Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur sommeil - Page 3 sur 7
La cabane au bord de l’océan
J’ai fait un rêve ! J’ai rêvé qu’une déesse m’a rendu visite, ici là ou j’habite, sur terre, dans ma cabane modeste au bord de l’océan, au milieu de nulle part,là ou même les hommes s’abstiennent de venir.
J’ai cru faire un rêve, j’ai cru qu’une déesse m’a regardé avec ses yeux célestes, qu’elle m’a pris la main et a murmuré à mon oreille des choses avec sa bouche divine, j’ai rêvé qu’une déesse s’est enfuie de son château de nuages blancs, pour venir me voir tard le soir.
C’est insensé…mais j’ai cru qu’elle aimait bien rester chez moi regarder les vagues agitées de cet océan infini, s’éventrer sur les roches, qu’elle aimait écouter mes histoires de pêcheur,et j’ai songé qu’elle aimait bien le feu insuffisant de ma cheminé antique, et le goût ordinaire de mon pain froid.
Moi…je passé mon temps à la contempler, à apprécier ses gestes parfaits, à sentir son parfum enchanteur, et à l’aube, quand le temps venait pour elle de partir, je tenais mon cœur déchiré en essayant de ne pas de la retenir, car je savais bien que sa place n’était pas ici.
Je faisais ce rêve tous les soirs, en me disant que c’était peut-être pas juste un rêve, c’est dur pour moi de le savoir, car j’ai toujours eu l’impression que mes rêves sont plus vrais que la réalité. Aux bouts des jours, je me suis habitué à mon invitée nocturne, j’ai commencé à m’attacher à mon rêve impossible, et j’ai…aimé
Une nuit d’automne, alors que je l’attendais, ma déesse n’est pas venue, je l’ai attendue toute la nuit, et les nuits qui suivaient, jour après jour j’ai commencé à penser que c’était juste un rêve, et j’ai perdu le gout du sommeil.
Les nuits sont longues, et je n’ai pas appris à me passer d’elle, j’essaie de protéger mon cœur fragile du froid qui gagne la cabane soir après soir, je vois les étoiles qu’on a comptées tout au long des nuits disparaitre de mon ciel, jusqu’à ce que j’arrive plus à me souvenir de leurs contours, assis sur mes genoux, regardant le ciel en me disant
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai pensé que tu le sais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois laisser tomber
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai cru que tu le savais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois te laisser partir
Assis sur ma chaise de bois, espérant un regard de toi, car on m’a dit que les dieux observaient les hommes par au dessus de leurs nuages, alors je guette tous les soirs…une simple attention de toi, j’attends tous les jours le moindre écho venu du ciel
On m’a dit que les dieux ne peuvent pas tombé amoureux des mortels, on m’a dit que les dieux n’avaient pas de temps à consacrer aux hommes…pourtant, je ne peux empêcher mon cœur d’espérer, je ne peux empêcher mon cœur d’aimer, même si tu me vois pas, même si mon amour est insignifiant… je t’aime ! Je t’aime avec tout ce que mon pauvre cœur de mortel peut aimer, je t’aime même si je suis invisible, je t’aime même si tu habites le cieux, et moi la terre, je t’aime même si je suis une chose insignifiante et infime dans ton monde, je t’aime même si tu est éternelle et moi éphémère, je t’aime même si tu es une déesse…et moi juste un mortel.
la suite sur : www.theheartbreak.blogspot.com
J’ai cru faire un rêve, j’ai cru qu’une déesse m’a regardé avec ses yeux célestes, qu’elle m’a pris la main et a murmuré à mon oreille des choses avec sa bouche divine, j’ai rêvé qu’une déesse s’est enfuie de son château de nuages blancs, pour venir me voir tard le soir.
C’est insensé…mais j’ai cru qu’elle aimait bien rester chez moi regarder les vagues agitées de cet océan infini, s’éventrer sur les roches, qu’elle aimait écouter mes histoires de pêcheur,et j’ai songé qu’elle aimait bien le feu insuffisant de ma cheminé antique, et le goût ordinaire de mon pain froid.
