Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tendresse - Page 4 sur 20
Mes yeux dans ton reflet
Comme deux gouttes d’eau ,
Perdues dans un brouillard
Qui avaient besoin de se retrouver
D’échanger encore leurs regards
Dont elles se sont finalement émerveillées
Assoiffées, qu’elles sont, depuis des années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement
En attendant que l’autre la rejoigne.
Pour se fondre, avec douceur, tendresse ,
Et ce grand, irrépressible amour
Qui était là depuis toujours.
Mais que l’une est en train de redécouvrir
Cette émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Où tout peut se briser,
D’un simple souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle
Et se laissera emporter
Dans une danse langoureuse
Fermant les yeux, et se rapprochant de plus en plus
Sa bouche, toute proche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement
Viendront s’y poser furtivement
Quelques petits baisers.
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera qu’extase"...
D’un bonheur partagé
Ils se regarderont
Dans le silence
D’une pénombre
À laquelle leurs yeux s’habitueront
Pour être encore plus proches
Pour ne former plus qu’un ..
Perdues dans un brouillard
Qui avaient besoin de se retrouver
D’échanger encore leurs regards
Dont elles se sont finalement émerveillées
Assoiffées, qu’elles sont, depuis des années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement
En attendant que l’autre la rejoigne.
Pour se fondre, avec douceur, tendresse ,
Et ce grand, irrépressible amour
Qui était là depuis toujours.
Mais que l’une est en train de redécouvrir
Cette émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Où tout peut se briser,
D’un simple souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle
Et se laissera emporter
Dans une danse langoureuse
Fermant les yeux, et se rapprochant de plus en plus
Sa bouche, toute proche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement
Viendront s’y poser furtivement
Quelques petits baisers.
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera qu’extase"...
D’un bonheur partagé
Ils se regarderont
Dans le silence
D’une pénombre
À laquelle leurs yeux s’habitueront
Pour être encore plus proches
Pour ne former plus qu’un ..
Jeu 26 Mai 2011, 15:19 par
caressedesyeux sur Mille choses
Un peu de toi en moi
Par un beau matin
Tu avais l’air de rien
Mais, déposant si gentiment tes mots
De quelques touches de couleur venant se déposer dans mon jardin
En l’agrémentant de bien jolies pensées
Que tu auras si bien mélangé...
Du rouge pour colorer sans arrêt mes joues
Du bleu, pour m’endormir le soir et faire de beaux rêves
Du jaune, comme les rayons de soleil que tu secoues pour illuminer ma vie
Du vert, pour l’espérance de croire en notre amitié si forte
Du blanc, douceur et tendresse, avec allégresse, toute en délicatesse...
Par un beau matin, tu es devenu mon ami
M’offrant ce qu’il y avait de plus gentil :
Un ami au grand cœur
un ami au bel esprit
Un ami, certes, pour le reste de ma vie...
Tu avais l’air de rien
Mais, déposant si gentiment tes mots
De quelques touches de couleur venant se déposer dans mon jardin
En l’agrémentant de bien jolies pensées
Que tu auras si bien mélangé...
Du rouge pour colorer sans arrêt mes joues
Du bleu, pour m’endormir le soir et faire de beaux rêves
Du jaune, comme les rayons de soleil que tu secoues pour illuminer ma vie
Du vert, pour l’espérance de croire en notre amitié si forte
Du blanc, douceur et tendresse, avec allégresse, toute en délicatesse...
Par un beau matin, tu es devenu mon ami
M’offrant ce qu’il y avait de plus gentil :
Un ami au grand cœur
un ami au bel esprit
Un ami, certes, pour le reste de ma vie...
Mar 17 Mai 2011, 16:34 par
caressedesyeux sur Mille choses
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii
17 mars 2004 dans son journal intime : "Si à trente ans, je suis encore puceau, j’irai quand même chez les putes"
Découvertes
Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".
La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.
Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.
Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.
Ses relations
Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.
Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.
Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.
Les initiatrices
Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.
Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.
Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.
Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.
L’espagnole
Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.
Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.
Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.
Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.
Imaginaire de notre héros
Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.
Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.
Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.
Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.
Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !
Différents mode de sexualité
Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.
La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.
Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.
Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.
Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.
Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.
C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.
Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.
Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !
Virtualité
N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.
De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.
Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.
Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.
Redécouverte de l’amour
Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble
Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.
Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.
Sexualité alternative dans un sens spirituel
Biographie BDSM de notre héros
Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.
A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."
Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.
Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.
Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.
Meilleures salutations.
Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.
Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.
Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.
Femme soumise du Sud
Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.
Maman
Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.
Conclusion
L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.
Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »
Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !
Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».
Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.
Fin
Invocation du jeune homme à marier
Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !
Jeaneck, mai 2011
Découvertes
Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".
La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.
Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.
Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.
Ses relations
Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.
Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.
Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.
Les initiatrices
Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.
Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.
Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.
Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.
L’espagnole
Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.
Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.
Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.
Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.
Imaginaire de notre héros
Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.
Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.
Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.
Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.
Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !
Différents mode de sexualité
Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.
La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.
Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.
Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.
Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.
Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.
C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.
Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.
Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !
Virtualité
N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.
De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.
Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.
Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.
Redécouverte de l’amour
Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble
Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.
Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.
Sexualité alternative dans un sens spirituel
Biographie BDSM de notre héros
Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.
A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."
Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.
Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.
Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.
Meilleures salutations.
Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.
Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.
Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.
Femme soumise du Sud
Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.
Maman
Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.
Conclusion
L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.
Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »
Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !
Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».
Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.
