Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur suffisait
Au commencement
C’est finit.
Elle lui à lâché ça droit dans les yeux, sans sourciller, et lui, n’a pas bronché.
On a souvent tendance à sous-estimer l’importance que peuvent parfois prendre les mots, il y a tout juste un instant, la personne en face de lui était ce qu’il avait de plus proche au monde. Deux mots plus tard leurs âmes étaient devenu comme étrangère, deux rêveurs tirés brusquement du plus sublime des comas sans le ménagement d’un rayon de soleil sur une paupière close. Deux ans, c’est si long…
Elle n’à rien ajouté et lui de son côté s’est contenté de baisser les yeux vers la nappe, c’était un dessus de table en papier blanc comme on en trouve dans de nombreux cafés parisiens, du jetable, à leurs images...
Et d’ailleurs qu’aurait-il pu bien dire ?
C’était finit voila tout.
Il à trempé son doigt dans son café pour en sentir la chaleur et se mit à dessiner des formes abstraites tout en tachant copieusement la nappe, sans but, à son image cette fois.
Captivé par l’œuvre en cour ses yeux s’attardèrent sur cette main échouée sous son regard absent, ce bout de corps qui fut extension du sien et qu’il ne pouvait plus étreindre.
« Audace » fut le seul mot qui lui vint en tête, dans toute l’importance qu’il aurait pu prendre, l’audace qui le prit ce jour de juin ou il avait pointé l’objectif de son appareil sur cette fille qu’il avait trouvé magnifique, l’audace de ne pas détourner le regard quand sentant sur elle une présence elle avait tourné la tête vers lui quatre tables plus loin, l’audace de s’être levé, de s’être approché, d’une première main prise, l’audace d’avoir posé ses lèvres sur les siennes, de premières caresses sur un corps, d’autres lèvres, de mots doux couvrant les mots durs, bravade après bravade pour finir sur cette interdit. Et c’est la que ca la frappé, il pouvait se battre. Il lui suffisait de prendre cette main. Une dernière bravade
Il a reculé la sienne et plongé ses yeux dans les siens
Et elle, elle est partie.
Il à levé nonchalamment son bras pour demander l’addition et une perle d’eau salé a coulé le long de sa joue. Comme ca, sans raison.
Le serveur à attendu le temps qu’il faut puis s’est approché avec la note, il a souris et à voulu bien faire, dire quelques mots
- Vous savez ce qu’on dit…
Et moi de répondre
- Ouai, mais elle je l’ai pas perdu, je l’ai laissé me perdre. Ca à toujours été moi le paumé.
Elle, c’était Chloé.
Elle lui à lâché ça droit dans les yeux, sans sourciller, et lui, n’a pas bronché.
On a souvent tendance à sous-estimer l’importance que peuvent parfois prendre les mots, il y a tout juste un instant, la personne en face de lui était ce qu’il avait de plus proche au monde. Deux mots plus tard leurs âmes étaient devenu comme étrangère, deux rêveurs tirés brusquement du plus sublime des comas sans le ménagement d’un rayon de soleil sur une paupière close. Deux ans, c’est si long…
Elle n’à rien ajouté et lui de son côté s’est contenté de baisser les yeux vers la nappe, c’était un dessus de table en papier blanc comme on en trouve dans de nombreux cafés parisiens, du jetable, à leurs images...
Et d’ailleurs qu’aurait-il pu bien dire ?
C’était finit voila tout.
Il à trempé son doigt dans son café pour en sentir la chaleur et se mit à dessiner des formes abstraites tout en tachant copieusement la nappe, sans but, à son image cette fois.
Captivé par l’œuvre en cour ses yeux s’attardèrent sur cette main échouée sous son regard absent, ce bout de corps qui fut extension du sien et qu’il ne pouvait plus étreindre.
« Audace » fut le seul mot qui lui vint en tête, dans toute l’importance qu’il aurait pu prendre, l’audace qui le prit ce jour de juin ou il avait pointé l’objectif de son appareil sur cette fille qu’il avait trouvé magnifique, l’audace de ne pas détourner le regard quand sentant sur elle une présence elle avait tourné la tête vers lui quatre tables plus loin, l’audace de s’être levé, de s’être approché, d’une première main prise, l’audace d’avoir posé ses lèvres sur les siennes, de premières caresses sur un corps, d’autres lèvres, de mots doux couvrant les mots durs, bravade après bravade pour finir sur cette interdit. Et c’est la que ca la frappé, il pouvait se battre. Il lui suffisait de prendre cette main. Une dernière bravade
Il a reculé la sienne et plongé ses yeux dans les siens
Et elle, elle est partie.
Il à levé nonchalamment son bras pour demander l’addition et une perle d’eau salé a coulé le long de sa joue. Comme ca, sans raison.
Le serveur à attendu le temps qu’il faut puis s’est approché avec la note, il a souris et à voulu bien faire, dire quelques mots
- Vous savez ce qu’on dit…
Et moi de répondre
- Ouai, mais elle je l’ai pas perdu, je l’ai laissé me perdre. Ca à toujours été moi le paumé.
Elle, c’était Chloé.
Ven 20 Nov 2015, 02:59 par
chton123@hotmail.com sur La vie à deux
De l'immeuble d'en face
Angela se déshabillait, lentement,
Comme tous les soirs devant sa glace, s’effeuillant.
Seule devant le miroir, il lui venait parfois
Quelques tendres pensées de ses dix doigts
Qui s’agitaient sur le long de ses parcours.
Commençait alors un petit compte à rebours
Qui partait doucement du tour de ses deux pointes
Jusqu’au doux rainurage de sa toison restreinte.
D’un majeur averti, s’attardant sur les monts,
Elle sentait d’entrecuisses les appels du démon,
L’une et l’autre des galeries réclamant une visite.
Elle aimait ce moment où son cœur battait vite,
Affolement maîtrisé qui livrait dynamite
Dans chacun de ses gestes dédiés à l’explicite.
Contentée de se voir offerte sous ses mains
Elle quittait le miroir pour un lit de coussins
Posés à même le sol sur un épais tapis.
Elle y avait tout loisir de jouer sa symphonie.
Ondulante couleuvre elle montait d’une octave
A chaque entrée subtile d’un doigt dans l’une des caves.
Elle s’ouvrait désormais du plus facilement,
Son pli et ses tunnels huilés par l’excitant.
Tous ses gémissements attisaient leur accueil.
Elle ouvrait donc un tiroir ayant atteint le seuil
Qui ne suffisait plus à éteindre la rage
Prestement en experte saisissait l’outillage
Qui par forme étudiée comblait ses orifices.
Le cylindre invité, dans chacun s’y glissait
Dans un rythme effréné alternant la coulisse.
La belle se convulsait alors en s’enfonçant le pal
S’explosant de plaisir au fond de chaque canal.
Et comme à chaque fois d’une main agitée
Dans l’immeuble d’en face un voisin la lorgnait
Achevant son plaisir sur la vitre embuée
La donzelle savait elle ? à vous de deviner…
JIME
Comme tous les soirs devant sa glace, s’effeuillant.
Seule devant le miroir, il lui venait parfois
Quelques tendres pensées de ses dix doigts
Qui s’agitaient sur le long de ses parcours.
Commençait alors un petit compte à rebours
Qui partait doucement du tour de ses deux pointes
Jusqu’au doux rainurage de sa toison restreinte.
D’un majeur averti, s’attardant sur les monts,
Elle sentait d’entrecuisses les appels du démon,
L’une et l’autre des galeries réclamant une visite.
Elle aimait ce moment où son cœur battait vite,
Affolement maîtrisé qui livrait dynamite
Dans chacun de ses gestes dédiés à l’explicite.
Contentée de se voir offerte sous ses mains
Elle quittait le miroir pour un lit de coussins
Posés à même le sol sur un épais tapis.
Elle y avait tout loisir de jouer sa symphonie.
Ondulante couleuvre elle montait d’une octave
A chaque entrée subtile d’un doigt dans l’une des caves.
Elle s’ouvrait désormais du plus facilement,
Son pli et ses tunnels huilés par l’excitant.
Tous ses gémissements attisaient leur accueil.
Elle ouvrait donc un tiroir ayant atteint le seuil
Qui ne suffisait plus à éteindre la rage
Prestement en experte saisissait l’outillage
Qui par forme étudiée comblait ses orifices.
Le cylindre invité, dans chacun s’y glissait
Dans un rythme effréné alternant la coulisse.
La belle se convulsait alors en s’enfonçant le pal
S’explosant de plaisir au fond de chaque canal.
Et comme à chaque fois d’une main agitée
Dans l’immeuble d’en face un voisin la lorgnait
Achevant son plaisir sur la vitre embuée
La donzelle savait elle ? à vous de deviner…
JIME
Mar 03 Fév 2015, 15:11 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Le dernier des bisounours
la vie était si simple avant qu’il ne survienne. nous étions nous : simples, vrais, nos deux faces exposées candidement au monde.
et il est arrivé dans nos vies, dans ma vie.
il était toujours au mieux avec chacun, car chacun se trouvait sur l’une de ses faces.
aucune rotondité, aucune continuité dans ce que nous pensions être l’âme unique : il était double, triple, ... multiple.
notre premier contact avec l’être humain ne fut pas sans douleur...
il était aussi volubile avec nos amis qu’avec nos ennemis. il semblait trouver des points communs dans des simplexes tout à fait opposés !
le premier à sentir cette différence fut celui qui causa notre perte. il accusa l’être humain de menteur.
mais qui dit mensonge dit vérité. et qui dit vérité dit réalité. et qui dit réalité a déjà compris qu’il a perdu.
car l’accès soudain à la différence unie en une personne, en une âme, nous fit comprendre que derrière nos yeux, loin derrière nos regards, siège le Réel.
jusqu’alors, pour tout simplexe que nous étions, le réel et la réalité ne faisait qu’un ! nous étions l’un, les autres voyaient l’autre et l’ensemble n’était qu’une seule et même valeur à la vue de chacun...
l’être humain nous amena à comprendre que nos jours étaient comptés. qu’un plan, même divisé par notre ancienne logique en une face pure et une face obscure, ne suffisait à l’avenir de la vie...
une nouvelle forme d’intelligence était née, et elle avait plus de deux faces.
les facettes étaient nées, l’être humain pouvait réclamer son dû : le monde.
il commença par établir une nouvelle règle. la règle du "peut-être".
bientôt cette règle se déclina en "sûrement", "peu probable", puis une multitude d’autres variantes sur le spectre de ces nouveaux possibles.
nos jours étaient comptés...
le problème avec cette division de la vérité, c’est qu’il est de plus en plus complexe de déterminer le vrai, le faux, le bon, le mauvais... tout devient réalité, et le Réel s’éloigne un peu plus encore...
si j’ose écrire ces lignes aujourd’hui, c’est que je suis la dernière des simplexes, et que je vais partir.
l’être humain est entré dans ma vie, je l’ai accueilli à bras ouverts, comme je l’ai toujours fait, et j’ai eu le malheur de croire en chacune de ses facettes, celles qu’il me permettait de voir.
je ne lui en veux pas, car j’ai enfin compris qu’il ne m’a jamais menti. chacun de ses reflets me renvoyait la vérité du moment.
mais je suis simplexe, et simplexe je demeure. impossible pour moi de montrer autre chose que cette globalité qui semble être mon âme. impossible... tant que j’ai les yeux ouverts.
dès qu’ils sont fermés, dès que je ne sais plus laquelle de mes deux faces je vois, je semble vivre de nouveau, atteindre cet état de grâce qui me fait presque toucher l’humanité.
presque.
car même les yeux fermés mon esprits illumine le fond de mes pensées et mes ramène à mon choi : bon ? mauvais ?
ce "presque" me tue doucement... je choisis donc de partir par le premier nuage, et laisser ce monde aux êtres humains qui se multiplient.
j’espère seulement qu’ils ne se perdront pas, qu’ils conserveront une base, celle-là même qu’ils tiennent de nous... une polarité pour chacune de leur facette qui leur donnera la direction du bien, du mal.
il ne leur reste que cela : une direction.
puissent-ils choisir la bonne.
et il est arrivé dans nos vies, dans ma vie.
il était toujours au mieux avec chacun, car chacun se trouvait sur l’une de ses faces.
aucune rotondité, aucune continuité dans ce que nous pensions être l’âme unique : il était double, triple, ... multiple.
notre premier contact avec l’être humain ne fut pas sans douleur...
il était aussi volubile avec nos amis qu’avec nos ennemis. il semblait trouver des points communs dans des simplexes tout à fait opposés !
le premier à sentir cette différence fut celui qui causa notre perte. il accusa l’être humain de menteur.
mais qui dit mensonge dit vérité. et qui dit vérité dit réalité. et qui dit réalité a déjà compris qu’il a perdu.
car l’accès soudain à la différence unie en une personne, en une âme, nous fit comprendre que derrière nos yeux, loin derrière nos regards, siège le Réel.
