Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur soirs
Rouge-bouteille
Elle était là, posée devant moi. Elle était là, sur la table, aux trois-quarts vide de son liquide translucide dans lequel allaient cogner les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour s’y réfléchir et se pâmer sur le plafond blanc avec des allures de fantômes.
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, une canette à la main au bout d’un bras pendant dans le vide. Je la contemplais, je l’admirais, je la vénérais comme une déesse.
Pour que je puisse y goûter, pour que je puisse me prosterner, fallait que je termine l’autre. C’était mon rituel, c’était mon culte : alterner. J’alternais, je ne faisais que passer le temps à permuter entre l’une et l’une des autres. J’alternais entre le verre translucide et les petites bouteilles vertes. Je permutais jusqu’à ne plus pouvoir continuer, jusqu’à m’écrouler.
Mais je préférais encore ne pas sombrer dans ce sommeil terrible où il n’y a plus que les cauchemars pour te ramener à la réalité. Ce que je préférais, c’était en venir là où j’allais devoir m’exprimer. Je le sentais venir ce moment, je le sentais monter en moi comme une plainte de mon corps, un rejet, un dernier sursaut de désespoir où il repousse l’ennemi, lui, mon corps, de toutes les forces qu’il lui reste, qu’il parvient à réunir. Ça s’annonçait quelque part au fond de ma sale gueule, là où s’articulent les mâchoires, à la base de la langue, sous la naissance des oreilles. Ça sécrétait, ça avait un goût amer. Ça venait à ce moment où tu peux plus fermer les yeux, où tu peux plus non plus les ouvrir, où tu peux pas fixer un point quelque part sans que cela soit pire encore. Alors tu les balades, tu les bouges tes yeux, tu te forces à ne pas les croiser, tu cherches des parallèles. Tu ouvres très fort tes paupières, tu les fermes très fort, tu te les frottes, mais plus rien n’y fait. Et puis ça sécrète encore plus, ça devient encore plus amer, et là faut que tu bouges.
Alors je bouge. Je bouge un bras, je le traîne. Je bouge une jambe, je la tire. Pour pas changer, je me ramasse sur le sol, la gueule par terre, l’esprit embrumé, étalé sur la moquette parmi les canettes sur lesquelles je roule. Je roule et je les repousse. Je les repousse au loin, d’un grand geste circulaire, au ras du sol. Y’a leurs cliquetis inénarrables quand elles s’entrechoquent, ce putain de bruit qui te vrille le crâne au moment où tu commences à baver, où tu retiens le volcan.
Et je me traîne. Je rampe. Y’a plus que mes bras qui soient encore capables de me tirer. Alors je me tire. Je me tire et je retiens. Et ça dure, sur des distances interminables, et c’est long.
Mais enfin j’y arrive, j’atteins l’endroit. Je m’y porte. Je m’y porte et c’est crâde. C’est crâde et ça monte pire encore. Y’a des restes de bouffe, des petits morceaux collés un peu partout, qui y ont séché. Et puis j’ai pas mal pissé à côté aussi ; la bière ça fait pisser. Et la pisse, ça colle aussi. Ça laisse des traces jaunâtres sur lesquelles vient se coller la poussière. Y’a le tartre, mais le tartre c’est rien. Et y’a le pire. Y’a ces traces de merde, de merde liquide qui a séché aussi. Ça sèche aussi. C’était liquide et puis ça a séché. C’était liquide parce que je bois beaucoup plus que je ne mange.
Et puis ça pue aussi. Ça pue parce que je fais exprès de pas toujours la tirer, la chasse.
Et puis c’est là. Ça s’accélère d’un seul coup. Alors je tire sur mes bras, je tire sur mon cou, je plonge la tête. Et c’est là.
Ça part avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a un goût dégueulasse aussi, surtout sur la fin parce qu’à la rigueur c’est jouissif au début. Là, j’y mets toute ma haine, j’en ai les yeux pleins de larmes. Je gémis, je crache, je racle, je crie, je hurle.
Et ça se calme, par petits spasmes. Je sens qu’il y en a encore. Je me fous le doigt dans la gorge et je l’appelle, je l’attire, je l’extirpe, j’emmène des bouts de peau avec. Je vomis.
Et puis je m’affale, je m’écroule encore, une fois de plus.
* * *
Mais là, ce beau jour ensoleillé, je n’y étais pas encore. Pourtant, c’était proche. C’était très proche.
Alors je la fixais, elle, posée devant moi. Elle était là, sur la table, aux trois-quarts vide de son putain de liquide translucide dans lequel cognaient les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour s’y réfléchir et se pâmer sur le plafond blanc avec des semblants d’éternité.
J’ai balancé la canette terminée en travers de la pièce. J’avais encore cette force-là. J’avais encore cette force-là parce que ce n’était pas encore le bon moment, le moment d’aller vider ma haine... et le reste. Pourtant, ça tournait. Ça tournait, et ça y mettait de l’ardeur.
J’ai réussi à décoller et à l’atteindre, du bout de mon lit. Du bout de mon lit j’avais juste qu’à tendre le bras. Je me suis versé sa merde incolore, son poison obscur, et j’ai regagné le mur pour m’y adosser. Il était presque l’heure. Fallait encore résister. Ces putains de gorgées à m’imbiber ça allait m’aider. Il le fallait.
J’ai reconnu son pas. J’ai reconnu le bruit de ses pas dans le couloir, ce pas régulier, décidé. C’était sa signature.
Y’a eu le bruit de la clé dans la serrure, les deux tours, comme au ralenti, la poignée appuyée, la porte qui s’ouvre. Y’a eu les clés retirées puis posées sur le meuble à côté.
J’ai entendu le sac laissé tombé à terre puis le manteau accroché.
Et j’ai souri.
Y’a eu encore deux pas, puis elle.
Car elle était là, debout devant moi. Elle était là, en face, aux trois-quarts habillée de ses fringues ridicules sur lesquels allaient cogner les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour y être absorbés par sa graisse et lui donner des reflets de bibindom à se pâmer sur une piste de danse avec des allures de grandes dames qu’elle ne serait jamais.
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, les mains moites au bout des bras pendant dans le vide. Je la détestais, je la haïssais, je la maudissais comme l’enfer.
Elle m’a fixé.
Elle a posé sur moi son regard de dédain, son putain de regard de dédain.
Je savais, j’étais qu’une merde, qu’une putain de merde. Peu m’importait...
- T’as encore bu ? elle s’est confirmée toute seule.
La merde.
- T’es qu’une merde ! elle a ajouté tout bas.
Le dédain.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
Et la haine.
Ils étaient loin les "Bonsoir mon bébé" !
Elle est repartie chercher son sac. Elle est revenue. Pendant qu’elle y furetait après ses cigarettes, elle a encore posé sur moi son putain de dédain, ses pauvres yeux verts maquillés de son ridicule bleu à deux francs, un vert bouteille et un bleu sac poubelle. Sa sale gueule... Ses sales lèvres... Son putain de parfum au patchouli qui me faisait encore plus tourner la tête que toute la merde que j’avais jamais ingurgité.
Son petit jeu allait commencer.
Elle s’est tiré une chaise et y a posé ses grosses fesses. Elle s’est allumée une cigarette qu’elle s’est mise à fumer tranquillement, à la manière des grandes dames qu’elle ne serait jamais, un coude posé dans une main, avec le bras en l’air, en suspend, toute à réfléchir, toute à se creuser le crâne à ne me trouver ce que de toute façon elle ne faisait que répéter jour après jour, immuablement, égale à elle même, fidèle à ses sales habitudes.
- Alors, bitte molle, t’as fait qu’ça toute la journée ? T’as pleuré ta maman en buvant un bon petit coup ? T’as encore tellement bu que tu pourras plus bander ?
J’exécrais sa voix, sa pauvre voix nasillarde de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché de pauvre petit quartier dans lequel elle m’avait ramassé.
- Il est malheureux le petit chéri ! Faut pas t’arrêter ! Faut pas te gêner parce que je suis revenue ! Allez ! elle s’est énervée en grinçant des dents.
Et puis elle m’a balancé la bouteille. Une fois je me la suis prise en pleine gueule. Ça l’a fait rire. Ça l’a fait rire de son putain de sale rire de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché qui rit quand son gros plat de lard de grosse vache de patron vient lui peloter ses grosses fesses quand elle fait exprès de bien se pencher en avant parce que Mademoiselle, Mademoiselle la pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché espère de l’avancement, une promotion, monter en grade.
"Tu peux toujours aller te faire baiser, grosse merde !" j’ai pensé en souriant en débouchant l’objet. Elle a cru que je souriais pour la remercier pour la bouteille. Elle était conne en plus !
J’ai bu, j’ai avalé une grande gorgée.
- Elle est contente ma petite bitte molle ? Elle a bu son petit coup ?
Et là, son regard qui se transforme, ses petits yeux méchants. Et puis elle a chopé une canette vide qui traînait sur la table. Et puis elle me l’a lancée en pleine face. Et puis la bouteille m’a cogné la tête en même temps que ma tête a cogné le mur derrière. Putain que ça faisait du bien ! Ça m’a arraché un gémissement à éjaculer tout de suite et lui en foutre plein sur sa sale gueule.
- Espèce de petit enculé ! elle a craché.
Et puis son visage s’est éclairé.
