Aventure de vacances...

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Bonjour

Chaque samedi, je viendrais relater les anecdotes de mes dernières vacances en Ecosse avec mon mari écossais.
Les superbes vacances avec mon mari, en cet été 2015.
Chaque texte sera posté à la suite du précédent.
Ainsi il sera très simple au lecteur d’avoir le repaire facilitant sa recherche.
Ce premier récit est donc le début d’une série qui, je l’espère, saura vous séduire et vous entraîner dans mes troublants excès.
Bonne découverte et bonne lecture.

Juillet à St Andrew

Cette soirée de juillet, après la visite des ruines magnifiques de la cathédrale de Saint-Andrew, nous sommes allés dans un petit restaurant.
Assis à la terrasse arrière d’un établissement plein de ce charme désuet et intemporel, la vue sur le château était de toute beauté.
Mon compagnon et moi profitions de ce climat extraordinaire et de cette lumière diaphane particulière à l’ Ecosse.
Il était vingt et une heure. Parmi les clients, il y avait trois couples, deux jeunes femmes et un monsieur seul.

Tout en mangeant, mon mari et moi bavardions. Nous avions réussi à ne pas passer la soirée dans sa famille qui le sollicite beaucoup.
Lors de nos échanges, machinalement, je regardais dans la direction du mangeur . Il portait la belle chevelure grise du quadragénaire,
Nos regards se croisèrent à quelques reprises. J’en fis pars à mon compagnon qui me fit remarquer qu’il y avait peut-être là une opportunité.
Regardant autour de moi, certaine de n’être vue que par l’inconnu, sous la table, j’écartais doucement les cuisses. Mon cœur battait fort.

J’aime être vêtue d’une jupe. Surtout en été. Je peux ainsi me sentir libre de toutes entraves vestimentaires. Ce soir-là, c’était le cas.
Une jupe courte et plissée. Sous mon T-shirt, mes tous petits seins évoluent dans une totale liberté, n’ayant pas besoin d’être soutenus.
Chaussée de baskets, je propose la silhouette de la dilettante en vacances. Mes cheveux noués en une longue natte participent encore de tout cela.
Le monsieur, lors d’un de ces mouvements de tête, se rendit rapidement compte du spectacle qui lui était offert. Cessant sa lecture.

Je croisais et décroisais mes jambes avec une exagération qui attira son attention. A présent, il louchait sous ma table tout en mangeant.
Je faisais évidemment comme si je ne me rendais compte de rien. Au bout d’une dizaine de minutes, je me levais pour aller aux toilettes.
Je voulais retirer ma culotte afin de pouvoir apprécier la satisfaction de cette situation. Opportunité qui m’excitait de plus en plus.
J’en profitais pour faire mon pissou. Quelle ne fut pas ma surprise, en sortant de la cabine, de voir l’inconnu debout devant un des deux lavabos.

En lavant mes mains, je découvris que le monsieur avait son sexe posé sur la faïence du lavabo. Avec un air des plus naturels. J’étais amusée.
Il prononça quelques mots dans un mauvais Anglais. Je fis semblant de ne rien comprendre en haussant les épaules. Sans répondre.
Je me dépêchais de me laver les mains avant de sortir des toilettes. Je revins m’asseoir pour raconter mon aventure à mon mari.
J’avais ma petite culotte coincée dans la ceinture de ma jupe, je la rangeais dans notre petit sac à dos. L’inconnu revint s’asseoir.
Les cuisses bien écartées, le monsieur pouvait admirer ma toison pubienne de brune, épaisse et fournie. Un autre couple était arrivé.

Il me fallait ruser pour n’être vue que du monsieur. Ce dernier, faisant semblant d’être absorbé dans la lecture d’un magazine, observait avec attention.
Discrètement, je passe une main sous la table. Je commence à me toucher. L’inconnu, dont le trouble devient apparent, regarde mon manège.
Du doigt, il me montre la porte des toilettes. Je comprends l’invitation. J’en fais part à mon mari qui m’encourage à créer une nouvelle situation.
Je vous propose donc de découvrir la suite de cette étonnante aventure, dans mon récit du week-end prochain, pour ma nouvelle visite sur le forum.

A bientôt et bonne semaine.
Bises.

Isa
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Dim 07 Fév 2016, 13:18 par Isa-Belle sur Les liaisons sulfureuses

En attendant

En attendant( texte modifié)



En attendant que tu arrives, juste pour m’aimer de nouveau

Je tourne en rond dans ma chambre et je gamberge

Mes pensées passent la fenêtre et voguent sur la berge

D’une petite rivière pénétrant un vaste champ de coquelicots

Qu’une fine pluie tombant du ciel détrempe abondamment

Malgré ce temps maussade et si gris, ils sont toujours aussi beaux.

Et je ne me lasse jamais de les regarder s’agiter au vent qui passe.

J’aime dans ton attente entendre ricocher les gouttes sur ma fenêtre,

Elles font telle une petite plainte, un long sanglot qui me tourmente

Qu’on dirait que même le ciel semble pleurer la peine qui me contient

Et qui s’exprime ainsi tant j’ai en moi cette affreuse absence de toi

Alors il me semble entendre les accents de ta voix si lointaine

Lorsque le vent souffle et vient me murmurer tes paroles si douces,

Tu ne peux savoir l’ampleur du tracas qu’il déclenche

Et ses souvenirs qui me reviennent troublant mon attente

Où je sens toujours les caresses de tes mains sur mes hanches,

Lorsque l’une remontait mon corps sitôt enfiévré de tressaillements

La sentant se glisser lentement sur mon buste et ma poitrine

Quand l’autre plus avenante se fait moins discrète et si coquine

En gérant l’antre des attentions mutines ou perle la rosée divine

Plus haut tes lèvres s’enhardirent en effleurant ma bouche,

Lors tes bras m’emmenèrent tendrement jusqu’à la couche,

Puis ton corps prit le mien pour m’aimer passionnément jusqu’au matin,

Où tu repartis comme de coutume sans faire le moindre bruit,

Me laissant ainsi dormir allongée comblée rassasiée de plaisir

Et posée à côté sur la table de chevet, une lettre de plus

Qui s’en fut rejoindre toutes ces lettres, soigneusement conservées,

Au fond de l’armoire dans cette vieille boîte à chaussure

Que j’ouvre tous les jours pour les relire en boucle, et si souvent

Nostalgique d’un temps où en elles s’écoulent tes déclarations enflammées....

Seuls vestiges de cette brève aventure qui ne dura qu’un été...

Avec l’oreiller en prière, où ton odeur restera ancrée à jamais,

Et que je prends chaque nuit le désir de humer intensément

De le serrer très fort contre moi, comme s’il était toi

Avant de me coucher dans ce grand lit, si triste et si froid

Et dans lequel, en attendant, je rêve, sans fin

Je rêve de pouvoir te revoir un jour, enfin.
Sam 31 Jan 2015, 13:07 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

La biche et moi (ecrit au masculin re-travaillé)

LA BICHE ET MOI

En ce temps-là, j’avais acheté, pour une bouchée de pain, un grand terrain laissé depuis longtemps à l’abandon et retourné quasiment à l’état sauvage. Enfin, si l’on peut appeler cela un terrain d’une étendue hétéroclite de prairies, marécages et bois disséminés pêle-mêle sur un domaine au relief chaotique que surplombait l’antique coupole d’un vieux moulin en ruine. Personne ne semblait pouvoir me renseigner sur le contenu exact de la propriété et les papiers officiels ne faisaient mention que d’une surface et de la "probabilité d’une habitation". Une telle description sur un acte de vente s’expliquait par un accès plus que difficile, prodigieusement malaisé et très dangereux. On ne s’y prendrait pas autrement pour en interdire l’entrée. C’était, sans toutefois l’affirmer : Vous entrez à vos risques et périls ! Ce qui en rebuta plus d’un et fit mon bonheur tant sur le plan pécunier que sur le plan satisfaction : L’endroit était exactement ce dont j’avais rêvé !Je trouvai, dans la propriété, un vieux moulin à eau entouré d’une forêt d’orties, de fleurs champêtres, de ronces et d’arbres rabougris couverts de fougères. J’avais besoin d’un endroit comme cela, à l’écart de toute civilisation, mais pas, pour autant, au bout du monde, pour y séjourner en paix et méditer au calme.

Un héritage impromptu, placé à bon escient, me rapportait suffisamment que pour vivre de mes rentes. N’ayant nul besoin de travailler, je passais mon temps partagé entre mes loisirs, la découverte de mon domaine et la restauration de l’ancien bâtiment. J’étais ainsi toujours occupé et je ne connaissais pas l’ennui. Étant un , j’avais appris à me débrouiller seul et n’avais besoin d’aide même pour des travaux de force que j’accomplissais en me référant aux anciennes méthodes de construction. Celles d’un temps où l’homme était la seule puissance motrice disponible pour exécuter ce genre de travail. Je restaurai ainsi un vieux four dans lequel je faisais cuire mon pain. Remis en état l’ancienne roue à aubes du moulin pour disposer de sa force pour les gros travaux ainsi que de son énergie pour alimenter un circuit d’eau, sommaire, pour la cuisine et la salle d’eau. Réparai la toiture pour être au sec, rebâtis la partie de façade effondrée, consolidai le reste et refis quelques crépis internes pour que l’ensemble soit propre et agréable à vivre. Je m’octroyais de larges plages horaires pour lire et méditer et me surpris à plusieurs reprises à lire à la lueur du feu de bois crépitant joyeusement dans la cheminée. J’aimais cette atmosphère intimiste que je préférais à la lumière froide des ampoules électriques.

Mon garde-manger se remplit bien vite des légumes variées en provenance du petit jardinet que j’avais défriché et des nombreux fruits en provenance d’un verger revigoré par l’élimination de la prolifération des mauvaises herbes qui l’avaient envahi. Mon nouveau cadre partiellement aménagé, j’aimais beaucoup m’étendre sous un arbre ou au bord de l’eau et dans cette tranquillité champêtre, je dévorais quantité de livres. Parfois, le soir, inspiré par le cadre et le chant des cigales, j’improvisais sur le piano des mélodies pastorales ou, quand le temps menaçait d’orage, une envolée lyrique qui n’aurait déplu à Wagner.
Les rares amis qui s’étaient invités étaient repartis aussi vite que l’éclair au manque d’eau chaude courante, de radio et de la reine télévision dont la place restait ostensiblement vide. Contrairement à l’adage qui veut qu’un ami arrive trop tard et reparte trop tôt, chez moi, il arrivait toujours trop tôt et repartait, malgré sa célérité, toujours trop tard. Ce qui me valut, auprès d’amis et connaissances, en un temps record, le sobriquet de sauvage. Pas de réveille-matin non plus ! Je me réveillais chaque matin, la fenêtre ouverte, avec le doux murmure d’une petite cascade dont l’eau s écoulait paresseusement en un gros ruisseau qu’accompagnaient les chants joyeux d’une dizaine d’espèces différentes d’oiseaux : Un pur moment de bonheur !

Après une installation plus que sommaire, bien que suffisante à mes faibles exigences, je décidai de faire le tour complet du propriétaire pour avoir une idée aussi précise que possible de l’état et des besoins de la propriété. Je pris un sac à dos, y fourrai de quoi tenir une semaine de provisions, ma tente et mon sac de couchage, résidus des camps de vacance de ma jeunesse, une machette et une corde d’alpiniste, souvenir d’un vieux voyage au Mexique, un ciré, cadeau d’un ami breton, l’indispensable équipement de l’explorateur, boussole, lampe, couteau et mon inévitable livre de chevet. Pour l’occasion, j’avais trouvé fort à propos d’emporter les aventures de Robinson Crusoé. Une fois traversée la savane sauvage entourant mon havre de paix, je m’enfonçai vite dans une sorte de brousse boisée aux ramures inextricables traversée par une espèce de pâture marécageuse. Un infect bourbier que je décidai de contourner de peur d’y rester coincé. C’est au détour d’une énième masse de ronces que je la vis : Une biche s’était empêtrée, dans cette surface spongieuse, et malgré tous ses efforts ne parvenait pas à s’en extraire. Quand mon regard croisa ses grands yeux angoissés, elle semblait supplier : Sauve-moi !

Je n’étais pas équipé pour une telle péripétie mais sans y réfléchir davantage, je sortis mon inséparable corde de rappel qui ne me quittait plus pour mes randonnées depuis que son absence avait failli me coûter la vie lors d’un trip dans les Andes. J’attachai solidement un bout à un arbre et en ayant une pensée pour mes toutes nouvelles bottines de marche je m’enfonçai résolument en direction de la bête apeurée. Comme si elle fut consciente du but de mon action, elle arrêta de se débattre et se laissa entraver docilement. Relevant la biche d’une main et tirant la corde de l’autre, le corps à moitié enfoui dans la boue, après un temps qui me parut une éternité, je parvins à dégager la bête de l’emprise de la vase. Il ne me resta plus qu’à m’y soustraire pour remarquer que la biche, loin d’éprouver de la crainte à mon égard, faisait montre d’une gratitude inhabituelle pour cette hôtesse des bois. Une fois ses entraves ôtées, je l’exhortai à partir mais elle n’en fit rien. Que du contraire, elle se mit à me suivre comme un toutou. L’aventure et l’effort consenti m’avaient donné faim et m’arrêtai pour manger, assis à califourchon sur une victime des terribles tempêtes ayant secoué la région. Le vieux tronc me servait à la fois de chaise et de table et déployant un essuie j’installai mon repas.

Je commençai à me restaurer quand, à ma grande surprise, la biche s’invita à la collation en subtilisant timidement quelques feuilles de salade. Mi-perplexe, mi-amusé, je réalisai que la pauvre bête devait mourir de faim. Qui sait depuis combien de temps elle se débattait dans cette boue ? Je songeai que son attachement inhabituel devait provenir du parfum que dégageaient les victuailles que recelait mon sac à dos. Je me surpris à lui parler comme à une personne et l’inviter à la noce du geste et de la parole. Je m’amusais à voir son joli museau s’avancer vers la nourriture et l’attraper de sa petite langue tandis que ses grands yeux semblaient dire : Je peux ? Je lui présentai salades, légumes et fruits divers auxquels elle ne se priva pas de faire honneur. Au point que, le casse-croûte fini, je dus constater qu’il ne m’en restait plus assez pour continuer l’exploration de mon domaine. Je me voyais contraint de rentrer au bercail, faire le plein de provisions car je doutai fort de trouver quelque chose de comestible dans cette brousse. Le soir tombant n’en hâta que plus ma décision de faire demi-tour. Je me dis que, rassasié, l’animal allait sans doute poursuivre sa route.
Elle n’en fit rien et continua de me suivre docilement.

Le débroussaillage de l’aller se révéla un précieux gain de temps pour le retour et me félicitai intérieurement de ne pas avoir lésiné sur les coups de machette : Le chemin était tout tracé. Malgré cela, l’arrivée d’un orage impromptu vint obscurcir prématurément le peu de lumière dispensée par un soleil mourant. C’est à ce moment que je me rendis compte que, tout à l’étude du comportement de la bête, j’avais oublié de refaire mon paquetage. Ma lampe se trouvait quelque part dans ces ombres qui gonflaient et je ne dus de retrouver mon chemin qu’à la lueur de quelques éclairs annonciateurs de tempête. Accélérant le pas, je me retrouvai vite chez moi ; la biche toujours sur mes traces. Je m’engouffrai dans l’entrée au moment même où, les nuages, crevant, déversèrent la pluie à pleins seaux. J’allais refermer la porte sur les éléments déchaînés quand je croisai le regard attristé de la biche. Imagination, me direz-vous ! N’empêche que je n’eus pas le cœur de la laisser dehors et lui fis signe d’entrer. Ce qu’elle se pressa de faire d’un trottinement que je qualifierais de joyeux. Je ne pus m’empêcher de noter les dégâts occasionnés au hall d’entrée par mes bottes boueuses, ses sabots fangeux et sa fourrure dégoulinante d’eau mais j’étais exténué de ma journée et remis le nettoyage au lendemain. Je filai, sans tarder, au lit laissant l’animal se choisir un coin pour dormir.

Malgré l’orage qui grondait et grésillait, je ne tardai pas à m’endormir et à faire un de plus étranges rêves qui soit : Une lueur insolite semblait émaner de l’animal, prendre de l’ampleur jusqu’à devenir une lumière éblouissante, l’entourant et le soustrayant totalement à la vue. Quand le rayonnement se fit moins intense, je constatai qu’une créature d’une beauté inouïe avait pris la place de la biche. Une femme à la superbe chevelure d’un rouge flamboyant et aux magnifiques yeux noisette, que de longs cils mettaient en relief, sortit de ce halo et se mit à explorer l’endroit. Sa nudité et son corps aux courbes parfaites en faisaient une déesse irréelle, fascinante, captivante. Je contemplai l’apparition et en suivai chaque mouvement et geste : Tout semblait l’intéresser et l’intriguer. Après sa petite visite, elle revint s’asseoir près de mon lit et nous nous dévisageâmes longuement. Si longuement que, dans le rêve, nous nous endormîmes en nous regardant. Le lendemain matin, un poids me gênant, me réveilla de bonne heure. Je fus surpris de trouver la biche recroquevillée au bout de mon lit et pensai au singulier rêve de la nuit que je mis sur le compte de ma longue abstinence. Bien que m’obligeant à de longues veillées, je ne constatai rien d’inhabituel chez l’animal si ce n’est son inexplicable fascination pour mon logis qu’il refusait invariablement de quitter me suivant partout comme un quelconque familier domestique.

Au point que je m’y affectionnai et, à l’instar de Robinson, je cherchais un nom pour mon étonnant Vendredi. J’écartais d’office les bichettes et autres bibiches pour explorer les différentes mythologies à la recherche d’un nom qui lui conviendrait. Après différents essais, mon choix se fixa sur Eowyn, princesse guerrière du cycle tolkinien de la saga du Seigneur de l’anneau. Quelque chose dans sa description et dans mon imagination faisait queje lui trouvais la même allure altière et par la force des choses, le même mutisme glacial, la même difficulté à s’exprimer. Le temps passa. À l’Automne et ses couleurs variées, succéda le noir et blanc de l’Hiver qui fit place à l’éclatement lumineux d’un Printemps triomphant, et je me surpris à ressentir un manque étrange, comme une sombre appréhension, lorsque la biche partait en balade pendant de longues heures. Je ne saurai dire si c’était une grande inquiétude ou une sorte de stupide jalousie envers ce milieu qui m’enlevait le seul être que je supportais avec grâce à mes côtés., mais ce malaise était bel et bien réel. Je commençai à craindre pour mes facultés mentales. À intervalles réguliers, je refaisais ce même rêve étrange d’une merveilleuse déesse nue visitant la maison et me regardant dormir en se demandant quel rêve pouvait ainsi dessiner un sourire sur mon visage bourru. Je la voyais humer les draps, presque m’ausculter comme si elle voulait imprimer dans son esprit les traits de mon visage et mon odeur.

Une nuit, l’impensable se produisit : L’apparition se risqua à m’embrasser et ce baiser me parut si réel, si chaud, si excitant que je m’éveillai en sueur. Perturbé, désorienté, j’allai dans la cuisine et ouvris le frigo dans le but de me servir un grand verre de jus de fruit quand, dans le reflet d’un plat d’inox, je la vis derrière moi. Je me retournai aussitôt et lâchai mon verre de stupeur : La Venus de mon rêve était là en chair et en os. ! Aussi nue qu’un ver ! Aussi belle qu’une déesse ! Aussi irréelle qu’une fée et pourtant.....Toute aussi stupéfaite que moi, l’apparition était figée, interloquée par cette rencontre. Puis, alors que je n’étais pas encore totalement revenu de ma surprise, elle me raconta son histoire. Un magicien jaloux lui avait lancé un enchantement la changeant en biche. Elle ne reprenait sa forme primitive que les nuits de pleine lune et ne retrouverait son aspect que lorsque son cœur rencontrerait son alter ego et partagerait, en même temps, les mêmes sentiments. J’étais tellement ébahi que je mis un moment à me rendre compte qu’elle peinait à couvrir, de ses frêles bras, sa nudité . Me confondant en excuses, je filai lui chercher de quoi se couvrir. Bien sûr je ne puis lui donner que quelques uns de mes habits et malgré l’incongruité de ces vêtements trop amples, sa ravissante beauté transpirait toujours.

Je m’inquiétai qu’elle eut faim, soif et lui préparai un en-cas rapide. Mais lorsque je voulus lui présenter le plateau, l’apparition avait disparu. Pour un rêve, c’était le songe le plus terriblement réaliste que j’avais jamais fait. Je restai un moment à y réfléchir puis, vaincu par la fatigue m’en retournai coucher. C’est là que je la retrouvai et que je me convainquis de ne pas rêver. Elle était couchée dans mon lit. Sa longue chevelure rousse faisant comme l’ombré d’un tableau. Ses formes sculptant les draps de ses courbes généreuses. Elle avait l’air d’un ange. C’était un ange ! Était-ce la situation ? La fatigue ? Le rêve ? Le manque ? La folie ? Je n’aurais su dire mais j’avais le cœur palpitant et débordant d’un sentiment que je croyais ne plus devoir connaître. L’émotion me submergeait et me vis chevalier protégeant son bonheur.
C’est au matin suivant que les affres de l’inquiétude commencèrent à me tourmenter. Elle avait repris sa forme animale signe que nos cœurs n’étaient pas au diapason des sentiments ou, plus probablement, que la solitude avait altérée ma perception de la réalité. La biche, quant à elle, ne changea pas ses habitudes et me gambadait autour « naturellement » si ce n’est qu’elle était encore plus familière que d’habitude. Enfin, je mis cela sur le compte de mon affabulation.

