Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur soie - Page 4 sur 5
Ce soir
Encore ce soir je réalise durement que sans toi
Ma vie n’est vraiment plus rien du tout.
Je réalise que je ne suis rien sans toi
Et tes mots doux me manquent beaucoup
Et ta voix, qui, comme une caresse
Glisse délicatement dans mon coeur
Elle m’éteint de toute maladresse
Ce soir mon chéri tu me manques vraiment...
Ce soir j’ai envie de ton corps et de ta chaleur
De ton amour, de ton attention et de ton âme.
Que tu déposes toujours tendrement
Au fond de mon coeur en velour
Comme une éternelle douceur de soie...
Ma vie n’est vraiment plus rien du tout.
Je réalise que je ne suis rien sans toi
Et tes mots doux me manquent beaucoup
Et ta voix, qui, comme une caresse
Glisse délicatement dans mon coeur
Elle m’éteint de toute maladresse
Ce soir mon chéri tu me manques vraiment...
Ce soir j’ai envie de ton corps et de ta chaleur
De ton amour, de ton attention et de ton âme.
Que tu déposes toujours tendrement
Au fond de mon coeur en velour
Comme une éternelle douceur de soie...
Mer 25 Oct 2006, 21:58 par
joullia sur L'amour en vrac
LA LIBELLULE DE SOIE AMOUREUSE
Tout commença a l’aube d’une matinée brumeuse au ciel de rouille, dans l’atmosphère malsaine d’un bois sombre
Derrière un grand champignon de laine se cachait une petite libellule aux ailes de soie
Elle ne pouvait se promenée sur le tapis de fleur ornée de diamants par peur d’une attaque de l’abeille.
Cette abeille se nourrissait de fleurs et d’insectes, pour nourrir sa colonie qui coloniser un vieux fus remplis de miel qu’elle protege,
On entendait au loin le bourdonnement de l’abeille,elle venait cherché son repas quotidien.
Une coccinelle aussi douce qu’un flocon de coton était resté sur le tapis de fleur à se baladé,
Ne voyant pas l ’abeille se dirigé vers elle.
La libellule sortie de sa cachette et chanta pour apporté une diversion, pour que la coccinelle puisse se sauver.
Elle prie la fuite quand l’abeille se jeta sur le champignon détricotant son chapeau.
La petite libellule se prit dans une toile de tissu tissé d’une araignée couturière .......
La libellule s’acrifit sa vie pour sauver la belle coccinelle dont elle ai amoureuse.
julia
Derrière un grand champignon de laine se cachait une petite libellule aux ailes de soie
Elle ne pouvait se promenée sur le tapis de fleur ornée de diamants par peur d’une attaque de l’abeille.
Cette abeille se nourrissait de fleurs et d’insectes, pour nourrir sa colonie qui coloniser un vieux fus remplis de miel qu’elle protege,
On entendait au loin le bourdonnement de l’abeille,elle venait cherché son repas quotidien.
Une coccinelle aussi douce qu’un flocon de coton était resté sur le tapis de fleur à se baladé,
Ne voyant pas l ’abeille se dirigé vers elle.
La libellule sortie de sa cachette et chanta pour apporté une diversion, pour que la coccinelle puisse se sauver.
Elle prie la fuite quand l’abeille se jeta sur le champignon détricotant son chapeau.
La petite libellule se prit dans une toile de tissu tissé d’une araignée couturière .......
La libellule s’acrifit sa vie pour sauver la belle coccinelle dont elle ai amoureuse.
julia
Mer 13 Sep 2006, 21:34 par
joullia sur Histoires d'amour
Mon cœur est à présent de diamant
Venant de mon cœur, venu de mon âme,
J’écris d’une main qui tremble un peu de peur,
Ce poème d’amour en faibles lueurs,
En t’exprimant simplement la grandeur,
De l’amour qui crée mon bonheur,
De mes sentiments remplis de douceur…
Je te crie mon amour,
Un chant est là pour te le faire entendre,
Je t’envoie ce rossignol pour
Qu’il te chuchote mon amour,
Hélas le rossignol s’est envolé…
Laissant derrière lui les secrets
Des sentiments inachevés.
Mais pendant son envol il a laissé tomber,
Dans la paume de ta main ces morceaux de poèmes…
Tu resteras de marbre ou muet,
Me laissant dans le silence et l’ignorance,
Face à ce poème qui n’a qu’une place,
A ce jour celle de mon amour
Qui pour toujours surpasse la normalité…
Mon cœur m’a ouvert les yeux un beau jour,
Et qu’y avait-il à voir ?
Quelque chose ou quelqu’un ?
Peut-être rien aux yeux de beaucoup.
Pourtant me suis-je dit un matin :
Que mon cœur était malade,
Il n’en est rien, il est de jade,
Je continue mon chemin, je continue ma ballade,
Et tout d’un coup, pendant ma promenade solitaire…
J’avais enfin compris mes sentiments,
Mon cœur est à présent de diamant,
Mon cœur a retrouvé la fougue de ma jeunesse.
Puis je t’ai aperçu à nouveau à une soirée,
Parlé par curiosité,
Des liens se sont tissés
Aujourd’hui éloignés, hélas distancés,
Je t’avais espéré, sans cesse imaginé,
Ne change pas, préserve toi, prends soin de toi,
Ce « toi » délicat dont les aléas ont le droit de porter leur choix envers moi,
Cette aura qui m’orientera vers ton habit de soie pour couvrir le froid de ton désarroi,
Oui, il ne tient qu’à toi de demander après moi pour te tenir dans mes bras et te donner de la joie.
