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L'amour est-il plus fort que tout ?
Eh bien voila une seconde histoire d’amour entre Zane et Elena, j’espère que cela vous plaira ^^ bonne lecture :
Chapitre 1.
Point de vue Zane.
Si seulement, la vie pouvait être simple … Si elle pouvait être belle alors peut être que j’arriverais à lui donner une seconde chance. Une seconde chance à croire en l’amour … Ce sentiment si fort mais qui peut tout briser en une fraction de seconde. Encore cette nuit, j’ai fait nuit blanche, accoudé contre mon balcon à admirer les rayons du soleil qui se lève.
Je souffle, et entre dans ma chambre, pour aller me rafraîchir. Je passe à côté de mon lit et remarque un cadre avec à l’intérieur la photo de la femme que j’aime et désir plus que tout. Je passe mon doigt sur la vitre et laisse mon esprit vagabonder. Un autre soupir mais cette fois heureux s’échappe de ma bouche, si seulement j’avais assez de courage pour lui avouer ce que je ressent.
Elena … Toi cette si jolie brune qui a su recoller chaque morceau de mon cœur, toi qui a su trouver les bon mot pour m’apaiser et me faire sourire. Je souris et me dirige vers ma salle de bain. J’entre à l’intérieur de cette dernière, et ferme la porte. Je commence à me dénuder laissant mes vêtements tomber au sol, j’ouvre la porte de la cabine et tout en allumant l’eau, laisse mon corps se détendre sous le liquide chaud.
Je suis Zane Kazama j’ai dix neuf ans et suis d’origine italienne, née un vingt deux janvier en Italie, et je réside à Naples. Je suis de grande et fine taille, mes cheveux qui sont de couleur sable, un blond vénicien son court formant un dégrader sur le côté gauche. Mon regard est chocolaté et tiré quelques peut en arrière, ma peau clair possède des petites faussettes. Ma bouche rose et fine.
Mes yeux se ferment, et je repensent à tout se qui c’est passé depuis ma séparation avec Giulia du a une forte dispute. En y repensant, c’est vrai que je me suis nettement rapproché d’Elena, passant presque tout mon temps avec elle, mais aussi Dolce et Shiwa qui sont mes deux meilleures amies, je peux toujours compter sur elles en cas de besoin, et même si Giulia et moi sommes devenue de simple amies il est vrai que je me confie beaucoup plus à mes deux pimprenelles.
Une fois que l’eau m’a débarassé de tout liquide coloré, j’éteins, et m’enroule rapidement dans une serviette sentant le froid me gagner. Je fais coulisser la porte vers la gauche et sort de la cabine pour ainsi me sécher. Je me place devant le miroir, et m’observe de longues minutes en me séchant. Un mince sourire se dessine sur mes lèvres mouillées en repenssant à ce que je suis … A cet heure là si je n’aurais jamais eu le courage d’affronter cette personnalité je serait sûrement en train de pleurer sur mon triste sort.
Se que je suis aujourd’hui j’en suis fière, même si je cache des défauts, je me rattrape toujours à sa, cette personnalité qui fait de moi la femme forte que je suis devenue au file es années. Et maintenant que j’étais prête à laisser une seconde chance à la vie parce ce que j’avais réussi à oublier tout ce qui se rapporte à Giulia et moi, j’étais prête à avancer et dont à être de nouveau heureuse.
Je me dirige vers ma chambre, et mène mon corps jusqu’à mon armoire afin de m’habiller. Aujourd’hui est un jour spécial, pour deux raisons. Ce soir il y a le bal de l’automne un événement important pour nous lycéens qui n’avons ce mot à la bouche depuis plus d’un mois. Et il y a aussi un anniversaire, celui d’Elena qui allait sur ses dix neuf ans, et j’avais pour ambition de lui délivrer mon cœur de me mettre à nue devant elle. Je sourit rien que le fait d’y penser, après quelques minutes de réfléxion, je sort de l’armoir un jean noir, un chemisier de couleur blanc, et une veste en cuir noire.
Je commence donc à m’habiller tout en laisser mon esprit s’évader, j’ajuste le col de ma chemise, et surmonte cette dernière par ma veste en cuire que je prit soin de fermer. Après sa, je réchauffe mon cou par un keffier noir et roug en damiern et je reviens par la suite dans la salle de bain. Je me place en face de la vitrerie, et comme je laisse souvent mon maquillage traîner sur le bord de l’évier, je me munie d’un laïner noir et commence à me faire le tour des yeux.
C’est la seule chose que je met, cela suffit, quand je me maquille c’est pour des occasions spécial. Avec l’aide de mon peigne je remet en place le petit dégrader sur la gauche, me parfum légèrement avec une eau de toilette, et enfin sort de la salle d’eau. Je prend place sur mon lit, et commence à enfiller mes chaussette, pour après mettre une paire de baskette noire. Je me lève, prend mon sac de cour, mon téléphone, et sort de ma chambre.
Je descend les escaliers, et alla dans la cuisine pour me préparer un café et une tartine de confiture. Je vis seul dans un petit studio, que mes parents me paye tout les mois car je leur est ramener de bon bulletin et que j’avais fait comme demande celle de vivre seule pour ainsi gagner l’autonomie. Je commence à beurrer deux tartines, et saisi mon portable.
Tiens un message, je me demande qui cela peut être « lili » je sourit, lili et le surnom que je donne à Elena, et sa c’est dû à un petit jeu entre nous.
« purée il caille dehors, j’espère que ta prévue de mettre des gant et un bonnet mdr, tu me manques »
le sourire que j’aborde s’agrandit, je fut amusé et attendris à la fois. Je me dirige vers la cafetière et tout en me versant du café dans une tasse, je décide de lui répondre.
« ne t’inquiète pas pour moi va … Je ne suis pas frileuse. Tu me manques aussi <3 »
je relie le message, et sourit de nouveau. Et je lui envoya, je m’installe sur une chaise et commence à déjeuner tranquilement, tout en pensant à l’évènement de ce soir à l’anniversaire, et au courage que je vais devoir prendre pour lui avouer ce que je ressent.
Ce n’est pas tout les jours que je fait ce genre de chose, et il est vrai, que si nos sentiments sont réciproque j’aimerais pouvoir m’engager dans une relation sincère et durable cette fois. J’emmène la tasse à ma bouche, et commence à boire le liquide caféïner.
Quand j’eu terminé, je met la tasse dans le lave vaisselle, et commence à tout ranger pour ainsi partir direction le lycée. Mon téléphone vibre, je me tourne et le prend pour ainsi consulter l’appareil. C’est Elena qui viens de me répondre par un smiley et un cœur. Le mien se met à battre fugacement contre ma poitrine, si seulement nos sentiments pouvaient être réciproque, je l’espérer à chaque fois depuis que je me suis décider à lui dire.
Je prend mon sac, prend les clés de chez moi, et enfin partie tout en prenant soin de fermer à clés. Je descend quatre étages, et me dirige vers l’extérieur. Ouh … C’est vrai qu’il fait frais, je met mon keffier bien en place, et commence à marcher le long du trottoir.
Ah … Elena, si tu savait à quel point je t’aime, à quel point je te désir. Depuis notre rencontre il y a un an, c’est vrai que l’ont c’est beaucoup attacher l’une à l’autre, partageant nos rires, nos délires, et même nos chagrins. Et c’est quand je pense à tout ses petit détails qui me font sourire que je suis plus forte pour affronter la vie car je sais que j’ai mes amis et la femme que j’aime à mes côtés.
Après quelques minutes de marche, j’arrive enfin devant l’entrée du lycée, et pénètre à l’intérieur de ce dernier. Je voie Shiwa et Dolce me faire signe, alors que Giulia et Elena se tourne dans ma direction.
Shiwa – salut jolie blonde, ça rool ?
Moi – tout baigne, et vous ?
Je leur fait la bise à chacun, et arrivé prêt d’Elena qui me sourit avec douceur, je vint collé mes lèvres à sa joue.
Dolce – oh … C’est trop mignon.
Shiwa – ah les filles …
Giulia – c’est beau l’amour !
Je me décolle doucement, et plonge mon regard caramélisé dans ses prunelle noisette. Elle me sourit, et je lui rendit avec un petit clin d’oeil.
Moi – bon anniversaire la miss !
Elena – merci Zane.
Ont se sourient, et pendant quelques minutes nos yeux se caressent. J’aime me retrouver comme sa avec elle qu’il y est du monde ou pas, mon cœur bat si vite, je n’arrive pas à métriser les pulsions qu’il difuse dans mon corps. Sa main s’approche de mon visage, et ses doigts écartent quelques mèches de mes yeux.
Dolce – ah … Sa fait rêver.
Giulia – c’est bien vrai !
Nos lèvres s’étirent de nouveau, et ses lèvres se sont posées sur ma joue. Mes yeux se ferment, et je me laisse envahir par ce flot de tendresse qu’elle m’envoie. Ses mains se posent sur mes bras, et je sourit. Qu’es ce que je pouvais me sentir bien, là tout prêt d’elle.
Moi * si tu savais comme je t’aime. *
doucement je m’approche et laisse mes bras s’allonger sur ses épaules, alors que les siens viennent réchauffer mon dos. Ah, Elena je me sens si bien la avec toi. Ma douce et jolie brune, ses lèvres quittent ma joue, et ses yeux viennent effleurer les miens avec douceur.
Nos fronts se sont rapprochés, et se caressent, nous étions si prêt l’une de l’autre, et l’envie de l’embrasser me tenaille, je lui caresse la joue et lui offre un doux sourire.
Elena – Zane …
Moi – chuut …
Je lui caresse doucement ses lèvres de mon pouce, et vint lui déposer un léger baiser sur son nez.
Shiwa – je croix que je vais finir par exploser si vous continuer toutes les deux, c’est trop …
Dolce/Giulia – mignon !!!!
je me suis mise doucement à rire à l’entente de ses mots, je sent ses bras se serrer, et je me laisse emporter par cette étreinte qui m’est agréable. Malheuresement nous fûmes bien vite redescendut sur terre, à cause de la sonnerie que je maudit à cet instant.
Ont se détachent l’une de l’autre, et avant de partir en cour, je lui prend tendrement son menton et lui murmure :
Moi – on se retrouvent tout à l’heure !
Elena – compte sur moi.
Ont s’échangent un sourire, je lui embrasse la joue, et partie direction ma salle de cour avec Dolce Shiwa et Giulia.
Dolce – dis donc je ne te savait pas si entreprenante !
Shiwa – ah sa … Tu ma coupé le souffle.
Moi – ne dis pas n’importe quoi voyons !
Giulia – mais si, elle a raison.
Moi – oh non pas toi Giulia, ne t’y met pas non plus !
Dolce – mort de rire.
Je vous jures, elles sont pas possible. Ont montent plusieurs étages, et arriver au cinquième, je commence à longer le couloir tout en discutant avec les filles.
Dolce – dis moi Zane je peut te poser une question ?
Moi – oui vas y !
Dolce – ce que tu ressent pour Elena, c’est bien plus fort que de l’amitié pas vrai ?
Je sourit, et repense à ce moment que nous avions partagé elle et moi tout à l’heure, un moment qui a bien réchauffé mon cœur, et qui ma permise d’être heureuse durant quelques instant.
Moi – oui … Et pour être honnette, je compte lui faire ma déclaration ce soir !
Shiwa – c’est pas vrai ? Oh lala faut pas louper sa, Zane qui laisse libre court à ses sentiments, va falloir prévoir le matosse.
Moi – dis pas n’importe quoi Shishi !
Giulia – j’espère que tu y arrivera, et que cela te rende heureuse.
Moi – ne t’inquiète pas pour sa … Je compte bien la garder avec moi !
Je lui sourit, et lui tapotte le nez, même si nous ne sommes plus ensemble, cela ne m’empêche pas d’avoir un petit geste tendre à son égard, car il est vrai et sa je ne peux pas l’oublier que je les fortement aimé.
Dolce – en tout cas, je ne veux pas louper sa !
Shiwa – tu m’étonnes.
Moi – vous êtes bêtes vous deux alors !
Je sourit, et finit par rentrer dans la salle pour aller m’installer à ma table avec Giulia. Le professeur n’étant pas encore là, j’en profite pour regarder mon portable afin de vérifier ce je n’ai pas reçu de messages ou appels.
? - eu Giulia !
Giulia – oui ?
Après avoir répondu au deux messages d’Elena, je met mon téléphone dans ma poche et lève la tête pour aperçevoir Emilie, une jolie blonde aux yeux chocolat. Je suit attentivement la discussion, et pue voir du coin de l’oeil Giulia rougir.
Emilie – je euh … En faite, je me demander si tu … Tu voulais bien être ma cavalière pour ce soir !
Je sourit, et d’ailleurs Giulia aussi, elle se lève, et sous mes yeux attendris, elle pris le menton d’Emilie et lui murmure :
Giulia – avec plaisir Emi, j’en serait ravi.
Emilie – c’est vrai ? Enfin je veux dire …
Giulia – chuut …
Elle lui caresse la joue, et lui a déposer un baiser sur le front. Cela me fait sourire, le fait de savoir que même après notre séparation nous sommes arrivé à refaire notre vie, et sa sans avoir peur du jugement de l’autre. Emilie et repartie s’asseoir, et Giulia a repris place à mes côtés.
Giulia – ah … Emilie !
Moi – Tu as enfin trouvé ta perle rare ?
Giulia – oui, et il est vrai que je l’aime éperdument.
Moi – dans ce cas, je te souhaite bon courage !
Giulia – à toi aussi … Tu sais, c’est une bonne chose je trouve que l’ont est réussi à refaire notre vie avec la séparation !
Moi – je suis bien d’accord avec toi.
Ont se sourit, et enfin le cour pue commencer car le professeur était enfin arrivé. Pendant l’heure de cour, je ne fit que penser à Elena, à son message de tout à l’heure me disant que ce soir elle voulais passer la soirée avec moi. Rien que d’y penser me provoque des frissons de plaisir. Elena, si tu savait à quel point tu hante mon esprit.
Enfin, quand l’heure de la pause sonna, je pose mes lunettes, et suivit Giulia jusqu’à la sortie avec Dolce et Shiwa.
Shiwa – bon alors, et si ont allaient au foyer !
Dolce – ok.
Moi – sa marche !
Giulia – dack.
Ont s’échangent toutes quatre un sourire, et parti direction le foyer. Arrivé dans ce dernier, je remarque Elena qui est assise sur un des fauteuil, je me dirige vers elle suivit de prêt par les filles.
Elena – ah vous êtes là !
Dolce – tes une rapide dit donc sa viens juste de sonner.
Elena – non, je suis là depuis une heure !
Shiwa – comment ça ?
Elena – notre professeur est malade !
Moi – tu t’embête pas quoi ?
Elena – c’est sa.
Moi – toi alors !
Elle me fit un clin d’oeil, et je prit place à ses côtés juste à sa droite. Giulia prend place à mes côté et Shishi juste à la gauche de ma douce.
Dolce – aller, aujourd’hui c’est ma tournée, qui veux quoi ?
Moi – hm aller un coca !
Elena – un chocolat chaud.
Shishi – hm j’hésite entre un orangina et toi mon amour !
Dolce – Shishi !!
Giulia – ah ah ah …
Moi – que c’est mignon !
Elena – vous n’êtes pas ensemble pour rien vous deux !
Dolce – les filles !!!! vous m’êtes pas d’une grande aide la !
Shiwa – aller, c’est bon j’arrête de t’embêter, je prendrait un orangina.
Dolce – enfin et toi Giulia ?
Giulia – un thé suffira merci miss.
Dolce – alors je récapitule, un coca un chocolat chaud un thé et un orangina, ok c’est bon c’est noté.
Et notre petite rousse partie direction le bar. Alors qu’une discussion commence, je sens soudainement un bras se glisser derrière mon dos, et une main se pose sur ma hanche. Je me tourne et voie que c’est Elena, je lui sourit, et passe mon bras gauche derrière son dos, pour doucement lui caresser la hanche. Sa tête c’est lové au creux de mon cou, et mon cœur c’est mit à tanguer plus fort.
Dolce reviens quelques petites minutes après avec nos boissons , qu’elle nous tendis à chacune. Shiwa c’est lové dans ses bras, et Dolce à replier ses bras autour d’elle, je les trouve vraiment mignonne ensemble.
Dolce – au faite, vous compter y aller avec qui au bal ?
Shiwa – moi avec toi !
Elena – sa, ont sens doute bien !
Dolce – tu as trouver quelqu’un Giulia ?
Giulia – oui, j’y vais avec Emilie.
Shiwa – Emile … La blonde ?
Giulia – oui la brune !
Je me met à rire en entendant sa, et continue de serrer mon ange contre moi. Un frisson me parcours lorsque je senti ses lèvres se poser sur mon cou, que c’est agréable, je me laisse faire tout en lui offrant une douce caresse sur sa joue. Sa tête c’est relever, et ses yeux se sont perdu dans les miens. Je caresse doucement sa joue, et caresse son front avec le mien.
Sa main prend la mienne, et alors que ses yeux me défi, sa voix résonne dans l’air, une voix que j’aime entendre.
Elena – et toi ?
Moi – de quoi moi ?
Elena – avec qui vas tu au bal ?
Moi – sa t’intéresse ?
Elle me sourit, et dépose un léger baiser sur ma main se qui me fit rougir. Nos yeux se happent, se caressent, et se dévisagent avec insistance comme si chacun chercher à savoir qui aurait le dessus sur l’autre.
Elena – peut être …
Moi – toi alors … Non je n’est personnes !
Elena – dans ce cas, accepteriez-vous mademoiselle Kazama de m’y accompagner ?
Moi – j’en serait ravie … Ma jolie brune !
Ont se sourient, et pendant de longue minutes nous restons ainsi confortablement enlacé contre l’autre. Je m’approche doucement, et vint lui déposer un doux baiser sur le nez.
Elena – si seulement le temps pouvais s’arrêter !
Moi – pourquoi sa ?
Elena – car je pourrais proffiter pleinement de ces instant magique avec toi.
Je lui sourit, et vint doucement emêler mes doigts avec les siens. Se pourrais t-il … Qu’elle ressente la même chose que moi ? Que son cœur frémi à chaque fois que nous sommes avec l’autre comme le mien ? Si c’était le cas, j’en serait vraiment heureuse.
Shiwa – franchement toute les deux, je me demande comment vous ne pouvait pas finir ensemble !
Dolce – vous êtes trop craquante !
Je sourit, et continue d’admirer ce magnifique regard chocolater. Oui si seulement le temps pouvais s’arrêter, alors je pourrais sans aucun regret proffiter de ces instants magique qui n’appartiennent cas nous.
Elena – tu est sûr que tu veux aller en cour ?
Moi – non, mais il le faut bien.
Elena – reste avec moi !
Je m’approche de son oreille et lui murmure en caressant sa main :
Moi – on aura … Toute la soirée pour proffiter de ces moments magique !
Elena – Zane je …
Moi – chuut ne dis rien ma belle.
Je remonte ma main à sa joue, et la caresse avec douceur. Nos front se caressent de nouveau, et nos nez créer un mouvement négatif, je mens tellement bien avec elle, que oui, j’aimerais pouvoir rester là au creux de ses bras.
Mais ont dirais que la sonnerie annonçant le deuxième cour, n’est pas du même avis que moi, je lui sourit, lui embrasse tendrement le front, et me sépare d’elle avec regret.
Elena – bon, d’accord, je te laisse filer, mais à partir de quatre heures je ne te laisse plus tranquille !
Moi – comment ça tu ne me laissera plus tranquille !
Elena – ah beh sa mademoiselle Kazama vous verrez bien.
Moi – dites moi, je vous trouve bien arrogante mademoiselle Agostui.
Je pose mes mains sur ses jambes, et la regarde un air de défi sur le visage.
Elena – vous ne me faite pas peur !
Moi – vous ne dirais sûrement pas la même chose lorsque je vous aurais kidnappé ma cher.
Je lui fait un clin d’oeil, elle m’embrasse la joue, et c’est avec le sourire aux lèvres et le cœur prêt à faillir que je me rendit en cour avec les filles qui à dire vrai hurlé du moins Shiwa et Dolce, Giulia elle était au téléphone. C’est ainsi que durant toute l’heure de cour et ceux jusqu’à midi que je pensa à ma soirée avec elle.