La nuit suivante, elle revint. Toujours aussi terriblement belle et attirante et nous passâmes la nuit à discuter de tout et de rien. Juste heureux d’être là, l’un en face de l’autre. Je buvais ses paroles comme un flot de nectar et m’enivrai de son rire pareil à une source cristalline. Sa voix me berçait d’une mélodieuse mélopée et je me réveillai le matin suivant endormi sur une chaise, la tête posée sur la table de la cuisine, le dos et les fesses en compote à me demander quel grain de folie germait dans mon cerveau. La nuit d’après, partagé entre certitudes et perplexités, nous échangeâmes de longs discours en de longs silences où seuls nos regards brûlants déclaraient cette flamme qui nous consumait. J’avais une envie folle de connaître le goût de ces merveilleuses lèvres qui s’agitaient en un joyeux babil. Comme si elle voulait rattraper les années de silence. Je les imaginais ayant l’arôme de pétales de rose et la saveur de la cerise. Aussi douces que les uns, aussi tendres que l’autre....Comme lisant dans mes pensées, elle déposa soudain un baiser fugitif sur mes lèvres enflammant tout mon corps d’une douce chaleur irradiante. J’en étais à réaliser ce qui m’arrivait lorsqu’elle revint à la charge d’une ferveur plus animale écrasant ses lèvres sur les miennes et cherchant le contact de ma langue pour ensuite l’aspirer. J’avais le corps en feu, tendu à l’extrême. Le sang battant aux tempes, le cœur cognant dans la poitrine, le ventre faisant des nœuds et le mâle rouant dans le pantalon.

L’envie de la prendre, là, tout de suite et le désir de protéger sa fragilité. Jamais je n’avais ressenti ce sentiment de faire passer le bonheur de l’autre avant mon seul plaisir propre. Je me sentais prêt à affronter le monde pour un seul de ses sourires. Nous échangions des baisers passionnés et des caresses torrides sans pour autant aller plus loin que l’éveil des sens. Chacun ayant peur que la magie de nos rencontres ne s’envole en franchissant le pas. Pourtant on était tellement serrés qu’elle ne pouvait ignorer l’état de tension qui m’agitait au point d’en avoir mal de turgescence. Et je ressentait son envie à ses mamelons durcis cognant ma poitrine. Le jour en biche câline, la nuit en tigresse affamée, j’en mourais de l’appétence qu’elle soit mienne et m’immolais à ses caprices pourvu qu’elle soit heureuse. On jouait à cet énivrant et excitant jeu dangereux lorsque survint l’accident. Ce matin-là, comme souvent, je mouillais une ligne dans l’espoir d’en retirer ma pitance tout en savourant les extravagantes aventures du Baron de Münchhausen que je ne me lassai de relire. Amusée ou intriguée par le jeu des poissons autour de l’appât, la biche se pencha. Un peu trop ! Et tomba à l’eau. La seconde suivante, un cri désespéré de femme me vrilla les tympans, me retourna le cœur et me propulsa à l’eau en même temps.

Mon amour se noyait ! Je la sortis aussi vite que possible de l’onde et l’étendis inanimée sur la berge. Le cœur serrant la gorge et l’âme au bord des lèvres j’entrepris de la ranimer. Je pratiquai le bouche-à-bouche mais le geste professionnel se changea vite en baiser amoureux. L’attrait de son corps, ses seins insolents, ses hanches affriolantes, son ventre invitant eurent raison de mes hésitations lorsqu’elle répondit à mon baiser. Des lèvres, je tombai sur son cou, glissai sur sa gorge et m’arrêtai sucer goulument ses seins. Ses tétons étaient aussi durs que roche. Tout son corps se tordait d’offrande. Pendant que je l’embrassais et la caressais, je sentais ses mains s’activer à m’ôter le pantalon. Je posais une main sur son ventre et la fis glisser juste au dessus de sa toison dorée. Elle desserra aussitôt ses cuisses, et je pus glisser mes doigts dans ses plis intimes. Elle soupira longuement. Elle était déjà moite de désir, prête pour l’amour...............
Tout en embrassant son corps, j’atteignis son jardin d’Eden et lui arrachai un gémissement de plaisir en écrasant délicatement le pistil de sa rose. Ma langue allait et venait entre ses lèvres énervant son bouton rose pendant que mes mains parcouraient cuisses, ventre et fesses en une ronde caressante et impudique. Elle haletait et soupirait, et je redoublais d’ardeur dans les attouchements, les baisers et les caresses. Le plaisir et le désir la tordant en spasmes jouissifs jusqu’à ce qu’elle parvienne enfin à l’orgasme dans un long râle extatique.

Je goûtais à son bonheur lorsque, d’un brusque coup de rein, elle inversa la position se retrouvant de monture à cavalière. Dans le même mouvement, s’emparant de mon membre, elle s’empala et partit au galop. Sa chaleur intime m’enflamma au point que je crus exploser en elle tellement vite que j’en fus désolé mais à son sourire triomphal je sus qu’elle avait atteint son but. Je ne sais combien de fois elle revigora mon ardeur mais je sais que jamais je ne me serai cru capable d’un tel exploit. Nous nous arrêtâmes à bout de forces mais non à bout d’envie et nous nous endormîmes, enlacés, épuisés, sur la berge. La fraîcheur du soir qui tombait nous réveilla et, nus comme Adam et Eve, nous nous dirigeâmes vers cette maison où l’amour, que depuis je lui prodiguais, devait la convaincre de ne jamais plus la quitter.
Jeu 14 Nov 2013, 11:12 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 7

Eh bien bonjour tout le monde désolé de ce petit retard, mais le chapitre bien qu’il soit moyennement long à prit un peut plus de temps. Donc le voici bonne lecture ^^

ps : il y a un lemon donc + 14 pour ce chapitre âmes sensible à s’abstenir merci !

Chapitre 7 : Noël approche

Point de vue Haruka.

Depuis la demande en mariage, deux semaines venais de s’écouler, et les vacances d’hiver furent enfin arrivé. Il est au alentours de 21 heures, et je me retrouvait dans le salon regardant un peut la télévision. Michi prenait sa douche, et je l’attendais. Ah … Et dire que nous allons passer notre premier noël ensemble, sa me rendait heureuse et nostalgique à la fois.

Michiru – ah … Quoi de mieux qu’une bonne douche.

Elle se dirige vers moi, et vint prendre place à ma droite. Passant son bras gauche derrière mon dos, et lovant sa tête au creux de mon cou, sa main droite se posant sur ma poitrine. Je sourit, je vint allonger mon bras droit sur ses épaules, et de ma main gauche je vint tendrement lui caresser l’épaule. Mh elle sent vraiment bon, et elle est très jolie ainsi. Elle porte un petit short blanc accompagné d’un long polo beige à manche longue, elle a des petite lunettes noire sur les yeux, et ses cheveux son tiré vers la gauche. Elle est vraiment jolie comme un cœur.

Michiru – dis Haru, je peux te poser une question ?
Moi – bien sur mon ange. Qui y’a t-il ?

Je vint couper la télévision et vint mettre Michi sur mes genoux. Entourant son dos, et le caressant.

Michiru – es ce que tu pourrais venir avec moi demain, chercher mes affaires dans mon ancienne maison, même si mon père n’y est plus elle est encore ouverte.
Moi – oui pourquoi pas !
Michiru – merci ma chérie, je t’aime.
Moi – moi aussi mon trésor je t’aime et plus que tout.

Elle me sourit et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Je souris et répond à son baiser en l’allongeant sur le canapé. Ses bras s’enroulent autour de ma nuque, et ses doigts allèrent caresser ma cheveulure. Cela me rendait si heureuse de me retrouver comme sa avec elle, sans que personne ne se mettent en travers de notre petit nid d’amour.

Je laisse ma main droite monter à sa cheveulure et mes doigts s’emmêlent à l’intérieur, et de mon pouce caresse ses cheveux. Alors que je laissa ma main gauche allait gentiment caresser sa cuisse.

Nos langues se trouvent et se caressent tendrement entres elles. Je remonte doucement afin d’être à sa hauteur, et vint la serrer dans mes bras.


Michiru – hm …

Mon cœur se mit à tanguer dans ma poitrine, une monté d’adrénaline se répend dans mon corps. Notre baiser s’approfondit, et d’un geste doux, je lui caresse la joue, bougeant doucement la tête pour mieux apprécier ce bonheur qui m’enivre de plus en plus. Nos lèvres se séparent, et je vint coller mon front contre le sien, la regardant avec amour. Son nez se mit à caresser le mien, et cela m’adoucie un peut plus.

Moi – dis moi … Que veux tu que l’ont face, pour notre premier noël ensemble ?
Michiru – plein de choses, mais la première c’est de passer du temps avec toi ma jolie blonde !
Moi – ma chérie … Je t’aime tu sais.
Michiru – moi aussi Haru, et vraiment très fort !

Je lui sourit, caresse sa joue, et la regarde avec douceur. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, elle est tout ce qu’un homme et une femme puisse rêver d’avoir.

Moi – au faite …
Michiru – oui, qui y’a t-il ?
Moi – à propos de notre mariage, tu aimerais porter mon nom, et ou que moi je porte le tiens ma chérie ?

Pour simple réponse, elle ma sourit de toute ses dents, sa main se pose sur ma joue, et me la caresse.

Michiru – eh bien … En y réfléchissant, j’aimerais beaucoup porter ton nom, Michiru Tenoh. Ah … Sa fait rêver !

Je me suis mise à sourire, je lui embrasse le nez, et caresse sa chevelure.

Moi – dans ce cas … Es ce que la futur madame Tenoh m’accompagnerais demain pour allait essayer sa bague ?
Michiru – oui. Oh Haruka, si tu savait à quel point je suis heureuse.
Moi – moi aussi je suis heureuse, heureuse de pouvoir enfin t’aimer librement. Je t’aime mon trésor !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore mon amour.

On se sourit, et dans un geste doux, nos lèvres vinrent se goûter amoureusement. Je laisse tendrement mes bras la serrer contre moi, tout en prenant soin de fermer son cœur à l’intérieur du miens. Ah … Je ne sais plus quoi dire, hormis que je n’aurais jamais crue que l’amour puisse prendre une grande parti de notre vie.

Je retire doucement mes lèvres, et la dévisage avec tendresse, et remarque avec un sourire qu’elle venais de s’endormir. Je me retire doucement, et vint la prendre dans mes bras, j’étteins la petite lampe qui se trouve à côté du meuble ou réside la télévision. Et me dirige vers l’étage. Une fois dans notre chambre, je ferme la porte et vint déposer mon ange sous les draps, lui retirant les lunettes au passage et la couvrit, je caresse doucement sa joue, et parti me dévêtir. J’enfile simplement un pantalon blanc et un tee-shirt de même couleur, et parti ensuite me lover sous la couette. Je vint doucement la prendre dans mes bras, entour son dos, et murmure avant de sombrer dans le sommeil :


Moi – bonne nuit mon cœur.

Je lui embrasse le front, et m’endormis serrer contre ma douce.

Point de vue Narrateur.

Cette nuit là, Haruka tout comme Michiru laissèrent leur esprit vagabonder, mais chacune d’entre elles penser à la même chose : leur mariage ! Un événement important dans la vie d’un couple, cela ne fait peut être que quatre petit mois qu’elles son ensemble, mais chacune d’entre elle avaient ce désir d’assouvir ce dont elles rêve chaque jour depuis leur rencontre, le rêve de fonder une vrai famille, elles voulaient se sentirent plus proche l’une de l’autre, malgré leur statu Haruka et Michiru s’aiment d’un amour profond et véritable, voulant chaque jour tomber dans ce bonheur qui enlace mélodieusement leur cœur.

Point de vue Michiru.

Rah, c’est pas vrai, pourquoi sa passe pas, j’ai un de ses mal de crâne c’est horrible. Je me trouve assise sur une chaise dans la cuisine une tasse de lait chaud à la main, je viens juste de prendre de quoi calmer mon mal de crâne et espère qu’il va vite partir.

Malgré sa, je n’arrête pas de penser à Haruka, et à tout ses évènements qui se sont produit ces derniers mois. J’étais très heureuse d’avoir eu le courage de lui faire ma demande, bien que sa soit tôt j’avais cette envie de me rapprocher d’elle, et de faire partie d’elle, c’est dingue toutes mes peurs se sont envolées, j’ai même réussi a unir mon cœur au sien pendant une nuit … Une nuit magique et inoubliable pour moi, chaque jours, chaque heures ou chaque secondes, j’ai envie de me sentir encore plus prêt d’elle, et sa, il va bien falloir que je réusisse à surmonter cette peur qui me ronge depuis bien trop longtemps à cose de ce monstre. Si je veux pouvoir rester avec elle, il faut que j’y arrive. Et je me donnerais les moyens pour y arriver.

Je laisse mon regard balayer la pièce, et ce dernier tombe nez à nez sur la pendule, cette dernière affiche neuf heure, je vais donc préparer son petit déjeuner, sa m’occupera et m’aidera à penser à autre chose que ce foutu mal de tête.

J’allume la machine à café, et sorti du placard un filtre à café, que je place dans la machine, je prend une petite boîte ou il y avait d’écrit « cofee » et commence à verser un peu de cette substance marron parfumé dans le filtre, branche la machine et appuya sur open.

En attendant que son café soit prêt, je prend un plateau, et y dépose une sous tasse avec quelque tartines que je beurra légèrement. Quand le petit clique de la machine retentit, j’arrête cette dernière, prend le manche du réservoir, et alla verser le liquide noir dans la tasse. Je mit un demi sucre dans ce dernier, le remue doucement, et avec un doux sourire sur le visage, monta à l’étage. Je longe le couloir, et vint doucement entrer dans notre chambre, ou je prit soin de fermer la porte. Je pose le plateau sur la table de nuit, et met mes lunette, j’avais un peut mal aux yeux. Je sens mon téléphone vibrer, je me demande qui cela peut être à une heure si tôt, je déverrouille l’appareille, et remarque que c’est un message, avec un numéro que je ne connais pas, intriguer, j’appui sur lecture et me mit à lire le message :


« Michiru, si tu as ce message, cela veux dire que je ne me suis pas trompé de numéro, j’espère que tu vas bien, et que tu mène la vie dont tu as toujours rêver, celle d’une vie de princesse, je pense fort à toi, et sa chaque jour depuis ma séparation avec toi, je ne vais pas brusquer les choses, car je sais que pour toi sa a étaient très dure, si tu veux de plus ample informations rend toi à cette adresse, la bas ils te dirons se que tu as besoin de savoir, sache que je t’aime ma petite princesse, et espère te revoir très bientôt. »

mais … Qui c’est ? Je fut grandement surprise de ce message, relisant chaque ligne. Aucune idée, et cette adresse ? Je suis perdu d’un coup, il va falloir que j’en parle à Haruka.

Je pose mon cellulaire sur l’oreiller, et me dirige avec le sourire vers ma petite femme, avec douceur, je vint m’allonger sur elle, et la contemple. Elle est tellement belle quand elle dors, et pas que en dormant, elle est belle naturellement. Je caresse doucement sa joue, et écarte quelques mèches de ses yeux sa respiration est douce et régulière, j’ai encore du mal à croire que je me retrouve dans ce genre de situation avec elle.

Doucement ses yeux s’ouvre, et je lui sourit tendrement.


Moi – bonjour ma jolie blonde, bien dormis.
Haruka – bonjour à toi ma chérie, oui très bien, mais dis moi c’est bien la première fois que tu est levé la première.
Moi – ah ah … Il y a une première fois à tout comme on dit, et puis je me suis réveiller avec un mal de crâne atroce.
Haruka – ah … Et sa va mieux ?
Moi – bah j’ai prie de quoi calmer la douleur … Tu sais que tu est belle quand tu dors.

Elle ma sourit, sa main c’est posé sur ma joue, et avec tendresse,
je vint déposer mes lèvres sur les siennes. Mêlant mes doigts dans ses cheveux, mon corps caresse tendrement le sien, ses mains caresse mon dos, et sa langue parti jouer avec la mienne qui était d’humeur câline et sauvage. Mon cœur s’accellaire au rythme de notre baiser qui deviens de plus en plus tendre et long.


Je me sens tellement bien là comme sa, allongé sur elle, goûtant avec douceur, ce plaisir dont je ne me lace pas. Un vrai bonheur. On se détachent doucement, et nos yeux se happent, s’attachent et se dévorent, sa main se pose sur ma joue et ses doigts caressent ma peau.


Haruka – mh … J’aime beaucoup ce côté là de toi !
Moi – lequel mon ange, celui qui se sent timide ou alors celui qui prend les devant ?
Haruka – celui qui prend les devant.
Moi – dans ce cas, je vais tout faire pour ne pas décevoir ma petite femme chérie.

Elle eu un grand sourire, sourire ou sous entendue se montrer, je lui caresse les lèvres la dévisageant avec intensité. Mon dieu c’est … C’est impressionnant à quel point mon cœur bat vite, je sens ses mains passer sous mon polo et ses main caressent mon dos.

Ses mains son si douce, c’est vraiment agréable d’être caressé par elle. Je vint lui embrasser le front, et descend doucement laissant mes lèvres glisser le long de son nez. Arrivé à ses lèvres que j’aime embêter, je la regarde dans les yeux, les siens me caresse, et l’un deux me fait un clin d’oeil, oh Haruka c’est dingue cette envie que j’ai de pousser les limites, ton nez caresse le mien, et tendrement je vint lui mordre ses lèvres, sortant ma langue pour laisser une trace de mon passage sur sa bouche, je voie sa langue sortir et s’emparer de la mienne. Nos lèvres ne se touchent pas, juste nos langue qui se découvre s’enlacent et se caresse, enflamment chaque minutes le désir que je ressent. Je me penche et alla lui embrasser longuement le cou, laissant mes mains baladeuse se faufiler sous son tee-shirt blanc. Mes doigts caresse sa peau, jusqu’à monter à sa poitrine et titiller un de ses mamelons. Ses bras me serre, et me caresse, sa voix lâche des petits gémissement, se qui provoque une décharge à mon cœur, je lui faisait donc de l’effet et s’en est tout à fait plaisant. Je remonte doucement et nos lèvres s’unir dans un tendre et langoureux baiser.

Je pose ma tête sur son épaule droite et monta ma main droite à son visage caressant sa joue et mêlant mes doigts dans sa chevelure, j’avais chaud, mais je n’eu le temps de redire ce mot que ma jolie blonde retira mon polo, et de même je lui retire son tee-shirt. Nos corps étaient préssé l’un contre l’autre, sa main gauche est venue jouer tendrement sur mon visage, et nos langues s’enflammées à chaque caresse. Une étrange mais agréable sensation se fait sentir au niveau de mon bas ventre, un désir brûlent parcour mon corps, je me rapproche d’avantage d’elle, et continue de l’embrasser le plus tendrement possible, laissant libre court à mes émotions et sentiments.

Doucement ont se détachent, mais voulant encore garder cette avidité nos lèvres se tapotes entre elles, créant ainsi de doux petit claquements. Sa main remet en place quelques unes de mes mèches, son sourire ne la pas quitté, et ses yeux son doux et amoureux.


Haruka – tu m’impressionne de jour en jour.
Moi – et ce n’est pas pour me déplaire …
Haruka – chuut … Et si, ont resté là ? Je me sent bien tout contre toi, ma petite femme à moi.

Je sourit, je retire mes lunettes, et lui sourit tendrement caressant sa joue, descendant doucement à ses lèvres. Je m’approche de son visage, et lui embrasse le nez, j’étais heureuse d’avoir réussi à vaincre ma peur, j’ai réussi à dépasser un cap, et me sent encore plus proche d’elle maintenant.

Moi – je ne pourrais te dire non, car tout contre toi je me sent bien et en sécurité. Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon trésor !

Nous nous sommes sourit, et nos lèvres se son caressés délicatement. Je lui caresse la joue, et laissa mon cœur s’exprimer. Quelques petites minutes après, j’avais remi mon polo et Haru son tee-shirt, je me trouver entre ses jambes, toujours dans notre lit, et je lui faisait un câlin pendant qu’elle déjeuner.

Moi – au faite ma chérie !
Haruka – oui qui y’a t-il ?
Moi – tout à l’heure, j’ai reçu sa comme message, je suis censé faire quoi maintenant ?

Je montre le message à ma jolie blonde, et elle le lue. Tout comme moi elle fut surprise, je la regarde attendant une réponse.

Haruka – mais … Je connais cette adresse, c’est à quelques minute d’ici et c’est un orphelinat.
Moi – un … Orphelinat ?

Mes yeux fixe le mur, j’essaie de comprendre le sens de ses mots, ma gorge se serre, et mon cœur s’arrête de battre pendant quelques minutes, pour je ne sais quel raison, j’avais peur de connaître une seconde vérité, car cette fois ci je sais que je ne pourrais pas le surmonter toute seule. Je sent mon menton se soulever, et mes yeux qui son vide croisent ceux de la femme que j’aime. Elle me caresse la joue, son regard et doux et son sourire chaleureux.


Haruka – tu veux qu’ont aille faire un tour cet après-midi ?
Moi – je … Je n’aie pas envie de t’embêter avec sa.

Tout se mélange dans ma tête, et je ne comprend plus rien, pour je ne sais quelle raison j’avais envie d’exploser de colère, je lève mes yeux vers elle, toujours aussi perturber par cette nouvelle, je lui caresse la joue et dit :

Moi – et si … On m’avait encore mentit.
Haruka – dans ce cas, je serait la pour te soutenir mon amour, je ne pourrais pas te laisser dans un tel état.
Moi – ma chérie … Je … Même si j’ai peur de connaître une seconde vérité, il va falloir que j’y aille. Et puis je … j’aie pas envie de t’embêter avec s …
Haruka – chuut … Tu ne m’embête pas, et puis au moins je pourrais être la si tu en a besoin.
Moi – merci … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon cœur !

Je lui sourit, et l’embrassa doucement. Un baiser tout doux et regorgé de tendresse. Je m’appui contre elle, laissant mon portable valser sur le lit, je monte ma main à son visage et lui caresse du bout des doigts. Je me sent bien avec elle, et quelques fois je me pose cette question.

« que ferais-je à cet heure ci, si je ne l’avait jamais connue. »

je me le demande bien. Je me détache doucement, et vint la serrer contre moi. Un petit moment bien agréable. Ou je pouvais entendre mon cœur se soulever.

Les minutes venaient de s’écouler, et je me trouver assise sur le canapé, et m’amuser à me faire des petites tresses. Ma jolie blonde était parti chercher le courier. Tiens beh quand ont parle du loup, la voilà qui se dirige vers moi, avec un colis.


Moi – qu’es ce que c’est ?
Haruka – je ne sais pas, mais c’est pour toi.
Moi – pour moi ??

Je fut surprise, et prend le colis qu’elle me tendais. Elle prend place à mes côtés, et je vint m’appuyer contre elle. Son bras passe derrière mon dos et à son tour, elle se mis à me serrer dans ses bras.

Je commence à ouvrir le carton, et sorti parmit tout ses polistyrènes des photos. Sur l’une d’elle on voyais une petite fille au cheveux bleu écum comme moi, cette petite fille au sourire angélique est au côté de deux adultes sûrement ses parents, la seconde était la même petite fille en train de sourire, sur cette photo elle avait les cheveux plus court un petit carré qui la rendais très mignonne.


