Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tendres - Page 11 sur 12
Mythe ou réalité ....
La musique emplissait la salle d’une ambiance festive et chaude. Par les fenêtres, on pouvait voir danser les flocons qui recouvraient peu à peu le sol d’une couche blanche et froide. C’est l’hiver. La température avoisine les -5°. Une langueur m’avait envahie et pour ne pas sombrer seule chez moi dans la morosité, j’avais décidé d’aller prendre quelques verres. Il était derrière le bar. Sa peau foncée contrastait avec son tee-shirt d’un blanc immaculé. On pouvait y deviner le dessin de ses pectoraux lorsqu’il s’étirait pour prendre un verre à bière spéciale perchée au dessus du bar. Il avait une coupe à la Bartez. Je l’observais, me demandant si son crâne était doux ou rugueux, si j’apprécierais d’y poser mes lèvres, si sur mon ventre elle laisserait de petites lignes rouges quand son visage s’enfouirait entre mes cuisses, si … je me surpris à sourire devant ces quelques pensées ..
Je ne l’avais jamais vu auparavant dans ce bistrot. Il devait être nouveau. J’étais installée au bar, perchée sur un tabouret, une vodka citron à la main. Des amis à lui se tenaient juste à côté de moi. De temps à autre, il les retrouvait pour quelques déhanchements suggestifs, de temps à autre son regard croisait le mien, de temps à autre un sourire s’esquissait… La musique latino avait envoûté les serveurs du bar. Ils étaient cinq à se déhancher, à frapper dans leurs mains, à lancer bouteilles et verres à la " Tom Cruise ". Ils étaient souriants, enjoués, mon moral était au plus haut. Les voir ainsi s’amuser me donnait envie de faire la fête avec eux, de danser, de rire, de boire, de …. aussi , un peu… la sensualité des musiques latines m’envahissait … Mon verre était vide, je lui touchai l’épaule :
- Tu peux me resservir une vodka ?
Il me sourit, plongea ses yeux dans les miens. Je baissai le regard. Il était grand, plus d’1.85m. Un verre plein se posa devant moi, je lui tendis 5euros, il fit un clin d’œil.
- C’est pour moi. Tu es seule ?
- Oui.
- Toute seule ?
- Oui.
Son sourire s’élargit.
- Je ne t’ai jamais vu ici. C’est la première fois que tu viens ?
- C’est bizarre. Je me suis dit la même chose de toi. Je venais souvent avant… Tu travailles ici depuis longtemps ?
- Depuis 3ans. Mais je viens de partir 1 mois en Martinique. Je suis rentré depuis quelques jours.
Un client l’appela, il partit, ses doigts frôlèrent ma main posée sur le bar…
- Au fait, moi, c’est Luc.
Il avait surgit derrière moi, m’avait glissé ça au creux de l’oreille. Il avait frôlé ma joue de ses lèvres et avait disparu un plateau à la main, sans que j’ai le temps de lui répondre. Mes yeux était fixé sur Luc, je ne regardais plus ce qui se passait autour de moi, je n’entendais plus la musique, il m’avait hypnotisée. Il m’adressait quelques sourires, se rapprochaient de ses amis, ses cuisses frottant contre mes genoux… il aurait suffit que je les bouge un peu et ils auraient glisser le long de sa jambe, se rapprochant de son sexe … Non, je ne pouvais pas l’allumer comme ça… pas en public, pas devant tout le monde… quoique…
Le café était plein à craquer, tout le monde était compressé, qui l’aurait vu… Lentement j’écartai un peu mes jambes, mon genou arriva à quelques centimètres de son sexe… Comme d’un accord tacite, il se rapprocha de moi, continuant sa discussion avec ses amis. Un client lui passa une commande, il avança pour mieux l’entendre, mon genou glissa largement entre ses cuisses, sa main se posa sur ma jambe, il la caressa lentement, remontant un peu. Il partit derrière le bar et revient les mains chargés de verre. Il en déposa un plein pour moi, tendit le reste au jeune homme, encaissa. Je regardais ses longs doigts pianoter sur les touches de la caisse, il me regardait en glissant les billets dans le tiroir, je ne m’en aperçus pas de suite. Quand je croisai son regard, je rougis. Il vint près de moi. Me demanda mon prénom.
Ce petit jeu continua pendant une heure environ. Une heure de sourires, de regards, de mains qui frôlent, de genoux qui touchent, de cuisses qui s’entrouvrent. Finalement, il s’approcha de moi. Ses lèvres déposèrent un baiser sur ma joue, elles étaient tendres, larges, chaudes. Il voulut partir derrière le bar, mais ma main le retint. Son visage s’approcha du mien, je l’embrassai.
Il avait beaucoup de travail, les commandes se succédaient, les garçons continuaient leur danse, les verres s’entrechoquaient, le tout entrecoupé de baisers, de plus en plus profonds, de plus en plus tendres, ses mains peu à peu touchaient ma peau, se glissaient sous mon chemisier, touchaient mes cuisses, mes fesses, ses bras passaient autour de ma taille, ses dents mordaient mes épaules dénudées, sa langue passait dans mon cou, sous mes cheveux…
5h du mat, la musique s’arrête. Le café est toujours aussi bondé, mais il faut fermer. Les garçons ne servent plus, les clients terminent leur verre puis partent peu à peu. Il me rejoint, prend ma main.
- Je fais une petite pause. Viens, on va s’asseoir là-bas.
Je le suis, il prend deux tabourets, m’en offre un, mais je me glisse entre ses jambes et me rapproche de lui. Nous nous embrassons longuement.
- Je dois encore aider les autres. Il faut remplir les frigos, ramasser les verres et les laver et compter la caisse. J’en ai pour une heure. Tu m’attends ?
- Non, il est tard, je vais rentrer. Tu veux me rejoindre quand tu as fini ?
Je lui donne mon adresse, l’embrasse et quitte l’établissement.
Rentrée chez moi, je ne sais pas s’il viendra. Je suis fatiguée, j’ai pas envie de l’attendre, j’ouvre le clic clac, ôte mes souliers, mon jeans et m’endors.
6h … je décroche le parlophone.
- C’est moi. Je peux monter ?
Je suis un peu surprise… nous n’avons pas du partager plus d’une heure de conversation au total sur la soirée, je ne sais que son nom, qu’il est métis et qu’il habite à 100km de chez moi. Pourtant, je lui ai proposé de me rejoindre, je lui ai donné mon adresse, et je me retrouve en chemisier devant lui à 6h du mat… la situation m’étonne et m’excite.
