Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur situation - Page 3 sur 7
Je ne m'aimerai plus
Je suis un connard.
Je suis le premier à en pâtir mais, en effet, je suis un connard.
Comme tous les connards, je ne le suis que pour certains, dans mon cas, je suis un connard pour les filles.
Pour les filles qui m’appécient et surtout pour celles qui m’ont aimé. Je ne suis pas du genre à être aimé du premier coup d’oeil, au contraire, mes relations et mes attachements ont été gagnés après de nombreux efforts.
C’est toujours moi qui m’accroche, bien qu’il m’arrive d’en laisser tomber.
Mais pourquoi suis-je un connard?
Tout simplement, parce que une fois que je me sens aimé par une femme, je me sens tout de suite beaucoup moins attaché à elle, je ressens le besoin d’aller voir ailleurs, je retombe amoureux de quelqu’un d’autre.
Ce genre de situation m’est arrivé bon nombre de fois et à chaque fois, je suis celui qui en souffre le plus : jamais je n’ai ressenti d’amour fusionnel et à chaque nouveau coup de foudre, me revient une question avec toujours plus d’importance. Ne refais tu pas la même erreur ?
Cela fait bien longtemps que je dis tout haut que je ne crois plus en l’amour et chaque début de relation me fait ravaler mes paroles. J’ai toujours l’impression qu’elles sont formidables, que cette fois-ci était la bonne, pour finir après un mois d’amour fusionnel je rencontre quelqu’un pour qui j’ai l’impression de ressentir quelque chose.
Bien qu’à chaque fois j’essaie de faire au maximum la distinction entre désir sexuel et amour, et je dois dire que souvent je me cache à moi même que ce n’est que de simples désirs sexuels, je me retrouve souvent amoureux d’une personne alors que je suis en couple avec une autre.
Mon principal problème étant que, essayant de me stabiliser sur ma relation, je tente de faire abstraction de la deuxieme personne, pour ne pas faire souffrir la première. Je le fais en pensant que cette attirance n’est que temporaire.
Et, à chaque fois, ce n’est temporaire seulement jusqu’au moment où je suis en couple avec la deuxieme personne délaissant l’autre qui m’avait apporté tellement de bonheur et lui donnant tant de malheur.
Je suis le premier à en pâtir mais, en effet, je suis un connard.
Comme tous les connards, je ne le suis que pour certains, dans mon cas, je suis un connard pour les filles.
Pour les filles qui m’appécient et surtout pour celles qui m’ont aimé. Je ne suis pas du genre à être aimé du premier coup d’oeil, au contraire, mes relations et mes attachements ont été gagnés après de nombreux efforts.
C’est toujours moi qui m’accroche, bien qu’il m’arrive d’en laisser tomber.
Mais pourquoi suis-je un connard?
Tout simplement, parce que une fois que je me sens aimé par une femme, je me sens tout de suite beaucoup moins attaché à elle, je ressens le besoin d’aller voir ailleurs, je retombe amoureux de quelqu’un d’autre.
Ce genre de situation m’est arrivé bon nombre de fois et à chaque fois, je suis celui qui en souffre le plus : jamais je n’ai ressenti d’amour fusionnel et à chaque nouveau coup de foudre, me revient une question avec toujours plus d’importance. Ne refais tu pas la même erreur ?
Cela fait bien longtemps que je dis tout haut que je ne crois plus en l’amour et chaque début de relation me fait ravaler mes paroles. J’ai toujours l’impression qu’elles sont formidables, que cette fois-ci était la bonne, pour finir après un mois d’amour fusionnel je rencontre quelqu’un pour qui j’ai l’impression de ressentir quelque chose.
Bien qu’à chaque fois j’essaie de faire au maximum la distinction entre désir sexuel et amour, et je dois dire que souvent je me cache à moi même que ce n’est que de simples désirs sexuels, je me retrouve souvent amoureux d’une personne alors que je suis en couple avec une autre.
Mon principal problème étant que, essayant de me stabiliser sur ma relation, je tente de faire abstraction de la deuxieme personne, pour ne pas faire souffrir la première. Je le fais en pensant que cette attirance n’est que temporaire.
Et, à chaque fois, ce n’est temporaire seulement jusqu’au moment où je suis en couple avec la deuxieme personne délaissant l’autre qui m’avait apporté tellement de bonheur et lui donnant tant de malheur.
Sam 24 Oct 2009, 21:10 par
Pierre sur L'amour en vrac
Amour une drogue ou amour passionnel ?!
Bonjour ou bonsoir Loyd,
Si tu le permets je vais répondre paragraphe par paragraphe...
"Je présente ce passage qui exprime toute la dureté que peut être un amour passionnel qui se dérobe à vous, vous plongeant le plus grand chaos et comparant cette situation à juste à titre à celle d’un junkie en manque de sa came ! "
Bon, pour toi, l’amour passionnel c’est ça ? Soit. Pour moi cette définition c’est celle de l’amour fusionnel ; ce type d’amour qui fait qu’on a vis-à-vis de l’autre une relation de dépendance au même titre que le junky si tu veux ou que l’enfant vis-à-vis du parent. Il conviendrait de savoir ce que tu mets exactement comme signification derrière ce concept.
"Tu me dis que la souffrance c’est
- une situation de déséquilibre
- une uni latéralité dans les attentes
- une frustration
Ce sont là tout des symptômes d’un manque donc en adéquation avec la comparaison de la drogue. Mais plus important, c’est le côté chute désespérante de l’être meurtri dans un tourbillon négatif empirant sa propre situation malgré lui. "
Bon. Une relation humaine, amicale ou amoureuse se fait dans l’échange et l’équilibre. Si l’un tend vers l’autre mais que l’autre ne tend pas vers l’un et bien, fatalement, le premier se casse la figure... Il se retrouve à tendre vers... du vide. C’est sûr que c’est frustrant. Après, si l’individu a des attentes vis-à-vis de l’autre malgré tout il va forcément y avoir souffrance. Si il a besoin de l’autre comme tu le dis contre toute logique, envers et contre tout on tombe dans le fantasme et le fantasme nuisible : puisque jamais la réalité ne lui permettra de réaliser ce fantasme. La névrose n’est pas loin... Si tu as le désir de l’autre c’est autre chose et si ce désir est réciproque alors l’amour est vécu avec plus ou moins d’intensité en fonction du sentiment mais cela génére du bien-être. La souffrance n’est pas - attention - l’apanage de l’amour c’est celle de l’unilatéralité dans les attentes ou dans le sentiment.
"Tu n’apprécies pas ce texte où ton interprétation personnelle n’y voit pas la force et la décadence que j’y perçois. Pas de problème, chacun ses goûts! "
Je vois bien la décadence et c’est bien pour cela que je n’apprécie pas... L’amour peut aussi élever... J’aime davantage...