Chapitre 1.
Point de vue Zane.
Si seulement, la vie pouvait être simple … Si elle pouvait être belle alors peut être que j’arriverais à lui donner une seconde chance. Une seconde chance à croire en l’amour … Ce sentiment si fort mais qui peut tout briser en une fraction de seconde. Encore cette nuit, j’ai fait nuit blanche, accoudé contre mon balcon à admirer les rayons du soleil qui se lève.
Je souffle, et entre dans ma chambre, pour aller me rafraîchir. Je passe à côté de mon lit et remarque un cadre avec à l’intérieur la photo de la femme que j’aime et désir plus que tout. Je passe mon doigt sur la vitre et laisse mon esprit vagabonder. Un autre soupir mais cette fois heureux s’échappe de ma bouche, si seulement j’avais assez de courage pour lui avouer ce que je ressent.
Elena … Toi cette si jolie brune qui a su recoller chaque morceau de mon cœur, toi qui a su trouver les bon mot pour m’apaiser et me faire sourire. Je souris et me dirige vers ma salle de bain. J’entre à l’intérieur de cette dernière, et ferme la porte. Je commence à me dénuder laissant mes vêtements tomber au sol, j’ouvre la porte de la cabine et tout en allumant l’eau, laisse mon corps se détendre sous le liquide chaud.
Je suis Zane Kazama j’ai dix neuf ans et suis d’origine italienne, née un vingt deux janvier en Italie, et je réside à Naples. Je suis de grande et fine taille, mes cheveux qui sont de couleur sable, un blond vénicien son court formant un dégrader sur le côté gauche. Mon regard est chocolaté et tiré quelques peut en arrière, ma peau clair possède des petites faussettes. Ma bouche rose et fine.
Mes yeux se ferment, et je repensent à tout se qui c’est passé depuis ma séparation avec Giulia du a une forte dispute. En y repensant, c’est vrai que je me suis nettement rapproché d’Elena, passant presque tout mon temps avec elle, mais aussi Dolce et Shiwa qui sont mes deux meilleures amies, je peux toujours compter sur elles en cas de besoin, et même si Giulia et moi sommes devenue de simple amies il est vrai que je me confie beaucoup plus à mes deux pimprenelles.
Une fois que l’eau m’a débarassé de tout liquide coloré, j’éteins, et m’enroule rapidement dans une serviette sentant le froid me gagner. Je fais coulisser la porte vers la gauche et sort de la cabine pour ainsi me sécher. Je me place devant le miroir, et m’observe de longues minutes en me séchant. Un mince sourire se dessine sur mes lèvres mouillées en repenssant à ce que je suis … A cet heure là si je n’aurais jamais eu le courage d’affronter cette personnalité je serait sûrement en train de pleurer sur mon triste sort.
Se que je suis aujourd’hui j’en suis fière, même si je cache des défauts, je me rattrape toujours à sa, cette personnalité qui fait de moi la femme forte que je suis devenue au file es années. Et maintenant que j’étais prête à laisser une seconde chance à la vie parce ce que j’avais réussi à oublier tout ce qui se rapporte à Giulia et moi, j’étais prête à avancer et dont à être de nouveau heureuse.
Je me dirige vers ma chambre, et mène mon corps jusqu’à mon armoire afin de m’habiller. Aujourd’hui est un jour spécial, pour deux raisons. Ce soir il y a le bal de l’automne un événement important pour nous lycéens qui n’avons ce mot à la bouche depuis plus d’un mois. Et il y a aussi un anniversaire, celui d’Elena qui allait sur ses dix neuf ans, et j’avais pour ambition de lui délivrer mon cœur de me mettre à nue devant elle. Je sourit rien que le fait d’y penser, après quelques minutes de réfléxion, je sort de l’armoir un jean noir, un chemisier de couleur blanc, et une veste en cuir noire.
Je commence donc à m’habiller tout en laisser mon esprit s’évader, j’ajuste le col de ma chemise, et surmonte cette dernière par ma veste en cuire que je prit soin de fermer. Après sa, je réchauffe mon cou par un keffier noir et roug en damiern et je reviens par la suite dans la salle de bain. Je me place en face de la vitrerie, et comme je laisse souvent mon maquillage traîner sur le bord de l’évier, je me munie d’un laïner noir et commence à me faire le tour des yeux.
C’est la seule chose que je met, cela suffit, quand je me maquille c’est pour des occasions spécial. Avec l’aide de mon peigne je remet en place le petit dégrader sur la gauche, me parfum légèrement avec une eau de toilette, et enfin sort de la salle d’eau. Je prend place sur mon lit, et commence à enfiller mes chaussette, pour après mettre une paire de baskette noire. Je me lève, prend mon sac de cour, mon téléphone, et sort de ma chambre.
Je descend les escaliers, et alla dans la cuisine pour me préparer un café et une tartine de confiture. Je vis seul dans un petit studio, que mes parents me paye tout les mois car je leur est ramener de bon bulletin et que j’avais fait comme demande celle de vivre seule pour ainsi gagner l’autonomie. Je commence à beurrer deux tartines, et saisi mon portable.
Tiens un message, je me demande qui cela peut être « lili » je sourit, lili et le surnom que je donne à Elena, et sa c’est dû à un petit jeu entre nous.
« purée il caille dehors, j’espère que ta prévue de mettre des gant et un bonnet mdr, tu me manques »
le sourire que j’aborde s’agrandit, je fut amusé et attendris à la fois. Je me dirige vers la cafetière et tout en me versant du café dans une tasse, je décide de lui répondre.
« ne t’inquiète pas pour moi va … Je ne suis pas frileuse. Tu me manques aussi <3 »
je relie le message, et sourit de nouveau. Et je lui envoya, je m’installe sur une chaise et commence à déjeuner tranquilement, tout en pensant à l’évènement de ce soir à l’anniversaire, et au courage que je vais devoir prendre pour lui avouer ce que je ressent.
Ce n’est pas tout les jours que je fait ce genre de chose, et il est vrai, que si nos sentiments sont réciproque j’aimerais pouvoir m’engager dans une relation sincère et durable cette fois. J’emmène la tasse à ma bouche, et commence à boire le liquide caféïner.
Quand j’eu terminé, je met la tasse dans le lave vaisselle, et commence à tout ranger pour ainsi partir direction le lycée. Mon téléphone vibre, je me tourne et le prend pour ainsi consulter l’appareil. C’est Elena qui viens de me répondre par un smiley et un cœur. Le mien se met à battre fugacement contre ma poitrine, si seulement nos sentiments pouvaient être réciproque, je l’espérer à chaque fois depuis que je me suis décider à lui dire.
Je prend mon sac, prend les clés de chez moi, et enfin partie tout en prenant soin de fermer à clés. Je descend quatre étages, et me dirige vers l’extérieur. Ouh … C’est vrai qu’il fait frais, je met mon keffier bien en place, et commence à marcher le long du trottoir.
Ah … Elena, si tu savait à quel point je t’aime, à quel point je te désir. Depuis notre rencontre il y a un an, c’est vrai que l’ont c’est beaucoup attacher l’une à l’autre, partageant nos rires, nos délires, et même nos chagrins. Et c’est quand je pense à tout ses petit détails qui me font sourire que je suis plus forte pour affronter la vie car je sais que j’ai mes amis et la femme que j’aime à mes côtés.
Après quelques minutes de marche, j’arrive enfin devant l’entrée du lycée, et pénètre à l’intérieur de ce dernier. Je voie Shiwa et Dolce me faire signe, alors que Giulia et Elena se tourne dans ma direction.
Shiwa – salut jolie blonde, ça rool ?
Moi – tout baigne, et vous ?
Je leur fait la bise à chacun, et arrivé prêt d’Elena qui me sourit avec douceur, je vint collé mes lèvres à sa joue.
Dolce – oh … C’est trop mignon.
Shiwa – ah les filles …
Giulia – c’est beau l’amour !
Je me décolle doucement, et plonge mon regard caramélisé dans ses prunelle noisette. Elle me sourit, et je lui rendit avec un petit clin d’oeil.
Moi – bon anniversaire la miss !
Elena – merci Zane.
Ont se sourient, et pendant quelques minutes nos yeux se caressent. J’aime me retrouver comme sa avec elle qu’il y est du monde ou pas, mon cœur bat si vite, je n’arrive pas à métriser les pulsions qu’il difuse dans mon corps. Sa main s’approche de mon visage, et ses doigts écartent quelques mèches de mes yeux.
Dolce – ah … Sa fait rêver.
Giulia – c’est bien vrai !
Nos lèvres s’étirent de nouveau, et ses lèvres se sont posées sur ma joue. Mes yeux se ferment, et je me laisse envahir par ce flot de tendresse qu’elle m’envoie. Ses mains se posent sur mes bras, et je sourit. Qu’es ce que je pouvais me sentir bien, là tout prêt d’elle.
Moi * si tu savais comme je t’aime. *
doucement je m’approche et laisse mes bras s’allonger sur ses épaules, alors que les siens viennent réchauffer mon dos. Ah, Elena je me sens si bien la avec toi. Ma douce et jolie brune, ses lèvres quittent ma joue, et ses yeux viennent effleurer les miens avec douceur.
Nos fronts se sont rapprochés, et se caressent, nous étions si prêt l’une de l’autre, et l’envie de l’embrasser me tenaille, je lui caresse la joue et lui offre un doux sourire.
Elena – Zane …
Moi – chuut …
Je lui caresse doucement ses lèvres de mon pouce, et vint lui déposer un léger baiser sur son nez.
Shiwa – je croix que je vais finir par exploser si vous continuer toutes les deux, c’est trop …
Dolce/Giulia – mignon !!!!
je me suis mise doucement à rire à l’entente de ses mots, je sent ses bras se serrer, et je me laisse emporter par cette étreinte qui m’est agréable. Malheuresement nous fûmes bien vite redescendut sur terre, à cause de la sonnerie que je maudit à cet instant.
Ont se détachent l’une de l’autre, et avant de partir en cour, je lui prend tendrement son menton et lui murmure :
Moi – on se retrouvent tout à l’heure !
Elena – compte sur moi.
Ont s’échangent un sourire, je lui embrasse la joue, et partie direction ma salle de cour avec Dolce Shiwa et Giulia.
Dolce – dis donc je ne te savait pas si entreprenante !
Shiwa – ah sa … Tu ma coupé le souffle.
Moi – ne dis pas n’importe quoi voyons !
Giulia – mais si, elle a raison.
Moi – oh non pas toi Giulia, ne t’y met pas non plus !
Dolce – mort de rire.
Je vous jures, elles sont pas possible. Ont montent plusieurs étages, et arriver au cinquième, je commence à longer le couloir tout en discutant avec les filles.
Dolce – dis moi Zane je peut te poser une question ?
Moi – oui vas y !
Dolce – ce que tu ressent pour Elena, c’est bien plus fort que de l’amitié pas vrai ?
Je sourit, et repense à ce moment que nous avions partagé elle et moi tout à l’heure, un moment qui a bien réchauffé mon cœur, et qui ma permise d’être heureuse durant quelques instant.
Moi – oui … Et pour être honnette, je compte lui faire ma déclaration ce soir !
Shiwa – c’est pas vrai ? Oh lala faut pas louper sa, Zane qui laisse libre court à ses sentiments, va falloir prévoir le matosse.
Moi – dis pas n’importe quoi Shishi !
Giulia – j’espère que tu y arrivera, et que cela te rende heureuse.
Moi – ne t’inquiète pas pour sa … Je compte bien la garder avec moi !
Je lui sourit, et lui tapotte le nez, même si nous ne sommes plus ensemble, cela ne m’empêche pas d’avoir un petit geste tendre à son égard, car il est vrai et sa je ne peux pas l’oublier que je les fortement aimé.
Dolce – en tout cas, je ne veux pas louper sa !
Shiwa – tu m’étonnes.
Moi – vous êtes bêtes vous deux alors !
Je sourit, et finit par rentrer dans la salle pour aller m’installer à ma table avec Giulia. Le professeur n’étant pas encore là, j’en profite pour regarder mon portable afin de vérifier ce je n’ai pas reçu de messages ou appels.
? - eu Giulia !
Giulia – oui ?
Après avoir répondu au deux messages d’Elena, je met mon téléphone dans ma poche et lève la tête pour aperçevoir Emilie, une jolie blonde aux yeux chocolat. Je suit attentivement la discussion, et pue voir du coin de l’oeil Giulia rougir.
Emilie – je euh … En faite, je me demander si tu … Tu voulais bien être ma cavalière pour ce soir !
Je sourit, et d’ailleurs Giulia aussi, elle se lève, et sous mes yeux attendris, elle pris le menton d’Emilie et lui murmure :
Giulia – avec plaisir Emi, j’en serait ravi.
Emilie – c’est vrai ? Enfin je veux dire …
Giulia – chuut …
Elle lui caresse la joue, et lui a déposer un baiser sur le front. Cela me fait sourire, le fait de savoir que même après notre séparation nous sommes arrivé à refaire notre vie, et sa sans avoir peur du jugement de l’autre. Emilie et repartie s’asseoir, et Giulia a repris place à mes côtés.
Giulia – ah … Emilie !
Moi – Tu as enfin trouvé ta perle rare ?
Giulia – oui, et il est vrai que je l’aime éperdument.
Moi – dans ce cas, je te souhaite bon courage !
Giulia – à toi aussi … Tu sais, c’est une bonne chose je trouve que l’ont est réussi à refaire notre vie avec la séparation !
Moi – je suis bien d’accord avec toi.
Ont se sourit, et enfin le cour pue commencer car le professeur était enfin arrivé. Pendant l’heure de cour, je ne fit que penser à Elena, à son message de tout à l’heure me disant que ce soir elle voulais passer la soirée avec moi. Rien que d’y penser me provoque des frissons de plaisir. Elena, si tu savait à quel point tu hante mon esprit.
Enfin, quand l’heure de la pause sonna, je pose mes lunettes, et suivit Giulia jusqu’à la sortie avec Dolce et Shiwa.
Shiwa – bon alors, et si ont allaient au foyer !
Dolce – ok.
Moi – sa marche !
Giulia – dack.
Ont s’échangent toutes quatre un sourire, et parti direction le foyer. Arrivé dans ce dernier, je remarque Elena qui est assise sur un des fauteuil, je me dirige vers elle suivit de prêt par les filles.
Elena – ah vous êtes là !
Dolce – tes une rapide dit donc sa viens juste de sonner.
Elena – non, je suis là depuis une heure !
Shiwa – comment ça ?
Elena – notre professeur est malade !
Moi – tu t’embête pas quoi ?
Elena – c’est sa.
Moi – toi alors !
Elle me fit un clin d’oeil, et je prit place à ses côtés juste à sa droite. Giulia prend place à mes côté et Shishi juste à la gauche de ma douce.
Dolce – aller, aujourd’hui c’est ma tournée, qui veux quoi ?
Moi – hm aller un coca !
Elena – un chocolat chaud.
Shishi – hm j’hésite entre un orangina et toi mon amour !
Dolce – Shishi !!
Giulia – ah ah ah …
Moi – que c’est mignon !
Elena – vous n’êtes pas ensemble pour rien vous deux !
Dolce – les filles !!!! vous m’êtes pas d’une grande aide la !
Shiwa – aller, c’est bon j’arrête de t’embêter, je prendrait un orangina.
Dolce – enfin et toi Giulia ?
Giulia – un thé suffira merci miss.
Dolce – alors je récapitule, un coca un chocolat chaud un thé et un orangina, ok c’est bon c’est noté.
Et notre petite rousse partie direction le bar. Alors qu’une discussion commence, je sens soudainement un bras se glisser derrière mon dos, et une main se pose sur ma hanche. Je me tourne et voie que c’est Elena, je lui sourit, et passe mon bras gauche derrière son dos, pour doucement lui caresser la hanche. Sa tête c’est lové au creux de mon cou, et mon cœur c’est mit à tanguer plus fort.
Dolce reviens quelques petites minutes après avec nos boissons , qu’elle nous tendis à chacune. Shiwa c’est lové dans ses bras, et Dolce à replier ses bras autour d’elle, je les trouve vraiment mignonne ensemble.
Dolce – au faite, vous compter y aller avec qui au bal ?
Shiwa – moi avec toi !
Elena – sa, ont sens doute bien !
Dolce – tu as trouver quelqu’un Giulia ?
Giulia – oui, j’y vais avec Emilie.
Shiwa – Emile … La blonde ?
Giulia – oui la brune !
Je me met à rire en entendant sa, et continue de serrer mon ange contre moi. Un frisson me parcours lorsque je senti ses lèvres se poser sur mon cou, que c’est agréable, je me laisse faire tout en lui offrant une douce caresse sur sa joue. Sa tête c’est relever, et ses yeux se sont perdu dans les miens. Je caresse doucement sa joue, et caresse son front avec le mien.
Sa main prend la mienne, et alors que ses yeux me défi, sa voix résonne dans l’air, une voix que j’aime entendre.
Elena – et toi ?
Moi – de quoi moi ?
Elena – avec qui vas tu au bal ?
Moi – sa t’intéresse ?
Elle me sourit, et dépose un léger baiser sur ma main se qui me fit rougir. Nos yeux se happent, se caressent, et se dévisagent avec insistance comme si chacun chercher à savoir qui aurait le dessus sur l’autre.
Elena – peut être …
Moi – toi alors … Non je n’est personnes !
Elena – dans ce cas, accepteriez-vous mademoiselle Kazama de m’y accompagner ?
Moi – j’en serait ravie … Ma jolie brune !
Ont se sourient, et pendant de longue minutes nous restons ainsi confortablement enlacé contre l’autre. Je m’approche doucement, et vint lui déposer un doux baiser sur le nez.
Elena – si seulement le temps pouvais s’arrêter !
Moi – pourquoi sa ?
Elena – car je pourrais proffiter pleinement de ces instant magique avec toi.
Je lui sourit, et vint doucement emêler mes doigts avec les siens. Se pourrais t-il … Qu’elle ressente la même chose que moi ? Que son cœur frémi à chaque fois que nous sommes avec l’autre comme le mien ? Si c’était le cas, j’en serait vraiment heureuse.
Shiwa – franchement toute les deux, je me demande comment vous ne pouvait pas finir ensemble !
Dolce – vous êtes trop craquante !
Je sourit, et continue d’admirer ce magnifique regard chocolater. Oui si seulement le temps pouvais s’arrêter, alors je pourrais sans aucun regret proffiter de ces instants magique qui n’appartiennent cas nous.
Elena – tu est sûr que tu veux aller en cour ?
Moi – non, mais il le faut bien.
Elena – reste avec moi !
Je m’approche de son oreille et lui murmure en caressant sa main :
Moi – on aura … Toute la soirée pour proffiter de ces moments magique !
Elena – Zane je …
Moi – chuut ne dis rien ma belle.
Je remonte ma main à sa joue, et la caresse avec douceur. Nos front se caressent de nouveau, et nos nez créer un mouvement négatif, je mens tellement bien avec elle, que oui, j’aimerais pouvoir rester là au creux de ses bras.
Mais ont dirais que la sonnerie annonçant le deuxième cour, n’est pas du même avis que moi, je lui sourit, lui embrasse tendrement le front, et me sépare d’elle avec regret.
Elena – bon, d’accord, je te laisse filer, mais à partir de quatre heures je ne te laisse plus tranquille !
Moi – comment ça tu ne me laissera plus tranquille !
Elena – ah beh sa mademoiselle Kazama vous verrez bien.
Moi – dites moi, je vous trouve bien arrogante mademoiselle Agostui.
Je pose mes mains sur ses jambes, et la regarde un air de défi sur le visage.
Elena – vous ne me faite pas peur !
Moi – vous ne dirais sûrement pas la même chose lorsque je vous aurais kidnappé ma cher.