Ses bras sont autour de moi, ses doigts parcourent mon dos, sa langue se perd entre mes lèvres, son torse comprime mes seins.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Tu as du café ?
- C’est parti ! Assieds-toi.
Nous échangeons quelques mots, il me parle de son travail la semaine. Il ne vient ici que le week-end, autrement il travaille dans un bureau. Il me dit que sa mère est Martiniquaise, son père, Belge. Il est divorcé, deux enfants.
Je dépose une tasse de café brûlant devant lui, m’assieds sur ses genoux, face à lui, ôte ma chemise. Ses doigts dégrafent mon soutien gorge. Il plonge son visage entre mes seins libérés, en lèche le bout, les mordille légèrement, je me penche en arrière sa langue descend sur mon ventre, ses mains enserrent mes hanches, il me soulève et me porte jusque sur le sofa déplié. Il s’allonge sur moi. Son corps est lourd, ferme, musclé. Sa bouche s’attarde sur mon cou, sa langue passe sur les lobes de mes oreilles, m’arrachant un petit gémissement et m’inondant de frissons. Je passe ma main sur son crâne… Je souris… Il se relève, défait les lacets de ses chaussures, ôte son tee-shirt. Son corps est parfaitement dessiné, sa peau café au lait. Il défait sa ceinture. Je m’assieds sur le bord du lit et mes mains prennent la place des siennes. Elles frôlent les boutons fermant son jeans, je peux sentir son excitation, il reste debout devant moi, me regardant, ses doigts passent dans mes cheveux, je dégrafe lentement son pantalon, dégageant son sexe déjà gonflé. Mes mains le parcourent… le mythe du black au sexe énorme… Il n’est pas énorme… pas encore…
Je fais glisser son pantalon sur ses pieds, il est nu devant moi, son sexe à quelques centimètres de mon visage, la pointe de ma langue le parcourt, mes lèvres le caressent, ses doigts se crispent dans mes cheveux. Je le regarde, il ferme les yeux, se mord la lèvre, je l’avale lentement… profondément… savourant chaque centimètre de son anatomie … Mes dents passent doucement sur lui, je le sens frémir, il surveille les opérations, étonné, peut-être même inquiet. Ma bouche se fait plus douce, mes lèvres plus gourmande, ma langue plus précise, mes mains plus actives.
Ce n’est pas qu’un mythe…
Il me renverse sur le lit, ma main continue de le caresser, la sienne joue sur mes seins en éruption. Sa langue passe sur ma bouche puis descend lentement. Je me cambre, j’entrouvre les cuisses, l’invitant à me goûter à son tour. Sa langue est insolente, ses dents aussi dévoreuses que les miennes, sa bouche se repaît de mon intimité avant de revenir près de moi et de glisser entre mes cuisses cet " obscur objet " du désir. Il m’arrache un long et profond soupir. Il est violent, brusque, sauvage. Son corps puissant me déchire, ses coups de rein sont à la limite du supportable, pourtant je le pousse à continuer, plus fort, encore, inlassablement, plus loin… jusqu’à l’épuisement total.
Son corps s’affaisse sur le mien… Ses mains se font plus douces, plus caressantes. Sa langue vient apaiser la violence de ses pénétrations. Ses baisers prolongent mon orgasme, ses doigts calment les soubresauts qui parcourent mon corps.
Il est 8h… il m’a enveloppé dans ma couette, s’est rhabillé, m’embrasse dans le cou …
- Dors bien Isa…
Je lui souris, ferme les yeux. La porte se referme…
La marquise …. Affirmant que ce n’est pas un mythe !!!
Je ne l’avais jamais vu auparavant dans ce bistrot. Il devait être nouveau. J’étais installée au bar, perchée sur un tabouret, une vodka citron à la main. Des amis à lui se tenaient juste à côté de moi. De temps à autre, il les retrouvait pour quelques déhanchements suggestifs, de temps à autre son regard croisait le mien, de temps à autre un sourire s’esquissait… La musique latino avait envoûté les serveurs du bar. Ils étaient cinq à se déhancher, à frapper dans leurs mains, à lancer bouteilles et verres à la " Tom Cruise ". Ils étaient souriants, enjoués, mon moral était au plus haut. Les voir ainsi s’amuser me donnait envie de faire la fête avec eux, de danser, de rire, de boire, de …. aussi , un peu… la sensualité des musiques latines m’envahissait … Mon verre était vide, je lui touchai l’épaule :
- Tu peux me resservir une vodka ?
Il me sourit, plongea ses yeux dans les miens. Je baissai le regard. Il était grand, plus d’1.85m. Un verre plein se posa devant moi, je lui tendis 5euros, il fit un clin d’œil.
- C’est pour moi. Tu es seule ?
- Oui.
- Toute seule ?
- Oui.
Son sourire s’élargit.
- Je ne t’ai jamais vu ici. C’est la première fois que tu viens ?
- C’est bizarre. Je me suis dit la même chose de toi. Je venais souvent avant… Tu travailles ici depuis longtemps ?
- Depuis 3ans. Mais je viens de partir 1 mois en Martinique. Je suis rentré depuis quelques jours.
Un client l’appela, il partit, ses doigts frôlèrent ma main posée sur le bar…
- Au fait, moi, c’est Luc.
Il avait surgit derrière moi, m’avait glissé ça au creux de l’oreille. Il avait frôlé ma joue de ses lèvres et avait disparu un plateau à la main, sans que j’ai le temps de lui répondre. Mes yeux était fixé sur Luc, je ne regardais plus ce qui se passait autour de moi, je n’entendais plus la musique, il m’avait hypnotisée. Il m’adressait quelques sourires, se rapprochaient de ses amis, ses cuisses frottant contre mes genoux… il aurait suffit que je les bouge un peu et ils auraient glisser le long de sa jambe, se rapprochant de son sexe … Non, je ne pouvais pas l’allumer comme ça… pas en public, pas devant tout le monde… quoique…
Le café était plein à craquer, tout le monde était compressé, qui l’aurait vu… Lentement j’écartai un peu mes jambes, mon genou arriva à quelques centimètres de son sexe… Comme d’un accord tacite, il se rapprocha de moi, continuant sa discussion avec ses amis. Un client lui passa une commande, il avança pour mieux l’entendre, mon genou glissa largement entre ses cuisses, sa main se posa sur ma jambe, il la caressa lentement, remontant un peu. Il partit derrière le bar et revient les mains chargés de verre. Il en déposa un plein pour moi, tendit le reste au jeune homme, encaissa. Je regardais ses longs doigts pianoter sur les touches de la caisse, il me regardait en glissant les billets dans le tiroir, je ne m’en aperçus pas de suite. Quand je croisai son regard, je rougis. Il vint près de moi. Me demanda mon prénom.