Mais pourquoi avais-je reçu ses photos ? Qui me les a envoyé, mais surtout comment cette personne sais que j’habite ici, sa m’intrigue de plus en plus. Bon aller stop il suffit de se torturer l’esprit, après tout je suis Michiru Kaio, et j’ai surmonter bien plus douloureux que sa. Je me tapote les joues comme pour me réveiller.

Moi – bon aller, je vais arrêter de me torturer, et profiter de ce que la vie m’offre plutot que de pleurer.
Haruka – bien parler !

Début du lemon :

Je me tourne et lui sourit. Je pose le carton sur le canapé et alla me lover dans ses bras, je m’assoie sur ses jambes, et vint délicatement prendre son visage dans mes mains. Je sent ses bras s’enrouler autour de mon dos, et doucement, je lui caresse les joues avec mes pouces.

Moi – oui, il faut savoir profiter de ce que la vie nous offre, et arrêter de voir tout noir comme tu me la dit.

Je voie ses lèvres s’étirer en un doux sourire, je lui embrasse le nez, et continue de la regarder avec tendresse.

Haruka – et … Que comptes tu faire ?
Moi – eh bien … Déjà passer du temps avec la femme que j’aime.
Haruka – ah oui ? Eh … Qu’aimerais tu faire ?
Moi – tout … Lui faire des câlins, lui dire sans gêne se que je ressent et ce qu’elle est pour moi, et l’embrasser le plus tendrement possible.

Elle ma sourit, son front c’est collé contre le mien, et elle a doucement caresser ma joue.

Haruka – hm … Tu sais que tu m’intéresse là, alors es ce que … Je pourrais avoir un doux baiser de ma petite femme chérie ?
Moi – je t’aime Haruka !
Haruka – mais moi aussi je t’aime ma douce et ravissant Michiru.

Je lui sourit, et déposa tendrement mes lèvres sur les sienne afin de crée un doux moment. Je me rapproche doucement et laissa mes bras s’enrouler autour de ses épaules. Ses mains parcour mon dos, et le sien se pose sur le siège du canapé. Ses mains me rapproche d’elle, et passe sous mon polo car j’étais toujours en pijama contrairement à ma jolie blonde qui était déjà habillé, et qui sentait bon au passage. L’eau de cologne qu’elle c’est mise sent vraiment bon, et c’est très agréable de l’embrasser dans ses conditions. Je laisse doucement ma langue aller valser avec la sienne, mon cœur battait tellement vite, et je me sentait vraiment bien.

En manque d’aire, on se séparent, mais nos yeux continuent de se caresser. Elle écarte une petite mèche de mes yeux et sa voix qui est si belle à mes oreilles résonne.

Haruka – tu sais que j’aime ce petit côté la de toi, celui qui a beaucoup plus d’assurance, je l’aime beaucoup.
Moi – ah oui … Eh bien j’en suis ravie que cela plaise à mon professeur.
Haruka – quand vas tu arrêter de m’appeller comme sa ?
Moi – hm … Attend laisse moi deux minutes, jamais !!
Haruka – dans ce cas mademoiselle Kaio sa change tout.
Moi – comment sa tout ? Vous m’intriguer fortement professeur !

Je la voyais sourire de plus en plus, ses mains s’aventure sous mon polo, et fini par me le retirer.

Haruka – te rappelle tu de la dernière leçon ?
Moi – hm … Non, malheureusement, mais de quelle leçon parlez-vous professeur, mais surtout, quel est ce cour est t-il normal ou particulier ?
Haruka – hm … Vous ne retenez pas grand chose mademoiselle, je vais devoir vous punir, c’est un cour particulier.
Moi – s’il vous plait, ne soyez pas sévère avec moi … Et expliquez moi votre leçon particulière professeur !

On se souriait, elle me fit un petit clin d’oeil, et dit en faisant rouler l’une de mes bretelle de soutien-gorge sur mon bras.

Haruka – hm … Je vais réfléchir à votre punition, en attendant mademoiselle Kaio je vais vous demander une faveur ?
Moi – une faveur ? Et laquelle professeur Tenoh.
Haruka – si vous arrivé à me séduire, alors peut être que je levrer la punition.
Moi – mh … Vous séduire ? Mais comment dois-je m’y prendre ?

Lui demandais-je d’une voix sensuelle et mielleuse tout en déboutant sa chemise.

Haruka – pour sa mademoiselle je vous laisse carte blanche !
Moi – dans ce cas, je n’échouerais pas à ma tache.

Je monte à son oreille et lui susurre langoureusement :

Moi – pro.fe.ss.eur.

Je lui mordille délicatement lobe de l’oreille, et longe son visage la couvrant de baiser. Ses mains venaient de dégrafer mon soutien-gorge, et ce dernier tomba sur le sol. Je lui soulève le menton du bout de mon index, la dévisage d’un regard coquin et malicieux à la fois.

Moi – vous êtes … Vraiment sexy professeur.

Un sourire tendre se dessine sur ses lèvres, elle me caresse la joue, et elle me répond de la même manière :

Haruka – hm … Et vous mademoiselle vous êtes à croquer.
Moi – mais, je ne suis pas à manger vous savez !
Haruka – hm, je n’en suis pas si sur que sa. Votre jolie minoie me donne horriblement faim mademoiselle Kaio.
Moi – hm … Et dites moi, par quoi voulez-vous commencer ?

Je me suis sentit à se moment la valser vers la droite et me retrouve allongé sur le canapé. Haruka se trouvant au dessus de moi, je sourit, et la regarde malicieusement, un sourire pervers sur le visage.

Haruka – mh … Je ne sais pas beaucoup de chose s’offre à moi, mais pourquoi ne pas s’attaquer à la partie la plus délicieuse ?
Moi – professeur vous êtes perverse !
Haruka – et vous mademoiselle vous êtes délicieuse.

Je lui offre une petite moue dont j’avais le secret, je la regarde le sourire au lèvres, me frottant le menton du bout du doigt.

Moi – s’il vous plais professeur Tenoh, soyez gentil avec moi !
Haruka – je serait aussi douce qu’un agnau mademoiselle.

Je sourit, notre petit jeu m’amuser beaucoup, et me permetter de me liberer de cette peur, mais dieu que cela fait du bien. Je sent les lèvres de ma jolie blonde prêt de mon oreille gauche, son souffle chaud au creux de mon ouïe, et sa langue qui se met à lécher le bas de mon oreille, mon cœur faillit exploser, ses lèvres descende le long de mon visage, mordant tendrement mes lèvres, elle descend un peut plus et vint m’embrasser le cou. Laissant mes mains prendre soin de retirer sa chemise, et mes doigts les faisant rouler prêt de sa bretelle.

Moi – ah … Mh, oh professeur vous … Vous êtes si douce et vous … M’exciter tellement.

Sa y’es j’ai osé lui dire, je sent ses lèvres longer vers ma poitrine et ses baisers continuent sensuellement leur chemin, que c’est bon, je me sent de plus en plus enivrer par ses caresse et ses baisers qui se sont maintenant attaquer à mes mamelons. Je … J’ai l’impression d’avoir détremper mon linge intime tant l’excitation me prend.


Je dirige mes mains vers son pantalon, et lui défait le bouton et le fait glisser le long de ses jambes, mama cet effet qu’elle me fait c’est dingue, j’ai envie d’elle, j’ai envie de connaître l’extase de cette excitation sauvage.

Point de vue Haruka.

Dans peut de temps je sent que je vais craquer, je ne contrôle plus mes gestes ainsi que mes lèvres qui l’embrasse sensuellement. Je descend jusqu’à son nombril et vint lui embrasser lui lécher, montant ma main droite à son sein et de mon index et mon pouce lui titille tendrement le mamelon, diable cet effet qu’elle me procurer, même notre première fois n’avais pas était aussi intense. Elle m’exiter terriblement, et me sentait de plus en plus serrer dans mon linge.

Je remonte à son oreille et murmure :

Moi – mademoiselle Kaio, si vous saviez à quel point j’ai envie de vous.
Michiru – moi aussi professeur j’ai envie de vous, vous m’exiter tellement, je n’arrive plus à contenir ce désir en moi.
Moi – mh … L’envie de vous faire tendrement l’amour me tient.
Michiru – oh oui … Faite moi l’amour professeur, je ne tient plus.

Je sourit, heureuse qu’elle est pue dépasser ce cap … Je me lève et vint la prendre dans mes bras, la conduisant dans notre chambre.

Michiru – ou m’emenez-vous professeur Tenoh ?
Moi – dans un endroit ou nous seront à l’abrit des regards mademoiselle.

Une fois dans la pièce, je ferme la porte, et allongea Michi sur le lit, me mettant au dessus d’elle, nous couvrant avec la couette.

Moi – maintenant mademoiselle Kaio je vais vous faire tendrement l’amour, ainsi vous n’oublierais plus vos leçons.
Michiru – allez y professeur je suis entièrement à vous.

Je sourit, et le cœur prêt à frôler la crise cardiaque, je vint l’embrasser langoureusement. Laissant mon cœur s’exprimer.

Fin du lemon

Point de vue Narrateur.

Dans cet appartement, enfermer dans leur chambre, Haruka et Michiru vienne de découvrir se que sont les plaisir de la jouissance, emporter dans leur petit jeu de séduction, elles se sont livrées à elles même, goûtant au véritable plaisir de l’amour. Ce petit jeu les aura bien rapprochées, et chacunes d’entre elles aurons finalement réussi à dépasser leur peur, celle de Michiru, de ne plus pouvoir désirer par les attouchements de son père, et Haruka par peur et de manque de confiance. Mais à présent les voilà encore plus unis enlacé dans les bras de la femme qu’elles désirent, elles firent l’amour sans gêne et avec beaucoup mais beaucoup de tendresse et d’amour.

Point de vue Michiru.

Ah … Que sa fait du bien une douche, je coupe l’eau, et vint m’enrouler dans une serviette ainsi je ne pourrait attraper froid. Je me place devant le miroir, et me regarde. Je voyais un sourire … Un sourire heureux un sourire d’une femme comblé. Depuis se qui c’est passé entre elle et moi, j’ai l’impression d’avoir prit plus d’assurance, et me sent femme, oui c’est sa, depuis que j’ai dépasser ma peur, je me sentait un peut plus femme, et cela n’est pas pour me déplaire.

Une fois que je fut sèche, je commence à m’habiller, d’un jean bleu foncer, un petit chemisier noir, et un pull gris à col bateau. Je prend pas la suite le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement. C’est … C’est incroyable comme je peux me sentir bien. Quand j’eue terminé, je débranche le sèche cheveux, et à l’aide d’une bombe de laque, je m’en mit mettant toute ma chevelure sur le côté gauche. Par la suite, je met les boucle que ma jolie blonde m’a offert, ainsi que la petite chaîne en argent.

Je prit du laïner et me fit le contour de l’œil doucement, et répéta mon geste avec l’autre. Je me passe un peut de gloss sur mes lèvres, car bon, c’est pas que je n’aime pas le rouge à lèvres mais je c’est que beaucoup d’animaux meurt pour faire ce genre de produit cosmétique, je trouve sa abjecte et répugnant, j’en met juste quand c’est pour une occasion. Je prit un flacon de parfum « Intime » me mit trois petit pchites, et enfin sortie de la salle de bain, me dirigeant vers la cuisine ou Haru se trouvé.

Je me mit derrière elle entour son ventre et dis le sourire aux lèvres.

Moi – hm sa sent bon … Que fais ma petite femme chérie de bon à manger.

Elle se tourne, et sourit en me voyant, je m’approche, et lui arrange un peut le col de sa chemise. Pour ensuite venir caresser sa joue.

Haruka – tu est vraiment ravissante ma chérie !
Moi – merci mon ange, mais que nous fais tu à manger ?
Haruka – des nouilles japonaise.
Moi – hm, sa va être bon tout sa.

Je la voie mettre le couvercle sur la marmite elle mis le minuteur, retire le tablier qu’elle porter, et vint me prendre la main. Sans rien dire, je la suis, et je la voie prendre place sur la rebord du canapé, et ses mains prend les miennes.

Haruka – je suis vraiment heureuse !
Moi – ah oui ? Pourquoi ?

Je m’approche, me mettant entre ses jambes, et prenant tendrement son visage dans mes mains, lui caressant à l’aide de mes pouces. Je sent ses bras, entourer mon dos, et son sourire s’agrandit.

Haruka – car grâce à une personne si particulière, j’ai réussi à vaincre ma peur.

Je sourit, comprenant ou elle voulais en venir. Je lui sourit tendrement, et vint caresser son front avec le mien. Jouant avec son nez.

Moi – je suis aussi très heureuse d’avoir vaincu ma peur, car à présent … Je me sent encore plus proche de toi, et je me sent … Un peut plus femme.

Elle ma sourit, ses lèvres tapotent doucement les miennes, et sa voix résonne.

Haruka – mais tu est déjà un petit bout de femme, tu est belle et même à 18 ans tu est déjà une jolie jeune femme … Ma petite femme à moi.

Je sourit, je lui caresse la joue, écartant quelques mèches de ses yeux, un regard que je ne cessairait de regader et d’admirer.

Moi – tu sais … Par moment, j’ai l’impression de rêver.
Haruka – pourquoi ?
Moi – car je n’aurais jamais crue rencontrer le grand amour au lycée, et je n’aurais jamais crue tomber éperdument amoureuse de l’un de mes professeurs.
Haruka – mais moi, je ne regrette rien … Je suis très heureuse d’avoir fait ta rencontre mon trésor.
Moi – moi non plus je ne regrette pas, d’avoir trouvé la moitié de mon cœur … Je t’aime Haruka, c’est dingue à quel point jee peux t’aimer.
Haruka – moi aussi je t’aime chaton, et je t’aime sincèrement !

On se sourit et ses lèvres attrapèrent amoureusement les miennes. Je sourit, et me laisse faire avec bonheur, caressant ses joue, et l’embrassant tendrement. Décidément ce petit jeu nous avait grandement rapproché l’une de l’autre, et c’était vraiment un délice. On se détachent doucement, ses doigts remette quelques mèches sur le côté, et moi je continue de la dévorer du regard.

Moi – il me tarde le jour ou je serait devenue véritablement ta femme.
Haruka – mais tu l’est déjà … Tu est ma femme celle que j’aime et désir plus que tout.
Moi – Haru …
Haruka – chuut …

Et tendrement nos lèvres s’unir de nouveau dans un long et doux baiser. Haruka, quand arrêteras-tu de me rendre ainsi ? De me rendre si amoureuse et heureuse, tu as un don, ou alors c’est que vraiment je suis folle. Oui folle de toi de tes bras tes mots et tes lèvres. La magie prit doucement fin, et je lui dit en enroulant sa nuque et en la serrant dans mes bras.

Moi – je ferais tout pour te garder avec moi, sa fait longtemps que je rêve de rencontrer le grand amour, et maintenant que je les trouvais, je ne compte pas le laisser filer dans les bras de quelqu’un d’autre. Tu est devenue si importante à mes yeux que je n’ose plus imaginer ma vie sans toi … Ma si jolie blonde, ma femme!
Haruka – moi non plus je ne veux pas te perdre, et te laisser partir dans les bras d’une autre personne, tu est celle qui donne enfin un sens à ma vie, celle qui me comprend … Ma douce et tendre Michiru, tu es devenue indispensable à ma vie, tu est mon oxygène ma raison de vivre tu est … La femme de ma vie.

Je sourit, et la serre contre moi, lui embrassant tendrement la nuque. Ses mains me caresse, et je me sent bien avec elle. Je laisse mon regard s’encrer dans le sien, et caresse doucement sa joue.

Moi – Haruka … Ma douce et jolie blonde toi seule emflamme mon cœur, je t’aime.
Haruka – moi aussi ma chérie et je t’aime bien plus que sa encore !

On se sourit, et un petit câlin s’installe entre nous. Je pose ma tête sur son épaule droit et lui caresse le dos, lui déposant un doux baiser sur sa nuque. Ses mains caresse le mien, et je me laisse prendre dans cette douce étreinte.

Haruka – dis moi … Où es ce que tu veux manger ?
Moi – n’importe où tant que je suis avec toi.
Haruka – hm … Ma chérie !

Elle caresse mon dos, allant mêler ses doigts dans mes cheveux et posant ses lèvres sur mon cou. Je n’aurais jamais crue que notre petit jeu puisse nous rapprocher autant.

Après ce petit câlin bien agréable, c’est avec le sourire que je partit mettre le couvert sur le balcon, il faisait bon, et un peut d’air frais ne ferait pas de mal. Soudain j’entend mon téléphone sonnait, surprise je décroche et dis :


Moi – oui allo ?
Cléo – salut Michi !
Moi – teh Cléo ça va ?
Cléo – bah tout rool, et toi ?

Je met mes écouteurs, rangeant mon cellulaire dans ma poche.

Moi – bah écoute tout va pour le mieux.
Cléo – ouh … Sa sent l’amour, sa se passe bien avec ton professeur ?
Moi – très bien, c’est le pure bonheur.
Cléo – ah ouais pourquoi sa ?

Je sent des bras entourer ma taille, je sourit, et répond en appuyant mon dos contre elle.

Moi – eh bien … Je vais avoir le bonheur de l’épouser.
Cléo – quoi ?? C’est pas vrai.
Moi – si si, lorsque je suis revenue de mon stage nous avons fêté son anniversaire, et je lui est demandé sa main.
Cléo – mais enfin c’est supère sa !! oh Michi je suis si heureuse pour vous.
Moi – merci Cléo sa me touche que tu soit heureuse !
Cléo – heureuse ? Non mais attend ma meilleure amie va se marier bien sûr que je suis heureuse même supère heureuse.
Moi – merci tes vraiment génial, je t’adore !!
Cléo – moi aussi et très fort.

Je sourit, heureuse que Cléo l’aie bien prit, je prend sa main droite et lui dépose un baiser.

Cléo – tu pourrais m’envoyer une photo de toute les deux s’il te plais ?
Moi – oui bien sur, mais pour sa faut que je raccroche !
Cléo – ok.

Et notre communication se coupa. Je pose ma tête juste à côté de la sienne, ses lèvres son contre ma joue gauche, ses mains caressant mon ventre, et une fois que je trouva le bouton pour l’appareil photo je nous cadre, et appuya sur le bouton.

Heureuse je cherche le numéro de Cléo, et une fois trouvais je lui envoie la photo. Je sourit, et me tourne afin de croiser son regard.


Moi – je suis heureuse, Cléo la vraiment très bien prit.
Haruka – tant mieux alors … Allé vien on va manger trésor !
Moi – ok dans ce cas …

Je lui soulève le menton et déposa mes lèvres sur les sienne. Oui depuis ce qui c’est passé, je me sentait beaucoup femme et j’avais prit beaucoup plus d’assurance. Elle me sourit, et doucement elle répond à mes baiser.

Haruka – allé ma petite femme à table.
Moi – c’est que ma jolie blonde me donne des ordres maintenant.

Elle ma sourit, m’embrasse le front, et nous prîmes place l’une en face de l’autre. Je pose ma main sur la sienne, et c’est en souriant que nous commencions à manger. Mon téléphone se met à sonner mais je ne répond pas, car de un nous étions à table et que c’est très impolie pour la personne qui est en face de nous.

Moi – quand même … Cette histoire de message avec une adresse d’un orphelina me perturbe.
Haruka – c’est vrai que c’est louche, mais je pense qu’il va falloir y’aller faire un tour.
Moi – oui, bien que sa me face peur !
Haruka – je serait là moi.
Moi – merci mon amour !

Je lui sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je prend les couverts, et alla mettre ses dernier dans le lave vaisselle, puis mon portable ce met à sonner, surprise, je prend ce dernier et dit :

Moi – oui allo ?
? - Michiru ?
Moi – euh … Oui c’est moi, qui est à l’apareil ?

Je regarde Haru, qui m’observe avec un doux sourire.

? - Ah Michiru je suis bien heureux de t’entendre, je suis le directeur de l’orphelina. Comment vas tu ?

Je m’arrête et pose ma main sur le plan de travail et aval difficilement. Mes yeux se ferment, et je me tourne vers ma jolie blonde, je regarde mon téléphone et raccroche, impuissante face à sa.

Haruka – que ce passe t-il mon trésor ?

Elle ma relever le visage et d’un geste doux ma caresser la joue, j’essaie de resister, mais les larmes se font de plus en plus prenante.

Moi – c’e … C’était l’orphelina … Je … Je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression de vivre dans un menssonge.

Puis mon portable se met de nouveau à sonner, je regarde ce dernier et voie que c’est le même numéro, je vint me lover dans les bras de ma douce, et épuisé me laisse tomber.

Moi – c’est encore … Le même numéro, je fais quoi ?
Haruka – tu as confiance en moi ?
Moi – bien sur quel question.
Haruka – alors laisse moi faire ok !

Elle me prend le visage et me posa un délicat baiser sur les lèvres, caressant mon visage. C’est une chance que je l’aie à mes côtés. J’entour son dos, et me laisse bercer par son câlin et ses mains qui me caresse agréablement.

On se décollent doucement, et doucement, je caresse sa joue en soufflant.


Haruka – laisse moi faire trésor, d’accord ?
Moi – d’accord.

Elle me sourit, me tapote doucement le nez, me fit un clin d’oeil, et répondit à l’appel.

Point de vue Haruka.

Je me dirige vers le balcon et dis en m’accoudant contre ce dernier.

Moi – oui allo ?
? - Michiru ? Pourquoi as tu raccroché !
Moi – excusez moi, mais ce n’est pas Michiru au téléphone.
? - ah ? Et à qui ai-je à faire dans ce cas ?
Moi – je me présente Haruka Tehoh, je suis sa femme. Et vous ?
? - bonjour madame Tenoh , en faite je suis le directeur de l’orphelina « Tout petit »
Moi – bonjour monsieur, je suis désolé, mais Michiru, n’est pas en état de répondre, donc que lui voulez vous ?
? - je comprend, eh bien j’aurais aimais savoir comment elle allait, si depuis qu’elle est parti de chez nous, si elle mène une vie normal ?