Je lui fait un clin d’oeil, elle m’embrasse la joue, et c’est avec le sourire aux lèvres et le cœur prêt à faillir que je me rendit en cour avec les filles qui à dire vrai hurlé du moins Shiwa et Dolce, Giulia elle était au téléphone. C’est ainsi que durant toute l’heure de cour et ceux jusqu’à midi que je pensa à ma soirée avec elle.
Jeu 28 Nov 2013, 03:19 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour est-il un crime ? chapitre 6
Hello hello, voici le chapitre 6 un peut court, mais toujours regorgé de douceur et d’amour ^^ bonne lecture :
Chapitre 6 : Une belle preuve d’amour
Point de vue Narrateur.
Voila maintenant deux petit mois qui se sont écoulés sur la capitale Japonaise. Depuis l’anniversaire de Michiru beaucoup de chose se sont produite, cette dernière était partie en stage pour une durée de 4 semaines pour parfaire ses connaissance en mathématique pour ainsi pouvoir réaliser le rêve de sa défunte mère. Pendant ce temps Haruka continuer son train train quotidien, bien que la vie lui semblais un peut plus triste sans Michiru. Elle n’avait qu’une seule hâte : que cette dernière revienne, car avec son stage, et les réunions de parents d’élèves ainsi que de conseils de discipline elles n’avaient pas pue se revoir et passer du temps ensemble. Nous nous retrouvons devant chez la jeune blonde ou la bonne humeur régnais. A l’intérieur de ce petit studio se trouvait Michiru et Betty qui faisait de la cuisine préparant un gâteau pour l’anniversaire d’Haruka.
Point de vue Michiru.
Ah … Me tarde que Haru revienne, elle ma tellement manquée. Je suis rentré aujourd’hui de Tokyo, et même si c’est 4 semaines de stages ont étaient très longues c’était très constructif et j’ai aquis bien plus de connaissance ce qui me rendait de très bonne humeur.
Malgré sa, comme Haru et moi on a pas pue se voir, nous n’avons pas pue faire son anniversaire, et même si nous étions le 15 décembre, je voulais lui fêter ses 24 ans avec madame Clife qui est une ses plus proche collègue.
Madame Clife – alors Michiru dis moi comment c’est passé ton stage ?
Moi – parfaitement bien, j’ai appris beaucoup de choses au cours de ses 4 semaines comme résoudre des équations comment faire pour placer le x en tant voulut dans un calcul mental. C’était tout bonnement génial.
Madame Clife – c’est très bien tout sa … Oh mais, c’est jolie ce que tu as autour du cou. C’est ton petit ami qui te la offert ?
Si vous saviez qui m’a offert cette petite chaîne vous serez bien surprise. Ah cette chaîne, je les garder tout au long de mon apprentissage, sa me faisait penser à elle à chaque fois. Ah ma jolie blonde j’ai hâte que tu revienne à la maison, car bien des choses ont changé durant ses 4 semaines d’absence.
Soudain je sent mon téléphone vibrer, surprise, je prend ce dernier en main et regarde qui cela peut être. J’eue un grand sourire en voyant que c’était Haru qui m’appeller, je met les écouteurs et répond à l’apel, le cœur battant à la chamade.
Haruka – bonjour ma chérie !
Moi – Ah … Si tu savais comme il est bon d’entendre ta voix.
Haruka – oui c’est vraiment agréable de pouvoir t’entendre de nouveau. Alors comment c’est passé ce stage.
Je sourit, c’est un bonheur de l’entendre de nouveau, je verse du lait dans un récipiant et madame Clife qui me sourit se met à remuer.
Moi – bah sa c’est supère bien passé, j’ai appris beaucoup de chose, et cela était une expérience très enrichissante.
Haruka – tant mieux alors.
Moi – oui, et toi alors comment ça va ?
Haruka – ça va, un peut fatigué de ses réunions et conseils, le directeur est parti faire des photocopies d’un dossier, donc j’en aie profité pour t’appeller.
Moi – c’est vraiment très gentil. Si tu savait à quel point tu m’as manquer Haru.
Haruka – toi aussi chaton tu m’as beaucoup manqué, et je n’aie qu’une hâte, c’est celle de rentrer.
Moi – ah bonheur, je vais pouvoir retrouver tes bras !
Haruka – oui moi aussi, vite que la réunion se termine, je t’envoie un message dès que je sort du lycée.
Moi – d’accord pas de souci ma jolie blonde.
Haruka – aller je te laisse, le directeur reviens, bisou mon cœur je t’aime à ce soir !
Moi – bisou ma chérie je t’aime aussi !
Et heureuse la communication se coupa. Je retire les écouteurs et pose mon téléphone sur le plan de travail. Mon cœur battait tellement vite, j’abordais un magnifique sourire, trop heureuse de l’avoir entendue.
Madame Clife – eh bien, sa à l’air de bien se passer … Mais, tu aimes les filles ?
Moi – oui.
Sans prêter attention à son regard, je continue de préparer le gâteau. Par la suite, je mit se dernier au four, et alla me préparer. Je monte à l’étage, et m’enferme dans notre chambre. J’enfile simplement une robe bleu écume, avec un petit cache cœur bleu ciel.
Je met les boucles en argent qu’elle ma offert, est me maquille légèrement avec un peu de laïner noir et du rouge à lèvres rouge. Je laisse mes cheveux lâchés juste à les tenir avec de la laque pour les faire tenir sur le côté gauche. Puis enfin j’entend mon téléphone vibrer, avec précipitation je le saisit et consulte ma messagerie.
« je suis là dans 5 minutes »
Sa y’est elle arive, bonheur bonheur bonheur. Avec le grand sourire, je descend, et préviens madame Clife et monsieur Gastempête que Haruka allait bientôt arrivé.
Madame Clife – ok, on se tiens prêt !
Monsieur Gastempête – oui.
Contre toute attente j’allai me cacher derrière le frigidaire et attendit avec le cœur battant à la chamade que ma jolie blonde arrive.
Point de vue Haruka.
Une fois arrivé devant l’immeuble, j’allai me garer au parking, éteins le moteur me détache et sortie avec mon sac. Remettant ma chemise en place. J’avais hâte de la retrouver. J’enclenche l’alarme, et enfin me dirige vers l’entrée du bâtiment. Ah … Cette journée ma épuisée, j’espère que je n’aurais pas à faire sa tout les jours.
Une fois prêt de la porte de chez moi, j’ouvre la porte et la …
?? - SURPRISE !!!!
je reçu des confetti en pleine figure, et cela me fit sourire, me doutant bien de qui était derrière tout sa.
Moi – Betty, Clément ?? mais que faite vous ici ?
Betty – enfin Haruka, même si nous somme en retard, nous fêtons ton anniversaire.
Clément – bon anniversaire !!
Moi – euh … Merci.
Je pose mon sac, et regarde dans tout les coin si je ne la voie pas. Mon sourire s’agrandit en la voyant apparaître … Elle est tellement belle, je lui ouvre mes bras, et c’est avec le sourire elle se réfugia contre mon cœur.
Michiru – te voilà enfin de retour.
Moi – bonjour ma chérie, heureuse de te revoir !
Michiru – tu m’as tellement manqué sa était dure 1 mois sans toi.
Je lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire, je m’approche d’elle et lui murmure :
Moi – toi aussi, tu m’as beaucoup manqué Michi …
Michiru – Haru …
Moi – chuut.
Et sans lui laisser le temps de répondre, je posa mes lèvres sur les siennes. Je descend mes mains à son dos, et le caresse, alors que ses doigts à elle caresser mes joues. Ah … Quel bonheur de pouvoir la retrouver, sa voix, son sourire, ses câlins tout ma manqué chez elle. On se détachent doucement, nos fronts se caresse, et je lui dit en écartant une petite mèche de ses yeux :
Moi – tu es magnifique.
Michiru – merci et … Même si c’est en retard, joyeux anniversaire … Ma jolie blonde.
Elle est vraiment adorable, je l’aime. Je caresse sa joue de mon index, lui embrasse le nez, et me dirige avec elle vers mes collègues qui afficher une mine décomposé.
Clément – Haruka tu …
Betty – ce n’est pas possible vous … Mais enfin c’est …
Moi – oui, je suis désolé si je ne vous en aie pas parlé avant, mais oui Michiru et moi sommes ensemble depuis 3 mois.
Betty – mais enfin Haruka, sais tu ce que tu fait, tu est son professeur.
Moi – peut être, mais en dehors du lycée nous sommes deux citoyennes tout à fait ordinaire, et je suis vraiment amoureuse d’elle.
Michiru – quant à moi, je tiens énormément à Haruka, et en suis éperdument amoureuse.
Clément – c’est vrai que vue comme sa …
Betty – mais enfin je … Sa ne peux pas être vrai, vous êtes peut êtes deux citoyennes, mais vous êtes professeur/élève.
Moi – oui mais …
Michiru – après ses 3 mois de bonheur …
Moi/Michiru – nous nous aimons énormément !
Moi – et je ferait tout pour la garder auprès de moi.
Elle me sourit, je lui caresse la joue, et vint l’embrasser avec douceur.
Moi – tu m’attend là je reviens !
Michiru – oui, mais fait vite …
Je l’embrasse sur le nez, lui caresse sa main, et parti à l’étage me dévêtir. En entrant dans notre petit nid d’amour, je remarque un mot sur la table de nuit suivi d’un petit appareil audio avec des écouteurs. Surprise je prend la petite machine met les écouteurs, prend place sur le lit, et lue le mot.
« j’y est mis tout mon cœur »
je sourit, et je vint mettre play, et sa voix sa si jolie voix résonne.
« bon … Euh, par ou commencer ? Haruka aujourd’hui nous sommes le 2 novembre, un jour spécial pour toi … Je te souhaite un très joyeux anniversaire ma jolie blonde, et j’aimerais te dire quelque chose important et qui me tiens à cœur. Voila maintenant 3 mois que nous nous connaissons toutes les deux, je ne vais pas mentir, mais je suis vraiment très heureuse d’être avec toi. Lorsque je t’aie vue la première fois au lycée, je n’oser pas le dire, mais je t’admirer déjà, tu as vraiment fait fondre mon cœur sous tout les angles. J’étais tellement heureuse de savoir que tu éprouver la même chose que moi, je t’aime vraiment beaucoup et ne souhaite que te voir heureuse. Après j’ai beaucoup réfléchit, et je suis aller me renseigner à la mairie pour pouvoir se marier un jour, la femme qui ma reçu ma dit qu’il falait aller à la mairie et signer des papiers et après le mariage pourrais se faire, j’aimerais de tout mon cœur fonder notre propre famille à toute les deux afin que tu soit heureuse, car peut importe ce qu’il arrivera je serait toujours là pour toi pour t’épauler et te soutenir, des disputes il y en aura comme dans tout les couples mais je veux dire que je serait la avec toi dans les bons et les mauvais moment. Pour moi tu est toute, ma jolie blonde ma femme à moi que j’aime tant, ma chérie … Mais surtout tu est ma plus belle histoire d’amour Haruka, et avec toi, je sais que je pourrais avancer. Voila je tes dis tout se que je ressenter, je t’aime et sa éperdument mon amour je t’embrasse très fort et j’ai hâte de rentrer à la maison pour te serrer dans mes bras. Joyeux anniversaire ma chérie je t’aime. »
plusieurs larmes roulent sur mes joue, des larmes de joie et de bonheur. Se qu’elle a dit ma profondément touché, personne à part elle et Greg ne m’avait montré autant d’attachements, Greg est mon petit frère de trois ans seulement, mais pour des raison financière il est parti, et je me suis retrouvé seule avec des parents qui ne mon jamais porter dans leur cœur, qui ne mon jamais aimé, ma mère après quelques années de lutte acharné est morte d’un cancer, mais malgré tout je l’aime et la porte dans mon cœur. Je ne suis jamais tomber amoureuse … Jusqu’à ce que je rencontre Michi, elle a réussi à me faire changer d’air, elle ma comprise après lui avoir raconter une partie de ma vie. Elle ne ma jamais rejeter, et par moment j’ai l’impression d’en profiter, profiter de sa gentillesse, mais je l’aime et en suis profondément amoureuse, je ferait tout pour pouvoir la garder avec moi.
D’une main tremblante, je prend mon téléphone et lui envoya un sms. J’avais besoin d’elle là maintenant. Je l’entend monter, et la voilà. La porte se ferme et je sens ses mains se poser sur mes genoux.
Michiru – qu’es ce qu’il y a ma chérie ?
Je ne dit rien et vint la prendre dans mes bras, la serrant contre moi. Laissant mes larmes de bonheur se déverser.
Moi – merci … Merci d’être la chaque jour avec moi, se que tu as dis ma beaucoup touché, et je suis heureuse de voir que tu prend nos projet à cœur … Ma douce et tendre Michiru je t’aime si tu savais à quel point je peux t’aimer, peut importe se qui arrivera je ferait tout pour te garder avec moi, j’ai déjà perdu trop de personne que j’aime et je n’aie pas envie que tu soit la seconde.
Je lève mes yeux afin de la regarder, ses mains se sont posés sur mes joues et d’un geste tendre elle efface mes larmes.
Michiru – tu sais … Bien que jeune, j’étais sincère dans mes propos, tout se que j’ai dis, je l’aie dis avec le cœur … Mon amour, je t’aime plus que tout, et ferait moi aussi tout pour te garder prêt de moi, car j’en suis consciente je suis éperdument amoureuse de toi, et veux crée un avenir heureux avec toi, même si sa doit prendre 2 3 jusqu’à 4 ans, je m’en fiche, tout se qui m’importe et de t’aimer et te rendre heureuse, car … Tu es la femme de ma vie, je t’aime Haruka et sincèrement.
Je sourit tendrement, lui caresse la joue, et vint poser mes lèvres sur les siennes. Ses bras enroule ma nuque, et ses doigts caresse ma chevelure. Je laisse mes mains caresser son dos, allant tendrement caresser sa langue. Je l’aime, s’en est devenue ma drogue, et je ne veux pas que sa s’arrête, je vint la serrer dans mes bras, laissant mon cœur s’exprimer. Ont se détachent doucement, et je vint lui caresser la joue lui offrant mon plus beau sourire.
Moi – je t’aime ma chérie, je t’aime si fort.
Michiru – moi aussi Haru et vraiment très fort.
Je lui sourit, l’embrasse doucement, et c’est avec le cœur léger et sa main dans la mienne, que nous descendions les escaliers.
Betty – à vous voilà … Haruka ? Mais enfin qu’es ce qui t’arrive ?
Clément – ta les yeux rouge.
Moi – ce n’est rien, c’est juste un trop plein d’émotion !
Je prit tendrement Michi dans mes bras, et vint la câliner. Sa tête se pose sur mon épaule gauche, et ses mains s’emêlent avec les miennes.
Moi – en tout cas merci beaucoup, c’est très gentil d’avoir penser à mon anniversaire !
Clément – oh mais tu sais, c’est surtout Michiru qu’il faut remercier, c’est elle qui a tout organisée.
Je sourit, regarde ma douce dans les yeux et lui dit en caressant son ventre :
Moi – dans ce cas … Merci à toi mon trésor.
Michiru – ce n’est rien, c’est tout naturelle !
Je lui sourit, et dépose tendrement mes lèvres sur les siennes. Oui maintenant je c’est que avec elle je peux être heureuse.
Puis après ce doux baiser, Betty et Clément mon offert mes cadeaux. Clément m’a offert un livre sur les blagues, et cela me fit rire, repensant à nos petits délire en salle des professeurs. Betty elle m’avait donné un cadre avec comme photo toute l’équipe des enseignant avec chacun leur signature.
Moi – merci, sa me fait siupère plaisir !
Betty – j’espère que tu continuera à être une exélente professeur !
Moi – ne t’inquiète pas pour sa.
Puis j’ai vue Michi se mettre face à Betty, se qui me surpris.
Michiru – madame Clife, je ne vous demande pas de sauter de joie face à notre révélation, juste à accepter le fait que nous soyons ensemble, vous savez, je l’aime profondément et sincèrement, et ne souhaite que son bonheur.
Elle c’est tourné vers moi et a dis :
Michiru – peut importe notre statu, je continuerais à l’aimer aussi fort que je le peut, c’est pourquoi aujourd’hui mercredi 15 décembre j’ai quelque chose d’important à lui demander, et je ne prend pas sa à la légère, je suis tout à fait sérieuse.
Elle commence à me faire peur, bien qu’elle aborde un magnifique sourire, je me demande bien se qu’elle a derrière la tête. Je voie ses mains prendre les miennes, et ses jolie yeux azur caresse mes prunelle émeraude.
Michiru – Haruka, depuis notre rencontre tu as réussi à faire de ma vie un véritable compte de fée, j’aimerais à mon tour pouvoir rendre la tienne encore plus belle et faire de notre histoire une merveilleuse aventure. Alors moi Michiru Kaio j’aimerais te demander quelque chose !
Ne me dite pas que … Ce n’est pas vrai, si c’est bien se que je pense elle va me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà. Je la voie poser son genoux droit sur le sol, et sortir d’une petite poche de son cache coeur une boîte noir, non, ma tendre chérie je t’aime.
Elle a doucement ouvert l’écrin, là ou je vis tout mon bonheur.
Michiru – par cette bague, j’aimerais te demander sincèrement … Haruka Tenoh veux tu devenir ma femme.
Je ne sais plus quoi dire, je n’aurais jamais crue qu’elle puisse avoir le courage de demander ma main, je m’approche d’elle, et la relève, la dévisageant avec tendresse. Je caresse sa joue, et lui répond avec le sourire :
Moi – oui je le veux.
Son sourire c’est agrandit, et elle ma passée la bague au doigt. Je vint la prendre dans mes bras, lui prend le menton et lui dit tendrement :
Moi – j’espère que tu sais dans quoi tu viens de t’embarquer ? Je ne compte plus te lâcher … Ma chérie si tu savait à quel point je suis heureuse.
Michiru – oui, je sais dans quoi je m’embarque, mais si c’est avec toi, alors je suis prête à tout, et je suis de même très heureuse … Uni à jamais ma jolie blonde ?
Moi – Uni à jamais mon trésor.
Et après ses paroles tendre nos lèvres vinrent crée un instant magique et amoureux. Je n’en reviens pas, elle a eu le courage de me le demander, moi je compter lui faire ma demande le jour de noël, mais le fait que Michi est fait le premier pat me prouve encore une fois que je ne regrette pas notre union. Et que je suis prête à m’engager sérieusement avec elle. On se décollent doucement, et le sourire aux lèvres, je vint l’enlacer tendrement dans mes bras.
Clément – alors sa … C’est une surprise, toute mes félicitations et mes vœux de bonheur les plus sincère à vous deux.
Moi – merci Clément.
Michiru – merci monsieur !
Betty – Haruka, j’espère que tu sais dans quoi tu t’engages !
Moi – oui je le sais parfaitement, mais voies tu, j’ai enfin eu la chance de rencontrer le grand amour, et je ne veux pas le laisser filer. Je l’aime et veux construire mon futur dans ses bras.
Elle c’est mise à sourire, et ses lèvres ont tendrement embrassé ma joue. Je la regarde avec amour, caresse son ventre, et l’embrassa à mon tour sur sa tampe droite.
Betty – bon eh bien … Toutes mes félicitations et que sa dure.
Michiru – merci beaucoup madame Clife !
Moi – merci Betty, merci beaucoup.
Et après sa, nous avons continuer à discuter en mangeant le gâteau que Michi et Betty avait fait. Et c’est plus heureuse que jamais que je câlina Michi tout au long de la soirée. Je l’aime et je compte bien la garder prisonnière de mon cœur.
Et voila c’est fini ^^ bon le chapitre 7 est en cour d’écriture, mais je ferait au plus vite pour le poster. [/i]
Chapitre 6 : Une belle preuve d’amour
Point de vue Narrateur.
Voila maintenant deux petit mois qui se sont écoulés sur la capitale Japonaise. Depuis l’anniversaire de Michiru beaucoup de chose se sont produite, cette dernière était partie en stage pour une durée de 4 semaines pour parfaire ses connaissance en mathématique pour ainsi pouvoir réaliser le rêve de sa défunte mère. Pendant ce temps Haruka continuer son train train quotidien, bien que la vie lui semblais un peut plus triste sans Michiru. Elle n’avait qu’une seule hâte : que cette dernière revienne, car avec son stage, et les réunions de parents d’élèves ainsi que de conseils de discipline elles n’avaient pas pue se revoir et passer du temps ensemble. Nous nous retrouvons devant chez la jeune blonde ou la bonne humeur régnais. A l’intérieur de ce petit studio se trouvait Michiru et Betty qui faisait de la cuisine préparant un gâteau pour l’anniversaire d’Haruka.