Fin
Invocation du jeune homme à marier
Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !
Jeaneck, mai 2011
Mar 17 Mai 2011, 14:41 par
Jeaneck sur La vie à deux
A toi, ma delphine
Delphine,
Ou plutôt Ma Chérie,
Le temps est venu pour moi de t’annoncer et de t’exprimer mes sentiments, je vais tenter d’être le moins maladroit car c’est là mon plus grand défaut... avec celui de mal communiquer.
Bientôt 7 ans que nous sommes ensemble... 6 ans et demi de joie, de bonheur, mais également de "prises de tête", de colères, parfois de pleurs ... mais heureusement aussi 6 ans et demi de "pétages de plombs" complets, de rire, mais surtout d’Amour.
Ce modeste billet a pour but de te prouver, devant le "monde entier",
A toi, mon Carpaccio de tendresse,
A toi, mon Magret à la sauce calin accompagné de ses regards coquins,
A toi, ma Crème de Saint Agur aux baisers flamboyants,
A toi mon Paris Brest si désirable,
Combien je t’aime, aujourd’hui et pour toujours.
Reçois ce billet comme mille baisers de ma part.
Ton Namour
Ou plutôt Ma Chérie,
Le temps est venu pour moi de t’annoncer et de t’exprimer mes sentiments, je vais tenter d’être le moins maladroit car c’est là mon plus grand défaut... avec celui de mal communiquer.
Bientôt 7 ans que nous sommes ensemble... 6 ans et demi de joie, de bonheur, mais également de "prises de tête", de colères, parfois de pleurs ... mais heureusement aussi 6 ans et demi de "pétages de plombs" complets, de rire, mais surtout d’Amour.
Ce modeste billet a pour but de te prouver, devant le "monde entier",
A toi, mon Carpaccio de tendresse,
A toi, mon Magret à la sauce calin accompagné de ses regards coquins,
A toi, ma Crème de Saint Agur aux baisers flamboyants,
A toi mon Paris Brest si désirable,
Combien je t’aime, aujourd’hui et pour toujours.
Reçois ce billet comme mille baisers de ma part.
Ton Namour
Dim 08 Mai 2011, 17:50 par
Namour sur La déclaration d'amour
Abandon....
De mon visage que tu touches
De tes baisers que je sens sur ma bouche
De mon corps dont tu pars à la découverte
De tes caresses dont je suis couverte
De mes seins que tu embrasses
De tes gestes dont je reçois la tendresse
De mon ventre que tu frôles
De tes douceurs dont je perds le contrôle
De mon sexe que tu effleures
De tes délicatesses qui me rendent Fleur
De cette fleur dont le corps s’abandonne à Toi
Satine
De tes baisers que je sens sur ma bouche
De mon corps dont tu pars à la découverte
De tes caresses dont je suis couverte
De mes seins que tu embrasses
De tes gestes dont je reçois la tendresse
De mon ventre que tu frôles
De tes douceurs dont je perds le contrôle
De mon sexe que tu effleures
De tes délicatesses qui me rendent Fleur
De cette fleur dont le corps s’abandonne à Toi
Satine
Sam 07 Mai 2011, 20:40 par
Satine sur L'amour en vrac
T'offrir mon coeur
T’offrir mon coeur
On s’est croisés, sur le net, un jour,
Comme ça, par curiosité, par hasard
Au détour d’un texte, d’une page.
Puis, sur ces mots, un visage
A pris place dans mon coeur
Le remplissant de tendresse et d’amour
Et je découvris le sens du mot bonheur.
Quelques mois au Paradis
Pour découvrir l’enfer
D’une horrible maladie
Qui chaque jour t’enterre
Je voudrais, te donner mon cœur,
Pour que ta vie soit meilleure
Que tu aies la force et le courage
De faire face à cet orage
Je voudrais te donner mon souffle,
Pour grimper ,jusqu’en haut de la montagne
Et mon sang pour que tu gagnes
Cette bataille qui t’essouffle
Avec toi , main dans la main,
Je voudrais pouvoir continuer ce chemin
Que nous avons pris par hasard un jour
Et pouvoir continuer à vivre notre amour
Mais le destin veut te détruire
Je voudrais te donner mes sourires
Pour que tu puisses te reconstruire
À mes pitreries, te faire rire
Oublier toute cette détresse
Je voudrais te donner ma tendresse
Afin qu’elle comble ce qu’il te manque le plus.
Je voudrais te donner ma vie,
Car, sans toi, elle n’a plus de sens
Pour que tu restes un peu plus ici
J’ai encore besoin de ta présence
On s’est croisés, sur le net, un jour,
Comme ça, par curiosité, par hasard
Au détour d’un texte, d’une page.
Puis, sur ces mots, un visage
A pris place dans mon coeur
Le remplissant de tendresse et d’amour
Et je découvris le sens du mot bonheur.
Quelques mois au Paradis
Pour découvrir l’enfer
D’une horrible maladie
Qui chaque jour t’enterre
Je voudrais, te donner mon cœur,
Pour que ta vie soit meilleure
Que tu aies la force et le courage
De faire face à cet orage
Je voudrais te donner mon souffle,
Pour grimper ,jusqu’en haut de la montagne
Et mon sang pour que tu gagnes
Cette bataille qui t’essouffle
Avec toi , main dans la main,
Je voudrais pouvoir continuer ce chemin
Que nous avons pris par hasard un jour
Et pouvoir continuer à vivre notre amour
Mais le destin veut te détruire
Je voudrais te donner mes sourires
Pour que tu puisses te reconstruire
À mes pitreries, te faire rire
Oublier toute cette détresse
Je voudrais te donner ma tendresse
Afin qu’elle comble ce qu’il te manque le plus.
