes yeux murmuraient apeurés : pourquoi ? Pourquoi... Peu après ta décision fut prise de m’éloigner de toi... Mais, tant que nous étions amenés à nous voir, nous ne le pouvions pas, tantôt toi, tantôt moi, nous revenions vers l’autre. Alors, tu pris la décision de partir sans retour. J’ai crû mourir, l’ai souhaité plus souvent qu’à mon tour... Et puis, j’ai essayé de reprendre le chemin de la vie, de t’oublier et de renaître à l’amour pour un autre que toi... Mais non, hélas, c’est toujours impossible, je ne le puis pas, malgré ma soif d’aimer, malgré tout le désir qui a pris corps en moi, il ne s’adresse qu’à toi qui ne me lira pas. Combien de lettres t’ai-je écrites dont la plupart ne te parvinrent pas ? ! Quelle importance ?! Un jour, n’y tenant plus, je t’ai appelé et c’est ta voix qui m’a répondu, une dernière fois, avec toute la douceur que je n’oublierai pas... Je sais que tes yeux ne se poseront pas sur ces lignes, je ne sais si ton cœur est loin de moi aujourd’hui, comme la raison le voudrait... Parfois, la douleur s’atténue et je me crois guérie et puis, un mot, un geste et en moi tout jaillit... je dois laisser mon coeur se reposer. Ils sont nombreux aujourd’hui à me parler de toi, ceux qui, hier encore, me montraient du doigt, moi dont le crime demeure impuni : oser aimer, voilà de quoi je suis coupable, aimer un homme à en mourir...
Dim 19 Fév 2006, 17:10 par
dolce vita sur Histoires d'amour
La vague est dans mon âme
La vague est dans mon âme
Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.
Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.
Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je t’ai sue près de moi, je t’ai vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.
Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.
Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.
Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.
Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je t’ai sue près de moi, je t’ai vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.
Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.
Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Sam 18 Fév 2006, 10:18 par
Iris sur L'amour en vrac
La vague est dans mon âme
La vague est dans mon âme
Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.
Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.
Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je t’ai sue près de moi, je t’ai vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.
Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.
Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.
Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.
Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je t’ai sue près de moi, je t’ai vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.
Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.
Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Ven 17 Fév 2006, 14:35 par
Iris sur Un monde parfait
Elohim varat elohim comme il disait !
Inadéquation
Je est de retour, encore une fois. J’écris au nom et pour celui qui n’existe pas puisqu’il n’est pas totalement présent. Il est Requiem, Loïc, Eric, Rachel et tous les autres qui viendront se mêler à ce creuset primitif dont la première célébration a eu lieu il y a 28 ans et qui n’a cessé d’être dissout dans mes altérités pour former ce que nous appèlerons « personnalité ». Il n’est pas totalement présent puisqu’il écrit à la 3e personne ; il n’existe pas totalement, surtout, par son amour désastreux et simulé de la convention qui le pousse à agir comme un individu lambda. Cessons ! que ce soit pour éviter d’arrêter de mourir ou juste par l’aveux d’un monstrueux ego aux membres démesurés prêts à faucher ce qui le gène. Et le sens moral dans tout ça ? Un garde-fous absurde qui me limite, m’étrangle, m’essouffle à chaque fois un peu plus que je resserre le garrot des obligations qui voudrait se faire passer pour une élégante cravate mais n’est en fait qu’une sangle servant à torturer sans que je n’y prenne plaisir, vu que je l’oublie aisément. Plaisir de se limiter, soit, mais que s’il y a la démesure qui l’accompagne et me rappèle, en même temps qu’aux autres, que je peux être beaucoup plus que ça. La peste mentale. La lèpre intellectuelle. Les morceaux de mon esprit qui ne servent plus tomberont peu à peu, définitivement pourris si je me laisse aller. Je dois me ressaisir, car je ne suis qu’une ombre de ce que je fus et ai condamné promptement en son temps pour des raisons qui ne sont pas les miennes : vagues considérations morales émanant d’un environnement qui ne l’est pas et voudrait faire passer de la paresse intellectuelle pour de la respectabilité.