jusqu’alors, pour tout simplexe que nous étions, le réel et la réalité ne faisait qu’un ! nous étions l’un, les autres voyaient l’autre et l’ensemble n’était qu’une seule et même valeur à la vue de chacun...
l’être humain nous amena à comprendre que nos jours étaient comptés. qu’un plan, même divisé par notre ancienne logique en une face pure et une face obscure, ne suffisait à l’avenir de la vie...
une nouvelle forme d’intelligence était née, et elle avait plus de deux faces.
les facettes étaient nées, l’être humain pouvait réclamer son dû : le monde.
il commença par établir une nouvelle règle. la règle du "peut-être".
bientôt cette règle se déclina en "sûrement", "peu probable", puis une multitude d’autres variantes sur le spectre de ces nouveaux possibles.
nos jours étaient comptés...
le problème avec cette division de la vérité, c’est qu’il est de plus en plus complexe de déterminer le vrai, le faux, le bon, le mauvais... tout devient réalité, et le Réel s’éloigne un peu plus encore...
si j’ose écrire ces lignes aujourd’hui, c’est que je suis la dernière des simplexes, et que je vais partir.
l’être humain est entré dans ma vie, je l’ai accueilli à bras ouverts, comme je l’ai toujours fait, et j’ai eu le malheur de croire en chacune de ses facettes, celles qu’il me permettait de voir.
je ne lui en veux pas, car j’ai enfin compris qu’il ne m’a jamais menti. chacun de ses reflets me renvoyait la vérité du moment.
mais je suis simplexe, et simplexe je demeure. impossible pour moi de montrer autre chose que cette globalité qui semble être mon âme. impossible... tant que j’ai les yeux ouverts.
dès qu’ils sont fermés, dès que je ne sais plus laquelle de mes deux faces je vois, je semble vivre de nouveau, atteindre cet état de grâce qui me fait presque toucher l’humanité.
presque.
car même les yeux fermés mon esprits illumine le fond de mes pensées et mes ramène à mon choi : bon ? mauvais ?
ce "presque" me tue doucement... je choisis donc de partir par le premier nuage, et laisser ce monde aux êtres humains qui se multiplient.
j’espère seulement qu’ils ne se perdront pas, qu’ils conserveront une base, celle-là même qu’ils tiennent de nous... une polarité pour chacune de leur facette qui leur donnera la direction du bien, du mal.
il ne leur reste que cela : une direction.
puissent-ils choisir la bonne.
Sam 28 Avril 2012, 22:48 par
l'homme de sable sur Mille choses
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i
Le mythe amoureux
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.
Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,
Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.
Voici un extrait de cette lettre :
Juin 2004
"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.
"Loin des yeux, près du cœur"
Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !
Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.
Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.
Ovide était son Maître.
Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.
Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.
Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.
Première copine
A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.
Masturbation
Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir solitaire mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.
Lycée
La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.
CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.
Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.
La colonie
Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.
Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.
Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.
Rapport avec le sexe opposé.
Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large
Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.
De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.
Son style.
Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.
Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.
Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !
Conclusion de la première partie
Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.
Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.
Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Mar 17 Mai 2011, 14:32 par
Jeaneck sur La vie à deux
Au bord de l'eau
Je me souviens, de ce fameux jour, il faisait très chaud, et la température était montée, avoisinant les trente degrés; Nous avions trouvé un endroit, reposant et frais. L’herbe haute et bien verte, nous invitait à nous coucher dessus. Il faisait encore très chaud, et l’air en devenait presque étouffant. Je suffoquais, et tu avais décidé de sortir ton mouchoir de la poche de ton bermuda, et de le tremper dans l’eau, afin de me rafraichir, le visage, puis les bras. Puis tu avais trempé tes doigts, que tu avais passé dans mes cheveux, je me sentais bien mieux....
Mais cela, ne te suffisait pas, car tu avais décidé de m éclabousser à grandes giclées, et tu en riais si fortement, que je ne pouvais qu’éclater de rire aussi. J’avais bien eu l’idée de te pousser dans l’eau, mais tu avais été beaucoup plus rapide que moi, et je me retrouvai la au milieu de l’eau, mes vêtements collés à la peau, et la difficulté à les enlever car au point où j’en étais, autant les ôter. Ton regard devenant brûlant subitement, à la vue du spectacle, juste le temps de chasser cette mouche qui te tournait autour...
Dernier sous vêtement, que j’avais enlevé et que je je t’avais jeté à la figure, tu avais hésité à me rejoindre, mais j’’avais insisté.rapidement,et nu comme un ver , tu avais plongé dans cette eau , cette eau bien fraiche.Puis tu disparaissais aussi rapidement , à me demander ou tu était passé.je te cherchais, et je commençais à m’inquiéter , ne te voyant pas remonter à la surface.Mon cœur tapait si fort, l’angoisse montait subitement, mais j’avais senti,quelque chose me frôler les chevilles, et je mettais mise à hurler de peur de m’imaginer que cela pourrait être un serpent.
Tu m’avais entrainé sous l’eau , et j’essayai tant bien que mal, de remonter, à la surface mais j’y parvenais difficilement, et toi tu avais encore disparu, sans faire de bruit, tu étais arrivé derrière moi, posant tes mains sur mes yeux, et tu m’avais embrassé dans le cou, me tapissant de petit baiser, qui me donnèrent des frissons.Puis tu avais approché tes lèvres, de ma bouche, et tu avais mis tes jambes autour de ma taille, et nos langues s’étaient entremêlées dans un ballet rappelant la valse. Ultime,extase, de nos sens en éveil...
Je n’étais plus pareille, et toi non plus,On s’émerveillait , de cette parfaite symbiose, de nos corps si proches , et le fait de se sentir si bien , dans un cocon de bien -être ,le temps s’était soudainement arrêté...
Mais cela, ne te suffisait pas, car tu avais décidé de m éclabousser à grandes giclées, et tu en riais si fortement, que je ne pouvais qu’éclater de rire aussi. J’avais bien eu l’idée de te pousser dans l’eau, mais tu avais été beaucoup plus rapide que moi, et je me retrouvai la au milieu de l’eau, mes vêtements collés à la peau, et la difficulté à les enlever car au point où j’en étais, autant les ôter. Ton regard devenant brûlant subitement, à la vue du spectacle, juste le temps de chasser cette mouche qui te tournait autour...
Dernier sous vêtement, que j’avais enlevé et que je je t’avais jeté à la figure, tu avais hésité à me rejoindre, mais j’’avais insisté.rapidement,et nu comme un ver , tu avais plongé dans cette eau , cette eau bien fraiche.Puis tu disparaissais aussi rapidement , à me demander ou tu était passé.je te cherchais, et je commençais à m’inquiéter , ne te voyant pas remonter à la surface.Mon cœur tapait si fort, l’angoisse montait subitement, mais j’avais senti,quelque chose me frôler les chevilles, et je mettais mise à hurler de peur de m’imaginer que cela pourrait être un serpent.
Tu m’avais entrainé sous l’eau , et j’essayai tant bien que mal, de remonter, à la surface mais j’y parvenais difficilement, et toi tu avais encore disparu, sans faire de bruit, tu étais arrivé derrière moi, posant tes mains sur mes yeux, et tu m’avais embrassé dans le cou, me tapissant de petit baiser, qui me donnèrent des frissons.Puis tu avais approché tes lèvres, de ma bouche, et tu avais mis tes jambes autour de ma taille, et nos langues s’étaient entremêlées dans un ballet rappelant la valse. Ultime,extase, de nos sens en éveil...
Je n’étais plus pareille, et toi non plus,On s’émerveillait , de cette parfaite symbiose, de nos corps si proches , et le fait de se sentir si bien , dans un cocon de bien -être ,le temps s’était soudainement arrêté...
Mer 09 Juin 2010, 07:58 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Dernières précisions
Tu n’avais pas besoin d’aller voir mon profil, il suffisait de lire : l’écriture est une chose la lecture une autre : qu’est-ce que l’écriture sans le soin de la lecture ? Tu vois d’un point de vue grammatical Dolce Vita est féminin... Tu pouvais au moins le supposer. Lorsqu’on a un doute on peut aussi mettre le "e" entre parenthèses, c’est certes un usage américain mais qui a tendance à se généraliser en France justement pour que l’écriture soit moins sexiste...
Mais peut-être est-ce un geste de ta part, que l’écriture, purement narcissique ?! Tu veux bien être lu mais pas prendre le temps de la réciproque a priori. A propos, je t’ai déjà répondu. Inutile que je me répète. De fait, l’usage du masculin dans ta description était pour le moins source de quiproquo. L’être assexué ou plutôt virilisé tel qu’il est décrit ne laissait pas à penser qu’il s’agissait d’une femme... Et ce qui ressort de ton texte stricto sensu c’est que le narrateur aime plus un mec qu’une nana ; en clair, l’interprétation de lecture était plus que motivée, tu n’as pas à t’en plaindre...
Je ne sais pas pourquoi mais je sens que tu n’auras pas aimé ma réponse .
Qu’à cela ne tienne, je ne tiens pas à plaire, juste être intègre... Bonne écriture.
Mais peut-être est-ce un geste de ta part, que l’écriture, purement narcissique ?! Tu veux bien être lu mais pas prendre le temps de la réciproque a priori. A propos, je t’ai déjà répondu. Inutile que je me répète. De fait, l’usage du masculin dans ta description était pour le moins source de quiproquo. L’être assexué ou plutôt virilisé tel qu’il est décrit ne laissait pas à penser qu’il s’agissait d’une femme... Et ce qui ressort de ton texte stricto sensu c’est que le narrateur aime plus un mec qu’une nana ; en clair, l’interprétation de lecture était plus que motivée, tu n’as pas à t’en plaindre...
Je ne sais pas pourquoi mais je sens que tu n’auras pas aimé ma réponse .
Qu’à cela ne tienne, je ne tiens pas à plaire, juste être intègre... Bonne écriture.
Sam 06 Fév 2010, 21:42 par
dolce vita sur La déclaration d'amour
Il suffit de pas grand chose ( 5 )...
Satine a écrit: |
S’il suffisait...
Marie |
Qu’on s’aime...
Céline
Jeu 30 Août 2007, 22:40 par
Loyd sur Mille choses
Re: un simple coucou
dolce vita a écrit: |
Tu sais je pensais que ce que tu avais écrit se suffisait à soi-même. De fait, je suis d’accord avec toi sur bien des points, notamment, le fait qu’il faut être en souffrance pour répandre du mal ( de la souffrance) : on revient à la phrase clef : "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a". Qui peut prétendre en être dépourvu ? C’est un leurre.. Ceux qui souffrent profondément n’ont pas autre chose à donner que leur souffrance... Si cette souffrance est enracinée, s’ils pensent (à tord) qu’elle fait partie d’eux, voire que cette souffrance, c’est eux, ils ne seront pas prêt de s’en défaire...
Par ailleurs, ce n’est pas du courage qu’il faut mais la capacité à faire face à cette souffrance, la capacité à prendre du recul. Il y a des êtres qui peuvent en aider d’autres à sortir de cette situation à condition que l’individu concerné le veuille. Pour le bonheur, c’est une autre histoire, il semble que c’est aussi très aléatoire et dépend de l’individu, en partie lié au contexte et en partie à un héritage génétique, chimique... Comme quoi... Au plaisir de te lire chère amie, Dolce |
Salut,
C’est la première fois que j’écris sur Internet avec quelqu’un que je ne connais pas.
Je trouve cela très plaisant d’ouvrir le site et de voir qu’un message nous est adressé.
C’était simplement pour te faire un petit coucou et te souhaiter une bonne journée, à plus.
Claude
Coucou Claude
Tu sais je pensais que ce que tu avais écrit se suffisait à soi-même. De fait, je suis d’accord avec toi sur bien des points, notamment, le fait qu’il faut être en souffrance pour répandre du mal ( de la souffrance) : on revient à la phrase clef : "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a". Qui peut prétendre en être dépourvu ? C’est un leurre.. Ceux qui souffrent profondément n’ont pas autre chose à donner que leur souffrance... Si cette souffrance est enracinée, s’ils pensent (à tord) qu’elle fait partie d’eux, voire que cette souffrance, c’est eux, ils ne seront pas prêt de s’en défaire...
Par ailleurs, ce n’est pas du courage qu’il faut mais la capacité à faire face à cette souffrance, la capacité à prendre du recul. Il y a des êtres qui peuvent en aider d’autres à sortir de cette situation à condition que l’individu concerné le veuille. Pour le bonheur, c’est une autre histoire, il semble que c’est aussi très aléatoire et dépend de l’individu, en partie lié au contexte et en partie à un héritage génétique, chimique...
Comme quoi...
