Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur souhaites
L'amour triste de ma vie
Qu’est ce que j’ai bien pu te faire pour que tu veuilles autant me faire souffrir. Je me le demande très souvent... mais la réponse ne vient jamais.
T’aimer peut-être? Mais où est le mal la dedans? Explique moi s’il te plaît.
Tu te sens incompris et pourtant je t’ai déjà dit que je voulais te comprendre. Mais tu m’as répondu que personne ne le pouvait.
Au final je me fais insulter tous les jours par une des personnes que j’aime le plus dans ce monde : *Toi. Tu me traites de pute. Tu dis que je ne suis qu’une coincée du cul. Et moi j’encaisse. Je ne dis rien. Je pleurs silencieusement dans mon coin avec comme seul soutien mes amies. Celles qui me soutiennent et qui m’aident à me relever, même si je finis toujours par retomber, je sais qu’elles ne m’abandonneront jamais. Jamais elles ne me feront ce que tu m’as fait. Mais même avec leur soutien je n’arrive plus à avancer. Je fais du surplace. J’ai trop mal. Tu m’as fait trop mal. Peut être que tu as fait tout sa parce que tu as besoin de te nourrir du malheur des autres pour survivre. Et bien dans ce cas tu n’as cas continuer. Fais moi aussi mal que tu le souhaites si c’est ce qu’il faut pour te tenir en vie. Et si il faut que je meurs pour que tu reprennes gout à la vie, vas y tue moi. La au moins ma mort aura servi à quelque chose...
Je t’aime tellement.
T’aimer peut-être? Mais où est le mal la dedans? Explique moi s’il te plaît.
Tu te sens incompris et pourtant je t’ai déjà dit que je voulais te comprendre. Mais tu m’as répondu que personne ne le pouvait.
Au final je me fais insulter tous les jours par une des personnes que j’aime le plus dans ce monde : *Toi. Tu me traites de pute. Tu dis que je ne suis qu’une coincée du cul. Et moi j’encaisse. Je ne dis rien. Je pleurs silencieusement dans mon coin avec comme seul soutien mes amies. Celles qui me soutiennent et qui m’aident à me relever, même si je finis toujours par retomber, je sais qu’elles ne m’abandonneront jamais. Jamais elles ne me feront ce que tu m’as fait. Mais même avec leur soutien je n’arrive plus à avancer. Je fais du surplace. J’ai trop mal. Tu m’as fait trop mal. Peut être que tu as fait tout sa parce que tu as besoin de te nourrir du malheur des autres pour survivre. Et bien dans ce cas tu n’as cas continuer. Fais moi aussi mal que tu le souhaites si c’est ce qu’il faut pour te tenir en vie. Et si il faut que je meurs pour que tu reprennes gout à la vie, vas y tue moi. La au moins ma mort aura servi à quelque chose...
Je t’aime tellement.
Mar 07 Fév 2012, 16:15 par
Petite.fille.perdue sur Annonces
Le millième membre
MacBeth : voilà le nom de notre millième membre, d’où vient-il /elle ? Que fait-il/elle dans la vie ? Etc.
Pour l’heure le mystère demeure !
Ce serait cool de remplir ta page de présentation et, si le coeur t’en dit, de te jeter à l’encre en nous concoctant un texte en anglais (pourquoi pas ?) si tu le souhaites... ou en français !
Quoiqu’il en soit, bienvenue à toi et à toutes les âmes tendres à venir !
Dolce
Pour l’heure le mystère demeure !
Ce serait cool de remplir ta page de présentation et, si le coeur t’en dit, de te jeter à l’encre en nous concoctant un texte en anglais (pourquoi pas ?) si tu le souhaites... ou en français !
Quoiqu’il en soit, bienvenue à toi et à toutes les âmes tendres à venir !
Dolce
Lun 15 Août 2011, 14:02 par
dolce vita sur Annonces
M'ajuster...
M’ajuster, c’est me situer au plus près
de tes mouvements, tels que je les ressens.
Un peu plus loin...?
Lorsque je crois que tu souhaites un peu d’espace.
T’approcher?
Lorsque ce moment-là te paraîtra indispensable...
de tes mouvements, tels que je les ressens.
Un peu plus loin...?
Lorsque je crois que tu souhaites un peu d’espace.
T’approcher?
Lorsque ce moment-là te paraîtra indispensable...
Lun 19 Juil 2010, 13:40 par
évènement sur Parler d'amour
Essaye moi...