"Pour le danger, là je ne vois pas du tout... "
"Par contre, tu parles de "Attention à ces théories qui présentent l’amour humain comme un amour inférieur à celui qui unie l’humain à une quelconque divinité... C’est facile, là on est à fond dans le virtuel, le fantasme, la sublimation du désir, mais pour l’amour incarné, à deux, la Vie, on repassera... "...
J’avoue que j’ai pas suivi et serait intéressé par quelques explications sur ces idées... "
Ce type de texte me fait penser à toute la littérature émanant d’un courant de pensée catholique. Où l’on montre l’amour humain comme une relation de dépendance et non comme quelque chose qui peut faire du bien un sentiment qui au contraire libère... Et oui !! Voilà pourquoi j’ai écrit que je trouve cela dangereux pour faire bref...
Bonne soirée, journée.
Dolce
Si tu le permets je vais répondre paragraphe par paragraphe...
"Je présente ce passage qui exprime toute la dureté que peut être un amour passionnel qui se dérobe à vous, vous plongeant le plus grand chaos et comparant cette situation à juste à titre à celle d’un junkie en manque de sa came ! "
Bon, pour toi, l’amour passionnel c’est ça ? Soit. Pour moi cette définition c’est celle de l’amour fusionnel ; ce type d’amour qui fait qu’on a vis-à-vis de l’autre une relation de dépendance au même titre que le junky si tu veux ou que l’enfant vis-à-vis du parent. Il conviendrait de savoir ce que tu mets exactement comme signification derrière ce concept.
"Tu me dis que la souffrance c’est
- une situation de déséquilibre
- une uni latéralité dans les attentes
- une frustration
Ce sont là tout des symptômes d’un manque donc en adéquation avec la comparaison de la drogue. Mais plus important, c’est le côté chute désespérante de l’être meurtri dans un tourbillon négatif empirant sa propre situation malgré lui. "
Bon. Une relation humaine, amicale ou amoureuse se fait dans l’échange et l’équilibre. Si l’un tend vers l’autre mais que l’autre ne tend pas vers l’un et bien, fatalement, le premier se casse la figure... Il se retrouve à tendre vers... du vide. C’est sûr que c’est frustrant. Après, si l’individu a des attentes vis-à-vis de l’autre malgré tout il va forcément y avoir souffrance. Si il a besoin de l’autre comme tu le dis contre toute logique, envers et contre tout on tombe dans le fantasme et le fantasme nuisible : puisque jamais la réalité ne lui permettra de réaliser ce fantasme. La névrose n’est pas loin... Si tu as le désir de l’autre c’est autre chose et si ce désir est réciproque alors l’amour est vécu avec plus ou moins d’intensité en fonction du sentiment mais cela génére du bien-être. La souffrance n’est pas - attention - l’apanage de l’amour c’est celle de l’unilatéralité dans les attentes ou dans le sentiment.
"Tu n’apprécies pas ce texte où ton interprétation personnelle n’y voit pas la force et la décadence que j’y perçois. Pas de problème, chacun ses goûts! "
Je vois bien la décadence et c’est bien pour cela que je n’apprécie pas... L’amour peut aussi élever... J’aime davantage...
"Pour le danger, là je ne vois pas du tout... "
"Par contre, tu parles de "Attention à ces théories qui présentent l’amour humain comme un amour inférieur à celui qui unie l’humain à une quelconque divinité... C’est facile, là on est à fond dans le virtuel, le fantasme, la sublimation du désir, mais pour l’amour incarné, à deux, la Vie, on repassera... "...
J’avoue que j’ai pas suivi et serait intéressé par quelques explications sur ces idées... "
Ce type de texte me fait penser à toute la littérature émanant d’un courant de pensée catholique. Où l’on montre l’amour humain comme une relation de dépendance et non comme quelque chose qui peut faire du bien un sentiment qui au contraire libère... Et oui !! Voilà pourquoi j’ai écrit que je trouve cela dangereux pour faire bref...
Bonne soirée, journée.
Dolce
Sam 17 Oct 2009, 16:36 par
dolce vita sur La vie à deux
Oui une drogue... dure et douce à la fois!
Bonsoir Dolce Vita,
Imagine un peu ma surprise de voir ta réponse sur ce texte?
Je présente ce passage qui exprime toute la dureté que peut être un amour passionnel qui se dérobe à vous, vous plongeant le plus grand chaos et comparant cette situation à juste à titre à celle d’un junkie en manque de sa came!
Tu me dis que la souffrance c’est
- une situation de déséquilibre
- une uni latéralité dans les attentes
- une frustration
Ce sont là tout des symptômes d’un manque donc en adéquation avec la comparaison de la drogue. Mais plus important, c’est le côté chute désespérante de l’être meurtri dans un tourbillon négatif empirant sa propre situation malgré lui.
Tu n’apprécies pas ce texte où ton interprétation personnelle n’y voit pas la force et la décadence que j’y perçois. Pas de problème, chacun ses goûts!
Pour le danger, là je ne vois pas du tout...
Par contre, tu parles de "Attention à ces théories qui présentent l’amour humain comme un amour inférieur à celui qui unie l’humain à une quelconque divinité... C’est facile, là on est à fond dans le virtuel, le fantasme, la sublimation du désir, mais pour l’amour incarné, à deux, la Vie, on repassera... "...
J’avoue que j’ai pas suivi et serait intéressé par quelques explications sur ces idées...
Imagine un peu ma surprise de voir ta réponse sur ce texte?
Je présente ce passage qui exprime toute la dureté que peut être un amour passionnel qui se dérobe à vous, vous plongeant le plus grand chaos et comparant cette situation à juste à titre à celle d’un junkie en manque de sa came!
Tu me dis que la souffrance c’est
- une situation de déséquilibre
- une uni latéralité dans les attentes
- une frustration
Ce sont là tout des symptômes d’un manque donc en adéquation avec la comparaison de la drogue. Mais plus important, c’est le côté chute désespérante de l’être meurtri dans un tourbillon négatif empirant sa propre situation malgré lui.
Tu n’apprécies pas ce texte où ton interprétation personnelle n’y voit pas la force et la décadence que j’y perçois. Pas de problème, chacun ses goûts!
Pour le danger, là je ne vois pas du tout...
Par contre, tu parles de "Attention à ces théories qui présentent l’amour humain comme un amour inférieur à celui qui unie l’humain à une quelconque divinité... C’est facile, là on est à fond dans le virtuel, le fantasme, la sublimation du désir, mais pour l’amour incarné, à deux, la Vie, on repassera... "...
J’avoue que j’ai pas suivi et serait intéressé par quelques explications sur ces idées...
Jeu 15 Oct 2009, 22:42 par
Loyd sur La vie à deux
L'amour, cette drogue ?!