Au plaisir de te lire chère amie,
Dolce
Par ailleurs, ce n’est pas du courage qu’il faut mais la capacité à faire face à cette souffrance, la capacité à prendre du recul. Il y a des êtres qui peuvent en aider d’autres à sortir de cette situation à condition que l’individu concerné le veuille. Pour le bonheur, c’est une autre histoire, il semble que c’est aussi très aléatoire et dépend de l’individu, en partie lié au contexte et en partie à un héritage génétique, chimique...
Comme quoi...
Au plaisir de te lire chère amie,
Dolce
Mar 23 Jan 2007, 10:11 par
dolce vita sur Citations
L'amour, c'est quoi ? grande interrogation ...
Mes amours passagères,
N’ont pas toujours étaient d’enfer ...
( poème passéiste sur mes conquêtes et le sexe ... sniff! )
Je dois être d’un autre âge,
Où les femmes étaient soumises et sauvages.
D’une époque aussi lointaine que l’âge de fer.
Où il suffisait de s’aimer pour le faire ...
Cet âge, aujourd’hui me rend amère.
Où est passée cette époque éphémère.
Toutes autour, sont devenues sages.
Où son mes jolies conquête de passages.
Sont elles devenues responsables et austères ?
Ont elles peur à ce point de la misère ?
Qu’il faille leur montrer notre bien être
Et bien paraître, tout cela m’exaspère ...
Au risque de ne pas paraître très sage,
Je rêve de conquêtes de mon âge.
Où les femmes infidèles et légères,
S’offriraient tous les plaisirs en pleine la lumière !
Sans tabou ni retenue, que celle de la chair.
Sortant de l’ombre et des valeurs monétaires !
Je suis prêt à offrir du plaisir de mes mains
De ma bouche et de mes reins
Plutôt séduire, quitte à déplaire,
Que se battre et croiser le fer.
Sans mensonges, à qui lira ce message
Je propose mes talents aux massages
Sans contrepartie financières,
Et sans arrière pensée grossière,
Juste comme il se doit, avec les manières.
Surtout ne me classer pas anthropophage
Moi qui suis à l’aube d’un grands âge
Je suis encore vert et prêt à le faire
Et malgré mes envies passagères
Me voilà condamner à battre le fer ...
Sans amour, dans un monde froid et austère ...
N’ont pas toujours étaient d’enfer ...
( poème passéiste sur mes conquêtes et le sexe ... sniff! )
Je dois être d’un autre âge,
Où les femmes étaient soumises et sauvages.
D’une époque aussi lointaine que l’âge de fer.
Où il suffisait de s’aimer pour le faire ...
Cet âge, aujourd’hui me rend amère.
Où est passée cette époque éphémère.
Toutes autour, sont devenues sages.
Où son mes jolies conquête de passages.
Sont elles devenues responsables et austères ?
Ont elles peur à ce point de la misère ?
Qu’il faille leur montrer notre bien être
Et bien paraître, tout cela m’exaspère ...
Au risque de ne pas paraître très sage,
Je rêve de conquêtes de mon âge.
Où les femmes infidèles et légères,
S’offriraient tous les plaisirs en pleine la lumière !
Sans tabou ni retenue, que celle de la chair.
Sortant de l’ombre et des valeurs monétaires !
Je suis prêt à offrir du plaisir de mes mains
De ma bouche et de mes reins
Plutôt séduire, quitte à déplaire,
Que se battre et croiser le fer.
Sans mensonges, à qui lira ce message
Je propose mes talents aux massages
Sans contrepartie financières,
Et sans arrière pensée grossière,
Juste comme il se doit, avec les manières.
Surtout ne me classer pas anthropophage
Moi qui suis à l’aube d’un grands âge
Je suis encore vert et prêt à le faire
Et malgré mes envies passagères
Me voilà condamner à battre le fer ...
Sans amour, dans un monde froid et austère ...
Jeu 05 Oct 2006, 20:13 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Zazou et Lui
Un jour de neige voici déjà deux ans, je surfais pour la première fois sur Internet, découvrant toute la magie de ce fabuleux outil de... recherche dans un premier temps...
On se promet tous en prenant un fournisseur d’accès, de n’utiliser le Web qu’à bon escient, culturel il va de soi.
Et puis, un jour, en créant une adresse email, un petit mot s’affiche sur la page : "quizz" ..
Curieuse invétérée, je suis donc les informations données pour arriver sur un salon de quizz, où je fus accueillie de mille kisssssssss et bisouuus ... En bonne newbie que j’étais, j’ai mis un certain temps avant de comprendre les arcanes des salons de quizz_tchat...
Et quel bonheur chaque soir en rentrant du travail, de se connecter pour retrouver tous ces gens cultivés, de jouer avec eux..
Et puis, inévitablement, on finit par ressentir des affinités un peu plus poussées avec certains. On passe des heures à se raconter nos vies, à rire, à se séduire aussi, à se raisonner lorsqu’il faut se quitter.
Et moi, si sceptique auparavant lorsque les médias relataient les histoires d’amour Internet, moi qui étais persuadée qu’il était impossible de tomber amoureux de quelqu’un sans le voir, le toucher, l’entendre.. Moi surtout, qui me refusais à l’amour pour rester aussi libre que le vent ..
Tout de suite, j’ai eu envie de passer énormément de temps avec lui, de plus en plus de temps, au point de rogner sur le sommeil, les amis "réels", les sorties ..
Le premier "tu me manques" m’a bouleversée, lui aussi ..
Il est si difficile d’avouer et de s’avouer que oui, on est bel et bien amoureux, intensément... c’est difficile et ça effraie aussi... L’amour cérébral est si puissant, plus de barrières (physique, âge).
En prenant conscience de cet amour naissant, nous avons décidé tous les deux de le "zapper" quelques temps, de ne plus s’écrire, nous ne nous sommes pas communiqués nos numéros de téléphone pour ne pas passer du côté du réel, nous avons voulu nous persuader que nous avions simplement créé une habitude, qu’il nous suffisait de nous déconnecter pour nous oublier et ainsi ne jamais nous blesser ..
Alors, nous sommes partis en vacances, tous les deux en même temps.
Et ces semaines de vacances ont été un calvaire, j’avais le coeur gros de lui, il avait perdu le sommeil. Et chaque seconde sans lui me paraissait une éternité.
Quand nous sommes rentrés, nous nous sommes virtuellement jetés l’un sur l’autre, nous jurant de ne jamais retenter l’expérience, de prendre l’amour comme il venait, au jour le jour.
Et puis, les mois ont passé, renforçant nos sentiments, nous imposant des tortures terribles, la jalousie à distance est épouvantable. Nous nous sommes téléphonés enfin, l’entendre est pour moi un pur bonheur.
A la communion des esprits est venue s’ajouter la passion des corps, des désirs physiques comme ni lui ni moi ne croyait cela possible.
Et nous voilà condamnés à se faire un amour virtuel, intense, violent et si doux à la fois.
Nous ne nous sommes toujours pas rencontrés, il est à mille kilomètres de moi, plus jeune aussi. Nous en mourons d’envie, mais nous repoussons toujours l’échéance de peur de briser la magie de cet amour... Et puis, au fil des mois, nous avons osé nous avouer tous nos défauts, puis nous avons quand même échangé nos photos, avec la peur au ventre, peur que l’autre découvrant enfin un visage ne se dise : "j’ai fait une erreur, désolé". Et puis non, l’amour est toujours là, la douceur et la douleur se mêlent, l’envie, l’angoisse, le manque, la joie de se retrouver, le chagrin de se quitter, le désir qui atteint son paroxysme quelques fois au point de s’évanouir...
J’ai envie de lui, à en mourir, de le respirer, de le sentir, de le toucher, le regarder, de manger boire et dormir avec lui. J’ai mal de tout ça...
C’est peut-être le plus grand paradoxe de la vie, la douceur et le bonheur de l’amour et ses affres aussi.
La rencontre est plus que jamais d’actualité... quand ??
On se promet tous en prenant un fournisseur d’accès, de n’utiliser le Web qu’à bon escient, culturel il va de soi.
Et puis, un jour, en créant une adresse email, un petit mot s’affiche sur la page : "quizz" ..
Curieuse invétérée, je suis donc les informations données pour arriver sur un salon de quizz, où je fus accueillie de mille kisssssssss et bisouuus ... En bonne newbie que j’étais, j’ai mis un certain temps avant de comprendre les arcanes des salons de quizz_tchat...
Et quel bonheur chaque soir en rentrant du travail, de se connecter pour retrouver tous ces gens cultivés, de jouer avec eux..
Et puis, inévitablement, on finit par ressentir des affinités un peu plus poussées avec certains. On passe des heures à se raconter nos vies, à rire, à se séduire aussi, à se raisonner lorsqu’il faut se quitter.
Et moi, si sceptique auparavant lorsque les médias relataient les histoires d’amour Internet, moi qui étais persuadée qu’il était impossible de tomber amoureux de quelqu’un sans le voir, le toucher, l’entendre.. Moi surtout, qui me refusais à l’amour pour rester aussi libre que le vent ..
Tout de suite, j’ai eu envie de passer énormément de temps avec lui, de plus en plus de temps, au point de rogner sur le sommeil, les amis "réels", les sorties ..
Le premier "tu me manques" m’a bouleversée, lui aussi ..
Il est si difficile d’avouer et de s’avouer que oui, on est bel et bien amoureux, intensément... c’est difficile et ça effraie aussi... L’amour cérébral est si puissant, plus de barrières (physique, âge).
En prenant conscience de cet amour naissant, nous avons décidé tous les deux de le "zapper" quelques temps, de ne plus s’écrire, nous ne nous sommes pas communiqués nos numéros de téléphone pour ne pas passer du côté du réel, nous avons voulu nous persuader que nous avions simplement créé une habitude, qu’il nous suffisait de nous déconnecter pour nous oublier et ainsi ne jamais nous blesser ..
Alors, nous sommes partis en vacances, tous les deux en même temps.
Et ces semaines de vacances ont été un calvaire, j’avais le coeur gros de lui, il avait perdu le sommeil. Et chaque seconde sans lui me paraissait une éternité.
Quand nous sommes rentrés, nous nous sommes virtuellement jetés l’un sur l’autre, nous jurant de ne jamais retenter l’expérience, de prendre l’amour comme il venait, au jour le jour.
Et puis, les mois ont passé, renforçant nos sentiments, nous imposant des tortures terribles, la jalousie à distance est épouvantable. Nous nous sommes téléphonés enfin, l’entendre est pour moi un pur bonheur.
A la communion des esprits est venue s’ajouter la passion des corps, des désirs physiques comme ni lui ni moi ne croyait cela possible.
Et nous voilà condamnés à se faire un amour virtuel, intense, violent et si doux à la fois.
Nous ne nous sommes toujours pas rencontrés, il est à mille kilomètres de moi, plus jeune aussi. Nous en mourons d’envie, mais nous repoussons toujours l’échéance de peur de briser la magie de cet amour... Et puis, au fil des mois, nous avons osé nous avouer tous nos défauts, puis nous avons quand même échangé nos photos, avec la peur au ventre, peur que l’autre découvrant enfin un visage ne se dise : "j’ai fait une erreur, désolé". Et puis non, l’amour est toujours là, la douceur et la douleur se mêlent, l’envie, l’angoisse, le manque, la joie de se retrouver, le chagrin de se quitter, le désir qui atteint son paroxysme quelques fois au point de s’évanouir...
J’ai envie de lui, à en mourir, de le respirer, de le sentir, de le toucher, le regarder, de manger boire et dormir avec lui. J’ai mal de tout ça...
C’est peut-être le plus grand paradoxe de la vie, la douceur et le bonheur de l’amour et ses affres aussi.
La rencontre est plus que jamais d’actualité... quand ??