Je voudrais te donner ma vie,
Car, sans toi, elle n’a plus de sens
Pour que tu restes un peu plus ici
J’ai encore besoin de ta présence
Ven 15 Avril 2011, 14:36 par
caressedesyeux sur Mille choses
Le temps des vacances (alessia) chapitre trois
Les jours passent, longs, tristes et monotones. Elle ne cesse de penser à lui, à ses baisers, ses caresses que cela en devient obsessionnel. Elle aimerait pouvoir le revoir afin de plonger son regard dans ses yeux sombres et voir si elle peut y discerner un petit quelque chose qui la persuaderait que cette absence lui fait le même terrible effet qu’elle ressent...
Leurs regards, leurs discussions, leurs ébats, ce fut comme un tsunami, qui renverse et emporte tout sur son passage : bouleversante révélation qu’est un coup de foudre.
Elle est totalement subjuguée, et rêve d’aller vraiment jusqu’au bout avec lui. Lui donner tout ce dont elle est capable en matière de tendresse et de douceur. L’aimer complètement, être sienne entièrement. Elle y croit si fort en cet amour, même si elle est consciente qu’il n’y a pas d’avenir possible entre eux, qu’elle est prête à tout. Elle veut vivre cette passion qui la dévore un peu plus chaque jour. Il est son obsession, et rien de ce qu’on pourrait lui objecter, ne l’arrêtera.
Elle aime déjà l’homme qu’il est. Ce charisme qu’il dégage, son esprit brillant, son coté si posé et responsable et pourtant de l’inconscience juvénile d’une sensibilité à fleur de peau. Elle aime ce coté romantique, qui l’amène à l’apprivoiser doucement , sans l’effaroucher, à prendre le temps qu’il faut pour la comprendre et l’apprécier.....
Elle est comme lui, éternelle romantique, farouchement rêveuse, mais d’horribles pensées torturent son esprit et obscurcissent ce bel avenir qu’elle entrevoit. Pour être franche avec elle-même : Elle a peur ! Peur de voir dans son regard la déception lorsque, ce jour dont elle rêve tant, sur son corps, ses yeux, il posera. Elle a peur de décevoir ses espérances, le jour qu’il effeuillera.
Car elle n’a plus l’irrésistible attrait de ses vingt ans, ni même la belle prestance de ses trente ans. Elle a peur de sa réaction quand les vêtements ôtés, elle lui apparaîtra telle qu’elle est. Bien sûr, elle assume ses rondeurs et est bien dans son corps. Même si elle n’a pas le ventre plat d’un mannequin et que quelques bourrelets par ci, par là donnent du volume à sa silhouette. Et puis il y a cette cellulite qui s’est sournoisement installée malgré le sport et qui fait que sa peau n’est pas aussi lisse et douce qu’elle le voudrait.En somme, elle doute de lui plaire, doute qu’il la trouve aussi attirante qu’il ne l’espère et qu’il ne l’aime suffisamment pour ne prêter attention à tous ces défauts qu’elle trouve à son corps. Alessia n’est pas le genre de femme à avoir des aventures. Lorsqu’elle aime, elle est sincère et entière. Elle ne joue pas un rôle, ne s’invente pas des sentiments......
Leurs regards, leurs discussions, leurs ébats, ce fut comme un tsunami, qui renverse et emporte tout sur son passage : bouleversante révélation qu’est un coup de foudre.
Elle est totalement subjuguée, et rêve d’aller vraiment jusqu’au bout avec lui. Lui donner tout ce dont elle est capable en matière de tendresse et de douceur. L’aimer complètement, être sienne entièrement. Elle y croit si fort en cet amour, même si elle est consciente qu’il n’y a pas d’avenir possible entre eux, qu’elle est prête à tout. Elle veut vivre cette passion qui la dévore un peu plus chaque jour. Il est son obsession, et rien de ce qu’on pourrait lui objecter, ne l’arrêtera.
Elle aime déjà l’homme qu’il est. Ce charisme qu’il dégage, son esprit brillant, son coté si posé et responsable et pourtant de l’inconscience juvénile d’une sensibilité à fleur de peau. Elle aime ce coté romantique, qui l’amène à l’apprivoiser doucement , sans l’effaroucher, à prendre le temps qu’il faut pour la comprendre et l’apprécier.....
Elle est comme lui, éternelle romantique, farouchement rêveuse, mais d’horribles pensées torturent son esprit et obscurcissent ce bel avenir qu’elle entrevoit. Pour être franche avec elle-même : Elle a peur ! Peur de voir dans son regard la déception lorsque, ce jour dont elle rêve tant, sur son corps, ses yeux, il posera. Elle a peur de décevoir ses espérances, le jour qu’il effeuillera.