Moi…je passé mon temps à la contempler, à apprécier ses gestes parfaits, à sentir son parfum enchanteur, et à l’aube, quand le temps venait pour elle de partir, je tenais mon cœur déchiré en essayant de ne pas de la retenir, car je savais bien que sa place n’était pas ici.
Je faisais ce rêve tous les soirs, en me disant que c’était peut-être pas juste un rêve, c’est dur pour moi de le savoir, car j’ai toujours eu l’impression que mes rêves sont plus vrais que la réalité. Aux bouts des jours, je me suis habitué à mon invitée nocturne, j’ai commencé à m’attacher à mon rêve impossible, et j’ai…aimé
Une nuit d’automne, alors que je l’attendais, ma déesse n’est pas venue, je l’ai attendue toute la nuit, et les nuits qui suivaient, jour après jour j’ai commencé à penser que c’était juste un rêve, et j’ai perdu le gout du sommeil.
Les nuits sont longues, et je n’ai pas appris à me passer d’elle, j’essaie de protéger mon cœur fragile du froid qui gagne la cabane soir après soir, je vois les étoiles qu’on a comptées tout au long des nuits disparaitre de mon ciel, jusqu’à ce que j’arrive plus à me souvenir de leurs contours, assis sur mes genoux, regardant le ciel en me disant
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai pensé que tu le sais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois laisser tomber
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai cru que tu le savais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois te laisser partir
Assis sur ma chaise de bois, espérant un regard de toi, car on m’a dit que les dieux observaient les hommes par au dessus de leurs nuages, alors je guette tous les soirs…une simple attention de toi, j’attends tous les jours le moindre écho venu du ciel
On m’a dit que les dieux ne peuvent pas tombé amoureux des mortels, on m’a dit que les dieux n’avaient pas de temps à consacrer aux hommes…pourtant, je ne peux empêcher mon cœur d’espérer, je ne peux empêcher mon cœur d’aimer, même si tu me vois pas, même si mon amour est insignifiant… je t’aime ! Je t’aime avec tout ce que mon pauvre cœur de mortel peut aimer, je t’aime même si je suis invisible, je t’aime même si tu habites le cieux, et moi la terre, je t’aime même si je suis une chose insignifiante et infime dans ton monde, je t’aime même si tu est éternelle et moi éphémère, je t’aime même si tu es une déesse…et moi juste un mortel.
la suite sur : www.theheartbreak.blogspot.com
Mar 27 Nov 2007, 10:34 par
heartbreakid sur Histoires d'amour
Comment dois-je réussir en amour?
Je suis jeune et j’ai connu quelques folies de la jeunesse.J’ai connu des amies qui ne m’inspirent pas confiance parce que faisant des doubles jeux et sont expertes en mensonge. Aujourd’hui je suis décidé à fonder mon petit foyer. Mais malheureusement, avec toute l’honnêteté, toute sincérité et confiance qui me motivent à courtiser une fille physiquement sympatique et qui capte mon amour et me refuse tout sommeil, je ne réussis pas, elles sont plutôt intéressées par l’argent et rien d’autre. Moi je souffre à chaque fois que rencontre ces genres de filles intéressées. Je passe comme un aventurier et je ne sais pas où me conduit cela. J’ai peur et je sollicite votre aide. L’erreur vient de moi? comment me comporter? ceci est plus qu’un SOS.
Dim 25 Nov 2007, 21:49 par
STEPHANE sur Histoires d'amour
Mots-Roses
Mes ombres ont peur des hurlements,
cris, vociférations…
Mon monde s’écoute en chuchotements,
Doucement susurrés …
Je me démêle en colis,
Le fou désordonné m’attire.
Tes coups-leurres ne présentent plus aucun secret,
Tes doux-leurres se terrent dans le réseau tortueux de mon cœur,
Ton amour aura été l’ultime rang dans lequel j’ai accepté de m’intégrer …
Fais moi encore la démo de tous ces maux, des mots-dés,
Afin que le velours de la main du peintre des rêves
A jamais m’y enferme ,
Piégée dans une toile, d’Art et Niais …
Ma lucidité s’effrite en bribes dérisoires,
Evocation narquoise encrée dans ma mémoire,
Qui, lâche, s’enfuit à l’approche du soir
Et se cache dans les recoins de mon âme,
Où se joue subrepticement notre histoire …
Les réminiscences du passé constituent désormais mon grimoire,
Dont le sens obscurci fusionne dans un douloureux vouloir.