Je rester là à écouter ce directeur, si j’arrive à bien comprendre, Michi a était adopté, ce qui veux dire que ses parents doicvent se trouver quelque part dans ce monde. J’étais heureuse et mélancolique à la fois, heureuse car elle avait peut être une chance de revoir ses véritable parent, et mélancolique dans le sens ou je ne pourrais peut être plus la voir si elle s’en va avec eux. Je regarde l’horizon et retiens mon chagrin du mieux que je peux.

Moi – eh bien oui elle va très bien, mais puis-je vous poser une question ?
? - oui bien sur.
Moi – comment avez vous eu son numéro ?
? - eh bien, j’ai d’abord fait des recherche sur internet, et comme je ne trouvait rien, j’ai consulté le botin, et au niveau des page blanche en allant à la lettre K j’ai trouvé son non et son prénom ainsi que son numéro !
Moi – je comprend mieux, mais serait t-il possible que l’ont puisse vous voir pour mettre toute cette histoire au clair ?
? - oui oui bien sur madame, la petite Michiru nous manques beaucoup, donc que deriez vous de nous voir vers 13 heure ?
Moi – très bien, dans ce cas je vous dit à tout à l’heure.

Et sans que je ne puisse continuer, la communication se coupa. Je regarde le ciel perdu, mon cœur me fait mal, dans un sens j’ai envie de la voir heureuse mais dans l’autre je n’aie pas envie qu’elle s’en aille loin de moi, loin de notre histoire, car pour moi, sa compte. Je me retourne et me dirige vers le salon, ou Michi se trouvais assise sur le canapé, à regarder les photos qu’elle a reçu ce matin.

Je m’approche d’elle, enroule son cou, et ses yeux qui son vide son humide. Je lui caresse les épaules, et lui murmure :

Moi – sa va aller Michi, je suis là !
Michiru – merci, mais dis moi qu’es ce que l’ont va faire ?
Moi – le directeur de l’orphelina veux nous rencontrer.
Michiru – et cas tu dis ?
Moi – j’ai accepter pour mettre au moins cette histoire au clair.
Michiru – mais je … Imagine si je dois à tout hasard rencontrer mes véritable parents ? Imagine si ils me demande de les suivrent ? Je n’aie pas envie, parce ce que … Parce qu’ici j’ai ma vie, et j’ai surtout ma vie privé qui compte beaucoup pour moi, je n’ose pas imaginer une minute ma vie sans toi.

Je sourit, au moins je ne suis pas la seule à être contre cette idée. Je lui caresse la joue, et lui murmure :

Moi – écoute, pour moi aussi il est hors de question que je te laisse partir, mais j’aimerais au moins en savoir plus sur ce qui tes arrivé, pour ainsi t’aider du mieux que je peut pour te soutenir ma chérie … Je ne pourrais jamais, te laisser partir loin de moi.
Michiru – oh Haruka …

et sans que je ne dise quoique se soit d’autre, ses lèvres s’emparent des miennes. Je lui soulève le visage, caressant ses joues de mes pouces, et répond avec tendresse à sa douceur. Mon cœur bat tellement fort, avec tout se qui c’est passé etre nous je ne cesse de penser à elle, à nous, à notre histoire qui est devenue importante à mes yeux au fil des mois.

Ont se décollent doucement, je lui fit un doux sourire, et lui embrasse le nez.


Moi – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi Michi !
Michiru – pareil, tu pourras toujours compter sur moi !

Nos yeux se caressent, et je continue mon geste avec douceur sur ses joues. Les minutes s’écoulent, et lorsque une heures sonna, je commence à fermer le store du salon et attend Michi qui est parti à l’étage. Elle redescend quelques minutes après, je lui sourit, et tout en lui prenant la main, nous quitons la maison. Je ferme la porte à clés, et longe le couloir.

Sa tête se pose sur mon épaule droite, et je l’entend soupirer, je caresse sa main pour la détendre. Une fois dans le parking souterrain, je déverrouille l’alarme, monte et une fois que nous fûmes toutes les deux prête, je démarre, fit une marche arrière, et partit direction l’orphelina.

Pendant le trajet Michi était silencieuse, elle avait mis sa main sur ma jambes, je n’aime pas la voir dans cet état, arriver à un feu rouge, je m’arrête, et pue prendre sa main dans la mienne.


Point de vue Michiru.

Je tourne mes yeux et voie Haruka qui me regarder l’air inquiète. Je lui sourit doucement, et serre sa main dans la mienne.

Moi – désolé de te faire du souci mon amour.
Haruka – ce n’est rien, ne t’inquiète pas mon trésor.

On se sourit, je m’approche et lui posa un doux baiser qu’elle me rendit avec bonheur. Tant qu’elle est à mes côtés, je n’est pas à avoir peur, la seule chose que j’espère, et que personne ne me l’enlève. Je ne pourrais pas supporter la séparation.

Quand ont fut arrivé, ma jolie blonde se gare, et c’est le cœur battant à la chamade que je sorti de la voiture. Haru enclanche l’alarme, elle me prit la main et me guida vers le bâtiment. J’avais une boule au ventre, comment allais-je réagir ? Quel genre de vérité allais-je connaître. Tout cela me fait peur, mais je n’aie pas pour autant envie de baisser les bras, je voulais enfin en avoir le cœur net.


Une fois devant la porte, je souffle un bon coup, Haru vint m’embrasser la joue en me serrant la main. Et nous entrâmes dans l’orphelina. L’intérieur du bâtiment est sombre, des poutres noire trônaient dans la maison, le sol recouvert d’une moquette grise. Je passe en revue le bâtiment, et aucuns souvenirs me reviens se que je trouve assez bizarre.

Je caresse doucement sa main, et lui sourit comme pour lui dire que j’allais bien. Elle me fit un clin d’oeil, et je continue à avancer. Puis une petite fille au long cheveux blond comme Haru apparue, elle nous regardée.


Moi – bonjour toi …

Je vint m’accroupir, et lui sourit gentiment. Je la voie se diriger vers moi, elle pose sa petite main sur ma joue et me regarde. Elle devait avoir 3 ans tout au plus, elle possède de jolie yeux caramel, et elle se mit dans mes bras. Je sourit et me relève.


Petite fille – bon … Zour madame !
Moi – bonjour petit cœur, comment tu t’appelle ?
Petite fille – Anastasia, et vous ?
Moi – c’est très jolie, moi c’est Michiru.

Elle me sourit, et je lui rendit chaleureusement. Ses petit yeux marron se tourne et Anastasia se mit à parler.

Anastasia – bonzour madame.
Haruka – bonjour poussin, tu vas bien ?
Anastasia – oui.

On se sourit tendrement, ma jolie blonde met sa main sur mon dos et nous continuons d’avancer vers le couloir essayant de trouver le bureau du directeur. Au loin je voie une porte avec une pancarte ou il y avait d’inscrit « Monsieur Petit » sa doit être là, je me baisse et repose Anastasia qui affiche une petite moue.

Anastasia – vous viendrais me dire au revoir ?
Moi – promis.

Elle me tend son petit doigt, se qui m’attendrit un peut plus, j’aime beaucoup les enfants, et j’ai le désir d’en avoir plus tard. Je lui tend mon petit doigt, et le serre.

Moi - croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer.

Elle avait dit en même tant que moi, et cela me fit sourire. Je me redresse et affiche un doux sourire à ma cher et tendre, qui remet quelques mèches bleu derrière mon oreille. Je lui prend la main et souffle un bon coup.

Moi – aller, j’ai déjà surmonter plus dur que sa !
Haruka – et puis moi je suis là.
Moi – oui je sais, et c’est bien sa qui me rend heureuse ma chérie !

On se sourit, ses lèvres caressent les miennes pendant une fraction de seconde, je lui rendit avec tendresse, et enfin toqua à la porte.

? - oui entré.

Je souffle un dernier coup, et abaisse la poignet poussant la porte pour entrer dans le bureau. L’homme qui était derrière ce dernier ce lève les yeux grand ouvert comme si il était étonné. Il s’approche de nous et s’exclame d’une voix grave mais douce.

? - Michiru c’est bien toi … C’est bien toi mon enfant ?
Moi – bonjour monsieur.
? - Oh Michiru, tu as tellement grandit, tu est devenue une belle jeune femme, mais viens donc t’asseoir. Bonjour madame Tenoh.
Haruka – bonjour monsieur !

J’allai prendre prendre place devant le bureau, à la gauche de ma jolie blonde qui serra ma main dans la sienne. Une femme de taille moyenne et d’âge ancien fait son apparition et se poste à la droite du vieux monsieur qui me regarde depuis tout à l’heure. Elle est habillée d’une robe noire surmonté d’un petit tablier blanc.

Directeur – Michiru, je suis vraiment très heureux de te revoir, mais que fais tu maintenant ? Et sa se passe bien avec tes parents ?

Michi respire et inspire, ce n’est pas le moment de se montrer faible, je serre la main d’Haruka, et dis :

Moi – eh bien … Comment dire, cela va faire un peut plus de trois ans que je ne côtoie plus mes parents et que je ne vis plus avec eux. Je ne sais pas se qui c’est passé réellement mais …

Mon cœur se serre et j’ai du mal à articuler.

Moi – ma mère est morte des mains de mon père qui voulais récuperer ses biens ainsi que ma garde, durant des années j’ai vécu un enfer, quand je rentrer de la primaire, mère m’enfermer dans un placard, et dès qu’elle partais, père en profité pour me battre, j’ai eu droit au coup de ceintures à la règle, et aux écrasement de ses cigarette, je lui server de coussin, il m’obliger à me mettre à quatre pattes et il allongé ses jambes sur moi, il me surnomé de guenond, de petite traîner que j’étais bonne à faire les trottoire, il m’avait même dis un jour qu’il m’apprendrais le chemin des prostituers et je …

C’est dure de raconter tout sa, et je n’aie pas pue retenir mes larme qui se mette à caresser mes joues.

Moi – il me forcer à me dénuder devant lui, si je refuser de lui obéir je finissait dans son lit, et il … Il … Il a osé me violer en me droguant.

Je ne relève pas la tête, mais continuer de deverser mon chagrin, sa fait trop longtemps que je garde sa en moi, je serrer la main d’Haruka dans la mienne, et n’oser plus rien dire.

Directeur – non … Sa, sa ne peux pas être vrai, ils étaient si gentilent pourtant lorsqu’ils sont venuent t’adopter, et sa na pas était facile !
Moi – j’ai du mal à croire que j’ai était adopter, qui je suis réellement ? Qui son mes véritable parents, je veux savoir, j’en est assez de vivre dans le mensonge.
Directeur – Je suis profondément désolé Michiru pour se qui tes arrivé vraiment, je n’aurais jamais crue qu’ils puissent être d’une cruauté effroyable. Avant de tout te raconter, je vais te présenter une personne, c’est elle qui c’est occupé de toi lorsque tu est venu ici. Martine approche s’il te plais.

La femme qui était à ses côté s’approche et me regarde peiné, elle a du entendre mes propos. Elle ma relever le menton et mes larmes valsent sur mes joues.

Martine – Michiru, ma toute petite, si tu savait comme je regrette de t’avoir confier à des monstre pareil, pendant des années je me suis occupé de toi, toi qui était si seule, si . Tu resté devant la fenêtre de ta chambre espérant que ta mère et ton père vienne te chercher. Quand tu voyais tes camarade partir avec le sourire au bras d’un couple tu t’enfermer à clés et tu joué du violon en pleurant. Pendant longtemps j’ai veiller sur toi, et je voie que tu as beaucoup grandit, tu est devenue si belle.

Je la regarde, ses mots avait apaisé mes pleurs, mais je continue d’avoir mal au cœur comme si un poignard m’avais transpercer. Je m’approche d’Haruka, et cala ma tête dans son cou, posant ma main gauche sur son épaule. Ses main m’enroulent et me serre contre elle.

Martine – bonjour madame excuser je ne vous avez pas vue, qui êtes vous ?
Haruka – ce n’est rien, je suis Haruka Tenoh et suis la femme de Michiru.
Martine – oh … Je voie !
Directeur – Michiru, tiens regarde.

Je lève mes yeux et remarque un gros dossier, je m’approche doucement de ce dernier, reniffle un peut et m’essuie les yeux. J’ouvre le dossier et voie plein de dessin le premier représenter une famille une petite fille tenais les main d’un homme et d’une femme, tout les trois aborder un magnifique sourire, la petite fille avait le cheveux écume comme moi. Le second représenter un cœur avec deux princesses, je continue de feuilleter le dossier, et au bout d’u moment je voie une enveloppe, je prend cette dernière, et l’ouvre, déplie la feuille, et mettant mon dos contre le dossier du siège, je commence à la lire.

« Michiru ma chérie, si tu lis cette lettre sa veux dire que tu as grandit et que tu est en état de comprendre ce qui c’est passé. Tu est née un 21 octobre à Venise, la plus belle ville que je n’aie jamais visité. Ton père et moi sommes très heureux de tavoir mis au monde, tu est tout pour nous, mais voilà à l’époque ou tu as fait notre bonheur, nous étions très pauvre, et n’avais de quoi que de nourrir deux personnes, tu doit trouver sa égoiste de notre part, mais nous avons d’abord penser à toi, et je désirer plus que tout te voir heureuse, alors ton père et moi avions décidé de te confier à un orphelinat et que des adultes puisse t’aimer et s’occuper de toi comme il se doit. J’espère que tu est herureuse et que tu ne m’en voudra pas d’avoir prit cette dessision. Ta maman et ton papa qui t’aime plus que tout »

je ne bouge plus, le papier deviens transparant et l’écriture s’éfface, je plaque ma main sur ma bouche, et mon corps se met à trempbler, alors … Ma mère et mon père mon mit ici non parce ce qu’ils ne m’aimer pas mais l’argent manqué cruellement, je ne sais pas quoi dire ou même penser, je replie la lettre, la remet dans l’enveloppe, et pose cette dernière sur les dessins.

Moi – que … Que sont t-il devenus ?
Directeur – eh bien à ce que j’ai pue comprendre, ta mère est dirige un restaurant cinq étoile, et ton père est chef d’une entreprise pour fabriquer le papier. Après t’avoir confire à notre orphelina ils ont tout fait pour remonter la pente, malheureusement ils …
Moi – ils quoi ?

Je le regarde la peur au ventre. Je n’arrive pas à contrôler mes larmes, et mon corps continue de trembler.


Directeur – malheureusement ils on décidé de ne plus te voir, depuis qu’ils ont bâtient leur entreprise ils on cessaient de prendre des nouvelles, et veulent continuer à vivre ainsi.
Haruka – mais enfin c’est impossible, des parents ne peuvent pas avoir de tes propos surtout si il s’agit de leurs enfants.
Directeur – je le sais bien madame, mais que voulez vous, ils ont préféré mettre en œuvre se qu’ils avaient échoué.
Moi – je vous remercie pour toutes ses informations, mais pourrais-je prendre le dossier ,
Directeur – bien entendue Michiru, et je suis vraiment désolé pour se que tu as appris.
Moi – ce n’est rien ne vous inquiétez pas.

Je commence à me lever, je ne voulais pas rester une seconde de plus ici, je sert la main du directeur, sourit à la vieille femme, et sortie le cœur meurtri.

Anastasia – ah vous êtes revenu.

Je sourit faiblement, et me baisse pour prendre la petite dans mes bras.

Moi – je te dis à bientôt.
Anastasia – oui et merci !
Moi – de quoi ma puce ?
Anastasia – parce que vous êtes la première à me serrer dans vos bras.
Moi – et je le referais autant de fois que je te reverer !

Je lui embrasse le front, et Haruka aussi, et enfin nous sortîmes de l’orphelina.

Haruka – Michi …

Je ne répond pas, mes larmes avaient de nouveau envahie mon visage. Je monte dans la voiture et m’attache, et Haru vint démarrer en posant sa main sur la mienne.

Moi – pourquoi … Pourquoi sa doit se passer comme sa, qu’es ce que j’ai fait pour mériter sa, je me suis plier j’ai fait tout se que l’ont me disait de faire jusqu’à me retrouver dans un lit nue face à un homme qui ma torturer violer et droguer à plusieurs reprise, pourquoi ne veullent t-ils pas me voirent, j’en est assez, assez que l’on me piétine ?

Je ne me retenais plus, je fondit littéralement en larmes cachant mes yeux de ma main droite. Je sent la voiture s’arrêter, et me sentit soulever. Surprise je retire ma main et remarque que nous étions arriver dans la parking, et que Haru m’avait prise dans ses bras. Jenroule son dos, et love ma tête dans son cou coté gauche et hurle intérieurement de douleur.

Moi – pourquoi mes propre parents ne veulent pas de moi ? Pourquoi préfèrent t-ils se couvrir de gloire et de paillette plutôt que de voir leur fille grandir. Ce n’est pas juste, alors que j’étais persuadé que ma mère était morte et mon père en prison.

Je me serrer contre la femme que j’aime pleurant à chaude larme, blessé et peiné.

Point de vue Haruka.

J’ai mal de la voir comme sa, c’est … Moi même je n’en reviens pas que des parents puisse renier leur propre fille à leur travail, je vint la serrer aussi fort que je le pouvais.

Moi – Chuut … Calme toi mon ange, je … Je suis profondément désolé pour se que tu as appris, mais moi je suis là, et je le serait toujours, mais ne te retiens pas si tu as envie de pleurer ou hurler fait le, mais je t’en supplit ne te détruit pas.

Elle remonte ses yeux qui son inonder de larmes, et me regarde, je lui essui les goûte d’eau salé, et lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire.

Michiru – Haru si tu savait comme je …
Moi – chuut …

Et poussé par une infini tendresse, je l’embrassa le plus tendrement possible. Ses mains me serre, et l’une d’elles se pose sur ma joue et me la caresse. Malgré la tendresse que je lui transmettait à travers ce baiser moi même j’avais mal au cœur d’avoir appris cette nouvelle, je ne voulais pas la voir dans cet état de souffrance, sa me déchirer plus qu’autre chose, et l’envie de verser des larmes de compassion me tient.

Apparemment je ne suis pas assez résistante car une petite larme dévale ma joue gauche. On se détachent doucement, je lui caresse la joue en lui souriant. Sa main vint chasser la larme, et elle me dis :


Michiru – Haru …
Moi – ce n’est rien, je suis juste peiné de se qui t’arrive trésor.

Je lui embrasse le front, et me détache. Je sort de la voiture, enclanche l’alarme, et longea le parking jusqu’à la sortie. Michi se serrer contre moi, et sa main caresser ma peau. Je lui sourit, et monte les quatre étages. Une fois devant la porte, Michi prit les clés et les insère dans la serrure et tourna deux fois vers la droite.

Je rentre à l’intérieur, et monte à l’étage. Pénètre dans la salle de bain et ferme la porte. Je dépose ma douce sur le sol devant le lavabo, prit un coton le mouille et vint lui démaquiller les yeux. Mon cœur battait si vite, mais m’occuper d’elle me procurer un bien fou. Quelques larmes roulent le long de ses joues, et doucement je lui essui stopant unes d’elle avec un baiser.

Je commence par lui retirer le pull, et vint débouter son chemisier. Retirant son jean, puis son soutien-gorge, et sa lingerie intime. Je m’approche de la baignoire, et fait couller l’eau, cherchant la bonne température. Quand cette dernière fut prête, je mit un bouchon sur l’évacution, et me tourne vers Michi, je la prend dans mes bras, et la pose doucement dans la baignoire. Je m’accroupie, m’appui sur le rebord, je lui caresse la joue, et lui murmure d’un ton doux :

Moi – maintenant tu vas te détendre dans ce bain d’accord ? Je ne veux plus te voir comme sa, si tu as le moindre souci je suis là ma chérie, et je le serait toujours … Je t’aime mon amour, et quoiqu’il arrive je serait là.
Michiru – je t’aime tant Haruka … Pour moi, tu est comme ma deuxième famille.

Je sourit, lui soulève le menton et lui posa un baiser. De nombreuse minutes nous restons comme sa, je pense que savoir que l’ont peut toujours compter l’une sur l’autre nous renforce, et cela depuis notre rencontres. La magie prit douement fin, je lui caresse sa lèvres inférieur, et lui fit un petit clin d’oeil.

Moi – allé, détend toi maintenant, tu en a besoin, si tu as un souci je serait en-bas.
Michiru – merci … Ma chérie !
Moi – ce n’est rien, c’est normal.

Je l’embrasse sur le front, lui tapote le nez, et sortie de la salle de bain la laissant se détendre. Je descend et me dirige vers le canapé, met des petites lunettes, et sort de mon sac qui se trouver à côté du meuble des copies et à l’aide d’un stylo rouge commence à corriger.

Sa me fait penser, que les bulletins ne devrait plus tarder, le directeur m’ayant expliquer qu’il y avait eu un souci au niveau de l’informatique, les bulletins des élèves auraient un peut de retard.


Après quelques minutes, je pose mon stylo ayant tout terminé, et monte à l’étage pour aller voir comment allait Michi. Pour ma plus grande surprise, je ne la trouva pas dans la salle de bain, d’ailleurs, celle-ci était rangé et sentait bon. Inquiète je ferme la porte, et me dirige vers la pièce du fond qui était notre chambre, j’ouvre doucement la porte, et eu un tendre sourire, elle était couchée. Je m’approche, et la couvre, allant fermer les volets par la suite. Je lui pose un doux baiser sur la joue, et parti la laissant dormir. Avec toutes ces nouvelles pas très joyeuse qu’elle a appris je la comprend. Donc je croix que je vais faire un peut de rangement, puis après je ferait un peut de repassage de nos affaires.

Au alentours de 19 heures, alors que je me trouve assise sur le canapé en train de lire, j’entends du bruit, surprise je me tourne et sourit en voyant que c’était Michi qui descendait les escaliers. Elle se dirige vers le canapé, et d’un geste tout à fait naturelle, elle c’est lové dans mes bras.

Moi – bien dormis ? Je lui caresse les cheveux
Michiru – oui, sa ma fait du bien !
Moi – je veux bien te croire dormir 7 heures d’affilé, sa ne peux être que reposant.

Elle remonte sa tête, elle est encore endormis derrière ses petite lunette noire, je sourit, et caresse son visage. Ses mains se mettent sur les miennes et ses doigts efleure ma peau.

Moi – tu vas mieux ?
Michiru – un peut oui, merci Haru pour se que tu as fais !
Moi – ce n’est rien voyons ma chérie.

Je lui sourit, et nos lèvres s’unir dans un doux baiser. Je me laisse basculer sur le dossier du canapé la serrant contre moi et allant carreser son dos passant mes main sous son polo. Je sent ses mains se posées sur mes joues eet ses pouce me caresse.