Bonjour Loyd,
Ce qui me gène avec ce type de propos c’est notamment l’interprétation qui est faite de la souffrance. Selon moi, elle ne provient pas d’une addiction à l’autre mais d’une situation de déséquilibre. L’un aime et donne, l’autre a donné et d’un coup sans transition s’est détourné de l’autre. S’il n’y avait pas d’amour, de sentiment, la belle affaire pour celui qui est éconduit, on oublie la personne qui nous procurait des sensations avec des substituts ou un autre humain. Non, je pense que la cause de la souffrance n’est pas dans une quelconque addiction mais du fait d’une unilatéralité dans les attentes, les désirs et leur réalisation et du fait d’une frustration. L’un souhaite seul la présence de l’autre : au contraire l’autre s’est éloigné. L’un se donne et l’autre se refuse. L’amour est fondé sur l’échange il est évident qu’une telle situation de déséquilibre crée la souffrance. Attention à ces théories qui présentent l’amour humain comme un amour inférieur à celui qui unie l’humain à une quelconque divinité... C’est facile, là on est à fond dans le virtuel, le fantasme, la sublimation du désir, mais pour l’amour incarné, à deux, la Vie, on repassera... C’est un peu présenter les plaisirs solitaires comme la quintessence de l’amour. Mouais. Je ne partage pas du tout du tout ce point de vue. Et le trouve même dangeureux...
Ce qui me gène avec ce type de propos c’est notamment l’interprétation qui est faite de la souffrance. Selon moi, elle ne provient pas d’une addiction à l’autre mais d’une situation de déséquilibre. L’un aime et donne, l’autre a donné et d’un coup sans transition s’est détourné de l’autre. S’il n’y avait pas d’amour, de sentiment, la belle affaire pour celui qui est éconduit, on oublie la personne qui nous procurait des sensations avec des substituts ou un autre humain. Non, je pense que la cause de la souffrance n’est pas dans une quelconque addiction mais du fait d’une unilatéralité dans les attentes, les désirs et leur réalisation et du fait d’une frustration. L’un souhaite seul la présence de l’autre : au contraire l’autre s’est éloigné. L’un se donne et l’autre se refuse. L’amour est fondé sur l’échange il est évident qu’une telle situation de déséquilibre crée la souffrance. Attention à ces théories qui présentent l’amour humain comme un amour inférieur à celui qui unie l’humain à une quelconque divinité... C’est facile, là on est à fond dans le virtuel, le fantasme, la sublimation du désir, mais pour l’amour incarné, à deux, la Vie, on repassera... C’est un peu présenter les plaisirs solitaires comme la quintessence de l’amour. Mouais. Je ne partage pas du tout du tout ce point de vue. Et le trouve même dangeureux...
Lun 12 Oct 2009, 17:59 par
dolce vita sur La vie à deux
Siete anos de soledad - ce n'est plus de la littérature
7 ans. Le père de mes enfants, mon époux est parti voilà officiellement sept ans (en fait, huit si on y regarde de plus près). Situation on ne peut plus trouble où tout en ayant clairement (!) mené une double vie, avec d’autres femme et enfants, il continue de faire durer les choses en longueur et... le divorce n’est toujours pas prononcé : le terme en est repoussé encore et encore. Dès lors, il faut reconnaître que je n’ai guère de choix :
1. Rêver l’amour comme je le fais ici pour ne pas creuver comme un chien galeux. Me donner l’illusion de vivre moi-aussi, d’avoir le droit à l’amour. Moi aussi.
2. Etre hors la loi à sa suite. Faire ce que tout le monde me dit : pourquoi tu ne fais pas comme lui ? Alors, c’est ça, je vais devoir me cacher pour aimer.
Et je ne peux pas. Pas d’amour sans liberté. Sans vérité. Et qu’on ne me dise pas que je garde mon prêche pour l’église. Mon église c’est mon coeur.
De plus, pour aimer il faut être deux. Moi je ne sais qu’attirer les mirages et ceux-là, s’ils ont des ailes, c’est pour me blesser encore davantage pas pour faire connaître les cieux. Je suis une femme dangeureuse, il paraît (on me l’avait déjà fait savoir dans un autre contexte : gnôti seôton)... Ben, voyons, on n’est pas à une étiquette près ! Je suis une femme dangeureuse, ça saute aux yeux !
A quoi cela sert-il d’aimer quand on est seul ? Quand personne ne répond à cet amour ? A quoi de bon cela peut-il servir ?
Oh, je ne me leurre pas, je sais fort bien que personne ne répondra à mes questions et tant bien même, est-ce que cela changerait ma vie ? Vous pouvez vous moquez, vous, les nantis de l’amour, vous qui faites la fine bouche et me montrez du doigt. Oui, je sais, je sais, je sais. L’idée d’une faute rassure : rajoutons-en encore un peu sur le dos de celui qui marche déjà courbé. Il est là, il faut un coupable, ce sera lui. Oui, bien sûr. Tout est de ma faute, on vient récemment de me le dire (exit les remises en question, le dialogue, la femme est coupable par nature, c’est un truisme. Cela confère à l’homme une impunité totale). Je sais. Responsable et coupable. Coupable d’aimer. Coupable de vouloir être aimée. Aimer, aimer, aimer, je n’ai que ce mot à la bouche. Je suis insupportable, c’est vrai. J’assume.
Les chiens ont droit à l’amour. Moi pas.
Un jour, j’arriverai à arracher ce putain de coeur qui ne sert à rien d’autre qu’à me faire souffrir (ce dernier devrait être livré en kit avec l’anneau nuptial ; la perte de l’un entraînant de droit la dissolution de l’autre). Je ne veux plus aimer. Jamais.
1. Rêver l’amour comme je le fais ici pour ne pas creuver comme un chien galeux. Me donner l’illusion de vivre moi-aussi, d’avoir le droit à l’amour. Moi aussi.
2. Etre hors la loi à sa suite. Faire ce que tout le monde me dit : pourquoi tu ne fais pas comme lui ? Alors, c’est ça, je vais devoir me cacher pour aimer.
Et je ne peux pas. Pas d’amour sans liberté. Sans vérité. Et qu’on ne me dise pas que je garde mon prêche pour l’église. Mon église c’est mon coeur.
De plus, pour aimer il faut être deux. Moi je ne sais qu’attirer les mirages et ceux-là, s’ils ont des ailes, c’est pour me blesser encore davantage pas pour faire connaître les cieux. Je suis une femme dangeureuse, il paraît (on me l’avait déjà fait savoir dans un autre contexte : gnôti seôton)... Ben, voyons, on n’est pas à une étiquette près ! Je suis une femme dangeureuse, ça saute aux yeux !
A quoi cela sert-il d’aimer quand on est seul ? Quand personne ne répond à cet amour ? A quoi de bon cela peut-il servir ?