J’enfouis mes désillusions aux spectres grimaçants
Dans un déferlement sauvage de sentiments vexatoires…
Allons ... aux portes du sommeil,
Je dois accepter d’estomper
Les images mots-roses de mon cœur ravagé,
Qui sombre, épuisé, à l’aube du silence …
cris, vociférations…
Mon monde s’écoute en chuchotements,
Doucement susurrés …
Je me démêle en colis,
Le fou désordonné m’attire.
Tes coups-leurres ne présentent plus aucun secret,
Tes doux-leurres se terrent dans le réseau tortueux de mon cœur,
Ton amour aura été l’ultime rang dans lequel j’ai accepté de m’intégrer …
Fais moi encore la démo de tous ces maux, des mots-dés,
Afin que le velours de la main du peintre des rêves
A jamais m’y enferme ,
Piégée dans une toile, d’Art et Niais …
Ma lucidité s’effrite en bribes dérisoires,
Evocation narquoise encrée dans ma mémoire,
Qui, lâche, s’enfuit à l’approche du soir
Et se cache dans les recoins de mon âme,
Où se joue subrepticement notre histoire …
Les réminiscences du passé constituent désormais mon grimoire,
Dont le sens obscurci fusionne dans un douloureux vouloir.
J’enfouis mes désillusions aux spectres grimaçants
Dans un déferlement sauvage de sentiments vexatoires…
Allons ... aux portes du sommeil,
Je dois accepter d’estomper
Les images mots-roses de mon cœur ravagé,
Qui sombre, épuisé, à l’aube du silence …
Mar 16 Oct 2007, 23:09 par
Luna_Lou sur L'amour en vrac
Il m'arrive encore
Il m’arrive encore de temps en temps de sortir voir s’il y a des enfants.
Il m’arrive encore des mariages soudains frôlés dans la rue le temps d’un parfum.
Il m’arrive toujours de leur faire l’amour, de mentir un instant.
Il m’arrive encore de pleurer sur mon sort, d’avoir peur de la mort, mais je suis vivant.
Il m’arrive encore de penser à toi, de poser mes yeux morts sur le souvenir de ton corps.
Il m’arrive encore de rire de moi, d’oublier tous les torts, tous les remords.
Il m’arrive encore des matins de soleil, après des nuits sans sommeil, repu de lune et de miel.
Il m’arrive encore de les trouver belles. Il m’arrive aussi d’être cruel avec elles.
Il m’arrive encore de pleurer sur mon sort, d’avoir peur de la mort, mais je suis vivant.
Mano Solo
Il m’arrive encore des mariages soudains frôlés dans la rue le temps d’un parfum.
Il m’arrive toujours de leur faire l’amour, de mentir un instant.
Il m’arrive encore de pleurer sur mon sort, d’avoir peur de la mort, mais je suis vivant.
Il m’arrive encore de penser à toi, de poser mes yeux morts sur le souvenir de ton corps.
Il m’arrive encore de rire de moi, d’oublier tous les torts, tous les remords.
Il m’arrive encore des matins de soleil, après des nuits sans sommeil, repu de lune et de miel.
Il m’arrive encore de les trouver belles. Il m’arrive aussi d’être cruel avec elles.
Il m’arrive encore de pleurer sur mon sort, d’avoir peur de la mort, mais je suis vivant.
Mano Solo
Lettre à un songe
Du virtuel fils de Morphée à sa Céleste Amazone, lettre posée comme une pierre à l’édifice dont je vous ai parlé.
Héritier du Royaume des Songes, j’attends chaque jour plongé dans mes propres rêves que le soleil se couche et que vous le suiviez. Alors que la nuit vous enveloppe de son manteau de calme et de sérénité, je vous admire lentement sombrer dans le sommeil qui vous livrera à mes tendres soins. Je vous vois là, allongée sur votre lit, joyau reposant dans son écrin, et je souris en parcourant vos formes des mes yeux gourmands. Je m’approche doucement, sans un bruit, tend la main et la pose sur votre corps, l’effleurant doucement. Je vous caresse d’un long frisson mais ne vous éveille pourtant pas, je ne suis qu’un songe face à l’objet des ses rêves. Je goûte vos lèvres, vous enlace de mes bras et vous emporte vers un autre monde pour un onirique voyage.