Mon cœur se met à me brûler dans ma poitrine, nos langue se trouve et se câline sauvagement.


Michiru – hm …

Mon cœur s’enflamme, et je la serre de plus en plus fort contre moi. On se décollent doucement et nos fronts se caressent, et les battements de mon cœur s’accelaire.


Michiru – je t’aime !
Moi – moi aussi mon trésor.

On se sourit, et nos mains caressent le corps de l’autre. Nos yeux son encrés l’un dans l’autre, je lui embrasse le nez, et fait durer le plaisir. Je descend doucement ferme les yeux et caresse son nez avec le mien, attrapant sa lèvre, et la caresse. Je lui caresse le dos, c’est impressionnant à quel point je peut la désirer, à quel point je suis attiré par elle. Je sent ses lèvres répondre à mon petit jeu, et elle fait pareille.

Moi – si tu savais ( l’embrasse ) à quel point je te ( l’embrasse de nouveau ) désir ma tendre Michiru.

Je sent sa langue s’enrouler dans la mienne, elle s’approche et vint se coller à moi, en manque d’oxygène on se décollent, je lui sourit, lui tapote le bout du nez, et sa voix me murmure :

Michiru – moi aussi, je te désir plus que tout … Ma jolie blonde.

Je sourit, et caresse sa joue. Notre petit câlin dura un petit moment, et sans faire attention, nous nous étions endormies sur le canapé. Michi dans mes bras.

Eh voila la fin de ce chapitre, en espérant ne pas
Mer 23 Oct 2013, 14:54 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 4

Kikou, je remercie grandement inlove pour ses commentaires qui me font vraiment plaisir, donc sans plus attendre voici le chapitre 4.

Chapitre 4 : Exposé et humiliation

Point de vue Haruka.

Quelques jours plus tard avant la date butoir de l’exposer de la classe B-5 c’est à dire la mienne, je me retrouve à la maison dans la cuisine, en train de préparer le repas de ce soir. Au menu spécialité japonaise onigiris porc au caramel et sushi. Michiru se trouvait dans le salon en train de terminer son travail. Je met le riz à cuir 5 à 10 minutes pas plus, et un torchon à la main je me dirige vers ma douce.

Il est vrai que depuis que je lui avait délivré mes sentiments se que je ne fait pas tout les jours nous étions beaucoup plus proche, et cela me rendait très heureuse. Je m’avance vers ellle et enroule son cou lui posant un doux baiser sur sa joue.

Moi – Qu’es ce que tu fais ?
Michiru – je termine l’exposé pour demain, et je dois t’avouer Haru que sa me fait légèrement peur de devoir le réciter devant tout le monde.

Mon sourire s’agrandit un peu plus, j’aimer particulièrement quand elle me trouvait des petit surnom comme celui-là, sa me rendait si heureuse. Je pose le torchon sur la table, et vint m’avancer un peu plus, caressant tendrement ses épaules.

Moi – et de quoi aurais tu peur ?
Michiru – bin on doit réciter l’exposer devant toute la classe. Et le regard des autre me fait douter de mes capacités.
Moi – eh … Il n’y aura que les élèves de notre classe, et je serait la seule pro.fe.ss.eur présente ici !
Michiru – n’empêche sa me fait peur !
Moi – tu veux me le réciter pour t’entrainer un peu ?
Michiru – oui pourquoi pas, de toute manière je les terminé, mais promis tu rigole pas !
Moi – tututu … Pourquoi rigolerais-je de ton travail chaton, je sais que tu en est capable, aller va te mettre derrière la table basse je t’écoute et répond si il y a des questions.
Michiru – merci Haru.

Elle a tendrement posé ses lèvres sur les miennes, m’embrassant avec douceur. Je répond délicatement à son baiser, et la libera afin qu’elle puisse commencer.

Michiru * aller ta déjà surmonter bien plus que sa *

je la voie respirer un grand coup et sa douce voix résonne :

Michiru - le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour toi c’est quoi « l’amour »
Moi – eh bien c’est ressentir de l’amour et de la tendresse pour une personne, c’est se sentir attirer par cette dernière.
Michiru - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.

Je sourit de plus belle, c’est vraiment très bien en plus sa voix est claire et elle articule parfaitement entre chaque mots, et je ne dis pas sa parce ce que j’en suis éperdument amoureuse.

Michiru - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.

Je ne sais pas quoi dire, c’est … Extraordinaire ce vocabulaire qu’elle détien à a peine 17 ans. Je la dévisage en souriant, buvant encore ses paroles que je trouve juste et belle.

Moi – chapeau … Alors là je m’incline, c’était parfait Michiru, tu n’as vraiment pas à avoir peur, c’est … Vraiment je ne trouve pas mes mots tu as un vocabulaire très enrichi et s’est vraiment agréable de t’écouter.
Michiru – c’est vrai ? Merci.

Elle c’est dirigé vers moi, et je la prit tendrement dans mes bras afin de la câliner. La mettant sur mes jambes, j’enroule son dos et de ma main droite j’écarte quelques mèches bleutée de ses yeux et descend à sa joue en une caresse.

Moi – c’était parfait, je suis fière de toi !
Michiru – merci Haru …

Ont se sourit, et tout en allongeant ses bras sur mes épaules nos lèvres s’unirent dans un doux et tendre baiser. Je monte ma main à son visage et lui caresse la joue, la serrant aussi fort que je le pouvais contre moi. Bien qu’elle soit de caractère timide j’étais heureuse de savoir qu’elle partagé le même sentiment que moi.

Je sent une de ses mains se poser sur mon visage et ses doigts s’amusent sur ma paumette. Je l’aime c’est dingue tout se que l’ont peut ressentir quand l’amour nous frappe. Soudain je senti quelque chose de doux et chaud à la fois se qui eu pour effet de provoquer un grand huit à mon cœur.


C’est sa langue qui s’amuse avec la mienne, et je vint jouer amoureusement avec sa partenaire. En fin de compte je suis bien heureuse d’avoir accepter ce poste de professeur de mathématique de langue vivante et d’histoire géographie, car j’ai pue avoir ce bonheur de la rencontrer, et d’éprouver de nouvelles émotions.

On se décolent doucement, mais on dirais que ses lèvres ne son pas du même avis, elle continue de m’embrasser, et cela me rend encore plus heureuse. Je vint caresser son front avec le mien, caressant tendrement sa joue. Nos yeux se son rencontrés et ne se détache plus.


Moi – quand cessera tu … De me rendre folle ?
Michiru – jamais … Je … Oh Haruka.
Moi – chuut … Je sais !
Michiru – dis moi, et si … Et si tu me parler de toi ?
Moi – de moi ? Et que voudrais tu savoir ?
Michiru -se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu fais de tes journées ou tes soirées, tes goût.

Je sourit, je caresse sa joue, et lui dépose un légé baiser sur ses lèvres.

Moi – dans ce cas … Je vais recommencer depuis le début alors !
Michiru – oui …

Mes doigts descendent à ses lèvres, et je lui caresse la dévisageant avec amour.

Moi – eh bien … Je m’appelle Haruka Tenoh j’ai 23 ans, et suis née un 2 novembre 1990, je suis passionné de dessin et lorsque je m’ennui je peint. J’aime cuisiner et regarder un bon film d’horreur. Depuis que je suis petite, mes parents ne me fournissait aucunes tendresse, bien qu’ils ne voulais pas se séparer ils passé leur temps à se disputer. A cause de se manque, je suis très vite devenu garçon manquer, je rester avec les garçons à jouer au foot ou au tennis. Bien que ma masculinité ne m’est pas quittée au file des années, ma couleur favorite est le bleu ainsi que le violet. Malgré les apparences, je suis quelqu’un de très attachante, de nature câline et rêveuse, quand j’aime quelque chose ou même quelqu’un, je fait tout pour la garder auprès de moi.

Je la voie me sourire, sa main caresse la mienne, et ses yeux azur caresse les miens qui pétille de bonheur. Mon cœur ne cesser de cogner violemment contre ma poitrine, j’étais atiré par elle, et j’avais le désir de pouvoir commencer une histoire avec elle sérieuse et sincère.

Michiru – tu est tellement belle … Merci d’avoir était sincère !
Moi – ce n’est rien voyons … Et toi alors, parle moi de toi.
Michiru – tu connais déjà tout.
Moi – non, j’ignore se que tu aimes, se qui te passionne, se que tu attends maintenant !
Michiru – eh bien, je suis Michiru Kaio j’ai 17 ans et suis née un 21 octobre 1996 à Venise. J’ai deux passions dans la vie, la musique et l’écriture, j’écris depuis 11 ans maintenant, et je fait du violon depuis l’âge de 10 ans. Je deteste les personnes qui se moque d’autrui, et qui ne prenne pas une relation au sérieuse. Je fait attention sur qui je tombe car une fois que je connais la personne, j’ai tendance à m’y attacher un peut trop vite et à me faire de faux espoires. J’adore les films d’amour et je rêve de traverser le grand tapis rouge en robe blanche. Mes couleurs préférés sont le rouge le vert et le bleu, se que j’attends maintenant ? C’est que malgré mon jeune âge, je cherche à batir une relation sincère et durable avec la personne que j’aime plus que tout.

Tout au long de son monologue, le petit sourire que j’avais au coin des lèvres c’était agrandit au file que je buvait avidement ses paroles, je lui caresse la joue, et étant de nature curieuse, je lui demande d’une voix tendre :

Moi – et … Cette personne que tu aimes, à quoi ressemble t-elle ?
Michiru – eh bien … C’est une très jolie jeune femme de grande taille et aux cheveux blond court. Ses petit yeux en amande de couleur émeraude, sa voix douce mais masculine à la fois me fait frissonner de plaisir. Depuis que je la connais elle envahie tout mon univers et mon cœur, il y a un mois de sa lorsque j’ai eu mon accident, je lui est donné mon premier baiser, et même si nous avons un statue assez éloigné l’une de l’autre, je l’aime et en suis éperdument amoureuse !

Mon rythme cardiaque deviens plus rapide et violent, sans qu’elle ne sent rende compte, elle venais de me dire qu’elle m’aimer, et qu’elle est éperdument amoureuse de moi. Je me sent tellement bien, je lui embrasse le nez, et écarte quelques mèches de ses yeux, je l’aime, j’en suis eperdument amoureuse et je ne peux pas me mentir. Je lui soulève le menton et caresse ses lèvres, et d’une voix douce je lui murmure :

Moi – alors je vais te demander une chose … Et une seule.
Michiru – je t’écoute !
Moi – cette relation que tu veux batir … Accepterais tu de la construir avec moi ? Car je n’attend que sa … Construir et vivre une belle histoire d’amour avec la personne que j’aime !
Michiru – oui … C’est avec grand bonheur que j’accepte … Haruka je t’aime.

Sa y’est elle me la dit, je suis vraiment très heureuse, je lui caresse la joue, et m’approche de ses lèvres un peut plus.

Moi – moi aussi je t’aime, et il n’y a que toi qui détiens les clés de mon cœur !
Michiru – alors je vais de suite fermer à double tour et jeter les clés dans l’eau comme sa, tu ne sera plus jamais loin de moi !

Je sourit de nouveau, et posa mes lèvres sur les siennes. A cet instant je ne sais pas se qui se passer, mais ce que je c’est en revanche, c’est que je ne la laisserais plus s’enfuir. Mes bras la serre d’avantage et mes lèvres l’embrassent le plus tendrement possible.

On se détachent doucement, et je lui murmure à douce voix :


Moi – je ne te laisserais plus partir … Oh Michi je t’aime !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore.

On se sourit, je l’embrasse de nouveau, et après ce petit moment tendre, nous allons manger. Michi parti mettre la table, et moi je me dirige ver le cuiseur rêveuse, et oui même les professeurs ont le droit de rêver. Je m’installe face à elle et commence à nous servirent. Une fois fait, je la regarde avec douceur, lui prend la main et lui dis :

Moi – J’espère de tout mon cœur que sa durera !
Michiru – oui, ne t’inquiète pas … Et puis, de toute manière, je ne suis pas prête à te laisser partir.

Je t’aime … C’est dingue çà quel point je t’aime. C’est donc avec le sourire aux lèvres et le cœur rempli de bonheur que je mangea avec Michi.

Michiru – dis une question !
Moi – oui quoi donc ?
Michiru – l’exposé, il compte pour la moyenne général de ce semestre ?
Moi – oui, c’est une note global que je vous atribuerais en fin de semaine.
Michiru – ouais du coup faut pas que je me plante pour l’exposé et le contrôle d’italien.
Moi – bah, j’ai confiance, et tu est italienne non ?
Michiru – oui oui !
Moi – dans ce cas tu n’auras aucun mal à faire ce devoir.
Michiru – un vrai professeur, mais quand on ne parle plus sa langue maternelle, parfois sa savère être difficile de se remettre dans le bain.
Moi – c’est bien vrai !

Ont se sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je me lève, et alors que ma douce mettait le sal dans le lave vaisselle, je me dirige à l’étagez pour prendre une bonne douche.

Avec toutes ses émotions ressenti au cour de ce mois ci je ne sais plus tellement ou me donner de la tête. Je ferme la salle de bain à clé, et commence à me dévêtir, allumant l’eau chaude au passage. Je me glisse à l’intérieur de la baignoire, et laissa mon corsps se détendre sous l’eau.


Mes yeux se ferment et mon visage laisse place à un petit sourire, je laisse mes doigts glisser le long de mes lèvres, sentant encore le délice de sa bouche contre moi.

Dire qu’elle était avec moi, que je pouvais la prendre dans mes bras et la câliner comme bon me semble. Sa me rendait si heureuse mais sa me faisait peur à la fois, peur de devoir souffrir, et de ne pas pouvoir supporter la séparation. Mais bon à quoi je pense moi, bien sûr que je ne la quitterais pas, je fairait tout pour pouvoir la garder entre mes bras. Quand je fut entièrement propre et détendut, je coupe l’arrivée d’eau, et m’enroule dans une serviette sentant le froid me gagner.


Je sort de la baignoire et commence à me sécher de toute part. J’enfile par la suite un bas de pyjama blanc, ainsi qu’un tee-shirt de même couleur. Je saisit le sèche cheveux branche la machine et active le soufflement. Vraiment je ne sais pas quoi penser, je n’arrête pas de sourire bêtement comme si un enfant venais de reçevoir une sucette.

Avec l’aide de mes doigts je met en place quelques mèche de mes cheveux fait ma toilette, et quand j’ouvrit la porte la plus jolie des pierres précieuse se dressa devant moi.

Moi – tu vas à la douche ?
Michiru – oui.

Elle me sourit m’embrasse délicatement les lèvres et vint s’enfermer dans la salle de bain, alors que moi, je me suis diriger l’air rêveur vers ma chambre. Je commencce à fermer les volet, met au pied d’une chaise mon habil pour demain, et règle mon réveille, demain nous ne commençions cas 11 heures, il est donc inutile de se lever tôt.

Je m’installe sous mes draps, et mettant mes bras derrière ma tête, je contemple le plafond qui na rien d’extraordinaire en soie, mais mes pensé étaient toute relier à Michiru.

J’entend ma porte s’ouvrir, et tourne automatiquement la tête vers la gauche, et surprise je vit Michi en petite robe de nuit noir qui mettait dois-je l’avouer ses jolie forme en valeurs, elle a posé ses affaires dans un coin plié, et c’est dirigé vers moi avec un sourire.



Je fut surprise mais heureuse de voir qu’elle se mettait sous les draps, car d’habitude c’est dans la chambre d’ami qu’elle réside.


Michiru – tu dois trouver sa étrange, mais avec se qui c’est passé entre nous ce mois ci j’ai envi de me rapprocher encore plus de toi.

Je sourit, et vint enrouler son dos de mes bras, montant une de mes main à sa chevelure. Sa tête se met face à la mienne posé sur l’oreiller, nous étions très prêt l’une de l’autre, elle glissa sa main gauche à mon dos, et son corps se rapproche du mien.

Je lui caresse la joue et la dévisage avec tendresse.


Moi – ne t’inquiète pas, sa ne me dérange absolument pas !
Michiru – tu est tellement belle. Ses lèvres se pose sur mon nez.

Elle est vraiment adorable, j’approfondit un peu plus ma caresse sur sa joue, et lui murmure en lui offrant un doux sourire :

Moi – et toi, tu est vraiment très jolie et adorable qui plus est.

Elle me sourit, et ne pouvant resister à la tentation je vint sceller mes lèvres aux siennes. Ses bras se son allonger sur mes épaule, alors que ma tête se pose sur son bras je l’approche un peu plus de moi et vint la serrer tendrement contre moi et lui caresse le dos. Nos langues se trouvent et se caresse, nos jambes s’emêlent l’une dans l’autre, nos corps se frictionnent et se caresse.

Michiru – mh …

Mon cœur bondit dans ma poitrine en entendant ce son si sensuelle venant d’elle, je lui faisait dont de l’effet. Cela m’adouci encore plus et je vint approfondir notre baiser, celui-ci devint plus tendre et langoureux. C’est un vrai délice, et je me sent si bien comme sa, j’ai envie que le temps s’arrête, et nous emprisonnent.

On se détachent doucement, j’emmène ma main à son menton et le lui soulève afin de croiser ses yeux qui son vraiment magnifique. Sa main se met à caresser ma joue, et elle me sourit, un sourire que j’aimer.

Michiru – oui, de tout mon cœur j’espère que sa va fonctionner entre nous … Car, je t’aime vraiment beaucoup Haru.
Moi – mais moi aussi, je t’aime vraiment très fort, et ne souhaite qu’une chose pouvoir te rendre heureuse et te voir sourire mon ange.
Michiru – Haruka …
Moi – chuut.

Je lui caresse la lèvres, et vint lui poser un second baiser avant d’éteindre complètement les lumières. Je lui caresse doucement sa cheveulure et lui murmure tendrement.

Moi – bonne nuit chaton à demain.
Michiru – à demain Haru !

Ses lèvres se sont déposés sur mon cou, se qui me fit sourire, je lui embrasse le front et m’endormie serrer contre la femme que j’aime.

Le lendemain, au alentours de sept heure, mon portable se mit à sonner, et encore endormie, j’essaie de l’atteindre, mais quelque chose m’en empêche. Je baisse mon regard encore embué, et remarque avec douceur que c’était Michi qui dormais contre moi. J’éteins mon téléphone que j’eu réussi à attraper, et vint reposer ma tête sur l’oreiller, mêlant au passage mes doigts dans la chevelure bleutée de ma douce.

Un petit bruit se fit entendre, sa provenais du téléphone de Michi. Je voie cette dernière tendre son bras et tater le meuble afin de localiser l’objet. Une fois en main, elle appuie sur décrocher, et porte le cellulaire à son oreille
.

Michiru – oui …
Cléo – ou mais c’est que tes encore dans le cirage ma pauvre !
Michiru – hm … T’abuse Cléo, il est que sept heure du mat.

Je sourit et la voie se redresser, elle se frotte les yeux et vint par la suite s’étirer. Qu’elle est belle. Je continue de l’observer tenant ma tête avec ma main gauche un sourire aux lèvres.

Michiru – je t’aime mais s’teu plais laisse moi dormir !
Cléo – mais moi aussi je t’aime. Au faite comment vas ton professeur ?
Michiru – pourquoi cette question ? Elle doit dormir.
Cléo – mais tu est bien chez elle non ?
Michiru – oui mais moi je suis dans le salon !
Cléo – le salon ?
Michiru – je te rappel que je ne peux pas monter les escaliers avec ma hanche !
Cléo – ah oui c’est vrai, sa te fait encore mal ?
Michiru – oui, et j’ai l’impression que le traitement que je suis n’a aucun effet, j’ai toujours aussi mal.
Cléo – bah va falloir retournr chez le médecin !
Michiru – je croix aussi oui, sa serait pas une mauvaise idée !

Elle vint s’allonger de nouveau, et ses yeux croisèrent les miens. Je lui sourit, emène ma main à sa joue et la caresse doucement. Je la voie qui s’approche de moi, et sa main alla se poser sur ma joue. On se sourit, et je vint lui déposer un légé baiser.

Cléo – dis, je peux te poser une question !
Michiru – oui vas y.
Cléo – tu compte lui dire quand ?
Michiru – de quoi ? Et à qui ?
Cléo – ben à ton professeur, et lui dire que tu l’aimes.
Michiru – oh mais arrête de dire que c’est mon professeur, et je c’est pas moi.

Ah, on dirais que sa parle de moi, je lui caresse la joue et lui sourit.


Michiru – bon, Cléo on se parle au lycée.
Cléo – bon … Ok !
Michiru – à plus.

Et sa comunication se coupa. Je lui écarte quelques mèches, et sa voix se met à résonner dans la pièce.

Michiru – elle me tuera un jour moi je vous le dis … J’aurais préféré un réveil beaucoup plus doux que sa voix qui me hurle dessus.
Moi – ah … Et quel genre de réveil voudrais tu ?
Michiru – ben … Me réveiller dans les bras de celle que j’aime par un câlin là c’est parfait.
Moi – dans ce cas … Bonjour mon amour, bien dormis ?
Michiru – oui, merveilleusement bien contre toi !

Je lui sourit tendrement, lui tapote le bout du nez, et c’est en riant que nos lèvres s’unirent dans un doux et délicat baiser. Je vint la prendre dans mes bras, et laisse ses dernier entourer son dos. Ses bras s’allongent sur mes épaules, et son corps se presse tendrement contre le mien. Nos langues se trouvent et se caresse, créant une danse endiablé mais délicieuse.

Je me sent tellement bien avec elle, j’ai envie de la protéger et la chérir tendrement. Je l’aime et me sent vraiment libre, je lui caresse la joue, et monte un peut plus pour être à sa hauteur, et approfondit notre baiser en allant lui morde amoureusement sa lèvres inférieur, mon cœur bat si vite, le désir que je ressent pour elle devient de plus en plus fort, mes gestes se font plus tendre, ainsi que mes lèvres qui deviennent avide de sa peau et amoureuse.

En manque d’oxygène, on se détachent doucement l’une de l’autre, mon front caresse le sien et mes yeux la dévisage avec tendresse.

Michiru – sa … C’est un réveil qui me plais !

Je me met un sourire, je lui caresse la joue, et embrasse son nez.

Moi – dans ce cas, réveillons nous comme sa tout les matins.
Michiru – avec grand plaisir !