Point de vue Michiru.
Ah … Me tarde que Haru revienne, elle ma tellement manquée. Je suis rentré aujourd’hui de Tokyo, et même si c’est 4 semaines de stages ont étaient très longues c’était très constructif et j’ai aquis bien plus de connaissance ce qui me rendait de très bonne humeur.
Malgré sa, comme Haru et moi on a pas pue se voir, nous n’avons pas pue faire son anniversaire, et même si nous étions le 15 décembre, je voulais lui fêter ses 24 ans avec madame Clife qui est une ses plus proche collègue.
Madame Clife – alors Michiru dis moi comment c’est passé ton stage ?
Moi – parfaitement bien, j’ai appris beaucoup de choses au cours de ses 4 semaines comme résoudre des équations comment faire pour placer le x en tant voulut dans un calcul mental. C’était tout bonnement génial.
Madame Clife – c’est très bien tout sa … Oh mais, c’est jolie ce que tu as autour du cou. C’est ton petit ami qui te la offert ?
Si vous saviez qui m’a offert cette petite chaîne vous serez bien surprise. Ah cette chaîne, je les garder tout au long de mon apprentissage, sa me faisait penser à elle à chaque fois. Ah ma jolie blonde j’ai hâte que tu revienne à la maison, car bien des choses ont changé durant ses 4 semaines d’absence.
Soudain je sent mon téléphone vibrer, surprise, je prend ce dernier en main et regarde qui cela peut être. J’eue un grand sourire en voyant que c’était Haru qui m’appeller, je met les écouteurs et répond à l’apel, le cœur battant à la chamade.
Haruka – bonjour ma chérie !
Moi – Ah … Si tu savais comme il est bon d’entendre ta voix.
Haruka – oui c’est vraiment agréable de pouvoir t’entendre de nouveau. Alors comment c’est passé ce stage.
Je sourit, c’est un bonheur de l’entendre de nouveau, je verse du lait dans un récipiant et madame Clife qui me sourit se met à remuer.
Moi – bah sa c’est supère bien passé, j’ai appris beaucoup de chose, et cela était une expérience très enrichissante.
Haruka – tant mieux alors.
Moi – oui, et toi alors comment ça va ?
Haruka – ça va, un peut fatigué de ses réunions et conseils, le directeur est parti faire des photocopies d’un dossier, donc j’en aie profité pour t’appeller.
Moi – c’est vraiment très gentil. Si tu savait à quel point tu m’as manquer Haru.
Haruka – toi aussi chaton tu m’as beaucoup manqué, et je n’aie qu’une hâte, c’est celle de rentrer.
Moi – ah bonheur, je vais pouvoir retrouver tes bras !
Haruka – oui moi aussi, vite que la réunion se termine, je t’envoie un message dès que je sort du lycée.
Moi – d’accord pas de souci ma jolie blonde.
Haruka – aller je te laisse, le directeur reviens, bisou mon cœur je t’aime à ce soir !
Moi – bisou ma chérie je t’aime aussi !
Et heureuse la communication se coupa. Je retire les écouteurs et pose mon téléphone sur le plan de travail. Mon cœur battait tellement vite, j’abordais un magnifique sourire, trop heureuse de l’avoir entendue.
Madame Clife – eh bien, sa à l’air de bien se passer … Mais, tu aimes les filles ?
Moi – oui.
Sans prêter attention à son regard, je continue de préparer le gâteau. Par la suite, je mit se dernier au four, et alla me préparer. Je monte à l’étage, et m’enferme dans notre chambre. J’enfile simplement une robe bleu écume, avec un petit cache cœur bleu ciel.
Je met les boucles en argent qu’elle ma offert, est me maquille légèrement avec un peu de laïner noir et du rouge à lèvres rouge. Je laisse mes cheveux lâchés juste à les tenir avec de la laque pour les faire tenir sur le côté gauche. Puis enfin j’entend mon téléphone vibrer, avec précipitation je le saisit et consulte ma messagerie.
« je suis là dans 5 minutes »
Sa y’est elle arive, bonheur bonheur bonheur. Avec le grand sourire, je descend, et préviens madame Clife et monsieur Gastempête que Haruka allait bientôt arrivé.
Madame Clife – ok, on se tiens prêt !
Monsieur Gastempête – oui.
Contre toute attente j’allai me cacher derrière le frigidaire et attendit avec le cœur battant à la chamade que ma jolie blonde arrive.
Point de vue Haruka.
Une fois arrivé devant l’immeuble, j’allai me garer au parking, éteins le moteur me détache et sortie avec mon sac. Remettant ma chemise en place. J’avais hâte de la retrouver. J’enclenche l’alarme, et enfin me dirige vers l’entrée du bâtiment. Ah … Cette journée ma épuisée, j’espère que je n’aurais pas à faire sa tout les jours.
Une fois prêt de la porte de chez moi, j’ouvre la porte et la …
?? - SURPRISE !!!!
je reçu des confetti en pleine figure, et cela me fit sourire, me doutant bien de qui était derrière tout sa.
Moi – Betty, Clément ?? mais que faite vous ici ?
Betty – enfin Haruka, même si nous somme en retard, nous fêtons ton anniversaire.
Clément – bon anniversaire !!
Moi – euh … Merci.
Je pose mon sac, et regarde dans tout les coin si je ne la voie pas. Mon sourire s’agrandit en la voyant apparaître … Elle est tellement belle, je lui ouvre mes bras, et c’est avec le sourire elle se réfugia contre mon cœur.
Michiru – te voilà enfin de retour.
Moi – bonjour ma chérie, heureuse de te revoir !
Michiru – tu m’as tellement manqué sa était dure 1 mois sans toi.
Je lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire, je m’approche d’elle et lui murmure :
Moi – toi aussi, tu m’as beaucoup manqué Michi …
Michiru – Haru …
Moi – chuut.
Et sans lui laisser le temps de répondre, je posa mes lèvres sur les siennes. Je descend mes mains à son dos, et le caresse, alors que ses doigts à elle caresser mes joues. Ah … Quel bonheur de pouvoir la retrouver, sa voix, son sourire, ses câlins tout ma manqué chez elle. On se détachent doucement, nos fronts se caresse, et je lui dit en écartant une petite mèche de ses yeux :
Moi – tu es magnifique.
Michiru – merci et … Même si c’est en retard, joyeux anniversaire … Ma jolie blonde.
Elle est vraiment adorable, je l’aime. Je caresse sa joue de mon index, lui embrasse le nez, et me dirige avec elle vers mes collègues qui afficher une mine décomposé.
Clément – Haruka tu …
Betty – ce n’est pas possible vous … Mais enfin c’est …
Moi – oui, je suis désolé si je ne vous en aie pas parlé avant, mais oui Michiru et moi sommes ensemble depuis 3 mois.
Betty – mais enfin Haruka, sais tu ce que tu fait, tu est son professeur.
Moi – peut être, mais en dehors du lycée nous sommes deux citoyennes tout à fait ordinaire, et je suis vraiment amoureuse d’elle.
Michiru – quant à moi, je tiens énormément à Haruka, et en suis éperdument amoureuse.
Clément – c’est vrai que vue comme sa …
Betty – mais enfin je … Sa ne peux pas être vrai, vous êtes peut êtes deux citoyennes, mais vous êtes professeur/élève.
Moi – oui mais …
Michiru – après ses 3 mois de bonheur …
Moi/Michiru – nous nous aimons énormément !
Moi – et je ferait tout pour la garder auprès de moi.
Elle me sourit, je lui caresse la joue, et vint l’embrasser avec douceur.
Moi – tu m’attend là je reviens !
Michiru – oui, mais fait vite …
Je l’embrasse sur le nez, lui caresse sa main, et parti à l’étage me dévêtir. En entrant dans notre petit nid d’amour, je remarque un mot sur la table de nuit suivi d’un petit appareil audio avec des écouteurs. Surprise je prend la petite machine met les écouteurs, prend place sur le lit, et lue le mot.
« j’y est mis tout mon cœur »
je sourit, et je vint mettre play, et sa voix sa si jolie voix résonne.
« bon … Euh, par ou commencer ? Haruka aujourd’hui nous sommes le 2 novembre, un jour spécial pour toi … Je te souhaite un très joyeux anniversaire ma jolie blonde, et j’aimerais te dire quelque chose important et qui me tiens à cœur. Voila maintenant 3 mois que nous nous connaissons toutes les deux, je ne vais pas mentir, mais je suis vraiment très heureuse d’être avec toi. Lorsque je t’aie vue la première fois au lycée, je n’oser pas le dire, mais je t’admirer déjà, tu as vraiment fait fondre mon cœur sous tout les angles. J’étais tellement heureuse de savoir que tu éprouver la même chose que moi, je t’aime vraiment beaucoup et ne souhaite que te voir heureuse. Après j’ai beaucoup réfléchit, et je suis aller me renseigner à la mairie pour pouvoir se marier un jour, la femme qui ma reçu ma dit qu’il falait aller à la mairie et signer des papiers et après le mariage pourrais se faire, j’aimerais de tout mon cœur fonder notre propre famille à toute les deux afin que tu soit heureuse, car peut importe ce qu’il arrivera je serait toujours là pour toi pour t’épauler et te soutenir, des disputes il y en aura comme dans tout les couples mais je veux dire que je serait la avec toi dans les bons et les mauvais moment. Pour moi tu est toute, ma jolie blonde ma femme à moi que j’aime tant, ma chérie … Mais surtout tu est ma plus belle histoire d’amour Haruka, et avec toi, je sais que je pourrais avancer. Voila je tes dis tout se que je ressenter, je t’aime et sa éperdument mon amour je t’embrasse très fort et j’ai hâte de rentrer à la maison pour te serrer dans mes bras. Joyeux anniversaire ma chérie je t’aime. »
plusieurs larmes roulent sur mes joue, des larmes de joie et de bonheur. Se qu’elle a dit ma profondément touché, personne à part elle et Greg ne m’avait montré autant d’attachements, Greg est mon petit frère de trois ans seulement, mais pour des raison financière il est parti, et je me suis retrouvé seule avec des parents qui ne mon jamais porter dans leur cœur, qui ne mon jamais aimé, ma mère après quelques années de lutte acharné est morte d’un cancer, mais malgré tout je l’aime et la porte dans mon cœur. Je ne suis jamais tomber amoureuse … Jusqu’à ce que je rencontre Michi, elle a réussi à me faire changer d’air, elle ma comprise après lui avoir raconter une partie de ma vie. Elle ne ma jamais rejeter, et par moment j’ai l’impression d’en profiter, profiter de sa gentillesse, mais je l’aime et en suis profondément amoureuse, je ferait tout pour pouvoir la garder avec moi.
D’une main tremblante, je prend mon téléphone et lui envoya un sms. J’avais besoin d’elle là maintenant. Je l’entend monter, et la voilà. La porte se ferme et je sens ses mains se poser sur mes genoux.
Michiru – qu’es ce qu’il y a ma chérie ?
Je ne dit rien et vint la prendre dans mes bras, la serrant contre moi. Laissant mes larmes de bonheur se déverser.
Moi – merci … Merci d’être la chaque jour avec moi, se que tu as dis ma beaucoup touché, et je suis heureuse de voir que tu prend nos projet à cœur … Ma douce et tendre Michiru je t’aime si tu savais à quel point je peux t’aimer, peut importe se qui arrivera je ferait tout pour te garder avec moi, j’ai déjà perdu trop de personne que j’aime et je n’aie pas envie que tu soit la seconde.
Je lève mes yeux afin de la regarder, ses mains se sont posés sur mes joues et d’un geste tendre elle efface mes larmes.
Michiru – tu sais … Bien que jeune, j’étais sincère dans mes propos, tout se que j’ai dis, je l’aie dis avec le cœur … Mon amour, je t’aime plus que tout, et ferait moi aussi tout pour te garder prêt de moi, car j’en suis consciente je suis éperdument amoureuse de toi, et veux crée un avenir heureux avec toi, même si sa doit prendre 2 3 jusqu’à 4 ans, je m’en fiche, tout se qui m’importe et de t’aimer et te rendre heureuse, car … Tu es la femme de ma vie, je t’aime Haruka et sincèrement.
Je sourit tendrement, lui caresse la joue, et vint poser mes lèvres sur les siennes. Ses bras enroule ma nuque, et ses doigts caresse ma chevelure. Je laisse mes mains caresser son dos, allant tendrement caresser sa langue. Je l’aime, s’en est devenue ma drogue, et je ne veux pas que sa s’arrête, je vint la serrer dans mes bras, laissant mon cœur s’exprimer. Ont se détachent doucement, et je vint lui caresser la joue lui offrant mon plus beau sourire.
Moi – je t’aime ma chérie, je t’aime si fort.
Michiru – moi aussi Haru et vraiment très fort.
Je lui sourit, l’embrasse doucement, et c’est avec le cœur léger et sa main dans la mienne, que nous descendions les escaliers.
Betty – à vous voilà … Haruka ? Mais enfin qu’es ce qui t’arrive ?
Clément – ta les yeux rouge.
Moi – ce n’est rien, c’est juste un trop plein d’émotion !
Je prit tendrement Michi dans mes bras, et vint la câliner. Sa tête se pose sur mon épaule gauche, et ses mains s’emêlent avec les miennes.
Moi – en tout cas merci beaucoup, c’est très gentil d’avoir penser à mon anniversaire !
Clément – oh mais tu sais, c’est surtout Michiru qu’il faut remercier, c’est elle qui a tout organisée.
Je sourit, regarde ma douce dans les yeux et lui dit en caressant son ventre :
Moi – dans ce cas … Merci à toi mon trésor.
Michiru – ce n’est rien, c’est tout naturelle !
Je lui sourit, et dépose tendrement mes lèvres sur les siennes. Oui maintenant je c’est que avec elle je peux être heureuse.
Puis après ce doux baiser, Betty et Clément mon offert mes cadeaux. Clément m’a offert un livre sur les blagues, et cela me fit rire, repensant à nos petits délire en salle des professeurs. Betty elle m’avait donné un cadre avec comme photo toute l’équipe des enseignant avec chacun leur signature.
Moi – merci, sa me fait siupère plaisir !
Betty – j’espère que tu continuera à être une exélente professeur !
Moi – ne t’inquiète pas pour sa.
Puis j’ai vue Michi se mettre face à Betty, se qui me surpris.
Michiru – madame Clife, je ne vous demande pas de sauter de joie face à notre révélation, juste à accepter le fait que nous soyons ensemble, vous savez, je l’aime profondément et sincèrement, et ne souhaite que son bonheur.
Elle c’est tourné vers moi et a dis :
Michiru – peut importe notre statu, je continuerais à l’aimer aussi fort que je le peut, c’est pourquoi aujourd’hui mercredi 15 décembre j’ai quelque chose d’important à lui demander, et je ne prend pas sa à la légère, je suis tout à fait sérieuse.
Elle commence à me faire peur, bien qu’elle aborde un magnifique sourire, je me demande bien se qu’elle a derrière la tête. Je voie ses mains prendre les miennes, et ses jolie yeux azur caresse mes prunelle émeraude.
Michiru – Haruka, depuis notre rencontre tu as réussi à faire de ma vie un véritable compte de fée, j’aimerais à mon tour pouvoir rendre la tienne encore plus belle et faire de notre histoire une merveilleuse aventure. Alors moi Michiru Kaio j’aimerais te demander quelque chose !
Ne me dite pas que … Ce n’est pas vrai, si c’est bien se que je pense elle va me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà. Je la voie poser son genoux droit sur le sol, et sortir d’une petite poche de son cache coeur une boîte noir, non, ma tendre chérie je t’aime.
Elle a doucement ouvert l’écrin, là ou je vis tout mon bonheur.
Michiru – par cette bague, j’aimerais te demander sincèrement … Haruka Tenoh veux tu devenir ma femme.
Je ne sais plus quoi dire, je n’aurais jamais crue qu’elle puisse avoir le courage de demander ma main, je m’approche d’elle, et la relève, la dévisageant avec tendresse. Je caresse sa joue, et lui répond avec le sourire :
Moi – oui je le veux.
Son sourire c’est agrandit, et elle ma passée la bague au doigt. Je vint la prendre dans mes bras, lui prend le menton et lui dit tendrement :
Moi – j’espère que tu sais dans quoi tu viens de t’embarquer ? Je ne compte plus te lâcher … Ma chérie si tu savait à quel point je suis heureuse.
Michiru – oui, je sais dans quoi je m’embarque, mais si c’est avec toi, alors je suis prête à tout, et je suis de même très heureuse … Uni à jamais ma jolie blonde ?
Moi – Uni à jamais mon trésor.
Et après ses paroles tendre nos lèvres vinrent crée un instant magique et amoureux. Je n’en reviens pas, elle a eu le courage de me le demander, moi je compter lui faire ma demande le jour de noël, mais le fait que Michi est fait le premier pat me prouve encore une fois que je ne regrette pas notre union. Et que je suis prête à m’engager sérieusement avec elle. On se décollent doucement, et le sourire aux lèvres, je vint l’enlacer tendrement dans mes bras.
Clément – alors sa … C’est une surprise, toute mes félicitations et mes vœux de bonheur les plus sincère à vous deux.
Moi – merci Clément.
Michiru – merci monsieur !
Betty – Haruka, j’espère que tu sais dans quoi tu t’engages !
Moi – oui je le sais parfaitement, mais voies tu, j’ai enfin eu la chance de rencontrer le grand amour, et je ne veux pas le laisser filer. Je l’aime et veux construire mon futur dans ses bras.
Elle c’est mise à sourire, et ses lèvres ont tendrement embrassé ma joue. Je la regarde avec amour, caresse son ventre, et l’embrassa à mon tour sur sa tampe droite.
Betty – bon eh bien … Toutes mes félicitations et que sa dure.
Michiru – merci beaucoup madame Clife !
Moi – merci Betty, merci beaucoup.
Et après sa, nous avons continuer à discuter en mangeant le gâteau que Michi et Betty avait fait. Et c’est plus heureuse que jamais que je câlina Michi tout au long de la soirée. Je l’aime et je compte bien la garder prisonnière de mon cœur.
Et voila c’est fini ^^ bon le chapitre 7 est en cour d’écriture, mais je ferait au plus vite pour le poster. [/i]
Dim 20 Oct 2013, 18:16 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Qui veut la peau d'agatha christie ?
Je viens une dernière fois rendre grâce à ce site pour m’avoir permis plus ou moins régulièrement toutes ces années de rêver et de créer du beau (au moins l’ai-je essayé bien humblement) tout en me régalant d’écriture et de relecture.
Dois-je citer toutes les oeuvres qui ont nourri mes textes bien que ces derniers en soient indignes ? Je risque fort de me montrer ingrate et d’en oublier parmi les plus importants : "Les confessions d’un enfant du siècle" d’Alfred de Musset, "La promesse de L’ange" de Frédéric Lenoir qui relate les amours tragiques entre un homme consacré et une guérisseuse (la structure romanesque est merveilleuse), sans oublier le "Manifeste pour une renaissance" : parmi les ouvrages de Bernard Besret qui m’ont été donnés de lire, c’est ce dernier qui m’a sans doute le plus marquée (de par sa proximité avec mon propre cheminement existentiel sans doute).