- Et peut-être même que c’est ça qui te plaît ! Peut-être que c’est ça que tu aimes : te faire enculer ! T’es peut-être qu’un sale petit pédé ? Hein ? T’es qu’un pédé, hein ? C’est ça, hein ? T’aime te faire enculer ?
Et puis elle a éclaté de rire comme une grosse vache. Ça faisait trembler toute sa graisse, ça la faisait vibrer comme son vibromasseur qu’elle s’enfonçait tous les soirs les jambes écartées en face de moi en gémissant, en bavant comme une grosse truie qu’on n’aurait jamais voulue bouffer tellement elle ressemblait plus à rien.
Et puis elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes. Elle s’est approchée de moi, les mains sur les hanches, la haine dans les yeux. J’ai senti son odeur, sa putain d’odeur âcre de sueur, sa putain d’odeur âcre de transpiration que son putain de patchouli venait sucrer à me faire vomir. Elle a approché son visage du mien.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
J’ai eu un haut le coeur. Elle l’a remarqué. Ça l’a énervé. Je l’ai vu pivoter sur la droite, tendre son bras, prendre son élan et revenir très vite sur la gauche, ouvrir sa main, sa grosse main de sale petite caissière de sale petit supermarché qui s’est abattue sur moi, sur le côté de mon visage, m’envoyant voler au bord du lit, avec le vide en dessous et pas une seule prise dans l’air.
Je me suis étalé sur le sol, la tête en avant, les pieds encore sur le lit.
- Sale petit merdeux !
Elle a chopé mes jambes et les a envoyées rejoindre le reste.
- Sale petit pédé !
Et puis elle y est allée du pied, frappant de son escarpin de Cendrillon dans lequel elle débordait, où la chair semblait vouloir s’écouler sur les côtés comme si, moins conne qu’elle, elle voulait d’elle-même quitter ce corps de merde et essayer de former quelque chose de moins ridicule à côté.
Elle a frappé, elle a frappé encore, visant mon ventre. Elle y allait gaiement de ses coups de pieds et de ses insultes, frappant mes bras repliés pour un tant soit peu me protéger : pur réflexe !
Et j’ai eu des hauts le coeur encore, en plus de chaque gémissement à chaque coup.
- Sale petit merdeux !
Et j’y étais. C’était là. C’est monté avec une vitesse hallucinante. C’est parti directe sur la moquette avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a eu un goût dégueulasse aussi. Et j’y ai mis toute ma haine, j’en avais les yeux pleins de larmes. Et plus elle frappait, plus je gémissais, plus je crachais, plus je raclais, plus je criais, plus je hurlais.
Elle m’a poussé dedans. Elle s’est baissée, pliée sur ses jambonneaux. Elle m’a pris la tête par les cheveux, elle me l’a mise dedans. Elle a frotté la gerbe avec ma tête.
- Vas-y espèce de sale merdeux ! Bouffe là, ta gerbe ! Bouffe là !
Et puis elle a commencé à cogner ma tête contre le sol, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma tête entre mes mains. J’avais l’odeur de la gerbe. Je voulais encore vomir, vomir et jouir à ne plus en finir.
Et puis elle m’a lâché. Elle s’est calmée sous mes hurlements. Elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes, poussant de ses grosses mains sur ses gros jambonneaux, hennissant comme un cheval.
Elle est retournée lentement vers la chaise.
Je me suis retourné lentement vers elle.
Elle a atteint la chaise.
J’ai vu la bouteille.
Elle s’est essuyé les mains sur sa sale blouse ridicule de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché.
J’ai pris la bouteille.
Elle a pris une cigarette.
Je me suis levé, poussant de mes petits bras.
Elle l’a allumée.
Je me suis approché d’elle.
Elle s’est lentement retournée.
J’ai pivoté sur moi, tendant le bras, la bouteille à la main.
Alors qu’elle allait s’asseoir, alors qu’elle allait poser ses grosses fesses de sale petite caissière de sale petit supermarché, j’ai vu le doute dans ses yeux, puis l’horreur.
J’ai abattu la bouteille sur le sommet de son crâne, sur sa tête, sur ses sales cheveux gras.
Ça a fait un joli bruit mat un peu creux, un truc inimitable.
Et puis il y a eu le bruit du verre brisé aussi, éparpillé dans les airs.
Et puis il y a eu son corps qui est tombé, mollement, qui s’est affalé sur le sol.
Et j’y suis allé gaiement de mes insultes et de mes coups de pieds.
- Grosse merde ! Grosse salope ! Tu vas payer.
Et j’ai frappé, j’ai frappé, j’ai frappé.
Et puis je me suis baissé, plié sur mes petites jambes.
J’ai pris sa tête par ses cheveux où poissait déjà le sang, je l’y ai mise dedans. J’ai frotté les bouts de verre éparpillés avec sa tête.
- Vas-y espèce de grosse vache ! Bouffe-les, les bouts de verre ! Bouffe-les !
Le verre en était rouge de sang !
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, une canette à la main au bout d’un bras pendant dans le vide. Je la contemplais, je l’admirais, je la vénérais comme une déesse.
Pour que je puisse y goûter, pour que je puisse me prosterner, fallait que je termine l’autre. C’était mon rituel, c’était mon culte : alterner. J’alternais, je ne faisais que passer le temps à permuter entre l’une et l’une des autres. J’alternais entre le verre translucide et les petites bouteilles vertes. Je permutais jusqu’à ne plus pouvoir continuer, jusqu’à m’écrouler.
Mais je préférais encore ne pas sombrer dans ce sommeil terrible où il n’y a plus que les cauchemars pour te ramener à la réalité. Ce que je préférais, c’était en venir là où j’allais devoir m’exprimer. Je le sentais venir ce moment, je le sentais monter en moi comme une plainte de mon corps, un rejet, un dernier sursaut de désespoir où il repousse l’ennemi, lui, mon corps, de toutes les forces qu’il lui reste, qu’il parvient à réunir. Ça s’annonçait quelque part au fond de ma sale gueule, là où s’articulent les mâchoires, à la base de la langue, sous la naissance des oreilles. Ça sécrétait, ça avait un goût amer. Ça venait à ce moment où tu peux plus fermer les yeux, où tu peux plus non plus les ouvrir, où tu peux pas fixer un point quelque part sans que cela soit pire encore. Alors tu les balades, tu les bouges tes yeux, tu te forces à ne pas les croiser, tu cherches des parallèles. Tu ouvres très fort tes paupières, tu les fermes très fort, tu te les frottes, mais plus rien n’y fait. Et puis ça sécrète encore plus, ça devient encore plus amer, et là faut que tu bouges.
Alors je bouge. Je bouge un bras, je le traîne. Je bouge une jambe, je la tire. Pour pas changer, je me ramasse sur le sol, la gueule par terre, l’esprit embrumé, étalé sur la moquette parmi les canettes sur lesquelles je roule. Je roule et je les repousse. Je les repousse au loin, d’un grand geste circulaire, au ras du sol. Y’a leurs cliquetis inénarrables quand elles s’entrechoquent, ce putain de bruit qui te vrille le crâne au moment où tu commences à baver, où tu retiens le volcan.
Et je me traîne. Je rampe. Y’a plus que mes bras qui soient encore capables de me tirer. Alors je me tire. Je me tire et je retiens. Et ça dure, sur des distances interminables, et c’est long.
Mais enfin j’y arrive, j’atteins l’endroit. Je m’y porte. Je m’y porte et c’est crâde. C’est crâde et ça monte pire encore. Y’a des restes de bouffe, des petits morceaux collés un peu partout, qui y ont séché. Et puis j’ai pas mal pissé à côté aussi ; la bière ça fait pisser. Et la pisse, ça colle aussi. Ça laisse des traces jaunâtres sur lesquelles vient se coller la poussière. Y’a le tartre, mais le tartre c’est rien. Et y’a le pire. Y’a ces traces de merde, de merde liquide qui a séché aussi. Ça sèche aussi. C’était liquide et puis ça a séché. C’était liquide parce que je bois beaucoup plus que je ne mange.
Et puis ça pue aussi. Ça pue parce que je fais exprès de pas toujours la tirer, la chasse.
Et puis c’est là. Ça s’accélère d’un seul coup. Alors je tire sur mes bras, je tire sur mon cou, je plonge la tête. Et c’est là.
Ça part avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a un goût dégueulasse aussi, surtout sur la fin parce qu’à la rigueur c’est jouissif au début. Là, j’y mets toute ma haine, j’en ai les yeux pleins de larmes. Je gémis, je crache, je racle, je crie, je hurle.
Et ça se calme, par petits spasmes. Je sens qu’il y en a encore. Je me fous le doigt dans la gorge et je l’appelle, je l’attire, je l’extirpe, j’emmène des bouts de peau avec. Je vomis.
Et puis je m’affale, je m’écroule encore, une fois de plus.
* * *
Mais là, ce beau jour ensoleillé, je n’y étais pas encore. Pourtant, c’était proche. C’était très proche.
Alors je la fixais, elle, posée devant moi. Elle était là, sur la table, aux trois-quarts vide de son putain de liquide translucide dans lequel cognaient les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour s’y réfléchir et se pâmer sur le plafond blanc avec des semblants d’éternité.
J’ai balancé la canette terminée en travers de la pièce. J’avais encore cette force-là. J’avais encore cette force-là parce que ce n’était pas encore le bon moment, le moment d’aller vider ma haine... et le reste. Pourtant, ça tournait. Ça tournait, et ça y mettait de l’ardeur.