On se fixent longuement, et Michi vint se lover dans mes bras, sa tête reposant sur mon cou. Je lui caresse les cheveux et la serre contre moi, il nous resté encore pas mal de temps avant de décoler. Et puis … Cette tendresse qu’elle m’offre à chaque fois qu’elle m’embrasse ou me regarde elle est vraiment agréable j’ai l’impression de revivre.

Michiru – je t’aime.
Moi – moi aussi mon cœur !

Je lui soulève le menton et la dévisage avec douceur, caressant sa joue avec mon pouce.

Moi – je suis tellement heureuse !
Michiru – pourquoi ?
Moi – car j’ai enfin trouvé celle qui qui fait battre mon cœur.

Elle ma sourit, et je vint l’embrasser avec tendresse. Je laisse mon cœur s’exprimer au grès de ses envie maintenant que je pouvais être heureuse.

Quelques heures plus tard, Michi s’habiller dans la salle de bain, alors que moi je préparé le petit déjeuner. Du bruit se fait entendre à l’étage, et surprise je passe ma tête à côté le mur et regarde. Je voie Michiru elle est vraiment très jolie habillé comme sa. Elle porte une longue jupe noire un petit chemiser blanc surmonter d’un petit chale noir. Ses cheveux son retenue par une queue de cheval, elle est vraiment très belle comme sa.

Michiru – Haruka !
Moi – oui ?
Michiru – tu peux venir m’aider à descendre s’il te plais !
Moi – j’arrive.

Je pose la tasse que j’avais en main, et me dirige vers l’étage. Je monte les quelques marches tout en la regardant avec un petit sourire en coin. Une fois à sa hauteur, je vint délicatement la prendre dans mes bras et dis en souriant :

Moi – prête à vous faire escorter princesse ?
Michiru – oui !

Je lui fit un petit clin d’oeil, et descend les escaliers doucement, et une fois arrivé en-bas, je la dépose sur le sol.

Michiru – merci ma chérie !

Je me suis mise à sourire à l’entente de ce petit surnom affectif qu’elle me porte, je lui tapote le bout de nez, et lui dépose un légé baiser sur le front. Je l’aime sa s’en est certain maintenant.

Moi – aller viens déjeuner, sa va bientôt être l’heure de partir !
Michiru – à vos ordre professeur !

Toi alors tu n’en rate pas une quand l’occasion se présente. Je la suit du regard, et saisit ses béquilles, et se dirige vers le comptoir de la cuisine.

Michiru – je suis vraiment obliger de prendre cette horeur ?
Moi – si tu veux vite être remie sur pied oui.
Michiru – c’est infecte !

Je la voie tirer la grimmace et cela me fait rire, prenant place sur une chaise, elle se met à sourire, elle lève ses yeux et me regarde.

Michiru – merci … Sa me fait plaisir de voir que tu est retenue se que j’aime !
Moi – ce n’est rien voyons.

On se regardent et s’échangent un doux sourire. Notre petit jeu dura encore quelques minutes nos yeux se défiaient qui allait avoir le dessus sur l’autre, et cela me fait bien rire intérieurement.

Quand fut l’heure de partir, Michi vint tout mettre dans le lave vaisselle et mit se dernier en route, passant un coup d’éponge sur la table et remetant les chaises à leur place. Je sourit, elle c’est bien intégrer à l’environnement. Prenant son sac qu’elle ajuste sur son épaule, elle se dirige vers moi.


Moi – aller en route ma petite fée du logie.

Elle c’est mise à rire, un son bien délicieux à mes oreilles, je prend mon sac, les clés, et sortie de l’appartement. Je ferme à clés, et nous nous dirigions vers les escaliers. Comme il n’y avait pas d’ascensseur, je dû la prendre dans mes bras, et descendre les quatre étages. Depuis ce matin mon cœur n’arrête pas de faire le grand huit, j’ai cette impression qu’il va bondir hors de ma poitrine.

Une fois en-bas, je me dirige vers le parking toujours avec Michi dans mes bras. Je n’avais pas très envie de la lâcher et ceux depuis les événement d’hier après-midi. Je lui demande gentiment de prendre les clés de ma voiture dans la poche de ma veste, et d’appuyer sur le dévérouillage.


Moi – merci mon petit cœur !

Elle me sourit, et une fois qu’elle fut attaché, je vint me placer à mon tour dans le bolide. J’allume le conteur, tourne une bonne fois vers la droite, fit une marche arrière, et parti direction le lycée.

Michiru – bon … J’espère vraiment que cet exposé va bien se passer !
Moi – mais oui, ne t’inquiète pas … Et puis je serait le seul professeur.
Michiru – c’est bien sa le souci !
Moi – comment sa.
Michiru – disons que à chaque fois que je croise tes yeux je suis comme … Hypnotisé, plus rien n’existe autour de moi quand je te regarde.

Je sourit, je m’arrête à un feu rouge, et vint poser ma main droite sur la sienne.

Moi – dans ce cas, j’essairer de ne pas trop te distraire !
Michiru - ce n’est pas ma faute si mon professeur se trouve être une belle et ravissante femme.

A votre avis qu’est ce que je dois faire ? Plusieurs solutions me vienne, mais comme je suis en voiture je ne peut rien faire.


Moi – dans ce cas … Voila un baiser d’encouragement pour la plus adorable des petes amie !

Et c’est avec le sourire que je lui prit le menton et déposa tendrement mes lèvres sur les siennes. Un baiser rendu avec bonheur et sincérité. Je me décolle doucement colle mon front sur le sien, et fait pivoter mon nez négativement contre le sien. Ses yeux son doux pourtant je peux y apercevoir de la peur, sûrement dû à l’exposé de tout à l’heure.

Moi – tout va bien se passer, j’ai confiance en toi Michi !
Michiru – je …
Moi – chuut …

Je lui embrasse le front, descend le long de son nez et enfin à ses lèvres. Je lui caresse la joue, et nous sortâmes ensuite de la voiture. J’enclanche l’alarme, et m’exclame :

Moi – aller courage princesse.

Elle me sourit, je lui fit un signe de la main et je parti direction la salle des professeurs.

PDV Michiru.

Je la regarde partir, le sourire aux lèvres, j’avais encore du mal à croire tout se qui m’arriver, d’une part que je soit avec elle en plus que se soit mon professeur, et la seconde que je loge chez elle aussi. Tout sa était si … Prématuré, mais dieu que je suis heureuse. Je commence à m’avancer vers le portail, et je prit peur en voyant Cléo.

Moi – tu m’as fais peur !
Cléo – je suis si moche que sa ?
Moi – j’ai pas dis sa.

Elle me sourit, et ensemble, nous nous dirigions vers notre salle de cour car dans quelques minutes ce dernier allait commencer.

Cléo – alors ?
Moi – alors quoi ?
Cléo – ne fait pas celle qui ignore de quoi je parle Michi.
Moi – hehe … Bah pour le moment je préfère me poser, bien que j’ai cette envie de lui dire !
Cléo – tu voie que tu sais de quoi je parle !

Je lui fait un clin d’oeil et un petit sourire. Puis une fois dans le grand couloir, ont vîmes cette peste d’Emma et sa clique, j’essaie de rester calme car la seule envie que j’ai et celle de lui donner une bonne gifle en plus de savoir qu’elle aime ma jolie blonde me mettait dans tout mes états.


Emma – tiens mes regarder qui voilà, ce ne serait pas cette petite trainer, je croyais que tu devais rejoindre ta mère ? Dommage que le camion ne t’ai pas fait trop de dégâts, sa m’aurais fait une belle jambe de te savoir morte … Comme ta pouriture de mère.
Cléo – mais tu vas arrêter espèce de salope !
Emma – ou attention la petite Cléo emploie de vilain mots, bouh comme c’est navrant. Pff vous me faite franchement pitié.
Moi – c’est bon tu as terminé ? Tu t’sens mieux … Car j’en aie tout à ton service, tu c’est quoi je vais te dire une chose … Oui c’est bien dommage que je ne soit pas parti rejoindre ma mère, au moins sa m’aurais évité d’entendre de grands mots venant d’une gamine de 5 ans qui ne sais même pas ce que c’est d’aimer.
? - que ce passe t-il ?

Je me tourne et voie Haruka, non ce n’est pas le moment, je remet mon sac sur l’épaule, et dis :

Moi – ce n’est rien professeur …
Cléo – Michi … Non ce n’ai pas rien, tu n’en a pas marre de te faire discriminer et rabaisser à chaque fois !

Je regarde Haruka dans les yeux, je me retien de pleurer, et je dis la voix un peut larmoyante :

Moi – il … Il faut savoir encaisser, et ne pas répondre, et savoir avancer les pied droit devant.

Trop tard, une larme venais de s’échapper de mon œil droit.

Cléo – Michi non …

Et sans rien dire je me retourne et parti vers la salle de cour peiné et blessé des propos de cette peste.

Cléo – professeur Tenoh !
Haruka – oui ?
Cléo – s’il vous plait, faite quelques chose, sa ne peut plus durer Michiru a assez souffert comme sa.
Haruka – très bien, je vais aller la voir et lui parler, nous n’avons cours que dans 40 minutes, donc aller au foyer je viendrais vous cherchez.
Cléo – merci professeur !

Tu est si belle, bien que cruelle, je t’ai tellement aimer … Mais tu hantes toujours mon cœur et mes penser. J’entends du bruit mais je n’y prête pas attention, je me tiens debout face à la baie vitrée, les mains dans le dos.


Moi – maman … J’ai tellement de chose à te dire, sans toi je dépérie à vue d’oeil, même si tu ne ma pas aimé, moi je t’aime toujours, tu sais beaucoup de chose se son produite deuis ton départ …

Des larmes commence à couler le long de mes joues.

Moi – je viens de rentrer au lycée, et j’ai pour ambition de réaliser ton rêve celui de devenir professeur de mathématique, en parlant de professeur de mathématique, je ne t’ai pas dit, mais j’ai enfin trouvé la moitié de mon cœur, comme tu dois t’en douter c’est une femme, elle a 23 ans et elle s’appelle Haruka Tenoh, elle est tellement belle, avec ses cheveux blond court ses yeux fin de couleur émeraude, son côté masculin qui la rend vraiment sublime à mes yeux. Tu sais j’ai réussi à lui dire se que je ressent, et pour mon plus grand bonheur elle éprouve la même chose que moi … Je l’aime et en suis éperdument amoureuse, bien que je ne montre pas se que je ressent je tiens à elle et l’aime plus que tout. Un jour je viendrais me recueillir sur ta tombe et je te montrerais à quoi elle ressemble, elle est ma perle rare, ma moitié et si le temps le veux je veux finir avec elle. Parce ce qu’elle est la femme que j’aime et désir plus que quiconque.

Je ne me retiens plus et cache mon visage laissant libre court à ma peine et mon désaroie. Soudain je sent des bras entourer mon cou, et un souffle chaud caresse ma peau. Je ne me retourne pas je laisse juste mon corps se poser sur celui qui se situer derrière moi.

Je savait parfaitement que c’était Haruka, l’odeur qu’émane sa cheveulure m’enivre. Et je me laisse bercer par les battements rapide de mon cœur.


Haruka – je suis sûr que si elle était la, elle serait fière de toi … Même si nous ne marchons plus à leurs côtés, ils demeur dans nos cœurs, il ne faut pas voir le noir, il faut continuer de vivre et de continuer à avancer pour eux, et cela ne nous empêche pas de leur parler de se confier, j’ai moi aussi perdu ma mère et si j’en suis là aujourd’hui c’est grâce à elle car je voulais qu’elle soit fière de sa fille alors … Maman j’espère que tu te porte bien là où tu te trouve et que tu est heureuse, pour moi tout se passe bien, et j’ai quelques chose à t’avouer tu voies cette jolie jeune fille que je tiens dans mes bras ? Eh bien c’est elle … J’ai enfin trouver mon bout de bonheur, comme tu me le répeter souvent, j’ai trouvé chaussure à mon pied. Je l’aime énormément et suis fortement amoureuse, si le temps est d’accord je compte construir un futur à ses côtés, et j’ai beaucoup de projet en tête pour elle et moi … Voila je voulais que tu sache que ta fille est heureuse que se soit dans sa vie professionnelle que dans sa vie privé, je t’aime maman je ne t’oublierais jamais.
Moi – je t’aime, ne l’oublie pas maman.

Je me tourne doucement, et à la minutes ou mes yeux croisa les siens, j’eue envie de fondre en larme car j’aperçut une petite larme rouler sur sa joue. Je m’approche et vint lui effacer la goutte d’eau, et vint lui prendre les mains et je sentit les siennes me caresser.

Moi – je serait toujours la pour toi et je … Je ne cesserait jamais de t’aimer.
Haruka – moi non plus … Quoiqu’il arrive je serait la pour te rattraper.
Moi – je t’aime Haruka ne l’oublie jamais !
Haruka – moi aussi Michi, et je ne le cesserait jamais.

Elle a doucement prit mon visage entre ses mains, et ma essuyer les joues. Je m’approche, et voulant lui prouver que je suis sincère envers elle, je posa tendrement mes lèvres sur les siennes. J’enroule son dos et me collle doucement à son corps. Ses doigts se mettent à caresser mes joues, et ses lèvres réponde timidement à mon baiser. Je l’aime et je ne le cesserait jamais.

Sachant que nous étions dans le lycée, on se détachent avec regret l’une de l’autre. Nos yeux se caresse, et sa voix se met à résonner dans la pièce :

Haruka – je ne veux pas te perdre … J’en est perdu assez comme sa !
Moi – je ne pourrais jamais te laisser, c’est même mission impossible.

Elle c’est mise à rire, je suis heureuse de lui avoir redonner sourire, je lui saisit le menton, le soulève doucement, et lui dis de ma voix la plus douce.

Moi – car pour moi … Tu es ce que j’ai de plus cher … Mon amour !
Haruka – je suis heureuse de t’avoir rencontré, car je peux enfin être heureuse.

On se sourit, s’embrassent une dernière fois, et nos corps se séparent, ses lèvres touche une dernière fois mon front, elle me fit un clin d’oeil et parti vers son bureau, ou d’un tiroir elle sortie une espèce d’interphone.

Haruka – les élèves de la classe B-5 son prié de se présenter en cour !

Je sourit, souffle un bon coup, essuie mes yeux, et prend place à mon bureau mettant mes lunettes sur mon nez, je commence à sortir mes affaires, et attend que tout le monde arrive. Je lève mes yeux et remarque Haruka en train d’écrire sur le tableau, sûrement la leçon que nous devions faire.

Puis les élèves commence à pénétrer dans la salle, je voie Cléo me sourire, et cette peste d’Emma me lancer un regard noir.

Haruka – bien bonjour à tous, nous n’allons pas commencer de nouvelle leçon, comme l’exposer et cet après midi, je vais vous demander de me faire une page de couverture concernant le sujet que vous avez choisi.

Je lève la main, attendant de me faire intéroger.


Haruka – oui Michiru ?
Moi – professeur ce que vous voulez que l’ont face c’est dessiner c’est sa ?
Haruka – c’est exact, mais attention, je ne veux rien d’injurieux ou rasiste, alors maintant au travaille.

Elle me lance un petit sourire, je lui rendit, et me mit au travail. Je sort mon exposer que je mis dans mon casier sous la table, sort de ma trousse un crayon à papier une gomme et une règle.

Sortant par la suite une feuille blanche moyennement grande, je plie cette dernière en deux, et à l’aide de mon crayon hb je commence à caresser légèrement le papier. Je savait exactement se que je voulais faire.


Quand j’eue terminé de tracer les formes et traits, à l’aide de crayon de couleurs, je vint crayonné tout le haut de la feuille en noir, en respectant les lignes que j’avais tracées. Sa c’est bien un de mes cours favoris, j’aime le dessin sa me libère de toute pression tout comme l’écriture.

Une fois la feuille colorié, je prend un feutre fin argenté et repasse les écritures que j’avais faite, tout en haut de la feuille, j’avais inscrit en lettre majuscule « Liberté d’expression » par la suite je repasse avec cette même couleur les sigles que j’avais fait. A gauche représenté deux sigles féminin d’écrivant l’amour entre femmes, à droite deux sigles masculin pour l’amour entre homme et juste en bas un sigle masculin et féminin pour montrer l’amour entre un homme et une femme.


Je prend mon temps pour bien le faire. Et à l’aide d’un feutre couleur or, je fait le contour du cœur que j’avais relier avec ses cigles. Je sent une préscence dans mon dos, se devait être Haruka qui vérifié notre travaille. Je colorie l’intérieur des cigles en argenter, et l’intérieur du cœur je le fit au rose pâle.

Enfin fini, je rajoute quelques derniers détails, marque mon nom et prénom en bas à droite de la feuille.


Haruka – c’est parfait.

Elle passe à mes côté et sa main frôle mon bras. Je sourit, la regarde quelques instant, et vint continuer mon travaille. Cette fois c’est l’autre côté de la feuille que je fit exactement pareil sauf que j’inversa les cigles pour qu’ils se retrouvent oposé, comme si ont tourné une page d’une couverture, on voie le dessin original devant et on peut parfois voir la suite derrière mais inverser. Quand ce fut terminé, je prend mon exposer, classe les feuilles dans l’ordre et les posent sur la couverture. Avec l’aide précieuse de mon compas je trace trois petit cercles sur la tranche de ma couverture. Après avec un cuter je vint découper soigneusement les cercles, et à l’aide d’un ruban fin argenter que Cléo m’avait passer pour que je m’attache les cheveux avec je passa ce ruban dans les troues de mon dossier avec les cercles de la couverture. Quand je réussi ma tâche, je met maintenant ce que l’ont pouvais appeler un livre entre mes jambes et vint faire un nœud pour fixer le tout, je coupe les ficelles trop longue, et posa enfin mon dossier sur la table, rangeant mes outils dans ma trousse, et retirant les épluchures de gomme les mettant dans une poubelle qui se situer derrière moi.

Quand enfin midi sonna, chaque élèves se lèvent, et remet le dossier à Haruka, se que je fit aussi. Je me dirige vers un tableau ou un tableau était dessiné, le titre « Délégué principal » afficher en haut. Je prend un stylo, et vint marquer mon nom dans l’une des cases.


Moi – bonne appétit professeur.

Elle ma tendrement sourit, et je suis parti direction le self. Arrivé au réfectoir, Cléo m’aida pour mon plateau, et ont se prit une table pour deux.

Cléo – alors sa va mieux ?
Moi – oui un peut, merci, et j’ai quelques chose à te dire !
Cléo – oui quoi donc ?
Moi – tu est ma meilleure amie, et je ne vais pas te le cacher plus longtemps mais … Nous sommes ensemble !
Cléo – le professeur et toi ?
Moi – oui.
Cléo – mais c’est supère sa, et depuis quand ?
Moi – sa va faire tout juste deux semaines.
Cléo – je suis supère contente pour toi, que sa dure !
Moi – merci Cléo.

On se sourit, et nous continuâmes à manger. Quand 12h55 arriva, avec l’aide de Cléo j’allai débarasser mon plateau, mais au moment ou je passa prêt de la table d’Emma cette dernière me fit un croche patte et je tombe sur le sol.

Emma – ah ah bien fait espèce de salope.
? - eh mais sa va pas, tes conne toi pff.
Moi – merci !

Le garçon qui ma gentiment aidé à me relever me rend les béquilles, je lui sourit, et reprit mon chemin vers Cléio qui poussé des jurons à cette tâche.

Cléo – pff, elle commence vraiment à m’enerver !!
Moi – laisse tomber sa sert à rien.

Je lui sourit, et me frotte le menton car j’ai quand même eu mal quand je suis tombé. Puis 13 heures sonna et c’est avec une boule au ventre que je rejoint ma salle de cour, car je devais parler de mon exposer, et déjà que sa me stresser assez comme sa.

Une fois arrivé en salle de cour, je me dirige vers le bureau d’Haruka et voie que toute la classe à changé, beaucoup de chaises qui se trouvés devant se retrouve à l’arrière. Je lève mes yeux et remarque ma jolie blonde assise sur l’une de ses chaises, je lui sourit tendrement et demande :


Moi – professeur ?
Haruka – oui Michiru ?
Moi – on peut reprendre nos dossiers ?
Haruka - oui allez-y.
Cléo – merci !

Je prend mon dossier et alla à ma table chercher mes lunettes, mon dieu j’ai hâte de quitter ses béquilles. Puis enfin tout le monde entra en classe, je prend place sur ma chaise, et Haruka se dirige vers son bureau.

Haruka – bien puisque tout le monde est là, nous allons pouvoir passer au chose sérieuse, je vais annoncer vos noms pour votre exposé alors … Le premier à passer sera Chardon, puis Tran Guilard Umbrunl, Jolie …

Quel chance je suis la dernière. Haruka remonte et reprend place sur sa chaise, elle tourne sa tête vers moi, et me lance un petit sourire, je lui rendit doucement, et enfin les présentations pour les exposers pue commencer. Mélanie a parler de la crise économique, Dilan des voie de disparition des animaux, cette peste à parler des vêtements se que je trouve ridicule au passage. Cléo a pour sujet la maltraitance des enfants, celui-ci ma particulièrement touché.

Puis enfin ce fut mon tour, j’avale ma salive, et me dirige vers le centre de la pièce juste devant le bureau d’Haruka. Je place mes lunette sur mon nez et cale mes béquilles contre le bureau.


Haruka – très bien nous t’écoutons Michiru !

Je lui sourit, et vint ouvrir mon dossier, j’apercoit un petit mot sur la couverture « courage ma chérie je c’est que tu peux le faire » je lève mes yeux surprise mais heureuse, et Haruka me fit un petit clin d’oeil.

Moi – pour cette exposé j’ai décidé de parler de la liberter d’expression, le titre qui me semblais le plus aproprier pour ce sujet est parlons librement d’amour, avant toute chose, pour vous c’est quoi « l’amour »
Haruka – Mélanie !
Mélanie – c’est des sentiments fort que l’ont éprouve pour une personne.
Haruka – Dilan !
Dilan – c’est éprouver de la tendresse et du désir.
Moi - très bien, c’est très intéressant, mais il faut savoir une chose... c’est que malgré les differences, chacun d’entres nous ici à le droit d’en bénéficié, que ce soit entre deux hommes , deux femmes, ou bien alors entre un homme et une femme.

Je voie Haruka me sourire, je continue de lire mon texte en articulant et argumentant.

