Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur tel - Page 3 sur 14
Le secrétaire
Il vient de prendre ses fonctions
Dans cette grande et belle maison
Il espère bien faire sensation
Qu’on soit content de ses prestations
On l’a installé dans un joli bureau
Bien agréable où tout est fait pour s’y plaire
Il va pouvoir faire du beau boulot
Ce nouveau secrétaire
Mais son travail aussitôt se complique
Quand Madame dans le local rapplique
Juste vêtue de ses petits dessous
Qui mettent en valeur ses atouts
Il ouvre grand ses yeux à cette vue
Profitant de cette belle opportunité
De dévisager cette belle ingénue
Qui se montre dans toute sa beauté
Il se doit de rester froid et impassible
Devant cette belle ingénue si tentante
Le trouble est malgré tout bien visible
Face à cette belle vision alléchante
Il sent sa peau de soie s’accouder,
Tout contre le bord poli de son lutrin
Il sent la chaleur de son corps et se met à rêver
S’imaginant qu’ils n’en feront plus qu’un...
Dans son songe, il se voit doté d’une âme
Il se voit en secrétaire particulier de Madame
Planté devant elle tel un valet de chambre
Auscultant cette délicieuse silhouette d’ambre
Dans sa magnifique parure légère et frivole
Attendant qu’elle veuille bien prendre la parole,
Pour lui donner un ordre ou demander un service
Afin qu’il arrête de se tordre et mette fin au supplice
Ce sont des Georges par ci, des Georges par là
Il adore le son mielleux qui sort de sa belle bouche.
Et tous ces petits gestes affectueux lorsqu’elle le touche
Elle passe ses mains, afin qu’il brille d’un bel éclat
Comme si elle avait besoin de nettoyer la poussière sur son veston
Qu’elle avait besoin de faire étinceler les cuivres des boutons
Et qu’elle lustre avec tant de méticuleux soin cet abattant
En lui décochant ces beaux sourires, qu’il affectionne tant.
Il ne comprend toujours pas pourquoi, elle utilise cette cire d’abeille
Qui lui donne cet air guindé d’un vieux comptoir quitté la veille
Sur lequel elle aurait noyé ses ennuis amoureux dans un verre de Vodka
Lui préfère les fragrances de son eau de toilette à l’arôme de magnolia,
Qui lui rappelle tant sa jolie montagne et ses beaux versants ensoleillés
Ses doigts, si soigneusement manucurés, auraient besoin d’être réchauffés
Et il faudrait couvrir ce merveilleux corps afin qu’il ne prenne pas froid
Je me verrai bien dans ce rôle, pense-t-il, pour pouvoir m’occuper de toi.
Dans cette grande et belle maison
Il espère bien faire sensation
Qu’on soit content de ses prestations
On l’a installé dans un joli bureau
Bien agréable où tout est fait pour s’y plaire
Il va pouvoir faire du beau boulot
Ce nouveau secrétaire
Mais son travail aussitôt se complique
Quand Madame dans le local rapplique
Juste vêtue de ses petits dessous
Qui mettent en valeur ses atouts
Il ouvre grand ses yeux à cette vue
Profitant de cette belle opportunité
De dévisager cette belle ingénue
Qui se montre dans toute sa beauté
Il se doit de rester froid et impassible
Devant cette belle ingénue si tentante
Le trouble est malgré tout bien visible
Face à cette belle vision alléchante
Il sent sa peau de soie s’accouder,
Tout contre le bord poli de son lutrin
Il sent la chaleur de son corps et se met à rêver
S’imaginant qu’ils n’en feront plus qu’un...
Dans son songe, il se voit doté d’une âme
Il se voit en secrétaire particulier de Madame
Planté devant elle tel un valet de chambre
Auscultant cette délicieuse silhouette d’ambre
Dans sa magnifique parure légère et frivole
Attendant qu’elle veuille bien prendre la parole,
Pour lui donner un ordre ou demander un service
Afin qu’il arrête de se tordre et mette fin au supplice
Ce sont des Georges par ci, des Georges par là
Il adore le son mielleux qui sort de sa belle bouche.
Et tous ces petits gestes affectueux lorsqu’elle le touche
Elle passe ses mains, afin qu’il brille d’un bel éclat
Comme si elle avait besoin de nettoyer la poussière sur son veston
Qu’elle avait besoin de faire étinceler les cuivres des boutons
Et qu’elle lustre avec tant de méticuleux soin cet abattant
En lui décochant ces beaux sourires, qu’il affectionne tant.
Il ne comprend toujours pas pourquoi, elle utilise cette cire d’abeille
Qui lui donne cet air guindé d’un vieux comptoir quitté la veille
Sur lequel elle aurait noyé ses ennuis amoureux dans un verre de Vodka
Lui préfère les fragrances de son eau de toilette à l’arôme de magnolia,
Qui lui rappelle tant sa jolie montagne et ses beaux versants ensoleillés
Ses doigts, si soigneusement manucurés, auraient besoin d’être réchauffés
Et il faudrait couvrir ce merveilleux corps afin qu’il ne prenne pas froid
Je me verrai bien dans ce rôle, pense-t-il, pour pouvoir m’occuper de toi.
Sam 23 Juin 2012, 15:27 par
caressedesyeux sur Mille choses
Dessin d'elle (duo)
Me lève doucement et prends ma cigarette
Je dois, rideaux, tirer et la fenêtre ouvrir
Elle ne veut fumée et il faut que j’arrête
Je ne puis maintenant ! Mais cela va venir
J’enfourne la cibiche et prends une allumette
Il fait beaucoup trop chaud, je n’arrive à dormir
La flamme qui crépite emmène au loin tout ombre
Je tire une bouffée et je m’installe enfin
Dans le noir qui revient les démons sont en nombre
Par l’huis, la lune envoie un rayon argentin
Elle éclaire la chambre en la rendant moins sombre
Et dans cette lueur je vois son corps divin
L’envie ainsi me prends d’en faire une aquarelle
M’empare d’un crayon pour en faire un croquis
Sous ce rayon d’argent, elle apparaît si belle
Et le temps se suspend, par sa beauté, conquis
La main dessine alors sa grâce naturelle
Et sans regard lever de ce visage exquis
En tire un trait précis du cou jusqu’à l’aisselle
J’arrête un peu surpris, à l’ébauche d’un sein,
Par cette étrange aisance et un pli de courbure
Disparaissant sous draps et dont le bel écrin
Par un effet soudain éveille ma nature
Je me dois de freiner ce désir de câlin
Pendant que, doucement, descends la couverture
Dans toute sa beauté s’expose le tableau
De son merveilleux corps. Malgré sa retenue
Elle, pourtant pudique, au cœur de ce berceau,
Sans porter le flambeau, ma déesse dort nue.
Dans un suprême effort, je reprends le pinceau
Et continue ainsi la fresque convenue
La regarde dormir dessinant ses cheveux
D’un regard caressant j’en amorce la joue
Je peaufine amoureux le contour de ses yeux
Puis j’entame la bouche, authentique bijou,
Dont le troublant contact m’invite auprès des dieux
Goûter le doux nectar, d’un tendre roudoudou
Comme me rejoignant, en ce joli mirage
Par un secret murmure, ici, Belle se plaint
Se dessine un sourire éclairant son visage
Se peut-il qu’en songe, je sois ce séraphin
Qui l’enlace en dansant et sous lune fort sage
Lui fait ainsi l’amour du soir jusqu’au matin ?
L’image s’affranchit d’un fusain qui l’esquisse
D’une cambrure lisse au doux moelleux confort
Inestimable attrait de ma belle Anaïs
Qui joyeusement glisse en un charmant transport
D’un rêve dont le vœu, que jamais ne finisse
L’amour qui nous unit, est un souhait très fort
S’évade mon esprit sur un plan de garrigue
Plus de mille crickets nous saluent de leur chant
Je suis au paradis et j’entame une gigue
Des massifs de lavande embaument l’air ambiant
Et je danse ! Je danse à tomber de fatigue,
Ivre de joie immense, en son sein accueillant
S’égare mon regard sur un galbe de fesse
Une rondeur de sein que polit une main
S’activant au dessin que sa beauté professe
Du mollet au genou, de la cuisse au bassin
De l’endroit le plus doux le tableau la caresse
De l’éclat lumineux d’un rayon opalin
Une ombre, sur le mur, vient contempler l’artiste
Puis se penche et s’immisce au creux de son dessin
Soigne la silhouette, en bon aquarelliste,
En retrace et reprend le beau contour d’un sein
Embellit le velours, tel un beau jeu de piste,
Donnant forme et volume au joli mannequin
J’observe le croquis, le compare à ma brune
Retouche un pli par ci, regonfle un trait par là
Orne d’un trait charbon le teint clair de sa prune
Le pinceau s’éternise et traîne à l’emploi
D’un ébat dans ses bras, d’une joie commune
Je me prends à rêver d’un doux et tendre émoi
Sur l’esquisse m’étends, gomme, trace et retrace
Et refais tous les traits comme en la caressant
À mes yeux amoureux, il ne trouve pas grâce
Ce tableau, rien qu’un nu, bien splendide pourtant
Le recouvre et reprends d’un regard qui l’enlace
Le dessin est fini depuis déjà longtemps
La regarder dormir sous les rayons de lune
Je ne me lasse pas d’ainsi la regarder
Et je profite alors de ma bonne fortune
Et j’en profite encore aussi pour en rêver
La regarder dormir quelle chance opportune
La regarder dormir et puis la dessiner
Idée originale et décor de caressedesyeux
© Versification et mise en page Hamilcar01[/color]
Je dois, rideaux, tirer et la fenêtre ouvrir
Elle ne veut fumée et il faut que j’arrête
Je ne puis maintenant ! Mais cela va venir
J’enfourne la cibiche et prends une allumette
Il fait beaucoup trop chaud, je n’arrive à dormir
La flamme qui crépite emmène au loin tout ombre
Je tire une bouffée et je m’installe enfin
Dans le noir qui revient les démons sont en nombre
Par l’huis, la lune envoie un rayon argentin
Elle éclaire la chambre en la rendant moins sombre
Et dans cette lueur je vois son corps divin
L’envie ainsi me prends d’en faire une aquarelle
M’empare d’un crayon pour en faire un croquis
Sous ce rayon d’argent, elle apparaît si belle
Et le temps se suspend, par sa beauté, conquis
La main dessine alors sa grâce naturelle
Et sans regard lever de ce visage exquis
En tire un trait précis du cou jusqu’à l’aisselle
J’arrête un peu surpris, à l’ébauche d’un sein,
Par cette étrange aisance et un pli de courbure
Disparaissant sous draps et dont le bel écrin
Par un effet soudain éveille ma nature
Je me dois de freiner ce désir de câlin
Pendant que, doucement, descends la couverture
Dans toute sa beauté s’expose le tableau
De son merveilleux corps. Malgré sa retenue
Elle, pourtant pudique, au cœur de ce berceau,
Sans porter le flambeau, ma déesse dort nue.