Je sais ce qui est bien à mes yeux et ce qui ne l’est pas, avec toutes les déclinaisons d’acceptable qui les sépare.
Sois « trop franc » comme te l’ont objecté tes amis de jadis que tu vois encore malgré tout. Ne sois pas provocateur car se serait se conformer à ce que l’on attend de toi, ou ce que tu crois que l’on attend. Joue avec les gens, que tu ne respecte pas, si ça te chante. Aime beaucoup et sois bien aimé si nécessaire. Abîme-toi dans la spontanéité qui faisait sursauter certains à tes rires impromptus mais nullement gênés. Si les gens ne suivent pas, c’est leur problème, mais tu as gâché 10 ans (tchin, à la tienne dans environ 6 mois) à ne pas être Requiem.
33%, et vive moi. Le lyrisme me prend ou me reprend. Pourquoi ne pas faire de ma vie une poésie si je le désire, une tragédie si c’est important ou une comédie pour me distraire ? « On » a déjà donné dans le minimalisme à la dogma sans vraiment y croire ou y adhérer, mais juste par désœuvrement, ou tristesse, ou connerie. It’s over. Je suis de retour et le répète. Même si mes moignons intellectuels ne sont pas tous sauvables, on va essayer de limiter la casse. Toujours penser aux points communs du passé et du présent. Ils sont nombreux. « tout est mauvais si on laisse aller » comme dirait un collègue qui paraphrase Pascal… ? Si c’est exact, c’est très mauvais. Mais on va détacher les sangles, en faisant un peu plus chaque jour ce que j’ai envie de faire, car maintenant (et pour aujourd’hui), je sais ce que je veux. Et cette fois-ci, le petit asticot ne va pas faire chier son monde à bouffer insidieusement le tubercule de mes pensées. Il va crever comme une « vieille charogne » (merci Baudelaire) sociale qu’il est , parce que celui qui n’existe pas encore totalement est touchant, fort, intéressant, séduisant donc (un peu mégalo aussi, mais c’est juste parce qu’il ne fait plus que le penser, mais qu’il le verbalise aussi) et qu’il peut faire les choses qui lui chantent. Si l’aspect déplait ou rebute, c’est parce que le fond fait peur. Je ne suis pas normé. Et alors ? Tu fus décrit il y a quelques années comme un esprit libre. Soi-le encore et vraiment. Ne le fais pas juste à moitié.
Qu’importe si ça fait de moi une personne « différente »…
Je est de retour, encore une fois. J’écris au nom et pour celui qui n’existe pas puisqu’il n’est pas totalement présent. Il est Requiem, Loïc, Eric, Rachel et tous les autres qui viendront se mêler à ce creuset primitif dont la première célébration a eu lieu il y a 28 ans et qui n’a cessé d’être dissout dans mes altérités pour former ce que nous appèlerons « personnalité ». Il n’est pas totalement présent puisqu’il écrit à la 3e personne ; il n’existe pas totalement, surtout, par son amour désastreux et simulé de la convention qui le pousse à agir comme un individu lambda. Cessons ! que ce soit pour éviter d’arrêter de mourir ou juste par l’aveux d’un monstrueux ego aux membres démesurés prêts à faucher ce qui le gène. Et le sens moral dans tout ça ? Un garde-fous absurde qui me limite, m’étrangle, m’essouffle à chaque fois un peu plus que je resserre le garrot des obligations qui voudrait se faire passer pour une élégante cravate mais n’est en fait qu’une sangle servant à torturer sans que je n’y prenne plaisir, vu que je l’oublie aisément. Plaisir de se limiter, soit, mais que s’il y a la démesure qui l’accompagne et me rappèle, en même temps qu’aux autres, que je peux être beaucoup plus que ça. La peste mentale. La lèpre intellectuelle. Les morceaux de mon esprit qui ne servent plus tomberont peu à peu, définitivement pourris si je me laisse aller. Je dois me ressaisir, car je ne suis qu’une ombre de ce que je fus et ai condamné promptement en son temps pour des raisons qui ne sont pas les miennes : vagues considérations morales émanant d’un environnement qui ne l’est pas et voudrait faire passer de la paresse intellectuelle pour de la respectabilité.