Comme le lapin blanc conduit Alice au Pays des Merveilles, j’aspire à vous faire découvrir mille et un plaisirs. Mais ces merveilles n’égaleront jamais les vôtres, celles de votre féminité qui sans cesse me font m’émerveiller comme un enfant qui découvre le monde. Je guide vos rêves et vous fais goûter aux délices de sensualité empruntés aux légions de songes dérobés à mon père Morphée. Je m’empare de votre esprit et de l’image de votre corps qui m’attire chaque nuit auprès de vous. Rêvons ensemble, suivons les enseignements d’Aphrodite avant qu’Apollon ne conduise son char dans notre ciel pour en chasser les étoiles. Trop tard, le jour se lève et déjà je doit relâcher mon étreinte, vous oublierez mon passage et sourirez à cet homme dans votre lit. Dommage que la nuit ne soit éternelle...
A cette nuit, mon doux rêve.
Héritier du Royaume des Songes, j’attends chaque jour plongé dans mes propres rêves que le soleil se couche et que vous le suiviez. Alors que la nuit vous enveloppe de son manteau de calme et de sérénité, je vous admire lentement sombrer dans le sommeil qui vous livrera à mes tendres soins. Je vous vois là, allongée sur votre lit, joyau reposant dans son écrin, et je souris en parcourant vos formes des mes yeux gourmands. Je m’approche doucement, sans un bruit, tend la main et la pose sur votre corps, l’effleurant doucement. Je vous caresse d’un long frisson mais ne vous éveille pourtant pas, je ne suis qu’un songe face à l’objet des ses rêves. Je goûte vos lèvres, vous enlace de mes bras et vous emporte vers un autre monde pour un onirique voyage.
Comme le lapin blanc conduit Alice au Pays des Merveilles, j’aspire à vous faire découvrir mille et un plaisirs. Mais ces merveilles n’égaleront jamais les vôtres, celles de votre féminité qui sans cesse me font m’émerveiller comme un enfant qui découvre le monde. Je guide vos rêves et vous fais goûter aux délices de sensualité empruntés aux légions de songes dérobés à mon père Morphée. Je m’empare de votre esprit et de l’image de votre corps qui m’attire chaque nuit auprès de vous. Rêvons ensemble, suivons les enseignements d’Aphrodite avant qu’Apollon ne conduise son char dans notre ciel pour en chasser les étoiles. Trop tard, le jour se lève et déjà je doit relâcher mon étreinte, vous oublierez mon passage et sourirez à cet homme dans votre lit. Dommage que la nuit ne soit éternelle...
A cette nuit, mon doux rêve.
Sam 11 Août 2007, 19:45 par
Morphée sur La séduction
Lassitude
je te sens distante
froide a mon egard
je suis comme une ile
perdu dans le brouillard
cette joie de vivre
que je voyais en toi
disparaît dès que tu rentres
que tu es seule avec moi
je ne sais plus te surprendre
te faire rire,ou simplement sourire
tu me laisses tout seul
a bord de ce navire
tu cherches ton bonheur ailleurs
sans doute tu le trouveras
mais qui sait si ce bonheur
un jour ne te quittera pas
pour une autre que toi
et tu rechercheras
et encore tu trouveras
et tu recommenceras
du bonheur tu en auras
du moins tu le croiras
mais aucun de ces bonheurs
ne t’aimera comme moi
avec tant de tendresse
avec tant de pasion
que j’en perds la tete
que j’en perds la raison
lorsque tu me souris
je suis bien,je suis heureux
pour m’impregner de ton visage
je ne dis rien,je ferme les yeux
et quand je dors près de toi
et que je ne trouve pas le sommeil
je ressens ton indifference
c’est elle,qui me tient en eveil
tous deux on s’etait promis
d’être fidèles pour la vie
mais, quelle ironie de ta part
sans cesse tu m’as menti
je voudrais te donner
tout ce que tu desires
mais par ou commencer ?