Oh, je ne me leurre pas, je sais fort bien que personne ne répondra à mes questions et tant bien même, est-ce que cela changerait ma vie ? Vous pouvez vous moquez, vous, les nantis de l’amour, vous qui faites la fine bouche et me montrez du doigt. Oui, je sais, je sais, je sais. L’idée d’une faute rassure : rajoutons-en encore un peu sur le dos de celui qui marche déjà courbé. Il est là, il faut un coupable, ce sera lui. Oui, bien sûr. Tout est de ma faute, on vient récemment de me le dire (exit les remises en question, le dialogue, la femme est coupable par nature, c’est un truisme. Cela confère à l’homme une impunité totale). Je sais. Responsable et coupable. Coupable d’aimer. Coupable de vouloir être aimée. Aimer, aimer, aimer, je n’ai que ce mot à la bouche. Je suis insupportable, c’est vrai. J’assume.
Les chiens ont droit à l’amour. Moi pas.
Un jour, j’arriverai à arracher ce putain de coeur qui ne sert à rien d’autre qu’à me faire souffrir (ce dernier devrait être livré en kit avec l’anneau nuptial ; la perte de l’un entraînant de droit la dissolution de l’autre). Je ne veux plus aimer. Jamais.
Mer 22 Avril 2009, 07:27 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Début ou fin...
Exutoire ou simple vide tête, me voici ici à nouveau car mon cœur est en berne... Ça fait longtemps que j’aurais dû revenir, pour parler de toi, pour te parler... Je l’ai même peut être déjà fait mais pas depuis que tu es revenue dans ma vie... J’aurais voulu faire un belle prose mais ici coule simplement les gouttes que mes yeux se refusent à laisser tomber.
Je ne sais pas à quelle moment ça à mal tourner, si c’est foutu, si j’ai encore une chance ou si on a jamais été fait pour se tenir dans les bras l’un de l’autre... A vrai dire je ne sais pas grand chose si ce n’est l’effet que tu me fais, et quel effet! Depuis le premier jour où ta jolie frimousse arborant ces yeux magnifiques on passé la porte de ce bar, j’ai cette tendresse naturelle pour toi, cette envie de me reprocher, de te connaitre. Le coup de foudre? Non, je n’y crois plus et du coup je refuse de m’y laisser aller, et puis au vue de ta situation de l’époque, je ne pouvais rien espérer. Donc j’ai accepté ce fait que tu n’étais pas libre et en aucun cas je n’aurais forcé le contraire, ce qui aurait été contre notre manière de voir les choses. J’ai continué ma vie avec toi comme amie à partager des tranches de vie qui ont continuer de nous rapprocher. Plus je t’ai découvert, plus j’ai apprécié les moments passé ensemble. Ton sourire, ta bonne humeur, ta sensibilité, ta curiosité... J’ai été là pour les bons et les mauvais moments qui ont jalonnés ta vie, quand tu avais besoin de moi... Plus tu te disais mon amie,plus une voix criait au fond de moi que c’est bien plus que j’aurai voulu. Et tu es repartie, tu as disparu pendant un an... Nos vies ont continué chacun de notre côté...
Me te voila revenue. Tu as fait le point sur ta vie, tu es désormais, et pour la première fois devant moi, seule, plus mure, indépendante, mais tu as gardé toutes ces petites choses qui font que je tombe pour toi.
Seule, et enfin je me dis que ce serait enfin possible... Cette idée que je n’avais pu imaginer auparavant est devenu une réalité que j’ai voulu saisir et que tu m’as refusé... Je ne sais même pas pourquoi! C’est vrai que je suis maladroit et qu’avec toi je ne peux ni jouer, ni mentir. Mais cela faisait tellement longtemps que je voulais te le dire...
Je n’ai pas eu de tel sentiment depuis si longtemps. Cette impression que l’on peut construire quelque chose de magnifique. J’aurai sans doute laisser tomber avec n’importe qui d’autre suite à l’échec mais il y a toujours quelque chose qui me pousse à revenir vers toi. Une force qui me pousse vers l’avant. Je passe des soirées dans le froid des rues à écouter ces tristes chansons que je te dédie. Je continue à te voir, à prendre soin de toi, et même toi tu prends soin de moi par moment.
Mais pour l’instant il n’y a rien dans ton cœur ni dans tes yeux et c’est ce qui me fait sans doute le plus mal.
Bien sur je ne devrais pas te dire ces choses là, ces choses dont tu rêves de la part d’un homme mais qui te font peur dès qu’elles deviennent réelles. Ces choses que sans doute tu ne veux pas de moi...
Tu nous dit amis, mais je ne suis pas ton ami, je ne le suis plus depuis que tu es revenue. Il est sans doute facile pour toi d’être mon amie, mais c’est en enfer pour moi qui suis tombé amoureux de toi. Je tiens juste sur cette étincelle d’espérance qu’un jour ton indifférence amoureuse se transforme en un point d’interrogation, un manque qui pourrait te montrer que je suis peut être plus qu’un ami pour toi aussi... Un doute qui naitrait...
Je ne te cache pas que je ne sais absolument pas ce que donnerait un futur ensemble, que cela me fait peur, est ce que cela marcherait ou pas. Je sais juste que je veux essayer avec toi...
Ai je loupé mon tour ou bien n’en ai je jamais eu?
Je ne sais pas à quelle moment ça à mal tourner, si c’est foutu, si j’ai encore une chance ou si on a jamais été fait pour se tenir dans les bras l’un de l’autre... A vrai dire je ne sais pas grand chose si ce n’est l’effet que tu me fais, et quel effet! Depuis le premier jour où ta jolie frimousse arborant ces yeux magnifiques on passé la porte de ce bar, j’ai cette tendresse naturelle pour toi, cette envie de me reprocher, de te connaitre. Le coup de foudre? Non, je n’y crois plus et du coup je refuse de m’y laisser aller, et puis au vue de ta situation de l’époque, je ne pouvais rien espérer. Donc j’ai accepté ce fait que tu n’étais pas libre et en aucun cas je n’aurais forcé le contraire, ce qui aurait été contre notre manière de voir les choses. J’ai continué ma vie avec toi comme amie à partager des tranches de vie qui ont continuer de nous rapprocher. Plus je t’ai découvert, plus j’ai apprécié les moments passé ensemble. Ton sourire, ta bonne humeur, ta sensibilité, ta curiosité... J’ai été là pour les bons et les mauvais moments qui ont jalonnés ta vie, quand tu avais besoin de moi... Plus tu te disais mon amie,plus une voix criait au fond de moi que c’est bien plus que j’aurai voulu. Et tu es repartie, tu as disparu pendant un an... Nos vies ont continué chacun de notre côté...
Me te voila revenue. Tu as fait le point sur ta vie, tu es désormais, et pour la première fois devant moi, seule, plus mure, indépendante, mais tu as gardé toutes ces petites choses qui font que je tombe pour toi.