Sur ton chemin le pire comme le meilleur,
Agrémenteront ta vie de jours en heures,
Mais je serai près de toi pour t’éviter les malheurs,
Je parsèmerai sous tes pieds des pétales de bonheur,
Pour que ton destin s’épanouisse comme le font les fleurs.
Et que ton chemin ne subisse ni les pleurs ni les douleurs.
Je prendrai soin de te tendre la main,
Au petit matin où tu en ressentiras le besoin.
Je te donnerai les ailes de la liberté,
Et je garderai un oeil attentionné,
Je ne suis pas là pour t’espionner, te coller ou t’enfermer,
Mais pour te protéger, te préserver et te garder.
Tu es un enchantement à mes yeux,
Pas un idéalisme malheureux,
Fais de ton mieux pour rester pur,
Pour ne jamais foncer dans le mur.
Ce n’est vraiment pas facile de te dire de ma voix tremblante,
Par mes maladroits mots l’amour qui m’enchante;
Inexpliqués, compliqués et osés,
Sont les seuls mots que j’ai trouvés.
Pourtant ici les termes sont clairs,
Il n’y a rien de plus sincère,
Que ce que mon coeur te crie à s’en arracher,
Pour que tu l’entendes.
Je t’aime.
J’écris d’une main qui tremble un peu de peur,
Ce poème d’amour en faibles lueurs,
En t’exprimant simplement la grandeur,
De l’amour qui crée mon bonheur,
De mes sentiments remplis de douceur…
Je te crie mon amour,
Un chant est là pour te le faire entendre,
Je t’envoie ce rossignol pour
Qu’il te chuchote mon amour,
Hélas le rossignol s’est envolé…
Laissant derrière lui les secrets
Des sentiments inachevés.
Mais pendant son envol il a laissé tomber,
Dans la paume de ta main ces morceaux de poèmes…
Tu resteras de marbre ou muet,
Me laissant dans le silence et l’ignorance,
Face à ce poème qui n’a qu’une place,
A ce jour celle de mon amour
Qui pour toujours surpasse la normalité…
Mon cœur m’a ouvert les yeux un beau jour,
Et qu’y avait-il à voir ?
Quelque chose ou quelqu’un ?
Peut-être rien aux yeux de beaucoup.
Pourtant me suis-je dit un matin :
Que mon cœur était malade,
Il n’en est rien, il est de jade,
Je continue mon chemin, je continue ma ballade,
Et tout d’un coup, pendant ma promenade solitaire…
J’avais enfin compris mes sentiments,
Mon cœur est à présent de diamant,
Mon cœur a retrouvé la fougue de ma jeunesse.
Puis je t’ai aperçu à nouveau à une soirée,
Parlé par curiosité,
Des liens se sont tissés
Aujourd’hui éloignés, hélas distancés,
Je t’avais espéré, sans cesse imaginé,
Ne change pas, préserve toi, prends soin de toi,
Ce « toi » délicat dont les aléas ont le droit de porter leur choix envers moi,
Cette aura qui m’orientera vers ton habit de soie pour couvrir le froid de ton désarroi,
Oui, il ne tient qu’à toi de demander après moi pour te tenir dans mes bras et te donner de la joie.
Sur ton chemin le pire comme le meilleur,
Agrémenteront ta vie de jours en heures,
Mais je serai près de toi pour t’éviter les malheurs,
Je parsèmerai sous tes pieds des pétales de bonheur,
Pour que ton destin s’épanouisse comme le font les fleurs.
Et que ton chemin ne subisse ni les pleurs ni les douleurs.
Je prendrai soin de te tendre la main,
Au petit matin où tu en ressentiras le besoin.
Je te donnerai les ailes de la liberté,
Et je garderai un oeil attentionné,
Je ne suis pas là pour t’espionner, te coller ou t’enfermer,
Mais pour te protéger, te préserver et te garder.
Tu es un enchantement à mes yeux,
Pas un idéalisme malheureux,
Fais de ton mieux pour rester pur,
Pour ne jamais foncer dans le mur.
Ce n’est vraiment pas facile de te dire de ma voix tremblante,
Par mes maladroits mots l’amour qui m’enchante;
Inexpliqués, compliqués et osés,
Sont les seuls mots que j’ai trouvés.
Pourtant ici les termes sont clairs,
Il n’y a rien de plus sincère,
Que ce que mon coeur te crie à s’en arracher,
Pour que tu l’entendes.
Je t’aime.
Jeu 24 Août 2006, 22:58 par
joullia sur Parler d'amour
L'atre de ton corps
Je ferai de ton corps la terre de mes conquêtes
J’allumerai dans tes yeux tous les astres des galaxies
Explorer ou bien encore inconue
De ta langue je ferai une flamme et de ta bouche l’âtre
Je ferai de chaque jour une éternelle fête
Un feu d’artifice vetu de mille eclat de couleurs
Que meme le plus jolie des arc en ciel
se sentiraient fade
Je ferai de ton corps une vaste mer
Où je plongerai pour cueillir perles et corail
Je ferai de tout lieu mon paradis, un sérail
-Mytilène, où on jure plaisir et on vénère la chair
Je ferai de tes yeux un soleil et une lune
Pour qu’ils brillents a jamais
Je ferai de ton coprs mon terain de jeux
Où ma langue errerait et mon âme chercherait la paix
Je ferai de tes longues jambes une voie
Qui mène vers ton écrin couvert de soie
Où mes doigts composeraient ton hymne et où ...