Car elle n’a plus l’irrésistible attrait de ses vingt ans, ni même la belle prestance de ses trente ans. Elle a peur de sa réaction quand les vêtements ôtés, elle lui apparaîtra telle qu’elle est. Bien sûr, elle assume ses rondeurs et est bien dans son corps. Même si elle n’a pas le ventre plat d’un mannequin et que quelques bourrelets par ci, par là donnent du volume à sa silhouette. Et puis il y a cette cellulite qui s’est sournoisement installée malgré le sport et qui fait que sa peau n’est pas aussi lisse et douce qu’elle le voudrait.En somme, elle doute de lui plaire, doute qu’il la trouve aussi attirante qu’il ne l’espère et qu’il ne l’aime suffisamment pour ne prêter attention à tous ces défauts qu’elle trouve à son corps. Alessia n’est pas le genre de femme à avoir des aventures. Lorsqu’elle aime, elle est sincère et entière. Elle ne joue pas un rôle, ne s’invente pas des sentiments......
Mer 06 Avril 2011, 17:59 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Echec et mat
Après une petite entrevue fructueuse
Nous voici enfin, face à face,
Et subitement tu deviens bien sérieuse :
Finies les hésitations de la préface
Tu as mis tous tes atouts en évidence
Afin de me faire céder facilement
Mais ne crois pas trop à la chance
J’ai un sacré tempérament !
Ton regard implacable soutient le mien,
Sans qu’un frisson ne fasse bouger un cil
Je décide, de prendre la facette du fou
Jouant à la marionnette sans fil.
Pour te déstabiliser du premier coup
J’improvise une jonglerie de balles multicolores
Mais cela ne semble t’impressionner guère
Tu connais les trucs et les manières
De ceux qui disent qu’ils t’adorent.
Je prends alors la place de la tour
Pour t’en jouer un bien astucieux
Me transforme en gentil troubadour
Ma harpe fredonne un chant mélodieux.
Où l’amour parle de douceur et tendresse,
De quelques baisers t’effleurant le corps
Mais tu es déjà une belle princesse
Et connais les écueils du décor
Tu parais être subitement endormie
Mais ta conscience retrouve vite ses esprits.
Le cavalier arrive alors fougueux
Plongeant son regard brûlant dans le tien
Surprise, tu baisses ta garde un petit peu.
Pour mieux m’attirer dans ton guet-apens
Et pointer ton épée si aiguisée sur mon cœur
Mais ne suis dupe et te désarçonne à ma manière
D’un sourire radieux et d’un compliment flatteur,
Qui touche et n’a pas l’air de te déplaire
Mais tu n’es pas tombée de la dernière
Et me contre en experte cavalière.
Je sors dés lors ma dernière carte
Le roi qui s’avance avec détermination
Sur mon passage, les pion s’écartent
Je vais sur la reine sans hésitation.
Je baise ta main si délicatement
Que ton sourire me fait comprendre
Qu’il est temps que je m’applique sérieusement.
Que ton cœur est prêt à se rendre
Qu’il faut que j’abatte mon dernier coup,
Je t’enlace et te serre tout contre moi
Avec force et en même temps très doux
Je sens ton corps frissonner d’un émoi.
Ton cœur taper si fort dans ta poitrine
Je t’embrasse alors si passionnément
Que tu entends une chorale divine
Te voila étourdie, toute retournée
Mes baisers te font l’effet d’un soudain sommeil
Tu en tombes à mes pieds subjuguée
Jamais tu n’as connu trouble pareil
Tu n’aurais cru que je te battes
Échec et mat !
CARESSEDESYEUX
Jeu 17 Mars 2011, 17:40 par
caressedesyeux sur Mille choses
La chaleur d'un murmure
la chaleur d’un murmure...
Tant de temps et pourtant demeure
Ton murmure, que j’entends encore
Il me semble qu’il n’a jamais quitté cet abri
Qu’il s’est fabriqué dans mon esprit.
Il a fait soudainement très chaud,
Et je me suis baignée dans ta chaleur
J’en ai oublié ma peine et mes maux.
S’éloigne la solitude et son horreur
Car mon cœur devenait triste et froid
Mais il aura suffit d’une petite étincelle,
D’une toute petite parcelle d’émoi
Pour que la joie envahisse tous mes sens.
Jaillissant impérieuse pour embellir ma vie
Faisant exploser toutes les barrières,
Et libérant aussi ces larmes amères
Qui ont inondé tant de mes nuits.,
Je viens avec précaution me brûler à ton feu
Et m’abriter sous tes grandes ailes
Tes ailes où je me sens si bien
En m’entourant de ton réconfort
La douceur de ton corps
Et de ta tendresse...
Tant de temps et pourtant demeure
Ton murmure, que j’entends encore
Il me semble qu’il n’a jamais quitté cet abri
Qu’il s’est fabriqué dans mon esprit.
Il a fait soudainement très chaud,
Et je me suis baignée dans ta chaleur
J’en ai oublié ma peine et mes maux.
S’éloigne la solitude et son horreur
Car mon cœur devenait triste et froid
Mais il aura suffit d’une petite étincelle,
D’une toute petite parcelle d’émoi
Pour que la joie envahisse tous mes sens.
Jaillissant impérieuse pour embellir ma vie
Faisant exploser toutes les barrières,
Et libérant aussi ces larmes amères
Qui ont inondé tant de mes nuits.,
Je viens avec précaution me brûler à ton feu
Et m’abriter sous tes grandes ailes
Tes ailes où je me sens si bien
En m’entourant de ton réconfort
La douceur de ton corps
Et de ta tendresse...
Dim 13 Mars 2011, 11:24 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Cest ainsi
[size=18]Je t’ai aimé
je t’ai adulé
J’étais en adoration
Pensant à toi jour et nuit.
J’ai beaucoup pleuré aussi
J’ai ravalé toutes mes larmes.