c’est a toi de me le dire
je peux tout accepter
tu le sais depuis toujours
excepte de te perdre
de perdre ton amour
la maison de tes reves
je ne pourrais pas la finir
car si je dois te perdre
je préfère mourir
pour que tu sois heureuse
que tu n’aies plus a souffrir
pour que tu sois heureuse
je préfère partir
froide a mon egard
je suis comme une ile
perdu dans le brouillard
cette joie de vivre
que je voyais en toi
disparaît dès que tu rentres
que tu es seule avec moi
je ne sais plus te surprendre
te faire rire,ou simplement sourire
tu me laisses tout seul
a bord de ce navire
tu cherches ton bonheur ailleurs
sans doute tu le trouveras
mais qui sait si ce bonheur
un jour ne te quittera pas
pour une autre que toi
et tu rechercheras
et encore tu trouveras
et tu recommenceras
du bonheur tu en auras
du moins tu le croiras
mais aucun de ces bonheurs
ne t’aimera comme moi
avec tant de tendresse
avec tant de pasion
que j’en perds la tete
que j’en perds la raison
lorsque tu me souris
je suis bien,je suis heureux
pour m’impregner de ton visage
je ne dis rien,je ferme les yeux
et quand je dors près de toi
et que je ne trouve pas le sommeil
je ressens ton indifference
c’est elle,qui me tient en eveil
tous deux on s’etait promis
d’être fidèles pour la vie
mais, quelle ironie de ta part
sans cesse tu m’as menti
je voudrais te donner
tout ce que tu desires
mais par ou commencer ?
c’est a toi de me le dire
je peux tout accepter
tu le sais depuis toujours
excepte de te perdre
de perdre ton amour
la maison de tes reves
je ne pourrais pas la finir
car si je dois te perdre
je préfère mourir
pour que tu sois heureuse
que tu n’aies plus a souffrir
pour que tu sois heureuse
je préfère partir
Dim 08 Juil 2007, 19:24 par
pierre de la carolina sur Mille choses
Caresses à partager
Assis devant mon ordi, des chaussettes au pied, les pied dans mes sandales, un slip noir avec une bordure grise descendu à mi-cuisses, je me laisse aller à ma vue et mon ressenti.
Mes boules rasées, le pourtour de mon sexe rasé également depuis quelques jours, je regarde les premiers poils courts qui viennent colorer ma peau d’un léger noir. Mes boules reposant sur mes cuisses serrées, mon pénis au repos avec mon gland décaloté attend qu’une main vienne le réveiller. Je le prends dans mes mains, le secoue doucement et le sort de son sommeil. Quelques caresses et le voilà fièrement dressé vers un désir, vers ce bien être d’être touché et carssé. Douceur de mon prépuce et chaleur en même temps qui voudrait rencontrer une langue ou une bouche pour se faire engloutir
J’écarte un peu les jambes et lentement je laisse glisser ma main le long de mon sexe dans un mouvement de va et vient. Nageant dans le bien être de cette félicitée, je reste à la frontière de la jouissance.
Plaisir d’une caresse
Mes boules rasées, le pourtour de mon sexe rasé également depuis quelques jours, je regarde les premiers poils courts qui viennent colorer ma peau d’un léger noir. Mes boules reposant sur mes cuisses serrées, mon pénis au repos avec mon gland décaloté attend qu’une main vienne le réveiller. Je le prends dans mes mains, le secoue doucement et le sort de son sommeil. Quelques caresses et le voilà fièrement dressé vers un désir, vers ce bien être d’être touché et carssé. Douceur de mon prépuce et chaleur en même temps qui voudrait rencontrer une langue ou une bouche pour se faire engloutir
J’écarte un peu les jambes et lentement je laisse glisser ma main le long de mon sexe dans un mouvement de va et vient. Nageant dans le bien être de cette félicitée, je reste à la frontière de la jouissance.