Moi pauvre fou
Moi qui ne suis même pas digne te regarder
Je suis fou de toi
Ma has echizado...
Tu m’as apporté la joie de vivre
Tu m’as donné l’envie
Ton sourire est comme la vie
Et je vois l’amour...
Mais je ne veux point te faire peur
Je ne suis qu’un homme
Pauvre et fou
Amoureux et passionné
Qui souhaiterait tout te donner
Juste pour un regard amoureux
Ou au moins un regard tendre
Qui me laisse l’espoir de former ta moitie...
Ne le prends pas à la première lettre
Si cela te fait peur
Mais sache que je suis honnête
Comme je ne l’ai été depuis longtemps
Essaye moi...
Juste pour une heure
Juste pour te faire une idée
Et je te le redonnerai cela au centuple
Si cela ne marche pas tannt pis
Il n y aura alors plus de regrets
Car moi je suis pour toi
Comme je ne l’ai pas été depuis
Jamais...
Este amor es el verdadero...
Trop encore je m’élance
Ne le prends pas tel quel
Si ce n’est pas ce que tu souhaites
Si cela te fait peur
Imagines moi comme un de plus
Et laisse moi te donner le peu que je suis
Alors tu te feras ton idée
Et consciente tu pourras faire ton choix
Essaye moi...
Du fait de notre envionnement
Je sais le danger que cela peut être
Mais oublions le futur
Pour nous concentrer en notre présent
Notre vie ne dépend pas d’eux
Mais de nous
Je ne veux certes pas les molester
Mais qu’il ait une possibilité
Qu’il existe une chance
Tant minuscule soit elle
Essaye moi...
Enfin si ton idée est claire
Si ton choix est fait
Et que celui ci est sans moi
Alors ainsi soit il
Je me rangerais à ce choix
Sache que je le respecterai
Comme à une femme
Et comme à une amie
Que je ne pourrai oublier...
J’aurai voulu te le dire de face
Devant ce coucher de soleil
Que nous avons partagé
Une nuit d’été
Mais je n’ai point voulu gâcher
Cette nuit exceptionnelle
Qui dans mon coeur réveille
Des sentiments troublés
Où j’aurais dû tout avouer....
Car sans toi
Je ne sais où cette vie
Va....
Moi qui ne suis même pas digne te regarder
Je suis fou de toi
Ma has echizado...
Tu m’as apporté la joie de vivre
Tu m’as donné l’envie
Ton sourire est comme la vie
Et je vois l’amour...
Mais je ne veux point te faire peur
Je ne suis qu’un homme
Pauvre et fou
Amoureux et passionné
Qui souhaiterait tout te donner
Juste pour un regard amoureux
Ou au moins un regard tendre
Qui me laisse l’espoir de former ta moitie...
Ne le prends pas à la première lettre
Si cela te fait peur
Mais sache que je suis honnête
Comme je ne l’ai été depuis longtemps
Essaye moi...
Juste pour une heure
Juste pour te faire une idée
Et je te le redonnerai cela au centuple
Si cela ne marche pas tannt pis
Il n y aura alors plus de regrets
Car moi je suis pour toi
Comme je ne l’ai pas été depuis
Jamais...
Este amor es el verdadero...
Trop encore je m’élance
Ne le prends pas tel quel
Si ce n’est pas ce que tu souhaites
Si cela te fait peur
Imagines moi comme un de plus
Et laisse moi te donner le peu que je suis
Alors tu te feras ton idée
Et consciente tu pourras faire ton choix
Essaye moi...
Du fait de notre envionnement
Je sais le danger que cela peut être
Mais oublions le futur
Pour nous concentrer en notre présent
Notre vie ne dépend pas d’eux
Mais de nous
Je ne veux certes pas les molester
Mais qu’il ait une possibilité
Qu’il existe une chance
Tant minuscule soit elle
Essaye moi...
Enfin si ton idée est claire
Si ton choix est fait
Et que celui ci est sans moi
Alors ainsi soit il
Je me rangerais à ce choix
Sache que je le respecterai
Comme à une femme
Et comme à une amie
Que je ne pourrai oublier...
J’aurai voulu te le dire de face
Devant ce coucher de soleil
Que nous avons partagé
Une nuit d’été
Mais je n’ai point voulu gâcher
Cette nuit exceptionnelle
Qui dans mon coeur réveille
Des sentiments troublés
Où j’aurais dû tout avouer....
Car sans toi
Je ne sais où cette vie
Va....