J’ai réussi à décoller et à l’atteindre, du bout de mon lit. Du bout de mon lit j’avais juste qu’à tendre le bras. Je me suis versé sa merde incolore, son poison obscur, et j’ai regagné le mur pour m’y adosser. Il était presque l’heure. Fallait encore résister. Ces putains de gorgées à m’imbiber ça allait m’aider. Il le fallait.
J’ai reconnu son pas. J’ai reconnu le bruit de ses pas dans le couloir, ce pas régulier, décidé. C’était sa signature.
Y’a eu le bruit de la clé dans la serrure, les deux tours, comme au ralenti, la poignée appuyée, la porte qui s’ouvre. Y’a eu les clés retirées puis posées sur le meuble à côté.
J’ai entendu le sac laissé tombé à terre puis le manteau accroché.
Et j’ai souri.
Y’a eu encore deux pas, puis elle.
Car elle était là, debout devant moi. Elle était là, en face, aux trois-quarts habillée de ses fringues ridicules sur lesquels allaient cogner les rayons du soleil pénétrant par ma fenêtre pour y être absorbés par sa graisse et lui donner des reflets de bibindom à se pâmer sur une piste de danse avec des allures de grandes dames qu’elle ne serait jamais.
Je la regardais, amorphe, la vue trouble, la tête ballante, la bouche mollement ouverte et pâteuse, affalé sur mon lit, dos au mur, les mains moites au bout des bras pendant dans le vide. Je la détestais, je la haïssais, je la maudissais comme l’enfer.
Elle m’a fixé.
Elle a posé sur moi son regard de dédain, son putain de regard de dédain.
Je savais, j’étais qu’une merde, qu’une putain de merde. Peu m’importait...
- T’as encore bu ? elle s’est confirmée toute seule.
La merde.
- T’es qu’une merde ! elle a ajouté tout bas.
Le dédain.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
Et la haine.
Ils étaient loin les "Bonsoir mon bébé" !
Elle est repartie chercher son sac. Elle est revenue. Pendant qu’elle y furetait après ses cigarettes, elle a encore posé sur moi son putain de dédain, ses pauvres yeux verts maquillés de son ridicule bleu à deux francs, un vert bouteille et un bleu sac poubelle. Sa sale gueule... Ses sales lèvres... Son putain de parfum au patchouli qui me faisait encore plus tourner la tête que toute la merde que j’avais jamais ingurgité.
Son petit jeu allait commencer.
Elle s’est tiré une chaise et y a posé ses grosses fesses. Elle s’est allumée une cigarette qu’elle s’est mise à fumer tranquillement, à la manière des grandes dames qu’elle ne serait jamais, un coude posé dans une main, avec le bras en l’air, en suspend, toute à réfléchir, toute à se creuser le crâne à ne me trouver ce que de toute façon elle ne faisait que répéter jour après jour, immuablement, égale à elle même, fidèle à ses sales habitudes.
- Alors, bitte molle, t’as fait qu’ça toute la journée ? T’as pleuré ta maman en buvant un bon petit coup ? T’as encore tellement bu que tu pourras plus bander ?
J’exécrais sa voix, sa pauvre voix nasillarde de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché de pauvre petit quartier dans lequel elle m’avait ramassé.
- Il est malheureux le petit chéri ! Faut pas t’arrêter ! Faut pas te gêner parce que je suis revenue ! Allez ! elle s’est énervée en grinçant des dents.
Et puis elle m’a balancé la bouteille. Une fois je me la suis prise en pleine gueule. Ça l’a fait rire. Ça l’a fait rire de son putain de sale rire de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché qui rit quand son gros plat de lard de grosse vache de patron vient lui peloter ses grosses fesses quand elle fait exprès de bien se pencher en avant parce que Mademoiselle, Mademoiselle la pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché espère de l’avancement, une promotion, monter en grade.
"Tu peux toujours aller te faire baiser, grosse merde !" j’ai pensé en souriant en débouchant l’objet. Elle a cru que je souriais pour la remercier pour la bouteille. Elle était conne en plus !
J’ai bu, j’ai avalé une grande gorgée.
- Elle est contente ma petite bitte molle ? Elle a bu son petit coup ?
Et là, son regard qui se transforme, ses petits yeux méchants. Et puis elle a chopé une canette vide qui traînait sur la table. Et puis elle me l’a lancée en pleine face. Et puis la bouteille m’a cogné la tête en même temps que ma tête a cogné le mur derrière. Putain que ça faisait du bien ! Ça m’a arraché un gémissement à éjaculer tout de suite et lui en foutre plein sur sa sale gueule.
- Espèce de petit enculé ! elle a craché.
Et puis son visage s’est éclairé.
- Et peut-être même que c’est ça qui te plaît ! Peut-être que c’est ça que tu aimes : te faire enculer ! T’es peut-être qu’un sale petit pédé ? Hein ? T’es qu’un pédé, hein ? C’est ça, hein ? T’aime te faire enculer ?
Et puis elle a éclaté de rire comme une grosse vache. Ça faisait trembler toute sa graisse, ça la faisait vibrer comme son vibromasseur qu’elle s’enfonçait tous les soirs les jambes écartées en face de moi en gémissant, en bavant comme une grosse truie qu’on n’aurait jamais voulue bouffer tellement elle ressemblait plus à rien.
Et puis elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes. Elle s’est approchée de moi, les mains sur les hanches, la haine dans les yeux. J’ai senti son odeur, sa putain d’odeur âcre de sueur, sa putain d’odeur âcre de transpiration que son putain de patchouli venait sucrer à me faire vomir. Elle a approché son visage du mien.
- Tu me dégouttes ! Tu me répugnes !
J’ai eu un haut le coeur. Elle l’a remarqué. Ça l’a énervé. Je l’ai vu pivoter sur la droite, tendre son bras, prendre son élan et revenir très vite sur la gauche, ouvrir sa main, sa grosse main de sale petite caissière de sale petit supermarché qui s’est abattue sur moi, sur le côté de mon visage, m’envoyant voler au bord du lit, avec le vide en dessous et pas une seule prise dans l’air.
Je me suis étalé sur le sol, la tête en avant, les pieds encore sur le lit.
- Sale petit merdeux !
Elle a chopé mes jambes et les a envoyées rejoindre le reste.
- Sale petit pédé !
Et puis elle y est allée du pied, frappant de son escarpin de Cendrillon dans lequel elle débordait, où la chair semblait vouloir s’écouler sur les côtés comme si, moins conne qu’elle, elle voulait d’elle-même quitter ce corps de merde et essayer de former quelque chose de moins ridicule à côté.
Elle a frappé, elle a frappé encore, visant mon ventre. Elle y allait gaiement de ses coups de pieds et de ses insultes, frappant mes bras repliés pour un tant soit peu me protéger : pur réflexe !
Et j’ai eu des hauts le coeur encore, en plus de chaque gémissement à chaque coup.
- Sale petit merdeux !
Et j’y étais. C’était là. C’est monté avec une vitesse hallucinante. C’est parti directe sur la moquette avec un bruit horrible, un truc inimitable. Ça a eu un goût dégueulasse aussi. Et j’y ai mis toute ma haine, j’en avais les yeux pleins de larmes. Et plus elle frappait, plus je gémissais, plus je crachais, plus je raclais, plus je criais, plus je hurlais.
Elle m’a poussé dedans. Elle s’est baissée, pliée sur ses jambonneaux. Elle m’a pris la tête par les cheveux, elle me l’a mise dedans. Elle a frotté la gerbe avec ma tête.
- Vas-y espèce de sale merdeux ! Bouffe là, ta gerbe ! Bouffe là !
Et puis elle a commencé à cogner ma tête contre le sol, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma tête entre mes mains. J’avais l’odeur de la gerbe. Je voulais encore vomir, vomir et jouir à ne plus en finir.
Et puis elle m’a lâché. Elle s’est calmée sous mes hurlements. Elle s’est levée. Elle s’est levée poussant de ses gros bras aussi gros que mes pauvres jambes, poussant de ses grosses mains sur ses gros jambonneaux, hennissant comme un cheval.
Elle est retournée lentement vers la chaise.
Je me suis retourné lentement vers elle.
Elle a atteint la chaise.
J’ai vu la bouteille.
Elle s’est essuyé les mains sur sa sale blouse ridicule de pauvre petite caissière de pauvre petit supermarché.
J’ai pris la bouteille.
Elle a pris une cigarette.
Je me suis levé, poussant de mes petits bras.
Elle l’a allumée.
Je me suis approché d’elle.
Elle s’est lentement retournée.
J’ai pivoté sur moi, tendant le bras, la bouteille à la main.
Alors qu’elle allait s’asseoir, alors qu’elle allait poser ses grosses fesses de sale petite caissière de sale petit supermarché, j’ai vu le doute dans ses yeux, puis l’horreur.
J’ai abattu la bouteille sur le sommet de son crâne, sur sa tête, sur ses sales cheveux gras.
Ça a fait un joli bruit mat un peu creux, un truc inimitable.
Et puis il y a eu le bruit du verre brisé aussi, éparpillé dans les airs.
Et puis il y a eu son corps qui est tombé, mollement, qui s’est affalé sur le sol.
Et j’y suis allé gaiement de mes insultes et de mes coups de pieds.
- Grosse merde ! Grosse salope ! Tu vas payer.
Et j’ai frappé, j’ai frappé, j’ai frappé.