Dans un suprême effort, je reprends le pinceau
Et continue ainsi la fresque convenue
La regarde dormir dessinant ses cheveux
D’un regard caressant j’en amorce la joue
Je peaufine amoureux le contour de ses yeux
Puis j’entame la bouche, authentique bijou,
Dont le troublant contact m’invite auprès des dieux
Goûter le doux nectar, d’un tendre roudoudou
Comme me rejoignant, en ce joli mirage
Par un secret murmure, ici, Belle se plaint
Se dessine un sourire éclairant son visage
Se peut-il qu’en songe, je sois ce séraphin
Qui l’enlace en dansant et sous lune fort sage
Lui fait ainsi l’amour du soir jusqu’au matin ?
L’image s’affranchit d’un fusain qui l’esquisse
D’une cambrure lisse au doux moelleux confort
Inestimable attrait de ma belle Anaïs
Qui joyeusement glisse en un charmant transport
D’un rêve dont le vœu, que jamais ne finisse
L’amour qui nous unit, est un souhait très fort
S’évade mon esprit sur un plan de garrigue
Plus de mille crickets nous saluent de leur chant
Je suis au paradis et j’entame une gigue
Des massifs de lavande embaument l’air ambiant
Et je danse ! Je danse à tomber de fatigue,
Ivre de joie immense, en son sein accueillant
S’égare mon regard sur un galbe de fesse
Une rondeur de sein que polit une main
S’activant au dessin que sa beauté professe
Du mollet au genou, de la cuisse au bassin
De l’endroit le plus doux le tableau la caresse
De l’éclat lumineux d’un rayon opalin
Une ombre, sur le mur, vient contempler l’artiste
Puis se penche et s’immisce au creux de son dessin
Soigne la silhouette, en bon aquarelliste,
En retrace et reprend le beau contour d’un sein
Embellit le velours, tel un beau jeu de piste,
Donnant forme et volume au joli mannequin
J’observe le croquis, le compare à ma brune
Retouche un pli par ci, regonfle un trait par là
Orne d’un trait charbon le teint clair de sa prune
Le pinceau s’éternise et traîne à l’emploi
D’un ébat dans ses bras, d’une joie commune
Je me prends à rêver d’un doux et tendre émoi
Sur l’esquisse m’étends, gomme, trace et retrace
Et refais tous les traits comme en la caressant
À mes yeux amoureux, il ne trouve pas grâce
Ce tableau, rien qu’un nu, bien splendide pourtant
Le recouvre et reprends d’un regard qui l’enlace
Le dessin est fini depuis déjà longtemps
La regarder dormir sous les rayons de lune
Je ne me lasse pas d’ainsi la regarder
Et je profite alors de ma bonne fortune
Et j’en profite encore aussi pour en rêver
La regarder dormir quelle chance opportune
La regarder dormir et puis la dessiner
Idée originale et décor de caressedesyeux
© Versification et mise en page Hamilcar01[/color]
Mer 13 Juin 2012, 19:11 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Le cercle des poètes
Comme chaque année, Oasis organisait la traditionnelle rencontre de ses membres. Prolonger les beaux et bons moments passés sur le site, les amitiés nouées et les débuts d’idylles. Et partager tous ces mots qui formaient de si belles compositions. Des bouquets de mots aurait dit Douceur3. Une trentaine de poètes avaient répondu à l’appel, record historique, pas évident de rassembler en un lieu des personnes si dispersées.
Cette année la fête s’annonçait unique, le lieu choisit étant un vieux manoir style anglais, perdu dans la campagne et évocateur du plus pur romantisme. Et comme chaque fois, les règles de la rencontre lui donnaient un caractère de mystère tout à fait passionnant. Un thème, l’époque Victorienne anglaise pour les costumes et l’ambiance, et comme d’habitude, un souci de conserver l’anonymat de chacun pour garder les conditions de ces rencontres virtuelles sur le net. Donc pas de signes distinctifs, et port du masque obligatoire en plus du costume adéquat. Bien sûr certains se connaissaient déjà et pouvaient se reconnaître facilement, mais chacun jouait le jeu...
Seule indication, la liste des invités était fournie, pour augmenter l’envie de découvrir nos amis. Pour moi c’était la première fois, et j’avais hâte de vivre de bons moments avec tous les contacts sympathiques qui accompagnaient mon quotidien depuis plusieurs mois. Le site m’avait relancé et permis de m’exprimer, ce que je ne faisais pas si facilement, et la sensibilité de la plupart était un régal et un appel à la confidence. Franchement j’avais envie envie de côtoyer Capricorne pour son talent, Chibani pour son humour, Rainbownight pour sa fraîcheur et tant d’autres, surtout des femmes, pour la sympathie qu’ils dégageaient. Ecouter une nouvelle de Lesmotions, oui je le voulais...
Mais surtout, je venais pour l’élue, la fleur du site, mon amie, ma confidente et mon alter ego, celle avec qui je partageais au delà de l’espace des moments délicieux et de pure douceur. Un mélange de toutes les qualités, celles qui chauffent le cœur, celles qui enflamment le corps...
Comment se reconnaître? Je faisais confiance à notre intuition, et aux phéromones, ces petites molécules que nous émettons et qui transmettent les messages secrets de notre corps. J’étais sûr que la magie et la chimie ferait battre nos cœurs plus intensément quand viendrait l’heure de la proximité. J’avais confiance...
Les invités arrivaient petit à petit, belles femmes en robes blanches et petites ombrelles, beaux messieurs dans leurs costumes d’un autre temps. Et bien sûr le masque blanc pour garder le mystère. Un peu intimidé, je me mêlais aux personnes qui se tenaient autour d’un buffet dressé sur une grande table blanche au soleil. Et j’essayais de deviner qui était qui, par le souvenir du style de chacun. Oh cet homme qui déclamait des vers, d’une belle assurance et d’un talent certain , j’aurais juré que c’était Ratatouille! Et cette petite dame, qui allait de l’un à l’autre pour offrir sa gentillesse et ses mots si doux, si ce n’est pas Cyrael …
Tout le monde était là, la petite dame (j’avais raison) fit un petit discours de bienvenue et nous rappela les grands principes, passer une bonne journée, partager nos dernières œuvres (quelques petites estrades parsemaient les jardins) et se fabriquer de doux souvenirs de rencontres et d’amitié...
Je passais d’un groupe à l’autre, écoutant les poèmes, échangeant des idées sur le monde, et sur tout ce qui faisait notre vie de poètes. Un petit orchestre égayait nos oreilles. J’étais bien, ne me manquait que sa présence. J’avais bien quelques petites idées, mais encore un petit doute sur l’identité de ma chérie...
Oh mais c’est sûrement Isabelle59 qui nous enchante par sa douceur et sa sensualité. J’écoutais tendrement, mon esprit vagabondait, quand je sentis une petite main se glisser dans la mienne. Mon dieu, ce contact fit en moi l’effet d’un rayonnement soudain, et mon corps fût parcouru de frissons, doux et électriques...
ELLE M’AVAIT TROUVE
Mon cœur se mis à battre, ma voix bloquée dans ma gorge, des petits picotements dans la nuque. Pas de doute, vu l’effet sur moi, c’était bien ma douce. Sans rien dire elle prit mon bras et m’entraîna pour marcher un peu dans les allées du jardin. C’était la fin de l’après-midi, soleil bas et lumière tendre, pas besoin de parler, j’étais bien (et encore sous le coup de l’émotion) et nos pas s’accordaient comme des amis de toujours...
Sous une tonnelle, et entourés de merveilleuses roses aux senteurs enivrantes, nous nous faisions face à face. Sentant qu’elle devait prendre l’initiative, elle entoura mon cou de ses doux bras et approcha ses lèvres des miennes. Oh douceur exquise, saveur fruitée de l’été, sa bouche avait le goût d’une pêche qui éclate au palais et déverse son jus. Nos langues commencèrent leur danse et le temps se figea. Enlacés nos mains cherchaient la bonne prise, pour minimiser l’espace entre nos corps avides de contact...