Mar 21 Fév 2006, 23:45 par
Luna_Lou sur Amour internet
Aimer à en mourir
Un amour impossible entre l’eau et le feu a pourtant vu le jour :
c’était un bel amour et qui m’a fait franchir les sommets escarpés. Mon âme et la tienne communiaient dans la joie ; nos coeurs s’étaient donnés. Plusieurs fois, avant cela, nous nous étions surpris de la complicité intime de nos êtres... Plusieurs fois, tu avais posé tes yeux sur moi et les miens ne s’étaient pas dérobés. Ce soir là, nos regards durèrent tant et tant qu’ils détruisirent le temps et l’espace entre nous, dans une innocence avide, nos âmes aspirées - en communion d’amour qu’on ne peut retracer, qu’on ne peut inventer, indicible, bien au delà de tout - se trouvèrent enlacées, brillant de bel amour. Seigneur, que j’étais bien ! J’avais ton cœur, tu possédais le mien ! Mais, sans trahir nulle femme tu n’avais pas le droit à cet amour pour moi. Oh, oui, je le savais ! Je n’en conçus nulle peur. Te voir me suffisait, me comblait de bonheur ! J’avais goûté au Ciel ! Tout nous faisait comprendre que nous étions ensemble et pour l’éternité ! Je me crûs forte. Je fus sage. Trop sage... Un jour heureux après moult combats, au téléphone tu osas une déclaration qui réveilla ma joie. Le lendemain fut funeste, c’est l’œuvre de mes mains ! Je niais les désirs de mon corps et du tien, je brisais l’élan de mon cœur qui m’appelait vers toi qui me tendis les bras. Tu t’étais arrangé pour que nous soyons seuls, nous êtions à l’aube de l’été... Je pris peur de nous, du désir qui jaillissait de nous, consciente de l’interdit formel répondant à tes voeux... Je partis en courant, te laissant chancelant... Ah, ciel, tes regards, lorsque je te retrouvais au milieu de ces gens qui nous dévisageaient, attendant le faux pas. Devinant tout l’amour nous unissant déjà. Je ne répondis pas aux questionnements que tes yeux murmuraient apeurés : pourquoi ? Pourquoi... Peu après ta décision fut prise de m’éloigner de toi... Mais, tant que nous étions amenés à nous voir, nous ne le pouvions pas, tantôt toi, tantôt moi, nous revenions vers l’autre. Alors, tu pris la décision de partir sans retour. J’ai crû mourir, l’ai souhaité plus souvent qu’à mon tour... Et puis, j’ai essayé de reprendre le chemin de la vie, de t’oublier et de renaître à l’amour pour un autre que toi... Mais non, hélas, c’est toujours impossible, je ne le puis pas, malgré ma soif d’aimer, malgré tout le désir qui a pris corps en moi, il ne s’adresse qu’à toi qui ne me lira pas. Combien de lettres t’ai-je écrites dont la plupart ne te parvinrent pas ? ! Quelle importance ?! Un jour, n’y tenant plus, je t’ai appelé et c’est ta voix qui m’a répondu, une dernière fois, avec toute la douceur que je n’oublierai pas... Je sais que tes yeux ne se poseront pas sur ces lignes, je ne sais si ton cœur est loin de moi aujourd’hui, comme la raison le voudrait... Parfois, la douleur s’atténue et je me crois guérie et puis, un mot, un geste et en moi tout jaillit... je dois laisser mon coeur se reposer. Ils sont nombreux aujourd’hui à me parler de toi, ceux qui, hier encore, me montraient du doigt, moi dont le crime demeure impuni : oser aimer, voilà de quoi je suis coupable, aimer un homme à en mourir...
c’était un bel amour et qui m’a fait franchir les sommets escarpés. Mon âme et la tienne communiaient dans la joie ; nos coeurs s’étaient donnés. Plusieurs fois, avant cela, nous nous étions surpris de la complicité intime de nos êtres... Plusieurs fois, tu avais posé tes yeux sur moi et les miens ne s’étaient pas dérobés. Ce soir là, nos regards durèrent tant et tant qu’ils détruisirent le temps et l’espace entre nous, dans une innocence avide, nos âmes aspirées - en communion d’amour qu’on ne peut retracer, qu’on ne peut inventer, indicible, bien au delà de tout - se trouvèrent enlacées, brillant de bel amour. Seigneur, que j’étais bien ! J’avais ton cœur, tu possédais le mien ! Mais, sans trahir nulle femme tu n’avais pas le droit à cet amour pour moi. Oh, oui, je le savais ! Je n’en conçus nulle peur. Te voir me suffisait, me comblait de bonheur ! J’avais goûté au Ciel ! Tout nous faisait comprendre que nous étions ensemble et pour l’éternité ! Je me crûs forte. Je fus sage. Trop sage... Un jour heureux après moult combats, au téléphone tu osas une déclaration qui réveilla ma joie. Le lendemain fut funeste, c’est l’œuvre de mes mains ! Je niais les désirs de mon corps et du tien, je brisais l’élan de mon cœur qui m’appelait vers toi qui me tendis les bras. Tu t’étais arrangé pour que nous soyons seuls, nous êtions à l’aube de l’été... Je pris peur de nous, du désir qui jaillissait de nous, consciente de l’interdit formel répondant à tes voeux... Je partis en courant, te laissant chancelant... Ah, ciel, tes regards, lorsque je te retrouvais au milieu de ces gens qui nous dévisageaient, attendant le faux pas. Devinant tout l’amour nous unissant déjà. Je ne répondis pas aux questionnements que tes yeux murmuraient apeurés : pourquoi ? Pourquoi... Peu après ta décision fut prise de m’éloigner de toi... Mais, tant que nous étions amenés à nous voir, nous ne le pouvions pas, tantôt toi, tantôt moi, nous revenions vers l’autre. Alors, tu pris la décision de partir sans retour. J’ai crû mourir, l’ai souhaité plus souvent qu’à mon tour... Et puis, j’ai essayé de reprendre le chemin de la vie, de t’oublier et de renaître à l’amour pour un autre que toi... Mais non, hélas, c’est toujours impossible, je ne le puis pas, malgré ma soif d’aimer, malgré tout le désir qui a pris corps en moi, il ne s’adresse qu’à toi qui ne me lira pas. Combien de lettres t’ai-je écrites dont la plupart ne te parvinrent pas ? ! Quelle importance ?! Un jour, n’y tenant plus, je t’ai appelé et c’est ta voix qui m’a répondu, une dernière fois, avec toute la douceur que je n’oublierai pas... Je sais que tes yeux ne se poseront pas sur ces lignes, je ne sais si ton cœur est loin de moi aujourd’hui, comme la raison le voudrait... Parfois, la douleur s’atténue et je me crois guérie et puis, un mot, un geste et en moi tout jaillit... je dois laisser mon coeur se reposer. Ils sont nombreux aujourd’hui à me parler de toi, ceux qui, hier encore, me montraient du doigt, moi dont le crime demeure impuni : oser aimer, voilà de quoi je suis coupable, aimer un homme à en mourir...
Dim 19 Fév 2006, 17:10 par
dolce vita sur Histoires d'amour
S'il suffisait d'aimer
Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l’imagine habitant mon décor
J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j’offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps
Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l’enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j’entends battre tous les cœurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on pouvait changer les choses et tout recommencer
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S’il suffisait d’aimer.
Céline Dion
Et puis je l’imagine habitant mon décor
J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j’offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps
Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l’enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j’entends battre tous les cœurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on pouvait changer les choses et tout recommencer
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S’il suffisait d’aimer.
Céline Dion
Sam 08 Oct 2005, 22:22 par
Satine sur Mille choses
Rendre une femme amoureuse
Rendre une femme amoureuse, rendre une fille amoureuse, comment la rendre amoureuse ou comment la séduire ? Il doit y avoir autant de recettes de séduction qu’il y a eu de séducteurs, et probablement qu’aucun d’entre eux ne serait en mesure de décrire avec objectivité les attitudes qu’ils emploient le plus souvent.
Je suis malgré tout tombé sur un témoignage intéressant, qui s’il ne dévoile pas de terribles bottes secrètes, rassurera les inquiets et assouplira les rustres. Ce que j’apprécie le plus dans la démarche de son auteur, c’est que la galanterie et la délicatesse sont toujours mises en avant pour aboutir la conquête. Je me permettrais de rajouter aux conseils que vous lirez ci dessous, le mien : soyez sincère, aimez la vraiment et utilisez tout les moyens pour qu’elle le sache et accepte de vous donner aussi son amour.
Messieurs, voici pour vous la méthode d’un dénommé MATRAX pour rendre une femme amoureuse.
Draguer dans le RER, le métro ou le train ainsi que Comment accoster une demoiselle devrait aussi vous intéresser une fois la lecture cet article effectuée.
Présentation de la méthode.
Étape 1 : Lui donner conscience d’être unique .
Nous allons vous donner quelques astuces qui vont vous guider et qui marchent à tous les coups.
1. Il faut lui dire qu’elle est un être unique, irremplaçable, un objet d’amour, et pas seulement de désir et de plaisir. Le but : la rassurer sur la pérennité de votre amour. Expliquons les attentes d’une femme. Elle préfère une relation durable, alors que les hommes vivent plus au jour le jour. Ça peut toujours lui faire plaisir que vous lui disiez qu’elle est belle, que vous la désirez, mais elle restera inquiète à l’idée que ce désir peut disparaître dès qu’il aura été consumé. Si vous lui déclamez votre amour, elle sera beaucoup plus certaine de vous garder durablement.
Vous nous direz, aujourd’hui les louanges, ça ne marche plus. Ce n’est pas vrai, il faut savoir se montrer sensible et délicat. Les femmes modernes vivent souvent un quotidien qui ne leur plaît pas. Les photos de mode leur imposent des critères auxquels elles ne pensent pas correspondre, elles se sentent dévalorisées par rapport à l’image que donnent les business-women, etc... Dites-leur qu’elles sont à la hauteur et précisément au niveau de leurs doutes.
2. Pour vivre une liaison tendre avec une femme, il faut partir sur de bonnes bases, c’est-à-dire des bases romanesques. Faites-vous mutuellement rêver. L’essentiel est de créer et de faire perdurer une atmosphère incomparable, que l’on ne trouve pas ailleurs, une complicité sensuelle.
Créez un lien entre vous, tissez une trame faite d’humour, de désir, de tendresse, qui vous permettra de construire solidement votre relation sans négliger l’imprévu et le romantisme. Une liaison réussie, qui dure, c’est l’extraordinaire et le rêve transfigurant le banal et le quotidien.
Les femmes romanesques rêvent de l’aventurier, pas d’une aventure. Donnez le sentiment que vous êtes le bon, racontez ou inventez des épisodes les plus romanesques de votre vie, elle n’aiment que ce qu’elles admirent. Bannissez le boulot et le quotidien de vos discussions !
Intéressez-vous d’abord à elle et donnez l’impression qu’en sa présence, rien au monde ne peut venir vous troubler. Elle aime que vous la fassiez parler d’elle, de son enfance, de ses projets. Qu’elle devienne, le temps d’une soirée, d’un rendez-vous, le centre du monde.
3. Soyez charnel. Elles adorent les garçons qui s’intéressent ouvertement à elles, qui montrent clairement leurs désirs, qui ne trichent pas, ne mentent pas, ni avec leurs envies, ni avec elles. Lorsque vous lui dites sans détour “tu me plais”, non seulement vous semblez honnête mais elle est surtout heureuse de vous l’entendre dire.
Derrière son masque de femme sûre d’elle, il y a souvent une petite fille qui cherche un compagnon pour la vie. Le “coeur à prendre” attend qu’on le prenne. Prendre des risques et donner sont les deux principes d’une idylle réussie et s’appliquent aussi dans le domaine de la sexualité.
L’homme doit lui faire connaître le plaisir et bouleverser ses sens. Pas de sexualité réussie sans parfum d’aventure, sans cette tentation d’aller au-delà des limites convenues. Branchez-vous sur son imaginaire sexuel à elle et osez, sortez du banal et du quotidien. Imaginez des situations nouvelles, des moments de passion inédits, sans retenue.
CONSEIL
Si elle est belle, parlez-lui de son intelligence, si elle est plutôt cérébrale, parlez-lui de son corps. Faites taire ses doutes quand c’est justifié, mais ne soyez pas hypocrite.
Par exemple si c’est une fille intelligente mais plutôt ronde d’allure, n’allez pas la complimenter sur sa ligne, ça ne passera pas, mais plus sur la beauté de ses yeux, de ses épaules, de ce détail que vous, vous avez remarqué alors que les autres se sont arrêtés à la silhouette.
Étape 2 : L’inviter à dîner pour la première fois.
Un grand moment décisif est le premier dîner en tête-à-tête, pas forcément dans un cadre très romantique, avec chandelles et violon, mais intime. C’est une sorte de rituel au début d’une relation, comme si le fait de partager un repas le soir scellait une complicité et un désir naissant entre deux personnes qui se connaissent à peine.
Une invitation à dîner est toujours chargée de sens sans doute parce que, dans la plupart des civilisations, plaisir de la chair et plaisir de la nourriture sont très étroitement liés. Et puis vous l’invitez et cela rappelle des temps anciens où le chasseur ramenait du gibier. Ce rituel séculaire est un engramme profondément ancré dans le cerveau, qui touche des affects fondamentaux.
Les hommes qui goûtent aux raffinements d’un repas sont les mêmes qui sont capables d’apprécier les charmes d’une femme délicieuse. Un homme sensible aux mets délicats, aux bons crus, est en général quelqu’un qui aime donner et recevoir du plaisir.
A l’inverse, celui qui engloutit ce qu’il mange, boit comme un trou (pire encore à la bouteille) sans apprécier son assiette est, la plupart du temps, un amant médiocre, incapable de prendre son temps et de partager agréablement une expérience sensuelle.