Et puis je me suis baissé, plié sur mes petites jambes.
J’ai pris sa tête par ses cheveux où poissait déjà le sang, je l’y ai mise dedans. J’ai frotté les bouts de verre éparpillés avec sa tête.
- Vas-y espèce de grosse vache ! Bouffe-les, les bouts de verre ! Bouffe-les !
Le verre en était rouge de sang !
Mar 16 Fév 2016, 18:43 par
B-Lolo sur L'amour en vrac
De l'immeuble d'en face
Angela se déshabillait, lentement,
Comme tous les soirs devant sa glace, s’effeuillant.
Seule devant le miroir, il lui venait parfois
Quelques tendres pensées de ses dix doigts
Qui s’agitaient sur le long de ses parcours.
Commençait alors un petit compte à rebours
Qui partait doucement du tour de ses deux pointes
Jusqu’au doux rainurage de sa toison restreinte.
D’un majeur averti, s’attardant sur les monts,
Elle sentait d’entrecuisses les appels du démon,
L’une et l’autre des galeries réclamant une visite.
Elle aimait ce moment où son cœur battait vite,
Affolement maîtrisé qui livrait dynamite
Dans chacun de ses gestes dédiés à l’explicite.
Contentée de se voir offerte sous ses mains
Elle quittait le miroir pour un lit de coussins
Posés à même le sol sur un épais tapis.
Elle y avait tout loisir de jouer sa symphonie.
Ondulante couleuvre elle montait d’une octave
A chaque entrée subtile d’un doigt dans l’une des caves.
Elle s’ouvrait désormais du plus facilement,
Son pli et ses tunnels huilés par l’excitant.
Tous ses gémissements attisaient leur accueil.
Elle ouvrait donc un tiroir ayant atteint le seuil
Qui ne suffisait plus à éteindre la rage
Prestement en experte saisissait l’outillage
Qui par forme étudiée comblait ses orifices.
Le cylindre invité, dans chacun s’y glissait
Dans un rythme effréné alternant la coulisse.
La belle se convulsait alors en s’enfonçant le pal
S’explosant de plaisir au fond de chaque canal.
Et comme à chaque fois d’une main agitée
Dans l’immeuble d’en face un voisin la lorgnait
Achevant son plaisir sur la vitre embuée
La donzelle savait elle ? à vous de deviner…
JIME
Comme tous les soirs devant sa glace, s’effeuillant.
Seule devant le miroir, il lui venait parfois
Quelques tendres pensées de ses dix doigts
Qui s’agitaient sur le long de ses parcours.
Commençait alors un petit compte à rebours
Qui partait doucement du tour de ses deux pointes
Jusqu’au doux rainurage de sa toison restreinte.
D’un majeur averti, s’attardant sur les monts,
Elle sentait d’entrecuisses les appels du démon,
L’une et l’autre des galeries réclamant une visite.
Elle aimait ce moment où son cœur battait vite,
Affolement maîtrisé qui livrait dynamite
Dans chacun de ses gestes dédiés à l’explicite.
Contentée de se voir offerte sous ses mains
Elle quittait le miroir pour un lit de coussins
Posés à même le sol sur un épais tapis.
Elle y avait tout loisir de jouer sa symphonie.
Ondulante couleuvre elle montait d’une octave
A chaque entrée subtile d’un doigt dans l’une des caves.
Elle s’ouvrait désormais du plus facilement,
Son pli et ses tunnels huilés par l’excitant.
Tous ses gémissements attisaient leur accueil.
Elle ouvrait donc un tiroir ayant atteint le seuil
Qui ne suffisait plus à éteindre la rage
Prestement en experte saisissait l’outillage
Qui par forme étudiée comblait ses orifices.
Le cylindre invité, dans chacun s’y glissait
Dans un rythme effréné alternant la coulisse.
La belle se convulsait alors en s’enfonçant le pal
S’explosant de plaisir au fond de chaque canal.
Et comme à chaque fois d’une main agitée
Dans l’immeuble d’en face un voisin la lorgnait
Achevant son plaisir sur la vitre embuée
La donzelle savait elle ? à vous de deviner…
JIME
Mar 03 Fév 2015, 15:11 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Notre première fois
Je voudrais qu’après notre première fois,
tu te sentes apaisé,
et que tu ne sois plus fatigué mais satisfait.
Tout à l’heure tu étais trop beau comme un coeur charmant et craquant.
Pourquoi notre timidité est-elle si violente?
En régie, c’est pas de la scène, c’est du vécu.
Et toi je te vis.
Je voulais que tu restes plus longtemps encore, je ne voulais plus que tu partes, je ne voulais pas que tu partes.
Je voulais tout te dire et en même temps ne plus parler pour te coller et t’avoir dans la peau autant que je t’ai dans le coeur.
Je voulais me baisser ramasser avec toi ce que tu fais tomber.
Comme je tombe d’amour pour toi.
Je suis en train de devenir folle d’amour de toi,
comment te dire je t’aime, mes yeux t’aiment, tu donnes des frissons à mon corps, je te ressens, tu rentres en moi et tu n’en sors plus.
Je te sens et je te veux heureux, près de moi, je veux rayer de notre dictionnaire le mot "fin".
Ta sensibilité, ton intérieur, enfin tout ce que tu dégages, ces valeurs qui ne s’achètent pas.
Tu es beau, de plus en plus, à chaque fois que mon regard se pose sur toi.
Je voudrais être tous les soirs avec toi.
Tous les jours comme le soleil est toujours là même invisible.
Le soleil n’existe pas que lorsqu’on le voit, et pour moi tu existeras toujours.
Tu es là, sur cette feuille, sur mes lèvres, partout où je vais je te prends avec moi dans mon esprit.
DANS MON COEUR
tu te sentes apaisé,
et que tu ne sois plus fatigué mais satisfait.
Tout à l’heure tu étais trop beau comme un coeur charmant et craquant.
Pourquoi notre timidité est-elle si violente?
En régie, c’est pas de la scène, c’est du vécu.
Et toi je te vis.
Je voulais que tu restes plus longtemps encore, je ne voulais plus que tu partes, je ne voulais pas que tu partes.
Je voulais tout te dire et en même temps ne plus parler pour te coller et t’avoir dans la peau autant que je t’ai dans le coeur.
Je voulais me baisser ramasser avec toi ce que tu fais tomber.
Comme je tombe d’amour pour toi.
Je suis en train de devenir folle d’amour de toi,
comment te dire je t’aime, mes yeux t’aiment, tu donnes des frissons à mon corps, je te ressens, tu rentres en moi et tu n’en sors plus.
Je te sens et je te veux heureux, près de moi, je veux rayer de notre dictionnaire le mot "fin".
Ta sensibilité, ton intérieur, enfin tout ce que tu dégages, ces valeurs qui ne s’achètent pas.
Tu es beau, de plus en plus, à chaque fois que mon regard se pose sur toi.
Je voudrais être tous les soirs avec toi.
Tous les jours comme le soleil est toujours là même invisible.
Le soleil n’existe pas que lorsqu’on le voit, et pour moi tu existeras toujours.
Tu es là, sur cette feuille, sur mes lèvres, partout où je vais je te prends avec moi dans mon esprit.
DANS MON COEUR
Ven 18 Nov 2011, 03:00 par
inlove sur La première fois
Un amour infini
Bonjour petite fée,
Je t’amène ce présent.
Et puisse-t-il te prouver,
Ces choses que je ressens.
Ta lumière est un graal,
Un trésor bien secret.
Tu ne sais faire le mal,
Ton amour est parfait.
Tu peux voir le passé,
Accepter tes faiblesses.
Laissons ces jours hantés,
Oublions ces bassesses.
Car désormais cher ange,
Tu commence à briller.
Tu te plonge dans un Gange,
En ressors purifiée.
Je suis fier car hier,
Tu as jeté mes peines.
Je te sens grande et fière,
Je te sais enfin saine.
Peut être doute-tu aussi ,
D’être celle que je louange.
Je le répète ici:
Tu as tout d’un bel ange !
C’est désormais chose faite,
Oublions nos bêtises.
Acceptons nos défaites,
Ressens tu cette brise?
Un vent nouveau nous porte,
On voudrait l’enlacer.
Écoute le, il exorte,
Il est la Vérité .
Au fond de moi je sais,
Que tu as le pouvoir.
Et je te vois tout prêts,
D’accepter un espoir.
Je veux te voir radieuse,
Il suffit de cette peine !
Enfin te voir heureuse,
Et délaisser la haine.
En cet instant je t’aime !
Et glorifie les cieux,
D’avoir voulu qu’on sème,
Quelques graines pour le mieux.
En cet élan je t’aime !
Car tu es magnifique...
Je te vois qui parsème,
Un amour authentique.
À cette heure je t’adore !
Mon coeur pleure de t’avoir !
Tu es un être en or,
Telle une œuvre d’ivoire.
Je te serre contre moi,
Pour t’offrir cette chaleur.
Je te prends dans mes bras,
Et t’enlace pour des heures.
Mon amie tu le sais,
Je suis là sans réserve.
Et quel que soit ton souhait,
Je veux que je le serve.
Mon cœur est plein d’envies,
Mais surtout celle de voir,
Ton retour à la vie,
Et la paix dans tes soirs.
Pour moi tu es une muse,
Et tu guide ma bonté.
Je me nourris, jabuse !
De ta divine clarté.