J’allumerai dans tes yeux tous les astres des galaxies
Explorer ou bien encore inconue
De ta langue je ferai une flamme et de ta bouche l’âtre
Je ferai de chaque jour une éternelle fête
Un feu d’artifice vetu de mille eclat de couleurs
Que meme le plus jolie des arc en ciel
se sentiraient fade
Je ferai de ton corps une vaste mer
Où je plongerai pour cueillir perles et corail
Je ferai de tout lieu mon paradis, un sérail
-Mytilène, où on jure plaisir et on vénère la chair
Je ferai de tes yeux un soleil et une lune
Pour qu’ils brillents a jamais
Je ferai de ton coprs mon terain de jeux
Où ma langue errerait et mon âme chercherait la paix
Je ferai de tes longues jambes une voie
Qui mène vers ton écrin couvert de soie
Où mes doigts composeraient ton hymne et où ...
Sam 29 Juil 2006, 16:20 par
joullia sur L'amour en vrac
Entre nous soit dit:
Tu es terriblement touche-à-tout
- Touche-moi, touche-moi encore
Tu es corset autour de ma taille
- Embrasse-moi, embrasse-moi encore
Tu es soie sur mes seins
- Caresse-moi, caresse-moi encore
Tu es désir chaud ardent dans mon ventre
- Trouble-moi, trouble-moi encore
Tu es frôlement qui coupe le souffle
- Effleure-moi, effleure-moi encore
Tu es je-veux-tout-de-toi et le reste
Tu es je t’aime dans nos nuits, dans nos jours
Tu es j’ai en moi chacun de tes gestes
Tu es terriblement mon amour.
- Touche-moi, touche-moi encore
Tu es corset autour de ma taille
- Embrasse-moi, embrasse-moi encore
Tu es soie sur mes seins
- Caresse-moi, caresse-moi encore
Tu es désir chaud ardent dans mon ventre
- Trouble-moi, trouble-moi encore
Tu es frôlement qui coupe le souffle
- Effleure-moi, effleure-moi encore
Tu es je-veux-tout-de-toi et le reste
Tu es je t’aime dans nos nuits, dans nos jours
Tu es j’ai en moi chacun de tes gestes
Tu es terriblement mon amour.
Sam 18 Fév 2006, 07:05 par
Lou sur Un monde parfait
Voyage aller
Je traverse les cieux allant à ta rencontre
Je conte les nuages au soleil qui se montre.
L’envie de te revoir, de laisser mes caresses
Parcourir tout ton corps, et ta nuque, et tes fesses,
Cette envie, ces désirs m’étreignent tout entier
Et j’attends impatient de lâcher mes baisers.
Tels une lionne en cage ils tournent dans mon coeur
Mais leurs crocs sont de soie, leurs griffes de bonheur.
J’espère de mes lèvres caresser ton sourire
Et sentir ton étreinte répondre à mon plaisir.
Et je saurai alors si ce voyage aller
Mène vers l’avenir, ou bien vers le passé.
Je conte les nuages au soleil qui se montre.
L’envie de te revoir, de laisser mes caresses
Parcourir tout ton corps, et ta nuque, et tes fesses,
Cette envie, ces désirs m’étreignent tout entier
Et j’attends impatient de lâcher mes baisers.
Tels une lionne en cage ils tournent dans mon coeur
Mais leurs crocs sont de soie, leurs griffes de bonheur.
J’espère de mes lèvres caresser ton sourire
Et sentir ton étreinte répondre à mon plaisir.
Et je saurai alors si ce voyage aller
Mène vers l’avenir, ou bien vers le passé.
Mer 08 Fév 2006, 18:28 par
l'homme de sable sur L'amour en vrac
Lorsque les mots ne viennent pas...
De nouveau, je me retrouve face à l’incapacité de parler d’amour, de le saisir, de l’étreindre, même par le fil de l’écrit. Les raisons ont changés cependant. S’il m’était impossible auparavant d’éprouver plus qu’une simple illusion, un baume factice et vain offert à d’autres, quelque absence qui finissait par se déliter, plus vite encore lorsque j’y cherchais autre chose; désormais, les mots me manquent, car ils me paraissent trop pauvres.
Face à toi, l’ineffable. Et ce besoin de te dire comme une rumeur qui enfle, le ressac, l’avalanche de paroles informelles qui oblitère le souffle mais qui, jamais, ne prend corps. Je porte en moi de longs requiems muets dont les nuances, sans mélodies, finissent par m’échapper. Luttes, oui, contre ces flots qui jamais ne reculent, me laissant sans voix, naufragée sur un Je t’aime presque agonisant.
Et pourtant il me faudrait le crier, même lorsque tu le lis dans mes yeux, dans mes baisers, sur mon corps. Sais-tu seulement combien...?
Combien il est difficile de désapprendre l’artifice et la fuite, combien cette envie de me mettre à nu m’apparaît étrangère, et terrifiante aussi, parce que tout cela m’est désormais profondément égal.
Je suis ici pour accoucher de ces mots, jusqu’à ce qu’ils glissent, fluides et tendres comme la soie, étoffe libre sous laquelle nous nous noyerons ensemble. Enfin.
Lun 30 Jan 2006, 22:13 par
Escarbille sur Parler d'amour
Le sentiment d'amour.
Le sentiment d’amour est une chose immatérielle,
Pourtant il peut être doux comme de la soie,
Tranchant comme une épée,
Agité et défiguré comme la mer,
Calme et serein comme le ciel,
Délicat comme tes mains,
Sanglant comme un combat,
Que l’on mène chaque jour,
A trouver son amour...