Tu m’as fait souffrir trop de mal,
TU as eu des mots durs
Et pourtant je t’aimais toujours
J’en ai crevé au point de me meurtrir.
Tu es venu, hanter mes rêves,
M’empêchant de m’endormir
Telle une passion dévastatrice,
Où je ne contrôlais plus rien
Où mes supplices de te retrouver étaient si forts.
Mon étincelle, pour toi, s’en est éteinte,
Et je fais semblant d’y croire encore
Mais je n’ai plus d’espoir.
Tu ne m’aimes pas
Pas comme j’aurai voulu.
J’aurai voulu être la seule
Mais cela ne sera pas pour moi...
Malgré mes maladresses ,
Malgré tous ce qui nous sépare
Tu seras ma tendresse
Et le resteras à jamais...
Amis , on le sera,
Amis on le restera.[/size] caressedesyeux
je t’ai adulé
J’étais en adoration
Pensant à toi jour et nuit.
J’ai beaucoup pleuré aussi
J’ai ravalé toutes mes larmes.
Tu m’as fait souffrir trop de mal,
TU as eu des mots durs
Et pourtant je t’aimais toujours
J’en ai crevé au point de me meurtrir.
Tu es venu, hanter mes rêves,
M’empêchant de m’endormir
Telle une passion dévastatrice,
Où je ne contrôlais plus rien
Où mes supplices de te retrouver étaient si forts.
Mon étincelle, pour toi, s’en est éteinte,
Et je fais semblant d’y croire encore
Mais je n’ai plus d’espoir.
Tu ne m’aimes pas
Pas comme j’aurai voulu.
J’aurai voulu être la seule
Mais cela ne sera pas pour moi...
Malgré mes maladresses ,
Malgré tous ce qui nous sépare
Tu seras ma tendresse
Et le resteras à jamais...
Amis , on le sera,
Amis on le restera.[/size] caressedesyeux
Lun 21 Fév 2011, 20:22 par
caressedesyeux sur Mille choses
Une femme ,un homme
Il venait du sud,elle du nord. Ils s’étaient donnés rendez-vous ,à une terrasse fleuries, où les chèvrefeuilles embaumaient, le quartier...Un fameux "gouter" les attendaient. De part sa notoriété, cette pâtisserie valait les autres, mais il y avait de délicieux chocolats chauds, dont ils se gardaient bien de la divulguer la recette. Une touche de cannelle, aux puissants arôme d’un chocolat brésilien, et de merveilleuses mignardises accompagnaient ce breuvage si onctueux. Ils allaient enfin se voir, pour la première fois.
Leur yeux pétillants, leurs sourires, comme si ils se connaissaient depuis toujours...
A se demander lequel allait commencer la conversation, car troublés, ils l’étaient. Elle rougissait, et lui n’osait pas trop la regarder de face. Elle le trouva "captivant" par sa gentillesse, son humour et son bel esprit. Il la trouva charmante, pleine d’esprit, belle, avec cette fragilité qui le bouleversa. Un petit grain de folie vivifiant le charmait. Il aimait aussi ces mimiques et remarquait ses rides d’expression, ses taches de rousseur, et surtout son grain de beauté au coin de sa lèvre. Elle avait souligné ses paupières d’un trait, et mit sur sa bouche un gloss. Elle portait quelque chose de " frais". Il devinait, qu’elle avait bon goût par sa façon de s’habiller et de se mouvoir...
La confiance s’installa tout naturellement. Il y avait de belles choses qui commençaient à germer dans son esprit. Quant à elle, elle imaginait les mêmes choses. C’était une puissante attirance, et leurs corps étaient à fleur de peau...
Il lui proposa une ballade, en lui demandant sa main, ce qu’elle accepta. Puis il osa caresser avec son pouce, son poignet, mais elle ne disait rien, et pour lui, c"était un signe révélateur. Elle aimait cela et l’encourageait à continuer. Ils arrivèrent devant un beau bâtiment, un hôtel très réputé. Ils se regardèrent en ayant la même idée, et la même soif intense qui les poussaient vers l’entrée....
Ils explorèrent, avec une frénésie inhabituelle, les lieux, et décidèrent finalement de prendre un bain.
Pudiques, et respectueux, malgré tout il lui permit de monter la première ,en mettant une main sur ses yeux.
Elle entra dans cette mousse onctueuse, puis a son tour; il y "pénétra"...
Leurs corps s’approchèrent, et il commença, avec sa main, à lui prodiguer de douces caresses, tout en la lavant.
Elle commença a gémir. Il descendit dans le trésor de sa moiteur, en "titillant son pistil rose, et gonflée.
Il haletait si fort, que son ardeur se fit sentir. Elle osa y mettre sa main, et l’entourant avec délicatesse, elle commença des va et vient...
Puis il la prit soudainement dans ses bras, et l’emmena sur le lit. Elle décida de prendre l’initiative, d’un sourire coquin, et très sure d’elle. Un foulard attaché autour de ses yeux, puis improvisant, elle trouva quelque chose qui servirait d’un doux lien à attacher ses poignets, afin qu’il soit dans l’incapacité de faire quoi que ce soit.
Il commença à aimer ce petit jeu, très doux, très subtil de part ses effleurages de baisers sur tout son corps,
et sentir sa langue chaude, s’insérer dans les moindres recoins. Elle joua très longtemps, en prenant bien soin de ne rien oublier. En le "mordant", léchant, caressant.... la jouissance n’était pas loin.