Tu mérite le bonheur,
Tu as assez souffert.
C’en est assez pour l’heure,
Le passage est ouvert!
Ce modeste présent,
N’est pas juste un écrit.
Ce n’est pas moi, parlant,
Mais la vérité qui crie!
Je ne suis que le scribe,
Du plus pur des élans.
C’est ici que j’exhibe,
Tout l’amour
qu’Il ressent.
L’Univers est en toi,
Tu ressens sa puissance!
Les étoiles brillent sur toi,
Elles te guident vers la chance!
Puisse donc le ciel t’offrir,
Une lumineuse journée.
Moi même je fais partir,
Toutes mes preuves d’amitié.
Encore une fois merci!
Et pour toujours je t’aime!
De cet amour infini,
Où ton âme me ramène.
Je te fais mille baisers!
Je te souhaite mille merveilles!
Tu peux aller en paix,
Car ton coeur se réveille :)
Je t’amène ce présent.
Et puisse-t-il te prouver,
Ces choses que je ressens.
Ta lumière est un graal,
Un trésor bien secret.
Tu ne sais faire le mal,
Ton amour est parfait.
Tu peux voir le passé,
Accepter tes faiblesses.
Laissons ces jours hantés,
Oublions ces bassesses.
Car désormais cher ange,
Tu commence à briller.
Tu te plonge dans un Gange,
En ressors purifiée.
Je suis fier car hier,
Tu as jeté mes peines.
Je te sens grande et fière,
Je te sais enfin saine.
Peut être doute-tu aussi ,
D’être celle que je louange.
Je le répète ici:
Tu as tout d’un bel ange !
C’est désormais chose faite,
Oublions nos bêtises.
Acceptons nos défaites,
Ressens tu cette brise?
Un vent nouveau nous porte,
On voudrait l’enlacer.
Écoute le, il exorte,
Il est la Vérité .
Au fond de moi je sais,
Que tu as le pouvoir.
Et je te vois tout prêts,
D’accepter un espoir.
Je veux te voir radieuse,
Il suffit de cette peine !
Enfin te voir heureuse,
Et délaisser la haine.
En cet instant je t’aime !
Et glorifie les cieux,
D’avoir voulu qu’on sème,
Quelques graines pour le mieux.
En cet élan je t’aime !
Car tu es magnifique...
Je te vois qui parsème,
Un amour authentique.
À cette heure je t’adore !
Mon coeur pleure de t’avoir !
Tu es un être en or,
Telle une œuvre d’ivoire.
Je te serre contre moi,
Pour t’offrir cette chaleur.
Je te prends dans mes bras,
Et t’enlace pour des heures.
Mon amie tu le sais,
Je suis là sans réserve.
Et quel que soit ton souhait,
Je veux que je le serve.
Mon cœur est plein d’envies,
Mais surtout celle de voir,
Ton retour à la vie,
Et la paix dans tes soirs.
Pour moi tu es une muse,
Et tu guide ma bonté.
Je me nourris, jabuse !
De ta divine clarté.
Tu mérite le bonheur,
Tu as assez souffert.
C’en est assez pour l’heure,
Le passage est ouvert!
Ce modeste présent,
N’est pas juste un écrit.
Ce n’est pas moi, parlant,
Mais la vérité qui crie!
Je ne suis que le scribe,
Du plus pur des élans.
C’est ici que j’exhibe,
Tout l’amour
qu’Il ressent.
L’Univers est en toi,
Tu ressens sa puissance!
Les étoiles brillent sur toi,
Elles te guident vers la chance!
Puisse donc le ciel t’offrir,
Une lumineuse journée.
Moi même je fais partir,
Toutes mes preuves d’amitié.
Encore une fois merci!
Et pour toujours je t’aime!
De cet amour infini,
Où ton âme me ramène.
Je te fais mille baisers!
Je te souhaite mille merveilles!
Tu peux aller en paix,
Car ton coeur se réveille :)
Jeu 17 Nov 2011, 08:07 par
ChanG sur La déclaration d'amour
Elle brillait de mille feux, mais...
Elle brillait de mille feux. Chaque pas qu’elle faisait mettais mes yeux en éclat. Sa démarche cadencée et classe, laissait apparaître au fond de mon Âme, un feu d’artifice.
Elle était jeune mais faisait Femme, bien à mon goût. Naturelle, elle me laissait croire au ralliement du Ciel et de la Terre, car elle avait tout d’un Ange, avec l’apparence Humaine.
Mon corps frissonnait à l’idée de m’approcher d’elle.
Je la suivis à petits pas. J’avais faim de son Amour. Mon cœur et son appétit parlaient. Fallait-il que je consacre ma vie à cette parfaite inconnue ?
Je languissais l’un de ses baisers. Que les tourments qui enneigent ma Vie fondent sous la chaleur de ses bras !
Elle se retourna, me remarqua et me sourit. Ca y est, c’est peut-être le moment pour l’aborder..
Je l’accostai et lui dis : " Bonjour , je vous suis discrètement depuis un petit moment déjà. Je n’ai pu résister à votre charme. Vous êtes si belle, si élégante. En tous cas, je ne veux pas vous importuner plus longtemps.. Si je vous laisse mon numéro, vous m’appelleriez pour qu’on sorte ensemble un de ces soirs" ? Je pensais, que j’avais été juste et charmant. Mon sourire laissait apparaître sérénité et Joie.
Elle me fixa, de manière désinvolte, et me dit , en riant : "Non mais, vous rigolez ?! C’est une blague ? Non je ne sortirais pas avec vous. Vous êtes mignon, mais cela ne se fait pas d’aborder les gens dans la rue de cette manière ! Et puis je suis déjà prise".
A ce moment-là, j’ai eu l’impression que tout s’écroulait ! Mon idéal féminin (ce qu’elle incarnait au vu du coup de foudre ressenti) s’est transformé en quelques mots en une personne antipathique et cassante.
Elle brillait de mille feux, mais c’est ma flamme qu’elle a su éteindre sans aucune subtilité.
Elle s’en alla. Et moi, surpris et confus, je la laissais partir me sentant ridicule. Ah ! les apparences et la beauté ne sont que superflues. Au moins je m’en souviendrais.
Elle était jeune mais faisait Femme, bien à mon goût. Naturelle, elle me laissait croire au ralliement du Ciel et de la Terre, car elle avait tout d’un Ange, avec l’apparence Humaine.
Mon corps frissonnait à l’idée de m’approcher d’elle.
Je la suivis à petits pas. J’avais faim de son Amour. Mon cœur et son appétit parlaient. Fallait-il que je consacre ma vie à cette parfaite inconnue ?
Je languissais l’un de ses baisers. Que les tourments qui enneigent ma Vie fondent sous la chaleur de ses bras !
Elle se retourna, me remarqua et me sourit. Ca y est, c’est peut-être le moment pour l’aborder..
Je l’accostai et lui dis : " Bonjour , je vous suis discrètement depuis un petit moment déjà. Je n’ai pu résister à votre charme. Vous êtes si belle, si élégante. En tous cas, je ne veux pas vous importuner plus longtemps.. Si je vous laisse mon numéro, vous m’appelleriez pour qu’on sorte ensemble un de ces soirs" ? Je pensais, que j’avais été juste et charmant. Mon sourire laissait apparaître sérénité et Joie.
Elle me fixa, de manière désinvolte, et me dit , en riant : "Non mais, vous rigolez ?! C’est une blague ? Non je ne sortirais pas avec vous. Vous êtes mignon, mais cela ne se fait pas d’aborder les gens dans la rue de cette manière ! Et puis je suis déjà prise".
A ce moment-là, j’ai eu l’impression que tout s’écroulait ! Mon idéal féminin (ce qu’elle incarnait au vu du coup de foudre ressenti) s’est transformé en quelques mots en une personne antipathique et cassante.
Elle brillait de mille feux, mais c’est ma flamme qu’elle a su éteindre sans aucune subtilité.
Elle s’en alla. Et moi, surpris et confus, je la laissais partir me sentant ridicule. Ah ! les apparences et la beauté ne sont que superflues. Au moins je m’en souviendrais.
Ven 24 Juin 2011, 08:37 par
Authentik sur L'amour en vrac
Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii
17 mars 2004 dans son journal intime : "Si à trente ans, je suis encore puceau, j’irai quand même chez les putes"
Découvertes
Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".
La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.
Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.
Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.
Ses relations
Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.
Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.
Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.
Les initiatrices
Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.
Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.
Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.
Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.
L’espagnole
Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.
Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.
Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.
Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.
Imaginaire de notre héros
Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.
Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.
Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.
Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.
Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !
Différents mode de sexualité
Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.
La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.
Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.
Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.
Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.
Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.
C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.
Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.
Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !
Virtualité
N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.
De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.
Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.
Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.
Redécouverte de l’amour
Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble
Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.
Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.
Sexualité alternative dans un sens spirituel
Biographie BDSM de notre héros
Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.
A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."
Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.
Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.
Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.
Meilleures salutations.
Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.
Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.
Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.
Femme soumise du Sud
Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.
Maman
Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.
Conclusion
L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.
Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »
Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !
Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».
Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.
Fin
Invocation du jeune homme à marier
Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !
Jeaneck, mai 2011
Découvertes
Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".
La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.
Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.
Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.
Ses relations
Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.
Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.
Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de raconter leurs exploits le lendemain aux lascars du village.
Les initiatrices
Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.
Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.
Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.
Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à raconter aux mioches de son village.
L’espagnole
Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.
Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.
Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.
Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.
Imaginaire de notre héros
Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.
Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.
Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.
Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.
Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !
Différents mode de sexualité
Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.
La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.
Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.
Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.
Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.
Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.
C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.
Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.
Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !
Virtualité
N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.
De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.
Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.
Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.
Redécouverte de l’amour
Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble
Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.
Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.
Sexualité alternative dans un sens spirituel
Biographie BDSM de notre héros
Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.
A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."
Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.
Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.
Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.
Meilleures salutations.
Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.
Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.
Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.
Femme soumise du Sud
Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.
Maman
Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.
Conclusion
L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.
Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »
Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !
Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».
Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.
Fin
Invocation du jeune homme à marier
Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !
Jeaneck, mai 2011
Mar 17 Mai 2011, 14:41 par
Jeaneck sur La vie à deux
Chaos
un nouveau lundi se lève, sous le grisou d’octobre ..
y’a du gris dans le ciel, du gris dans la vie, du gris dans les coeurs ..
mais pas du gris pastel, non, un gris acier tout froid.
Et puis on se dit que c’est pas ou plus la peine, que rien n’est assez fiable pour qu’on y croit encore ..
on attend, c’est inexorable, un miracle ou n’importe quoi qui y ressemblerait..
on se pose la question de savoir ce qui est important, et on regarde son relevé bancaire ...
à découvert ? on s’en fout, on est habitué ..
on regarde alors son le contenu du frigidaire : pas grand chose d’appétissant, on s’en fout aussi, il manque justement l’appétit pour le remplir à nouveau ..
et puis on regarde derrière, et on détourne vite le regard, la boite à souvenirs n’est pas encore suffisamment rangée ..
on jette un oeil en avant, et ça fait peur, tout ce vide qui nous attend :
tous ces soirs à s’endormir seuls, ces matins à s’éveiller seuls, ces ptitdèj’ en face en face avec soi-même, cette douche où machinalement on se lave seul, nos pas que personne n’accompagne plus, nos mains qui ne savent plus la douceur d’une autre main, nos pupilles délavées de tant pleurer sur le néant qu’elles sont condamnées à fixer, toutes ces télécommandes de vie qu’on actionne seul, ces bouquins qu’on ne raconte plus, cette musique qu’on finit par écouter dans un casque, en solitaire, ces balades qu’on ne veut plus faire..
et puis la peau qui crie au secours, qui se dessèche, en manque de se frotter à une autre peau ..
et le rire qui s’étrangle de ne pas trouver son écho ..
et la voix qui faiblit de ne plus être écoutée ..
on regarde ce qu’il nous reste ..
le devenu d’une vie, des mots tapés sur un clavier, faute de pouvoir les hurler ou les chuchoter, les maux qui nous crament l’intérieur ..
un seul quelqu’un suffit à abîmer une vie ..
Je voudrais que demain finisse enfin .
y’a du gris dans le ciel, du gris dans la vie, du gris dans les coeurs ..
mais pas du gris pastel, non, un gris acier tout froid.
Et puis on se dit que c’est pas ou plus la peine, que rien n’est assez fiable pour qu’on y croit encore ..
on attend, c’est inexorable, un miracle ou n’importe quoi qui y ressemblerait..
on se pose la question de savoir ce qui est important, et on regarde son relevé bancaire ...
à découvert ? on s’en fout, on est habitué ..
on regarde alors son le contenu du frigidaire : pas grand chose d’appétissant, on s’en fout aussi, il manque justement l’appétit pour le remplir à nouveau ..
et puis on regarde derrière, et on détourne vite le regard, la boite à souvenirs n’est pas encore suffisamment rangée ..
on jette un oeil en avant, et ça fait peur, tout ce vide qui nous attend :
tous ces soirs à s’endormir seuls, ces matins à s’éveiller seuls, ces ptitdèj’ en face en face avec soi-même, cette douche où machinalement on se lave seul, nos pas que personne n’accompagne plus, nos mains qui ne savent plus la douceur d’une autre main, nos pupilles délavées de tant pleurer sur le néant qu’elles sont condamnées à fixer, toutes ces télécommandes de vie qu’on actionne seul, ces bouquins qu’on ne raconte plus, cette musique qu’on finit par écouter dans un casque, en solitaire, ces balades qu’on ne veut plus faire..
et puis la peau qui crie au secours, qui se dessèche, en manque de se frotter à une autre peau ..
et le rire qui s’étrangle de ne pas trouver son écho ..
et la voix qui faiblit de ne plus être écoutée ..
on regarde ce qu’il nous reste ..
le devenu d’une vie, des mots tapés sur un clavier, faute de pouvoir les hurler ou les chuchoter, les maux qui nous crament l’intérieur ..
un seul quelqu’un suffit à abîmer une vie ..
Je voudrais que demain finisse enfin .
Dim 24 Oct 2010, 23:55 par
Luna_Lou sur L'amour en vrac
Un dernier baiser
Un dernier baiser avant de te quitter.
Un dernier soupir avant de partir.
Il sera doux , léger, pour ne pas l’oublier.
Gravé au fond de ma mémoire
Je l’enfermerai tous les soirs
Pour qu’il se diffuse lorsque j’ouvrirai ma bouche.
Sentir la douceur de ta langue
Sentir mon cœur qui tangue
Langues emmêlées valsées
Qui ne pourront plus s’arrêter....
Montée du plaisir
Montée du désir
Soif de te boire encore.
Jamais rassasiée je veux pouvoir t’aimer encore et encore...
caressedesyeux
Dim 22 Août 2010, 12:46 par
caressedesyeux sur Mille choses
Une vedette
Chapeau melon, et botte de cuir
Elle va faire son numéro
Comme tout les soirs
Le cabaret est plein à craquer
Ils vont tous la "siffler"
Et de cette ambiance infernale
Elle va leur donner, ce qui a de meilleur..
Effusion, ils en perdent la raison
Ils jubilent, et en veulent encore
Applaudissement, dans cette cacophonie
Ou ils aimeraient que cela ne se termine jamais.
Musique rythmée sur un air "endiablée"
Elle joue avec son corps
Et n’a pas peur d’ assumer ses rondeurs
Ils tendent les bras, essayent de la toucher
Mais son numero finit
La voila repartit.
caressedesyeux
Sam 27 Mars 2010, 18:26 par
caressedesyeux sur Mille choses
Je t'écris (Marc Levy)
Je t’écris des trottoirs de nos villes habillées en Noël,
De quelques nuits d’hiver aux saveurs douces-amères
Je t’écris de ces soirs de lumière,
Des yeux émerveillés de cette petite fille
Au pied d’un grand sapin sur la cinquième avenue
Je t’écris d’un départ, d’une valise oubliée
Je t’écris d’un lac blanc où ce couple patine
Je t’écris d’un désert où l’épave d’un bateau se souvient de la mer,
Je t’écris d’une terre où des maisons s’écroulent
Je t’écris de Venise, où les amants s’éveillent au son de vieux clochers
Il y neigera peut-être encore cette année
Je t’écris de la mer, au large de Gibraltar le regard vers Tanger
Je t’écris de l’Afrique où l’on meurt par milliers
Des quatre coins de la terre,
Je t’écris des tranchées de guerres abandonnées
Je t’écris d’un baiser, de ce banc de Paris
Où deux amants s’enlacent dans leur éternité
Et que rien ni personne ne pourrait déranger
Je t’écris d’un café, de l’aile d’un avion
Où nos mémoires s’enlacent dans ton éternité
Et que rien ni personne ne pourrait m’enlever
Je t’écris de ces ciels de quart monde
Où les corps si légers d’enfants trop peu nourris s’élèvent sans faire de bruit
Je t’écris de la rue où l’on danse et l’on chante
Je t’écris du plumier d’un vieillard solitaire à la chambre oubliée
Je t’écris de la part de ces dieux impuissants aux noms desquels on tue
Je t’écris de la main de ces hommes de paix qui n’ont pas renoncé
Je t’écris de la Seine, la tour Eiffel y brille dans des reflets passés
Je t’écris du souvenir d’un baiser par milliers
Des quatre coins de la terre, je ferai le tour du monde, d’un jour très ordinaire
Je t’écris de ce Rêve de t’avoir tant aimé
Je t’écris éblouie par tant d’humanité
De quelques nuits d’hiver aux saveurs douces-amères
Je t’écris de ces soirs de lumière,
Des yeux émerveillés de cette petite fille
Au pied d’un grand sapin sur la cinquième avenue
Je t’écris d’un départ, d’une valise oubliée
Je t’écris d’un lac blanc où ce couple patine
Je t’écris d’un désert où l’épave d’un bateau se souvient de la mer,
Je t’écris d’une terre où des maisons s’écroulent
Je t’écris de Venise, où les amants s’éveillent au son de vieux clochers
Il y neigera peut-être encore cette année
Je t’écris de la mer, au large de Gibraltar le regard vers Tanger
Je t’écris de l’Afrique où l’on meurt par milliers
Des quatre coins de la terre,
Je t’écris des tranchées de guerres abandonnées
Je t’écris d’un baiser, de ce banc de Paris
Où deux amants s’enlacent dans leur éternité
Et que rien ni personne ne pourrait déranger
Je t’écris d’un café, de l’aile d’un avion
Où nos mémoires s’enlacent dans ton éternité
Et que rien ni personne ne pourrait m’enlever
Je t’écris de ces ciels de quart monde
Où les corps si légers d’enfants trop peu nourris s’élèvent sans faire de bruit
Je t’écris de la rue où l’on danse et l’on chante
Je t’écris du plumier d’un vieillard solitaire à la chambre oubliée
Je t’écris de la part de ces dieux impuissants aux noms desquels on tue
Je t’écris de la main de ces hommes de paix qui n’ont pas renoncé
Je t’écris de la Seine, la tour Eiffel y brille dans des reflets passés
Je t’écris du souvenir d’un baiser par milliers
Des quatre coins de la terre, je ferai le tour du monde, d’un jour très ordinaire
Je t’écris de ce Rêve de t’avoir tant aimé
Je t’écris éblouie par tant d’humanité
Mer 05 Déc 2007, 10:39 par
coralinedesy sur L'amour en vrac
La cabane au bord de l’océan
J’ai fait un rêve ! J’ai rêvé qu’une déesse m’a rendu visite, ici là ou j’habite, sur terre, dans ma cabane modeste au bord de l’océan, au milieu de nulle part,là ou même les hommes s’abstiennent de venir.