Je ne viendrai plus pour plusieurs raisons, ces écrits qui n’avaient pour but que de me récréer tout en me tenant lieu parfois d’exutoire ont été profanés un peu comme ces tombes par des personnes malveillantes et qui pour couvrir leurs frasques cherchent dans l’écriture les preuves d’une culpabilité de l’auteur qu’il savent chimériques... C’est un procédé fort astucieux que de vouloir déplacer le centre de gravité d’une affaire : mettre sous le feu des projecteurs non plus l’assassin mais le bouc émissaire. C’est courant, Combien de violeurs protestent de leur innocence en montrant du doigt leurs victimes : ces viles aguicheuses... A qui profite le crime ?! Ces honnêtes hommes (ou femmes) qui au demeurant ont parfois pignon sur rue, ne manqueraient pas, tout couverts du sang de leur dernier forfait, de pointer le même index accusateur : regardez, c’est Agatha Christie, coupable de crime avec préméditation, elle a même couché ses (nombreux) aveux par écrit. Ce faisant, ils ajoutent à leur scélératesse, la calomnie...
La seconde raison, et bien ! Il s’agissait pour moi de venir sublimer un célibat imposé par un divorce qui perdura durant dix longues années de solitude (encore un ouvrage merveilleux : cien anos de soledad de Gabriel Garcia Marquez)...
Le temps est un sérum de vérité, il renforce et grandit l’âme de ceux qui ont le coeur droit - dans l’épreuve - et montre la vraie nature de qui est vil. S’il m’est arrivé de m’indigner, de pleurer voire de tempêter devant l’aveuglement des hommes et des femmes qui portent la charge de rendre la justice, je n’ai jamais trahi la rectitude qui est ma marque de fabrique et si j’ai le verbe haut, j’ai le coeur droit (certains ne se sont donnés que la peine de naître et de naître nantis cela leur tient lieu d’honneur et de probité. ceux-là ne sont pas mes cousins).
Une fois de plus, je ne peux que rendre hommage à Gisèle Halimi que j’ai eu la grâce de rencontrer et qui me confiait lors d’une interview (à l’occasion de la sortie de son livre "L’étrange Monsieur K") combien il est difficile de défendre un innocent. Ce dernier est de fait indéfendable, il n’a que lui, que la vérité et cette dernière ne porte pas un label spécial qui la distingue des contrefaçons. Il crie, il pleure, il gronde, il a peur et tout cela indispose. Prenez un coupable : il dispose de tout une batterie : mensonge, abus de pouvoir, manipulation, faux et usage de faux, il sourit, il affiche un calme olympien et sourit d’autant mieux qu’il sait ses mauvais procédés couronnés de succès.
Mais quelle que soit l’issue des procès et que l’on condamne ou pas Agatha ou K, mes frères, pour les crimes qu’ils n’ont pas commis, aucune erreur judiciaire ne changera la nature réelle de l’homme, celui qui est bon et droit ne peut être avili. Celui qui juge et qui se trompe peut en son âme et conscience en éprouver des regrets et peut-être un tourment secret : ne me suis-je pas trompé, mon intuition était-elle bonne, n’étais-je pas sous influence ? Quelle charge faisons-nous porter sur des épaules humaines ! Mais qu’ils se rassurent, l’homme coupable porte en lui le germe de sa condamnation et lui se connaît intimement, il n’est pas dupe de sa noirceur. Son propre jugement n’en sera que plus éclatant.
Il ne me reste plus qu’à tirer ma révérence d’un hommage appuyé à l’administrateur du site, mon bien cher et respecté Petit Prince pour sa confiance et sa bienveillance durant ces longues années. Un clin d’oeil à vous chères âmes tendres que j’ai eu la joie de lire et de relire, avec qui, parfois, les fils fragiles de l’amitié épistolaire se sont tissés.
Je vous souhaite de belles et tendres heures d’écriture avec la pulsation de vos coeurs à la pointe de vos plumes.
Bien scripturalement vôtre,
Dolce Vita
Dois-je citer toutes les oeuvres qui ont nourri mes textes bien que ces derniers en soient indignes ? Je risque fort de me montrer ingrate et d’en oublier parmi les plus importants : "Les confessions d’un enfant du siècle" d’Alfred de Musset, "La promesse de L’ange" de Frédéric Lenoir qui relate les amours tragiques entre un homme consacré et une guérisseuse (la structure romanesque est merveilleuse), sans oublier le "Manifeste pour une renaissance" : parmi les ouvrages de Bernard Besret qui m’ont été donnés de lire, c’est ce dernier qui m’a sans doute le plus marquée (de par sa proximité avec mon propre cheminement existentiel sans doute).
Je ne viendrai plus pour plusieurs raisons, ces écrits qui n’avaient pour but que de me récréer tout en me tenant lieu parfois d’exutoire ont été profanés un peu comme ces tombes par des personnes malveillantes et qui pour couvrir leurs frasques cherchent dans l’écriture les preuves d’une culpabilité de l’auteur qu’il savent chimériques... C’est un procédé fort astucieux que de vouloir déplacer le centre de gravité d’une affaire : mettre sous le feu des projecteurs non plus l’assassin mais le bouc émissaire. C’est courant, Combien de violeurs protestent de leur innocence en montrant du doigt leurs victimes : ces viles aguicheuses... A qui profite le crime ?! Ces honnêtes hommes (ou femmes) qui au demeurant ont parfois pignon sur rue, ne manqueraient pas, tout couverts du sang de leur dernier forfait, de pointer le même index accusateur : regardez, c’est Agatha Christie, coupable de crime avec préméditation, elle a même couché ses (nombreux) aveux par écrit. Ce faisant, ils ajoutent à leur scélératesse, la calomnie...
La seconde raison, et bien ! Il s’agissait pour moi de venir sublimer un célibat imposé par un divorce qui perdura durant dix longues années de solitude (encore un ouvrage merveilleux : cien anos de soledad de Gabriel Garcia Marquez)...
Le temps est un sérum de vérité, il renforce et grandit l’âme de ceux qui ont le coeur droit - dans l’épreuve - et montre la vraie nature de qui est vil. S’il m’est arrivé de m’indigner, de pleurer voire de tempêter devant l’aveuglement des hommes et des femmes qui portent la charge de rendre la justice, je n’ai jamais trahi la rectitude qui est ma marque de fabrique et si j’ai le verbe haut, j’ai le coeur droit (certains ne se sont donnés que la peine de naître et de naître nantis cela leur tient lieu d’honneur et de probité. ceux-là ne sont pas mes cousins).
Une fois de plus, je ne peux que rendre hommage à Gisèle Halimi que j’ai eu la grâce de rencontrer et qui me confiait lors d’une interview (à l’occasion de la sortie de son livre "L’étrange Monsieur K") combien il est difficile de défendre un innocent. Ce dernier est de fait indéfendable, il n’a que lui, que la vérité et cette dernière ne porte pas un label spécial qui la distingue des contrefaçons. Il crie, il pleure, il gronde, il a peur et tout cela indispose. Prenez un coupable : il dispose de tout une batterie : mensonge, abus de pouvoir, manipulation, faux et usage de faux, il sourit, il affiche un calme olympien et sourit d’autant mieux qu’il sait ses mauvais procédés couronnés de succès.
Mais quelle que soit l’issue des procès et que l’on condamne ou pas Agatha ou K, mes frères, pour les crimes qu’ils n’ont pas commis, aucune erreur judiciaire ne changera la nature réelle de l’homme, celui qui est bon et droit ne peut être avili. Celui qui juge et qui se trompe peut en son âme et conscience en éprouver des regrets et peut-être un tourment secret : ne me suis-je pas trompé, mon intuition était-elle bonne, n’étais-je pas sous influence ? Quelle charge faisons-nous porter sur des épaules humaines ! Mais qu’ils se rassurent, l’homme coupable porte en lui le germe de sa condamnation et lui se connaît intimement, il n’est pas dupe de sa noirceur. Son propre jugement n’en sera que plus éclatant.
Il ne me reste plus qu’à tirer ma révérence d’un hommage appuyé à l’administrateur du site, mon bien cher et respecté Petit Prince pour sa confiance et sa bienveillance durant ces longues années. Un clin d’oeil à vous chères âmes tendres que j’ai eu la joie de lire et de relire, avec qui, parfois, les fils fragiles de l’amitié épistolaire se sont tissés.
Je vous souhaite de belles et tendres heures d’écriture avec la pulsation de vos coeurs à la pointe de vos plumes.
Bien scripturalement vôtre,
Dolce Vita
Mer 20 Juin 2012, 15:13 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Amour fou
Sombrer dans la folie ? je le pourrais sans aucun doute. Je passerais mon temps à errer dans la ville ou la forêt, passant d’un monde à l’autre. Les arbres me caresseraient de leurs feuilles douces commes des plumes, le béton m’asborberait pour me lover dans les entrailles de la terre, et les écureuils me conteraient des histoires fantastiques dont eux seuls auraient le secret.
Ah ce que j’aimerais être folle et ne plus me soucier de ce monde oppressant, sans cesse dans la demande d’une perfection futile dénuée de charme. C’est dans les défauts et les différences que l’on devient productif, puisqu’il s’agit là de "gommer" en nous ce qui dérangerait l’autre, afin d’être apprécié de lui. Ou alors, au contraire, assumer sa différence pour s’affirmer et se démarquer.
Sornettes que tout cela ! Heureux le simple d’esprit qui s’émerveille en regardant ses doigts, persuadé qu’il converse avec son meilleur ami à propos d’extraordirnaires théories visant à un monde meilleur.
La limite entre la folie et la normalité n’est pas grande et son équilibre ne tient qu’à un fil. On pourrait croire certains fous normaux et l’on passe son temps à rencontrer des gens normaux complètement fous. Qu’importe ! On ne cautionne ni l’un ni l’autre. Le fou est surement plus à même que nous, d’accepter l’autre tel qu’il est. Notre état de conscience se démélant sans cesse du bien et du mal, de l’amour et de la haine, fait de nous des êtres de jugement complètement inconscients. Le fou lui, ne se posera pas la question.
La folie n’empêche pas la souffrance bien au contraire, puisque c’est bien cela que les soignants passent leur temps à combattre. Mais peut être l’aténue t’elle ou lui donne t’elle un tout autre sens dans ce monde spécial sans limite.
J’aimerais pouvoir franchir cette barrière qui nous sépare injustement et te regarder avec les yeux d’un fou.
Ah ce que j’aimerais être folle et ne plus me soucier de ce monde oppressant, sans cesse dans la demande d’une perfection futile dénuée de charme. C’est dans les défauts et les différences que l’on devient productif, puisqu’il s’agit là de "gommer" en nous ce qui dérangerait l’autre, afin d’être apprécié de lui. Ou alors, au contraire, assumer sa différence pour s’affirmer et se démarquer.
Sornettes que tout cela ! Heureux le simple d’esprit qui s’émerveille en regardant ses doigts, persuadé qu’il converse avec son meilleur ami à propos d’extraordirnaires théories visant à un monde meilleur.
La limite entre la folie et la normalité n’est pas grande et son équilibre ne tient qu’à un fil. On pourrait croire certains fous normaux et l’on passe son temps à rencontrer des gens normaux complètement fous. Qu’importe ! On ne cautionne ni l’un ni l’autre. Le fou est surement plus à même que nous, d’accepter l’autre tel qu’il est. Notre état de conscience se démélant sans cesse du bien et du mal, de l’amour et de la haine, fait de nous des êtres de jugement complètement inconscients. Le fou lui, ne se posera pas la question.
La folie n’empêche pas la souffrance bien au contraire, puisque c’est bien cela que les soignants passent leur temps à combattre. Mais peut être l’aténue t’elle ou lui donne t’elle un tout autre sens dans ce monde spécial sans limite.
J’aimerais pouvoir franchir cette barrière qui nous sépare injustement et te regarder avec les yeux d’un fou.
Dim 09 Jan 2011, 00:22 par
Atina sur L'amour en vrac
Nouvelle (1er essai...)
Bonjour à tous et à toutes, voici le premier récit que je poste, je ne sais pas s’il a sa place ici mais pour ceux qui prendront le temps de le lire, j’espère avoir quelques commentaires positifs ou négatifs avant de mettre éventuellement la suite.
Merci d’avance et bonne lecture
Le pêché original: vendredi 6 novembre 2009
Le vieux port de Dunkerque ressemblait toujours à une zone sinistrée quand arrivait le mois de novembre.
Quand la brume le recouvrant le rendait si triste et déprimant.
Il n’y avait qu’en été qu’on pouvait en se forçant un peu, imaginer un beau paysage estival, quand les cafés sortaient leurs tables en terrasses et les ménagères leurs trois géraniums sur les balcons.
Non, Dunkerque n’avait rien de la Côte d’Azur… même sa mer n’était plus bleue.
S’il y avait des touristes, ils venaient en automne pour les fêtes traditionnelles… et encore.
Maxence était né là, dans cette petite bourgade à côté de la ville. Malo les bains. Malo pour ceux qui y vivent. Sans doute le quartier de Dunkerque le plus…, le moins… bref. Malo les Bains.
Tous les matins, il enfourchait son vélo pour aller étudier au lycée, le samedi, il rangeait les rayons liquides du supermarché près de chez lui et trois fois par semaine, il allait s’entraîner au foot dans le club du village.
Si vous demandiez à un habitant du village comment il qualifierait Maxence Galbert, un seul adjectif lui viendrait à l’esprit : seul.
Maxence n’avait ni frère ni sœurs, discutait et déconnait avec les autres à l’école sans vraiment s’en faire des amis et on ne l’avait vu qu’une ou deux fois en compagnie d’une demoiselle.
Pourtant, tout en lui imposait sa présence de sorte qu’il ne passait jamais inaperçu.
Une carrure de sportif, une voix rauque modelée par la cigarette, et de beaux yeux bleus. Si profonds. Et pourtant tellement vides.
Tout le monde au village de Malo, vous dirait que Maxence était un garçon simple et sans histoire, et même que ses parents avaient de quoi être fiers, que c’était sûr, il deviendrait quelqu’un ce petit gars.
Le petit gars aimait étudier, il aimait le vélo et le football et s’accommodait de sa vie.
Comment dit on déjà dans les histoires ? Vous savez… une fois que l’auteur a situé le cadre, présenté son premier personnage, l’intrigue arrive. Comment fait-on la transition ? « Jusqu’au jour ou »…, mais était ce bien un jour précis ? « Quand tout à coup » non. Il faut se souvenir du contexte. Rien n’a de sens sans lui. Bon aller, transitionnons, va pour le « Et un jour ».
Un jour son entraineur lui téléphona.
-Je suis désolé Maxence, je ne peux pas te laisser en équipe deux si tu n’es même pas présent aux matchs de la saison.
-Mais coach, je viens tous les lundis et mercredis…
-Je sais que tu suis les entraînements, mais je sais aussi que tu ne peux pas laisser tomber ton job au magasin… qu’est ce que tu veux que je te dise, Max ça me fait chier moi aussi… mais l’équipe 3 est bonne cette année…, et comme ça tu pourras au moins jouer les dimanches…
Maxence raccrocha sans insister.
Il entendait en bas sa mère pleurer, sans doute à cause de son abruti de père, il y avait cette interro à préparer pour le lendemain et il venait d’être rétrograder au foot.
C’était une mauvaise journée.
Très souvent les joueurs qui avaient été admis en équipe 2 avaient une véritable chance de jouer en équipe 1 un jour dans leur vie.
C’était ce à quoi pensait Maxence en contemplant depuis les gradins l’équipe 3 s’entraîner sur la pelouse.
Les joueurs de l’équipe 3 étaient soit trop nuls et stagnaient à ce niveau, soit plutôt doués mais n’en avait strictement rien à foutre.
Emmanuel faisait parti de cette dernière catégorie.
Trop occupé qu’il était par le conservatoire de musique et ses cours, il aimait venir jouer pour se détendre et avouons le, parce qu’il ne vous le dira pas, pour se muscler un peu.
Il descendait les marches des tribunes, en retard comme à son habitude pour l’entraînement quand Maxence se leva pour rentrer et sans vraiment regarder ou il allait, manqua de le bousculer au passage.
-Désolé, bougonna t’il en continuant son chemin.
Mais l’autre répondit dans un petit rire moqueur :
-Faut ouvrir les yeux !
Alors il les leva, se retourna pour regarder le type et le détailla un instant.
Il n’était pas bien grand, pas bien costaud non plus.
Ses cheveux noirs étaient en bataille et supportaient un énorme casque de mp3.
Il portait un long manteau fourré noir au-dessus d’un jogging bleu marine et un sac en bandoulière vert au lieu du grand sac de sport traditionnel.
Voilà, c’est comme ça qu’il le vit.
La première fois.
-Tu veux t’inscrire dans l’équipe ? demanda l’inconnu.
Maxence pensa que ce petit merdeux se la jouait un peu trop, mais ce n’était pas dans ses habitudes, - du moins il essayait – de s’énerver contre quelqu’un.
Il chercha alors simplement à le remettre à sa place
-Ouais, lança t’il, j’étais en équipe 2 avant.
Mais voilà que l’autre prit un air compatissant.
-Recalé ?
-Non… j’étais pas libre pour les matchs c’est tout… je dois voir Monsieur… Shesko.
-Ouais, c’est not’ coach, il est là en bas.
Emmanuel regarda sa montre, il était plus en retard qu’il ne le croyait.
-L’entraînement se termine dans 20 min, t’ as qu’à l’attendre.
-Non, j’allais rentrer et puis ça presse pas… merci.
-… Salut.
Quand Maxence fut de retour chez lui, il s’allongea en essayant de penser à autre chose qu’à l’interro qu’il avait raté le matin, autre chose qu’au visage de sa mère qui n’avait même pas oser le regarder quand il était entré et autre chose qu’à l’équipe de foot dans lequel il était obligé de jouer…
-Recalé ?
Ouais c’est ça ouais…
Ses journées se ressemblaient toutes et celles ou il ne passait rien étaient toujours meilleures que les autres.
Parce qu’il était très rare que quelque chose de bien ne lui arrive.
Il chercha à occuper son esprit et repensa à ce type au walkman qu’il avait croisé, il ne se souvenait pas de l’avoir déjà vu au lycée ni même de le connaître d’ailleurs
De toute façon, il ne connaissait pas grand monde.
Dans le même village, approximativement au même moment, le garçon au walkman était lui aussi allongé sur son lit et regardait la rediffusion du film M. Le Maudit.
Comme il le connaissait par cœur, son esprit se perdit à repenser à ce type croisé dans les gradins.
S’il jouait en équipe 2 alors c’était normal qu’il ne lui disait rien.
Il avait l’air spécial, pas très causant en tout cas.
Un gars de la campagne avait-il pensé, comme il en croisait tous les jours depuis qu’il habitait ce coin perdu.
Il s’était penché jusque sous son lit ou s’amoncelait une pile de paperasse et y avait extirpé le carnet de l’équipe de Dunkerque.
De petites photos en noir et blanc présentaient aux supporters les joueurs de la saison et il trouva effectivement la photo du jeune homme dans les pages de l’équipe 2.
Il s’appelait Maxence Galbert, et ils avaient le même âge.
Le bruit d’une basket qui donne des coups sur le carrelage d’un lycée résonne jusqu’au fond du couloir.
Si Maxence était pourtant de nature assez patiente d’habitude, il s’énervait un peu que son professeur de français le fasse poireauter ainsi depuis plus d’une demi-heure devant la salle des profs.
Quand enfin celui ci en sortit, transpirant et exténué, Maxence se recomposa un visage de circonstance.
-Ah! Monsieur Galbert, excusez-moi de vous avoir fait attendre… les réunions de rentrée sont toujours longues…
-Aucun problème
Le prof agita sa mallette pour en sortir une feuille aussi soigneusement pliée que lorsque Maxence le lui avait remise.
-Alors j’ai lu votre lettre de motivation pour intégrer l’école en tant qu’intervenant stagiaire pour le mois de juin et si vous voulez, je peux la transmettre moi-même à la directrice…
-Ce serait super.
-Elle est très bien seulement, vous devriez peut-être insister sur le fait que vous souhaiter présenter l’IUFM après votre diplôme, comme ça…
-Oui, d’accord…
-Je dois vous prévenir que compte tenu de votre âge vous aurez sûrement en charge les petites sections… en tout cas pour cette année.
Maxence sourit même si d’avoir en charge des touts petits ne l’enchantait guère.
-Aucun problème.
Maxence n’avait jamais de problème.
-Bien monsieur Galbert, je … oh là là déjà 18h30, le vendredi c’est la folie pour les métros, je dois vous laisser…
Maxence ouvrit des yeux ronds :
-On est vendredi ?