Je sais ce qui est bien à mes yeux et ce qui ne l’est pas, avec toutes les déclinaisons d’acceptable qui les sépare.
Sois « trop franc » comme te l’ont objecté tes amis de jadis que tu vois encore malgré tout. Ne sois pas provocateur car se serait se conformer à ce que l’on attend de toi, ou ce que tu crois que l’on attend. Joue avec les gens, que tu ne respecte pas, si ça te chante. Aime beaucoup et sois bien aimé si nécessaire. Abîme-toi dans la spontanéité qui faisait sursauter certains à tes rires impromptus mais nullement gênés. Si les gens ne suivent pas, c’est leur problème, mais tu as gâché 10 ans (tchin, à la tienne dans environ 6 mois) à ne pas être Requiem.
33%, et vive moi. Le lyrisme me prend ou me reprend. Pourquoi ne pas faire de ma vie une poésie si je le désire, une tragédie si c’est important ou une comédie pour me distraire ? « On » a déjà donné dans le minimalisme à la dogma sans vraiment y croire ou y adhérer, mais juste par désœuvrement, ou tristesse, ou connerie. It’s over. Je suis de retour et le répète. Même si mes moignons intellectuels ne sont pas tous sauvables, on va essayer de limiter la casse. Toujours penser aux points communs du passé et du présent. Ils sont nombreux. « tout est mauvais si on laisse aller » comme dirait un collègue qui paraphrase Pascal… ? Si c’est exact, c’est très mauvais. Mais on va détacher les sangles, en faisant un peu plus chaque jour ce que j’ai envie de faire, car maintenant (et pour aujourd’hui), je sais ce que je veux. Et cette fois-ci, le petit asticot ne va pas faire chier son monde à bouffer insidieusement le tubercule de mes pensées. Il va crever comme une « vieille charogne » (merci Baudelaire) sociale qu’il est , parce que celui qui n’existe pas encore totalement est touchant, fort, intéressant, séduisant donc (un peu mégalo aussi, mais c’est juste parce qu’il ne fait plus que le penser, mais qu’il le verbalise aussi) et qu’il peut faire les choses qui lui chantent. Si l’aspect déplait ou rebute, c’est parce que le fond fait peur. Je ne suis pas normé. Et alors ? Tu fus décrit il y a quelques années comme un esprit libre. Soi-le encore et vraiment. Ne le fais pas juste à moitié.
Qu’importe si ça fait de moi une personne « différente »…
Lun 23 Jan 2006, 21:11 par
Ambriel sur Un monde parfait
Le huitième ciel
Je t’aimais tellement!
Je sentais mon âme,
Fusionner à la tienne.
C’est comme si,
Je n’étais qu’un.
Tu étais ma moitié,
Mon complément,
Mon tout.
Tout ce que j’étais!
Je t’aimais tellement!
Je sentais mon coeur,
Battre avec le tien.
C’est comme si,
Je n’étais qu’un.
Tu étais ma vie,
Mes respirations,
Mes espoirs.
Espoir que j’avais!
Je t’aimais tellement!
Toutes ces fois avec toi,
Nous étions au septième ciel.
J’aimais tellement,
Ton corps, tes mains,
Tout cet être à moi!
Je t’aimais tellement!
La dernière fois avec toi,
J’ai dépassé le septième,
Je suis tombée au huitième,
Les veines recousues,
Mais le coeur éclaté.
Je t’aimais tellement!
Je sentais mon âme,
Attaché à la tienne.
C’est comme si,
je t’appartenais.
Tu étais ma violence,
Mon désespoir,
Ma souffrance.
Toute douleur.
Je sentais mon âme,
Fusionner à la tienne.
C’est comme si,
Je n’étais qu’un.
Tu étais ma moitié,
Mon complément,
Mon tout.
Tout ce que j’étais!
Je t’aimais tellement!
Je sentais mon coeur,
Battre avec le tien.
C’est comme si,
Je n’étais qu’un.