J’ai cru faire un rêve, j’ai cru qu’une déesse m’a regardé avec ses yeux célestes, qu’elle m’a pris la main et a murmuré à mon oreille des choses avec sa bouche divine, j’ai rêvé qu’une déesse s’est enfuie de son château de nuages blancs, pour venir me voir tard le soir.
C’est insensé…mais j’ai cru qu’elle aimait bien rester chez moi regarder les vagues agitées de cet océan infini, s’éventrer sur les roches, qu’elle aimait écouter mes histoires de pêcheur,et j’ai songé qu’elle aimait bien le feu insuffisant de ma cheminé antique, et le goût ordinaire de mon pain froid.
Moi…je passé mon temps à la contempler, à apprécier ses gestes parfaits, à sentir son parfum enchanteur, et à l’aube, quand le temps venait pour elle de partir, je tenais mon cœur déchiré en essayant de ne pas de la retenir, car je savais bien que sa place n’était pas ici.
Je faisais ce rêve tous les soirs, en me disant que c’était peut-être pas juste un rêve, c’est dur pour moi de le savoir, car j’ai toujours eu l’impression que mes rêves sont plus vrais que la réalité. Aux bouts des jours, je me suis habitué à mon invitée nocturne, j’ai commencé à m’attacher à mon rêve impossible, et j’ai…aimé
Une nuit d’automne, alors que je l’attendais, ma déesse n’est pas venue, je l’ai attendue toute la nuit, et les nuits qui suivaient, jour après jour j’ai commencé à penser que c’était juste un rêve, et j’ai perdu le gout du sommeil.
Les nuits sont longues, et je n’ai pas appris à me passer d’elle, j’essaie de protéger mon cœur fragile du froid qui gagne la cabane soir après soir, je vois les étoiles qu’on a comptées tout au long des nuits disparaitre de mon ciel, jusqu’à ce que j’arrive plus à me souvenir de leurs contours, assis sur mes genoux, regardant le ciel en me disant
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai pensé que tu le sais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois laisser tomber
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai cru que tu le savais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois te laisser partir
Assis sur ma chaise de bois, espérant un regard de toi, car on m’a dit que les dieux observaient les hommes par au dessus de leurs nuages, alors je guette tous les soirs…une simple attention de toi, j’attends tous les jours le moindre écho venu du ciel
On m’a dit que les dieux ne peuvent pas tombé amoureux des mortels, on m’a dit que les dieux n’avaient pas de temps à consacrer aux hommes…pourtant, je ne peux empêcher mon cœur d’espérer, je ne peux empêcher mon cœur d’aimer, même si tu me vois pas, même si mon amour est insignifiant… je t’aime ! Je t’aime avec tout ce que mon pauvre cœur de mortel peut aimer, je t’aime même si je suis invisible, je t’aime même si tu habites le cieux, et moi la terre, je t’aime même si je suis une chose insignifiante et infime dans ton monde, je t’aime même si tu est éternelle et moi éphémère, je t’aime même si tu es une déesse…et moi juste un mortel.
la suite sur : www.theheartbreak.blogspot.com
J’ai cru faire un rêve, j’ai cru qu’une déesse m’a regardé avec ses yeux célestes, qu’elle m’a pris la main et a murmuré à mon oreille des choses avec sa bouche divine, j’ai rêvé qu’une déesse s’est enfuie de son château de nuages blancs, pour venir me voir tard le soir.
C’est insensé…mais j’ai cru qu’elle aimait bien rester chez moi regarder les vagues agitées de cet océan infini, s’éventrer sur les roches, qu’elle aimait écouter mes histoires de pêcheur,et j’ai songé qu’elle aimait bien le feu insuffisant de ma cheminé antique, et le goût ordinaire de mon pain froid.
Moi…je passé mon temps à la contempler, à apprécier ses gestes parfaits, à sentir son parfum enchanteur, et à l’aube, quand le temps venait pour elle de partir, je tenais mon cœur déchiré en essayant de ne pas de la retenir, car je savais bien que sa place n’était pas ici.
Je faisais ce rêve tous les soirs, en me disant que c’était peut-être pas juste un rêve, c’est dur pour moi de le savoir, car j’ai toujours eu l’impression que mes rêves sont plus vrais que la réalité. Aux bouts des jours, je me suis habitué à mon invitée nocturne, j’ai commencé à m’attacher à mon rêve impossible, et j’ai…aimé
Une nuit d’automne, alors que je l’attendais, ma déesse n’est pas venue, je l’ai attendue toute la nuit, et les nuits qui suivaient, jour après jour j’ai commencé à penser que c’était juste un rêve, et j’ai perdu le gout du sommeil.
Les nuits sont longues, et je n’ai pas appris à me passer d’elle, j’essaie de protéger mon cœur fragile du froid qui gagne la cabane soir après soir, je vois les étoiles qu’on a comptées tout au long des nuits disparaitre de mon ciel, jusqu’à ce que j’arrive plus à me souvenir de leurs contours, assis sur mes genoux, regardant le ciel en me disant
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai pensé que tu le sais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois laisser tomber
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai cru que tu le savais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois te laisser partir
Assis sur ma chaise de bois, espérant un regard de toi, car on m’a dit que les dieux observaient les hommes par au dessus de leurs nuages, alors je guette tous les soirs…une simple attention de toi, j’attends tous les jours le moindre écho venu du ciel
On m’a dit que les dieux ne peuvent pas tombé amoureux des mortels, on m’a dit que les dieux n’avaient pas de temps à consacrer aux hommes…pourtant, je ne peux empêcher mon cœur d’espérer, je ne peux empêcher mon cœur d’aimer, même si tu me vois pas, même si mon amour est insignifiant… je t’aime ! Je t’aime avec tout ce que mon pauvre cœur de mortel peut aimer, je t’aime même si je suis invisible, je t’aime même si tu habites le cieux, et moi la terre, je t’aime même si je suis une chose insignifiante et infime dans ton monde, je t’aime même si tu est éternelle et moi éphémère, je t’aime même si tu es une déesse…et moi juste un mortel.
la suite sur : www.theheartbreak.blogspot.com
Mar 27 Nov 2007, 10:34 par
heartbreakid sur Histoires d'amour
Quand vient le soir ( 2 )...
La nuit est sombre
Une nuit encore où
Je me retrouve dans la pénombre
Perdue
Au milieu de mes idées noires
Comme tous les soirs
Je voudrais ne pas me réveiller
Afin que mes angoisses soient enterrées
Pour l’éternité...
Marie
Une nuit encore où
Je me retrouve dans la pénombre
Perdue
Au milieu de mes idées noires
Comme tous les soirs
Je voudrais ne pas me réveiller
Afin que mes angoisses soient enterrées
Pour l’éternité...
Marie
Lun 30 Avril 2007, 22:12 par
Satine sur Mille choses
Cafard ... du soir ...
je m’étire et je fume
les yeux à demi-clos
j’aperçois le clair de lune
qui brille derrière mes carreaux
un peu de vin d’orange
me réchauffe le sang
me fait voir passer des anges
c’est une façon de tuer le temps
de tuer le cafard
les idées noire
de tous les soirs
un ou deux somnifères
seront-ils suffisants
pour passer la nuit entière
à dormir en me foutant
de ne pas pouvoir
ne pas le voir
ni lui dire bonsoir
Françoise Hardy
les yeux à demi-clos
j’aperçois le clair de lune
qui brille derrière mes carreaux
un peu de vin d’orange
me réchauffe le sang
me fait voir passer des anges
c’est une façon de tuer le temps
de tuer le cafard
les idées noire
de tous les soirs
un ou deux somnifères
seront-ils suffisants
pour passer la nuit entière
à dormir en me foutant
de ne pas pouvoir
ne pas le voir
ni lui dire bonsoir
Françoise Hardy
Mer 18 Oct 2006, 06:18 par
coeur lourd sur L'amour en vrac
Le conte de fée que je suis en train de vivre
Je t’aime pour ton charme naturel et ton image si soignée.
Je t’aime pour la tendresse que tu libères et ta gentillesse spontané ;
Je t’aime pour ta fraîcheur incroyable et ton entrain enchanteur,
Je t’aime aussi parce que c’est toi et que tu fais battre mon coeur.