-Jusqu’à demain oui
-Oh… mes horaires ont changé, je… je suis en retard pour l’entraînement …
Maxence s’élança dans les escaliers, il entendait encore la voix de son professeur résonner dans les étages :
-En tout cas continuer comme ça monsieur Galbert, vous faites du bon travail…
Si Maxence était arrivé essoufflé dans les vestiaires du stade et se dépêchait de se changer pour rejoindre les autres sur le terrain, le joueur qui venait d’entrer en laissant tomber son sac dans un casier n’avait pas l’air aussi pressé.
Maxence reconnu le gars au walkman… à son casque de walkman.
-Tiens salut, fit ce dernier, le reconnaissant à son tour.
-Salut…
Les deux jeunes hommes se fixaient, un peu gêné que l’autre ne dise rien dans ce moment de contemplation muette et ridicule.
Emmanuel coupa court rapidement au silence en posant la question à laquelle il connaissait déjà la réponse.
-C’est comment ton nom déjà ?
-Maxence.
-Ravi de te connaître Maxence, moi c’est Emmanuel, mais on m’appelle Manu.
-… moi… on m’appelle Max.
C’était vrai, peu de gens l’appelaient mais quand ils l’appelaient, ils l’appelaient Max.
Emmanuel sourit en retroussant son sweat-shirt :
-Et ben, on est en retard Max.
Une fois l’entraînement terminé et une fois que Maxence avait largement prouvé ses compétences à sa nouvelle équipe, les joueurs retournèrent au vestiaire.
Maxence y trouva une ambiance bon enfant, bien différente de la fierté et du sérieux de l’équipe 2.
-Dis donc le nouveau, je sais pas si t’as ta place dans c’t’équipe… t’es balaise !
En règle générale, Maxence parlait peu, répondant au minimum pour la politesse mais ne se laissait pas faire… loin de là.
Il dévisagea le garçon qui se tenait tout nu devant lui.
Plutôt petit par rapport à lui mais assez grassouillet, il se rendit compte que ce petit caïd ne cherchait pas à le provoquer mais plutôt à l’accueillir de façon maladroite.
Comme tout un chacun dans le vestiaire le scrutait en s’habillant, il ne voulut pas non plus se faire remarquer.
En regardant autour de lui, il vit Emmanuel sortir son visage de dessous de son pull.
Comme les autres il le regardait, comme les autres il attendait une réponse.
Ah, oui une réponse…
- Ouais, je joue depuis longtemps, j’étais en équipe 2 mais je suis redescendu.
- Et bien bienvenue en tout cas… tu verras, on est peut-être pas des flèches mais nos troisièmes mi-temps, au moins elles valent le coup.
Fou rire de l’assistance, Maxence se surprit à sourire.
Il se retourna et entreprit de se rhabiller tandis qu’Emmanuel de l’autre coté, continuait de le regarder.
Un quart d’heure plus tard, alors que tous étaient déjà repartis, Emmanuel était toujours assis sur un banc du stade en face de l’entrée.
Il avait vu Maxence entré dans le bureau du coach probablement pour signer sa nouvelle licence.
Et il n’était pas rentré chez lui tout de suite.
Pourquoi il l’attendait là dans le froid, il ne le savait pas
Il l’avait observé tout au long de l’entraînement, son jeu était parfait, cette rapidité et cette concentration sur le ballon l’avait impressionné.
Mais ce qui l’avait le plus troublé était probablement lorsqu’il avait enlevé son maillot dans les vestiaires, là au milieu de tous les autres.
Des joueurs à poils, il en avait déjà vu à la pelle… mais jamais il n’avait eu cette sensation là.
Au point de ne plus pouvoir décrocher son regard de ce mec.
Il avait secoué la tête pour recouvrer ses esprits et était sortit en trombe.
Pourquoi il l’attendait… non vraiment il ne le savait pas.
Est-ce qu’il l’attendait en fait ?
Etant donné qu’il scrutait la porte du bâtiment… il se pourrait que oui.
Il sentit son cœur bondir quand celle ci s’ouvrit laissant échapper un halo de lumière que le grand corps de Maxence recouvrait d’une zone d’ombre.
Il le sentit tressauter dans sa poitrine quand celui ci se mit à avancer dans sa direction.
Emmanuel cracha par terre comme pour se vider de tout ce qui se passait en lui et quand Maxence fut à 2 mètres de lui, il engagea le premier la conversation pour se donner une contenance.
-Je croyais que tu ne t’étais pas fait recaler…
Maxence fut surpris une seconde puis finit par sourire… il ne pensait pas qu’il s’en souviendrait.
-C’est pas le cas, mais je pensais qu’il valait mieux leur faire croire…, je voulais pas être mal vu…
Emmanuel ria
-T’inquiètes, je suis une vraie tombe… et puis c’est un petit mensonge.
Le silence s’installait, mais aucun ne se décidait à partir.
-Qu’est ce que tu fais encore là, t’attends ta copine ?
-Ouais… mentit Emmanuel, mais je crois qu’elle m’a posé un lapin.
-Dommage pour toi. répondit Maxence.
-Tu rentres à pieds ?
-Ouais, mon vélo est à plat.
-Je te ramène si tu veux, je suis en voiture.
-… Ok.
Merci d’avance et bonne lecture
Le pêché original: vendredi 6 novembre 2009
Le vieux port de Dunkerque ressemblait toujours à une zone sinistrée quand arrivait le mois de novembre.
Quand la brume le recouvrant le rendait si triste et déprimant.
Il n’y avait qu’en été qu’on pouvait en se forçant un peu, imaginer un beau paysage estival, quand les cafés sortaient leurs tables en terrasses et les ménagères leurs trois géraniums sur les balcons.
Non, Dunkerque n’avait rien de la Côte d’Azur… même sa mer n’était plus bleue.
S’il y avait des touristes, ils venaient en automne pour les fêtes traditionnelles… et encore.
Maxence était né là, dans cette petite bourgade à côté de la ville. Malo les bains. Malo pour ceux qui y vivent. Sans doute le quartier de Dunkerque le plus…, le moins… bref. Malo les Bains.
Tous les matins, il enfourchait son vélo pour aller étudier au lycée, le samedi, il rangeait les rayons liquides du supermarché près de chez lui et trois fois par semaine, il allait s’entraîner au foot dans le club du village.
Si vous demandiez à un habitant du village comment il qualifierait Maxence Galbert, un seul adjectif lui viendrait à l’esprit : seul.
Maxence n’avait ni frère ni sœurs, discutait et déconnait avec les autres à l’école sans vraiment s’en faire des amis et on ne l’avait vu qu’une ou deux fois en compagnie d’une demoiselle.
Pourtant, tout en lui imposait sa présence de sorte qu’il ne passait jamais inaperçu.
Une carrure de sportif, une voix rauque modelée par la cigarette, et de beaux yeux bleus. Si profonds. Et pourtant tellement vides.
Tout le monde au village de Malo, vous dirait que Maxence était un garçon simple et sans histoire, et même que ses parents avaient de quoi être fiers, que c’était sûr, il deviendrait quelqu’un ce petit gars.
Le petit gars aimait étudier, il aimait le vélo et le football et s’accommodait de sa vie.
Comment dit on déjà dans les histoires ? Vous savez… une fois que l’auteur a situé le cadre, présenté son premier personnage, l’intrigue arrive. Comment fait-on la transition ? « Jusqu’au jour ou »…, mais était ce bien un jour précis ? « Quand tout à coup » non. Il faut se souvenir du contexte. Rien n’a de sens sans lui. Bon aller, transitionnons, va pour le « Et un jour ».
Un jour son entraineur lui téléphona.
-Je suis désolé Maxence, je ne peux pas te laisser en équipe deux si tu n’es même pas présent aux matchs de la saison.
-Mais coach, je viens tous les lundis et mercredis…
-Je sais que tu suis les entraînements, mais je sais aussi que tu ne peux pas laisser tomber ton job au magasin… qu’est ce que tu veux que je te dise, Max ça me fait chier moi aussi… mais l’équipe 3 est bonne cette année…, et comme ça tu pourras au moins jouer les dimanches…
Maxence raccrocha sans insister.
Il entendait en bas sa mère pleurer, sans doute à cause de son abruti de père, il y avait cette interro à préparer pour le lendemain et il venait d’être rétrograder au foot.
C’était une mauvaise journée.
Très souvent les joueurs qui avaient été admis en équipe 2 avaient une véritable chance de jouer en équipe 1 un jour dans leur vie.
C’était ce à quoi pensait Maxence en contemplant depuis les gradins l’équipe 3 s’entraîner sur la pelouse.
Les joueurs de l’équipe 3 étaient soit trop nuls et stagnaient à ce niveau, soit plutôt doués mais n’en avait strictement rien à foutre.
Emmanuel faisait parti de cette dernière catégorie.
Trop occupé qu’il était par le conservatoire de musique et ses cours, il aimait venir jouer pour se détendre et avouons le, parce qu’il ne vous le dira pas, pour se muscler un peu.
Il descendait les marches des tribunes, en retard comme à son habitude pour l’entraînement quand Maxence se leva pour rentrer et sans vraiment regarder ou il allait, manqua de le bousculer au passage.
-Désolé, bougonna t’il en continuant son chemin.
Mais l’autre répondit dans un petit rire moqueur :
-Faut ouvrir les yeux !
Alors il les leva, se retourna pour regarder le type et le détailla un instant.
Il n’était pas bien grand, pas bien costaud non plus.
Ses cheveux noirs étaient en bataille et supportaient un énorme casque de mp3.
Il portait un long manteau fourré noir au-dessus d’un jogging bleu marine et un sac en bandoulière vert au lieu du grand sac de sport traditionnel.
Voilà, c’est comme ça qu’il le vit.
La première fois.
-Tu veux t’inscrire dans l’équipe ? demanda l’inconnu.
Maxence pensa que ce petit merdeux se la jouait un peu trop, mais ce n’était pas dans ses habitudes, - du moins il essayait – de s’énerver contre quelqu’un.
Il chercha alors simplement à le remettre à sa place
-Ouais, lança t’il, j’étais en équipe 2 avant.
Mais voilà que l’autre prit un air compatissant.
-Recalé ?
-Non… j’étais pas libre pour les matchs c’est tout… je dois voir Monsieur… Shesko.
-Ouais, c’est not’ coach, il est là en bas.
Emmanuel regarda sa montre, il était plus en retard qu’il ne le croyait.
-L’entraînement se termine dans 20 min, t’ as qu’à l’attendre.
-Non, j’allais rentrer et puis ça presse pas… merci.
-… Salut.
Quand Maxence fut de retour chez lui, il s’allongea en essayant de penser à autre chose qu’à l’interro qu’il avait raté le matin, autre chose qu’au visage de sa mère qui n’avait même pas oser le regarder quand il était entré et autre chose qu’à l’équipe de foot dans lequel il était obligé de jouer…
-Recalé ?
Ouais c’est ça ouais…
Ses journées se ressemblaient toutes et celles ou il ne passait rien étaient toujours meilleures que les autres.
Parce qu’il était très rare que quelque chose de bien ne lui arrive.
Il chercha à occuper son esprit et repensa à ce type au walkman qu’il avait croisé, il ne se souvenait pas de l’avoir déjà vu au lycée ni même de le connaître d’ailleurs
De toute façon, il ne connaissait pas grand monde.
Dans le même village, approximativement au même moment, le garçon au walkman était lui aussi allongé sur son lit et regardait la rediffusion du film M. Le Maudit.
Comme il le connaissait par cœur, son esprit se perdit à repenser à ce type croisé dans les gradins.
S’il jouait en équipe 2 alors c’était normal qu’il ne lui disait rien.
Il avait l’air spécial, pas très causant en tout cas.
Un gars de la campagne avait-il pensé, comme il en croisait tous les jours depuis qu’il habitait ce coin perdu.
Il s’était penché jusque sous son lit ou s’amoncelait une pile de paperasse et y avait extirpé le carnet de l’équipe de Dunkerque.
De petites photos en noir et blanc présentaient aux supporters les joueurs de la saison et il trouva effectivement la photo du jeune homme dans les pages de l’équipe 2.
Il s’appelait Maxence Galbert, et ils avaient le même âge.
Le bruit d’une basket qui donne des coups sur le carrelage d’un lycée résonne jusqu’au fond du couloir.
Si Maxence était pourtant de nature assez patiente d’habitude, il s’énervait un peu que son professeur de français le fasse poireauter ainsi depuis plus d’une demi-heure devant la salle des profs.
Quand enfin celui ci en sortit, transpirant et exténué, Maxence se recomposa un visage de circonstance.
-Ah! Monsieur Galbert, excusez-moi de vous avoir fait attendre… les réunions de rentrée sont toujours longues…
-Aucun problème
Le prof agita sa mallette pour en sortir une feuille aussi soigneusement pliée que lorsque Maxence le lui avait remise.
-Alors j’ai lu votre lettre de motivation pour intégrer l’école en tant qu’intervenant stagiaire pour le mois de juin et si vous voulez, je peux la transmettre moi-même à la directrice…
-Ce serait super.
-Elle est très bien seulement, vous devriez peut-être insister sur le fait que vous souhaiter présenter l’IUFM après votre diplôme, comme ça…
-Oui, d’accord…
-Je dois vous prévenir que compte tenu de votre âge vous aurez sûrement en charge les petites sections… en tout cas pour cette année.
Maxence sourit même si d’avoir en charge des touts petits ne l’enchantait guère.
-Aucun problème.
Maxence n’avait jamais de problème.
-Bien monsieur Galbert, je … oh là là déjà 18h30, le vendredi c’est la folie pour les métros, je dois vous laisser…
Maxence ouvrit des yeux ronds :
-On est vendredi ?
-Jusqu’à demain oui
-Oh… mes horaires ont changé, je… je suis en retard pour l’entraînement …
Maxence s’élança dans les escaliers, il entendait encore la voix de son professeur résonner dans les étages :
-En tout cas continuer comme ça monsieur Galbert, vous faites du bon travail…
Si Maxence était arrivé essoufflé dans les vestiaires du stade et se dépêchait de se changer pour rejoindre les autres sur le terrain, le joueur qui venait d’entrer en laissant tomber son sac dans un casier n’avait pas l’air aussi pressé.
Maxence reconnu le gars au walkman… à son casque de walkman.
-Tiens salut, fit ce dernier, le reconnaissant à son tour.
-Salut…
Les deux jeunes hommes se fixaient, un peu gêné que l’autre ne dise rien dans ce moment de contemplation muette et ridicule.
Emmanuel coupa court rapidement au silence en posant la question à laquelle il connaissait déjà la réponse.
-C’est comment ton nom déjà ?
-Maxence.
-Ravi de te connaître Maxence, moi c’est Emmanuel, mais on m’appelle Manu.
-… moi… on m’appelle Max.
C’était vrai, peu de gens l’appelaient mais quand ils l’appelaient, ils l’appelaient Max.
Emmanuel sourit en retroussant son sweat-shirt :
-Et ben, on est en retard Max.
Une fois l’entraînement terminé et une fois que Maxence avait largement prouvé ses compétences à sa nouvelle équipe, les joueurs retournèrent au vestiaire.
Maxence y trouva une ambiance bon enfant, bien différente de la fierté et du sérieux de l’équipe 2.
-Dis donc le nouveau, je sais pas si t’as ta place dans c’t’équipe… t’es balaise !
En règle générale, Maxence parlait peu, répondant au minimum pour la politesse mais ne se laissait pas faire… loin de là.
Il dévisagea le garçon qui se tenait tout nu devant lui.
Plutôt petit par rapport à lui mais assez grassouillet, il se rendit compte que ce petit caïd ne cherchait pas à le provoquer mais plutôt à l’accueillir de façon maladroite.
Comme tout un chacun dans le vestiaire le scrutait en s’habillant, il ne voulut pas non plus se faire remarquer.
En regardant autour de lui, il vit Emmanuel sortir son visage de dessous de son pull.
Comme les autres il le regardait, comme les autres il attendait une réponse.
Ah, oui une réponse…
- Ouais, je joue depuis longtemps, j’étais en équipe 2 mais je suis redescendu.
- Et bien bienvenue en tout cas… tu verras, on est peut-être pas des flèches mais nos troisièmes mi-temps, au moins elles valent le coup.
Fou rire de l’assistance, Maxence se surprit à sourire.
Il se retourna et entreprit de se rhabiller tandis qu’Emmanuel de l’autre coté, continuait de le regarder.
Un quart d’heure plus tard, alors que tous étaient déjà repartis, Emmanuel était toujours assis sur un banc du stade en face de l’entrée.
Il avait vu Maxence entré dans le bureau du coach probablement pour signer sa nouvelle licence.
Et il n’était pas rentré chez lui tout de suite.
Pourquoi il l’attendait là dans le froid, il ne le savait pas
Il l’avait observé tout au long de l’entraînement, son jeu était parfait, cette rapidité et cette concentration sur le ballon l’avait impressionné.
Mais ce qui l’avait le plus troublé était probablement lorsqu’il avait enlevé son maillot dans les vestiaires, là au milieu de tous les autres.
Des joueurs à poils, il en avait déjà vu à la pelle… mais jamais il n’avait eu cette sensation là.
Au point de ne plus pouvoir décrocher son regard de ce mec.
Il avait secoué la tête pour recouvrer ses esprits et était sortit en trombe.
Pourquoi il l’attendait… non vraiment il ne le savait pas.
Est-ce qu’il l’attendait en fait ?
Etant donné qu’il scrutait la porte du bâtiment… il se pourrait que oui.
Il sentit son cœur bondir quand celle ci s’ouvrit laissant échapper un halo de lumière que le grand corps de Maxence recouvrait d’une zone d’ombre.
Il le sentit tressauter dans sa poitrine quand celui ci se mit à avancer dans sa direction.
Emmanuel cracha par terre comme pour se vider de tout ce qui se passait en lui et quand Maxence fut à 2 mètres de lui, il engagea le premier la conversation pour se donner une contenance.
-Je croyais que tu ne t’étais pas fait recaler…
Maxence fut surpris une seconde puis finit par sourire… il ne pensait pas qu’il s’en souviendrait.
-C’est pas le cas, mais je pensais qu’il valait mieux leur faire croire…, je voulais pas être mal vu…
Emmanuel ria
-T’inquiètes, je suis une vraie tombe… et puis c’est un petit mensonge.
Le silence s’installait, mais aucun ne se décidait à partir.
-Qu’est ce que tu fais encore là, t’attends ta copine ?
-Ouais… mentit Emmanuel, mais je crois qu’elle m’a posé un lapin.
-Dommage pour toi. répondit Maxence.
-Tu rentres à pieds ?
-Ouais, mon vélo est à plat.
-Je te ramène si tu veux, je suis en voiture.
-… Ok.
Ven 06 Nov 2009, 15:32 par
marina sur Histoires d'amour
Chaque Femme est unique ( 3 )...
L’espoir est que les hommes puissent comprendre ce qu’est être une femme,
Que les femmes puissent comprendre que les hommes ne sont ni à combattre ni à soumettre.
Que les hommes et les femmes puissent rester des amants.
Monique Canto-Sperber
Extrait du numéro spécial Libération " A quoi pensez-vous ? "
Que les femmes puissent comprendre que les hommes ne sont ni à combattre ni à soumettre.
Que les hommes et les femmes puissent rester des amants.