Ce petit jeu continua pendant une heure environ. Une heure de sourires, de regards, de mains qui frôlent, de genoux qui touchent, de cuisses qui s’entrouvrent. Finalement, il s’approcha de moi. Ses lèvres déposèrent un baiser sur ma joue, elles étaient tendres, larges, chaudes. Il voulut partir derrière le bar, mais ma main le retint. Son visage s’approcha du mien, je l’embrassai.
Il avait beaucoup de travail, les commandes se succédaient, les garçons continuaient leur danse, les verres s’entrechoquaient, le tout entrecoupé de baisers, de plus en plus profonds, de plus en plus tendres, ses mains peu à peu touchaient ma peau, se glissaient sous mon chemisier, touchaient mes cuisses, mes fesses, ses bras passaient autour de ma taille, ses dents mordaient mes épaules dénudées, sa langue passait dans mon cou, sous mes cheveux…
5h du mat, la musique s’arrête. Le café est toujours aussi bondé, mais il faut fermer. Les garçons ne servent plus, les clients terminent leur verre puis partent peu à peu. Il me rejoint, prend ma main.
- Je fais une petite pause. Viens, on va s’asseoir là-bas.
Je le suis, il prend deux tabourets, m’en offre un, mais je me glisse entre ses jambes et me rapproche de lui. Nous nous embrassons longuement.
- Je dois encore aider les autres. Il faut remplir les frigos, ramasser les verres et les laver et compter la caisse. J’en ai pour une heure. Tu m’attends ?
- Non, il est tard, je vais rentrer. Tu veux me rejoindre quand tu as fini ?
Je lui donne mon adresse, l’embrasse et quitte l’établissement.
Rentrée chez moi, je ne sais pas s’il viendra. Je suis fatiguée, j’ai pas envie de l’attendre, j’ouvre le clic clac, ôte mes souliers, mon jeans et m’endors.
6h … je décroche le parlophone.
- C’est moi. Je peux monter ?
Je suis un peu surprise… nous n’avons pas du partager plus d’une heure de conversation au total sur la soirée, je ne sais que son nom, qu’il est métis et qu’il habite à 100km de chez moi. Pourtant, je lui ai proposé de me rejoindre, je lui ai donné mon adresse, et je me retrouve en chemisier devant lui à 6h du mat… la situation m’étonne et m’excite.
Ses bras sont autour de moi, ses doigts parcourent mon dos, sa langue se perd entre mes lèvres, son torse comprime mes seins.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Tu as du café ?
- C’est parti ! Assieds-toi.
Nous échangeons quelques mots, il me parle de son travail la semaine. Il ne vient ici que le week-end, autrement il travaille dans un bureau. Il me dit que sa mère est Martiniquaise, son père, Belge. Il est divorcé, deux enfants.
Je dépose une tasse de café brûlant devant lui, m’assieds sur ses genoux, face à lui, ôte ma chemise. Ses doigts dégrafent mon soutien gorge. Il plonge son visage entre mes seins libérés, en lèche le bout, les mordille légèrement, je me penche en arrière sa langue descend sur mon ventre, ses mains enserrent mes hanches, il me soulève et me porte jusque sur le sofa déplié. Il s’allonge sur moi. Son corps est lourd, ferme, musclé. Sa bouche s’attarde sur mon cou, sa langue passe sur les lobes de mes oreilles, m’arrachant un petit gémissement et m’inondant de frissons. Je passe ma main sur son crâne… Je souris… Il se relève, défait les lacets de ses chaussures, ôte son tee-shirt. Son corps est parfaitement dessiné, sa peau café au lait. Il défait sa ceinture. Je m’assieds sur le bord du lit et mes mains prennent la place des siennes. Elles frôlent les boutons fermant son jeans, je peux sentir son excitation, il reste debout devant moi, me regardant, ses doigts passent dans mes cheveux, je dégrafe lentement son pantalon, dégageant son sexe déjà gonflé. Mes mains le parcourent… le mythe du black au sexe énorme… Il n’est pas énorme… pas encore…
Je fais glisser son pantalon sur ses pieds, il est nu devant moi, son sexe à quelques centimètres de mon visage, la pointe de ma langue le parcourt, mes lèvres le caressent, ses doigts se crispent dans mes cheveux. Je le regarde, il ferme les yeux, se mord la lèvre, je l’avale lentement… profondément… savourant chaque centimètre de son anatomie … Mes dents passent doucement sur lui, je le sens frémir, il surveille les opérations, étonné, peut-être même inquiet. Ma bouche se fait plus douce, mes lèvres plus gourmande, ma langue plus précise, mes mains plus actives.
Ce n’est pas qu’un mythe…
Il me renverse sur le lit, ma main continue de le caresser, la sienne joue sur mes seins en éruption. Sa langue passe sur ma bouche puis descend lentement. Je me cambre, j’entrouvre les cuisses, l’invitant à me goûter à son tour. Sa langue est insolente, ses dents aussi dévoreuses que les miennes, sa bouche se repaît de mon intimité avant de revenir près de moi et de glisser entre mes cuisses cet " obscur objet " du désir. Il m’arrache un long et profond soupir. Il est violent, brusque, sauvage. Son corps puissant me déchire, ses coups de rein sont à la limite du supportable, pourtant je le pousse à continuer, plus fort, encore, inlassablement, plus loin… jusqu’à l’épuisement total.
Son corps s’affaisse sur le mien… Ses mains se font plus douces, plus caressantes. Sa langue vient apaiser la violence de ses pénétrations. Ses baisers prolongent mon orgasme, ses doigts calment les soubresauts qui parcourent mon corps.
Il est 8h… il m’a enveloppé dans ma couette, s’est rhabillé, m’embrasse dans le cou …
- Dors bien Isa…
Je lui souris, ferme les yeux. La porte se referme…
La marquise …. Affirmant que ce n’est pas un mythe !!!