Tu étais ma vie,
Mes respirations,
Mes espoirs.
Espoir que j’avais!
Je t’aimais tellement!
Toutes ces fois avec toi,
Nous étions au septième ciel.
J’aimais tellement,
Ton corps, tes mains,
Tout cet être à moi!
Je t’aimais tellement!
La dernière fois avec toi,
J’ai dépassé le septième,
Je suis tombée au huitième,
Les veines recousues,
Mais le coeur éclaté.
Je t’aimais tellement!
Je sentais mon âme,
Attaché à la tienne.
C’est comme si,
je t’appartenais.
Tu étais ma violence,
Mon désespoir,
Ma souffrance.
Toute douleur.
Jeu 22 Déc 2005, 05:41 par
imagora sur L'amour en vrac
Mon amour pour t'apaiser... le tien pour me garder...
Je suis la main qui se pose sur toi
pour t’apaiser… Présente…
Je suis la main qui connaît ton visage
le dessine en fermant les yeux… Légère…
Là, je l’imagine… Je le connais…
Je suis la main qui ne peut que s’attarder,
faire attention… Caresse…
Sur ton corps… Là, elle t’apprend… Encore…
je suis la main qui n’en peut plus
de ne pas se réchauffer… Attente…
J’ai souvent froid… Viens te coller sur elle…
Je suis la main « coquillage » qui tend, qui donne… Offrande…
Qui recueille ce que tu veux y déposer…
Je suis la main qui ne peut que s’étonner,
être insistante et douce… Tendresse…
Sur ta peau, partout elle s’imprime…
Je suis la main qui n’en finit pas
de redécouvrir, ce qu’elle a toujours connu… Toi…
Je suis la main qui ne se lasse pas de toi…
Je suis la main que tu trouveras… Toujours…
Je suis la main qui se plaît à épouser la tienne…
Doigts contre doigts, paume contre paume…
Et leur entente dès le premier effleurement…
Mes doigts découvrant les tiens, les parcourant…
Mon sourire, mes yeux les suivant amoureusement…
Un geste si naturel, une reconnaissance…
Une pression, là… Une autre, ici…
Et cette envie qu’a ma main de tenir la tienne,
de la toucher simplement, de la frôler à peine,
de la survoler sans m’y poser, mais de si près
que ta main ressentirait sa chaleur… Enfin
tes doigts curieux des miens…
Ma paume appuyée sur la tienne…
Le bout de mes doigts qui frôle,
qui passe, qui s’arrête… Qui reste…
Ma main qui convient à la tienne...
Toi qui me regarde... Ta main qui me garde;
elle est mon refuge... Mon havre de paix…
pour t’apaiser… Présente…
Je suis la main qui connaît ton visage
le dessine en fermant les yeux… Légère…
Là, je l’imagine… Je le connais…
Je suis la main qui ne peut que s’attarder,
faire attention… Caresse…
Sur ton corps… Là, elle t’apprend… Encore…
je suis la main qui n’en peut plus
de ne pas se réchauffer… Attente…
J’ai souvent froid… Viens te coller sur elle…
Je suis la main « coquillage » qui tend, qui donne… Offrande…
Qui recueille ce que tu veux y déposer…
Je suis la main qui ne peut que s’étonner,
être insistante et douce… Tendresse…
Sur ta peau, partout elle s’imprime…
Je suis la main qui n’en finit pas
de redécouvrir, ce qu’elle a toujours connu… Toi…
Je suis la main qui ne se lasse pas de toi…
Je suis la main que tu trouveras… Toujours…
Je suis la main qui se plaît à épouser la tienne…
Doigts contre doigts, paume contre paume…
Et leur entente dès le premier effleurement…
Mes doigts découvrant les tiens, les parcourant…
Mon sourire, mes yeux les suivant amoureusement…
Un geste si naturel, une reconnaissance…
Une pression, là… Une autre, ici…
Et cette envie qu’a ma main de tenir la tienne,
de la toucher simplement, de la frôler à peine,
de la survoler sans m’y poser, mais de si près
que ta main ressentirait sa chaleur… Enfin
tes doigts curieux des miens…
Ma paume appuyée sur la tienne…
Le bout de mes doigts qui frôle,
qui passe, qui s’arrête… Qui reste…
Ma main qui convient à la tienne...