Puis elle "s"empala" dessus, et ondula de ses belles hanches dans des mouvements tantôt lents, tantôt rapides...!e déferlement d’un puissant raz de marée les secoua tout les deux, et leurs corps se lâchèrent subitement...
Elle avait encore cette fièvre. L’embrasser encore et encore et il était bouleversé de voir ce "petit" bout de femme avec cette fièvre de tendresse et d’affection, à son égard. Ce besoin intense, que cela ne se termine pas.
Mais ils savaient qu’ils en passeraient fatalement par là...La séparation fut-elle douloureuse pour elle comme pour lui, même si ils n’en parlaient pas? Un dernier regard chargé d’amour, un baiser torride, et elle disparut .
Leur yeux pétillants, leurs sourires, comme si ils se connaissaient depuis toujours...
A se demander lequel allait commencer la conversation, car troublés, ils l’étaient. Elle rougissait, et lui n’osait pas trop la regarder de face. Elle le trouva "captivant" par sa gentillesse, son humour et son bel esprit. Il la trouva charmante, pleine d’esprit, belle, avec cette fragilité qui le bouleversa. Un petit grain de folie vivifiant le charmait. Il aimait aussi ces mimiques et remarquait ses rides d’expression, ses taches de rousseur, et surtout son grain de beauté au coin de sa lèvre. Elle avait souligné ses paupières d’un trait, et mit sur sa bouche un gloss. Elle portait quelque chose de " frais". Il devinait, qu’elle avait bon goût par sa façon de s’habiller et de se mouvoir...
La confiance s’installa tout naturellement. Il y avait de belles choses qui commençaient à germer dans son esprit. Quant à elle, elle imaginait les mêmes choses. C’était une puissante attirance, et leurs corps étaient à fleur de peau...
Il lui proposa une ballade, en lui demandant sa main, ce qu’elle accepta. Puis il osa caresser avec son pouce, son poignet, mais elle ne disait rien, et pour lui, c"était un signe révélateur. Elle aimait cela et l’encourageait à continuer. Ils arrivèrent devant un beau bâtiment, un hôtel très réputé. Ils se regardèrent en ayant la même idée, et la même soif intense qui les poussaient vers l’entrée....
Ils explorèrent, avec une frénésie inhabituelle, les lieux, et décidèrent finalement de prendre un bain.
Pudiques, et respectueux, malgré tout il lui permit de monter la première ,en mettant une main sur ses yeux.
Elle entra dans cette mousse onctueuse, puis a son tour; il y "pénétra"...
Leurs corps s’approchèrent, et il commença, avec sa main, à lui prodiguer de douces caresses, tout en la lavant.
Elle commença a gémir. Il descendit dans le trésor de sa moiteur, en "titillant son pistil rose, et gonflée.
Il haletait si fort, que son ardeur se fit sentir. Elle osa y mettre sa main, et l’entourant avec délicatesse, elle commença des va et vient...
Puis il la prit soudainement dans ses bras, et l’emmena sur le lit. Elle décida de prendre l’initiative, d’un sourire coquin, et très sure d’elle. Un foulard attaché autour de ses yeux, puis improvisant, elle trouva quelque chose qui servirait d’un doux lien à attacher ses poignets, afin qu’il soit dans l’incapacité de faire quoi que ce soit.
Il commença à aimer ce petit jeu, très doux, très subtil de part ses effleurages de baisers sur tout son corps,
et sentir sa langue chaude, s’insérer dans les moindres recoins. Elle joua très longtemps, en prenant bien soin de ne rien oublier. En le "mordant", léchant, caressant.... la jouissance n’était pas loin.
Puis elle "s"empala" dessus, et ondula de ses belles hanches dans des mouvements tantôt lents, tantôt rapides...!e déferlement d’un puissant raz de marée les secoua tout les deux, et leurs corps se lâchèrent subitement...
Elle avait encore cette fièvre. L’embrasser encore et encore et il était bouleversé de voir ce "petit" bout de femme avec cette fièvre de tendresse et d’affection, à son égard. Ce besoin intense, que cela ne se termine pas.
Mais ils savaient qu’ils en passeraient fatalement par là...La séparation fut-elle douloureuse pour elle comme pour lui, même si ils n’en parlaient pas? Un dernier regard chargé d’amour, un baiser torride, et elle disparut .
Mer 16 Fév 2011, 20:15 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Tchat
Il était une fois une Femme sans joie
Qui se prit au jeu d’aller tchater un peu.
Au hasard des pseudos, il en fût un beau
Qui de tâtonnements en questionnements
Devint son prince charmant
Lui murmurant à l’oreille
D’une voix sans pareille
Mill monts et merveilles
Et réveillant soudain à ses sens éteins
Le feu de l’Essence du Divin
Elle se prit à jouer, par cette voix, charmée
De délicieux orgasmes, de ses sens en extases
Pour un jour enfin le rencontrer
Il a su jouer d’elle, et elle de lui
Jouer de ces accords dans le temps d’un aprés-midi
Et le temps s’enfuyant, il en devint distant
Pour qu’un jour, à bout de recours
Il en vint à provoquer son secours
Méfiante, mais généreuse, elle tint sa promesse
Sans être dispendieuse, souriante et amoureuse
Il fût heureux de ses largesses
Mais le doute installé, de mots venimeux distillés
Et par la distance séparés, elle eut pu croire à l’arnaque
Et a pleuré des larmes au goût âcre
Mais de passion en déraison, de tendresse sans caresses
Et de complicité en amitié, sans faiblesse
Elle garde pour lui l’amour d’une diablesse
La patience d’une lionne, et l’espérance de la reconnaissance
Qui se prit au jeu d’aller tchater un peu.