Plaisir d’une caresse
Lun 19 Fév 2007, 15:52 par
cinq sur Amour internet
Rivière de sentiments
Comme les mots sont éphémères
Et l’amour est une bien belle rivière
Qui nous emporte vers tant d’illusions
Et nous berce par tant de passion
Où l’on s’enferme dans une bulle de verre
Avec ses sentiments et ses mystères
L’esprit se frotte à la lune
Et les yeux, d’une flamme, s’allume
Croire aux mille et une merveilles
Rêver sans plonger dans le sommeil
T’écouter et observer ton sourire
Qui m’enivre avec tant de plaisir
Apprécier la beauté de tes yeux
Et se laisser s’envoler aux cieux
Profiter tout simplement du bonheur,
Et se dire que demain n’est pas un leurre..."
Catilina
Et l’amour est une bien belle rivière
Qui nous emporte vers tant d’illusions
Et nous berce par tant de passion
Où l’on s’enferme dans une bulle de verre
Avec ses sentiments et ses mystères
L’esprit se frotte à la lune
Et les yeux, d’une flamme, s’allume
Croire aux mille et une merveilles
Rêver sans plonger dans le sommeil
T’écouter et observer ton sourire
Qui m’enivre avec tant de plaisir
Apprécier la beauté de tes yeux
Et se laisser s’envoler aux cieux
Profiter tout simplement du bonheur,
Et se dire que demain n’est pas un leurre..."
Catilina
Ven 09 Fév 2007, 02:21 par
Utopia GFR sur Parler d'amour
La bataille
Ma vie est une bataille permanente contre moi-même,
Une bataille pour survivre chaque jour,
Une bataille pour sourire,
Une bataille pour aimer les simples plaisirs,
Une bataille pour réapprendre à aimer.
Quand je meurs à l’intérieur....
Une bataille contre les douleurs,
Qu’elles soient physiques ou mentales,
Une bataille contre les cauchemars,
Qu’ils soient anciens ou récents,
Une bataille contre les nuits sans sommeil,
Une bataille contre la peur,
Mais cette bataille je vais la gagner,
Tu m’as brisée mais non détruite,
Une fois recollée avec de la bonne colle,
Je serai encore plus forte :
Et comme le phoenix, je renais.
Jullia
Une bataille pour survivre chaque jour,
Une bataille pour sourire,
Une bataille pour aimer les simples plaisirs,
Une bataille pour réapprendre à aimer.
Quand je meurs à l’intérieur....
Une bataille contre les douleurs,
Qu’elles soient physiques ou mentales,
Une bataille contre les cauchemars,
Qu’ils soient anciens ou récents,
Une bataille contre les nuits sans sommeil,
Une bataille contre la peur,
Mais cette bataille je vais la gagner,
Tu m’as brisée mais non détruite,
Une fois recollée avec de la bonne colle,
Je serai encore plus forte :
Et comme le phoenix, je renais.
Jullia
Mer 10 Jan 2007, 13:21 par
joullia sur Mille choses
Dites moi ce que vous en pensez !!!!
ILLUSIONS
Quand le soir au sommeil je m’abandonne,
Tombant dans la léthargie la plus profonde,
Me parviennent les reflets d’une ombre qui tourbillonne,
Remplie de sagesse, de paroles fécondes.
Elle s’amuse, tourne autour de moi,
fredonnant chansons et charmantes ritournelles,
Provoquant de profonds émois,
Remplissant la pièce d’une douceur irréelle.
Alors d’elle je m’approche,
Et plein d’espoir je tends les bras,
Mais dans le vide mes mains ricochent,
Brassant le néant et ramenant l’effoi.
Puis l’aube venant je la retrouve,
Créant des brêches béantes dans mes certitudes,
Jetant du sel sur les plaies qui s’entrouvent,
Son nom je ne peux l’oublier c’est la solitude.
Quand le soir au sommeil je m’abandonne,
Tombant dans la léthargie la plus profonde,
Me parviennent les reflets d’une ombre qui tourbillonne,
Remplie de sagesse, de paroles fécondes.
Elle s’amuse, tourne autour de moi,
fredonnant chansons et charmantes ritournelles,
Provoquant de profonds émois,
Remplissant la pièce d’une douceur irréelle.
Alors d’elle je m’approche,
Et plein d’espoir je tends les bras,
Mais dans le vide mes mains ricochent,
Brassant le néant et ramenant l’effoi.
Puis l’aube venant je la retrouve,
Créant des brêches béantes dans mes certitudes,
Jetant du sel sur les plaies qui s’entrouvent,
Son nom je ne peux l’oublier c’est la solitude.