Lun 07 Nov 2005, 21:01 par
leoz sur Mille choses
tout en toi est féminin..
ta féminité me bouleverse
mon amoureuse…
femme tu l’es tellement,
dans tes gestes, tes poses,
ton allure aussi.
Tu es là, mon amante…
mes yeux n’ont pas fini leur voyage…et déjà
voilà mes mains qui se tendent jusqu’à te frôler…
encore un instant…ne pas retrouver le grain de ta peau,
pas encore, pas tout de suite…
ne pas me laisser piéger par mon désir…
te posséder visuellement,
m’approprier ce que tu m’abandonnes…tout…
mon amour...tu te fais mienne,
du bout de tes doigts…
à ton premier soupir,
de ta chevelure bouclée, emmêlée,
à ce cri à peine contenu, si peu retenu…
Tu te laisses contempler…tu m’aimes…
tu me laisses abuser de la situation…
alors, j’abuse , je vais…à mon gré..
et c’est de la soie qui caresse mon regard…je t’aime…
la couleur de ta peau…dorée ici…
laiteuse là…presque transparente…
le vert de mes yeux s’y refléterait bien…oui,
une empreinte verte sur chacune des sommités sombres
qui couronnent tes seins…lourds, dis-tu…non,
ajustés à mes mains…faits pour leurs caresses…pas déjà…
je laisse mes yeux les dessiner,
les sculpter, apprécier chaque détail…
c’est selon la lumière, ta posture, ta respiration.
toi, tu me regardes…troublée,
tu suis mes yeux baladeurs…oui, suis moi…
j’ai envie de t’emmener là…
je veux que tu te voies à travers moi,
comme jamais tu ne t’es vue…
comme jamais tu ne te verras…
lis-moi, accroche-toi à mon regard…
viens…d’abîmes en cimes…
ici, je te chemine, inlassablement…
je cerne ce grain de beauté,
sur le côté de ton sein droit…
un îlot où mes lèvres se poseront…pas encore…
là, je m’arrête…un clair-obscur m’interpelle...
tes deux seins radieusement lumineux,
et plongé dans l’ombre, entre ces deux-là,
un sillon que trace mon doigt…
de haut en bas…
encore plus bas…
jusqu’à se perdre…en toi
jusqu’à te trouver…mon impatiente
jusqu’à me troubler…infiniment…oui,
le faire durer ce voyage…longtemps…
Tes yeux ne quittent pas les miens..
mon amour, là c’est toi qui me tiens…
j’ai envie de te savoir…tellement…
besoin de te lire…de ton regard
sur le mien…laisse-le me dire
ton désir de moi…
reste là…attarde-toi…
je veux profiter de tout…
de chaque battement…
de tes cils…de ton cœur…
de chaque tressaillement…
de tes paupières…les effleurer…
de ta cambrure…à peine frôlée…
je veux t’apprendre…
sur le bout de mes doigts…
du bout de ma langue…
je veux te connaître…complètement…
telle que tu es…
telle que tu t’offres…
telle que je t’aime…
Délicieusement alanguie,
tu poses ton amour…
tu me demandes…sans un mot…
du noisette de tes yeux,
au vert des miens…te saisir…oui,
te toucher, te vouloir…maintenant..
une douce souffrance, parfois,
ce désir et cette tendresse confondus…
qui me tiennent, ne me lâchent pas…
oui, mon bonheur…je veux
t’aimer pour les jours où tu n’es pas là..
t’aimer pour ces nuits sans toi avec moi…
t’aimer pour toi…te le dire…
te dire que j’aime ma vie avec toi...
t’aimer…oublie tes craintes…
te tenir…laisse-moi les apaiser…
t’aimer...te savoir dans ces états là…
te sentir…j’ai envie de toi…
t’aimer…te regarder avec douceur…
te goûter…encore et encore…
t’aimer…surprendre ton plaisir…
te deviner, te trouver…voilà…
j’aime quand, ton corps sous le mien,
tu commences par rire…
tu finis par jouir…
mon amoureuse…
femme tu l’es tellement,
dans tes gestes, tes poses,
ton allure aussi.
Tu es là, mon amante…
mes yeux n’ont pas fini leur voyage…et déjà
voilà mes mains qui se tendent jusqu’à te frôler…
encore un instant…ne pas retrouver le grain de ta peau,
pas encore, pas tout de suite…
ne pas me laisser piéger par mon désir…
te posséder visuellement,
m’approprier ce que tu m’abandonnes…tout…
mon amour...tu te fais mienne,
du bout de tes doigts…
à ton premier soupir,
de ta chevelure bouclée, emmêlée,
à ce cri à peine contenu, si peu retenu…
Tu te laisses contempler…tu m’aimes…
tu me laisses abuser de la situation…
alors, j’abuse , je vais…à mon gré..
et c’est de la soie qui caresse mon regard…je t’aime…
la couleur de ta peau…dorée ici…
laiteuse là…presque transparente…
le vert de mes yeux s’y refléterait bien…oui,
une empreinte verte sur chacune des sommités sombres
qui couronnent tes seins…lourds, dis-tu…non,
ajustés à mes mains…faits pour leurs caresses…pas déjà…
je laisse mes yeux les dessiner,
les sculpter, apprécier chaque détail…
c’est selon la lumière, ta posture, ta respiration.
toi, tu me regardes…troublée,
tu suis mes yeux baladeurs…oui, suis moi…
j’ai envie de t’emmener là…
je veux que tu te voies à travers moi,
comme jamais tu ne t’es vue…
comme jamais tu ne te verras…
lis-moi, accroche-toi à mon regard…
viens…d’abîmes en cimes…
ici, je te chemine, inlassablement…
je cerne ce grain de beauté,
sur le côté de ton sein droit…
un îlot où mes lèvres se poseront…pas encore…
là, je m’arrête…un clair-obscur m’interpelle...