Au hasard des pseudos, il en fût un beau
Qui de tâtonnements en questionnements
Devint son prince charmant
Lui murmurant à l’oreille
D’une voix sans pareille
Mill monts et merveilles
Et réveillant soudain à ses sens éteins
Le feu de l’Essence du Divin
Elle se prit à jouer, par cette voix, charmée
De délicieux orgasmes, de ses sens en extases
Pour un jour enfin le rencontrer
Il a su jouer d’elle, et elle de lui
Jouer de ces accords dans le temps d’un aprés-midi
Et le temps s’enfuyant, il en devint distant
Pour qu’un jour, à bout de recours
Il en vint à provoquer son secours
Méfiante, mais généreuse, elle tint sa promesse
Sans être dispendieuse, souriante et amoureuse
Il fût heureux de ses largesses
Mais le doute installé, de mots venimeux distillés
Et par la distance séparés, elle eut pu croire à l’arnaque
Et a pleuré des larmes au goût âcre
Mais de passion en déraison, de tendresse sans caresses
Et de complicité en amitié, sans faiblesse
Elle garde pour lui l’amour d’une diablesse
La patience d’une lionne, et l’espérance de la reconnaissance
Jeu 13 Jan 2011, 19:49 par
orev02 sur Amour internet
Oisillon
Je me sens créatrice si au jeu du plaisir je crée le plaisir.
Je referme doucement mes doigts ils effleurent son coup son duvet ainsi ni l’eau, ni l’alizé du capricorne ne sont plus doux, et je m’évade dans mes songes.
A la tendresse que je mets à réchauffer entre mes mains l’oisillon tombé du nid il me récompense à se blottir dans mon nid. Je referme doucement les jambes, il effleure ma peau, mon duvet.
Picore ma chatte, bois à ma source.
Chante heureux dans ton nid, chante à perdre le souffle, chante à faire s’ouvrir le lotus
Chante ma chatte sous mes doigts chante à faire s’ouvrir le lotus que je m’évade dans mes songes.
Je referme doucement mes doigts ils effleurent son coup son duvet ainsi ni l’eau, ni l’alizé du capricorne ne sont plus doux, et je m’évade dans mes songes.
A la tendresse que je mets à réchauffer entre mes mains l’oisillon tombé du nid il me récompense à se blottir dans mon nid. Je referme doucement les jambes, il effleure ma peau, mon duvet.
Picore ma chatte, bois à ma source.
Chante heureux dans ton nid, chante à perdre le souffle, chante à faire s’ouvrir le lotus
Chante ma chatte sous mes doigts chante à faire s’ouvrir le lotus que je m’évade dans mes songes.
Mar 04 Jan 2011, 00:17 par
antoine sur Les liaisons sulfureuses
Mes yeux dans ton reflet
Comme deux gouttes d’eau , qui avaient besoin de se retrouver
Et dont ils en seront finalement émerveillés.
Assoiffées , depuis deux années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement en attendant que l’autre la rejoigne.
Se joignant, avec douceur, tendresse , et amour
Qui était la depuis toujours.
Mais dont l’une est en train de la redécouvrir
D’émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Ou tous peut se briser, d’un souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle et se laissera emporter dans une danse "langoureuse"
Fermant leur yeux, et se rapprochant de plus en plus.
Sa bouche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement viendra furtivement s’y poser.
Quelques petits baisers
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera "qu’extase"...
Ils se regarderont,dans un silence , et une pénombre
Et dont leurs yeux s ’en ,habitueront ..... caressedesyeux
Et dont ils en seront finalement émerveillés.
Assoiffées , depuis deux années
Une éternité pour l’une d’entre elle.
Mais qui à su se poser délicatement en attendant que l’autre la rejoigne.
Se joignant, avec douceur, tendresse , et amour
Qui était la depuis toujours.
Mais dont l’une est en train de la redécouvrir
D’émotion, aussi forte que fragile.
Dans un monde fait d’argile
Ou tous peut se briser, d’un souffle glacé.
Elle glissera jusqu’à elle et se laissera emporter dans une danse "langoureuse"
Fermant leur yeux, et se rapprochant de plus en plus.
Sa bouche, en face de la sienne
Et d’un effleurement, très lentement viendra furtivement s’y poser.
Quelques petits baisers
Qui se diffuseront, au plus profond de leurs âmes
Et dont le voyage , n’en sera "qu’extase"...
Ils se regarderont,dans un silence , et une pénombre
Et dont leurs yeux s ’en ,habitueront ..... caressedesyeux
Sam 04 Déc 2010, 19:28 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Mes pensées sont pour toi..
Lorsque tu me regardes,
tu ne dis rien,
mais tu n’as aucun besoin de parler,
tes yeux le font pour toi..
Je te l’ai surement déjà dis mais dans tes yeux,
je peux savoir que tu m’aimes sans pour autant t’entendre prononcer ces 3 mots magiques qui me rendent si heureuse et si fière.
Lorsque tu me prends dans tes bras contre toi et me souris,
je sais tout ce qu’il y a à savoir..tes yeux plongent souvent dans les miens et à cet instant mon cœur bat la chamade...