Moi - il faut savoir aussi, que l’amour est important, que malgré les choix, les décéptions, ce sentiment qui vous procure une sensation de bonheur, est toujours la pour vous aidé dans la vie de tout les jours. maintenant je vais prendre un exemple, deux jeunes filles qui sont ensemble aurons beaucoup plus de facilité à ce dire les choses, car le plus souvent, ont peut constater que dans un couple tout à fait ordinaire, il y a quelques petites tensions, la femme se demandera le plus souvent, si elle peut se confier sans que son conjoint ne se mette en colère, et vis versa. pour ce qui est des garçons, ils ne pourrons pas voir la chose de cette façon, puisque un couple formé de deux hommes, sera aussi une épreuve... Ils chercherons mutuellement, à savoir si les sentiments éprouvés sont réel et sincère, mais le ressentit est tout à fait le même qu’un amour partagé entre un homme et une femme. Parlons librement d’amour, devrais nous aider, à combattre nos peurs, nos questions les plus intime, et même le vide que nous pouvons ressentir. alors... Peut importe la situation quand il s’agi d’amour l’important avant tout, c’est de pouvoir donner à l’être aimé ce que nous ressentons au plus profond de notre cœur, car un couple d’homme ou bien de femme, ne doit pas être vue comme un crime, mais plutot comme un couple tout se qu’il y a de plus normal, sa aura beau choquer beaucoup de monde, mais l’amour ressentit de cette manière est tout à fait légitime. Pour ma part, je dirais que ce sentiment, est une douce caresse qui nous éfleur du bout du doigts mais qui nous fait en même temps agoniser, il n’est pas à prendre à la légère car comme nous, il est tout aussi fragile que du cristal, tout comme les sentiments que l’ont peut ressentir.

Il n’y avait aucun bruit, tous me regarder, et cela me gênais beaucoup.

Emma – pff tes pitoyable ma pauvre fille, comment oses tu parler de ce genre de chose, c’est immonde, tu devrait avoir honte de tes propos, tes répugnante il faut vraiment que les gens face attention à toi, tes une mauvaise fréquentation, et une femme est faite pour aller avec un homme et pas autrement, les gens qui son comme sa sont dégoutant, ils devrait être puni pour ce crime. Va en enfer tu n’apporte que le malheur.
Haruka – sa suffit !!!!!!

Je voie Haruka se diriger vers Emma que je maudissait à ce moment, elle lui prend le bras et la poussa jusqu’en bas.

Haruka – j’en est vraiment plus qsu’assez de toi et de tes propos, ne peut tu pas laisser les autres tranquille ? Je ne te veux plus en cour, et je préviendrait tes parents pour un conseil de disipline.
Emma – mais non alors professeur, c’est dégoutant !!
Haruka – se qui est dégoutant ici c’est les propos que tu tiens à tes camarades et à ton professeur. Donc mademoiselle Umbrunl accompagné cette jeune éfronté chez le directeur.
Cléo – bien professeur.

Et elles partirent toutes deux. Puis un claquement se fit entendre, je me tourne et me reconnecte à la planette terre, et aperçu Dilan en train d’applaudir.

Dilan – je ne sais pas vous, mais moi je trouve que c’était un bel exposer et très intéressant.
Mélanie – bravo Michiru ta était supère !!
Quentin – c’était génial, tu viens de nous démontrer d’une belle façon que l’homme est libre de ses choix.
Moi – merci c’est … c’est gentil.
Haruka – c’était parfait Michiru, tu as bien travaillé.

Tous me complimenter, mais seul ses compliments à elle me fait le plus plaisir. La journée c’est suivit tranquillement, et j’ai réussi à me faire intégrer par la bande de Mélanie. Et pour combler ce bonheur Haruka m’avait féliciter à plusieurs reprise, vraiment je suis très heureuse.


Eh voila le chapitre 4, qui est très long je l’avoue, mais sa me fait tellement plaisir d’écrire cette histoire que j’ai du mal à m’arrêter ^^ et merci à inlove pour ses commentaires :)
Sam 19 Oct 2013, 16:07 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

La photo recollée

Ce photographe, le , balade ses pieds un peu partout, le nez en l’air, scrutant autour, une belle chose à son regard.

Sa sensibilité ainsi promenée, s’ouvre au monde qui l’entoure, quand d’un coup d’oeil il aperçoit, la scène qui lui va.

Comme un félin qui voit sa proie, il stoppe net ses pas, prend position en armant bien, son appareil à l’oeil droit.

Quelques réglages, par-ci par-là, encore un clic, c’est bon ça va !

Ce photographe est bien content, d’avoir usé de son talent.
Il rentre heureux de sa passion, heureux d’avoir figé le temps.

Tandis qu’ailleurs, non loin de là, son amoureuse attend un peu, sensible à l’art de son aimé, elle voudrait qu’il l’aime autant.

Ce sentiment d’être une photo trop regardée, qu’on ne voit plus, habitué, mais qui est là, mal encadrée.

Une photo un peu abîmée, qui a déjà été recollée.
On y voit bien les déchirures, ça n’est vraiment pas reluisant,
alors comme c’est insupportable, on pense vraiment à la jeter.

De toute façon, on le savait, elle était mal rassemblée.
On voyait bien sous l’adhésif, que ça avait été vite fait.
On a voulu la réparer mais les bouts sont mal rapprochés.

Le photographe en la voyant, pleurait tout le temps,
et l’amoureuse en y passant, pleurait tout le temps.

Trop de pleurs pour une photo, le photographe décida donc
Que cette image si déchiquetée devait maintenant s’envoler.
Avec une larme il l’arracha, son amoureuse n’était plus là.

Quel soulagement de ne plus voir, ces déchirures sur la photo,
Une belle photo à son départ, mais on ne voyait que les fissures.

Et maintenant on ne voit plus rien, c’est un peu vide à cet endroit,
Il n’y a plus les déchirures, mais plus non plus le doux visage.


« Ce n’est pas grave » dit le photographe à son amoureuse, « tu sais mon coeur on en fera une autre ».
« Ce ne sera pas la même » répondit-elle.
« Tant mieux » dit-il, « elle sera mieux parce que dessus on sera deux ».
Mer 07 Mars 2012, 19:40 par ungraindesand sur L'amour en vrac

Anniversaire

Chaque année, à la même date, je me lève insouciante sans vraiment y penser. La journée passe sans rien d’exceptionnel, une journée habituelle. Bonne ou mauvaise selon les années… Mais quand vient le soir, marchant dans les rues, les groupes installés ça et là dans la ville, les guitares qui crient, les mélodies qui montent… Tout me ramène des années en arrière. En apparence, rien n’a changé, je m’amuse, entourée de mes amis… C’est la fête de la musique… Mais en réalité au fond de moi, ça me travaille, je ne suis pas tout à fait moi-même. En fait, je suis moi il y a des années. Moi, à quinze ans, passant une soirée insouciante et heureuse la veille d’une déchirure, séparation entre lui et moi. Lui et moi, il y a très longtemps. Mais je tente de ne rien laisser paraître. Je cherche du regard au milieu de la foule les vieilles connaissances, j’essaye de paraître naturelle, mais rien n’y fait, mon cœur bât plus vite que la normale et c’est un sentiment partagé qui grandit en moi. Nostalgie et tristesse. Je suis renvoyé dans mon passé automatiquement, comme si un fantôme me guettait chaque vingt et un juin et m’attirait dans ses filets. Les souvenirs remontent, les souvenirs me font sourire, les souvenirs me font douter,… Tout se mélange… Présent et passé. Un présent différent si je l’avais voulu, mais est-ce que je le veux vraiment? Une séparation et tout se bouscule dans nos vies, dans nos cœurs… Une époque passe, une nouvelle apparaît. Comme deux mondes distincts. Je ne veux pas renier mon passé, ni changer le présent… Ce jour-là est une porte qui me permet de voyager à travers cet autre époque que j’ai de plus en plus de mal à me rappeler, comme si elle n’avait jamais existé. Je n’y pense jamais tout au long de l’année. Mais ce jour-là reste important, comme un clin d’œil du passé. Je fête ce jour comme une commémoration intérieure et de ce que ça aurait pu être… Aujourd’hui, c’est la fête de la musique: Anniversaire de la mort d’une partie de moi-même…
Ven 27 Mai 2011, 13:23 par Tenshi sur L'amour en vrac

Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i

Le mythe amoureux

Un jour de l’an 1992 dans une colonie, un enfant de 10 ans se fit transpercer par une flèche de Cupidon. Ce gamin ailé plongea notre héros dans un amour platonique pour une fille de sa campagne natale durant 15 ans.

Le regard de cette fille lui parlait, il lui semblait qu’il la connaissait dans une autre vie. Il aimait son sourire et souvent son regard croisait le sien tendrement lorsqu’ils avaient l’occasion d’être ensemble. Ces occasions n’étaient jamais créées par lui mais par d’autres facteurs qui faisaient qu’obligatoirement, ils devaient se retrouver au même endroit. Notre héros les a interprétés pendant longtemps comme des signes de l’univers infini. Il essaya bien quelque fois de l’aborder mais maladroitement,

Dès lors, il construisit un mythe autour de cette fille. C’était elle ou rien. Il repoussa plusieurs avances d’autres filles ne voulant pas trahir celle qu’il aimait. Il l’aima secrètement sans jamais rien lui dire, hormis quelques lettres et quelques paroles. Parfois, il l’oubliait mais dès qu’il la revoyait son cœur se mettait à accélérer, des malaises l’envahissaient, il voulait se cacher. Elle lui faisait un effet incroyable. Elle a été pendant de très longues années son seul modelé féminin, elle était présente jusque dans ses rêves même si ce n’était pas d’elle qu’il s’agissait.
Un beau jour, sous conseil d’un ami, il lui déclara son amour dans une grande lettre.

Voici un extrait de cette lettre :

Juin 2004

"Chère X,
J’ai enfin trouvé le courage de t’écrire. C’est grâce aussi à notre ami en commun avec qui j’ai fait un magnifique voyage. Durant ce voyage, lors d’une nuit à la belle étoile, nous avons eu une riche discussion sur le sens de la vie, les grandes questions et l’Amour. Sur ce troisième sujet, nous en sommes venus tout naturellement à toi et je lui ai dit ce que j’éprouvais pour toi. En entendant cela, il m’a dit comme d’autre avant lui : "Tente Ta Chance". Ces mots venant de la bouche d’une personne te connaissant bien m’ont donné la force de t’écrire ces mots.
Tu sais bien, enfin je l’espère, que tu ne m’as jamais été indifférente,
Le jour ou Cupidon m’a transpercé le cœur , je n’ai jamais cessé de penser à toi. Chaque semaine, j’attendais avec impatience nos activités communes pour te voir. Je t’aime X, ma timidité envers toi m’a toujours empêché de t’aborder face à face voilà que maintenant c’est fait par écrit. Je voudrais partager de grandes soirées en tête à tête avec toi, tout connaître de toi, tout partager avec toi. Si j’ai envoyé cette lettre manuscrite par la poste au temps de l’internet, ce que je me suis dit qu’elle serait plus personnelle qu’un e-mail.
Cela m’a fait plaisir de pouvoir enfin te dévoiler mon amour pour toi et de passer un moment avec toi.

"Loin des yeux, près du cœur"

Dans l’attente de te lire, je te souhaite un agréable séjour à l’autre bout du monde et que tout se passe le mieux pour toi." Notre héros qui t’aime !

Quelques mois, plus tard, en même temps que la lettre d’une monitrice, il recevait une réponse à sa déclaration d’amour qu’il interpréta comme une promesse de mariage. Le mythe reprit de plus belle et en plus qu’elle était à l’autre bout du monde et ne devait revenir que d’ici plusieurs mois. Il pensa tous les jours à elle. Il était dans un grand dilemme avec cet autre coup de foudre survenu suite à l’envoi de cette lettre à son amie d’enfance. Elle était sa raison de vivre, enfin de compte une copine imaginaire. Il croyait être en couple mais il était seul. Il se réjouissait de lui offrir sa virginité. Il avait déjà réfléchi au nom de leur premier enfant. Il avait fait des projets de vie mais tout seul, avec comme seule compagnie marie-jeanne et son imaginaire. Une relation à une seule personne. Elle ne savait rien de tout cela. Il ne connaissait pas la vie de couple. Il était amoureux de cette fille. Il remplira trois cahiers en attendant son retour à cause de cette fameuse lettre, parfois avec le recul, il se dira et si il l’avais jamais envoyée, est-ce qui il y aurait eu la rencontre avec la monitrice? puis tous ses signes et ces deux amours qui se sont croisés pendant six mois. Toutes ces prières, ces vœux aux étoiles filantes, ces vœux lors du jet d’une pièce dans un bassin d’eau, tout cet amour inconditionnel donné pour rien. Il était persuadé que ce jour d’octobre 92 , le dieu grec de l’amour avait choisi son destin et que rien ne pourrait y changer.

Quand elle revint au pays natal, ils se virent et il lui demanda : Alors nous sommes en couple? et elle lui répondit : ma réponse n’était pas claire? Nous sommes de véritables amis. Il lui répondit par un signe de tête et ils allèrent fumer un pétard. Ce soir là, il fut élu au conseil communal de son village natal. Le lendemain, il se prit une cuite magistrale. Il était au fond du trou...mais la lecture du Manuel du Guerrier de la Lumière l’a aidé à passer ce cap. Notre héros avait remplis trois cahier intimes de projection dans le futur avec son amour platonique.

Ovide était son Maître.

Quelques années passèrent et ils reprirent contact. Il la voyait souvent. Il avait de grandes discussions avec elle. Il a passé plusieurs soirées en sa compagnie. Tous ses actes amicaux n’ont fait que raviver cette vielle flamme qui brûlait encore secrètement en lui. Jusqu’au soir, ou il craqua en présence d’un témoin important à ses yeux dans cette histoire d’amour créée par notre héros. Il lui reprocha que c’était à cause d’elle qu’il n’avait jamais eu de copine ce dont elle n’était pas coupable. Et que tant qu’elle n’était pas mariée, il n’abandonnerait pas l’affaire. Il la blessa, la fit pleurer.

Le lendemain, il reçut une lettre d’elle. Il devait choisir entre son amitié ou plus rien du tout. Cette rencontre en tête à tête avec elle devait vraiment mettre fin à toute ambiguïté. Elle serait une amie et rien d’autre. Il choisit son amitié maintenant qu’ils avaient eu de grandes discussion ensemble, qu’il la connaissait mieux, plus intimement ,qu’il allaient voyager ensemble en terre inconnue. Il se fit une nouvelle raison qu’elle ne voulait pas de lui en tant que mari mais en tant que véritable ami. Il était trop petit.

Ces quinze années furent quand même traversées par quelques autres aventures amoureuses comme vous allez pouvoir le lire.

Première copine

A l’âge de 15 ans, il sortit pendant quatre jours avec une fille du pied de la montagne. Ils se rencontrèrent dans un bal de campagne. Ils se firent des sourires, dansèrent ensemble, se rapprochèrent, se tinrent par les mains, et puis ils s’embrassèrent. Il fit son premier baiser dans un giron de jeunesse. C’est durant cette soirée qu’il goûtât pour la première fois aux lèvres d’une autre personne. C’était bon ! Enfin son tour arrivait, en plus ce soir, il y avait beaucoup de monde que notre héros connaissait. C’était ses premières galoches, encore débutantes, bien baveuses. Ils s’embrassèrent toute la nuit. Elle devait rentrer plus tôt, alors il la raccompagna jusqu’à chez elle. Elle lui proposa d’aller dans les champs mais il pleuvait des cordes. Ils se revirent le lendemain. Elle l’avait invité chez elle. Ils allèrent dans sa chambre sur son lit et il toucha pour la première fois une poitrine, pellotta ses seins adolescent, elle avait un soutien-gorge noire, caressa un corps féminin et avec un arrière son de rap français, il l’embrassa encore, la caressa mais tout en laissant leurs habits. L’odeur de son parfum le rendait fou comme tous les futurs parfums de ses amantes. Quelques jours plus tard, ils avaient rendez-vous à la piscine. Ce jour là,elle arriva en pleurs vers lui et lui dit que c’était finis, sans aucune explication. Il était arabe.

Masturbation

Notre petit arabe ne connait aucune pratique sexuelle hormis celle de la masturbation. La première fois qu’il s’est branlé, c’était chez son meilleur pote d’enfance. Ils regardaient un film porno et son pote lui expliqua qu’il allait se branler. Il fit de même. Il éjacula pour la première fois et vis à quoi ressemblait du sperme. Il ne fit pas des jets comme son pote mais le sperme sorti en gros flots en coulant. Il avait 14 ans. Une autre fois, vers l’âge de 15 ans, il avait lu toute la soirée chez un pote des revues pornographique et il avait adoré. Son sexe avait été en érection toute la soirée. En rentrant chez lui, il s’était branlé avec comme seul outil sa main et son imaginaire. Il découvrit son premier orgasme. Ils se branlaient aussi entre potes en regardant un film de cul. Notre héros adorait la littérature érotique et pornographique plus que les films. Il se branlait parfois jusqu’à six fois par jour. Il s’eut branlé dans des lieux insolites comme dans un avion, dans le train, dans un dortoir façon ninja, et attendre près d’une demi-heure avant d’éjaculer, ou encore il a découvert d’autres zones érogènes comme ses tétons, ou l’anus, cela lui est arrivé parfois de se mettre l’index dans le cul. Il a jouit plusieurs fois comme cela. Il essaiera la branlette façon allume-feu, en tournant le sexe entre ses deux paumes. Il se blessa aussi plusieurs fois le sexe. Il se branlera aussi sous la douche, dans le bain. Tantôt avec une main, tantôt avec l’autre, parfois avec deux doigts, il suffisait d’être un peu imaginatif ! En utilisant des capotes, enfin quand vous n’avez pas de copine jusqu’à l’âge de 29 ans et que vous êtes attirés par la chose, vous pouvez toujours avoir recours à comme il l’appelait l’auto-sexe. Il n’est jamais arrivé à se faire une auto-fellation. Un plaisir mais un plaisir tout de même. C’est comme cela que chaque soir avant d’aller se coucher la branlette est chez lui un rituel. Cela lui permet de sortie l’énergie vitale de son sexe. Cet élixir de vie qui une fois sortis de son corps le plonge illico presto dans les bras de Morphée.

Lycée

La période du lycée fut pour lui la découverte de la ville, du cannabis, ainsi que des nouvelles technologies. Durant son lycée, il se lia d’amitié avec une fille de sa classe qui devint sa confidente et à qui il racontait tout. Durant ces quatre années, plusieurs filles traversèrent son esprit, mais il ne les invita jamais, ne leur proposa jamais rien à faire. Il était dans un lycée de bourgeois et fréquentait quasi que des personnes du milieux hiphop. Il y eut deux fille CE et CA. Notre héros et sa confidente avaient un langage secret afin de pouvoir parler normalement des gens les entourant sans avoir à les nommer. Elles étaient toutes les deux différentes, une noiraude et l’autre blonde. Durant cette période pleins de filles, lui avaient tendu des perches mais il avait feint de ne pas les voir. Des filles de couleurs et des filles avec des formes généreuse se sont aussi intéressées à lui plusieurs fois. Elles ne lui plaisaient pas physiquement ou bien le pire elles devenaient belles une fois qu’un autre était avec. Notre héros était encore dans son délire d’amour platonique. Il fallait vraiment un phénomène pour le faire passer à l’action.

CE était dans sa classe, mais il la remarqua qu’avec l’arrivée du printemps. Elle portait une jupe de tennis avec des baskets. La vue de ses jambes et de son corps lui avait fait découvrir une magnifique plante qui était assise juste derrière lui en classe. Elle avait de la classe. Elle sentait bon. Elle avait un regard qui lui parlait. Elle aimait un tube de rap, ce qui fit que notre b.boys puis lui prêter le skeud de ce groupe. Ils se fréquentèrent en classe.Puis lors de leur voyage d’études. notre petit arabe tenta une approche. Ils dansèrent ensemble chaudement. Ce soir là, il aurait du conclure mais au moment où ils se retrouvèrent tous les deux seuls dans la chambre. On vint les appeler pour aller aider à chercher une camarde de classe qui avait disparu. Et puis, ils échangèrent leurs numéros, ils se revirent plusieurs fois en boîte mais notre héros n’osa jamais la rapprocher comme il l’avait fait dans ce pays étranger.

Il rencontra CA sur un chat. Elle était blonde- Elle avait de magnifique yeux bleus. Elle venait de l’île de cuba et avait une touche scandinave. Une magnifique beauté sortie d’un fjord norvégien. Elle représentait son idéal féminin en chaire et en os. La première fois qu’il la vit s’était de dos, elle était en train de se servir un verre d’eau quand elle s’est retournée pour le boire. La vue de son visage l’avait marqué. Le soir même en chattant, il tomba sur elle et le plus surprenant et qu’ils étaient dans le même cours de gymnastique. Le hasard faisait bien les choses, elle lui donna plusieurs fois rendez-vous mais il n y alla pas et puis un beau jour à une pause. Il la vit embrasser un autre type...elle le remarqua, elle le regarda avec gêne en lui faisant comprendre d’être moins timide et plus rapide. La vue de ce baiser et ce regard lui firent effet d’un coup de poignard. Il était fils d’ouvrier.

La colonie

Une autre rencontre traversa ces quinze années, il s’agissait d’une jolie monitrice lors d’un camp de break-dance. Il croyait de nouveau que Cupidon l’avait touché sur le quai de la gare en récupérant les gosses. Quelques jours avant la rencontre avec la monitrice, il avait envoyé la lettre dont vous trouvez l’extrait plus haut.

Elle était jolie. Elle sentait bon. Elle était bronzée. Elle avait des yeux verts et des cheveux courts. Elle portait un pendentif en forme de cœur. Elle jouait de la musique. Elle pratiquait un sport. Elle dansait. Elle prenait soin d’elle. Elle avait un doux regard et avait le rôle d’infirmière durant le camp. La joie et la surprise quand il apprit qu’ils devraient partager la même chambre. Il devint son colocataire préféré. Il la respecta. Elle le motiva à commencer la politique. Il venait de fonder une association.
Ils partagèrent beaucoup d’affection ensemble. C’était la première fois qu’il recevait autant de câlins, de caresses, de massages, des bisous et d’attention d’une femme. Elle croisait ses jambes autour de lui. Il découvrit toutes ces douceurs. Il était aux anges. Le soir, il espérait qu’elle n’arriva pas à dormir afin qu’ils puissent parler ensemble. Ils discutérent et partagèrent beaucoup de choses personnelles et intimes concernant leurs familles respectives. Elle l avait motivé à aretter de fumer la clope, et aussi de se raser plus souvent, de prendre plus soin de lui. Il lui fit une petite déclaration d’amour un matin avant de partir pour les activités. Elle refusa sa demande. Il n’était pas le b-boy dominant du camp.