Mar 20 Jan 2004, 10:44 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Bilan sulfureux
Deux semaine aprés l’ouverture des Liaisons sulfureuses, le bilan est positif. Aprés quelques balbutiements, les textes à caractère érotique ont commencé à alimenter ce forum, et vraisemblablement, le format en plusieurs posts y semble le plus apprécié par les ecrivains.
Les Canaux RSS, nous permettent d’alimenter Le club 666, l’annexe des ames tendres, et Les jolies choses en plus des moteurs butineur de fils.
Et enfin, la_tulipe_noire, détient désormais le titre de sulfureuse Fleur bleue à pouvoir correcteur
Bref, que du bonheur.
Les Canaux RSS, nous permettent d’alimenter Le club 666, l’annexe des ames tendres, et Les jolies choses en plus des moteurs butineur de fils.
Et enfin, la_tulipe_noire, détient désormais le titre de sulfureuse Fleur bleue à pouvoir correcteur
Bref, que du bonheur.
Sam 17 Jan 2004, 17:46 par
PetitPrince sur Edito
Contre un mur - Fin
En t’embrassant, je t’ai poussé contre le mur de cette vielle maison. La folie de l’instant ne nous fit pas doux comme de tendres amants, mais fous comme des animaux assoiffés, et maladroit comme des adolescents tourmentés.
Je sens tes mains balbutier dans mon dos et ma nuque, et tes mollets se sertir dans mes reins. Je ne sais plus trop qui lave l’autre avec sa langue. Nous nous sommes donné rendez-vous ici pour péter un boulon. Je suis excité comme un fou, mes mains sont déjà sous ta jupe, ayant délaissé les premiers appâts de ton buste, livré désormais au regard anonyme du ciel de Paris. Avec bonheur, je caresse la dentelle de tes bas, augurant de l’aspect pratique qui n’aurait point existé avec ces collants que je te soupçonnais.
Un instant je m’arrête. Nous sommes au bord de tout, et en galant homme je tiens encore à ton accord, même si je ne te connais pas. Tu as compris, et ton regard ne fit qu’accompagner tes mains fébriles qui me déboutonnerent au coin de cette rue inespérée.
Mon orgueil de male ainsi libéré, je me sentais de t’investir brusquement contre le mur de notre fortune, mais tu ne l’entendais pas ainsi. Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche. Personne. A ton regard mutin, qui rend inconscient le plus droit des hommes, et je compris ton envie de pousser cet instant incertain aux limites du jeu et de l’interdit.
Tes mains enserrent mon sexe dressé, tandis que je sens ton haleine, promesse de mille caresses, annoncer un plaisir dont je suis plus que friand. Et tu prends ton temps, coquine, à me faire tourment de ces lèvres que l’on croirait sans dent. Je savoure un instant, jouant le jeu de l’extrême en posant les mains sur ce mur, ah ce mur, en baissant la tête pour admirer impudique et ébahi ton œuvre, et ton regard insolent.
Stop. C’est toi que je veux. Je te redresse et te plaque contre ce mur, la bite à l’air. Je te regarde avec insolence et ferveur, comme tu me regardais quelques secondes auparavant. Je déboutonne lentement, ce qu’il reste de deboutonnable sur ton chemisier, et prends mon temps, toujours mon regard dans le tien, de caresser des seins durcis de désir.
Je retrousse ta jupe, et me plaque contre toi qui est dos à ce mur, compagnon de fortune, et désormais ami pour toujours. Je pénètre avec douceur, la chambre de tes plaisirs, accueillante et moelleuse, contrastant avec cette fin de journée d’hiver. Je suis heureux.
Notre fougue s’est calmée, et laisse place à une douceur et une tendresse inespérée. Les animaux sont-ils domptés à l’heure ou ils se repaissent à la mare de leurs souhaits ? Je ne sais. Nous avons pris notre temps toi et moi de savourer cet instant, d’arrêter le temps, comme je dis si souvent …Juste un léger cri, la tête penchée sur le coté, et les yeux fermés, tu m’as invité à te rejoindre dans l’aboutissement de cette étreinte, et je t’ai dit oui dans le creux de l’oreille, et au fond de ton corps.
Ne plus bouger, revenir sur terre. Je sors a regret, et il fait froid. Nos regards s’évitent, la magie commence à cesser. Je te vois rebaisser ta jupe, tandis que je me rembraille doucement en te regardant. Tu te reboutonnes, puis redescends cette jupe que j’ai tant suivie, et enfin te recoiffes avec les mains. Tu es belle. Oui, tu es belle.
Rhabillés, nous prenons le temps de nous regarder encore, en silence. La beauté d’un instant ne souffre aucun mot, aucun espoir ni aucun regret. Un léger sourire, un regard qui disait "jamais je ne t’oublierai" seront nos seuls mots d’amour, avec ce texte que je te dédie, en hommage à ta royale féminité.
Je sens tes mains balbutier dans mon dos et ma nuque, et tes mollets se sertir dans mes reins. Je ne sais plus trop qui lave l’autre avec sa langue. Nous nous sommes donné rendez-vous ici pour péter un boulon. Je suis excité comme un fou, mes mains sont déjà sous ta jupe, ayant délaissé les premiers appâts de ton buste, livré désormais au regard anonyme du ciel de Paris. Avec bonheur, je caresse la dentelle de tes bas, augurant de l’aspect pratique qui n’aurait point existé avec ces collants que je te soupçonnais.
Un instant je m’arrête. Nous sommes au bord de tout, et en galant homme je tiens encore à ton accord, même si je ne te connais pas. Tu as compris, et ton regard ne fit qu’accompagner tes mains fébriles qui me déboutonnerent au coin de cette rue inespérée.
Mon orgueil de male ainsi libéré, je me sentais de t’investir brusquement contre le mur de notre fortune, mais tu ne l’entendais pas ainsi. Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche. Personne. A ton regard mutin, qui rend inconscient le plus droit des hommes, et je compris ton envie de pousser cet instant incertain aux limites du jeu et de l’interdit.
Tes mains enserrent mon sexe dressé, tandis que je sens ton haleine, promesse de mille caresses, annoncer un plaisir dont je suis plus que friand. Et tu prends ton temps, coquine, à me faire tourment de ces lèvres que l’on croirait sans dent. Je savoure un instant, jouant le jeu de l’extrême en posant les mains sur ce mur, ah ce mur, en baissant la tête pour admirer impudique et ébahi ton œuvre, et ton regard insolent.