Ces minutes furent une éternité, et me revenais le poème qu’elle m’avait inspiré sur cette seconde unique de bonheur quand tout s’accorde. Ses lèvres, ses joues, ses mains, étaient douceur extrême et comme une invite à découvrir le reste. Ses mains exploratrices commençaient à découvrir mon corps et ne semblaient pas avoir de limites imposées. Quand l’une d’elle se posa sur mon pantalon, elle constata que je n’étais pas insensible aux charmes de son corps. Notre étreinte m’avait comblé de joie pure et tendre, mais avais également réveillé mon désir. A travers le tissu, elle sentait et palpait la tension extrême qui ne demandait qu’à s’épanouir. Je crus défaillir quand sa caresse plus pressante fit sortir de sa cachette le bout déjà trempé de mon sexe...
Mais ce n’était pas le lieu de découvertes plus poussées. Je repris mon souffle et sa main et nous repartîmes vers des lieux plus fréquentés. Devant la grande demeure, certains s’activaient déjà pour préparer le grand dîner du soir. Belles assiettes et bougies nous promettaient un régal pour les yeux et raffinement de cuisine. Mais pour l’instant ma belle avait une autre idée en tête et comptait plutôt terminer son exploration à peine entamée …
Elle m’entraîna donc vers la maison à la recherche d’un endroit propice et discret. Les nombreuses pièces du bas étaient trop lumineuses et spacieuses, elle m’attira alors vers un escalier qui menait vers des recoins plus adaptés à sa mission. Là-haut, plus de calme et de pénombre. Et peu de chances d’être dérangés. Contre une porte elle me poussa et entrepris de libérer l’objet de son émoi. Le pantalon de toile tomba rapidement sur mes chaussures, et sa main agrippa à travers le fin coton qui me préservait encore, mon sexe tout tremblant et d’une vigueur de circonstance. Approchant ses lèvres, elle engloba le tout, tissu et chair et mordit doucement. Mes mains sur sa tête j’appréciais à sa juste valeur l’application qu’elle mettait dans cette mise en bouche...
Une main à même mes fesses, l’autre jouant avec mes bourses, elle entreprit de visiter sur toute sa longueur le dur bâton qui ne demandait que cela. Sa langue sentait à travers l’étoffe, la veine gonflée qui palpitait intensément. L’idée même que c’était mon petit cœur qui me procurait ces délices décuplait l’intensité du plaisir. Doucement sa tête montait et descendait, entraînant sa bouche, langue sortie, le long de ma verge qui commençait à entrevoir le moment où tout explose. Sa main vînt compléter l’action de sa bouche et accéléra le mouvement. Sentant l’instant ultime arriver, elle arracha mon dernier vêtement et me prit dans sa bouche, ses lèvres serrant fermement, elle engloutit au maximum, et en quelques mouvements bien contrôlés elle me fit atteindre l’extase. Ma semence jaillit accompagnée d’un petit cri de jouissance, tandis que ses ongles griffait ma fesse. Ne voulant rien laisser, elle avala le tout et lécha soigneusement ce qui coulait lentement le long de mon sexe bouillant...
J’avais rarement connu telle intensité, et un bien-être m’envahit, des frissons achevèrent mon contentement. Sous son masque je devinais le sourire de la bien-aimée fière d’avoir fait jouir son homme. Elle m’enlaça et je déposais sur sa bouche encore humide un doux baiser comme elle les aime. Reprenant mes esprits je remis un peu d’ordre dans mes vêtements et nous partîmes pour le dîner main dans la main...
Une telle journée m’avait mis en joie et en appétit, et c’est tout sourire que je pris place pour le repas à côté de ma sensuelle compagne. Ce fût régal, les plats raffinés défilaient, et l’ambiance était des plus conviviales, chacun y allant de son meilleur texte ou de ses bons mots. Le champagne nous montait à la tête, et ma petite qui est chamboulée à partir d’une demi-coupe commençait à montrer des joues rosies par l’alcool, la joie et certaines idées qui lui venaient en tête...
Sous la nappe je sentis sa main sur ma cuisse. La mienne vint l’y rejoindre et doigts enlacés nous étions comme deux amoureux tout neufs! D’un même mouvement, l’ensemble passa d’une cuisse à l’autre et j’entrai en contact avec la douce chaleur de sa peau. La coquine avait remonté sa robe pour permettre un accès plus aisé à certaines parties de son corps qu’elle souhaitait m’offrir en cadeau. Puis sa main rejoignit le dessus de la table, laissant la mienne seule, mais invitée à pousser plus loin l’exploration...
Douceur, chaleur, ces mots étaient trop faibles pour décrire la sensation que me procurait d’être entre ses cuisses. Ma main droite, paume sur sa peau, doigts vers le bas, remonta lentement, savourant le grain velouté de son épiderme. Elle atteignit alors l’infime dentelle qui recouvrait sa toison si fine. A plat sur le pubis, doigts écartés au maximum pour profiter de tout , je fis tendre pression pour assurer à ma voisine que j’avais bien compris le message...
Pendant ce temps, les conversations continuaient, les rires fusaient, et la coquine n’était pas la dernière à montrer sa joie. Que tous prirent bien sûr comme manifestation du bonheur de se retrouver tous ensemble. Mais autre chose était en partie responsable de cet état. Sous la table, mes doigts par petits cercles, avaient entrouverts les petites portes protégeant, pour peu de temps encore, la caverne aux mille trésors. Mon majeur poussa plus loin et commença à frotter le tissu blanc sur les chairs roses et humides. Parmi ses rires, des petits cris partaient, que tous prenaient pour les manifestations de la boisson. Oh coquine!!!
Repliant mes doigts, j’accrochais le bord de sa culotte mouillée de plaisir, et je les fis passer par dessous pour sentir les palpitations de sa peau. Il n’était plus l’heure de perdre du temps vu l’état de la belle qui riait et se secouait sous l’effet de tous les plaisirs réunis. Alors mes deux doigts enserrèrent comme une pince, le clitoris tout dur et gorgé de désir. L’humidité ambiante facilita le travail des deux artistes, pression, pincements, roulements, tout contribua à faire vibrer le corps de ma chérie qui m’envoyait des regards plein de tendresse et de gratitude. ..
Les mouvements maintenant profonds et appuyés faisaient leur effet, et la pauvre semblait s’enfoncer sous la table. Sentant que l’explosion serait imminente, je décidais de lui venir en aide et je sortais d’une voix puissante ma plus grosse blague (pourrie mais bien marrante). Ce fut un tonnerre de rires et d’applaudissements. Un tel bruit que ma coquine arriva à jouir bruyamment sous les derniers effets de ma main en folie, sans que personne ne remarque cette situation plutôt délicate. Secouée par les rires et les spasmes de l’orgasme, tout son corps bougeait et je la regardais avec un évident bonheur. A peine apaisée elle se jeta à mon cou et devant les sourires de l’assistance elle me fît le plus tendre baiser qu’il soit permis de donner...
Vous pensez bien que le retour vers nos régions respectives fut un voyage empli de bons souvenirs, de marques d’amitié, de promesses de se revoir et de rendez-vous futurs sur le site. Pour nous ce fut bien plus, nos corps avaient gardé l’empreinte de l’autre et dans nos têtes il y aurait pour longtemps ces instants délicieux où plus rien ne comptait que de donner et de s’aimer.
Cette année la fête s’annonçait unique, le lieu choisit étant un vieux manoir style anglais, perdu dans la campagne et évocateur du plus pur romantisme. Et comme chaque fois, les règles de la rencontre lui donnaient un caractère de mystère tout à fait passionnant. Un thème, l’époque Victorienne anglaise pour les costumes et l’ambiance, et comme d’habitude, un souci de conserver l’anonymat de chacun pour garder les conditions de ces rencontres virtuelles sur le net. Donc pas de signes distinctifs, et port du masque obligatoire en plus du costume adéquat. Bien sûr certains se connaissaient déjà et pouvaient se reconnaître facilement, mais chacun jouait le jeu...
Seule indication, la liste des invités était fournie, pour augmenter l’envie de découvrir nos amis. Pour moi c’était la première fois, et j’avais hâte de vivre de bons moments avec tous les contacts sympathiques qui accompagnaient mon quotidien depuis plusieurs mois. Le site m’avait relancé et permis de m’exprimer, ce que je ne faisais pas si facilement, et la sensibilité de la plupart était un régal et un appel à la confidence. Franchement j’avais envie envie de côtoyer Capricorne pour son talent, Chibani pour son humour, Rainbownight pour sa fraîcheur et tant d’autres, surtout des femmes, pour la sympathie qu’ils dégageaient. Ecouter une nouvelle de Lesmotions, oui je le voulais...
Mais surtout, je venais pour l’élue, la fleur du site, mon amie, ma confidente et mon alter ego, celle avec qui je partageais au delà de l’espace des moments délicieux et de pure douceur. Un mélange de toutes les qualités, celles qui chauffent le cœur, celles qui enflamment le corps...
Comment se reconnaître? Je faisais confiance à notre intuition, et aux phéromones, ces petites molécules que nous émettons et qui transmettent les messages secrets de notre corps. J’étais sûr que la magie et la chimie ferait battre nos cœurs plus intensément quand viendrait l’heure de la proximité. J’avais confiance...