Après ce camp, en même temps que la réponse de son amour mythique, il reçut aussi une lettre de la monitrice qui lui disait qu’elle pensait qu’ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre. C’était incroyable ! Il n y avait jamais rien eu, et il recevait tout d’un coup, le même jour, deux lettres en même temps. Il commença une correspondance manuscrite avec la monitrice. Son affection lui manquait beaucoup. Ces échanges de lettres lui procuraient du plaisir. Il avait l’impression d’avoir une copine. Un échange avait lieu. Ils gardèrent contact durant une année jusqu’à ce qu’ils refassent ensemble une colonie. Cette expérience fut toute différente de celle de l’année précédente. Il voulut tomber amoureux d’une autre monitrice. Il n’eut plus de nouvelle de sa colocatrice adorée.


Rapport avec le sexe opposé.

Notre héros avait peur des femmes. Une peur qui se traduisait par un estomac noué, une incapacité de manger, des malaises, des vomissements, des angoisses, une paralysie. Il était extrêmement timide. Des souvenirs enfouis dans son enfance quand il avait reçu des claques, des refus pour sa taille, un coup de pied dans l’œil, un coup de ciseaux, des refus pour sa couleur de peaux en provenance de petites filles. Il préférait demander l’heure à un voyou avec un pit-bull qu’à une jolie demoiselle. Il était incapable de téléphoner à une fille sans avoir fait tout un rituel avant de s’y décider. Il avait une peur totale de la femme. Il avait un manque de confiance face à la gent féminine. Son inconscient criait danger. Cette peur de l’inconnu le clouait sur le port et il n’osait pas prendre le large

Il avait eu parfois des discussions avec des filles. Il les écoutait mais il ne parlait pas de lui. De ce fait, elles n’avaient aucune raison de s’intéresser à notre héros et il restait le gentil ami. Il communiquait très peu de choses sur sa personne. Il était réservé et froid. Il était un homme d’écoute.

De plus, n’ayant jamais eu de sœurs ou de copine très proche. Il n’avait pas la connaissance de l’âme féminine. Il n’avait côtoyé que sa maman mais elle devait s’occuper de trois autres hommes aussi.

Son style.

Il était un mélange de deux continents. Les chromosomes de son père africain avaient pris le dessus. Il ressemblait à un arabe. Il mesurait un mètre cinquante-neuf, pour une cinquantaine de kilos.
Il était un partisan de la culture hip-hop. Il ne s’était jamais trop préoccupé de son style. Il transpirait le hip hop. Sa tenue vestimentaire préférée était un haut de training, un jeans, des baskets et une casquette. Il avait plus le style d’un gars d’en bas que celui d’un gars d’en haut. Il était porteur de lunettes. Il avait les cheveux noirs bouclés. Il portait souvent une barbe de trois jours et mettait parfois quelques gouttes de parfums. Il ferait un effort quand il serait en couple.

Il aimait les belle femmes, plus grandes que lui, avec une préférence pour les blondes, aux yeux clairs mais il pouvait tomber passionnément amoureux pour n’importe quelle femme. Il aimait ce qu’il choisissait.

Son sourire est son plus bel atout, il en a fait craquer plus d’une !



Conclusion de la première partie

Ces femmes lui avaient donné force d’entrer dans l’arène politique. Elles avaient donné à notre héros le courage de continuer à se battre pour son association. Elles lui avaient permis d’apprendre à donner de sa personne avec passion sans s’attendre à quelque chose d’elles en retour. Il avait appris le sens du sacrifice et de l’abstinence.

Elles étaient mises sur un piédestal. Il les avait aimées. Ces femmes lui avaient permis de créer des discours et d’organiser des évènements réunissant jusqu’à trois cents personnes par amour pour tous les êtres humains et de continuer à dévoiler ses messages de Paix, d’Amour et d’Unité. Elles lui avaient donné le courage de traverser des terrains inconnus, de rencontrer des gens d’autres cultures et d’exercer son écriture dans ses innombrables cahiers. Il croyait trop à la mythologie grecque.

Ces quinze ans de vie écrites sur papier lui permettait maintenant de faire une croix sur ce passé et d’aller de l’avant, de découvrir le Sexe et de ne plus s’en priver même sans Amour.
Mar 17 Mai 2011, 14:32 par Jeaneck sur La vie à deux

Triste novembre...

Nous avions rendez vous à Alma Marceau, pour aller ensemble visiter une exposition au Musée d’Art Moderne de Paris (*). J’étais très en avance et m’étais installé dans une brasserie ; tu es arrivée derrière moi, ravissante et divine surprise. J’ai plus savouré ton regard que le vin chaud que j’avais pris pour effacer un peu la pluie froide qui tombait. Nous avons bavardé… tes soucis professionnels, mes prochains déplacements. Cela aurait pu paraitre banalités, mais la douceur de tes yeux m’aurait bien fait prolonger ce moment de partage à l’infini…
Quelques centaines de mètres le long de l’avenue du Président Wilson. Le trajet me parut si court malgré la pluie : tenir ta main dans la mienne et glisser un baiser furtif dans ton cou auraient mérité plus de temps… Encore tenir ta main pour monter les quelques marches, puis la lâcher quand l’assistance se fit plus dense…

Nous passons brutalement de cette obscurité froide, mais si douce en ta présence, à cette entrée immense, surchauffée et éclatante de lumière. Le temps de recevoir un plan de l’exposition, et nous voilà parti dans l’exploration de la vie de cet artiste … que nous découvrons ensemble.

Dès les premiers tableaux (le terme de toile serait parfois inadapté), je ressens une sorte de malaise intérieur devant le caractère torturé de l’œuvre. L’hôtesse qui accompagne notre petit groupe commente la vie de cet artiste, qui fut placée sous le signe des drogues dures. J’ai pourtant du mal à « entrer » dans le sujet. Pourquoi ces corps torturés, quand le corps exprime pour moi chaleur et douceur ? Pourquoi cette morbidité qui se dégage, quand le corps doit exprimer la vie ?

J’essaie au moins de profiter de ta présence, faute de bien comprendre le sens de cette œuvre titanesque par le nombre de tableaux qu’il a produit. Et je commence le plus doux jeu que je puisse imaginer malgré ces quelques dizaines de spectateurs inconnus : croiser ton regard, glisser ma main dans la tienne, ou voler un baiser dans ton cou sans attirer l’attention…

Parfois, la chaleur des couleurs d’une toile vient trancher un peu avec la noirceur générale qui imprègne l’œuvre. Je quitte alors ton regard pour plonger le mien dans cette peinture. Mais bien souvent, le sort réservé aux corps humains par cet artiste semble tout droit sorti de l’écorché d’un traité d’anatomie, et me ramène ainsi à ce malaise qui ne me lâche plus. J’ai du mal à comprendre ces corps mutilés, cette souffrance qui sort de l’œuvre.

Le labyrinthe chronologique des œuvres s’achève… 1988 ; 28 ans donc pour cet artiste torturé qui se détruisit par les drogues et mourut . Un frisson parcourut mon dos… J’aurais presque pu reprendre à mon compte la phrase biblique de Siméon « Un glaive te transpercera le cœur ».

Sur le chemin du retour, j’ai voulu renouer avec la douceur : je t’ai prise dans mes bras, j’ai fait de mes baisers un collier pour goûter à la douceur de ton cou. Mais je t’ai sentie si distante, je n’ai pas insisté… Nous avons à peine échangé quelques banalités pendant le trajet en voiture, alors que j’avais tant à te dire. Un petit geste d’adieu en te déposant au pied de ton immeuble, et me voilà de retour dans cette obscurité froide et humide, un peu à l’image de mon âme...

Triste Novembre, qui m’aura arraché tout ce qui me réconfortait, tout ce qui me rassurait, tout ce que j’avais de plus précieux.


(*) Exposition Basquiat, jusqu’au 30 janvier 2011 pour ceux qui apprécient...
Mar 23 Nov 2010, 09:05 par piertiteuf sur L'amour en vrac

Chaos

un nouveau lundi se lève, sous le grisou d’octobre ..

y’a du gris dans le ciel, du gris dans la vie, du gris dans les coeurs ..

mais pas du gris pastel, non, un gris acier tout froid.

Et puis on se dit que c’est pas ou plus la peine, que rien n’est assez fiable pour qu’on y croit encore ..

on attend, c’est inexorable, un miracle ou n’importe quoi qui y ressemblerait..

on se pose la question de savoir ce qui est important, et on regarde son relevé bancaire ...

à découvert ? on s’en fout, on est habitué ..

on regarde alors son le contenu du frigidaire : pas grand chose d’appétissant, on s’en fout aussi, il manque justement l’appétit pour le remplir à nouveau ..

et puis on regarde derrière, et on détourne vite le regard, la boite à souvenirs n’est pas encore suffisamment rangée ..

on jette un oeil en avant, et ça fait peur, tout ce vide qui nous attend :

tous ces soirs à s’endormir seuls, ces matins à s’éveiller seuls, ces ptitdèj’ en face en face avec soi-même, cette douche où machinalement on se lave seul, nos pas que personne n’accompagne plus, nos mains qui ne savent plus la douceur d’une autre main, nos pupilles délavées de tant pleurer sur le néant qu’elles sont condamnées à fixer, toutes ces télécommandes de vie qu’on actionne seul, ces bouquins qu’on ne raconte plus, cette musique qu’on finit par écouter dans un casque, en , ces balades qu’on ne veut plus faire..

et puis la peau qui crie au secours, qui se dessèche, en manque de se frotter à une autre peau ..

et le rire qui s’étrangle de ne pas trouver son écho ..

et la voix qui faiblit de ne plus être écoutée ..

on regarde ce qu’il nous reste ..

le devenu d’une vie, des mots tapés sur un clavier, faute de pouvoir les hurler ou les chuchoter, les maux qui nous crament l’intérieur ..

un seul quelqu’un suffit à abîmer une vie ..

Je voudrais que demain finisse enfin .
Dim 24 Oct 2010, 23:55 par Luna_Lou sur L'amour en vrac

Mes pensées sont pour toi..

Lorsque tu me regardes,
tu ne dis rien,
mais tu n’as aucun besoin de parler,
tes yeux le font pour toi..
Je te l’ai surement déjà dis mais dans tes yeux,
je peux savoir que tu m’aimes sans pour autant t’entendre prononcer ces 3 mots magiques qui me rendent si heureuse et si fière.
Lorsque tu me prends dans tes bras contre toi et me souris,
je sais tout ce qu’il y a à savoir..tes yeux plongent souvent dans les miens et à cet instant mon cœur bat la chamade...
Est ce le bruit du bonheur?
Je peux certifier que ce bruit et cette sensation est le bruit du bonheur, le bruit de mon amour pour toi.
Avec toi je ne peux que sourire...
Mon amour, mon désir pour toi n’est en rien comparable avec de simple besoins, mais je t’aime tant.
Ton regard, ton sourire, ta voix, tes mots me font vaciller, trembler, rougir et même paniquer. Si je peux ressentir tout ça c’est parce que je voudrais être pour toi la femme parfaite, celle qui fera en sorte d’être la pour toi a chacun de tes besoins.
J’ai besoin de savoir que chaque jour tu es près de moi, que tu peut être là dès que j’ai envie de te voir, je serais si heureuse de savoir que je peux te toucher à tout moment, que je peux appeler ton nom sans attendre ta réponse durant de longues minutes.
Je voudrais sans cesse toucher ta peau et embrasser tes lèvres, goûter à la chaleur de ton étreinte.
Je me sens triste et lorsque tu n’es pas là, prés de moi.
Je t’aime un peu plus chaque jour, et me sens si mal quand tu t’arrache de mes bras...
Tu ne peux imaginer à quel point j’aimerais être près de toi, me reposer sur ton épaule en écoutant de la musique tout en caressant tes mains.
Tu restes présent en mon cœur comme une douce douleur.
Tu me manques…
Mon cœur te pleure…
mon âme te cherche…
mon corps se meurt…
ma bouche hurle ton prénom...
ma vie te réclame...
Tu as changé mon destin, avec ton amour.
Tu as créé un nouveau monde au fond de moi.
Tu m’apportes le bonheur et la joie, tu m’apportes le calme et la sérénité et surtout tu m’apportes tout ce que j’ai besoin pour être heureuse.
J’ai besoin encore et toujours de ta présence, j’ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses, de tes je t’aime, de ton odeur, de ton sourire, de ton regard brulant qui m’envoute...
J’ai besoin de te prendre dans mes bras, pour mieux te sentir et sentir ta chaleur.
Tout simplement,
j’ai besoin de toi mon petit ange tombé du ciel.
Dim 10 Oct 2010, 11:52 par Léna sur Parler d'amour

Une lettre d'amour particulière à un ami particulier

Cher ******,

Voilà que je t’écris cette confidence au cœur de cette nuit bien humide. Non loin de moi, mon compagnon, plongé dans un sommeil profond, pleure dans ses rêves. Ses larmes de douleur coulent à cause de moi. Mon cœur est de pierre, dit-il. Pourquoi ne me laisses-tu pas pénétrer dans ton univers ? Pourquoi m’écartes-tu de ton cœur ? Je t’aime et je souffre de ce manque de sentiment de ta part. Tu es bien cruelle. Voilà ce que dit mon compagnon. Hélas, mon cœur maintient cette distance de peur de connaître cette folie qu’est l’amour. J’aime sans aimer. L’homme avec je partage ma couche. Je l’aime pour son affection pour ma part. J’ai cédé sous le poids de son amour sans m’être jamais demandé si je l’aimais du fond de mon cœur. J’aime lui faire des caresses. J’aime sa présence. J’aime avoir des rapports sexuels avec lui. Malgré tous ses signes, il sent une distance entre nous. Je lui parle de compagnes de jeu potentielles. Cela ne l’amuse pas car il ne peut faire partie de ses jeux interdits. Il me traite d’égoïste. Tu ne cherches que ton propre plaisir ! Et moi, que suis-je à tes yeux ? Qu’un simple objet sexuel ! Mon compagnon a bien raison. A mes yeux, c’est un bel objet sexuel. Mais tous les flots de cyprine que je déverse actuellement viennent de divers fantasmes. J’imagine bien d’autres choses. Il le sent qu’il existe une distance entre lui et moi mais il ne sait pas quoi. Maintenant, je vais t’expliquer, mon cher ******, pourquoi je crée cette distance.

As-tu, mon tendre ami, été amoureux ? Moi, je l’ai été une fois au point de vouloir mourir pour cette personne. J’ai été folle amoureuse. Trop prolixe, ma maladresse m’a tuée. Cet amour m’a beaucoup blessée. Mon compagnon actuellement s’est toujours moqué de cet amour de jeunesse. Toutefois, il n’a jamais essayé de comprendre les conséquences de cet amour déçu. Depuis cet amour , je me suis jurée de ne plus jamais vendre mon cœur à un homme. Si je ressentais quelque affection pour l’un entre eux, mon amour ne serait que partiel. Ce serait un amour raisonné raisonnable. Mon amour actuel est un amour raisonné raisonnable. Il ressent toute la folle passion que peut souhaiter une femme au point de laisser passer tous mes écarts de conduite. C’est pour beaucoup l’home idéal. Justement, c’est ce genre d’homme qui me plaît de faire souffrir. On dit toujours qu’on ne se rend pas compte des merveilles qui nous sous ses yeux. Je veux qu’il trouve quelqu’un qui le mérite. Alors, je le fais souffrir autant que j’ai souffert d’un rêve de six ans. Je veux qu’il me quitte. Je veux le voir heureux avec une femme qui saura lui rester fidèle de corps et de cœur. Le mien est trop déçu car il n’éprouve plus de passion mais seulement que de la tendresse à son égard.

Pourquoi mets-je des barrières entre toi et moi ? Crois-tu pouvoir me rendre heureuse ? J’ai repoussé tes avances, tes tendres caresses car je ne veux pas que tu vives avec la même douleur que mon compagnon actuel vit. Ton cœur est si fragile qu’il ne supporterait pas le choc. Crois-moi, je suis quelqu’un de trop instable pour toi. Ne confonds pas « amour » et « désir sexuel ». Mon tendre ami, ton pucelage m’excite, je te désire. Depuis que je t’ai vu entreprendre des caresses poussées, je te vois comme un homme plein de désirs. Cela m’amuse mais me fait peur car je ne veux pas que tu tombes dans les pièges de ton cœur. Ces derniers temps, je fantasme beaucoup sur toi. Je rêve que tu me prennes, que tu me susurres de mots doux, que tu me caresses longuement. Toutefois, tout cela demeure du fantasme sexuel plus que de l’amour. Mon homme se doute que tu es présent dans mon esprit. Il sait que tu occupes une place particulière dans mon cœur. Cette place privilégiée, il en est jaloux. D’où vient ce privilège que tu occupes dans mon cœur ? Tendre ami, cette place vient de l’innocence de ton cœur simple.

Mon ami, garde cette innocence pour la plus belle des femmes et non pour une souillon comme moi.
Mar 11 Mai 2010, 03:27 par Solina sur La déclaration d'amour

Adieu d'amour...

Telle une âme trop sensible
Je ne vise pas, me laisse glisser
Vers ma paresse, caresse
Le cri de son regard inaudible

Laisse le me dévorer
Aide moi à me délirer
Contrains le à me libérer

Mon pauvre coeur s’affolant
Sans Amour Fixe, précaire
Solitaire, suicidaire
Un as du voulant

Perdu au premier détour..
Je quête un pur désamour
Un aller simple, sans retour..

Alors, je prie n’importe quoi, n’importe qui
pour que l’impie que je suis
trouve une infime énergie,
pas celle du désespoir, non,
juste une désenvie,
te désaimer vite, y’a urgence, samurage même !
vas ... sors de mon moi,
reste loin, tout loin de mon émoi ...
Adieu mon tendre et doux zamour,
Je ne pense qu’à toi, jamais, pour toujours,
Mon Amour déchiré.
Dim 25 Avril 2010, 19:03 par Luna_Lou sur La déclaration d'amour

Envie d'amour... un rêve ?

Elle rêve ... Mais de quoi rêve-t-elle ? Elle ferme les yeux et se laisse emporter...
Elle sent des caresses. Elle ressent à travers ces doigts qui effleurent lentement sa peau de la tendresse. Elle comprend dans le regard de l’autre une compassion. Il souffre avec elle. Dans leur silence, seuls leurs corps dialoguent. Ils se découvrent, se reconnaissent. Ils essaient de sentir leur coeur . Tous deux ont peur mais apprennennt à se laisser domestiquer. Leurs doigts apprennent une nouvelle partition pour la jouer, un jour, avec la plus grande virtuosité. Découvrir ce corps inconnu lui est difficile. Ce regard la gêne. Cette générosité la touche et se sent submergée par tant d’amour. Elle aime ces bras qui l’enlacent. Elle aime cette chaleur.

Mais tout cela n’est-il pas une illusion ?
Tout s’évanouit. Elle se réveille dans son lit froid sans chaleur. Et elle pleure, et elle pleure ...
Mer 20 Jan 2010, 01:33 par Solina sur L'amour en vrac

Et dans le domaine de l'asphixie?

Un sérieux manque d’humour. Logique. Tout ce qui ne regarde pas la joie est sérieux. Ici déjà premières échappées de mots nébuleux me confonds en maladresse.
Puis après pourquoi écrire? Parce qu’en moi les temps soudoient l’orage et celui ci demande le prix fort. Très patient. Le mien aura les yeux de Vulcain.
Ainsi donc me situe noctambule c’est ce qui définit au mieux le mec crasseux que je deviens lorsque le concept de séduction a porté trop de préjudices; ce n’est pas que je me fiche d’aimer suis fou éperdu de songes féminins elle frôle ma main baisse les yeux disparaît alors même qu’elle manque déjà à mon Ciel.
Un ami comme ça appelle il dit monsieur Souci évidemment tout un chacun estime ceci préjudiciable pour soi car il fait peur là où l’on sent naître la souffrance et quand bien même on n’en parle pas par soupçon d’être étranger au monde ou appréhension d’être simplement ridicule l’autre le pressent en lui comme une invitation mesquine ouverte sur le précipice.
Ton histoire à quand dis-tu? A quand on cessera de vouloir déterminer l’ambivalence des écritures par rapport à celui qui les conçoit son comportement est-il meilleur ou neutre crie-t-il au blâme à l’orgueil ou bien s’évertue t-il à susurrer "néant" quand il devrait aimer.
Accroche toi.
Tu serais à l’instant même avachi au rang subliminal du cancre ou bien à ton aise dans tes paumes oreillers je te dirai redresse toi on ne dort pas on apprend! Si seulement je daignais le permettre serais cramoisi de honte puisque je ne peux rien ordonner c’est ce qui perd.
D’ailleurs hors propos. Nous ne sommes pas à l’école l’effort dans lequel tu ponctionnes l’écriture la jugeant la mordant coeur ouvert ne me regarde pas.
Alors une nuit chaude estivale. Ne sais plus quoi faire de mes sens ai besoin de sortir oeuvrer au cercle des Téméraires ai bu bien bu puisqu’il n’y a rien d’autre à faire à voir à chérir Dieu ce que je me sens triste issu de ton flanc il n’y a rien de miraculeux où je traîne.
Le dirai constamment lorsqu’on n’a pas d’amour à recevoir en vrai en absolu on est prisonnier de l’insignifiant.
A vau-l’eau ce n’est plus l’insouciance de naguère un jour je saurai dire pourquoi.
En attendant, fais de beaux rêves .
Ven 26 Juin 2009, 23:30 par cirrhus sur L'amour en vrac
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Ecrire sur solitaire

Ecrire sur solitaire Aventure de vacances..., En attendant, La biche et moi (ecrit au masculin re-travaillé), L'amour est-il un crime ? chapitre 7, L'amour est-il un crime ? chapitre 4, La photo recollée, Anniversaire, Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire - i, Triste novembre..., Chaos, Mes pensées sont pour toi.., Une lettre d'amour particulière à un ami particulier, Adieu d'amour..., Envie d'amour... un rêve ?, Et dans le domaine de l'asphixie?,
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La citation d'amour

Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.

La Rochefoucauld.

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