Ven 29 Déc 2006, 12:56 par
poetic69 sur Parler d'amour
Perplexe et amoureux
Le texte qui suit peut paraître disparate et surprenant.
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!
Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de choses à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!
Tu es :
Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...
Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?
Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...
Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...
Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...
Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages
Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...
Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!
Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de choses à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!
Tu es :
Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...
Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?
Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...
Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...
Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...
Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages
Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...
Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Mar 21 Nov 2006, 08:47 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Mes maux
Quand après le soir
La nuit arrive
Moirée de noir
Sur mes rives
Mes maux se réveillent
A grand pas chaque nuit
Des bêtes veillent sans bruit
Sur les eaux de mon sommeil
A l’époque dans ma jeunesse
Je m’inquiétais un peu…
La nuit arrive
Moirée de noir
Sur mes rives
Mes maux se réveillent
A grand pas chaque nuit
Des bêtes veillent sans bruit
Sur les eaux de mon sommeil
A l’époque dans ma jeunesse
Je m’inquiétais un peu…
Dim 19 Nov 2006, 10:17 par
melysa sur La première fois
Sans empreinte
Ma douce âme...
il y a mon amour
qui te porte
qui te suit par tous les temps
que tu trouves toujours
à peine éveillée
t’accompagne dans ta journée
veille sur ta nuit
garde ton sommeil.
J’ai appris à le brider
à ne pas le laisser t’envahir
à ne pas s’inviter au cœur de ta vie
là, où il n’est pas espéré.
J’ai lâché prise
avec mes envies d’être là
où tu ne veux pas que je sois,
avec moi auprès de toi
plus souvent
pour construire
un peu de cette vie.
Je t’aime de près, de loin
tu es au creux de moi
tu fais partie de moi..
Je t’aime, je regarde ta vie,
ton chemin entre lui et moi
et ton pas mal assuré,
tes errances, tes doutes,
au bord du renoncement quelquefois
tant la peur, tellement la douleur...
Je t’aime, j’écoute tes questionnements
perdus dans tes silences,
ta voix si pâle de crainte
en réponse à la mienne
qui parfois s’éteint.
Je t’aime depuis tout ce temps
malgré le vent
les bouleversements
malgré tout
oui, malgré tout...
alors je t’offre ce que tu veux de moi
et je garde ce que tu ne veux pas.
il y a mon amour
qui te porte
qui te suit par tous les temps
que tu trouves toujours
à peine éveillée
t’accompagne dans ta journée
veille sur ta nuit
garde ton sommeil.
J’ai appris à le brider
à ne pas le laisser t’envahir
à ne pas s’inviter au cœur de ta vie
là, où il n’est pas espéré.
J’ai lâché prise
avec mes envies d’être là
où tu ne veux pas que je sois,
avec moi auprès de toi
plus souvent
pour construire
un peu de cette vie.
Je t’aime de près, de loin
tu es au creux de moi
tu fais partie de moi..
Je t’aime, je regarde ta vie,
ton chemin entre lui et moi
et ton pas mal assuré,
tes errances, tes doutes,
au bord du renoncement quelquefois
tant la peur, tellement la douleur...
Je t’aime, j’écoute tes questionnements
perdus dans tes silences,
ta voix si pâle de crainte
en réponse à la mienne
qui parfois s’éteint.
Je t’aime depuis tout ce temps
malgré le vent
les bouleversements
malgré tout
oui, malgré tout...
alors je t’offre ce que tu veux de moi
et je garde ce que tu ne veux pas.
Lun 16 Oct 2006, 10:38 par
danslalune sur Parler d'amour
L' appartement
Je visite un appartement, c’est le premier, et ... le coup de foudre.
L’homme qui me le fait visiter me touche, mais, sans plus... pourtant, je le trouve attirant.
- " Mais qui? " me dit Delphine... je la regarde, elle me connait... je décide toujours.
Quelques semaines plus tard, l’ appart est mon Home, je revois l’homme ... et, bizarrement, me sens toute chose... (Pas facile à admettre pour une femme qui reprend enfin sa liberté!)... Quoique...
Il habite dans ma rue; à cette époque, je ne veux penser qu’à moi, ..., mais, le sais déjà là.