Les invités arrivaient petit à petit, belles femmes en robes blanches et petites ombrelles, beaux messieurs dans leurs costumes d’un autre temps. Et bien sûr le masque blanc pour garder le mystère. Un peu intimidé, je me mêlais aux personnes qui se tenaient autour d’un buffet dressé sur une grande table blanche au soleil. Et j’essayais de deviner qui était qui, par le souvenir du style de chacun. Oh cet homme qui déclamait des vers, d’une belle assurance et d’un talent certain , j’aurais juré que c’était Ratatouille! Et cette petite dame, qui allait de l’un à l’autre pour offrir sa gentillesse et ses mots si doux, si ce n’est pas Cyrael …
Tout le monde était là, la petite dame (j’avais raison) fit un petit discours de bienvenue et nous rappela les grands principes, passer une bonne journée, partager nos dernières œuvres (quelques petites estrades parsemaient les jardins) et se fabriquer de doux souvenirs de rencontres et d’amitié...
Je passais d’un groupe à l’autre, écoutant les poèmes, échangeant des idées sur le monde, et sur tout ce qui faisait notre vie de poètes. Un petit orchestre égayait nos oreilles. J’étais bien, ne me manquait que sa présence. J’avais bien quelques petites idées, mais encore un petit doute sur l’identité de ma chérie...
Oh mais c’est sûrement Isabelle59 qui nous enchante par sa douceur et sa sensualité. J’écoutais tendrement, mon esprit vagabondait, quand je sentis une petite main se glisser dans la mienne. Mon dieu, ce contact fit en moi l’effet d’un rayonnement soudain, et mon corps fût parcouru de frissons, doux et électriques...
ELLE M’AVAIT TROUVE
Mon cœur se mis à battre, ma voix bloquée dans ma gorge, des petits picotements dans la nuque. Pas de doute, vu l’effet sur moi, c’était bien ma douce. Sans rien dire elle prit mon bras et m’entraîna pour marcher un peu dans les allées du jardin. C’était la fin de l’après-midi, soleil bas et lumière tendre, pas besoin de parler, j’étais bien (et encore sous le coup de l’émotion) et nos pas s’accordaient comme des amis de toujours...
Sous une tonnelle, et entourés de merveilleuses roses aux senteurs enivrantes, nous nous faisions face à face. Sentant qu’elle devait prendre l’initiative, elle entoura mon cou de ses doux bras et approcha ses lèvres des miennes. Oh douceur exquise, saveur fruitée de l’été, sa bouche avait le goût d’une pêche qui éclate au palais et déverse son jus. Nos langues commencèrent leur danse et le temps se figea. Enlacés nos mains cherchaient la bonne prise, pour minimiser l’espace entre nos corps avides de contact...
Ces minutes furent une éternité, et me revenais le poème qu’elle m’avait inspiré sur cette seconde unique de bonheur quand tout s’accorde. Ses lèvres, ses joues, ses mains, étaient douceur extrême et comme une invite à découvrir le reste. Ses mains exploratrices commençaient à découvrir mon corps et ne semblaient pas avoir de limites imposées. Quand l’une d’elle se posa sur mon pantalon, elle constata que je n’étais pas insensible aux charmes de son corps. Notre étreinte m’avait comblé de joie pure et tendre, mais avais également réveillé mon désir. A travers le tissu, elle sentait et palpait la tension extrême qui ne demandait qu’à s’épanouir. Je crus défaillir quand sa caresse plus pressante fit sortir de sa cachette le bout déjà trempé de mon sexe...
Mais ce n’était pas le lieu de découvertes plus poussées. Je repris mon souffle et sa main et nous repartîmes vers des lieux plus fréquentés. Devant la grande demeure, certains s’activaient déjà pour préparer le grand dîner du soir. Belles assiettes et bougies nous promettaient un régal pour les yeux et raffinement de cuisine. Mais pour l’instant ma belle avait une autre idée en tête et comptait plutôt terminer son exploration à peine entamée …
Elle m’entraîna donc vers la maison à la recherche d’un endroit propice et discret. Les nombreuses pièces du bas étaient trop lumineuses et spacieuses, elle m’attira alors vers un escalier qui menait vers des recoins plus adaptés à sa mission. Là-haut, plus de calme et de pénombre. Et peu de chances d’être dérangés. Contre une porte elle me poussa et entrepris de libérer l’objet de son émoi. Le pantalon de toile tomba rapidement sur mes chaussures, et sa main agrippa à travers le fin coton qui me préservait encore, mon sexe tout tremblant et d’une vigueur de circonstance. Approchant ses lèvres, elle engloba le tout, tissu et chair et mordit doucement. Mes mains sur sa tête j’appréciais à sa juste valeur l’application qu’elle mettait dans cette mise en bouche...
Une main à même mes fesses, l’autre jouant avec mes bourses, elle entreprit de visiter sur toute sa longueur le dur bâton qui ne demandait que cela. Sa langue sentait à travers l’étoffe, la veine gonflée qui palpitait intensément. L’idée même que c’était mon petit cœur qui me procurait ces délices décuplait l’intensité du plaisir. Doucement sa tête montait et descendait, entraînant sa bouche, langue sortie, le long de ma verge qui commençait à entrevoir le moment où tout explose. Sa main vînt compléter l’action de sa bouche et accéléra le mouvement. Sentant l’instant ultime arriver, elle arracha mon dernier vêtement et me prit dans sa bouche, ses lèvres serrant fermement, elle engloutit au maximum, et en quelques mouvements bien contrôlés elle me fit atteindre l’extase. Ma semence jaillit accompagnée d’un petit cri de jouissance, tandis que ses ongles griffait ma fesse. Ne voulant rien laisser, elle avala le tout et lécha soigneusement ce qui coulait lentement le long de mon sexe bouillant...
J’avais rarement connu telle intensité, et un bien-être m’envahit, des frissons achevèrent mon contentement. Sous son masque je devinais le sourire de la bien-aimée fière d’avoir fait jouir son homme. Elle m’enlaça et je déposais sur sa bouche encore humide un doux baiser comme elle les aime. Reprenant mes esprits je remis un peu d’ordre dans mes vêtements et nous partîmes pour le dîner main dans la main...
Une telle journée m’avait mis en joie et en appétit, et c’est tout sourire que je pris place pour le repas à côté de ma sensuelle compagne. Ce fût régal, les plats raffinés défilaient, et l’ambiance était des plus conviviales, chacun y allant de son meilleur texte ou de ses bons mots. Le champagne nous montait à la tête, et ma petite qui est chamboulée à partir d’une demi-coupe commençait à montrer des joues rosies par l’alcool, la joie et certaines idées qui lui venaient en tête...
Sous la nappe je sentis sa main sur ma cuisse. La mienne vint l’y rejoindre et doigts enlacés nous étions comme deux amoureux tout neufs! D’un même mouvement, l’ensemble passa d’une cuisse à l’autre et j’entrai en contact avec la douce chaleur de sa peau. La coquine avait remonté sa robe pour permettre un accès plus aisé à certaines parties de son corps qu’elle souhaitait m’offrir en cadeau. Puis sa main rejoignit le dessus de la table, laissant la mienne seule, mais invitée à pousser plus loin l’exploration...
Douceur, chaleur, ces mots étaient trop faibles pour décrire la sensation que me procurait d’être entre ses cuisses. Ma main droite, paume sur sa peau, doigts vers le bas, remonta lentement, savourant le grain velouté de son épiderme. Elle atteignit alors l’infime dentelle qui recouvrait sa toison si fine. A plat sur le pubis, doigts écartés au maximum pour profiter de tout , je fis tendre pression pour assurer à ma voisine que j’avais bien compris le message...
Pendant ce temps, les conversations continuaient, les rires fusaient, et la coquine n’était pas la dernière à montrer sa joie. Que tous prirent bien sûr comme manifestation du bonheur de se retrouver tous ensemble. Mais autre chose était en partie responsable de cet état. Sous la table, mes doigts par petits cercles, avaient entrouverts les petites portes protégeant, pour peu de temps encore, la caverne aux mille trésors. Mon majeur poussa plus loin et commença à frotter le tissu blanc sur les chairs roses et humides. Parmi ses rires, des petits cris partaient, que tous prenaient pour les manifestations de la boisson. Oh coquine!!!
Repliant mes doigts, j’accrochais le bord de sa culotte mouillée de plaisir, et je les fis passer par dessous pour sentir les palpitations de sa peau. Il n’était plus l’heure de perdre du temps vu l’état de la belle qui riait et se secouait sous l’effet de tous les plaisirs réunis. Alors mes deux doigts enserrèrent comme une pince, le clitoris tout dur et gorgé de désir. L’humidité ambiante facilita le travail des deux artistes, pression, pincements, roulements, tout contribua à faire vibrer le corps de ma chérie qui m’envoyait des regards plein de tendresse et de gratitude. ..
Les mouvements maintenant profonds et appuyés faisaient leur effet, et la pauvre semblait s’enfoncer sous la table. Sentant que l’explosion serait imminente, je décidais de lui venir en aide et je sortais d’une voix puissante ma plus grosse blague (pourrie mais bien marrante). Ce fut un tonnerre de rires et d’applaudissements. Un tel bruit que ma coquine arriva à jouir bruyamment sous les derniers effets de ma main en folie, sans que personne ne remarque cette situation plutôt délicate. Secouée par les rires et les spasmes de l’orgasme, tout son corps bougeait et je la regardais avec un évident bonheur. A peine apaisée elle se jeta à mon cou et devant les sourires de l’assistance elle me fît le plus tendre baiser qu’il soit permis de donner...