Seule, et enfin je me dis que ce serait enfin possible... Cette idée que je n’avais pu imaginer auparavant est devenu une réalité que j’ai voulu saisir et que tu m’as refusé... Je ne sais même pas pourquoi! C’est vrai que je suis maladroit et qu’avec toi je ne peux ni jouer, ni mentir. Mais cela faisait tellement longtemps que je voulais te le dire...
Je n’ai pas eu de tel sentiment depuis si longtemps. Cette impression que l’on peut construire quelque chose de magnifique. J’aurai sans doute laisser tomber avec n’importe qui d’autre suite à l’échec mais il y a toujours quelque chose qui me pousse à revenir vers toi. Une force qui me pousse vers l’avant. Je passe des soirées dans le froid des rues à écouter ces tristes chansons que je te dédie. Je continue à te voir, à prendre soin de toi, et même toi tu prends soin de moi par moment.
Mais pour l’instant il n’y a rien dans ton cœur ni dans tes yeux et c’est ce qui me fait sans doute le plus mal.
Bien sur je ne devrais pas te dire ces choses là, ces choses dont tu rêves de la part d’un homme mais qui te font peur dès qu’elles deviennent réelles. Ces choses que sans doute tu ne veux pas de moi...
Tu nous dit amis, mais je ne suis pas ton ami, je ne le suis plus depuis que tu es revenue. Il est sans doute facile pour toi d’être mon amie, mais c’est en enfer pour moi qui suis tombé amoureux de toi. Je tiens juste sur cette étincelle d’espérance qu’un jour ton indifférence amoureuse se transforme en un point d’interrogation, un manque qui pourrait te montrer que je suis peut être plus qu’un ami pour toi aussi... Un doute qui naitrait...
Je ne te cache pas que je ne sais absolument pas ce que donnerait un futur ensemble, que cela me fait peur, est ce que cela marcherait ou pas. Je sais juste que je veux essayer avec toi...
Ai je loupé mon tour ou bien n’en ai je jamais eu?
Lun 09 Mars 2009, 00:09 par
Loyd sur Histoires d'amour
Leçons de séduction selon aubade ( 6 )...
" Démêler la situation "
" Le mettre à genoux "
" Le mettre en suspens "...
" Le mettre à genoux "
" Le mettre en suspens "...
Sam 08 Nov 2008, 15:38 par
Satine sur La séduction
Dommage...
« Je t’écris d’un baiser, de ce banc de Paris où deux amants s’enlacent dans leur éternité et que rien ni personne ne pourrait déranger »
Cela pourrait être nous. Cela devrait l’être. Mais j’ai peur que la situation se transforme en « cela aurait dû être nous ».
Dis moi que se ne sera pas le cas,
Dis moi que ce voyage à Paris on le fera,
Dis moi que toi et moi c’est encore pour longtemps,
Dis moi que tout le bonheur nous attend,
Dis moi que je ne te perdrai jamais,
Dis moi que « nous » ne se conjuguera jamais à l’imparfait,
Dis moi que notre histoire sera sauvée,
Dis moi que ça ne va pas tarder.
« Je t’écris d’un baiser, de ce banc de Paris où deux amants s’enlacent dans leur éternité et que rien ni personne ne pourrait déranger »
Cela aurait pu être nous. J’ai eu raison de mes craintes.
Tu m’as dit que c’était fini,
Tu m’as dit avoir compris,
Tu m’as dit, qu’en fait, il n’y avait rien à comprendre,
Tu m’as dit de ne plus rien attendre,
Tu m’as dit de t’oublier,
Tu m’as dit de ne pas pleurer,
Tu m’as dit que c’était comme ça.
« Je t’écris d’un baiser, de ce banc de Paris où deux amants s’enlacent dans leur éternité et que rien ni personne ne pourrait déranger »
J’aimerais que tu changes d’avis et que ce soit nous sur le banc. Mais à ton comportement, je me demande si c’est une bonne chose.
Alors c’est ça que l’on appelle l’adolescence ? Si c’est le cas, en quoi est-ce une des plus belles périodes ? Ou alors je loupe quelque chose… ?
Cela pourrait être nous. Cela devrait l’être. Mais j’ai peur que la situation se transforme en « cela aurait dû être nous ».
Dis moi que se ne sera pas le cas,
Dis moi que ce voyage à Paris on le fera,
Dis moi que toi et moi c’est encore pour longtemps,
Dis moi que tout le bonheur nous attend,
Dis moi que je ne te perdrai jamais,
Dis moi que « nous » ne se conjuguera jamais à l’imparfait,
Dis moi que notre histoire sera sauvée,
Dis moi que ça ne va pas tarder.
« Je t’écris d’un baiser, de ce banc de Paris où deux amants s’enlacent dans leur éternité et que rien ni personne ne pourrait déranger »
Cela aurait pu être nous. J’ai eu raison de mes craintes.
Tu m’as dit que c’était fini,
Tu m’as dit avoir compris,
Tu m’as dit, qu’en fait, il n’y avait rien à comprendre,
Tu m’as dit de ne plus rien attendre,
Tu m’as dit de t’oublier,
Tu m’as dit de ne pas pleurer,
Tu m’as dit que c’était comme ça.
« Je t’écris d’un baiser, de ce banc de Paris où deux amants s’enlacent dans leur éternité et que rien ni personne ne pourrait déranger »
J’aimerais que tu changes d’avis et que ce soit nous sur le banc. Mais à ton comportement, je me demande si c’est une bonne chose.
Alors c’est ça que l’on appelle l’adolescence ? Si c’est le cas, en quoi est-ce une des plus belles périodes ? Ou alors je loupe quelque chose… ?
Mer 16 Avril 2008, 19:30 par
amesauvage sur L'amour en vrac
Aide moi de toute ton âme
Ma chère Sophy je crois que tu cannais mieux que quiconque ces mésaventures de coeur et tu voudras bien (svp) m’aider. Comme je peux comprendre cet état de chose est indépendant de notre ferme engagement volontaire et tout le serieux dont on en soigne. Tu sais la réussite de l’amour dont je parle ne doit pas être perçue comme réussir à un examen. Mais beaucoup plus dans le sens de confiance, d’engagement de la vie ou dans la vie de couple.Cela te fera certainement sourire. Sophy je comprends que nous devons en permanance être prêts à reprendre l’envol. Mais en s’armant d’un tel courage, ne devons nous pas moins considérer la bonne relation? et comment est ce que tu analyses cette crainte de repartir ou de reprendre?
Oui Sophy, savoir m’écouter, suivre mon cœur, mes désirs. Savoir reconnaitre mes blessures...., me permet de voir à quel point ces délestages en amour rendent sage. Ceci me pose un problème de ce que l’on veut et cherche, des qualités et les moyens qu’on y dévéloppe, soit plus exactement de la connaissance de soi-même et l’harmonie de notre nature intérieure avec le monde externe. Chère Sophy je partage ce point de vue de toi. C’est malgré tout celà que la déception se fait pesant, la solitude un lourd fardeau et l’aventure une pire contrainte. Crois moi Sophy je vis et ressens tout ce que je dis.