Stop. C’est toi que je veux. Je te redresse et te plaque contre ce mur, la bite à l’air. Je te regarde avec insolence et ferveur, comme tu me regardais quelques secondes auparavant. Je déboutonne lentement, ce qu’il reste de deboutonnable sur ton chemisier, et prends mon temps, toujours mon regard dans le tien, de caresser des seins durcis de désir.
Je retrousse ta jupe, et me plaque contre toi qui est dos à ce mur, compagnon de fortune, et désormais ami pour toujours. Je pénètre avec douceur, la chambre de tes plaisirs, accueillante et moelleuse, contrastant avec cette fin de journée d’hiver. Je suis heureux.
Notre fougue s’est calmée, et laisse place à une douceur et une tendresse inespérée. Les animaux sont-ils domptés à l’heure ou ils se repaissent à la mare de leurs souhaits ? Je ne sais. Nous avons pris notre temps toi et moi de savourer cet instant, d’arrêter le temps, comme je dis si souvent …Juste un léger cri, la tête penchée sur le coté, et les yeux fermés, tu m’as invité à te rejoindre dans l’aboutissement de cette étreinte, et je t’ai dit oui dans le creux de l’oreille, et au fond de ton corps.
Ne plus bouger, revenir sur terre. Je sors a regret, et il fait froid. Nos regards s’évitent, la magie commence à cesser. Je te vois rebaisser ta jupe, tandis que je me rembraille doucement en te regardant. Tu te reboutonnes, puis redescends cette jupe que j’ai tant suivie, et enfin te recoiffes avec les mains. Tu es belle. Oui, tu es belle.
Rhabillés, nous prenons le temps de nous regarder encore, en silence. La beauté d’un instant ne souffre aucun mot, aucun espoir ni aucun regret. Un léger sourire, un regard qui disait "jamais je ne t’oublierai" seront nos seuls mots d’amour, avec ce texte que je te dédie, en hommage à ta royale féminité.
Jeu 15 Jan 2004, 22:25 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Ca y est c'est chaud
Effectivement, au forum des ames tendres, qui pour le moment nous abreuve de petits mots doux et tendres anecdoctes, manquait la partie charnue propre a tout corps de désir : le forum chaud .
La_tulipe_noire, fier posteur s’il en est, nous propose donc d’ouvrir la rubrique des Liaisons Sulfureuses, dans laquelle avec l’élégance litteraire qui fait le charme de ce site, nous allons parler de sexe
Alors, on evite les grossieretés et on met tout son talent a fabriquer des belles images qui incitent a decrocher le téléphone pour appeller son/sa chéri(e) qui soudainement nous manque terriblement :grin:
Merci La Tulipe
La_tulipe_noire, fier posteur s’il en est, nous propose donc d’ouvrir la rubrique des Liaisons Sulfureuses, dans laquelle avec l’élégance litteraire qui fait le charme de ce site, nous allons parler de sexe
Alors, on evite les grossieretés et on met tout son talent a fabriquer des belles images qui incitent a decrocher le téléphone pour appeller son/sa chéri(e) qui soudainement nous manque terriblement :grin:
Merci La Tulipe
Sam 10 Jan 2004, 15:58 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Tiens, un peu de philosophie
soleye a écrit: |
La seduction n’est pas forcement un jeu,je crois que l’on essaye de charmer de facon consciente ou inconsciente son interlocuteur,c’est avoir l’esprit ouvert à mon sens et ca reste naturel,peux t’on forcer son talent à telle ou telle occasion, je n’en suis pas sur car on ne connait pas le ressenti de "l’autre",et etre "sur" de son talent n’est ce pas se considerer et etre un coq .De plus par definition si c’est un jeu,n’est ce pas une forme de mepris envers sa partenaire et chacun sait qu’il n’y a pas que des bons joueurs... |
Ah, c’était inévitable que les questions existentielles à caractère philosophique viennent, portées par le vent du doute dont nos cerveaux avides se repaissent, souffler sur les roses pâturages littéraires de ce site. Dur, dur, de philosopher et à la fois l’écrire en des termes qui plaisent, dont la seule vocation est d’exister pour leur naturelle beauté, leur prédisposition à flatter, inciter nos sentiments des plus tendres aux plus extatiques. Ca tombe bien, c’est la vocation de ce forum: la beauté des mots !
Tel le troubadour, qui plusieurs fois a été accusé de sorcellerie, tant ses mots portaient comme des traits précis dans le coeur des jouvencelles, je séduis par mes mots, ou du moins, soyons plus exact, tente de confectionner des plats de sonorités, dont le rythme quelque fois étudié, quelque fois naïf, vous séduit ... Séduire, nous y revoilà donc.
Séduire, d’après les gens de l’Académie, signifie "attirer", "plaire irrésistiblement", etc. Faire des pieds et des mains pour attirer le regard de la belle, jouer de ruse pour la faire vaciller ... dans mes bras !
Etre emporté par une tourmente sans fin parce qu’elle ne me regarde pas, faire de l’humour au lieu de l’amour, être chaud, être tendre, être froid, nu, bien habillé, ou cool, que d’attitudes, feintes ou non, pour attirer l’être aimé ... dans mes bras.
On y revient toujours, et si cette chasse plait, autant que sa prise, autant que sa proie, alors la pratiquer devient un plaisir, que je qualifie de ludique ... Un jeu, n’ayons pas peur des mots ...
Lun 22 Déc 2003, 17:23 par
PetitPrince sur La séduction
Qualité d'ecriture
Je crée le groupe des correcteurs afin de rendre vos messages encore plus jolis.
Les correcteurs passeront derrière vous et corrigeront les éventuelles fautes d’orthographe, de grammaire et de ponctuation de vos messages.
Ca et aussi les coquilles, et les abréviations yahooesques que vous pourriez utiliser (koi= koa=quoi , fo=faut, etc.).
Je veux que Hugo, s’il se lève et se connecte se dise "ok, les âmes tendres, c’est pas des rigolos !"
A part ça, le dernier sondage est désormais disponible directement sur la page d’accueil, n’ayez pas peur de participer (il faut que vous soyez connecté pour voter).
Les correcteurs passeront derrière vous et corrigeront les éventuelles fautes d’orthographe, de grammaire et de ponctuation de vos messages.
Ca et aussi les coquilles, et les abréviations yahooesques que vous pourriez utiliser (koi= koa=quoi , fo=faut, etc.).
Je veux que Hugo, s’il se lève et se connecte se dise "ok, les âmes tendres, c’est pas des rigolos !"