Je me " bats ", l’entend me demander " pourquoi as tu peur de moi ??? " ,
...................... ma voix intérieure :
" je ne vais quand même pas te dire à l’ instant que tu n’es pas celui qui m’aimera pour notre moment. "
Mais il m’invite. Et, comme une femme qui croit décider, je laisse flancher ma nuque contre son torse avant de lui dire " au revoir "... si seulement je n’avais pas ressenti ce qu’il avait en lui!!!... belle âme!
Nous nous sommes un peu rencontrés, à partir de cet instant.
Je n’ai que rarement vécu un rapport aussi libre, sans frontière, rencontre de son regard, quand il aimait je ne sais qui de par sa muse, tout en m’emmenant dans mes contrées qu’ils ne pouvait soupçonner. Le sentir endormi, près de moi, l’aimer. Et être réveillée en plein sommeil par des mains caressantes, un corps brûlant mouvant, un homme qui veut me faire l’amour, sans qu’il en ai conscience...
Cet espèce d’Olibrius est à tomber par terre, ... , blindé de défauts, mais si honnête; généreux avant tout parce que capable de paroles sincères, même si elles ne sont pas tendres, il veut être ce qu’ il veut bien donner ... à une connaissance, une maîtresse, son amour.
J’ai dormi quelques nuits dans ses draps, souvenirs aussi perçants dans le plaisir et la force de mes sentiments, que pourraient être mes sourires en retour, ou mes regards durs lorsqu’ il est en danger dans la rue de Draveil.
Et là... Je ne le regarde pas tendrement.
L’homme qui me le fait visiter me touche, mais, sans plus... pourtant, je le trouve attirant.
- " Mais qui? " me dit Delphine... je la regarde, elle me connait... je décide toujours.
Quelques semaines plus tard, l’ appart est mon Home, je revois l’homme ... et, bizarrement, me sens toute chose... (Pas facile à admettre pour une femme qui reprend enfin sa liberté!)... Quoique...
Il habite dans ma rue; à cette époque, je ne veux penser qu’à moi, ..., mais, le sais déjà là.
Je me " bats ", l’entend me demander " pourquoi as tu peur de moi ??? " ,
...................... ma voix intérieure :
" je ne vais quand même pas te dire à l’ instant que tu n’es pas celui qui m’aimera pour notre moment. "
Mais il m’invite. Et, comme une femme qui croit décider, je laisse flancher ma nuque contre son torse avant de lui dire " au revoir "... si seulement je n’avais pas ressenti ce qu’il avait en lui!!!... belle âme!
Nous nous sommes un peu rencontrés, à partir de cet instant.
Je n’ai que rarement vécu un rapport aussi libre, sans frontière, rencontre de son regard, quand il aimait je ne sais qui de par sa muse, tout en m’emmenant dans mes contrées qu’ils ne pouvait soupçonner. Le sentir endormi, près de moi, l’aimer. Et être réveillée en plein sommeil par des mains caressantes, un corps brûlant mouvant, un homme qui veut me faire l’amour, sans qu’il en ai conscience...
Cet espèce d’Olibrius est à tomber par terre, ... , blindé de défauts, mais si honnête; généreux avant tout parce que capable de paroles sincères, même si elles ne sont pas tendres, il veut être ce qu’ il veut bien donner ... à une connaissance, une maîtresse, son amour.
J’ai dormi quelques nuits dans ses draps, souvenirs aussi perçants dans le plaisir et la force de mes sentiments, que pourraient être mes sourires en retour, ou mes regards durs lorsqu’ il est en danger dans la rue de Draveil.
Et là... Je ne le regarde pas tendrement.
Jeu 12 Oct 2006, 23:31 par
Chogokinette sur Le grimoire d'amour
Ecrire sur sommeil
La cabane au bord de l’océan, Comment dois-je réussir en amour?, Mots-Roses, Il m'arrive encore, Lettre à un songe, Aimer ( 4 )..., Lassitude, Caresses à partager, Rivière de sentiments, La bataille, Dites moi ce que vous en pensez !!!!, Perplexe et amoureux, Mes maux, Sans empreinte, L' appartement,Il y a 92 textes utilisant le mot sommeil. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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