Vous pensez bien que le retour vers nos régions respectives fut un voyage empli de bons souvenirs, de marques d’amitié, de promesses de se revoir et de rendez-vous futurs sur le site. Pour nous ce fut bien plus, nos corps avaient gardé l’empreinte de l’autre et dans nos têtes il y aurait pour longtemps ces instants délicieux où plus rien ne comptait que de donner et de s’aimer.
Lun 16 Avril 2012, 12:16 par
cocoeur sur Les liaisons sulfureuses
Tout simplement
CHUT!!!!!!!!!!
Écoute attentivement !
Écoute ce silence !
Écoute cette absence !
Il n’appelle plus, maintenant.
Le téléphone ne sonnera plus,
Plus de petit mot, ni d’écrit
Plus de son, plus de cri
Ce temps est révolu !
Plus de cette voix rauque au rire cristallin
Qui faisait palpiter mon cœur à chaque fois
Je ne dois plus attendre quoi que ce soit
Quand je me réveille le matin...
Plus de ce beau visage au regard de braise
De ses yeux qui voyaient au fond de mon âme
De ces œillades qui me rendaient si femme
Plus que le vide immense de bord de falaise
Dans lequel je me sens irrésistiblement attirée
Dans lequel je me sens inexorablement me noyer
Vide dont je suis la seule à blâmer
Car une belle bouffée d’oxygène qui s’en est allée,
Je me suis prise à mon propre piège
Et j’ai perdu ce beau privilège
Qu’est un amour sincère et vrai
Jamais plus, un tel sentiment, je n’aurai
D’avoir ainsi été aimée...
Et d’avoir choisi un autre élan
Restera désormais mon tourment
Ma triste destinée
La vie est ainsi faite
Je n’en avais pas le droit,
Je n’avais pas le choix
De refuser ta requête
Écoute attentivement !
Écoute ce silence !
Écoute cette absence !
Il n’appelle plus, maintenant.
Le téléphone ne sonnera plus,
Plus de petit mot, ni d’écrit
Plus de son, plus de cri
Ce temps est révolu !
Plus de cette voix rauque au rire cristallin
Qui faisait palpiter mon cœur à chaque fois
Je ne dois plus attendre quoi que ce soit
Quand je me réveille le matin...
Plus de ce beau visage au regard de braise
De ses yeux qui voyaient au fond de mon âme
De ces œillades qui me rendaient si femme
Plus que le vide immense de bord de falaise
Dans lequel je me sens irrésistiblement attirée
Dans lequel je me sens inexorablement me noyer
Vide dont je suis la seule à blâmer
Car une belle bouffée d’oxygène qui s’en est allée,
Je me suis prise à mon propre piège
Et j’ai perdu ce beau privilège
Qu’est un amour sincère et vrai
Jamais plus, un tel sentiment, je n’aurai
D’avoir ainsi été aimée...
Et d’avoir choisi un autre élan
Restera désormais mon tourment
Ma triste destinée
La vie est ainsi faite
Je n’en avais pas le droit,
Je n’avais pas le choix
De refuser ta requête
Mar 13 Mars 2012, 15:23 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
La danseuse aux pies nus( duo caressedesyeux/inconnu
La danseuse aux pieds nus
Une douce musique résonne songeuse
Rebondissant sur les murs ensommeillés
Lentement, par gestes précis et calculés,
Les mouvements s’ajustent à la danseuse
Elle va, vient, virevolte, pirouette, bondit
S’élance d’une belle aisance singulière
Sur les accords d’une symphonie légère
Tel un oiseau s’envolant du nid
Sa chorégraphie est souple et aérienne
Ses pieds sont nus, tel un vibrant archet
Jouant, fringants, sur le bois blanc du parquet,
La partition d’une magicienne
Une dernière note et la musique se tait
La ballerine s’arrête en spirale
Le vent qui souffle en rafale
Inonde la pièce de son air frais
L’ardeur s’estompe et la sueur se colle
Elle ressent soudain le froid d’un frisson
Le plancher, tantôt chaud, est devenu glaçon
La froidure envahit la classe d’école
Elle frotte un pied contre l’autre pied
Les masse fort, pour que le sang circule
Un mèche tombe formant une virgule
Sur son front aux traits tirés
Puis enfile vite des grands bas de laine
Pose une mantille cachemire et soie
Ce voile lui provoque un grand émoi
Là, sur ses épaules nues, il rappelle sa peine
Elle éternue, bâille, se frotte les yeux
Elle est fatiguée sans doute
Un mug de café chaud pour la route
Viendra-t-il, aujourd’hui, son amoureux ?
Au loin, un carillon sonne l’heure
Elle se souvient de ses baisers
Viendra-t-il pour l’embrasser ?
Souvenirs d’instants de bonheur
Son regard parcourt la pièce vide
Ses pleurs s’arrêtent en quinte de toux
Personne pour susurrer des mots doux
À la danseuse au cœur livide
Une douce musique résonne songeuse
Rebondissant sur les murs ensommeillés
Lentement, par gestes précis et calculés,
Les mouvements s’ajustent à la danseuse
Elle va, vient, virevolte, pirouette, bondit
S’élance d’une belle aisance singulière
Sur les accords d’une symphonie légère
Tel un oiseau s’envolant du nid
Sa chorégraphie est souple et aérienne
Ses pieds sont nus, tel un vibrant archet
Jouant, fringants, sur le bois blanc du parquet,
La partition d’une magicienne
Une dernière note et la musique se tait
La ballerine s’arrête en spirale
Le vent qui souffle en rafale
Inonde la pièce de son air frais
L’ardeur s’estompe et la sueur se colle
Elle ressent soudain le froid d’un frisson
Le plancher, tantôt chaud, est devenu glaçon
La froidure envahit la classe d’école
Elle frotte un pied contre l’autre pied
Les masse fort, pour que le sang circule
Un mèche tombe formant une virgule
Sur son front aux traits tirés
Puis enfile vite des grands bas de laine
Pose une mantille cachemire et soie
Ce voile lui provoque un grand émoi
Là, sur ses épaules nues, il rappelle sa peine
Elle éternue, bâille, se frotte les yeux
Elle est fatiguée sans doute
Un mug de café chaud pour la route
Viendra-t-il, aujourd’hui, son amoureux ?
Au loin, un carillon sonne l’heure
Elle se souvient de ses baisers
Viendra-t-il pour l’embrasser ?
Souvenirs d’instants de bonheur
Son regard parcourt la pièce vide
Ses pleurs s’arrêtent en quinte de toux
Personne pour susurrer des mots doux
À la danseuse au cœur livide
Mer 29 Fév 2012, 14:39 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Gourmandise (des maux d'amour conjugués)
Sur ton visage, un air complètement réjoui
À l’idée que tu te fais de l’agréable découverte
Ta bouche impatiente légèrement entrouverte
Des lèvres douces, telles pulpe d’un fruit
Forment un sourire étrange qui attend....
Belles, telles des orchidées rouges et charnues,
Exquises messagères des promesses convenues
Entre deux tendres amants passionnés
Comme un bonbon au curieux goût acidulé
Dont on aime pourtant la singulière saveur ingrate
Délicieusement humide et particulièrement délicate,
La sucrerie de cette bouche pulpeuse te tente...
Comme un aimant dont tu ne peux maîtriser l’effet
Tu ne sauras résister longtemps à son attrait
Un fougueux baiser tu poses
Plein d’amoureux sentiment
Et plus loin encore tu oses...
Tu recherches le "craquant" !
Les yeux fermés pour mieux savourer;
Le fondant sous les tours, et contours.
Ta langue s’est attardée sur tous les alentours;
Pour, le délice de cet instant, sublimer
Un baiser comme une douce friandise,
De mon corps, tel un gâteau, la cerise...
Tu cherches, trouves ou devines;
Caramel, vanille ou fraise des bois
Tu aimes ce petit goût de sucre en moi ;
Ta gourmandise divine. © Marilyn [/b]
À l’idée que tu te fais de l’agréable découverte
Ta bouche impatiente légèrement entrouverte
Des lèvres douces, telles pulpe d’un fruit
Forment un sourire étrange qui attend....
Belles, telles des orchidées rouges et charnues,
Exquises messagères des promesses convenues
Entre deux tendres amants passionnés
Comme un bonbon au curieux goût acidulé
Dont on aime pourtant la singulière saveur ingrate
Délicieusement humide et particulièrement délicate,
La sucrerie de cette bouche pulpeuse te tente...
Comme un aimant dont tu ne peux maîtriser l’effet
Tu ne sauras résister longtemps à son attrait
Un fougueux baiser tu poses
Plein d’amoureux sentiment
Et plus loin encore tu oses...
Tu recherches le "craquant" !
Les yeux fermés pour mieux savourer;
Le fondant sous les tours, et contours.
Ta langue s’est attardée sur tous les alentours;
Pour, le délice de cet instant, sublimer
Un baiser comme une douce friandise,
De mon corps, tel un gâteau, la cerise...
Tu cherches, trouves ou devines;
Caramel, vanille ou fraise des bois
Tu aimes ce petit goût de sucre en moi ;
Ta gourmandise divine. © Marilyn [/b]
Jeu 23 Fév 2012, 15:06 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Scène
Le cœur froid tel la glace, je ressent ce vide en ton absence , je sais que je n’en ai pas le droit et je te hais pour ça et pour les mille larmes que j’ai versé dans le silence d’une nuit. Mais toi, tu ne vois pas ma douleur, tu n’entends pas mes cris et mon âme se fissure. Je m’éloigne des rives sur une embarcation qui coule déjà si loin de toi et les paroles de nos chanson sont susurré par le vent:
"On sait qu’on ne peut avoir confiance
Je défis le vide,
Et tente l’absence
De m"emporté...."