Aidons-nous à se sortir de cette situation. Je pense qu’ensemble nous nous reprendrons cet envol pour éternellement. Je serai très enchanté d’avoir un contact direct de toi. T’es super sympa
STEPHANE
Oui Sophy, savoir m’écouter, suivre mon cœur, mes désirs. Savoir reconnaitre mes blessures...., me permet de voir à quel point ces délestages en amour rendent sage. Ceci me pose un problème de ce que l’on veut et cherche, des qualités et les moyens qu’on y dévéloppe, soit plus exactement de la connaissance de soi-même et l’harmonie de notre nature intérieure avec le monde externe. Chère Sophy je partage ce point de vue de toi. C’est malgré tout celà que la déception se fait pesant, la solitude un lourd fardeau et l’aventure une pire contrainte. Crois moi Sophy je vis et ressens tout ce que je dis.
Aidons-nous à se sortir de cette situation. Je pense qu’ensemble nous nous reprendrons cet envol pour éternellement. Je serai très enchanté d’avoir un contact direct de toi. T’es super sympa
STEPHANE
Mar 27 Nov 2007, 09:26 par
STEPHANE sur Histoires d'amour
Enfin la parité pour les hommes !
Enfin la parité…pour les hommes !
Mon ami de 30 ans et de 30 ans mon aîné, me répondit sans ambages
à ma question : qu’est-ce ce qui a le plus changé pour vous ? : "les femmes" !
Elles sont devenues impossibles !
Elles veulent le beurre, l’argent du beurre et les enfants du crémier.
Elles amassent tout, se chargent comme un baudet et ne veulent rien partager.
Elles sont en conquête de pouvoir et considèrent l’homme comme un rival nécessaire.
Le travail de la femme est devenu une assurance divorce.
Elles raisonnent en groupe, en caste et nul n’ose s’aventurer à les contredire.
Elles sont femmes et doivent donc tout savoir mieux que quiconque puisque affublées
de la fameuse "intuition féminine" et de "l’instinct maternel" qui nous font bien rigoler.
Tous les psychologues savent bien qu’il s’agit d’une pure invention sociale, mais rien n’y fait,
c’est leur credo, leur confiteor.
Essayez de les soulager en prenant en charge les courses, la cuisine, les enfants, le ménage…
Il ne se passera pas 1 mois avant quelles ne reprennent leurs prérogatives car ce sera
mieux fait par elles. Il s’agit du syndrome des avantages acquis avec celui très caractéristique :
le droit de se plaindre parce que je fais tout dans cette maison.
Apporte-moi un statut, de la sécurité et ton argent, je ferais le reste qui s’appelle : tout décider.
Essayez d’entrer dans la parité homme quant aux emplois dits féminins : secrétaire, sages-femmes,
standardiste, infirmière…et vous verrez leur courroux.
Finalement, tous les progrès technologiques du XX° siècle ne sont que peu de choses
comparé à l’hégémonie de la femme qui avait déjà beaucoup de pouvoirs mais qui les veut
tous et exclusifs et jusqu’à s’en inventer.
La femme de notre Président, qui n’a aucun statut, sinon celui, non écrit, de réception, déclare :
"A l’avenir, il y aura de plus en plus de femmes pour commander les hommes".*
Vous remarquerez qu’il n’est pas dit : des femmes aux commandes des entreprises ou de la politique.
Il s’agit bien de "commander" les hommes". Voilà la véritable conquête de la femme.
L’homme a été plus respectueux envers le cheval, la plus noble conquête de l’homme.
Aux Ayatollahs, Talibans extrémistes correspond la femme qui "commande" aux hommes.
Nous voilà dans de beaux draps, dirait la mère Denis.
Si, maintenant, c’est la femme d’un Président qui le dit, les bornes sont franchies.
Que nous reste-t-il, à nous les hommes ? Le choix de la couleur de la voiture ? Même pas.
Faudra-t-il songer à cloner la Terre pour que nous ayons un espace de liberté ?
Mesdames, vous êtes-vous rendu compte de la situation qui va bientôt vous échapper ?
La parité que vous réclamez tant vous fera abandonner le restaurant et le cinéma offerts,
la portière ouverte ainsi que toutes ces petites déférences que vous savez apprécier.
Votre vie est un combat, le notre va commencer.
Qui gagnera ? Combien de pertes ?
Réfléchissons tous ensemble, si vous le voulez bien.
*Madame Chirac, le Parisien du 21 février 06 et cité dans Marianne du 25 février 06.
Mon ami de 30 ans et de 30 ans mon aîné, me répondit sans ambages
à ma question : qu’est-ce ce qui a le plus changé pour vous ? : "les femmes" !
Elles sont devenues impossibles !
Elles veulent le beurre, l’argent du beurre et les enfants du crémier.
Elles amassent tout, se chargent comme un baudet et ne veulent rien partager.
Elles sont en conquête de pouvoir et considèrent l’homme comme un rival nécessaire.
Le travail de la femme est devenu une assurance divorce.
Elles raisonnent en groupe, en caste et nul n’ose s’aventurer à les contredire.
Elles sont femmes et doivent donc tout savoir mieux que quiconque puisque affublées
de la fameuse "intuition féminine" et de "l’instinct maternel" qui nous font bien rigoler.
Tous les psychologues savent bien qu’il s’agit d’une pure invention sociale, mais rien n’y fait,
c’est leur credo, leur confiteor.
Essayez de les soulager en prenant en charge les courses, la cuisine, les enfants, le ménage…
Il ne se passera pas 1 mois avant quelles ne reprennent leurs prérogatives car ce sera
mieux fait par elles. Il s’agit du syndrome des avantages acquis avec celui très caractéristique :
le droit de se plaindre parce que je fais tout dans cette maison.
Apporte-moi un statut, de la sécurité et ton argent, je ferais le reste qui s’appelle : tout décider.
Essayez d’entrer dans la parité homme quant aux emplois dits féminins : secrétaire, sages-femmes,
standardiste, infirmière…et vous verrez leur courroux.
Finalement, tous les progrès technologiques du XX° siècle ne sont que peu de choses
comparé à l’hégémonie de la femme qui avait déjà beaucoup de pouvoirs mais qui les veut
tous et exclusifs et jusqu’à s’en inventer.
La femme de notre Président, qui n’a aucun statut, sinon celui, non écrit, de réception, déclare :
"A l’avenir, il y aura de plus en plus de femmes pour commander les hommes".*
Vous remarquerez qu’il n’est pas dit : des femmes aux commandes des entreprises ou de la politique.
Il s’agit bien de "commander" les hommes". Voilà la véritable conquête de la femme.