A part ça, le dernier sondage est désormais disponible directement sur la page d’accueil, n’ayez pas peur de participer (il faut que vous soyez connecté pour voter).
Mar 09 Déc 2003, 21:29 par
PetitPrince sur Edito
et si...
... si mon forum est né le 16 octobre,
... si Petit Prince a testé le système pour la création de mon forum, en créant ce forum,
... si des personnes se sont inscrites sur son forum avant le 20, ne pouvons nous prendre alors en considération l’existence acquise de ce forum????
Un forum n’a-t-il le mérite d’exister que dans son identité finale?
Faut il alors considérer que les âmes tendres sont nées le 20 dans l’officiel, dès lors que l’officieux était déjà en fonction?
Peut-être était ce alors une courte gestation et qu’effectivement, les âmes tendres sont nées le 20 octobre....
s’il faut alors pousser les déductions, les calculs, et les logiques si diversifiées, je peux comme je m’y accorde, voir la chose avec la pensée des femmes Népalaises.
Celle ci peut sembler tout aussi logique puisque ces femmes considèrent que l’enfant dans sa gestatission vit déjà.
Son âge ne démarre pas dès qu’il pousse son premier cri, mais dès lors que la fécondation est constatée, voir du jour de sa conception si celle-ci peut être déterminée avec précision…..
Alors quel âge doit on donner au forum des âmes tendres ?
... si Petit Prince a testé le système pour la création de mon forum, en créant ce forum,
... si des personnes se sont inscrites sur son forum avant le 20, ne pouvons nous prendre alors en considération l’existence acquise de ce forum????
Un forum n’a-t-il le mérite d’exister que dans son identité finale?
Faut il alors considérer que les âmes tendres sont nées le 20 dans l’officiel, dès lors que l’officieux était déjà en fonction?
Peut-être était ce alors une courte gestation et qu’effectivement, les âmes tendres sont nées le 20 octobre....
s’il faut alors pousser les déductions, les calculs, et les logiques si diversifiées, je peux comme je m’y accorde, voir la chose avec la pensée des femmes Népalaises.
Celle ci peut sembler tout aussi logique puisque ces femmes considèrent que l’enfant dans sa gestatission vit déjà.
Son âge ne démarre pas dès qu’il pousse son premier cri, mais dès lors que la fécondation est constatée, voir du jour de sa conception si celle-ci peut être déterminée avec précision…..
Alors quel âge doit on donner au forum des âmes tendres ?
Jeu 27 Nov 2003, 21:14 par
Ri1kedesBêtises sur L'amour en vrac
Que c'est choupinet tout plein ca !!!
Le 20 Octobre, ainsi donc naissait les ames tendres, je ne l’ai meme pas noté, mais toi oui Marquise .
Le forum a une histoire, elle est jolie a sa maniere. Le forum des âmes tendres est né un soir, par hasard. Non pas murement reflechi à l’idée dans l’intention de crier sur le net les mots de nos desirs ou les gemissements de nos passions, non, il est né pour aider.
Il a été installé pour verifier que son installation ne posait pas de probleme et pouvait etre refaite ailleurs, pour le site de Ri1kedesbetises Et le premier forum, s’est appellé ... le premier forum . Pour tester, juste. Et puis pour tester aussi les descriptions des forums, j’ai pondu le texte "les premieres fois ont des charmes inexprimables ..." en pensant aux doux moments des premieres fois ou on se rencontre tres fort , et puis,... et puis de fil en aiguille, je me suis piqué au jeu, et ai trouvé sympa de fabriquer un endroit ou on ecrit avec de jolis mots, sur de jolies choses.
Voila, voila
Le forum a une histoire, elle est jolie a sa maniere. Le forum des âmes tendres est né un soir, par hasard. Non pas murement reflechi à l’idée dans l’intention de crier sur le net les mots de nos desirs ou les gemissements de nos passions, non, il est né pour aider.
Il a été installé pour verifier que son installation ne posait pas de probleme et pouvait etre refaite ailleurs, pour le site de Ri1kedesbetises Et le premier forum, s’est appellé ... le premier forum . Pour tester, juste. Et puis pour tester aussi les descriptions des forums, j’ai pondu le texte "les premieres fois ont des charmes inexprimables ..." en pensant aux doux moments des premieres fois ou on se rencontre tres fort , et puis,... et puis de fil en aiguille, je me suis piqué au jeu, et ai trouvé sympa de fabriquer un endroit ou on ecrit avec de jolis mots, sur de jolies choses.
Voila, voila
Mer 26 Nov 2003, 23:31 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
De l'amour, de l'art ou du cochon...
Il y a quelques années, je n’étais encore qu’une adolescente, j’ai expérimenté un massage un peu particulier... Il était mon meilleur ami, mes parents étaient partis pour le week-end, la maison était vide et je l’ai invité à dormir chez moi...
Nous avons partagé le même lit, le désir était là, mais l’amitié aussi, une profonde amitié, qui nous freinait un peu... Nos mains étaient moins timides que nous, nos caresses étaient très complices, nous avons voulu agrémenter nos jeux par quelques petits "accessoires" ... j’étais étudiante en art, ma chambre était remplie de crayons, pastels, pinceaux, gouaches, fusains... Un matériel simple à notre portée ...
Le corps devenait une toile où nous pouvions libérer notre âme d’artiste. La peau se marbrait sous la poussière des pastels, les lèvres se coloraient sous les aquarels, nos doigts laissaient de larges sillons dans la gouache. Une jungle se joignait à celle qui parcourait nos esprits, un tag ornait une gorge, un papillon décorait le nombril, le pinceau fin et froid remplissait nos corps de frissons, nos bouches de sourires tendres... Une larme s’écoulait de long de la joue ... Une larme de couleur... Et une vraie larme...
la Marquise ... Jeune Marie Laurencin
Nous avons partagé le même lit, le désir était là, mais l’amitié aussi, une profonde amitié, qui nous freinait un peu... Nos mains étaient moins timides que nous, nos caresses étaient très complices, nous avons voulu agrémenter nos jeux par quelques petits "accessoires" ... j’étais étudiante en art, ma chambre était remplie de crayons, pastels, pinceaux, gouaches, fusains... Un matériel simple à notre portée ...