Mais tu as changer... Tu m’as oublié.... Et tu me déteste, mais je t’en pris souviens toi de l’amour, même si il vient avec la douleur. J’ai besoin de toi , écoute s’il te plais... Ce soir sans toi sur scène, je ne chanterais pas, je ne chanterais plus, oubliez moi car toi tu n’es plus la.
"On sait qu’on ne peut avoir confiance
Je défis le vide,
Et tente l’absence
De m"emporté...."
Mais tu as changer... Tu m’as oublié.... Et tu me déteste, mais je t’en pris souviens toi de l’amour, même si il vient avec la douleur. J’ai besoin de toi , écoute s’il te plais... Ce soir sans toi sur scène, je ne chanterais pas, je ne chanterais plus, oubliez moi car toi tu n’es plus la.
Mer 15 Fév 2012, 14:27 par
murmuran sur L'amour en vrac
Ange en enfer
C’est la lumière de ma vie. Elle a le sourire d’un ange. Et pour la première fois je la vois les yeux en larmes. Mais pourquoi? Elle me semble si belle d’un coup, moi qui ne l’aimait pas. Elle pleure, sans personne, sans que je puisse l’aider. Dans cet chute je le sent , ses yeux sont plein d’écume. Elle tombe éternellement, elle ne remonte pas la pente, elle plonge dans le vide mais pourquoi? Elle nous souri mais quand on est plus la , elle tombe a terre et souffre... Son cœur a l’abandon , elle s’égare. Et la pluie dissimule ses larmes. Elle veut s’en aller loin , mais elle enfermé dans cette chute infini. Personne ne voie ses messages de détresse, alors elle vit sans espoir. Elle ne se laisse pas atteindre et elle se bat pour nous sourire encore aujourd’hui. Mais pourquoi??Elle est la, devant nous , on s’en fou, on la tu. Elle ne dis rien, elle souri. Je ne comprend plus pourquoi je ne l’ai pas vu, pourquoi son regard en larmes me fait mal. Mais la, je ne veux plus la voir souffrir, mais je ne peut rien faire , elle se relève , son regard et plus noir que la nuit, elle nous souri et sèche ses larmes. La lumière disparait en elle et elle rejoint enfin son ombre , son néant qu’elle a toujours aimait. La lame qui brille dans sa main, entaille son bras jusqu’au poignet et elle tombe dans la mort tel un ange en enfer.
Mais pourquoi faut il que l’on soit comme ça? Je l’ai perdu a jamais, alors qu’elle éclairé ma vie
Mais pourquoi faut il que l’on soit comme ça? Je l’ai perdu a jamais, alors qu’elle éclairé ma vie
Mer 15 Fév 2012, 14:19 par
murmuran sur L'amour en vrac
Le ruban (duo caressedesyeux/inconnu)
Il glisse en épousant harmonieusement ses courbes
Descend lentement de l’épaule entre les seins
Se colle au ventre et d’un mouvement superbe
Amoureusement enroulé tel un serpentin
Il se fait douce caresse sur sa belle hanche
Et embrasse de toute l’étendue de sa surface
Cette merveilleuse et adorée peau si blanche
Oh, qu’est-ce que j’aimerai être à sa place
Ruban de laine, ruban de satin, ruban de soie
Suscitant, sur son parcours, l’amour, le désir et l’émoi
Longue pièce de tissu s’accrochant aux gouttes de sueur
Flânant délicatement sur le grain de la peau
Comptant, méthodique, chaque tâche de rousseur
Le ruban esquisse de son corps le tableau
Et glisse sur celui-ci léger et vaporeux
Tel un nuage sillonnant les cieux...
Son périple dans ce sublime décor enchanteur
Qui n’a désormais plus rien à cacher à nos yeux
Révèle au regard ébloui l’ineffable splendeur
De son corps dénudé, spectacle merveilleux
À l’indéniable beauté subliminale
Que ma mémoire gardera dans ses annales
Mais bien qu’on s’efforce, par tous les moyens, de le défaire
Le joli nœud malgré tout résiste et se retrouve finalement par terre
Descend lentement de l’épaule entre les seins
Se colle au ventre et d’un mouvement superbe
Amoureusement enroulé tel un serpentin
Il se fait douce caresse sur sa belle hanche
Et embrasse de toute l’étendue de sa surface
Cette merveilleuse et adorée peau si blanche
Oh, qu’est-ce que j’aimerai être à sa place
Ruban de laine, ruban de satin, ruban de soie
Suscitant, sur son parcours, l’amour, le désir et l’émoi
Longue pièce de tissu s’accrochant aux gouttes de sueur
Flânant délicatement sur le grain de la peau
Comptant, méthodique, chaque tâche de rousseur
Le ruban esquisse de son corps le tableau
Et glisse sur celui-ci léger et vaporeux
Tel un nuage sillonnant les cieux...
Son périple dans ce sublime décor enchanteur
Qui n’a désormais plus rien à cacher à nos yeux
Révèle au regard ébloui l’ineffable splendeur
De son corps dénudé, spectacle merveilleux
À l’indéniable beauté subliminale
Que ma mémoire gardera dans ses annales
Mais bien qu’on s’efforce, par tous les moyens, de le défaire
Le joli nœud malgré tout résiste et se retrouve finalement par terre
Sam 14 Jan 2012, 21:17 par
caressedesyeux sur Mille choses
Bons baisers de russie ou les déboires d'un amoureux pressé
Il est huit heures la place rouge s’anime, la garde change devant le Kremlin
Quelque part dans un coin il attend que je bouge que je lui emboîte le pas
La neige continue de tomber depuis quelques jours recouvrant le chemin
Il a promis qu’on allait faire un tour confortablement installés dans une troïka
Je l’imagine nue entièrement sous son blanc manteau de fourrure,
La voilà enfin la préposée de mes attentes,elle se donne fière allure,
Que peut-elle bien cacher comme secrets en ses espérances d’intimité?
Troïka attendra je ne voudrais point que ce corps perde de sa créativité,
Le voilà qui m’attend là-bas, tout au bout de la rue comme promis
Bizarre, il est à pieds, je ne vois pas la troïka, première déconvenue
Qu’a-t-il encore imaginé pour me surprendre ce beau marquis ?
Tel que je crois le connaître, sous ce manteau, il me vois nue
Elle m’avait promis monts et merveilles relatives aux choses de l’Amour,
Sera t’elle à la hauteur de ses promesses ou n’est-ce que beaux discours,
La chambre attend ses invités et moi j’attend de pouvoir en découdre,
Sur la belle,pour sûr au baldaquin je saurai faire parler la poudre,
La voilà....Bonjour Miss je n’ai point de troïka,mais une chambre extra,
Et si jeu en vaut chandelle,je vous donnerai de l’Amour le nec-plus-ultra,
Prenez donc ce bras que je vous tend et laissez-vous guider par ma tentation,
Vous serez l’objet de toute mon attention,car je dois faire honneur à ma réputation,
Je ne voulais pas la croire mais je constate, à regret, qu’elle avait bien raison.
Elle m’avait dit : Il a promis ? Méfie-toi ! Il va prendre d’autres dispositions !
Et elle avait ajouté tout bas : Tout ce qu’il veut de toi c’est ton petit bout de gazon
Mais je te confie un petit secret : Il n’a pas de quoi satisfaire ses grandes ambitions
Ainsi mon cher ami, je vois que l’on n’a pas eu tort de venir me mettre en garde
Vous avez, malheureusement, en tous points suivi votre méthode de séduction
Et n’avez pas tenu compte de mes désirs, mais juste des envies de votre hallebarde
Il vous faudra trouver une autre poularde afin d’assouvir vos basses impulsions
Je m’étais préparée à combler consciencieusement la moindre de vos aspirations
Afin de détrôner de vos pensées la belle marquise et devenir ainsi votre seule favorite
Mais derrière vos belles et précieuses manières je découvre un homme sans imagination
Or il vous faut savoir, monsieur, qu’une femme a plus besoin de rêve que d’action subite.
duo (caresssedesyeux/inconnu)
Lun 26 Déc 2011, 12:42 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Des mots courageux pour toi,
Si je t’écris aujourd’hui c’est parc que je n’ai pas trouvé l’occasion de te dire les choses en face et même en étant caché derrière ce bout de papier, j’ai l’impression que j’aurai du mal à m’exprimer et à trouver les mots justes pout te signifier toute ma sincérité et ma volonté à ce que tout soit clair, je te vois déjà surprise en lisant ces premiers lignes qui ressemblent à un aveux d’un homme envers une veille connaissance alors que ce n’est pas le cas, mais rassure toi, cette lettre ne t’apportera que du bien parc que je l’ai souhaité subtile et courtoise et avant de toucher à l’essentiel, j’aimerai que tu respect l’ordre des lignes et que tu t’impatientera pas à découvrir les mots de la fin, j’aimerai que tu apprécie mon effort à vouloir te présenter des propos agréables à parcourir, je le sais, le début te parait un peu long mais comprend moi c’est peut être la ma seule et unique chance de te faire part de mon ressentiment de la meilleure manière qui soit. Voila, j’ai presque terminé sans vraiment commencer et il est temps que je me lance dans mon véritable discours en espérant être le moins maladroit et le plus court possible.