Mais l’art de la table, c’est aussi le savoir-vivre et les bonnes manières. Les femmes sont très sensibles au décorum et à la galanterie de leur partenaire. Une femme apprend beaucoup sur un homme au premier repas partagé. Elle peut voir sa façon de se tenir à table, appréhender son niveau d’éducation, deviner le milieu auquel il appartient, s’il est courtois et attentif aux autres. Bref, surveillez votre comportement, montrez-vous sous votre meilleur jour tout en restant vous-même.
Pour commencer, choisissez un restaurant qui aura toute chance de lui plaire parce que ce soir c’est elle la reine.
Des conseils fondamentaux pour cette invitation pleine de promesses :
- Demandez-lui par exemple quelle nourriture elle aime pour choisir un restaurant en fonction de ses goûts. Si votre proposition lui plaît, tant mieux, sinon avisez et changez votre fusil d’épaule.
- Vous pouvez aussi vous risquer à la dépayser en lui proposant du jamais vu, une petite table africaine servie par la “mama” (qui vous connaît) par exemple. Évidement si elle n’aime pas du tout, c’est raté ! Évitez la très bonne table ou le restaurant guindé, ce qui compte, c’est que vous soyez à l’aise tous les deux.
- Informez-la aussi du type d’endroit où vous souhaitez l’emmener, chic, branché, rustique, afin qu’elle sache comment s’habiller. Si vous constatez que sa tenue n’est pas adaptée au style de l’établissement auquel vous aviez songé, changez vos plans in extremis. Mettez-la toujours à l’aise.
- Choisissez un endroit adapté à votre budget et à votre style de vie. L’importance d’une rencontre ne se mesure pas à l’argent dépensé pour un dîner. Préférez un endroit que vous connaissez déjà, où vous vous sentez à l’aise.
- Appelez-la pour lui proposer de venir la chercher ou convenez d’un lieu de rendez-vous agréable. Tâchez d’être ponctuel ce jour-là, la ponctualité est l’une des qualités qui rassure une femme et qui inspire confiance.
- Proposez à votre amie de prendre un verre avant d’aller à table et enlevez son manteau. Ne faites aucune réflexion sur les prix, étudiez sereinement, mais sans étaler votre science la carte des vins. Il est de tradition que l’homme commande pour la femme, n’hésitez pas à lui suggérer des spécialités que vous connaissez, mais n’insistez pas.
- Laissez-la se servir en premier et insistez pour qu’elle choisisse le meilleur, attendez qu’elle commence à manger en premier. Surtout, mâchez la bouche fermée et ne parlez pas en mangeant. Cela va de soi, mais il vaut mieux attirer votre attention sur ce genre de détail.
- Tout au long du dîner, sachez lui montrer votre attention par une attitude aimable, des petits gestes élégants. Évitez absolument de lorgner les autres femmes dans la salle et de fumer au cours du repas.
- Demandez l’addition discrètement, soyez généreux sans pour autant faire de l’esbrouffe. Si elle vous propose de partager l’addition dites d’abord que son attitude est plutôt sympathique, insistez en lui assurant que c’était un vrai plaisir pour vous de l’inviter à ce dîner et dites-lui qu’il y aura sûrement une autre occasion pour vous rendre cette politesse !
Étape 3 : Comprendre ce qui l’excite.
Les choses excitantes pour les femmes / Les choses excitantes pour les hommes :
Romance / Pornographie
Engagement / Nudité féminine
Communication / Diversité sexuelle
Intimité / Lingerie fine
Caresses non sexuelles / Disponibilité de la Femme
On se trouve ici dans le plan des instincts primaires. La liste des préférences est un reflet des cerveaux de l’homme et de la femme, modelés par des milliers d’années d’évolution. Les hommes sont plus visuels et veulent du sexe. Les femmes sont plus auditives et sensitives et préfèrent des caresses et de la romance.
Biologiquement, l’homme est prédisposé à trouver le plus de femmes possible en bonne santé et de les aider à concevoir. Le rôle biologique d’une femme est de porter des enfants et de trouver un partenaire qui restera suffisamment longtemps pour les élever.
N’avez-vous pas souvent vu de fort belles femmes avec des hommes parfois quelconques, pas forcément riches, ni puissants ? Mais ils se sont présentés au bon moment, prêts à s’engager avec elles et elles ont préféré la sécurité à l’aventure. C’est tellement courant ! Mais peut-être rêvent-elles encore au Prince Charmant qui viendra les réveiller…
Ce sont ces schémas ancestraux qui dirigent hommes et femmes, bien que nous vivions à une époque différente. C’est pourquoi l’engagement est tellement excitant pour une femme, la romance contenant la promesse de l’homme prêt à contribuer à l’éducation d’éventuels enfants. C’est pourquoi la nudité féminine est tellement excitante pour un homme, les courbes dévoilées contenant une promesse de fécondité et d’enfants bien portants.
CONSEIL
Pour un homme, critiquer une femme qui aimerait discuter et aller au restaurant avec lui équivaut aux critiques d’une femme qui ne supporte pas le besoin de stimulation visuelle de l’homme.
Soyez indulgent avec vos instincts primitifs et n’oubliez jamais que ces réflexes ont permit la survie de l’espèce depuis des millénaires, dans un contexte hostile.
Étape 4 : Lui faire vivre la grande aventure de l’amour
L’amour, c’est la fusion de deux personnes différentes. Nous voulons être aimés en tant qu’êtres uniques, extraordinaires, irremplaçables, car dans la vie courante, nous sommes pas si exceptionnels que ça. Au quotidien, le désir existe, mais il nous échappe, car nous avons toujours des tas d’obligations. Jamais nous ne nous sentons entièrement compris, disponible, on se sent frustré, jamais nos désirs ne coïncident complètement avec ceux des autres.
C’est en cela que l’amour est une révolution. Maintenant vous en connaissez les attraits - nombreux - mais aussi les risques à encourir.
A présent, vous savez exactement ce qu’elle attend de vous : que vous la sortiez du quotidien, mais en toute sécurité. Éternel paradoxe féminin !
Dans le transport amoureux on est capable de voir au delà des apparences, ce que l’autre pourrait être, les trésors qu’il recèle en lui. C’est une sorte d’illumination étrangement similaires aux expériences mystiques.
Tout peut commencer par une relation érotique, une aventure. Mais si vous tombez amoureux, un changement profond se produit. Le désir sexuel cède le pas à l’émotion, au frémissement, à l’envie de pleurer, au bouleversement. Nous regardons l’autre, devenu plus intime et plus désirable, comme si nous ne l’avions jamais vu. Son corps, ses mains et ses yeux nous parlent d’un infini inconnu.
C’est ainsi que le sentiment se crée dans l’amour physique. Celui-ci n’est pas seulement à la recherche du plaisir, mais de l’amour, d’une transcendance, parce qu’on sait bien qu’il y a une autre vérité au-delà des apparences. C’est la voie que l’on utilise pour s’élever mentalement. Les saints et les mystiques empruntent des chemins plus escarpés, mais cherchent à rester “en haut”. L’amour, lui, redescend souvent quand il est confronté au quotidien. Mais il permet d’ouvrir la porte sur d’autres réalités, d’autres possibilités.
Pourquoi parler de ces états, finalement rarement atteints et plutôt ignorés des hommes ordinaires ?
Nous voulons que vous compreniez ce que les femmes les plus intéressantes, les plus exigeantes attendent vraiment de vous. Plus sensibles que toutes les autres et surtout que les hommes, ces femmes-là sentent confusément que le sentiment amoureux qu’elles recherchent se situe bien au-delà de l’amour physique. Elles veulent que vous les ameniez à cette rencontre des sens où tous les deux, vous expérimenterez une vraie rencontre des âmes.
Avec votre argent, vos biens, vous ne ferez rêver que les femmes faciles. Vous étourdirez celles qui sont un peu plus exigeantes avec de beaux rêves, mais vous séduirez des femmes exceptionnelles si vous leur parlez d’union des âmes.
Si votre compréhension de l’amour est telle que vous attendez cette fusion, vous serez un extra-terrestre en comparaison de presque tous les autres hommes. N’hésitez donc pas à mettre la barre très haut, à partager votre idéal, à vouloir la lune. Elles en voudront toujours plus !
Alors êtes-vous amoureux ? Mais ne vous inquiétez pas non plus si vous ne vivez pas toujours aussi intensément vos relations. L’amour peut fort bien démarrer doucement, on ne sait même pas qu’on est amoureux, c’est presque une amitié avec des “peut-être”. Et puis, d’un coup, l’autre devient indispensable, le centre de votre vie.
Ce qui est sûr, selon Alberoni, le grand spécialiste de l’état amoureux, “c’est qu’il n’y a pas amour s’il n’y a pas libération de nos aspirations les plus profondes, révélation de nos vrais désirs, expérience de ce que serait vivre vraiment, unicité de l’être aimé (on ne peut aimer deux personnes à la fois) qui devient essentiel, authenticité, vérité, liberté, dépassement, fusion et projet”.
CONSEIL
On ne tombe amoureux que si l’on a vraiment envie de changer sa vie, si on est disponible, et si on en a l’énergie (plus difficile si l’on est dépressif). Il ne peut y avoir une révolution dans votre vie que si vous avez tiré un trait sur le passé.
Ce n’est pas parce qu’on est amoureux (surtout après un coup de foudre) que l’autre est le partenaire idéal pour une vie conjugale rêvée. L’amour n’a pas grand chose à voir avec la routine du quotidien, au contraire il s’y brûle. Être amoureux ne veut donc pas dire que la vie commune serait géniale avec cette personne, mais qu’elle pourrait vous faire évoluer et vous fait avancer.
Étape 5 : Développer sa sensibilité
Nous allons parler, pour parfaire vos qualités, du dernier des secrets et sans doute du plus grand. Vous avez vu que, sans cesse, nous avons souligné que telle attitude était possible mais aussi son contraire, qu’il fallait être tantôt passionné, tantôt retenu, qu’il fallait oser mais aussi attendre, etc... Nous avons aussi souligné l’importance de savoir se mouvoir, parler, regarder, toucher, caresser... Comment apprendre cette sensibilité, comment savoir - si on ne le sait pas encore - ce qu’il faut faire à tel moment ?
Le plus grand des secrets et la voie assurée pour devenir ce que vous souhaitez, un homme séduisant, est de devenir un artiste !
Pas forcément un professionnel, ni un artiste célèbre, mais un homme qui pratique au moins une ou plusieurs activités artistiques. La plupart des séducteurs connus étaient des artistes : Casanova jouait du violon, était auteur de théâtre, d’une grande érudition, Châteaubriand, écrivain, Claude François et Serge Gainsbourg, chanteur et compositeur, Mirabeau qui s’est illustré dans le dessin, la musique et les sciences, le Conte de St Germain, violoniste de renom, le chevalier de St-Georges dansait admirablement, Stendhal composait, tous ont excellé dans une ou plusieurs disciplines artistiques.
Ce n’est pas une voie rapide, mais c’est un chemin sûr pour devenir au fil du temps toujours plus séduisant. Vous verrez dans 20 ou 30 ans (cela vous paraît loin, mais ça viendra plus vite que vous ne l’imaginez). L’alternative consiste soit à séduire avec la fougue et la beauté de sa jeunesse puis devenir un vieux aigri - ou un vieux qui joue au jeune ce qui est pire encore -, soit de cultiver sur le long terme son pouvoir de séduction en mettant en place assez tôt des qualités rares de sensibilité et de finesse qui, elles, ne vieillissent pas, au contraire. Admirez Picasso à 90 ans et comparez-le aux séducteurs de 20 ans ! Passons en revue les arts qui peuvent transformer votre pouvoir de séduction.
Étape 6 : Devenir un artiste accompli
1. La danse
Nous avons souligné combien l’aisance dans le mouvement était une qualité décisive. Comment acquérir cette aisance ? Soit par des sports développant le corps et l’équilibre, nous avons déjà signalé le yoga, le Taï-Chi mais aussi la natation, le basket, l’escrime (la nouvelle méthode de gymnastique “Pilates” semble aussi intéressante)…
Soit par des cours de danse : le tango par exemple, donne une posture d’une grande élégance et la samba donne du rythme. Évidemment l’avantage de la danse est qu’elle entraîne aussi à danser avec une éventuelle partenaire. Un bon cavalier, c’est recherché. Qui danse bien aime bien, qui comprend bien les mouvements du corps de sa partenaire, la comprendra bien au lit. C’est évident.
Il y a d’autres raisons. La sensibilité exercée dans la danse est un peu féminine. L’homme qui apprend à danser dévoile sa part de féminité, il comprend mieux les attentes et les besoins du corps féminin, il les connaît mieux. Et puis il a du rythme, ce qui est sans doute le plus important dans l’amour, un rythme énergique, pas brutal, ni tendu. Danser au lit, on comprend bien que c’est un régal. Donc vous devez savoir au moins un peu danser.
2. L’écriture
Grâce à Internet, les échanges épistolaires sont revalorisés, il (re)devient intéressant de savoir manier la plume.