Le corps devenait une toile où nous pouvions libérer notre âme d’artiste. La peau se marbrait sous la poussière des pastels, les lèvres se coloraient sous les aquarels, nos doigts laissaient de larges sillons dans la gouache. Une jungle se joignait à celle qui parcourait nos esprits, un tag ornait une gorge, un papillon décorait le nombril, le pinceau fin et froid remplissait nos corps de frissons, nos bouches de sourires tendres... Une larme s’écoulait de long de la joue ... Une larme de couleur... Et une vraie larme...
la Marquise ... Jeune Marie Laurencin
Mer 26 Nov 2003, 15:47 par
la marquise de sade sur Le grimoire d'amour
Re: auteur inconnu ..enfin, je me rapelle plus le nom ....
la marquise de sade a écrit: |
Ne pleure pas parce que c’est terminé, souris plutôt pour tout ce qui s’est passé avant" |
Les séparations, les ruptures laissent hélas parfois des traces douleureuses. Combien de couples ayant partagés de nombreuses années de bonheur et d’ententes parfaites se déchirent lors d’une séparation ou d’un divorce. On ne garde en tête que les défauts de l’autre, on ne cherche qu’à lui faire payer la souffrance que l’on ressent, le sentiment d’echec que l’on vit, et on est prêt à toutes les bassesses pour surtout ne pas être le seul à souffrir...
Pourtant il y a eu tous ces fous rire à deux, tous ces moments si tendres, tous ces instants où le monde aurait pu s’ecrouler rien n’y aurait changé, toutes ces heures passées à se caresser, à se donner du plaisir, toutes ces minutes à l’attendre, impatient, toutes ces difficultés surmontées à deux.
Maintenant, il reste les cris, les injures, les vengeances, les reproches, les avocats, les amis de l’un contre les amis de l’autre, les "c’est à moi", les "c’est ta faute" ...
La nature humaine est incompréhensible.. elle accorde plus d’importance à quelques mois de mésententes qu’à des années de bonheur... faudra qu’on m’explique ça ...
La marquise ... fleur bleue .... (<=== ça en jete ! )
Mer 19 Nov 2003, 14:41 par
la marquise de sade sur Citations
suite de l'épisode précédent
Un an passé d’amour intense qui ne cesse de s’enflammer
Chaque jour je me réveille à côté de cet être merveilleux
J’oublie tous ces matins où le reveil était si malheureux
Amertume d’être seule, tristesse de ne pas aimer.
Maintenant et à jamais tu es présent oh toi bonheur
L’Amour emplie ma vie de si douces senteurs
Qui font battre mon coeur au rythme de l’ivresse
Ivresse d’amour, d’attentions, de tendresse.
Plus d’un an que dans ma vie il est entré
Tel un ange tombé du ciel pour m’apporter,
Affections qui me comblent, voir m’étonnent
Moi qui n’ai pas l’habitude qu’on m’en donne ;
Jamais, comme lui, on ne m’avait regarder
Avec des yeux emplient d’amour si étincellants
Jamais de ma vie on ne m’avait fait chavirer
Avec des tendres sourires si ensorcelants
Oh que oui amour et internet peuvent rimer,
Rimer avec échange de mp, rencontre plus si affinité..
Amour et internet peuvent rimer surtout
Avec cette si douce expression qu’est "pour toujours".
Chaque jour je me réveille à côté de cet être merveilleux
J’oublie tous ces matins où le reveil était si malheureux
Amertume d’être seule, tristesse de ne pas aimer.
Maintenant et à jamais tu es présent oh toi bonheur
L’Amour emplie ma vie de si douces senteurs
Qui font battre mon coeur au rythme de l’ivresse
Ivresse d’amour, d’attentions, de tendresse.
Plus d’un an que dans ma vie il est entré
Tel un ange tombé du ciel pour m’apporter,
Affections qui me comblent, voir m’étonnent
Moi qui n’ai pas l’habitude qu’on m’en donne ;
Jamais, comme lui, on ne m’avait regarder
Avec des yeux emplient d’amour si étincellants
Jamais de ma vie on ne m’avait fait chavirer
Avec des tendres sourires si ensorcelants
Oh que oui amour et internet peuvent rimer,
Rimer avec échange de mp, rencontre plus si affinité..
Amour et internet peuvent rimer surtout
Avec cette si douce expression qu’est "pour toujours".
Mer 19 Nov 2003, 06:48 par
odyyyyy sur Amour internet
La reine ...
La reine du forum, le plus active, celle qui quand vous etes entre ses mains, tombez entre ses dents, celle qui ne dort jamais tant sa main chauffe à nous donner des douceurs, la reine des ames tendres c’est
la marquise de sade
Pourquoi donc autant d’enthousiasme devant cette plume féconde me demanderez vous ? Point d’histoires de fesses là dessous (en dentelle), mais simplement la folle envie de dire à tout le forum que la première personne à avoir atteint le status de Fleur Bleue, c ’est elle !!! Alors non seulement elle ecrit trés bien de trés jolies choses, mais en plus elle poste comme une malade
Vous pouvez consulter ce que ce petit talent à ecrit depuis son investiture ici
La bise à toi, ma belle marquise
la marquise de sade
Pourquoi donc autant d’enthousiasme devant cette plume féconde me demanderez vous ? Point d’histoires de fesses là dessous (en dentelle), mais simplement la folle envie de dire à tout le forum que la première personne à avoir atteint le status de Fleur Bleue, c ’est elle !!! Alors non seulement elle ecrit trés bien de trés jolies choses, mais en plus elle poste comme une malade
Vous pouvez consulter ce que ce petit talent à ecrit depuis son investiture ici
La bise à toi, ma belle marquise
Lun 17 Nov 2003, 23:37 par
PetitPrince sur Edito
Toujours plus haut, toujours plus fort
Que de déboires les ames tendres a subi ces jours ci.
J’ai le plaisir de vous annoncer que nous sommes desormais accessibles sur
http://www.les-ames-tendres.com/
et que nous nes sommes plus hebergés chez Free, mais chez NVPHOST
Je profite de ce changement pour vous annoncer la nouvelle collection de smileys...Et puis aussi pour vous rappeller de ne pas oublier de mettre un sujet à vos posts
Ca va chauffer !
J’ai le plaisir de vous annoncer que nous sommes desormais accessibles sur
http://www.les-ames-tendres.com/
et que nous nes sommes plus hebergés chez Free, mais chez NVPHOST
Je profite de ce changement pour vous annoncer la nouvelle collection de smileys...Et puis aussi pour vous rappeller de ne pas oublier de mettre un sujet à vos posts
Ca va chauffer !
Sam 15 Nov 2003, 13:17 par
PetitPrince sur Edito
Souvenirs inhabituels ...