Cela fait maintenant quelques temps que je t’observe derrière mon visage imperturbable et mes yeux ne cessent de s’intéressés à toi et au moindre de tes gestes, ton petit sourire exquis, ton charmant visage et l’indescriptible beauté de tes yeux me font plonger dans une ivresse infinie, mais face à toute la splendeur du paysage que tu m’offre généreusement tous les jours je me sent pourtant démunie à cause de la distance et le silence qui m’empêchent de tout savourer pleinement, alors et pour ne plus faire perdurer mon impatiente et avant que ces plaisirs ne se transforment en des tourments, j’ai décidé et avec beaucoup de courage d’aller au delà de ma timidité et de t’adresser ces quelques mots pour que tu sache que je pense à toi et que j’aimerai tellement te connaitre.
Je reste convaincu que tu es une personne formidable et que tu mérite toute l’attention du monde et même si j’ignore ce que tu ressens pour moi, ma démarche vers toi était un devoir et je ne terminerai pas cette lettre sans t’offrir ce petit poème dont tu es la source d’inspiration.
Je t’ai aperçu un beau jour de printemps
Déjà mon cœur te devins dépendant
C’était sans doute le jour le plus important
Quand le temps c’est arrêté pendant un instant
Ton visage parfait te donnait l’allure d’un enfant
Le regarder n’était plus une envie mais une obsession
Après, ma vie s’est transformée en un feuilleton
Toujours la même image, toujours la même passion
Quand tu parle, moi je cris pour que tu m’entendes
Quand tu marche, moi je cours interminablement
Rien que pour sentir ton odeur de femme charmant
Je serai ton esclave enchaîné dans ton rêve insolant
Avec ton regarde aussi vaste que l’océan
Ainsi que ton sourire brodé comme un feston
Tu m’as fait renaître de ce corps de charbon
Et avec tes flammes tu l’as brûlé tel un volcan
Le vent d’été souffle et me prive de la belle saison
Ou jadis te revoir était ma seule raison
Aujourd’hui ta présence me manque terriblement
Et le charme de ton visage rayonnant
Sache que mon cœur t’appartient éternellement
Toi qui l’as libéré de tous ses tourments
Cela fait maintenant quelques temps que je t’observe derrière mon visage imperturbable et mes yeux ne cessent de s’intéressés à toi et au moindre de tes gestes, ton petit sourire exquis, ton charmant visage et l’indescriptible beauté de tes yeux me font plonger dans une ivresse infinie, mais face à toute la splendeur du paysage que tu m’offre généreusement tous les jours je me sent pourtant démunie à cause de la distance et le silence qui m’empêchent de tout savourer pleinement, alors et pour ne plus faire perdurer mon impatiente et avant que ces plaisirs ne se transforment en des tourments, j’ai décidé et avec beaucoup de courage d’aller au delà de ma timidité et de t’adresser ces quelques mots pour que tu sache que je pense à toi et que j’aimerai tellement te connaitre.
Je reste convaincu que tu es une personne formidable et que tu mérite toute l’attention du monde et même si j’ignore ce que tu ressens pour moi, ma démarche vers toi était un devoir et je ne terminerai pas cette lettre sans t’offrir ce petit poème dont tu es la source d’inspiration.
Je t’ai aperçu un beau jour de printemps
Déjà mon cœur te devins dépendant
C’était sans doute le jour le plus important
Quand le temps c’est arrêté pendant un instant
Ton visage parfait te donnait l’allure d’un enfant
Le regarder n’était plus une envie mais une obsession
Après, ma vie s’est transformée en un feuilleton
Toujours la même image, toujours la même passion
Quand tu parle, moi je cris pour que tu m’entendes
Quand tu marche, moi je cours interminablement
Rien que pour sentir ton odeur de femme charmant
Je serai ton esclave enchaîné dans ton rêve insolant
Avec ton regarde aussi vaste que l’océan
Ainsi que ton sourire brodé comme un feston
Tu m’as fait renaître de ce corps de charbon
Et avec tes flammes tu l’as brûlé tel un volcan
Le vent d’été souffle et me prive de la belle saison
Ou jadis te revoir était ma seule raison
Aujourd’hui ta présence me manque terriblement
Et le charme de ton visage rayonnant
Sache que mon cœur t’appartient éternellement
Toi qui l’as libéré de tous ses tourments
Mer 30 Nov 2011, 11:28 par
Radski sur La déclaration d'amour
Des carences....
La vieille peau nous parle de mirages
( faute de pouvoir parler de mariages )
dans sa jeunesse qu’elle s’est inventée
elle tente de dérider son vieil âge
elle tente d’inventer sa vie rêvée
Elle entre sur scène sous les projecteurs
du régisseur
le seul qui lui donne des couleurs
à sa monotone heure.
Elle repense à la vie à deux
lorsqu’elle était mariée
avant de ne plus se sentir heureux
et de divorcer.
Depuis la solitude la ronge,
elle a beau se maquiller,
sa peau reste terne, et éponge
ses larmes de crocodile râté.
Elle voudrait croire en ses fantasmes,
qu’elle n’ose avouer,
elle voudrait se sentir femme,
et pas à moitié.
Dans son petit appartement,
elle se sent en isolement,
et jalouse les Marilyn,
celles que les hommes animent...
Elle aussi se voudrait réanimée,
par un pompier,
mais aigrie, elle ne fait que regarder
les autres s’aimer.
Elle cherche la faille, le jardin secret,
elle cherche: où l’ont-ils caché?
elle ne sait....
ce que ce couple fait...
Elle imagine le silence de l’invisible,
quant elle écrit, elle se sent émergée...
elle voudrait plonger dans l’immergé,
voir ce qu’elle ne peut regarder...
Ses quarante deux ans
l’ont achevés,
elle ne peut acheter
des jeunes talents.
Elle repense à sa vie sans solitude,
à ces images qui l’ont bercées,
pour maintenant l’abandonner,
dans son inexactitude.
Depuis elle ment comme elle respire
elle ment comme elle s’inspire,
comme elle expire,
elle se construit son désir.
En grand mère déguisée,
elle reste voilée,
cachée, désappointée,
tel un loup manqué.
Sa maladie elle l’exhibe,
elle la vend, s’en inhibe,
puis elle finit par rentrer
dans sa prison organisée.
Ici c’est le même mur,
les mêmes armures,
qui l’ont à l’usure,
elle se tait de ses blessures.
Elle voudrait que la tristesse
soit notre détresse
pour mieux gérer son stress,
elle se voulait princesse.
Lorsqu’elle la voit l’embrasser,
elle voudrait mourir, tétanisée,
elle ne veut pas voir les gens s’aimer,
ça lui renvoie ce qu’elle a manqué.
( faute de pouvoir parler de mariages )
dans sa jeunesse qu’elle s’est inventée
elle tente de dérider son vieil âge
elle tente d’inventer sa vie rêvée
Elle entre sur scène sous les projecteurs
du régisseur
le seul qui lui donne des couleurs
à sa monotone heure.
Elle repense à la vie à deux
lorsqu’elle était mariée
avant de ne plus se sentir heureux
et de divorcer.
Depuis la solitude la ronge,
elle a beau se maquiller,
sa peau reste terne, et éponge
ses larmes de crocodile râté.
Elle voudrait croire en ses fantasmes,
qu’elle n’ose avouer,
elle voudrait se sentir femme,
et pas à moitié.
Dans son petit appartement,
elle se sent en isolement,
et jalouse les Marilyn,
celles que les hommes animent...
Elle aussi se voudrait réanimée,
par un pompier,
mais aigrie, elle ne fait que regarder
les autres s’aimer.
Elle cherche la faille, le jardin secret,
elle cherche: où l’ont-ils caché?
elle ne sait....
ce que ce couple fait...
Elle imagine le silence de l’invisible,
quant elle écrit, elle se sent émergée...
elle voudrait plonger dans l’immergé,
voir ce qu’elle ne peut regarder...
Ses quarante deux ans
l’ont achevés,
elle ne peut acheter
des jeunes talents.
Elle repense à sa vie sans solitude,
à ces images qui l’ont bercées,
pour maintenant l’abandonner,
dans son inexactitude.
Depuis elle ment comme elle respire
elle ment comme elle s’inspire,
comme elle expire,
elle se construit son désir.
En grand mère déguisée,
elle reste voilée,
cachée, désappointée,
tel un loup manqué.
Sa maladie elle l’exhibe,
elle la vend, s’en inhibe,
puis elle finit par rentrer
dans sa prison organisée.
Ici c’est le même mur,
les mêmes armures,
qui l’ont à l’usure,
elle se tait de ses blessures.
Elle voudrait que la tristesse
soit notre détresse
pour mieux gérer son stress,
elle se voulait princesse.
Lorsqu’elle la voit l’embrasser,
elle voudrait mourir, tétanisée,
elle ne veut pas voir les gens s’aimer,
ça lui renvoie ce qu’elle a manqué.
Mer 23 Nov 2011, 14:38 par
inlove sur Mille choses
Des carences....
La vieille peau nous parle de mirages
dans sa jeunesse qu’elle s’est inventée
elle tente de dérider son vieil âge
elle tente d’inventer sa vie rêvée
Elle entre sur scène sous les projecteurs
du régisseur
le seul qui lui donne des couleurs
à sa monotone heure.
Elle repense à la vie à deux
lorsqu’elle était mariée
avant de ne plus se sentir heureux
et de divorcer.
Depuis la solitude la ronge,
elle a beau se maquiller,
sa peau reste terne, et éponge
ses larmes de crocodile râté.