tes deux seins radieusement lumineux,
et plongé dans l’ombre, entre ces deux-là,
un sillon que trace mon doigt…
de haut en bas…
encore plus bas…
jusqu’à se perdre…en toi
jusqu’à te trouver…mon impatiente
jusqu’à me troubler…infiniment…oui,
le faire durer ce voyage…longtemps…
Tes yeux ne quittent pas les miens..
mon amour, là c’est toi qui me tiens…
j’ai envie de te savoir…tellement…
besoin de te lire…de ton regard
sur le mien…laisse-le me dire
ton désir de moi…
reste là…attarde-toi…
je veux profiter de tout…
de chaque battement…
de tes cils…de ton cœur…
de chaque tressaillement…
de tes paupières…les effleurer…
de ta cambrure…à peine frôlée…
je veux t’apprendre…
sur le bout de mes doigts…
du bout de ma langue…
je veux te connaître…complètement…
telle que tu es…
telle que tu t’offres…
telle que je t’aime…
Délicieusement alanguie,
tu poses ton amour…
tu me demandes…sans un mot…
du noisette de tes yeux,
au vert des miens…te saisir…oui,
te toucher, te vouloir…maintenant..
une douce souffrance, parfois,
ce désir et cette tendresse confondus…
qui me tiennent, ne me lâchent pas…
oui, mon bonheur…je veux
t’aimer pour les jours où tu n’es pas là..
t’aimer pour ces nuits sans toi avec moi…
t’aimer pour toi…te le dire…
te dire que j’aime ma vie avec toi...
t’aimer…oublie tes craintes…
te tenir…laisse-moi les apaiser…
t’aimer...te savoir dans ces états là…
te sentir…j’ai envie de toi…
t’aimer…te regarder avec douceur…
te goûter…encore et encore…
t’aimer…surprendre ton plaisir…
te deviner, te trouver…voilà…
j’aime quand, ton corps sous le mien,
tu commences par rire…
tu finis par jouir…
Sam 24 Sep 2005, 16:39 par
danslalune sur La vie à deux
Rêver d'une aube...
...où je m’éveille avec toi, où mon premier geste est pour te caresser. Je promène ma main sur ta peau et sur la soie des draps et je ne sens pas de différence. J’embrasse tes yeux, tes cheveux, j’effleure tes cils de mes lèvres, puis ta joue, la droite, celle qui porte ce ravissant grain de beauté. Je perds ma bouche sur ton cou, j’avale le lobe de ton oreille. Enfin, je dérobe ton premier baiser. Nous mêlons nos langues et nos souffles et je me délecte de ta tendresse, de la succulence de ce premier instant sensuel, présage d’une matinée charnelle. Je m’étends sur toi et te gave de gestes lascifs, te saôule de mots impudiques. Je veux t’inciter à me faire l’amour avant même de m’avoir dit "bonjour". Je rêve de ces heures chaudes au creux de ta passion, j’aspire à cette fusion matinale, à tes pulsions fébriles...demain, peut-être.
Lun 01 Août 2005, 12:47 par
syolann sur Les liaisons sulfureuses
Pentes abruptes dans le canal étroit des mots
Pour me hisser à sa hauteur c’est comme s’il me fallait
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens
par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor
dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs
son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance
elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois
son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie
nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique
son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme
il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé
si près de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit
et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens
par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor
dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs
son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance
elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois
son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie
nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique
son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme
il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé
si près de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit
et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
Mar 08 Fév 2005, 19:59 par
avedekian sur La séduction
Amour, amour, toujours
Que votre amour et votre ferveur soient sans limite, que l’exces d’abus soit votre credo, et que les nuits de soie nourrissent votre libido. Que les femmes connaissent les plus belles etreintes, et que les hommes les leur donne dans la plus torride des passions. Et que tous et toutes vous meliez initimement cette passion des corps à la beauté de l’âme.
Je vous souhaite de l’amour, en cette nouvelle année 2005.
Je vous souhaite de l’amour, en cette nouvelle année 2005.
Mar 04 Jan 2005, 00:32 par
PetitPrince sur Edito
Comme je vous querelle...
Sable chaud de bon matin…
Rivière salée non accompagnée…
Pâté de soleil et joie dissimulée…
Brise de lune, chagrin…
Caresse échaudée sans prier…
Bain de minuit à l’année…
Crustacé s’en languit…
Carapace de bout d’espoir…
Passoire avenante…
Pêche aux merveilles…
Polissables sans écailles…
Pas son pareil… Pour tromper…
Elle lui glissa du bout des doigts, tant bien même une huître vous coule le long du gosier… Faisant sa place au chaud, toute gesticulante… Couverture de son amertume citronnée, et s’en presse, et se laisse différée sans faiblesse…
Il l’attrape et l’attache de sangles ardentes… Cinquième étage pour brûlure irréparable, il jure la fouetter, l’entacher… L’assassinera, la salira, la souillera… Tapis de pied pour rentrée boueuse du pas de porte au pas de sans Lys… S’enlise et s’y glisse, silhouette sans selle, serpette alléchante…
Coquine réserve sans détour effacée par l’oubli inadvertance de l’usure la plus pure… Présente passée au futur composé des antérieurs parfaits… Cassonade poivrée sur lit imagé… Accumulation anaphorique d’antagonismes lyriques…
Je lui aurais promit… Epine de Rose sur plateau d’argent… Champagne allant, Bourgogne cédant… Je lui aurais juré… Souvenir morose de ces soirs parfumés au bonheur de nos doigts sous la croupe des voix… Je lui avais dit… Bedeau tardif sous la nef ensorcelée de nos prières inachevées par les soupirs de nos âmes s’envolant loin en Enfer…
Je m’étais juré… Elle et Moi… Moi et Lui… Jamais Elle sans Lui… Toujours Lui sans Elle…
Trépas bleuté des couleurs de nos rêves soufreurs…
Je serais l’Œil…
Cinglante défaite des champs de blé brûlé par l’hiver abasourdit sur les tréteaux de l’été…
Je serais la Main…
Cuisse ardente, mouillé des milles désirs d’un esprit alourdit par la pauvreté d’une oreille riche en calomnies…
Je serais la Voix…
Je serais de Celles, qui toujours sur un drap de soie admire votre membrure à la loupe grossissante… Fidèle à mes chiens… Je serais carnassièrement opposée à ces débats de chères et de sels…
Je serais de Celles… Qui feront de vous un Paradis…
De vos cauchemars un suprême Délice…
Je suis donc Celle… Qui vous dit…
« Je t’aime »
...