Je suis sûre que tout le monde a lu le message, que chacun a compris la proposition, et que tout le monde attend que quelqu’un se jette à l’eau avec un premier message...
Malgré ma timidité légendaire (petit prince arrete de te marrer steuplé!!! ) , je vais faire le premier pas, enfin, je veux dire le premier message !
Les rendez-vous, je n’en ai pas fixés des dizaines ... Premièrement parce que je suis une fille et que les traditions veulent encore que ce soit généralement l’homme qui prenne l’initiative des rdv, ensuite parce que bien souvent les choses se font à l’improviste, au détour d’une conversation anodine, d’un coin de rue, d’un sourire échangé ...
Mais je me souviens des traditionnels rdv aux restos ou dans un bar agréable. Des quelques promesses de se retrouver dans une fête diverse, et de quelques longues minutes à patienter aux arrets de bus ou sur le quai d’une gare...
Les plus surprenants ne furent pas tant par le lieu, mais pas les difficultés à affronter avant de pouvoir enfin s’échanger un baiser. Mes plus beaux souvenirs ne sont pas ceux des lieux, mais ceux des mots ou des regards échangés dans ce lieu. Les lieux où se déroulaient les moments plus tendres sont plus surprenants ou inattendus pour ma part.. je vous les conterai quand la question sur ce thème arrivera...
Je garde en tête toutefois, ce petit garçon qui a traversé toute la France pour venir me donner un petit collier de perles alors que j’étais en colonie de vacances ... nous avions une dizaine d’années ... et j’ai toujours le collier ...
La marquise ... une timide qui s’ignore ...
Malgré ma timidité légendaire (petit prince arrete de te marrer steuplé!!! ) , je vais faire le premier pas, enfin, je veux dire le premier message !
Les rendez-vous, je n’en ai pas fixés des dizaines ... Premièrement parce que je suis une fille et que les traditions veulent encore que ce soit généralement l’homme qui prenne l’initiative des rdv, ensuite parce que bien souvent les choses se font à l’improviste, au détour d’une conversation anodine, d’un coin de rue, d’un sourire échangé ...
Mais je me souviens des traditionnels rdv aux restos ou dans un bar agréable. Des quelques promesses de se retrouver dans une fête diverse, et de quelques longues minutes à patienter aux arrets de bus ou sur le quai d’une gare...
Les plus surprenants ne furent pas tant par le lieu, mais pas les difficultés à affronter avant de pouvoir enfin s’échanger un baiser. Mes plus beaux souvenirs ne sont pas ceux des lieux, mais ceux des mots ou des regards échangés dans ce lieu. Les lieux où se déroulaient les moments plus tendres sont plus surprenants ou inattendus pour ma part.. je vous les conterai quand la question sur ce thème arrivera...
Je garde en tête toutefois, ce petit garçon qui a traversé toute la France pour venir me donner un petit collier de perles alors que j’étais en colonie de vacances ... nous avions une dizaine d’années ... et j’ai toujours le collier ...
La marquise ... une timide qui s’ignore ...
Ven 14 Nov 2003, 12:11 par
la marquise de sade sur La séduction
Massage culinaire
Quel plaisir de mêler les plaisirs de la chair à ceux de la... chair...
La douceur sucrée et juteuse des fruits, la saveur épicée des plats exotiques, la sensualité des crèmes et des mousses...
Quelques bougies éparses, projetant une lumière dansante et tamisée, la chaleur d’un feu de bois, mêlés à des parfums enivrants de vanille, de coco et de jasmin, des coussins moelleux et colorés, la table est mise.
Allongés au milieu de ce décor, deux tendres amoureux, rêvant d’amour, dissertant sur le monde, se projetant dans l’avenir. Une petite faim, après avoir dévoré déjà l’autre plus d’une fois. L’occasion de partager quelques mets si plaisants sur la langue....
Un morceau d’ananas ou de pêche qui glisse entre les lèvres et y dépose un jus à récolter du bout de la langue.
Un morceau de chocolat qui fond légèrement autour du nombril... à déguster sur le ventre...
Un fin filet de vin blanc sucré qui dégringole le long des seins, à boire d’urgence...
Une cueillerée de glace au citron à partager d’une seule langue...
Des pousses de bambou à grignotter par les deux bouts, jusqu’à la collision des lèvres...
Et comme dessert, un sillon de crème chantilly qui parcourt le corps jusqu’aux vallées les plus intimes de son partenaire...
La Marquise... Maïté d’occasion...
La douceur sucrée et juteuse des fruits, la saveur épicée des plats exotiques, la sensualité des crèmes et des mousses...
Quelques bougies éparses, projetant une lumière dansante et tamisée, la chaleur d’un feu de bois, mêlés à des parfums enivrants de vanille, de coco et de jasmin, des coussins moelleux et colorés, la table est mise.
Allongés au milieu de ce décor, deux tendres amoureux, rêvant d’amour, dissertant sur le monde, se projetant dans l’avenir. Une petite faim, après avoir dévoré déjà l’autre plus d’une fois. L’occasion de partager quelques mets si plaisants sur la langue....
Un morceau d’ananas ou de pêche qui glisse entre les lèvres et y dépose un jus à récolter du bout de la langue.
Un morceau de chocolat qui fond légèrement autour du nombril... à déguster sur le ventre...
Un fin filet de vin blanc sucré qui dégringole le long des seins, à boire d’urgence...
Une cueillerée de glace au citron à partager d’une seule langue...
Des pousses de bambou à grignotter par les deux bouts, jusqu’à la collision des lèvres...
Et comme dessert, un sillon de crème chantilly qui parcourt le corps jusqu’aux vallées les plus intimes de son partenaire...
La Marquise... Maïté d’occasion...
Ven 07 Nov 2003, 17:56 par
la marquise de sade sur Le grimoire d'amour
Ecrire sur tendres
Mythe ou réalité ...., Bilan sulfureux, Contre un mur - Fin, Ca y est c'est chaud, Tiens, un peu de philosophie, Qualité d'ecriture, et si..., Que c'est choupinet tout plein ca !!!, De l'amour, de l'art ou du cochon..., Re: auteur inconnu ..enfin, je me rapelle plus le nom ...., suite de l'épisode précédent, La reine ..., Toujours plus haut, toujours plus fort, Souvenirs inhabituels ..., Massage culinaire,Il y a 167 textes utilisant le mot tendres. Ces pages présentent les textes correspondant.
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