D’abord parce qu’écrire permet de s’entraîner à jouer avec les mots. Si vous n’êtes pas un grand orateur, écrire va vous délier les pensées. Vous pouvez oser en prenant votre temps, des phrases plus élaborées et risquer des tournures plus affolantes. “Je me jette à vos pieds” est plus dur à dire qu’à écrire.
Et puis écrire c’est aussi lire, se former à la poésie. Les femmes adorent la poésie. Envoyez-leur des petits poèmes, effet garanti !
De même que danser améliore votre allure, écrire vous rend sensible, vous élève au dessus des banalités, vous rend inoubliable. Vous devez donc devenir écrivain et poète.
3. La chanson
Comment avoir une belle voix ? Poser votre timbre de voix est important, il faudra donc prendre des cours de chant. Le chant vient du ventre, il sort des tripes et fascine les femmes au plus haut point. Les ténors peuvent provoquer de véritables crises d’hystérie. Il y a dans le chant une énergie primitive qui, domestiquée, contenue, maîtrisée, le rend fascinant.
Et si vous chantez, votre voix va se transformer, se poser. Un homme avec une voix médiocre peut vite devenir un orateur intéressant. Les progrès sont bien plus rapides qu’on ne le croit. Il ne s’agit pas de devenir un vrai chanteur mais de développer des capacités ignorées. Un peu d’exercice débloque souvent des qualités incroyables. Essayez et devenez chanteur !
4. La musique
Il va de soi que la musique en général, et plus spécialement jouer d’un instrument de musique, seul ou en groupe, apporte des avantages équivalents. Sens du rythme, finesse d’esprit, écoute, expression, émotion, et finalement fascination.
Certains instruments sont plus riches, plus complexes (le piano, le violon), d’autres plus faciles et amusants. Votre plaisir passe avant tout. Les musiques dansantes, le jazz, sont particulièrement entraînantes. Apprenez à jouer d’un instrument !
5. Le théâtre
S’exprimer avec une belle voix, de jolis mots, c’est bien mais le faire avec le bon ton et la bonne mesure, c’est encore mieux. Réveillez l’acteur qui sommeille en vous !
Nous avons souligné l’importance de l’émotion, combien votre regard, votre attitude ne pouvaient être juste que si vous étiez dans un rôle défini. Le monde est bien plus amusant si vous le vivez comme une pièce de théâtre et la vie comme une comédie.
Un grand séducteur se connaît, s’observe, joue. Tout est calculé, la passion est là mais maîtrisée.
L’art du comédien est de trouver en soi les émotions, les traduire, les rendre intéressantes, agréables à regarder ou touchantes. Un acteur cultive ses émotions; les façonne. Vous allez donc devenir acteur !
6. La peinture
Comment apprécier le corps des femmes sans savoir le dessiner, comment voir vraiment sans être peintre ?
L’art du peintre c’est d’abord de regarder, intensément, de chercher les courbes, les formes nouvelles, fortes, émouvantes. C’est l’art de décrire concrètement la couleur d’une peau, la douceur d’un visage, l’éclat d’un regard, d’un sourire. Voir s’apprend. En voulant reproduire, mettre en valeur, donner du sens à ce qu’il a vu, le peintre observe vraiment.
C’est cette distance que l’apprentissage de la peinture vous donnera et qui vous permettra d’admirer d’un œil toujours plus neuf, toujours plus sensible la beauté de votre partenaire. Donc vous allez devenir peintre !
CONSEIL
Parler, chanter, jouer, danser, peindre... sont des activités qui permettent à votre esprit de s’affiner, de s’embellir, à votre capacité d’expression de s’améliorer très vite, à votre capacité d’utiliser vos sens de s’accroître. Quelque soit la démarche artistique que vous entreprendrez, vous porterez un regard bien différent sur le monde et vos amours.
Vous verrez ce que vous n’aviez jamais remarqué, vous deviendrez délicat mais fort, sensible mais émouvant, amoureux et aimé.
Étape 7 : Faire l’amour comme aucun autre
La première chose que vous devez comprendre c’est que les femmes n’ont pas de problème, que c’est la société qui pose des jalons.
Pendant des générations, les femmes ont été réduites à la reproduction et le plaisir leur était défendu. Les esprits ont changé.
En conséquence, la deuxième chose importante est que les femmes n’ont pas de peine à obtenir un orgasme parce qu’elles savent parfaitement (et ont toujours su) l’obtenir en se stimulant.
L’opinion - souvent masculine - voulait que le seul orgasme digne de ce nom soit vaginal et dû à la pénétration et interdisait une stimulation clitoridienne, surtout pendant l’acte sexuel avec le partenaire. Longtemps les femmes ont été mal considérées si elles avaient besoin d’une stimulation clitoridienne pour leur plaisir. Devenir une femme adulte signifiait devenir capable d’avoir du plaisir seulement par la pénétration, le coït.
Il ne s’agit pas de dire non plus que la stimulation clitoridienne prévaut par rapport au reste, mais elle doit être reconnue comme un élément essentiel à l’orgasme.
La conception classique de la sexualité, la pénétration suivie d’une éjaculation, pénalisait et pénalise toujours les femmes parce que, si l’homme était bien stimulé (puisque son organe le plus sensible est stimulé par l’acte sexuel), les femmes n’étaient pas excitées puisque, pour elles, la stimulation doit se produire différemment. On jugeait déplacé qu’une femme ait recours à sa propre stimulation en présence de son partenaire, comme si l’homme ne suffisait pas.
La troisième idée à retenir est donc simplement que, pour la majorité des femmes, le coït en lui-même ne conduit pas forcément à l’orgasme et ne suffit pas à initier le plaisir chez elles.
La conséquence de toutes ces prémisses est la réhabilitation complète de la masturbation. L’idée archaïque que toute sexualité assouvie dans un autre but que la procréation est égocentrique et narcissique, est périmée, enterrée, abandonnée.
Se masturber, pour un homme comme pour une femme, est un droit qui appartient à chacun, un moyen de s’exprimer et de se témoigner soi-même de l’amour. C’est une saine relation à son corps, ce n’est pas être égoïste, ni immature. Il s’agit d’ une activité normale qui devrait logiquement avoir sa place dans la vie de toutes les femmes.
L’apprentissage du plaisir des femmes passe par la découverte ou redécouverte de la masturbation et surtout par l’acceptation par son compagnon, de cette stimulation complémentaire et primordiale.
En tant qu’homme, vous êtes stimulé, excité par le contact ou les caresses directes sur votre pénis. Vous devez aussi la stimuler par des caresses sur son clitoris (ou la zone attenante) ou la laisser se stimuler elle-même. Cette attitude permet de partir sur un pied d’égalité.
Vous avez besoin d’avoir confiance en elle pour vous abandonner à la jouissance. Mais elle aussi a besoin de preuves de tendresse, d’affection, de marques d’attention.
Elle a totalement besoin de confiance, de partage, d’être informée de vos désirs. Si elle a confiance en vous, elle pourra se laisser aller et son orgasme sera réel et profond. Nous parlons de complicité sensuelle et sexuelle.
Prenez du temps ensemble, réservez ce temps, soyez disponibles tous les deux. Parlez de ce que vous allez faire et ensuite de ce que vous avez fait. Exprimez vous ! Soyez attentif à l’autre, écoutez-le. Interrogez-vous sur vos sensations.
CONSEIL
Un bon amant sait que son érection n’est pas la seule cause de l’orgasme féminin. Dans un rapport équilibré et d’une certaine durée, il est parfaitement normal d’alterner phases d’excitation et de “répit”. C’est l’ensemble des caresses, des baisers, des contacts des deux corps et des deux sexes qui provoquent la jouissance. Et c’est surtout la confiance et la profondeur des relations qui permettent, à l’un comme à l’autre, de vivre vraiment le plaisir.
Ce qu’il faut retenir de cette méthode.
Rendre une femme amoureuse nécessite aussi une attention particulière de votre part. Son attitude à votre égard, son langage corporel, les mots qu’elle vous adresse et les signes qu’elle vous envoie : tout est significatif chez une femme amoureuse. Apprenez à interpréter ce langage subtil pour savoir si vous êtes l’homme de sa vie.
L’espèce humaine a inventé un langage, la sexualité. D’une fonction reproductrice à la base, elle est devenue un moyen puissant pour rapprocher les hommes et les femmes. Les femmes comprennent instinctivement que l’amour permet de voir la vraie beauté intérieure.
Pour vivre une liaison tendre avec une femme, il faut partir sur des bases romanesques. Faites-vous mutuellement rêver. Invitez-la à dîner, faites-en la reine d’un soir. Sachez que la romance et l’engagement sont les meilleurs aphrodisiaques. Enfin tous ces conseils ne seraient rien sans la sensibilité que dégage un artiste. Chaque action pour séduire requiert un minimum de qualités artistique. La pratique d’un art permet à l’homme de devenir plus sensible.
Un bon amant sait que les femmes n’ont pas de peine à obtenir un orgasme et qu’elles savent parfaitement (et ont toujours su) l’obtenir en se stimulant. Il sait aussi que, pour la majorité des femmes, le coït masculin ne conduit pas à l’orgasme chez elle. Il sait que le plaisir des femmes passe par la découverte ou la redécouverte de la masturbation et surtout par l’acceptation par vous, son partenaire, de cette stimulation complémentaire mais primordiale.
Cet texte a été trouvé sur Internet, signé sous les nom de MATRAX
Je suis malgré tout tombé sur un témoignage intéressant, qui s’il ne dévoile pas de terribles bottes secrètes, rassurera les inquiets et assouplira les rustres. Ce que j’apprécie le plus dans la démarche de son auteur, c’est que la galanterie et la délicatesse sont toujours mises en avant pour aboutir la conquête. Je me permettrais de rajouter aux conseils que vous lirez ci dessous, le mien : soyez sincère, aimez la vraiment et utilisez tout les moyens pour qu’elle le sache et accepte de vous donner aussi son amour.
Messieurs, voici pour vous la méthode d’un dénommé MATRAX pour rendre une femme amoureuse.
Draguer dans le RER, le métro ou le train ainsi que Comment accoster une demoiselle devrait aussi vous intéresser une fois la lecture cet article effectuée.
Présentation de la méthode.
- Lui donner conscience d’être unique
- L’inviter à dîner pour la première fois
- Comprendre ce qui l’excite
- Lui faire vivre la grande aventure de l’amour
- Développer sa sensibilité
- Devenir un artiste accompli
- Faire l’amour comme aucun autre
- Ce qu’il faut retenir de cette méthode
Étape 1 : Lui donner conscience d’être unique .
Nous allons vous donner quelques astuces qui vont vous guider et qui marchent à tous les coups.
1. Il faut lui dire qu’elle est un être unique, irremplaçable, un objet d’amour, et pas seulement de désir et de plaisir. Le but : la rassurer sur la pérennité de votre amour. Expliquons les attentes d’une femme. Elle préfère une relation durable, alors que les hommes vivent plus au jour le jour. Ça peut toujours lui faire plaisir que vous lui disiez qu’elle est belle, que vous la désirez, mais elle restera inquiète à l’idée que ce désir peut disparaître dès qu’il aura été consumé. Si vous lui déclamez votre amour, elle sera beaucoup plus certaine de vous garder durablement.
Vous nous direz, aujourd’hui les louanges, ça ne marche plus. Ce n’est pas vrai, il faut savoir se montrer sensible et délicat. Les femmes modernes vivent souvent un quotidien qui ne leur plaît pas. Les photos de mode leur imposent des critères auxquels elles ne pensent pas correspondre, elles se sentent dévalorisées par rapport à l’image que donnent les business-women, etc... Dites-leur qu’elles sont à la hauteur et précisément au niveau de leurs doutes.
2. Pour vivre une liaison tendre avec une femme, il faut partir sur de bonnes bases, c’est-à-dire des bases romanesques. Faites-vous mutuellement rêver. L’essentiel est de créer et de faire perdurer une atmosphère incomparable, que l’on ne trouve pas ailleurs, une complicité sensuelle.
Créez un lien entre vous, tissez une trame faite d’humour, de désir, de tendresse, qui vous permettra de construire solidement votre relation sans négliger l’imprévu et le romantisme. Une liaison réussie, qui dure, c’est l’extraordinaire et le rêve transfigurant le banal et le quotidien.
Les femmes romanesques rêvent de l’aventurier, pas d’une aventure. Donnez le sentiment que vous êtes le bon, racontez ou inventez des épisodes les plus romanesques de votre vie, elle n’aiment que ce qu’elles admirent. Bannissez le boulot et le quotidien de vos discussions !
Intéressez-vous d’abord à elle et donnez l’impression qu’en sa présence, rien au monde ne peut venir vous troubler. Elle aime que vous la fassiez parler d’elle, de son enfance, de ses projets. Qu’elle devienne, le temps d’une soirée, d’un rendez-vous, le centre du monde.