L’homme a été plus respectueux envers le cheval, la plus noble conquête de l’homme.
Aux Ayatollahs, Talibans extrémistes correspond la femme qui "commande" aux hommes.
Nous voilà dans de beaux draps, dirait la mère Denis.
Si, maintenant, c’est la femme d’un Président qui le dit, les bornes sont franchies.
Que nous reste-t-il, à nous les hommes ? Le choix de la couleur de la voiture ? Même pas.
Faudra-t-il songer à cloner la Terre pour que nous ayons un espace de liberté ?
Mesdames, vous êtes-vous rendu compte de la situation qui va bientôt vous échapper ?
La parité que vous réclamez tant vous fera abandonner le restaurant et le cinéma offerts,
la portière ouverte ainsi que toutes ces petites déférences que vous savez apprécier.
Votre vie est un combat, le notre va commencer.
Qui gagnera ? Combien de pertes ?
Réfléchissons tous ensemble, si vous le voulez bien.
*Madame Chirac, le Parisien du 21 février 06 et cité dans Marianne du 25 février 06.
Dim 22 Juil 2007, 15:26 par
Xavier Huon sur Citations
Histoire d'eaux ( 2 )...
J’ai rêvé que...
J’ai rêvé cette nuit que nous retrouvions, par une belle nuit étoilée, à Rome
sur la place où se trouve la célèbre fontaine de Trevi, théatre d’une scène inoubliable
où Marcello Mastroianni marche dans l’eau pour aller embrasser Anita Ekberg.
Cette fontaine d’une splendeur unique se trouvait éclairée d’une lumière qui semblait mystérieuse...
Il faisait chaud et nous sommes assis au bord de la fontaine pour écouter le bruit
de l’eau déchaînée.
Pour nous rafraîchir, nous avons trempé nos pieds dans l’eau...elle nous paraissait si agréable...
La place nous semblait vide à part quelques étrangers qui tournaient le dos à la fontaine tout en lançant un sou afin que leur voeu se réalise...
Nous étions blottis l’un contre l’autre et par inadvertance, nous avons basculé dans l’eau...
Nous nous sommes retrouvés trempés, mais la situation semblait nous plaire...
Un parfum d’érotisme planait entre nous...
Nous savions que la situation était quelque peu indécente..mais peu importe
On se retrouvait seuls au monde.
Doucement tu t’es allongé sur mon corps baignant dans cette eau qui semblait avoir des vertus aphrodisiaques...
Nos corps n’étaient que désir...tu soulevais ma robe pour glisser ta main vers ce tissu de dentelle qui cachait mon intimité.
Au bout de tes doigts tu sentais mon envie, l’humidité de mon sexe qui se mélangeait à l’eau de la fontaine.
Ton sexe se durcissait...
Notre désir se faisant de plus en plus pressant et nous pouvant plus attendre,
nous décidions de faire l’amour au milieu de cette fontaine d’où se dégageait une sensualité inouie.
L’eau faisait des remous au rythme de notre corps à corps, de petites vagues naissaient...
Au paroxysme de notre jouissance, tu a pris ton sexe dans ta main pour inonder mon visage du fruit de ta jouissance...notre plaisir mutuel s’est retrouvé mélangé à cette eau miraculeuse propice à l’érotisme et que pour une nuit , nous avons retenu que nous avions vécu " La Dolce vita "...
Marie
P.S Je n’ai pas le talent de Cyr mais je continuerais à écrire pour parfaire mon écriture...
J’ai rêvé cette nuit que nous retrouvions, par une belle nuit étoilée, à Rome
sur la place où se trouve la célèbre fontaine de Trevi, théatre d’une scène inoubliable
où Marcello Mastroianni marche dans l’eau pour aller embrasser Anita Ekberg.
Cette fontaine d’une splendeur unique se trouvait éclairée d’une lumière qui semblait mystérieuse...
Il faisait chaud et nous sommes assis au bord de la fontaine pour écouter le bruit
de l’eau déchaînée.
Pour nous rafraîchir, nous avons trempé nos pieds dans l’eau...elle nous paraissait si agréable...
La place nous semblait vide à part quelques étrangers qui tournaient le dos à la fontaine tout en lançant un sou afin que leur voeu se réalise...
Nous étions blottis l’un contre l’autre et par inadvertance, nous avons basculé dans l’eau...
Nous nous sommes retrouvés trempés, mais la situation semblait nous plaire...
Un parfum d’érotisme planait entre nous...
Nous savions que la situation était quelque peu indécente..mais peu importe
On se retrouvait seuls au monde.
Doucement tu t’es allongé sur mon corps baignant dans cette eau qui semblait avoir des vertus aphrodisiaques...
Nos corps n’étaient que désir...tu soulevais ma robe pour glisser ta main vers ce tissu de dentelle qui cachait mon intimité.
Au bout de tes doigts tu sentais mon envie, l’humidité de mon sexe qui se mélangeait à l’eau de la fontaine.
Ton sexe se durcissait...
Notre désir se faisant de plus en plus pressant et nous pouvant plus attendre,
nous décidions de faire l’amour au milieu de cette fontaine d’où se dégageait une sensualité inouie.
L’eau faisait des remous au rythme de notre corps à corps, de petites vagues naissaient...
Au paroxysme de notre jouissance, tu a pris ton sexe dans ta main pour inonder mon visage du fruit de ta jouissance...notre plaisir mutuel s’est retrouvé mélangé à cette eau miraculeuse propice à l’érotisme et que pour une nuit , nous avons retenu que nous avions vécu " La Dolce vita "...
Marie
P.S Je n’ai pas le talent de Cyr mais je continuerais à écrire pour parfaire mon écriture...
Mer 18 Juil 2007, 16:48 par
Satine sur Les liaisons sulfureuses
Re: un simple coucou
dolce vita a écrit: |
Tu sais je pensais que ce que tu avais écrit se suffisait à soi-même. De fait, je suis d’accord avec toi sur bien des points, notamment, le fait qu’il faut être en souffrance pour répandre du mal ( de la souffrance) : on revient à la phrase clef : "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a". Qui peut prétendre en être dépourvu ? C’est un leurre.. Ceux qui souffrent profondément n’ont pas autre chose à donner que leur souffrance... Si cette souffrance est enracinée, s’ils pensent (à tord) qu’elle fait partie d’eux, voire que cette souffrance, c’est eux, ils ne seront pas prêt de s’en défaire...
Par ailleurs, ce n’est pas du courage qu’il faut mais la capacité à faire face à cette souffrance, la capacité à prendre du recul. Il y a des êtres qui peuvent en aider d’autres à sortir de cette situation à condition que l’individu concerné le veuille. Pour le bonheur, c’est une autre histoire, il semble que c’est aussi très aléatoire et dépend de l’individu, en partie lié au contexte et en partie à un héritage génétique, chimique... Comme quoi... Au plaisir de te lire chère amie, Dolce |
Salut,
C’est la première fois que j’écris sur Internet avec quelqu’un que je ne connais pas.