Ven 17 Août 2007, 01:36 par
Loyd sur Parler d'amour
Papillon
Un petit papillon.
De mille eclat
D’une fragilité extreme
Virevoltant. Timide. Hésitant. Téméraire.
Le papillon se pose delicatement
Sur tes lèvres qui sentent l’encolie.
L’encolie fleur des amours
Si pure et si discrette
Que la rose lui a volé la vedette
Papillon a su voir la vrai beauté
Pas celle du miroire
Mais celle du coeur et l’âme
Chatouilleux. il pose des baisers innocents
Un. Dix. Ou cent.
Mille et un si tu veux
Infiniment si tu le souhaites.
Lèvres mi-closes et si delicate
Qui sentent la l’encolie
Douce salive qui abreuve ma soif
Festin idilique et inoubliable
Yeux mi-ouverts
Qui savourent ce plaisir solitaire.
Affreusement beau. Affreusement tendre.
Papillon reve
Heureuse de penser que bientot ce reve sera realité
De mille eclat
D’une fragilité extreme
Virevoltant. Timide. Hésitant. Téméraire.
Le papillon se pose delicatement
Sur tes lèvres qui sentent l’encolie.
L’encolie fleur des amours
Si pure et si discrette
Que la rose lui a volé la vedette
Papillon a su voir la vrai beauté
Pas celle du miroire
Mais celle du coeur et l’âme
Chatouilleux. il pose des baisers innocents
Un. Dix. Ou cent.
Mille et un si tu veux
Infiniment si tu le souhaites.
Lèvres mi-closes et si delicate
Qui sentent la l’encolie
Douce salive qui abreuve ma soif
Festin idilique et inoubliable
Yeux mi-ouverts
Qui savourent ce plaisir solitaire.
Affreusement beau. Affreusement tendre.
Papillon reve
Heureuse de penser que bientot ce reve sera realité
Sam 29 Juil 2006, 16:32 par
joullia sur L'amour en vrac
Je, Tue... Nous
De Moi à Toi,
Tu me sais imprévisible,
Je te dis imperceptible.
Tu me vois enmprunte de contradictions,
Je te connais pour ta consternation.
Tu me ris, amuses, chahutes,
Je te vole, caresse, culbute.
Tu me penses inconsciente,
Je t’admire, vague déferlante.
Tu captives ma vie,
Je te la laisse, c’est ainsi...
Tu m’as contrainte à t’aimer,
Je n’ai pas cherché.
Tu t’étonnes de nos rires complices,
Je te découvre Mille et un délices.
Tu as peur, te protège, hésite,
Je te pousse, la main te tire, te récite.
Tu es prudent, ne parle qu’au présent,
Je te soupire : Regarde droit devant !
Tu exploses de nos mots synchrones,
Je t’annonce : en phase sont nos neurones...
Tu avances, recules, fais un timide pas,
Je t’accompagne, j’attends, j’ai besoin de toi.
Tu cherches, inventes, poussières d’excuses futiles,
Je m’adapte, déguste tes paroles douces et subtiles.
Tu réfléchis ? Perdu au loin, dans ton monde de pensées,
Je t’observe, respecte, puis, désinvolte, te laisse imaginer....
Tu me dis qu’à notre histoire tu y vois une fin,
Je te demande quelle est la raison, ensemble on n’est pas bien ?
Tu m’avances, qu’au loin, un autre, un meilleur, un mieux,
Je hurle de douleur : quel est ce discours insidieux....?
Tu refuses la conclusion toute vérifiée,
Je te tends la lame des mots, bourreau, tu dois m’achever.
Tu t’égares, tu t’agites... pas maintenant,
Je te supplie, rapide, c’est le moment...
Tu balbuties, paniques, perds tes moyens,
Je te regarde t’enfoncer dans les méandres du commun....
Tu reviens à moi, tu reviens à toi,
Je te connais plus que tu le le crois,
Tu rêves, tu imagines, tu espères,
Je virevolte, j’hallucine, qu’est-ce que je peux faire ?
Tu m’attires dans ta toile, lentement,
Je me laisse guider, en toi j’ai confiance, évidemment...
Tu vas prendre le temps de m’émietter,
J’en suis consciente, encore à m’émerveiller,
Tu me dissèques, prudemment,
Je t’offre mon étincelle sagement.
Tu choisis de cacher,
Je préfère abandonner.
Tu ignores quels sont tes désirs,
Je fixe un point : la mire.