Toi qui me regarde... Ta main qui me garde;
elle est mon refuge... Mon havre de paix…
Mar 08 Nov 2005, 10:18 par
danslalune sur Un monde parfait
Mon unique!
Toi mon unique, où es tu ?
C’est dans ces moments de solitude que je ne pense qu’à toi… Qui es tu ? Comment te reconnaître ? Grande ou petite, blonde, brune ou rousse (j’avoue avoir un faible pour les rousses), yeux… Je n’en sais rien ... Elle est là quelque part et me tombera dessus sans que n’aie le temps de le réaliser. L’aspect physique sera sûrement agréable, mais nous savons toi, mon unique, la femme de mes jours et de mes nuits, et moi, ton serviteur, que nous irons au-delà des nuages.
Nous partagerons tout et plus…
Amis, amants, amoureux, tout à la fois
Intimes, complices, peut être trop
Un signe, un regard, nous nous comprendrons
Orgueilleux et fier l’un de l’autre
Passion brûlante qui nous dévore
Existence et respect de l’individu
Confiance évidente
Un équilibre, tantôt eau, tantôt feu
Donner et recevoir juste pour le plaisir
Force du sexe ou le plaisir de l’amour
Une fusion inégalée suivant tes courbes
Envie permanente de nos caresses
Abandon dans nos moments de tendresse
Espérance dans de nos retrouvailles
Désolation de nos séparations
Intense en tout moments
Enfants, adultes
Serrons nous fort
Gardes ma main au creux de la tienne
Pendant que je te déclare une fois encore mon amour
Pour que tous les jours soient une éternité
En fait tu es quelqu’un que je ne connais pas, qui ne seras peut être rien de tout ça mais ce sera toi! Celle que j’aime...
C’est dans ces moments de solitude que je ne pense qu’à toi… Qui es tu ? Comment te reconnaître ? Grande ou petite, blonde, brune ou rousse (j’avoue avoir un faible pour les rousses), yeux… Je n’en sais rien ... Elle est là quelque part et me tombera dessus sans que n’aie le temps de le réaliser. L’aspect physique sera sûrement agréable, mais nous savons toi, mon unique, la femme de mes jours et de mes nuits, et moi, ton serviteur, que nous irons au-delà des nuages.
Nous partagerons tout et plus…
Amis, amants, amoureux, tout à la fois
Intimes, complices, peut être trop
Un signe, un regard, nous nous comprendrons
Orgueilleux et fier l’un de l’autre
Passion brûlante qui nous dévore
Existence et respect de l’individu
Confiance évidente
Un équilibre, tantôt eau, tantôt feu
Donner et recevoir juste pour le plaisir
Force du sexe ou le plaisir de l’amour
Une fusion inégalée suivant tes courbes
Envie permanente de nos caresses
Abandon dans nos moments de tendresse
Espérance dans de nos retrouvailles
Désolation de nos séparations
Intense en tout moments
Enfants, adultes
Serrons nous fort
Gardes ma main au creux de la tienne
Pendant que je te déclare une fois encore mon amour
Pour que tous les jours soient une éternité
En fait tu es quelqu’un que je ne connais pas, qui ne seras peut être rien de tout ça mais ce sera toi! Celle que j’aime...
Sam 05 Nov 2005, 23:30 par
Loyd sur Un monde parfait
Ecrire sur tienne
Voyageur immobile..., Nuit d'Orage et Glissement de... Temps, Incendie, Destin Eternel de Notre Amour, Mon âme et mon toi, Fille du peuple libre, je suis, Mes amis, mes amants., Jeux de regards, Aimer à en mourir, La vague est dans mon âme, La vague est dans mon âme, Elohim varat elohim comme il disait !, Le huitième ciel, Mon amour pour t'apaiser... le tien pour me garder..., Mon unique!,Il y a 61 textes utilisant le mot tienne. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Dans les nuages
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