Rivière salée non accompagnée…
Pâté de soleil et joie dissimulée…
Brise de lune, chagrin…
Caresse échaudée sans prier…
Bain de minuit à l’année…
Crustacé s’en languit…
Carapace de bout d’espoir…
Passoire avenante…
Pêche aux merveilles…
Polissables sans écailles…
Pas son pareil… Pour tromper…
Elle lui glissa du bout des doigts, tant bien même une huître vous coule le long du gosier… Faisant sa place au chaud, toute gesticulante… Couverture de son amertume citronnée, et s’en presse, et se laisse différée sans faiblesse…
Il l’attrape et l’attache de sangles ardentes… Cinquième étage pour brûlure irréparable, il jure la fouetter, l’entacher… L’assassinera, la salira, la souillera… Tapis de pied pour rentrée boueuse du pas de porte au pas de sans Lys… S’enlise et s’y glisse, silhouette sans selle, serpette alléchante…
Coquine réserve sans détour effacée par l’oubli inadvertance de l’usure la plus pure… Présente passée au futur composé des antérieurs parfaits… Cassonade poivrée sur lit imagé… Accumulation anaphorique d’antagonismes lyriques…
Je lui aurais promit… Epine de Rose sur plateau d’argent… Champagne allant, Bourgogne cédant… Je lui aurais juré… Souvenir morose de ces soirs parfumés au bonheur de nos doigts sous la croupe des voix… Je lui avais dit… Bedeau tardif sous la nef ensorcelée de nos prières inachevées par les soupirs de nos âmes s’envolant loin en Enfer…
Je m’étais juré… Elle et Moi… Moi et Lui… Jamais Elle sans Lui… Toujours Lui sans Elle…
Trépas bleuté des couleurs de nos rêves soufreurs…
Je serais l’Œil…
Cinglante défaite des champs de blé brûlé par l’hiver abasourdit sur les tréteaux de l’été…
Je serais la Main…
Cuisse ardente, mouillé des milles désirs d’un esprit alourdit par la pauvreté d’une oreille riche en calomnies…
Je serais la Voix…
Je serais de Celles, qui toujours sur un drap de soie admire votre membrure à la loupe grossissante… Fidèle à mes chiens… Je serais carnassièrement opposée à ces débats de chères et de sels…
Je serais de Celles… Qui feront de vous un Paradis…
De vos cauchemars un suprême Délice…
Je suis donc Celle… Qui vous dit…
« Je t’aime »
...
Mar 04 Jan 2005, 00:26 par
Rose sur L'amour en vrac
Jeux interdits
Septembre 2003 - Un site de rencontres traditionnelles, un pseudo étrange.... Eveil de ma curiosité ? ... je n’ai pu resister et j’ai donc contacté Jeux Interdit.
Quelques phrases échangés sur le site et très rapidement, comme si j’avais peur de changer d’avis, je lui ai donné mon numéro de téléphone...
Quelques minutes après, j’entend sa voix, masculine, imposante, charismatique... Je suis déjà envoutée. Il m’explique sa vision de la domination. Il m’expose les règles, les conditions... Je suis conquise. Rendez-vous pris pour mercredi 20 h 30, chez lui. Je devrai sonner et tourner le dos à la porte pour qu’il me mette un bandeau sur les yeux... Je ne dois pas le voir tout de suite. Le but ? accentuer le plaisir, le mystère et les sensations.
Mercredi, j’arrive...
Je sonne, me retourne. La porte s’ouvre et je sens sa main évaluer le bas de mes reins. Un foulard de soie enrobe mon regard. Il serre, me retourne et me fait pénétrer dans l’appartement en me guidant. Il ferme la porte. J’ai un peu peur. Je suis chez un homme que je ne connais pas, la porte est fermée et je ne vois rien.
Il me demande de m’agenouiller sur le sol. Il pose un coussin sous mes genoux. Il soulève ma robe, descend mes bretelles pour découvrir mes seins. Je me sens découverte. Il m’ordonne de me carresser devant lui. Je m’execute. Je suis troublée, perturbée, et trempée... Je crois qu’il apprécie, il me demande de le rejoindre sur le lit et de lui offrir la vue de ma croupe...