Tu es le conte de fée que je suis en train de vivre, la fable que je m’attache à t’écrire,
L’histoire d’un ami que j’aime tellement pour lui décrire, ce qu’il m’évoque et ce qu’il m’inspire ;
Je t’aime alors ne va pas partir, car seul sans toi je pourrai mourir…
Les mois défilent,
Les jours s’effacent et les minutes s’enfuient,
Une seconde sans toi est un instant de calme plat,
Un moment où le temps attend que tu sois là.
Ton absence n’apporte qu’une seule présence,
Celle du silence qui surpasse l’espérance,
L’espoir de te revoir non pas sur un miroir,
Mais tôt ou tard sur ton si beau regard.
Couché dans mon lit, je dépasse la vérité,
J’imagine, je pense sans rien me limiter ;
Et le jour où je viendrai te retrouver,
Ce sera un rêve devenu réalité.
Tu déclenches en moi les larmes de peine et les cris de joie,
Tu éveilles mon cœur de passion et mon être d’émoi ;
Tu fais naître mes frissons par la chaleur de ta voix,
Tu donnes vie à mon secret d’être amoureuse de toi.
S’il faut quitter cette terre,
S’il se créer des frontières,
Si l’on nous met des barrières
Alors je ne veux pas me taire,
Te dire ô combien je t’aime karim,
Que je t’aime du plus profond de mon petit cœur ;
J’ai consacré des mois, matins et soirs,
A te l’écrire avant qu’il ne soit trop tard.
Par une histoire, par un poème,
Qu’il soit d’amour ou d’amitié,
Peu importe ce que je sème,
Je veux tout simplement t’aimer.
Mon cœur pour toi bat très très fort,
Et cela reste inexpliqué,
Peur de le dire ou d’avoir tort,
Tant pis je veux te le crier.
Aujourd’hui je t’ouvre mon cœur,
Je t’offre ces mots en bouquet de fleurs
En espérant qu’ils auront assez de valeur
Pour que les pétales gardent leurs couleurs.
En t’offrant le monde rien ne changera,
Ton sourire et ta joie ne s’achètent pas,
Ta précieuse amitié ne s’invente pas,
Et ton amour se méritera.
Un rien de toi n’est pas assez pour moi,
Seul sans toi je ne suis plus moi,
Un peu de toi est signe de joie,
Seul avec toi je resterai là.
On s’écoute on s’écrit, on vit au jour le jour,
On se parle, chacun à notre tour,
Mais la valeur, on s’en rend compte toujours
A force d’aimer, a en mourir d’amour.
Tu m’apportes le bonheur qu’il me faut, ta présence fait naître un ciel d’été,
Tu fais disparaître tous les nuages, tu évoques le soleil sur la plage,
En moi vit un bel orage, ce coup de foudre qui fait rage,
Qui ne cessera jamais de briller, en un éclair d’éternité.
Je t’offre un poème en vers, en suites,
Où je me permets de dépasser les limites,
Sans pour autant sauter les barrières,
Je garde les pieds sur Terre.
Mais quoi de plus beau que de finir ce poème,
Si ce n’est que par le plus beau des « Je t’aime » ;
Je t’aime pour la tendresse que tu libères et ta gentillesse spontané ;
Je t’aime pour ta fraîcheur incroyable et ton entrain enchanteur,
Je t’aime aussi parce que c’est toi et que tu fais battre mon coeur.
Tu es le conte de fée que je suis en train de vivre, la fable que je m’attache à t’écrire,
L’histoire d’un ami que j’aime tellement pour lui décrire, ce qu’il m’évoque et ce qu’il m’inspire ;
Je t’aime alors ne va pas partir, car seul sans toi je pourrai mourir…
Les mois défilent,
Les jours s’effacent et les minutes s’enfuient,
Une seconde sans toi est un instant de calme plat,
Un moment où le temps attend que tu sois là.
Ton absence n’apporte qu’une seule présence,
Celle du silence qui surpasse l’espérance,
L’espoir de te revoir non pas sur un miroir,
Mais tôt ou tard sur ton si beau regard.
Couché dans mon lit, je dépasse la vérité,
J’imagine, je pense sans rien me limiter ;
Et le jour où je viendrai te retrouver,
Ce sera un rêve devenu réalité.
Tu déclenches en moi les larmes de peine et les cris de joie,
Tu éveilles mon cœur de passion et mon être d’émoi ;
Tu fais naître mes frissons par la chaleur de ta voix,
Tu donnes vie à mon secret d’être amoureuse de toi.
S’il faut quitter cette terre,
S’il se créer des frontières,
Si l’on nous met des barrières
Alors je ne veux pas me taire,
Te dire ô combien je t’aime karim,
Que je t’aime du plus profond de mon petit cœur ;
J’ai consacré des mois, matins et soirs,
A te l’écrire avant qu’il ne soit trop tard.
Par une histoire, par un poème,
Qu’il soit d’amour ou d’amitié,
Peu importe ce que je sème,
Je veux tout simplement t’aimer.
Mon cœur pour toi bat très très fort,
Et cela reste inexpliqué,
Peur de le dire ou d’avoir tort,
Tant pis je veux te le crier.
Aujourd’hui je t’ouvre mon cœur,
Je t’offre ces mots en bouquet de fleurs
En espérant qu’ils auront assez de valeur
Pour que les pétales gardent leurs couleurs.
En t’offrant le monde rien ne changera,
Ton sourire et ta joie ne s’achètent pas,
Ta précieuse amitié ne s’invente pas,
Et ton amour se méritera.
Un rien de toi n’est pas assez pour moi,
Seul sans toi je ne suis plus moi,
Un peu de toi est signe de joie,
Seul avec toi je resterai là.
On s’écoute on s’écrit, on vit au jour le jour,
On se parle, chacun à notre tour,
Mais la valeur, on s’en rend compte toujours
A force d’aimer, a en mourir d’amour.
Tu m’apportes le bonheur qu’il me faut, ta présence fait naître un ciel d’été,
Tu fais disparaître tous les nuages, tu évoques le soleil sur la plage,
En moi vit un bel orage, ce coup de foudre qui fait rage,
Qui ne cessera jamais de briller, en un éclair d’éternité.
Je t’offre un poème en vers, en suites,
Où je me permets de dépasser les limites,
Sans pour autant sauter les barrières,
Je garde les pieds sur Terre.
Mais quoi de plus beau que de finir ce poème,
Si ce n’est que par le plus beau des « Je t’aime » ;
Ven 25 Août 2006, 21:09 par
joullia sur Parler d'amour
Jusqu'à ce qu'il joue son "mâle"...
Vous étiez bien ensemble,
Tout du moins en apparence,
Car tu avais un lourd secret
Que personne ne voyait...
Toi tu l’aimais, tu aurais tout fait pour lui,
Lui n’avait qu’une chose en tête, t’avoir dans son lit..
Il a donc joué l’amoureux,
Tu es entré dans son jeu.
Tu ne voyais pas le mal
Jusqu’à ce qu’il joue son "mâle"...
Cet homme si prévenant,
S’est transformé en homme violent;
Il te frappe sans compter,
Ne pensant même pas que tu pourrais y rester...
Ce lourd secret commence à peser,
Mais tu ne peux l’affronter;
Enfuis toi en courant
Avant qu’on ne te retrouve en sang...
Il te frappe tous les soirs
Et personne ne peut ou ne veut le savoir.
Tu sors toujours une excuse,
Pour ces traces, qui jours après jours, t’usent...
Tu ne peux le laisser continuer,
Tu mérites mieux, le bonheur...
Tu dois le quitter et l’oublier,
Et vivre sans plus aucune peur...
Tu metras du temps a oublier les peurs,
Mais tu y arriveras .....
Tu peux le faire comme je l’ai fais ....
Poème dédié à toutes celles qui ont vécu cela...
julia
Tout du moins en apparence,
Car tu avais un lourd secret
Que personne ne voyait...
Toi tu l’aimais, tu aurais tout fait pour lui,
Lui n’avait qu’une chose en tête, t’avoir dans son lit..
Il a donc joué l’amoureux,
Tu es entré dans son jeu.
Tu ne voyais pas le mal
Jusqu’à ce qu’il joue son "mâle"...
Cet homme si prévenant,
S’est transformé en homme violent;
Il te frappe sans compter,
Ne pensant même pas que tu pourrais y rester...
Ce lourd secret commence à peser,
Mais tu ne peux l’affronter;
Enfuis toi en courant
Avant qu’on ne te retrouve en sang...
Il te frappe tous les soirs
Et personne ne peut ou ne veut le savoir.
Tu sors toujours une excuse,
Pour ces traces, qui jours après jours, t’usent...
Tu ne peux le laisser continuer,
Tu mérites mieux, le bonheur...
Tu dois le quitter et l’oublier,
Et vivre sans plus aucune peur...
Tu metras du temps a oublier les peurs,
Mais tu y arriveras .....
Tu peux le faire comme je l’ai fais ....
Poème dédié à toutes celles qui ont vécu cela...
julia
Mer 23 Août 2006, 00:45 par
joullia sur Mille choses
Ecrire sur soirs
Rouge-bouteille, De l'immeuble d'en face, Notre première fois, Un amour infini, Elle brillait de mille feux, mais..., Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii, Chaos, Un dernier baiser, Une vedette, Je t'écris (Marc Levy), La cabane au bord de l’océan, Quand vient le soir ( 2 )..., Cafard ... du soir ..., Le conte de fée que je suis en train de vivre, Jusqu'à ce qu'il joue son "mâle"...,Il y a 29 textes utilisant le mot soirs. Ces pages présentent les textes correspondant.
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