Monique Canto-Sperber
Extrait du numéro spécial Libération " A quoi pensez-vous ? "
Greatest Love Of All
I believe that children are our future
Teach them well and let them lead the way
Show them all the beauty they possess inside
Give them a sense of pride to make it easier
Let the children’s laughter remind us how we used to be
Everybody’s searching for a hero
People need someone to look up to
I never found anyone who fulfilled my needs
A lonely place to be
And so I learned to depend on me
I decided long ago, never to walk in anyone’s shadows
If I fail, if I succeed
At least I lived as I believe
No matter what they take from me
They can’t take away my dignity
Because the greatest love of all
Is happening to me
I found the greatest love of all
Inside of me
The greatest love of all
Is easy to achieve
Learning to love yourself
It is the greatest love of all
And if by chance, that special place
That you’ve been dreaming of
Leads you to a lonely place
Find your strength in love
Whitney Houston
Teach them well and let them lead the way
Show them all the beauty they possess inside
Give them a sense of pride to make it easier
Let the children’s laughter remind us how we used to be
Everybody’s searching for a hero
People need someone to look up to
I never found anyone who fulfilled my needs
A lonely place to be
And so I learned to depend on me
I decided long ago, never to walk in anyone’s shadows
If I fail, if I succeed
At least I lived as I believe
No matter what they take from me
They can’t take away my dignity
Because the greatest love of all
Is happening to me
I found the greatest love of all
Inside of me
The greatest love of all
Is easy to achieve
Learning to love yourself
It is the greatest love of all
And if by chance, that special place
That you’ve been dreaming of
Leads you to a lonely place
Find your strength in love
Whitney Houston
Dim 17 Déc 2006, 19:35 par
dolce vita sur Citations
Pour chaque âme tendre...
Vous seriez plus heureux si vous aviez plus d’argent, n’est-ce pas? Et si vous aviez plus de temps, et plus d’amour! Nous arrivons à nous convaincre que notre vie serait meilleure si nous nous marions, avons un enfant, un nouveau travail... Puis nous sommes frustrés parce que les enfants ne sont pas encore assez grands, et que ce serait bien SI... Après cela, nous sommes frustrés d’avoir des problèmes avec nos ados. Ce sera tellement mieux quand ils seront plus adultes! Nous nous disons que notre vie sera complète quand notre mari ou notre femme arrêtera de faire n’importe quoi, quand nous aurons une plus belle voiture, quand nous nous payerons des vacances de rêve, ou quand nous serons enfin à l’âge de la retraite. Ne remettez pas votre bonheur à demain. La vérité, c’est qu’il n’y a pas de meilleur moment pour être heureux que... MAINTENANT !!! Si ce n’est pas maintenant, quand y arriverez-vous? Votre vie sera toujours pleine de défis. C’est quand même mieux de l’accepter et d’être heureux DE TOUTES FACONS. Le bonheur est la voie. Donc appréciez chaque moment que vous vivez et aimez-le d’autant plus que vous le partagez avec quelqu’un de "spécial"... le temps ne vous attendra pas. Cessez donc d’attendre...
que votre voiture soit payée.
d’avoir une nouvelle voiture ou une nouvelle maison.
que vos enfants volent de leur propres ailes.
de retourner faire des études.
de perdre du poids.
de reprendre du poids.
de vous marier.
de divorcer.
d’avoir des enfants.
d’être enfin à la retraite.
l’été.
le printemps.
l’hiver
l’automne.
que la violence cesse.
Il n’y a pas de meilleur moment que MAINTENANT pour être heureux. Le bonheur est un voyage, pas une destination. Donc... Travaillez comme si vous n’aviez pas besoin d’argent. Aimez comme si vous n’aviez jamais été blessé. Dansez comme si personne ne vous regardait. Aimez chaque goutte du temps qui vous est donné, souriez, aimez la vie, aimez votre vie, aimez ce que vous faites. "Si vous aimez et devez éprouver des désirs, faites que ces désirs soient vôtres: Vous fondre en ce ruisseau onduleux qui chante une mélodie à la nuit. Eprouver la douleur d’un débordement de tendresse. Porter la blessure qui n’est due qu’à votre incompréhension de l’amour, Et à en laisser couler le sang joyeusement. Vous réveiller à l’aube avec un coeur ailé et rendre grâce pour cette nouvelle journée où il vous est permis d’aimer; Méditer ensuite sur l’extase de l’amour; Et revenir chez vous au crépuscule rempli de gratitude; Enfin, vous endormir avec en votre coeur une prière pour l’être aimé et sur vos lèvres un chant de louanges."
Autour du texte de Khalil Gibran
que votre voiture soit payée.
d’avoir une nouvelle voiture ou une nouvelle maison.
que vos enfants volent de leur propres ailes.
de retourner faire des études.
de perdre du poids.
de reprendre du poids.
de vous marier.
de divorcer.
d’avoir des enfants.
d’être enfin à la retraite.
l’été.
le printemps.
l’hiver
l’automne.
que la violence cesse.
Il n’y a pas de meilleur moment que MAINTENANT pour être heureux. Le bonheur est un voyage, pas une destination. Donc... Travaillez comme si vous n’aviez pas besoin d’argent. Aimez comme si vous n’aviez jamais été blessé. Dansez comme si personne ne vous regardait. Aimez chaque goutte du temps qui vous est donné, souriez, aimez la vie, aimez votre vie, aimez ce que vous faites. "Si vous aimez et devez éprouver des désirs, faites que ces désirs soient vôtres: Vous fondre en ce ruisseau onduleux qui chante une mélodie à la nuit. Eprouver la douleur d’un débordement de tendresse. Porter la blessure qui n’est due qu’à votre incompréhension de l’amour, Et à en laisser couler le sang joyeusement. Vous réveiller à l’aube avec un coeur ailé et rendre grâce pour cette nouvelle journée où il vous est permis d’aimer; Méditer ensuite sur l’extase de l’amour; Et revenir chez vous au crépuscule rempli de gratitude; Enfin, vous endormir avec en votre coeur une prière pour l’être aimé et sur vos lèvres un chant de louanges."
Autour du texte de Khalil Gibran
Jeu 11 Mai 2006, 15:29 par
dolce vita sur Citations
Une chanson triste.
Entre tous il y avait ce petit garçon qui l’attendait. Avec son bout de papier. Avec ses yeux perdus. Avec ses yeux déterminés, aussi. Il oublia un instant les appels des admiratrices aux visages marqués de liesse désespérée, celles qui hurlaient son nom dans la supplique et il avança vers le petit bout d’homme.
Le gamin devait avoir une dizaine d’années. Son visage encore rondelet prenait les traits de l’adolescence, mais son regard était déjà celui d’un homme. Campé dans ses tennis, il résistait à la houle pressante des admirateurs massée autour de lui. Il le regardait, droit dans les yeux, il le regardait plus comme quelqu’un qu’on attend que comme quelqu’un qu’on espère.
Il s’arrêta devant lui. Le gamin fouilla dans la poche arrière de son pantalon et sortit une photo. Sans le quitter des yeux une seule seconde. Et il tendit la photo au chanteur.
« C’est ta sœur ? Vous avez les mêmes yeux… »
Le gamin opina.
« Et elle n’a pas pu venir au concert ? » poursuivit le chanteur.
Le gamin opina de rechef.
Le chanteur sortit son stylo, et alors qu’il s’apprêtait à faire son autographe, il suspendit son geste. Il ne savait pas où écrire sur cette photo, quelque chose l’empêchait de raturer le visage de cette admiratrice. Il arrêta la contemplation de ce visage inconnu et replongea ses yeux dans ceux du garçon.
« Ecrivez au dos … » suggéra l’enfant comme s’il avait compris le doute du chanteur.
« Pas bête. Et… tu veux que j’écrive quelque chose de spécial pour elle ? » enchaîna-t-il tout en retournant la photo.
« Oui. »
« Vas y, dis moi »
« Vous allez écrire : pardon de t’avoir fait pleurer. »
Le chanteur resta un instant dans les yeux du gamin, puis s’exécuta docilement. Il signa avec attention cet étrange petit mot et relut une dernière fois l’ensemble. Il retourna la photo et contempla à nouveau le visage.
« Si elle vous plaît tant, pourquoi vous la faites pleurer ? », demanda le petit garçon en reprenant des mains du chanteur la photo de sa sœur.
« Elle pleure sur mes chansons, c’est ça ? », demanda le chanteur.
« Oui, tout le temps et elle dit qu’elle vous aime, que vous êtes beau. »
« Et toi, tu ne m’aimes pas trop, on dirait, hein ? »
« Non. Vous n’êtes pas beau et vous êtes triste. Je ne vous aime pas. Je vous déteste», cria le gamin dans un sanglot.
Devant la force de cet enfant, le chanteur se trouva désarmé. Le gamin avait raison, ce qu’il chantait, c’était très bien pour bouleverser les âmes, mais ça ne pouvait pas tromper un enfant. Combien comme ce gamin avaient une sœur qui l’adorait parce qu’il les rendait triste. Combien ? Un frisson de tristesse le parcourut. Il s’accroupit pour se mettre à la hauteur des yeux du petit garçon sanglotant. De sa main, il lui souleva le menton et il essuya tendrement les petits ruisseaux de larmes sur les joues innocentes.
« Ecoute, tu diras à ta sœur que je suis sincèrement désolé de lui faire de la peine avec mes textes. Tu lui diras aussi que pour elle j’écrirai une chanson. Cette chanson ça sera comme un médicament pour sa peine. Et ce sera un médicament pour toutes celles à qui j’ai fait de la peine. Ca ne sera pas triste, ca ne sera plus jamais triste »
« C’est vrai, vous allez faire ça ? », demanda le gamin aux yeux mouillés.
« Oui, je commence ce soir, je te le jure »
Le gamin regarda la photo, puis la remit précieusement dans la poche arrière de son pantalon. Il regarda le chanteur dans le fond des yeux, cherchant à comprendre qu’est ce qui pouvait bien y avoir dans ces yeux là.
« Alors, peut être que si vous faites ça, je vous trouverai beau. »
Il pivota sur ses talons et s’en alla dans la foule.
Le gamin devait avoir une dizaine d’années. Son visage encore rondelet prenait les traits de l’adolescence, mais son regard était déjà celui d’un homme. Campé dans ses tennis, il résistait à la houle pressante des admirateurs massée autour de lui. Il le regardait, droit dans les yeux, il le regardait plus comme quelqu’un qu’on attend que comme quelqu’un qu’on espère.
Il s’arrêta devant lui. Le gamin fouilla dans la poche arrière de son pantalon et sortit une photo. Sans le quitter des yeux une seule seconde. Et il tendit la photo au chanteur.
« C’est ta sœur ? Vous avez les mêmes yeux… »
Le gamin opina.
« Et elle n’a pas pu venir au concert ? » poursuivit le chanteur.
Le gamin opina de rechef.
Le chanteur sortit son stylo, et alors qu’il s’apprêtait à faire son autographe, il suspendit son geste. Il ne savait pas où écrire sur cette photo, quelque chose l’empêchait de raturer le visage de cette admiratrice. Il arrêta la contemplation de ce visage inconnu et replongea ses yeux dans ceux du garçon.
« Ecrivez au dos … » suggéra l’enfant comme s’il avait compris le doute du chanteur.
« Pas bête. Et… tu veux que j’écrive quelque chose de spécial pour elle ? » enchaîna-t-il tout en retournant la photo.
« Oui. »
« Vas y, dis moi »
« Vous allez écrire : pardon de t’avoir fait pleurer. »
Le chanteur resta un instant dans les yeux du gamin, puis s’exécuta docilement. Il signa avec attention cet étrange petit mot et relut une dernière fois l’ensemble. Il retourna la photo et contempla à nouveau le visage.
« Si elle vous plaît tant, pourquoi vous la faites pleurer ? », demanda le petit garçon en reprenant des mains du chanteur la photo de sa sœur.
« Elle pleure sur mes chansons, c’est ça ? », demanda le chanteur.
« Oui, tout le temps et elle dit qu’elle vous aime, que vous êtes beau. »
« Et toi, tu ne m’aimes pas trop, on dirait, hein ? »
« Non. Vous n’êtes pas beau et vous êtes triste. Je ne vous aime pas. Je vous déteste», cria le gamin dans un sanglot.
Devant la force de cet enfant, le chanteur se trouva désarmé. Le gamin avait raison, ce qu’il chantait, c’était très bien pour bouleverser les âmes, mais ça ne pouvait pas tromper un enfant. Combien comme ce gamin avaient une sœur qui l’adorait parce qu’il les rendait triste. Combien ? Un frisson de tristesse le parcourut. Il s’accroupit pour se mettre à la hauteur des yeux du petit garçon sanglotant. De sa main, il lui souleva le menton et il essuya tendrement les petits ruisseaux de larmes sur les joues innocentes.
« Ecoute, tu diras à ta sœur que je suis sincèrement désolé de lui faire de la peine avec mes textes. Tu lui diras aussi que pour elle j’écrirai une chanson. Cette chanson ça sera comme un médicament pour sa peine. Et ce sera un médicament pour toutes celles à qui j’ai fait de la peine. Ca ne sera pas triste, ca ne sera plus jamais triste »
« C’est vrai, vous allez faire ça ? », demanda le gamin aux yeux mouillés.
« Oui, je commence ce soir, je te le jure »
Le gamin regarda la photo, puis la remit précieusement dans la poche arrière de son pantalon. Il regarda le chanteur dans le fond des yeux, cherchant à comprendre qu’est ce qui pouvait bien y avoir dans ces yeux là.
« Alors, peut être que si vous faites ça, je vous trouverai beau. »
Il pivota sur ses talons et s’en alla dans la foule.
Sam 25 Mars 2006, 14:09 par
PetitPrince sur Un monde parfait
J'attendais, j'attends et ...
Est-ce que vous vous êtes jamais ennuyé au point de vous dire « Tiens pour m’occuper, je vais écrire un livre !!! ». je suis sur que si, car comme moi, vous vous êtes forcément retrouvé seul au moins une fois dans votre vie.
Reste à trouver le thème de votre livre ! Parlez de politique n’intéresse personne et même pas moi ; du temps qu’il fait, ben il fait gris mais il n’y a pas de quoi écrire des pages sur le sujet...
Alors je vais tout simplement, vous révélez un peu de moi et pas de moi en même temps !
Là, je suis sur que vous vous dites que ce personnage, derrière son clavier, et complètement fou !
Qu’est ce que j’attends en écrivant ce livre ? A vrai dire, rien de particulier ! Je ne suis même pas sur qu’une personne lira ces lignes...
********************
Je ne dois pas vivre à la bonne époque. Comme moi, vous entendez par votre famille, vos collègues, « ah là là, de notre temps c’était pas comme ça... » et vous rêvez de leur répondre « Tu me fais chier avec ton temps, ne me fais pas croire qu’en 10 ans le Monde a t’en changé que ça !!!!! »
Mais tout au fond de vous, vous vous dites que tout de même à « l’époque » ça devait être génial !!! On ne se sentait jamais seul !! Oui peut être qu’on allait à l’école en tracteur, peut-être que l’on avait moins de moyen... mais aussi rarement on se sentait aussi seul.
Aujourd’hui, nous sommes le 20 janvier 2006, j’ai 23 ans et j’ai décidé de prendre un jour de repos afin de faire autre chose de ma journée que de travailler. Et aujourd’hui, ben effectivement, ma journée a été différente, je n’ai pas été bosser, mais au final rien n’était différent que la veille car j’ai « ATTENDU !!!!!! ». Attendu quoi, je n’en sais trop rien ! Peut-être un message, peut-être une rencontre intéressante, un grand amour ou même un petit, des amis, mais rien de tout ça n’est venu !
Enfin, j’ai quand même eu de la chance, j’ai rencontré Papi dans le jardin public. J’adore le jardin public, ses senteurs, son paysage, sa vie... Un endroit qui nous permait encore de rêver au milieu des bruits de la ville! On y rencontre toujours des « comme nous », des différents ! Effectivement, j’ai aperçu un jeune homme qui jouait de la guitare. Jouer de la guitare n’a rien d’exceptionnel me diriez vous, mais lui, il jouait de la guitare dans un arbre et ça il faut dire que c’est pas commun. J’ai croisé aussi Monsieur Canard qui essayait de ôter la virginité de Mademoiselle Canette ! Et je dois dire qu’ils sont quand même plus habiles que nous, et, surtout, beaucoup moins timide !!
Revenons à Papi que j’ai rencontré dans ce parc ! Lui, aussi était seul ! Je suppose que sa femme avait du le quitter plus tôt que lui . Il est venu me parler car il a du remarquer qu’un point commun nous unissait : la solitude et l’attente ! Moi, j’attendais un événement spécial qui aurait pu bouleverser ma vie, et lui, l’apparition de la mort pour l’emmener rejoindre son épouse. Il s’est approché de moi et ...
- Bouh , qu’il fait froid aujourd’hui !
Je n’avais pas forcément envi de lui parler, mais les traits de son visage si triste, m’ont bouleversé ! Le temps ne devait pas l’aider à être joyeux et moi même me sentait pris de cette tristesse du monde. Ce ciel gris, ce froid paralysant... J’ai tout de suite senti que ce Papi était mélancolique et que je n’allais pas échapper à la traditionnelle conversation sur le temps passé où calèches et chevaux étaient plus présents que les voitures à moteur et polluantes. Je décidais donc de l’écouter et passer un petit bout de temps avec lui, surtout que assis à mes côtés, il me regardait en espérant qu’une chose, que je réponde à ces premiers mots !
- Je ne vous le fais pas dire, mais ça fait du bien de se promener, de prendre l’air. Lui dis-je
- Et encore, vous, vous êtes plus couvert que nous à l’époque. Vous voyez, moi, j’ai 83 ans, j’avais 22 ans quand la guerre a commencé ! je m’en suis sorti et je remercie Dieu de ce cadeau. Grâce à lui j’ai pu rencontrer ma femme.
- Ah vous êtes mariés ?
- Oui, enfin je l’étais, elle m’a quittée il y a 5 ans, cancer du sein.
J’ai senti à ce moment que Papi attendait du réconfort de ma part mais moi même étant mélancolique à ce moment là, ne trouvait pas de mot assez fort pour l’aider. Je laissais là un blanc dans cette conversation.
- Et vous jeune homme, il n’y a pas une charmante jeune fille dans votre vie ? me dit-il pour reprendre la conversation.
- Et non, malheureusement, personne est à mes côtés non plus pour égayer mes jours d’hiver. J’aurais pu à ce moment là dévoiler ma vie, lui raconter que j’étais très timide et bisexuel... mais il ne m’en laissa pas le temps ce qui ne fut pas plus mal.
- Ah ! c’est pas évident dans l’époque où vous vivez ! le travail, les biens personnels sont devenus les choses les plus importantes ! les rencontres sont plus difficiles, les gens sortent moins et quand ils sortent c’est qu’ils sont déjà en couple ou entre amis ! Ah, les discothèques existent bien pour des jeunes comme vous, mais comment rencontrer du monde dans des endroits où la musique est tellement forte que l’on ne peut se parler! Moi, à mon époque, on ne sortait que dans des bals conviviaux. On mangeait d’abord en discutant avec nos collègues de buffet et après on dansait sous le son des accordéons. C’est comme ça , voyez-vous que j’ai rencontré Anita.
- Anita était votre épouse ? lui demandais-je pour lui montrer que j’étais intéressé de son passé.
- Oui tout à fait ! On s’est rencontré le 16 août 1955 dans un bal Gersois à côté de Auch ! Et malheureusement, elle ne m’a pas attendu pour partir... Enfin, tout ça pour vous dire, jeune homme, que je n’aurais pas aimé vivre à votre époque...
J’ai senti à ce moment là, à l’expression de son visage, que ça y est , il en avait assez pour aujourd’hui et qu’il allait partir. Sûrement pour être sur de ne pas rater la finale de « questions pour un champion ». J’aurais aimé qu’il reste un peu pour ne pas me laisser sur ces dernières paroles qui, je le savais, allait me rendre encore plus sceptique sur l’avenir. Mais malheureusement, il me souhaita une bonne soirée et s’en alla en me disant « Peut-être que l’on se recroisera un de ces jours ! »
Je me retrouvais donc, une fois de plus, seul sur un banc à regarder papi marchant d’un pas lent dans l’allée, Monsieur Canard encore à poursuivre sa Cendrillon, le guitariste dans son arbre qui intriguait tous les bordelais comme moi, seul et qui espérait rencontré quelqu’un.
Je m’y sentait bien dans ce parc car un rien m’amusait ! Les femmes à poussette étaient les plus présentes dans l’après-midi et, plus la journée avançait, plus le parc changeait d’ambiance. Même sans montre, et sans soleil, on arrivait à connaître l’heure qu’il devait être. D’abord, une rafale de « gamins » sortaient du derrière de chacun des arbres en se balançant des pignes de pain dessus. Je me disais qu’il devait être quatre heures et que la sonnerie des écoles avait du retentir. Ils se couraient après et le calme qui se trouvait dans le parc disparu en un clin d’œil . Puis défilèrent, les lycéens et encore plus tard toutes les personnes qui rentraient du boulot !
J’ai toujours adoré regarder les gens dans la rue, dans le métro, mais le jardin public était mon endroit préféré. Je m’asseyais seul sur un banc, fermais les yeux pour trouver le calme et me sentir seul et d’un coup m’amusait à les rouvrir quand j’entendais des crissements de gravier devant mon banc.
Au premier coup d’œil, je vis une mamie, bien bourgeoise, qui promenait son teckel. On dit que les jeunes sont irrespectueux, mais que dit-on des bourgeoises qui font chier leur teckel au beau milieu d’une allée en gravier et qui ne ramassent même pas les déchets ! je rêvais pourtant de voir la bourgeoisie Bordelaise, se pencher, sortir la poche en plastique pour ramasser la merde de leurs clébards encore toute fraîche.
Au deuxième coup d’œil, je tombais droit sur le regard d’un homme qui devait se dire « Tiens j’en aurais bien fait mon casse croûte de celui-ci » en me regardant. Je les refermais donc d’un coup, par peur, et gêne.
Enfin au troisième coup d’œil, je vis trois ou quatre personnes qui couraient rejoindre les leurs d’un pas pressant avec leurs mallettes à la main . Je me suis donc dit que le moment était venu de rentrer chez moi.
Mais avant, je décidais, de m’adonner à un petit jeu de destin : « Si la pièce que je jette, tombe sur pile, cela signifie qu’il faut que je restes car mon grand amour va arriver . Si c’est face , je rentre et je mange du crumble !!! »
C’était Face !!!!
Encore une journée où j’ai attendu la même chose....
Reste à trouver le thème de votre livre ! Parlez de politique n’intéresse personne et même pas moi ; du temps qu’il fait, ben il fait gris mais il n’y a pas de quoi écrire des pages sur le sujet...
Alors je vais tout simplement, vous révélez un peu de moi et pas de moi en même temps !
Là, je suis sur que vous vous dites que ce personnage, derrière son clavier, et complètement fou !
Qu’est ce que j’attends en écrivant ce livre ? A vrai dire, rien de particulier ! Je ne suis même pas sur qu’une personne lira ces lignes...
********************
Je ne dois pas vivre à la bonne époque. Comme moi, vous entendez par votre famille, vos collègues, « ah là là, de notre temps c’était pas comme ça... » et vous rêvez de leur répondre « Tu me fais chier avec ton temps, ne me fais pas croire qu’en 10 ans le Monde a t’en changé que ça !!!!! »
Mais tout au fond de vous, vous vous dites que tout de même à « l’époque » ça devait être génial !!! On ne se sentait jamais seul !! Oui peut être qu’on allait à l’école en tracteur, peut-être que l’on avait moins de moyen... mais aussi rarement on se sentait aussi seul.
Aujourd’hui, nous sommes le 20 janvier 2006, j’ai 23 ans et j’ai décidé de prendre un jour de repos afin de faire autre chose de ma journée que de travailler. Et aujourd’hui, ben effectivement, ma journée a été différente, je n’ai pas été bosser, mais au final rien n’était différent que la veille car j’ai « ATTENDU !!!!!! ». Attendu quoi, je n’en sais trop rien ! Peut-être un message, peut-être une rencontre intéressante, un grand amour ou même un petit, des amis, mais rien de tout ça n’est venu !
Enfin, j’ai quand même eu de la chance, j’ai rencontré Papi dans le jardin public. J’adore le jardin public, ses senteurs, son paysage, sa vie... Un endroit qui nous permait encore de rêver au milieu des bruits de la ville! On y rencontre toujours des « comme nous », des différents ! Effectivement, j’ai aperçu un jeune homme qui jouait de la guitare. Jouer de la guitare n’a rien d’exceptionnel me diriez vous, mais lui, il jouait de la guitare dans un arbre et ça il faut dire que c’est pas commun. J’ai croisé aussi Monsieur Canard qui essayait de ôter la virginité de Mademoiselle Canette ! Et je dois dire qu’ils sont quand même plus habiles que nous, et, surtout, beaucoup moins timide !!
Revenons à Papi que j’ai rencontré dans ce parc ! Lui, aussi était seul ! Je suppose que sa femme avait du le quitter plus tôt que lui . Il est venu me parler car il a du remarquer qu’un point commun nous unissait : la solitude et l’attente ! Moi, j’attendais un événement spécial qui aurait pu bouleverser ma vie, et lui, l’apparition de la mort pour l’emmener rejoindre son épouse. Il s’est approché de moi et ...
- Bouh , qu’il fait froid aujourd’hui !
Je n’avais pas forcément envi de lui parler, mais les traits de son visage si triste, m’ont bouleversé ! Le temps ne devait pas l’aider à être joyeux et moi même me sentait pris de cette tristesse du monde. Ce ciel gris, ce froid paralysant... J’ai tout de suite senti que ce Papi était mélancolique et que je n’allais pas échapper à la traditionnelle conversation sur le temps passé où calèches et chevaux étaient plus présents que les voitures à moteur et polluantes. Je décidais donc de l’écouter et passer un petit bout de temps avec lui, surtout que assis à mes côtés, il me regardait en espérant qu’une chose, que je réponde à ces premiers mots !
- Je ne vous le fais pas dire, mais ça fait du bien de se promener, de prendre l’air. Lui dis-je
- Et encore, vous, vous êtes plus couvert que nous à l’époque. Vous voyez, moi, j’ai 83 ans, j’avais 22 ans quand la guerre a commencé ! je m’en suis sorti et je remercie Dieu de ce cadeau. Grâce à lui j’ai pu rencontrer ma femme.
- Ah vous êtes mariés ?
- Oui, enfin je l’étais, elle m’a quittée il y a 5 ans, cancer du sein.
J’ai senti à ce moment que Papi attendait du réconfort de ma part mais moi même étant mélancolique à ce moment là, ne trouvait pas de mot assez fort pour l’aider. Je laissais là un blanc dans cette conversation.
- Et vous jeune homme, il n’y a pas une charmante jeune fille dans votre vie ? me dit-il pour reprendre la conversation.
- Et non, malheureusement, personne est à mes côtés non plus pour égayer mes jours d’hiver. J’aurais pu à ce moment là dévoiler ma vie, lui raconter que j’étais très timide et bisexuel... mais il ne m’en laissa pas le temps ce qui ne fut pas plus mal.
- Ah ! c’est pas évident dans l’époque où vous vivez ! le travail, les biens personnels sont devenus les choses les plus importantes ! les rencontres sont plus difficiles, les gens sortent moins et quand ils sortent c’est qu’ils sont déjà en couple ou entre amis ! Ah, les discothèques existent bien pour des jeunes comme vous, mais comment rencontrer du monde dans des endroits où la musique est tellement forte que l’on ne peut se parler! Moi, à mon époque, on ne sortait que dans des bals conviviaux. On mangeait d’abord en discutant avec nos collègues de buffet et après on dansait sous le son des accordéons. C’est comme ça , voyez-vous que j’ai rencontré Anita.
- Anita était votre épouse ? lui demandais-je pour lui montrer que j’étais intéressé de son passé.
- Oui tout à fait ! On s’est rencontré le 16 août 1955 dans un bal Gersois à côté de Auch ! Et malheureusement, elle ne m’a pas attendu pour partir... Enfin, tout ça pour vous dire, jeune homme, que je n’aurais pas aimé vivre à votre époque...
J’ai senti à ce moment là, à l’expression de son visage, que ça y est , il en avait assez pour aujourd’hui et qu’il allait partir. Sûrement pour être sur de ne pas rater la finale de « questions pour un champion ». J’aurais aimé qu’il reste un peu pour ne pas me laisser sur ces dernières paroles qui, je le savais, allait me rendre encore plus sceptique sur l’avenir. Mais malheureusement, il me souhaita une bonne soirée et s’en alla en me disant « Peut-être que l’on se recroisera un de ces jours ! »
Je me retrouvais donc, une fois de plus, seul sur un banc à regarder papi marchant d’un pas lent dans l’allée, Monsieur Canard encore à poursuivre sa Cendrillon, le guitariste dans son arbre qui intriguait tous les bordelais comme moi, seul et qui espérait rencontré quelqu’un.
Je m’y sentait bien dans ce parc car un rien m’amusait ! Les femmes à poussette étaient les plus présentes dans l’après-midi et, plus la journée avançait, plus le parc changeait d’ambiance. Même sans montre, et sans soleil, on arrivait à connaître l’heure qu’il devait être. D’abord, une rafale de « gamins » sortaient du derrière de chacun des arbres en se balançant des pignes de pain dessus. Je me disais qu’il devait être quatre heures et que la sonnerie des écoles avait du retentir. Ils se couraient après et le calme qui se trouvait dans le parc disparu en un clin d’œil . Puis défilèrent, les lycéens et encore plus tard toutes les personnes qui rentraient du boulot !
J’ai toujours adoré regarder les gens dans la rue, dans le métro, mais le jardin public était mon endroit préféré. Je m’asseyais seul sur un banc, fermais les yeux pour trouver le calme et me sentir seul et d’un coup m’amusait à les rouvrir quand j’entendais des crissements de gravier devant mon banc.
Au premier coup d’œil, je vis une mamie, bien bourgeoise, qui promenait son teckel. On dit que les jeunes sont irrespectueux, mais que dit-on des bourgeoises qui font chier leur teckel au beau milieu d’une allée en gravier et qui ne ramassent même pas les déchets ! je rêvais pourtant de voir la bourgeoisie Bordelaise, se pencher, sortir la poche en plastique pour ramasser la merde de leurs clébards encore toute fraîche.
Au deuxième coup d’œil, je tombais droit sur le regard d’un homme qui devait se dire « Tiens j’en aurais bien fait mon casse croûte de celui-ci » en me regardant. Je les refermais donc d’un coup, par peur, et gêne.
Enfin au troisième coup d’œil, je vis trois ou quatre personnes qui couraient rejoindre les leurs d’un pas pressant avec leurs mallettes à la main . Je me suis donc dit que le moment était venu de rentrer chez moi.
Mais avant, je décidais, de m’adonner à un petit jeu de destin : « Si la pièce que je jette, tombe sur pile, cela signifie qu’il faut que je restes car mon grand amour va arriver . Si c’est face , je rentre et je mange du crumble !!! »
C’était Face !!!!
Encore une journée où j’ai attendu la même chose....
Lun 23 Jan 2006, 18:00 par
Petite_fleur sur Un monde parfait
Espace sacré
Il y avait un lieu où le temps n’avait plus de prise. Un lieu très spécial dont seuls certains privilégiés connaissaient l’entrée. Pour y accéder, nul besoin d’intelligence, de savoir, de force, nul besoin de prestige ni d’argent... Pour y accéder, une seule clef, une flamme, qui embrasait tout, liant en un instant les contraires, parcourant l’être de la tête au pied, ce centre entre l’esprit et le corps, ce centre sacré, le cœur. Le coeur s’ouvrait mystérieusement sur l’amour qui transcendait toute chose. Dans l’univers de l’amour la douceur prédominait et avec elle, la tendresse, la complicité et l’abandon, les soeurs chéries de l’amour. La félicité et la joie emplissaient l’air d’effluves délicates révélant à sa vraie nature et fonction toutes choses... Les heureux visiteurs soupiraient d’aise... Un frisson de plaisir courait délicieusement le long de leur corps. C’est là, qu’ils s’étaient reconnus... Tout d’abord ils pensaient être seuls dans ce merveilleux univers et confusément ils ressentaient comme un vide intérieur... Puis, ils s’étaient trouvés face à face et leurs yeux avaient eu du mal à rompre le fil magique qui se tissait entre eux. Ils étaient surpris. Ils se sentaient enfin pleins et tout leur apparaissait dans sa perfection. Dès lors ils ne leur manquait plus rien. Ils étaient nus. En entrant, ils avaient posés toutes ces choses si nécessaires dans le monde ordinaire pour assurer leur protection, mais confusément, ils avaient compris que tout ce bagage les alourdiraient et qu’ici ils n’en avaient nul besoin, au contraire. Le sol était sacré, de même que l’air dont ils remplissaient leurs poumons et chaque chose alentour était porteuse de grâces. La lumière était délicieuse... La transparence des cieux semblait assurer que rien ne les séparerait de l’amour. Cet amour qui appelait l’amour et qui, en grandissant en eux-mêmes, accroissait leur joie d’être. Deux mondes dans l’univers voué à l’amour, à la félicité, à la vie...
Sam 07 Jan 2006, 20:43 par
dolce vita sur Un monde parfait
Dans ton ombre
En ce jour si spécial pour toi
Où je sais que tes démons vont frapper
Plus fort encore contre ton coeur blessé
Je reste là, dans l’ombre à tes côtés.
Comment te dire ce que je ressens
Laisser parler mon coeur, donner mes sentiments
Ne pas te mentir, prendre mon temps.
En ce jour si spécial pour toi
Où tes blessures vont surgir une nouvelle fois
Laissant dans ton esprit un gout de trépas
Je reste dans l’ombre, près de toi.
Comment te décrire mon attachement
Trouver les mots justes, peut-être pas ceux que tu attends
Ne pas te blesser, être ton médicament
En ce jour si spécial pour toi
Où ta honte va envahir une nouvelle fois ta vie
Te suggerant d’entrer à tout jamais dans la nuit
Je reste là, dans l’ombre de ton huis.
Comment te faire comprendre que tu es important
Rétablir notre confiance d’antan
Ne pas me fuir, accepter cet envoutement
En ce jour si spécial pour toi
Où ton amertume va laisser mon mail vide
T’ordonnant de ne pas y glisser des soupirs avides
Je reste dans l’ombre de ton coeur aride.
Comment t’ecrire que tu es mon île
Sous ta noirceur et ton air fragile
Ne pas craindre ce jour d’avril
La marquise...
Où je sais que tes démons vont frapper
Plus fort encore contre ton coeur blessé
Je reste là, dans l’ombre à tes côtés.
Comment te dire ce que je ressens
Laisser parler mon coeur, donner mes sentiments
Ne pas te mentir, prendre mon temps.
En ce jour si spécial pour toi
Où tes blessures vont surgir une nouvelle fois
Laissant dans ton esprit un gout de trépas
Je reste dans l’ombre, près de toi.
Comment te décrire mon attachement
Trouver les mots justes, peut-être pas ceux que tu attends
Ne pas te blesser, être ton médicament
En ce jour si spécial pour toi
Où ta honte va envahir une nouvelle fois ta vie
Te suggerant d’entrer à tout jamais dans la nuit
Je reste là, dans l’ombre de ton huis.
Comment te faire comprendre que tu es important
Rétablir notre confiance d’antan
Ne pas me fuir, accepter cet envoutement
En ce jour si spécial pour toi
Où ton amertume va laisser mon mail vide
T’ordonnant de ne pas y glisser des soupirs avides
Je reste dans l’ombre de ton coeur aride.
Comment t’ecrire que tu es mon île
Sous ta noirceur et ton air fragile
Ne pas craindre ce jour d’avril
La marquise...
Dim 18 Avril 2004, 20:02 par
la marquise de sade sur Amour internet
La lettre d'au revoir
Patatra, je viens de te tromper, toi ma compagne, la plus aimée d’entre toutes !
Toi à qui j’aurais juré une fidélité absolue, un amour indefectible, quelque chose de spécial, de beau, de grand.
Quel ingrat je fais. Je sais, je suis un salaud de te faire ça, un sale con... Avec tous ces moments que l’on passe ensemble, c’est comme autant de promesses de ne jamais se quitter...
Je m’endors avec toi, je me reveille avec toi, quand je ris tu es là, et quand je suis triste, tu es là aussi. A tout le temps me coller comme ca, j’aurais du te quitter dés les premières semaines, une fois mon désir rassasié, en bon goujat. Mais non. Tu es tellement discrète, que tu ne m’as jamais entravé. Au contraire, avec toi, mes ailes ont poussé, ma curiosité s’est aiguisée, et même mon corps aussi s’est transformé.
Et mon âme, mon âme... Je te dois mon âme, ce que tu en as fait vaut plus que tous les diamants, tu sais ! Tu me disais toujours "Pense pas à demain, demain ca existe pas !" J’oublierai jamais ca, c’est clair. Je l’ai gravé au couteau, ca fait une vilaine cicatrice sur mon avant bras, mais ce qui compte c’est que ca reflechit ton eclat !
Et puis, tu te rappelles comme on a voyagé toi et moi ? Dans mes pensées, et dans tout un tas de contrées. Tu posais tes pas là ou je posais les miens, des fois l’inverse, selon celui de nous deux qui avait envie de guider l’autre.
Je t’ai souvent critiquée, parfois maudite, et toi, magnifique, je n’ai jamais entendu un seul reproche, jamais.
Ce que je voudrais te proposer, c’est de ne pas vraimment se quitter toi et moi. Je crois que j’y arriverai pas. Tu pourrrais être celle que je vais rejoindre de temps en temps.... Pour que je puisse t’aimer, encore une fois.
Je voulais te dire, juste avant de partir, que tu es belle à mourir, Solitude...
Toi à qui j’aurais juré une fidélité absolue, un amour indefectible, quelque chose de spécial, de beau, de grand.
Quel ingrat je fais. Je sais, je suis un salaud de te faire ça, un sale con... Avec tous ces moments que l’on passe ensemble, c’est comme autant de promesses de ne jamais se quitter...
Je m’endors avec toi, je me reveille avec toi, quand je ris tu es là, et quand je suis triste, tu es là aussi. A tout le temps me coller comme ca, j’aurais du te quitter dés les premières semaines, une fois mon désir rassasié, en bon goujat. Mais non. Tu es tellement discrète, que tu ne m’as jamais entravé. Au contraire, avec toi, mes ailes ont poussé, ma curiosité s’est aiguisée, et même mon corps aussi s’est transformé.
Et mon âme, mon âme... Je te dois mon âme, ce que tu en as fait vaut plus que tous les diamants, tu sais ! Tu me disais toujours "Pense pas à demain, demain ca existe pas !" J’oublierai jamais ca, c’est clair. Je l’ai gravé au couteau, ca fait une vilaine cicatrice sur mon avant bras, mais ce qui compte c’est que ca reflechit ton eclat !
Et puis, tu te rappelles comme on a voyagé toi et moi ? Dans mes pensées, et dans tout un tas de contrées. Tu posais tes pas là ou je posais les miens, des fois l’inverse, selon celui de nous deux qui avait envie de guider l’autre.
Je t’ai souvent critiquée, parfois maudite, et toi, magnifique, je n’ai jamais entendu un seul reproche, jamais.
Ce que je voudrais te proposer, c’est de ne pas vraimment se quitter toi et moi. Je crois que j’y arriverai pas. Tu pourrrais être celle que je vais rejoindre de temps en temps.... Pour que je puisse t’aimer, encore une fois.
Je voulais te dire, juste avant de partir, que tu es belle à mourir, Solitude...
Ven 27 Fév 2004, 19:20 par
PetitPrince sur La vie à deux
le jeu de la verité ... question 3 ??
Plusieurs d’entre nous ont déjà répondu aux premières questions posées dans ce "jeu de la verité" spécial séduction... les débats (pfffffffff je n’ai pas dit les "ébats" !!!!
) restent ouverts (ce serait sympa d’ailleurs que tous les membres prennent le temps d’y répondre
) , mais je vous propose (je dirais même plus, je vous pose... )la question suivante :
(
roulement de tambour ...tarataratam ...
)
Quel endroit inattendu a été le théâtre de vos ébats amoureux?
La marquise ... Dupont d’occas ...



(


Quel endroit inattendu a été le théâtre de vos ébats amoureux?
La marquise ... Dupont d’occas ...
Lun 01 Déc 2003, 19:00 par
la marquise de sade sur La séduction
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Il y a 15 textes utilisant le mot spécial. Ces pages présentent les textes correspondant.
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