Je l’entend dire dans un chuchotement "majestueuse"... je suis flattée... mais j’ai envie de ses mains. Pour le moment, il ne m’a pas encore touchée. Enfin, elles se glissent toutes les deux, d’abord sur mes chevilles, remontent sur mes jambes, entre mes cuisses et viennent se nicher dans mon intimité toute chaude.... Il me donnera, ce premier soir, entre petites claques et carresses, un plaisir non dissimulé. Pendant 2 heures, je suis l’objet de son plaisir pour mon plaisir. Chacun y trouvera son compte. Mais je refuse d’enlever le bandeau. J’ai décidé de revenir une deuxième fois, et je préfère garder le mystère. Après quelques douceurs, je repartirai, j’enleverai le bandeau devant la porte, là ou il me l’a mis et je partirai sans me retourner... sans le voir.
Cette expérience de soft domination m’a donné envie de recommencer, pour aller crescendo...
J’attend le contrat qu’il doit m’envoyer par mail...
Je sais déjà que je devrais être disponible dès qu’il m’appellera pour une seconde fois. Je suis consentante, heureuse.
Merci à toi Jeux Interdits
Quelques phrases échangés sur le site et très rapidement, comme si j’avais peur de changer d’avis, je lui ai donné mon numéro de téléphone...
Quelques minutes après, j’entend sa voix, masculine, imposante, charismatique... Je suis déjà envoutée. Il m’explique sa vision de la domination. Il m’expose les règles, les conditions... Je suis conquise. Rendez-vous pris pour mercredi 20 h 30, chez lui. Je devrai sonner et tourner le dos à la porte pour qu’il me mette un bandeau sur les yeux... Je ne dois pas le voir tout de suite. Le but ? accentuer le plaisir, le mystère et les sensations.
Mercredi, j’arrive...
Je sonne, me retourne. La porte s’ouvre et je sens sa main évaluer le bas de mes reins. Un foulard de soie enrobe mon regard. Il serre, me retourne et me fait pénétrer dans l’appartement en me guidant. Il ferme la porte. J’ai un peu peur. Je suis chez un homme que je ne connais pas, la porte est fermée et je ne vois rien.
Il me demande de m’agenouiller sur le sol. Il pose un coussin sous mes genoux. Il soulève ma robe, descend mes bretelles pour découvrir mes seins. Je me sens découverte. Il m’ordonne de me carresser devant lui. Je m’execute. Je suis troublée, perturbée, et trempée... Je crois qu’il apprécie, il me demande de le rejoindre sur le lit et de lui offrir la vue de ma croupe...
Je l’entend dire dans un chuchotement "majestueuse"... je suis flattée... mais j’ai envie de ses mains. Pour le moment, il ne m’a pas encore touchée. Enfin, elles se glissent toutes les deux, d’abord sur mes chevilles, remontent sur mes jambes, entre mes cuisses et viennent se nicher dans mon intimité toute chaude.... Il me donnera, ce premier soir, entre petites claques et carresses, un plaisir non dissimulé. Pendant 2 heures, je suis l’objet de son plaisir pour mon plaisir. Chacun y trouvera son compte. Mais je refuse d’enlever le bandeau. J’ai décidé de revenir une deuxième fois, et je préfère garder le mystère. Après quelques douceurs, je repartirai, j’enleverai le bandeau devant la porte, là ou il me l’a mis et je partirai sans me retourner... sans le voir.
Cette expérience de soft domination m’a donné envie de recommencer, pour aller crescendo...
J’attend le contrat qu’il doit m’envoyer par mail...
Je sais déjà que je devrais être disponible dès qu’il m’appellera pour une seconde fois. Je suis consentante, heureuse.
Merci à toi Jeux Interdits
Ven 24 Déc 2004, 07:24 par
urgentdesir sur Les liaisons sulfureuses
Solène
Elle était là, devant moi, en ce début de soirée et je ne me lassais pas de la regarder. J’aimais beaucoup la détailler : la rousseur de ses longs cheveux qui lui tombaient jusqu’au reins en une cascade luxuriante, faisait ressortir le bleu de ses yeux, ombragés de cils immenses. Ses lèvres, bien dessinées et si charnues avaient la couleur d’une fraise bien mûre.
J’adorais sa prestance, la façon qu’elle avait de s’imposer et d’attirer les regards, sans s’encombrer des mille et une fantaisies dites "typiquement féminines". La sobriété de sa mise, pourtant "classe", tranchait avec les toilettes excentriques des autres femmes de l’assemblée. Elle avait choisi une robe longue, bustier, droite et fendue haut sur la cuisse, en soie beige. Je remarquai qu’elle abandonnait peu à peu ses vêtements sombres de veuve.Elle faisait des progrès car elle s’appropriait à nouveau les couleurs. A chacun de ses gestes, je pouvais voir les tiraillements du tissu sur certains endroits de son corps...et je décidai de trouver cela ravissant! La seule originalité de sa tenue résidait dans des chaussures incroyables aux vertigineux talons dorés.
Maintenant elle ondulait entre les groupes d’invités, s’attardant auprès de certains, afin de cerner leurs conversations. Sa démarche chaloupée, sensuelle s’apparentait à celle d’un félin. Ses jambes fuselées, que j’imaginais douces, se révélaient sous la fente généreuse de sa robe. Aucun débat ne semblait la captiver, elle trouvait tout cela bien sérieux. Son regard planait au loin, je la sentais vraiment ailleurs...Un ailleurs où j’aurais tant aimé avoir ma place. Au fond, je savais qu’elle n’aimait pas ce genre de soirée mondaine, mais, puisqu’elle voulait sortir de la retraite, où son statut de veuve "précoce" l’avait poussé, elle s’était promis de ne refuser aucune invitation. Il serait encore temps de faire le tri après.