3. Soyez charnel. Elles adorent les garçons qui s’intéressent ouvertement à elles, qui montrent clairement leurs désirs, qui ne trichent pas, ne mentent pas, ni avec leurs envies, ni avec elles. Lorsque vous lui dites sans détour “tu me plais”, non seulement vous semblez honnête mais elle est surtout heureuse de vous l’entendre dire.
Derrière son masque de femme sûre d’elle, il y a souvent une petite fille qui cherche un compagnon pour la vie. Le “coeur à prendre” attend qu’on le prenne. Prendre des risques et donner sont les deux principes d’une idylle réussie et s’appliquent aussi dans le domaine de la sexualité.
L’homme doit lui faire connaître le plaisir et bouleverser ses sens. Pas de sexualité réussie sans parfum d’aventure, sans cette tentation d’aller au-delà des limites convenues. Branchez-vous sur son imaginaire sexuel à elle et osez, sortez du banal et du quotidien. Imaginez des situations nouvelles, des moments de passion inédits, sans retenue.
CONSEIL
Si elle est belle, parlez-lui de son intelligence, si elle est plutôt cérébrale, parlez-lui de son corps. Faites taire ses doutes quand c’est justifié, mais ne soyez pas hypocrite.
Par exemple si c’est une fille intelligente mais plutôt ronde d’allure, n’allez pas la complimenter sur sa ligne, ça ne passera pas, mais plus sur la beauté de ses yeux, de ses épaules, de ce détail que vous, vous avez remarqué alors que les autres se sont arrêtés à la silhouette.
Étape 2 : L’inviter à dîner pour la première fois.
Un grand moment décisif est le premier dîner en tête-à-tête, pas forcément dans un cadre très romantique, avec chandelles et violon, mais intime. C’est une sorte de rituel au début d’une relation, comme si le fait de partager un repas le soir scellait une complicité et un désir naissant entre deux personnes qui se connaissent à peine.
Une invitation à dîner est toujours chargée de sens sans doute parce que, dans la plupart des civilisations, plaisir de la chair et plaisir de la nourriture sont très étroitement liés. Et puis vous l’invitez et cela rappelle des temps anciens où le chasseur ramenait du gibier. Ce rituel séculaire est un engramme profondément ancré dans le cerveau, qui touche des affects fondamentaux.
Les hommes qui goûtent aux raffinements d’un repas sont les mêmes qui sont capables d’apprécier les charmes d’une femme délicieuse. Un homme sensible aux mets délicats, aux bons crus, est en général quelqu’un qui aime donner et recevoir du plaisir.
A l’inverse, celui qui engloutit ce qu’il mange, boit comme un trou (pire encore à la bouteille) sans apprécier son assiette est, la plupart du temps, un amant médiocre, incapable de prendre son temps et de partager agréablement une expérience sensuelle.
Mais l’art de la table, c’est aussi le savoir-vivre et les bonnes manières. Les femmes sont très sensibles au décorum et à la galanterie de leur partenaire. Une femme apprend beaucoup sur un homme au premier repas partagé. Elle peut voir sa façon de se tenir à table, appréhender son niveau d’éducation, deviner le milieu auquel il appartient, s’il est courtois et attentif aux autres. Bref, surveillez votre comportement, montrez-vous sous votre meilleur jour tout en restant vous-même.
Pour commencer, choisissez un restaurant qui aura toute chance de lui plaire parce que ce soir c’est elle la reine.
Des conseils fondamentaux pour cette invitation pleine de promesses :
- Demandez-lui par exemple quelle nourriture elle aime pour choisir un restaurant en fonction de ses goûts. Si votre proposition lui plaît, tant mieux, sinon avisez et changez votre fusil d’épaule.
- Vous pouvez aussi vous risquer à la dépayser en lui proposant du jamais vu, une petite table africaine servie par la “mama” (qui vous connaît) par exemple. Évidement si elle n’aime pas du tout, c’est raté ! Évitez la très bonne table ou le restaurant guindé, ce qui compte, c’est que vous soyez à l’aise tous les deux.
- Informez-la aussi du type d’endroit où vous souhaitez l’emmener, chic, branché, rustique, afin qu’elle sache comment s’habiller. Si vous constatez que sa tenue n’est pas adaptée au style de l’établissement auquel vous aviez songé, changez vos plans in extremis. Mettez-la toujours à l’aise.
- Choisissez un endroit adapté à votre budget et à votre style de vie. L’importance d’une rencontre ne se mesure pas à l’argent dépensé pour un dîner. Préférez un endroit que vous connaissez déjà, où vous vous sentez à l’aise.
- Appelez-la pour lui proposer de venir la chercher ou convenez d’un lieu de rendez-vous agréable. Tâchez d’être ponctuel ce jour-là, la ponctualité est l’une des qualités qui rassure une femme et qui inspire confiance.
- Proposez à votre amie de prendre un verre avant d’aller à table et enlevez son manteau. Ne faites aucune réflexion sur les prix, étudiez sereinement, mais sans étaler votre science la carte des vins. Il est de tradition que l’homme commande pour la femme, n’hésitez pas à lui suggérer des spécialités que vous connaissez, mais n’insistez pas.
- Laissez-la se servir en premier et insistez pour qu’elle choisisse le meilleur, attendez qu’elle commence à manger en premier. Surtout, mâchez la bouche fermée et ne parlez pas en mangeant. Cela va de soi, mais il vaut mieux attirer votre attention sur ce genre de détail.
- Tout au long du dîner, sachez lui montrer votre attention par une attitude aimable, des petits gestes élégants. Évitez absolument de lorgner les autres femmes dans la salle et de fumer au cours du repas.
- Demandez l’addition discrètement, soyez généreux sans pour autant faire de l’esbrouffe. Si elle vous propose de partager l’addition dites d’abord que son attitude est plutôt sympathique, insistez en lui assurant que c’était un vrai plaisir pour vous de l’inviter à ce dîner et dites-lui qu’il y aura sûrement une autre occasion pour vous rendre cette politesse !
Étape 3 : Comprendre ce qui l’excite.
Les choses excitantes pour les femmes / Les choses excitantes pour les hommes :
Romance / Pornographie
Engagement / Nudité féminine
Communication / Diversité sexuelle
Intimité / Lingerie fine
Caresses non sexuelles / Disponibilité de la Femme
On se trouve ici dans le plan des instincts primaires. La liste des préférences est un reflet des cerveaux de l’homme et de la femme, modelés par des milliers d’années d’évolution. Les hommes sont plus visuels et veulent du sexe. Les femmes sont plus auditives et sensitives et préfèrent des caresses et de la romance.
Biologiquement, l’homme est prédisposé à trouver le plus de femmes possible en bonne santé et de les aider à concevoir. Le rôle biologique d’une femme est de porter des enfants et de trouver un partenaire qui restera suffisamment longtemps pour les élever.
N’avez-vous pas souvent vu de fort belles femmes avec des hommes parfois quelconques, pas forcément riches, ni puissants ? Mais ils se sont présentés au bon moment, prêts à s’engager avec elles et elles ont préféré la sécurité à l’aventure. C’est tellement courant ! Mais peut-être rêvent-elles encore au Prince Charmant qui viendra les réveiller…
Ce sont ces schémas ancestraux qui dirigent hommes et femmes, bien que nous vivions à une époque différente. C’est pourquoi l’engagement est tellement excitant pour une femme, la romance contenant la promesse de l’homme prêt à contribuer à l’éducation d’éventuels enfants. C’est pourquoi la nudité féminine est tellement excitante pour un homme, les courbes dévoilées contenant une promesse de fécondité et d’enfants bien portants.
CONSEIL
Pour un homme, critiquer une femme qui aimerait discuter et aller au restaurant avec lui équivaut aux critiques d’une femme qui ne supporte pas le besoin de stimulation visuelle de l’homme.
Soyez indulgent avec vos instincts primitifs et n’oubliez jamais que ces réflexes ont permit la survie de l’espèce depuis des millénaires, dans un contexte hostile.
Étape 4 : Lui faire vivre la grande aventure de l’amour
L’amour, c’est la fusion de deux personnes différentes. Nous voulons être aimés en tant qu’êtres uniques, extraordinaires, irremplaçables, car dans la vie courante, nous sommes pas si exceptionnels que ça. Au quotidien, le désir existe, mais il nous échappe, car nous avons toujours des tas d’obligations. Jamais nous ne nous sentons entièrement compris, disponible, on se sent frustré, jamais nos désirs ne coïncident complètement avec ceux des autres.
C’est en cela que l’amour est une révolution. Maintenant vous en connaissez les attraits - nombreux - mais aussi les risques à encourir.
A présent, vous savez exactement ce qu’elle attend de vous : que vous la sortiez du quotidien, mais en toute sécurité. Éternel paradoxe féminin !
Dans le transport amoureux on est capable de voir au delà des apparences, ce que l’autre pourrait être, les trésors qu’il recèle en lui. C’est une sorte d’illumination étrangement similaires aux expériences mystiques.
Tout peut commencer par une relation érotique, une aventure. Mais si vous tombez amoureux, un changement profond se produit. Le désir sexuel cède le pas à l’émotion, au frémissement, à l’envie de pleurer, au bouleversement. Nous regardons l’autre, devenu plus intime et plus désirable, comme si nous ne l’avions jamais vu. Son corps, ses mains et ses yeux nous parlent d’un infini inconnu.
C’est ainsi que le sentiment se crée dans l’amour physique. Celui-ci n’est pas seulement à la recherche du plaisir, mais de l’amour, d’une transcendance, parce qu’on sait bien qu’il y a une autre vérité au-delà des apparences. C’est la voie que l’on utilise pour s’élever mentalement. Les saints et les mystiques empruntent des chemins plus escarpés, mais cherchent à rester “en haut”. L’amour, lui, redescend souvent quand il est confronté au quotidien. Mais il permet d’ouvrir la porte sur d’autres réalités, d’autres possibilités.
Pourquoi parler de ces états, finalement rarement atteints et plutôt ignorés des hommes ordinaires ?
Nous voulons que vous compreniez ce que les femmes les plus intéressantes, les plus exigeantes attendent vraiment de vous. Plus sensibles que toutes les autres et surtout que les hommes, ces femmes-là sentent confusément que le sentiment amoureux qu’elles recherchent se situe bien au-delà de l’amour physique. Elles veulent que vous les ameniez à cette rencontre des sens où tous les deux, vous expérimenterez une vraie rencontre des âmes.
Avec votre argent, vos biens, vous ne ferez rêver que les femmes faciles. Vous étourdirez celles qui sont un peu plus exigeantes avec de beaux rêves, mais vous séduirez des femmes exceptionnelles si vous leur parlez d’union des âmes.
Si votre compréhension de l’amour est telle que vous attendez cette fusion, vous serez un extra-terrestre en comparaison de presque tous les autres hommes. N’hésitez donc pas à mettre la barre très haut, à partager votre idéal, à vouloir la lune. Elles en voudront toujours plus !
Alors êtes-vous amoureux ? Mais ne vous inquiétez pas non plus si vous ne vivez pas toujours aussi intensément vos relations. L’amour peut fort bien démarrer doucement, on ne sait même pas qu’on est amoureux, c’est presque une amitié avec des “peut-être”. Et puis, d’un coup, l’autre devient indispensable, le centre de votre vie.
Ce qui est sûr, selon Alberoni, le grand spécialiste de l’état amoureux, “c’est qu’il n’y a pas amour s’il n’y a pas libération de nos aspirations les plus profondes, révélation de nos vrais désirs, expérience de ce que serait vivre vraiment, unicité de l’être aimé (on ne peut aimer deux personnes à la fois) qui devient essentiel, authenticité, vérité, liberté, dépassement, fusion et projet”.
CONSEIL
On ne tombe amoureux que si l’on a vraiment envie de changer sa vie, si on est disponible, et si on en a l’énergie (plus difficile si l’on est dépressif). Il ne peut y avoir une révolution dans votre vie que si vous avez tiré un trait sur le passé.
Ce n’est pas parce qu’on est amoureux (surtout après un coup de foudre) que l’autre est le partenaire idéal pour une vie conjugale rêvée. L’amour n’a pas grand chose à voir avec la routine du quotidien, au contraire il s’y brûle. Être amoureux ne veut donc pas dire que la vie commune serait géniale avec cette personne, mais qu’elle pourrait vous faire évoluer et vous fait avancer.
Étape 5 : Développer sa sensibilité
Nous allons parler, pour parfaire vos qualités, du dernier des secrets et sans doute du plus grand. Vous avez vu que, sans cesse, nous avons souligné que telle attitude était possible mais aussi son contraire, qu’il fallait être tantôt passionné, tantôt retenu, qu’il fallait oser mais aussi attendre, etc... Nous avons aussi souligné l’importance de savoir se mouvoir, parler, regarder, toucher, caresser... Comment apprendre cette sensibilité, comment savoir - si on ne le sait pas encore - ce qu’il faut faire à tel moment ?