Tu ne souhaites pas arrêter,
Je t’encourage à faire cesser.
Tu es triste, saigne ton coeur,
Je me laisse, mais qu’est-ce que j’ai peur...
Tu suffoques, n’arrives plus à respirer,
Je cesse de vivre cette anxiété.
Tu me prends la main,
Je m’en veux, on a l’air malin,
Tu me pleures ta peur, gros sanglots,
Je laisse passer, ces mots, ces flots.
Tu implores, me supplie une chance,
J’accepte malgré tout cette danse...
Tu as peur de me perdre à jamais
J’en suis persuadée, je le sais...
Tu me demandes, exprimes un souhait,
Je t’écoute ? Vas-y, je me remets...
Tue, bouscule d’âme cet état attristé,
Tue, bouge, ronge ces idées galvaudées,
Tuons le silence,
Tuez l’inconstance.....
Tu me sais imprévisible,
Je te dis imperceptible.
Tu me vois enmprunte de contradictions,
Je te connais pour ta consternation.
Tu me ris, amuses, chahutes,
Je te vole, caresse, culbute.
Tu me penses inconsciente,
Je t’admire, vague déferlante.
Tu captives ma vie,
Je te la laisse, c’est ainsi...
Tu m’as contrainte à t’aimer,
Je n’ai pas cherché.
Tu t’étonnes de nos rires complices,
Je te découvre Mille et un délices.
Tu as peur, te protège, hésite,
Je te pousse, la main te tire, te récite.
Tu es prudent, ne parle qu’au présent,
Je te soupire : Regarde droit devant !
Tu exploses de nos mots synchrones,
Je t’annonce : en phase sont nos neurones...
Tu avances, recules, fais un timide pas,
Je t’accompagne, j’attends, j’ai besoin de toi.
Tu cherches, inventes, poussières d’excuses futiles,
Je m’adapte, déguste tes paroles douces et subtiles.
Tu réfléchis ? Perdu au loin, dans ton monde de pensées,
Je t’observe, respecte, puis, désinvolte, te laisse imaginer....
Tu me dis qu’à notre histoire tu y vois une fin,
Je te demande quelle est la raison, ensemble on n’est pas bien ?
Tu m’avances, qu’au loin, un autre, un meilleur, un mieux,
Je hurle de douleur : quel est ce discours insidieux....?
Tu refuses la conclusion toute vérifiée,
Je te tends la lame des mots, bourreau, tu dois m’achever.
Tu t’égares, tu t’agites... pas maintenant,
Je te supplie, rapide, c’est le moment...
Tu balbuties, paniques, perds tes moyens,
Je te regarde t’enfoncer dans les méandres du commun....
Tu reviens à moi, tu reviens à toi,
Je te connais plus que tu le le crois,
Tu rêves, tu imagines, tu espères,
Je virevolte, j’hallucine, qu’est-ce que je peux faire ?
Tu m’attires dans ta toile, lentement,
Je me laisse guider, en toi j’ai confiance, évidemment...
Tu vas prendre le temps de m’émietter,
J’en suis consciente, encore à m’émerveiller,
Tu me dissèques, prudemment,
Je t’offre mon étincelle sagement.
Tu choisis de cacher,
Je préfère abandonner.
Tu ignores quels sont tes désirs,
Je fixe un point : la mire.
Tu ne souhaites pas arrêter,
Je t’encourage à faire cesser.
Tu es triste, saigne ton coeur,
Je me laisse, mais qu’est-ce que j’ai peur...
Tu suffoques, n’arrives plus à respirer,
Je cesse de vivre cette anxiété.
Tu me prends la main,
Je m’en veux, on a l’air malin,
Tu me pleures ta peur, gros sanglots,
Je laisse passer, ces mots, ces flots.
Tu implores, me supplie une chance,
J’accepte malgré tout cette danse...
Tu as peur de me perdre à jamais
J’en suis persuadée, je le sais...
Tu me demandes, exprimes un souhait,
Je t’écoute ? Vas-y, je me remets...
Tue, bouscule d’âme cet état attristé,
Tue, bouge, ronge ces idées galvaudées,
Tuons le silence,
Tuez l’inconstance.....
Jeu 29 Juil 2004, 11:54 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Ecrire sur souhaites
L'amour triste de ma vie, Le millième membre, M'ajuster..., Douce tristesse...pourtant, aucun regret, Essaye moi..., Papillon, Je, Tue... Nous,Il y a 7 textes utilisant le mot souhaites. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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