Elle voudrait croire en ses fantasmes,
qu’elle n’ose avouer,
elle voudrait se sentir femme,
et pas à moitié.
Dans son petit appartement,
elle sen sent en isolement,
et jalouse les Marilyn,
celles que les hommes animent...
Elle aussi se voudrait réanimée,
par un pompier,
mais aigrie, elle ne fait que regarder
les autres s’aimer.
Elle cherche la faille, le jardin secret,
elle cherche: où l’ont-ils caché?
elle ne sait....
ce que ce couple fait...
Elle imagine le silence de l’invisible,
quant elle écrit, elle se sent émergée...
elle voudrait plonger dans l’immergé,
voir ce qu’elle ne peut regarder...
Ses quarante deux ans
l’ont achevés,
elle ne peut acheter
des jeunes talents.
Elle repense à sa vie sans solitude,
à ces images qui l’ont bercées,
pour maintenant l’abandonner,
dans son inexactitude.
Depuis elle ment comme elle respire
elle ment comme elle s’inspire,
comme elle expire,
elle se construit son désir.
En grand mère déguisée,
elle reste voilée,
cachée, désappointée,
tel un loup manqué.
Sa maladie elle l’exhibe,
elle la vend, s’en inhibe,
puis elle finit par rentrer
dans sa prison organisée.
Ici c’est le même mur,
les mêmes armures,
qui l’ont à l’usure,
elle se tait de ses blessures.
Elle voudrait que la tristesse
soit notre détresse
pour mieux gérer son stress,
elle se voulait princesse.
Lorsqu’elle la voit l’embrasser,
elle voudrait mourir, tétanisée,
elle ne veut pas voir les gens s’aimer,
ça lui renvoie ce qu’elle a manqué.
dans sa jeunesse qu’elle s’est inventée
elle tente de dérider son vieil âge
elle tente d’inventer sa vie rêvée
Elle entre sur scène sous les projecteurs
du régisseur
le seul qui lui donne des couleurs
à sa monotone heure.
Elle repense à la vie à deux
lorsqu’elle était mariée
avant de ne plus se sentir heureux
et de divorcer.
Depuis la solitude la ronge,
elle a beau se maquiller,
sa peau reste terne, et éponge
ses larmes de crocodile râté.
Elle voudrait croire en ses fantasmes,
qu’elle n’ose avouer,
elle voudrait se sentir femme,
et pas à moitié.
Dans son petit appartement,
elle sen sent en isolement,
et jalouse les Marilyn,
celles que les hommes animent...
Elle aussi se voudrait réanimée,
par un pompier,
mais aigrie, elle ne fait que regarder
les autres s’aimer.
Elle cherche la faille, le jardin secret,
elle cherche: où l’ont-ils caché?
elle ne sait....
ce que ce couple fait...
Elle imagine le silence de l’invisible,
quant elle écrit, elle se sent émergée...
elle voudrait plonger dans l’immergé,
voir ce qu’elle ne peut regarder...
Ses quarante deux ans
l’ont achevés,
elle ne peut acheter
des jeunes talents.
Elle repense à sa vie sans solitude,
à ces images qui l’ont bercées,
pour maintenant l’abandonner,
dans son inexactitude.
Depuis elle ment comme elle respire
elle ment comme elle s’inspire,
comme elle expire,
elle se construit son désir.
En grand mère déguisée,
elle reste voilée,
cachée, désappointée,
tel un loup manqué.
Sa maladie elle l’exhibe,
elle la vend, s’en inhibe,
puis elle finit par rentrer
dans sa prison organisée.
Ici c’est le même mur,
les mêmes armures,
qui l’ont à l’usure,
elle se tait de ses blessures.
Elle voudrait que la tristesse
soit notre détresse
pour mieux gérer son stress,
elle se voulait princesse.
Lorsqu’elle la voit l’embrasser,
elle voudrait mourir, tétanisée,
elle ne veut pas voir les gens s’aimer,
ça lui renvoie ce qu’elle a manqué.
Mer 23 Nov 2011, 14:37 par
inlove sur Mille choses
Effluves de confidences
Effluves de confidences
Une myriade de lettres, des milliers de sons
Des centaines de paroles, une cascade de mots
Un torrent de sensations déversant avec douceur
Les élans et les sentiments de mon cœur
Et voyageant jusqu’au contact de ton tympan
Venant acheminer tout au creux de ton oreille
Tout un monde d’intenses émotions
Que mon âme te chuchote avec ferveur
Voyage astral intemporel que je fais avec ma voix
à travers cet appel qui transporte ma passion jusqu’à toi
Caressant doucement le contour du lobe de tes oreilles
Te contant affectueusement monts et merveilles
Laissant dériver le sillage d’une agréable saveur groseille
Dans ce berceau qui accueille mes effusions confidentielles
Et se libère de tous ces tourments bien pesants
D’un cœur qui, tel un saule pleureur se confiera
Tel un petit oiseau perdu, elle écoute en silence
Ce flots de mots ininterrompu qui lui conte romance
Elle s’enivre voluptueusement de toute cette fragrance
Qui se déverse de ses paroles douces et denses
Et qui badigeonnent d’une douceur de miel
Ses épaules lourdes de trop d’absence
Elle sentira son doux parfum,et ses embruns
L’envelopper dans un doux cocon de tendres mots
Elle en oubliera ses ennuis et ses maux
Dans l’odeur douce d’un tendre bonbon pourpre
Une myriade de lettres, des milliers de sons
Des centaines de paroles, une cascade de mots
Un torrent de sensations déversant avec douceur
Les élans et les sentiments de mon cœur
Et voyageant jusqu’au contact de ton tympan
Venant acheminer tout au creux de ton oreille
Tout un monde d’intenses émotions
Que mon âme te chuchote avec ferveur
Voyage astral intemporel que je fais avec ma voix
à travers cet appel qui transporte ma passion jusqu’à toi
Caressant doucement le contour du lobe de tes oreilles
Te contant affectueusement monts et merveilles
Laissant dériver le sillage d’une agréable saveur groseille
Dans ce berceau qui accueille mes effusions confidentielles
Et se libère de tous ces tourments bien pesants
D’un cœur qui, tel un saule pleureur se confiera
Tel un petit oiseau perdu, elle écoute en silence
Ce flots de mots ininterrompu qui lui conte romance
Elle s’enivre voluptueusement de toute cette fragrance
Qui se déverse de ses paroles douces et denses
Et qui badigeonnent d’une douceur de miel
Ses épaules lourdes de trop d’absence
Elle sentira son doux parfum,et ses embruns
L’envelopper dans un doux cocon de tendres mots
Elle en oubliera ses ennuis et ses maux
Dans l’odeur douce d’un tendre bonbon pourpre
Jeu 03 Nov 2011, 20:37 par
caressedesyeux sur Mille choses
T'écouter...
Des paroles fendent l’air et me subjuguent
Une intonation claire et sans complexes
Articulant les mots qu’elle conjugue
Avec une aisance qui me laisse perplexe.
Ce son mélodieux résonne soudain à mes oreilles
Ta belle voix cristalline, à nulle autre pareille
Et me voila transporté, comme en songe
Dans un autre endroit bien étrange
Où toi et moi, nous nous retrouvons
Seul à seul avec émotion
Je reste là à délicieusement t’entendre
Je n’ai aucune envie de t’interrompre.
J’ai le cœur qui cogne tel une violente pompe;
Mais je ne veux troubler l’éclat de ce joli timbre.
Qui me laisse muet de cette admiration
Que tu ne vois pas dans ton excitation
Il suffit pourtant de simplement fermer les yeux
Pour entendre la voix d’un ange échappé des cieux
Une musique céleste que je n’oublierai pas.
D’une femme si exceptionnellement belle
Dont la douce voix tendre ensorcelle
Mes" feuilles" réceptionnant le beau langage
De ton délicat bavardage.
Une intonation claire et sans complexes
Articulant les mots qu’elle conjugue
Avec une aisance qui me laisse perplexe.
Ce son mélodieux résonne soudain à mes oreilles
Ta belle voix cristalline, à nulle autre pareille
Et me voila transporté, comme en songe
Dans un autre endroit bien étrange
Où toi et moi, nous nous retrouvons
Seul à seul avec émotion
Je reste là à délicieusement t’entendre
Je n’ai aucune envie de t’interrompre.
J’ai le cœur qui cogne tel une violente pompe;
Mais je ne veux troubler l’éclat de ce joli timbre.
Qui me laisse muet de cette admiration
Que tu ne vois pas dans ton excitation
Il suffit pourtant de simplement fermer les yeux
Pour entendre la voix d’un ange échappé des cieux
Une musique céleste que je n’oublierai pas.
D’une femme si exceptionnellement belle
Dont la douce voix tendre ensorcelle
Mes" feuilles" réceptionnant le beau langage
De ton délicat bavardage.
Mar 01 Nov 2011, 12:55 par
caressedesyeux sur Mille choses
Ecrire sur tel
Le secrétaire, Dessin d'elle (duo), Le cercle des poètes, Tout simplement, La danseuse aux pies nus( duo caressedesyeux/inconnu, Gourmandise (des maux d'amour conjugués), Scène, Ange en enfer, Le ruban (duo caressedesyeux/inconnu), Bons baisers de russie ou les déboires d'un amoureux pressé, Des mots courageux pour toi,, Des carences...., Des carences...., Effluves de confidences, T'écouter...,Il y a 197 textes utilisant le mot tel. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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