Le plus grand des secrets et la voie assurée pour devenir ce que vous souhaitez, un homme séduisant, est de devenir un artiste !
Pas forcément un professionnel, ni un artiste célèbre, mais un homme qui pratique au moins une ou plusieurs activités artistiques. La plupart des séducteurs connus étaient des artistes : Casanova jouait du violon, était auteur de théâtre, d’une grande érudition, Châteaubriand, écrivain, Claude François et Serge Gainsbourg, chanteur et compositeur, Mirabeau qui s’est illustré dans le dessin, la musique et les sciences, le Conte de St Germain, violoniste de renom, le chevalier de St-Georges dansait admirablement, Stendhal composait, tous ont excellé dans une ou plusieurs disciplines artistiques.
Ce n’est pas une voie rapide, mais c’est un chemin sûr pour devenir au fil du temps toujours plus séduisant. Vous verrez dans 20 ou 30 ans (cela vous paraît loin, mais ça viendra plus vite que vous ne l’imaginez). L’alternative consiste soit à séduire avec la fougue et la beauté de sa jeunesse puis devenir un vieux aigri - ou un vieux qui joue au jeune ce qui est pire encore -, soit de cultiver sur le long terme son pouvoir de séduction en mettant en place assez tôt des qualités rares de sensibilité et de finesse qui, elles, ne vieillissent pas, au contraire. Admirez Picasso à 90 ans et comparez-le aux séducteurs de 20 ans ! Passons en revue les arts qui peuvent transformer votre pouvoir de séduction.
Étape 6 : Devenir un artiste accompli
1. La danse
Nous avons souligné combien l’aisance dans le mouvement était une qualité décisive. Comment acquérir cette aisance ? Soit par des sports développant le corps et l’équilibre, nous avons déjà signalé le yoga, le Taï-Chi mais aussi la natation, le basket, l’escrime (la nouvelle méthode de gymnastique “Pilates” semble aussi intéressante)…
Soit par des cours de danse : le tango par exemple, donne une posture d’une grande élégance et la samba donne du rythme. Évidemment l’avantage de la danse est qu’elle entraîne aussi à danser avec une éventuelle partenaire. Un bon cavalier, c’est recherché. Qui danse bien aime bien, qui comprend bien les mouvements du corps de sa partenaire, la comprendra bien au lit. C’est évident.
Il y a d’autres raisons. La sensibilité exercée dans la danse est un peu féminine. L’homme qui apprend à danser dévoile sa part de féminité, il comprend mieux les attentes et les besoins du corps féminin, il les connaît mieux. Et puis il a du rythme, ce qui est sans doute le plus important dans l’amour, un rythme énergique, pas brutal, ni tendu. Danser au lit, on comprend bien que c’est un régal. Donc vous devez savoir au moins un peu danser.
2. L’écriture
Grâce à Internet, les échanges épistolaires sont revalorisés, il (re)devient intéressant de savoir manier la plume.
D’abord parce qu’écrire permet de s’entraîner à jouer avec les mots. Si vous n’êtes pas un grand orateur, écrire va vous délier les pensées. Vous pouvez oser en prenant votre temps, des phrases plus élaborées et risquer des tournures plus affolantes. “Je me jette à vos pieds” est plus dur à dire qu’à écrire.
Et puis écrire c’est aussi lire, se former à la poésie. Les femmes adorent la poésie. Envoyez-leur des petits poèmes, effet garanti !
De même que danser améliore votre allure, écrire vous rend sensible, vous élève au dessus des banalités, vous rend inoubliable. Vous devez donc devenir écrivain et poète.
3. La chanson
Comment avoir une belle voix ? Poser votre timbre de voix est important, il faudra donc prendre des cours de chant. Le chant vient du ventre, il sort des tripes et fascine les femmes au plus haut point. Les ténors peuvent provoquer de véritables crises d’hystérie. Il y a dans le chant une énergie primitive qui, domestiquée, contenue, maîtrisée, le rend fascinant.
Et si vous chantez, votre voix va se transformer, se poser. Un homme avec une voix médiocre peut vite devenir un orateur intéressant. Les progrès sont bien plus rapides qu’on ne le croit. Il ne s’agit pas de devenir un vrai chanteur mais de développer des capacités ignorées. Un peu d’exercice débloque souvent des qualités incroyables. Essayez et devenez chanteur !
4. La musique
Il va de soi que la musique en général, et plus spécialement jouer d’un instrument de musique, seul ou en groupe, apporte des avantages équivalents. Sens du rythme, finesse d’esprit, écoute, expression, émotion, et finalement fascination.
Certains instruments sont plus riches, plus complexes (le piano, le violon), d’autres plus faciles et amusants. Votre plaisir passe avant tout. Les musiques dansantes, le jazz, sont particulièrement entraînantes. Apprenez à jouer d’un instrument !
5. Le théâtre
S’exprimer avec une belle voix, de jolis mots, c’est bien mais le faire avec le bon ton et la bonne mesure, c’est encore mieux. Réveillez l’acteur qui sommeille en vous !
Nous avons souligné l’importance de l’émotion, combien votre regard, votre attitude ne pouvaient être juste que si vous étiez dans un rôle défini. Le monde est bien plus amusant si vous le vivez comme une pièce de théâtre et la vie comme une comédie.
Un grand séducteur se connaît, s’observe, joue. Tout est calculé, la passion est là mais maîtrisée.
L’art du comédien est de trouver en soi les émotions, les traduire, les rendre intéressantes, agréables à regarder ou touchantes. Un acteur cultive ses émotions; les façonne. Vous allez donc devenir acteur !
6. La peinture
Comment apprécier le corps des femmes sans savoir le dessiner, comment voir vraiment sans être peintre ?
L’art du peintre c’est d’abord de regarder, intensément, de chercher les courbes, les formes nouvelles, fortes, émouvantes. C’est l’art de décrire concrètement la couleur d’une peau, la douceur d’un visage, l’éclat d’un regard, d’un sourire. Voir s’apprend. En voulant reproduire, mettre en valeur, donner du sens à ce qu’il a vu, le peintre observe vraiment.
C’est cette distance que l’apprentissage de la peinture vous donnera et qui vous permettra d’admirer d’un œil toujours plus neuf, toujours plus sensible la beauté de votre partenaire. Donc vous allez devenir peintre !
CONSEIL
Parler, chanter, jouer, danser, peindre... sont des activités qui permettent à votre esprit de s’affiner, de s’embellir, à votre capacité d’expression de s’améliorer très vite, à votre capacité d’utiliser vos sens de s’accroître. Quelque soit la démarche artistique que vous entreprendrez, vous porterez un regard bien différent sur le monde et vos amours.
Vous verrez ce que vous n’aviez jamais remarqué, vous deviendrez délicat mais fort, sensible mais émouvant, amoureux et aimé.
Étape 7 : Faire l’amour comme aucun autre
La première chose que vous devez comprendre c’est que les femmes n’ont pas de problème, que c’est la société qui pose des jalons.
Pendant des générations, les femmes ont été réduites à la reproduction et le plaisir leur était défendu. Les esprits ont changé.
En conséquence, la deuxième chose importante est que les femmes n’ont pas de peine à obtenir un orgasme parce qu’elles savent parfaitement (et ont toujours su) l’obtenir en se stimulant.
L’opinion - souvent masculine - voulait que le seul orgasme digne de ce nom soit vaginal et dû à la pénétration et interdisait une stimulation clitoridienne, surtout pendant l’acte sexuel avec le partenaire. Longtemps les femmes ont été mal considérées si elles avaient besoin d’une stimulation clitoridienne pour leur plaisir. Devenir une femme adulte signifiait devenir capable d’avoir du plaisir seulement par la pénétration, le coït.
Il ne s’agit pas de dire non plus que la stimulation clitoridienne prévaut par rapport au reste, mais elle doit être reconnue comme un élément essentiel à l’orgasme.
La conception classique de la sexualité, la pénétration suivie d’une éjaculation, pénalisait et pénalise toujours les femmes parce que, si l’homme était bien stimulé (puisque son organe le plus sensible est stimulé par l’acte sexuel), les femmes n’étaient pas excitées puisque, pour elles, la stimulation doit se produire différemment. On jugeait déplacé qu’une femme ait recours à sa propre stimulation en présence de son partenaire, comme si l’homme ne suffisait pas.
La troisième idée à retenir est donc simplement que, pour la majorité des femmes, le coït en lui-même ne conduit pas forcément à l’orgasme et ne suffit pas à initier le plaisir chez elles.
La conséquence de toutes ces prémisses est la réhabilitation complète de la masturbation. L’idée archaïque que toute sexualité assouvie dans un autre but que la procréation est égocentrique et narcissique, est périmée, enterrée, abandonnée.
Se masturber, pour un homme comme pour une femme, est un droit qui appartient à chacun, un moyen de s’exprimer et de se témoigner soi-même de l’amour. C’est une saine relation à son corps, ce n’est pas être égoïste, ni immature. Il s’agit d’ une activité normale qui devrait logiquement avoir sa place dans la vie de toutes les femmes.
L’apprentissage du plaisir des femmes passe par la découverte ou redécouverte de la masturbation et surtout par l’acceptation par son compagnon, de cette stimulation complémentaire et primordiale.
En tant qu’homme, vous êtes stimulé, excité par le contact ou les caresses directes sur votre pénis. Vous devez aussi la stimuler par des caresses sur son clitoris (ou la zone attenante) ou la laisser se stimuler elle-même. Cette attitude permet de partir sur un pied d’égalité.
Vous avez besoin d’avoir confiance en elle pour vous abandonner à la jouissance. Mais elle aussi a besoin de preuves de tendresse, d’affection, de marques d’attention.
Elle a totalement besoin de confiance, de partage, d’être informée de vos désirs. Si elle a confiance en vous, elle pourra se laisser aller et son orgasme sera réel et profond. Nous parlons de complicité sensuelle et sexuelle.
Prenez du temps ensemble, réservez ce temps, soyez disponibles tous les deux. Parlez de ce que vous allez faire et ensuite de ce que vous avez fait. Exprimez vous ! Soyez attentif à l’autre, écoutez-le. Interrogez-vous sur vos sensations.
CONSEIL
Un bon amant sait que son érection n’est pas la seule cause de l’orgasme féminin. Dans un rapport équilibré et d’une certaine durée, il est parfaitement normal d’alterner phases d’excitation et de “répit”. C’est l’ensemble des caresses, des baisers, des contacts des deux corps et des deux sexes qui provoquent la jouissance. Et c’est surtout la confiance et la profondeur des relations qui permettent, à l’un comme à l’autre, de vivre vraiment le plaisir.
Ce qu’il faut retenir de cette méthode.
Rendre une femme amoureuse nécessite aussi une attention particulière de votre part. Son attitude à votre égard, son langage corporel, les mots qu’elle vous adresse et les signes qu’elle vous envoie : tout est significatif chez une femme amoureuse. Apprenez à interpréter ce langage subtil pour savoir si vous êtes l’homme de sa vie.
L’espèce humaine a inventé un langage, la sexualité. D’une fonction reproductrice à la base, elle est devenue un moyen puissant pour rapprocher les hommes et les femmes. Les femmes comprennent instinctivement que l’amour permet de voir la vraie beauté intérieure.
Pour vivre une liaison tendre avec une femme, il faut partir sur des bases romanesques. Faites-vous mutuellement rêver. Invitez-la à dîner, faites-en la reine d’un soir. Sachez que la romance et l’engagement sont les meilleurs aphrodisiaques. Enfin tous ces conseils ne seraient rien sans la sensibilité que dégage un artiste. Chaque action pour séduire requiert un minimum de qualités artistique. La pratique d’un art permet à l’homme de devenir plus sensible.
Un bon amant sait que les femmes n’ont pas de peine à obtenir un orgasme et qu’elles savent parfaitement (et ont toujours su) l’obtenir en se stimulant. Il sait aussi que, pour la majorité des femmes, le coït masculin ne conduit pas à l’orgasme chez elle. Il sait que le plaisir des femmes passe par la découverte ou la redécouverte de la masturbation et surtout par l’acceptation par vous, son partenaire, de cette stimulation complémentaire mais primordiale.
Cet texte a été trouvé sur Internet, signé sous les nom de MATRAX
Dim 10 Oct 2004, 12:41 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Ecrire sur suffisait
Au commencement, De l'immeuble d'en face, Le dernier des bisounours, Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i, Au bord de l'eau, Dernières précisions, Il suffit de pas grand chose ( 5 )..., Il suffit de pas grand chose ( 4 )..., Re: un simple coucou, Coucou Claude, L'amour, c'est quoi ? grande interrogation ..., Zazou et Lui, Aimer à en mourir, S'il suffisait d'aimer, Rendre une femme amoureuse,Il y a 19 textes utilisant le mot suffisait. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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