Je trouve cela très plaisant d’ouvrir le site et de voir qu’un message nous est adressé.
C’était simplement pour te faire un petit coucou et te souhaiter une bonne journée, à plus.
Claude
Coucou Claude
Tu sais je pensais que ce que tu avais écrit se suffisait à soi-même. De fait, je suis d’accord avec toi sur bien des points, notamment, le fait qu’il faut être en souffrance pour répandre du mal ( de la souffrance) : on revient à la phrase clef : "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a". Qui peut prétendre en être dépourvu ? C’est un leurre.. Ceux qui souffrent profondément n’ont pas autre chose à donner que leur souffrance... Si cette souffrance est enracinée, s’ils pensent (à tord) qu’elle fait partie d’eux, voire que cette souffrance, c’est eux, ils ne seront pas prêt de s’en défaire...
Par ailleurs, ce n’est pas du courage qu’il faut mais la capacité à faire face à cette souffrance, la capacité à prendre du recul. Il y a des êtres qui peuvent en aider d’autres à sortir de cette situation à condition que l’individu concerné le veuille. Pour le bonheur, c’est une autre histoire, il semble que c’est aussi très aléatoire et dépend de l’individu, en partie lié au contexte et en partie à un héritage génétique, chimique...
Comme quoi...
Au plaisir de te lire chère amie,
Dolce
Par ailleurs, ce n’est pas du courage qu’il faut mais la capacité à faire face à cette souffrance, la capacité à prendre du recul. Il y a des êtres qui peuvent en aider d’autres à sortir de cette situation à condition que l’individu concerné le veuille. Pour le bonheur, c’est une autre histoire, il semble que c’est aussi très aléatoire et dépend de l’individu, en partie lié au contexte et en partie à un héritage génétique, chimique...
Comme quoi...
Au plaisir de te lire chère amie,
Dolce
Mar 23 Jan 2007, 10:11 par
dolce vita sur Citations
Lire
Face à un texte, le lecteur peut transformer les mots en message qui résout pour lui une question sans rapport historique avec le texte ni avec son auteur. Cette transmigration du sens peut enrichir ou appauvrir le texte; invariablement, la situation du lecteur déteint sur le texte. Par ignorance, par conviction, par intelligence, par ruse et tricherie, par illumination, le lecteur récrit le texte avec les mots de l’original mais sous un autre en-tête, il le recrée, en quelque sorte, du simple fait de lui donner une existence.
Alberto Manguel
Une histoire de la lecture
Alberto Manguel
Une histoire de la lecture
Il y a longtemps
Il y a longtemps on m’avait dit :
Que j’étais bien trop jeune pour aimer de cette façon un homme.
Que la vie allait être remplie de haine et de déception.
Que j’allais très souvent pleurer.
Que je ne pouvais et devrais pas accorder une confiance aveugle.
Que je devrais toujours croire en moi quoi qu’il puisse arriver.
Que l’amour ça pourrait faire extrêmement mal,
Au point de vouloir mourir pour sauver l’être aimé.
Que pleurer ça pourrait m’aider à me soulager,
Mais ne résoudrait pas la situation.
Que crier ça pourrait me libérer
Des pressions de la vie.
Que souffrir allait souvent m’arriver.
De ne jamais baisser les bras face à la difficulté de la vie.
De voir la vie en face et la prendre à bras le corps.
Et de ne surtout pas reculer.
On m’avait dit...
De ne pas m’attacher à toi
De ne pas vouloir que toi
De ne pas croire en toi
De ne pas t’espérer
Mais on ne m’avait jamais dit...
Que de toi, j’allais être si éperdument amoureuse,
Au point de quitter ma famille si chère à mes yeux.
Que sans toi, ma vie n’allait plus avoir de sens, de raison d’être,
Au point que chaque seconde sans toi m’ont plonger dans le néant.
Que pour toi, j’allais tout faire pour décrocher la lune,
Au point de réaliser ton rêve le plus fou.
Qu’avec toi, j’allais accomplir mes rêves de femme et de mère.
Que je serais si amoureuse de toi Franck, avec cette Amour Vrai, Celui que tout le monde cherche.
Que je passerais par où je suis passée,
Que chaque jour je devrais me donner une raison de poursuivre,
Cette route tortueuse et si longue.
Sans toi et sans notre ange.
julia
Que j’étais bien trop jeune pour aimer de cette façon un homme.
Que la vie allait être remplie de haine et de déception.
Que j’allais très souvent pleurer.
Que je ne pouvais et devrais pas accorder une confiance aveugle.
Que je devrais toujours croire en moi quoi qu’il puisse arriver.
Que l’amour ça pourrait faire extrêmement mal,
Au point de vouloir mourir pour sauver l’être aimé.
Que pleurer ça pourrait m’aider à me soulager,
Mais ne résoudrait pas la situation.
Que crier ça pourrait me libérer
Des pressions de la vie.
Que souffrir allait souvent m’arriver.
De ne jamais baisser les bras face à la difficulté de la vie.
De voir la vie en face et la prendre à bras le corps.
Et de ne surtout pas reculer.
On m’avait dit...
De ne pas m’attacher à toi
De ne pas vouloir que toi
De ne pas croire en toi
De ne pas t’espérer
Mais on ne m’avait jamais dit...
Que de toi, j’allais être si éperdument amoureuse,
Au point de quitter ma famille si chère à mes yeux.
Que sans toi, ma vie n’allait plus avoir de sens, de raison d’être,
Au point que chaque seconde sans toi m’ont plonger dans le néant.
Que pour toi, j’allais tout faire pour décrocher la lune,
Au point de réaliser ton rêve le plus fou.
Qu’avec toi, j’allais accomplir mes rêves de femme et de mère.
Que je serais si amoureuse de toi Franck, avec cette Amour Vrai, Celui que tout le monde cherche.
Que je passerais par où je suis passée,
Que chaque jour je devrais me donner une raison de poursuivre,
Cette route tortueuse et si longue.
Sans toi et sans notre ange.
julia
Mar 29 Août 2006, 20:26 par
joullia sur Histoires d'amour
Ecrire sur situation
Je ne m'aimerai plus, Amour une drogue ou amour passionnel ?!, Oui une drogue... dure et douce à la fois!, L'amour, cette drogue ?!, Siete anos de soledad - ce n'est plus de la littérature, Début ou fin..., Leçons de séduction selon aubade ( 6 )..., Dommage..., Aide moi de toute ton âme, Enfin la parité pour les hommes !, Histoire d'eaux ( 2 )..., Re: un simple coucou, Coucou Claude, Lire, Il y a longtemps,Il y a 92 textes utilisant le mot situation. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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