Est ce le bruit du bonheur?
Je peux certifier que ce bruit et cette sensation est le bruit du bonheur, le bruit de mon amour pour toi.
Avec toi je ne peux que sourire...
Mon amour, mon désir pour toi n’est en rien comparable avec de simple besoins, mais je t’aime tant.
Ton regard, ton sourire, ta voix, tes mots me font vaciller, trembler, rougir et même paniquer. Si je peux ressentir tout ça c’est parce que je voudrais être pour toi la femme parfaite, celle qui fera en sorte d’être la pour toi a chacun de tes besoins.
J’ai besoin de savoir que chaque jour tu es près de moi, que tu peut être là dès que j’ai envie de te voir, je serais si heureuse de savoir que je peux te toucher à tout moment, que je peux appeler ton nom sans attendre ta réponse durant de longues minutes.
Je voudrais sans cesse toucher ta peau et embrasser tes lèvres, goûter à la chaleur de ton étreinte.
Je me sens triste et solitaire lorsque tu n’es pas là, prés de moi.
Je t’aime un peu plus chaque jour, et me sens si mal quand tu t’arrache de mes bras...
Tu ne peux imaginer à quel point j’aimerais être près de toi, me reposer sur ton épaule en écoutant de la musique tout en caressant tes mains.
Tu restes présent en mon cœur comme une douce douleur.
Tu me manques…
Mon cœur te pleure…
mon âme te cherche…
mon corps se meurt…
ma bouche hurle ton prénom...
ma vie te réclame...
Tu as changé mon destin, avec ton amour.
Tu as créé un nouveau monde au fond de moi.
Tu m’apportes le bonheur et la joie, tu m’apportes le calme et la sérénité et surtout tu m’apportes tout ce que j’ai besoin pour être heureuse.
J’ai besoin encore et toujours de ta présence, j’ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses, de tes je t’aime, de ton odeur, de ton sourire, de ton regard brulant qui m’envoute...
J’ai besoin de te prendre dans mes bras, pour mieux te sentir et sentir ta chaleur.
Tout simplement,
j’ai besoin de toi mon petit ange tombé du ciel.
tu ne dis rien,
mais tu n’as aucun besoin de parler,
tes yeux le font pour toi..
Je te l’ai surement déjà dis mais dans tes yeux,
je peux savoir que tu m’aimes sans pour autant t’entendre prononcer ces 3 mots magiques qui me rendent si heureuse et si fière.
Lorsque tu me prends dans tes bras contre toi et me souris,
je sais tout ce qu’il y a à savoir..tes yeux plongent souvent dans les miens et à cet instant mon cœur bat la chamade...
Est ce le bruit du bonheur?
Je peux certifier que ce bruit et cette sensation est le bruit du bonheur, le bruit de mon amour pour toi.
Avec toi je ne peux que sourire...
Mon amour, mon désir pour toi n’est en rien comparable avec de simple besoins, mais je t’aime tant.
Ton regard, ton sourire, ta voix, tes mots me font vaciller, trembler, rougir et même paniquer. Si je peux ressentir tout ça c’est parce que je voudrais être pour toi la femme parfaite, celle qui fera en sorte d’être la pour toi a chacun de tes besoins.
J’ai besoin de savoir que chaque jour tu es près de moi, que tu peut être là dès que j’ai envie de te voir, je serais si heureuse de savoir que je peux te toucher à tout moment, que je peux appeler ton nom sans attendre ta réponse durant de longues minutes.
Je voudrais sans cesse toucher ta peau et embrasser tes lèvres, goûter à la chaleur de ton étreinte.
Je me sens triste et solitaire lorsque tu n’es pas là, prés de moi.
Je t’aime un peu plus chaque jour, et me sens si mal quand tu t’arrache de mes bras...
Tu ne peux imaginer à quel point j’aimerais être près de toi, me reposer sur ton épaule en écoutant de la musique tout en caressant tes mains.
Tu restes présent en mon cœur comme une douce douleur.
Tu me manques…
Mon cœur te pleure…
mon âme te cherche…
mon corps se meurt…
ma bouche hurle ton prénom...
ma vie te réclame...
Tu as changé mon destin, avec ton amour.
Tu as créé un nouveau monde au fond de moi.
Tu m’apportes le bonheur et la joie, tu m’apportes le calme et la sérénité et surtout tu m’apportes tout ce que j’ai besoin pour être heureuse.
J’ai besoin encore et toujours de ta présence, j’ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses, de tes je t’aime, de ton odeur, de ton sourire, de ton regard brulant qui m’envoute...
J’ai besoin de te prendre dans mes bras, pour mieux te sentir et sentir ta chaleur.
Tout simplement,
j’ai besoin de toi mon petit ange tombé du ciel.
Dim 10 Oct 2010, 11:52 par
Léna sur Parler d'amour
Ecrire sur tendresse
Mes yeux dans ton reflet, Un peu de toi en moi, Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii, A toi, ma delphine, Abandon...., T'offrir mon coeur, Le temps des vacances (alessia) chapitre trois, Echec et mat, La chaleur d'un murmure, Cest ainsi, Une femme ,un homme, Tchat, Oisillon, Mes yeux dans ton reflet, Mes pensées sont pour toi..,Il y a 294 textes utilisant le mot tendresse. Ces pages présentent les textes correspondant.
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
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