Soudain, je la vis fixer avec aplomb un homme grand et brun qui parlait trop fort : il tentait d’impressionner une charmantde demoiselle, tout de blanc vêtue, enveloppée savamment dans une étole d’hermine. Je ne sais pour quelles raisons, mais celui-là elle devait le détester. Elle le toisait d’une façon si singulière. Mais même son mépris, si visible, n’entamait pas la beauté de ses traits. Elle me plaisait, je la voulais.
Lasse du bruit et de ces gens qu’elle jugeait futiles, je la vis se diriger vers le balcon pour y trouver un peu de paix. Là, elle contempla le jardin, enclave de verdure et de fleurs dans cette immense propriété froide.
La brise fraîche de fin d’été s’intensifiait. Dans un geste icarien, elle ouvrit les bras comme pour prendre son envol, mais, je savais, c’était seulement pour mieux s’offrir à la caresse de l’air ambiant. Elle sentait le vent jouer dans ses cheveux, glisser sur ses bras nus, plaquer la soie de sa robe sur son corps. Elle s’émerveilla de la simplicité de ce plaisir et de la sensualité de l’instant. Je me demandais si un tel abandon lui était encore possible dans les bras d’un homme.
C’est là que nos regards ce sont croisés, qu’elle m’a regardé, vraiment pour la première fois.
C’est là que nous avons déclaré la soirée réussie...
Syolann
J’adorais sa prestance, la façon qu’elle avait de s’imposer et d’attirer les regards, sans s’encombrer des mille et une fantaisies dites "typiquement féminines". La sobriété de sa mise, pourtant "classe", tranchait avec les toilettes excentriques des autres femmes de l’assemblée. Elle avait choisi une robe longue, bustier, droite et fendue haut sur la cuisse, en soie beige. Je remarquai qu’elle abandonnait peu à peu ses vêtements sombres de veuve.Elle faisait des progrès car elle s’appropriait à nouveau les couleurs. A chacun de ses gestes, je pouvais voir les tiraillements du tissu sur certains endroits de son corps...et je décidai de trouver cela ravissant! La seule originalité de sa tenue résidait dans des chaussures incroyables aux vertigineux talons dorés.
Maintenant elle ondulait entre les groupes d’invités, s’attardant auprès de certains, afin de cerner leurs conversations. Sa démarche chaloupée, sensuelle s’apparentait à celle d’un félin. Ses jambes fuselées, que j’imaginais douces, se révélaient sous la fente généreuse de sa robe. Aucun débat ne semblait la captiver, elle trouvait tout cela bien sérieux. Son regard planait au loin, je la sentais vraiment ailleurs...Un ailleurs où j’aurais tant aimé avoir ma place. Au fond, je savais qu’elle n’aimait pas ce genre de soirée mondaine, mais, puisqu’elle voulait sortir de la retraite, où son statut de veuve "précoce" l’avait poussé, elle s’était promis de ne refuser aucune invitation. Il serait encore temps de faire le tri après.
Soudain, je la vis fixer avec aplomb un homme grand et brun qui parlait trop fort : il tentait d’impressionner une charmantde demoiselle, tout de blanc vêtue, enveloppée savamment dans une étole d’hermine. Je ne sais pour quelles raisons, mais celui-là elle devait le détester. Elle le toisait d’une façon si singulière. Mais même son mépris, si visible, n’entamait pas la beauté de ses traits. Elle me plaisait, je la voulais.
Lasse du bruit et de ces gens qu’elle jugeait futiles, je la vis se diriger vers le balcon pour y trouver un peu de paix. Là, elle contempla le jardin, enclave de verdure et de fleurs dans cette immense propriété froide.
La brise fraîche de fin d’été s’intensifiait. Dans un geste icarien, elle ouvrit les bras comme pour prendre son envol, mais, je savais, c’était seulement pour mieux s’offrir à la caresse de l’air ambiant. Elle sentait le vent jouer dans ses cheveux, glisser sur ses bras nus, plaquer la soie de sa robe sur son corps. Elle s’émerveilla de la simplicité de ce plaisir et de la sensualité de l’instant. Je me demandais si un tel abandon lui était encore possible dans les bras d’un homme.
C’est là que nos regards ce sont croisés, qu’elle m’a regardé, vraiment pour la première fois.
C’est là que nous avons déclaré la soirée réussie...
Syolann
Mar 17 Août 2004, 17:20 par
syolann sur La séduction
Ecrire sur soie
Ce soir, LA LIBELLULE DE SOIE AMOUREUSE, Mon cœur est à présent de diamant, L'atre de ton corps, Entre nous soit dit:, Voyage aller, Lorsque les mots ne viennent pas..., Le sentiment d'amour., tout en toi est féminin.., Rêver d'une aube..., Pentes abruptes dans le canal étroit des mots, Amour, amour, toujours, Comme je vous querelle..., Jeux interdits, Solène,Il y a 68 textes utilisant le mot soie. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
Tes désirs sont des ordres J'ai lu | |
Le bandeau J'ai lu | |
Homo erectus Gallimard | |
Récits coquins des plaisirs défendus J'ai lu | |
La femme de papier | |
Libérer son écriture et enrichir son style Editions Victoires | |
Proposition perverse | |
Le baton et la carotte La Musardine | |
Dictionnaire des idées suggérées par les mots : trouver le mot juste Le Livre de Poche | |
Exercices de style Gallimard |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Jeu 21 Nov 2024, 19:25
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 353 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 353 Invités et 0 Bots [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 353 le Jeu 21 Nov 2024, 19:24
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Aucun - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes