Chaque feuille qui tombe me rapproche de toi

Oui, chaque feuille qui tombe me rapproche de toi
Elle la mort qui rôde autour de moi
Je cherche au dehors ce que je n’attends plus
J’écoute le ciel qui pleure de sa nouvelle mue

Les pétales en brouillons jalonnent la terre grasse
Offrant peu résistance à ce vent qui les chasse
Les arbres plient et ploient dans quelques rebuffades
Et gémissent aux tortures de ce marquis de Sade

Ce tableau gris vêtu hante mes heures solitaires
Passées en revisite d’un été de chimères
Où nos corps enlacés ne sentaient rien venir
De cet morne automne et son triste élixir

il fut quelques orages comme pour nous prévenir
Mais n’en avions que faire sous le poids du désir
Et lentement la feuille à guetter le moment
De choir sans un bruit, inéluctable instant.

Et l’horizon n’est plus qu’un long trait de déclin
Forçant la colline lointaine à s’aplatir en vain
Sous le poids d’un manteau aux fibres cotonneuses
Pour disparaître enfin dans quelques heures brumeuses.

Drapé dans les effluves qui émanent de toi
Je dance avec les feuilles qui quittent les sous bois
Derrière cette fenêtre, ce rempart si fragile,
Qui t’a vu hier éclore au prime soleil d’Avril.

Alors dans un sourire pour accueillir la larme
J’effiloche la veine d’un geste vif comme la lame
J’entrevoie le filet qui libère la couleur
Pour l’amour que j’avais et pour lequel je meurs.

Jime
Mar 02 Déc 2014, 16:47 par Jime sur L'amour en vrac

Le rendez-vous duo marilyn/hamilcar

Je n’ose y croire ! Elle est venue au rendez-vous !
Elle comble tous mes espoirs, mes rêves les plus fous !
Magnifique en robe du soir, simple mais de bon goût
Vêtement fourreau noir avec un beau grand dos nu
Broche avec fermoir et un joli cœur en argent suspendu
Le mien joue la fanfare...J’espère qu’on ne l’a entendu .....Hami

Il est là, bien réel, en chair et en os, qui m’attend
Sourire radieux aux lèvres et des yeux pétillants
Beau dans ce costume noir, chemise blanche
Cravate écarlate, sans doute sa tenue du dimanche
Il est attendrissant avec sa belle rose rouge vermillon
Attendre, par ce froid, je crains qu’il ne soit grognon
Oh, il est adorable ! J’ai plus d’une heure de retard
Et il est juste content de me voir : Bonsoir ! ..........Marilyn

Elle est si belle ! Pres qu’irréelle ! Si douce et naturelle...
Je dépose une bise sur la joue, son parfum m’interpelle
Je dois me retenir pour ne pas la prendre dans mes bras
J’inspire cette essence et j’ai tout le corps en émoi
Ces cheveux, ce visage, ce corps, Elle est merveilleuse !
Je reste figé tel un piquet, subjugué, je lui tends la rose
Elle me fait un sourire timide, je la sens un peu nerveuse
Je connais son inquiétude car je ressens la même chose
Dix minutes qu’on se regarde et je n’ai encore dit un mot
C’est sûr qu’à ce train-là, elle va me prendre pour un idiot....Hami

Je sens son bisou sur la joue et son souffle dans le cou
Le dos qui frissonne et aucun son ne sort de ma bouche
Étrange cette sensation alors même qu’il ne me touche
J’en tremble toute d’émotion alors qu’il est là, debout,
Sans mot dire, immobile, à me regarder d’un air candide.
Il me dévore des yeux. C’est atroce, je me sens désarmée
Je suis gênée. Je bredouille. Je me trouve stupide
Un sursaut de volonté pour lancer : Bonsoir, enchantée !
J’ai le cœur qui cogne si fort, j’ai soudain des vapeurs
Faisons semblant de rien et sortons un sourire charmeur
Il n’a pas remarqué mon embarras, j’en suis soulagée
Mais je commence à avoir froid ! Alors cette soirée ?......Marilyn

Quelle beauté ! Je rêve ! Pourvu que je ne me réveille !
Ces yeux, cette bouche et cette peau de velours
Ces courbes et cette silhouette, quelle merveille !
C’est Elle que j’attendais ! Maintenant j’en suis sûr !
Son "Bonsoir" me secoue et sa voix me transporte
Dans mon beau rêve éveillé, je lui ouvre la porte
L’invite à rentrer, s’asseoir, se mettre à l’aise
J’apporte les apéros et lui présente une chaise
Une table en aparté avec nappe en dentelle
À la lueur des chandelles, lumière tamisée
Dans ce halo mitigé Elle est encore plus belle.
Mon esprit se rebelle, ma langue est tétanisée
Mon cœur joue du tambour, mon corps frissonne
Je suis déjà fou d’amour pour cette jolie personne........Hami

Que c’est beau ! Il a mis les petits plats dans les grands !
Tout cela est vraiment magnifique et il est très charmant !
Quelle galanterie ! Voilà qu’il m’avance la chaise...
Il s’en donne du mal pour que je me sente à l’aise !
Toute cette prévenance et cette sollicitude m’ont touchée
Mais j’ai faim ! Et je n’arrive à avaler la moindre bouchée
Un étau serré d’émoi m’empêche de pouvoir déguster
Cette délicieuse nourriture qu’il a gentiment commandée
Je vais boire un petit verre de vin pour décompresser
Je suis sincèrement éblouie, complètement envoûtée
Jamais je ne l’aurai cru si l’on me l’avait dit ce matin !
Je m’enivre de sa voix, subjuguée par son jeu de main
Des mains si belles que j’en suis tombée raide dingue

Au menu, juste après une succulente mise en bouche,
On nous apporte un millésime qu’aussitôt il débouche
Comme plat de résistance, une belle grosse dinde
Repas qu’il est de tradition de servir en fin d’Automne
Et qu’il se fait un devoir de découper en personne.
Il pose délicatement, tout en me dévorant des yeux,
Un morceau royal au beau milieu de mon assiette
Il ne saurait vraiment pas cacher qu’il est amoureux
Mais s’il continue à me fixer ainsi, avec l’amour en tête
Je crains que cette louche de crème de pommes de terre
Ne risque de rater son but et d’atterrir, au hasard
Tant nos yeux se noient avec délice dans nos regards
S’il continue, je crois bien qu’il va en mettre dans un verre
Car nos yeux ne peuvent plus se quitter...
Qu’est-ce qu’il va encore m’inventer ?
Que cet étrange petit signe qui se veut discret ?
Qu’est-ce que c’est ?!?

J’entends, derrière moi, un bruit de pas qui se rapproche
Qu’est-ce qu’il fait ? Il sort de l’argent de sa poche ?
Mon Dieu ! Ce n’est pas vrai ! Des bouquets de violettes !
Belle tactique de séduction ! Mais je jouerai les coquettes
Pour faire ma conquête, il devra se montrer plus innovant
Et rendre ce rendez-vous un moment vraiment enivrant !
Mais ??.. J’entends une lointaine musique ?
Des violonistes tziganes s’approchent de notre table
Jouant tout doucement une petite mélodie romantique.
Que cette attention est charmante et adorable !
C’est décidement un véritable gentleman, un amour !
J’ai le cœur qui bat comme un tambour...
Mes yeux brillent. C’est magnifique ! Je suis émue
Dans ma tête, mon cœur, mon corps c’est la cohue
Je ne peux retenir les perles qui coulent au coin des yeux
Je cherche son regard, anxieuse, la bouche close...
Saura-t-il voir dans le mien que je suis heureuse ? ......Marilyn

Je profite de la musique tzigane pour L’inviter à danser
Un clin d’œil convenu nous accorde une danse alanguie
Je La prends dans mes bras et sur la piste, on s’élance
Je me sens gauche mais Ses yeux La disent réjouie
La chaleur de Son corps réveille des souvenirs oubliés,
En profond sommeil depuis de nombreuses années,
Un ensemble de sensations se bousculent dans mon être
Un petit frémissement glacé descend le long du dos
Tandis qu’une marque d’excitation met en éveil la libido
Le corps réagissant aussitôt, je crains l’incident stupide
En même temps une ondée de fièvre monte à la tête
J’appréhende l’instant où elle va empourprer mes joues
Ou celui où l’émotion va d’un coup me couper les genoux
Un tourbillon de passion ardente me chavire le cœur
Un tumulte de sentiments s’agite dans mon esprit
Mettant sens dessus dessous mes moindres pensées...

Je sens monter la forte pulsion d’un désir pressant :
Le rubis de Sa bouche m’attire comme un aimant
Telle une idée fixe, de coller mes lèvres aux Siennes
Cédant à l’invite, je me penche et hardiment, L’embrasse
M’attendant à ce que, scandalisée par mon audace,
Elle me gifle violemment me laissant sitôt sur place.
Mais, comme si Elle attendait cela depuis longtemps,
Répond à mon transport par un délicieux baiser ardent.
Le temps, la musique, le monde arrêtent leur mouvement
Plus rien ne compte que la douce chaleur de Ses lèvres
Que Ses bras me serrant fortement contr’Elle sans effort
Ne comptent que nos langues se cherchant sans trêve
En une suite de va-et-vient de langoureux titillements
Une explosion de sensations irradie de la bouche
Se propage dans les membres, envahissant tout le corps
Lui insufflant une ivresse qui joignant le cœur me touche
Et me transporte au nirvana en compagnie d’un ange
Surtout qu’on ne me réveille, si c’est un songe !!........Hami

En musique, on continue, en s’embrassant, à danser
Son baiser est un feu qui semble vouloir me consumer
Les personnes autour disparaissent, le décor s’efface,
Il ne reste que nous deux dans ce baiser qui nous enlace
Qui est si enivrant que je voudrais qu’il ne s’arrête jamais
J’ai le cœur en transe et des rêves plein la tête
Le dîner, danser, le vin, ce baiser, je suis en apesanteur !
Je me sens transportée. Je nous vois sortir à l’extérieur
Je devine cocher et calèche, il m’installe dans la trotteuse
Me couvre entièrement d’une chaude fourrure moelleuse
Me recouvre d’ardents baisers. Mon cœur est aux étoiles
J’ai chaud au corps, au cœur. Je suis comblée, heureuse
Que cette soirée ne finisse plus tant elle est merveilleuse
Je m’accroche à lui de peur qu’il ne mette les voiles
Mais j’ai tort de m’en faire, à la façon qu’il serre ma taille
Je crois que, comme moi, il craint aussi que je m’en aille
Il ajuste la peau fourrée pour que je n’aie pas froid
C’est la première fois qu’on prend autant soin de moi !

Ses baisers, le bercement du tilbury, voilà, je m’endors
Ultime image : nue dans la baignoire la tête sur le rebord
Je contemple encore ce beau sourire qui orne ses lèvres
Il s’installe et s’apprête à être le gardien de mes rêves
Je peux dormir tranquille ! Il sera encore là à mon réveil
Je n’ai jamais ressenti un sentiment de bien-être pareil :
L’envie de sentir sa bouche et d’y laisser mon empreinte
Le désir d’un corps-à-corps, d’une brûlante étreinte
L’avidité des sens, l’appétence d’un corps à gémir
Être si excitée......Et avoir tellement envie de dormir... !
Lui en demande pardon, me serrant davantage à lui
Il ne semble m’en tenir rigueur, me regarde et sourit
Il caresse mes cheveux en récitant une poésie
Je nage en plein bonheur et m’endors paisiblement
Sur le rêve enchanteur d’un merveilleux moment
Je n’ai connu meilleur ! Je suis au paradis
Jeu 14 Nov 2013, 11:07 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

L'amour véritable: magnifique!!!

Il est très difficile d’aimer véritablement, car l’amour exige, avant tout, l’acceptation inconditionnelle de l’autre. Pour aimer vraiment, il faut accepter l’autre tel qu’il est, avec ses qualités et ses défauts. Si on dit de quelqu’un : « Je l’aime, mais... », on ne l’aime pas ! Le « mais » est de trop ! Il qu’on n’est pas certain de son amour. C’est comme si on disait : « Je l’aimerais, à la condition que... »

Dans l’amour véritable, il n’y a pas de poisons, telles la jalousie, la rancœur, la possessivité. L’amour exige le respect total de l’autre ; de la liberté de l’autre. Il ne peut y avoir d’entrave, ni de contrainte. L’amour est une fleur délicate qui ne s’épanouit que dans son individualité. L’amour ne se développe que dans la liberté absolue et non pas à l’intérieur d’une cage.

On ne peut aimer et vouloir changer l’autre ou exiger la perfection. En exigeant la perfection, on ne récolte que la tricherie, car personne n’est parfait. L’autre devra tricher et donner une image fausse de lui-même. Dans cette situation, aucun amour n’est possible. Immanquablement, l’autre va revenir à son naturel et il y aura conflit. La personne qui exige la perfection est incapable d’aimer. Si elle se croit parfaite, elle se ment à elle-même.

Première condition : ne rien exiger de l’autre. S’il nous aime, il faut s’en réjouir , car l’amour est le plus beau cadeau de la vie. Si on commence à exiger, on ferme la porte à l’amour, car les contraintes et l’amour ne vont pas ensembles. Il faut être reconnaissant et le démontrer, même dans les petites tâches quotidiennes. Il faut savoir dire « merci ». L’amour a une immense soif de reconnaissance.

Deuxième condition : pour obtenir l’amour, il faut le donner. C’est en donnant que l’on reçoit. Hélas, les gens se préoccupent davantage de la façon d’obtenir. Quand ils donnent, ils le font souvent à contrecœur ou en espérant obtenir quelque chose en retour. Ce n’est plus de l’amour, c’est du marchandage. En agissant ainsi, on passe à côté de l’amour. Pensons à toutes les merveilles que la nature nous offre, sans exiger quoi que ce soit en retour. L’amour ne grandit qu’en le donnant sans idée de retour.

Troisième condition : pour que l’amour se développe, il faut que l’unité du couple se cimente dans le respect de l’individualité de l’autre. Deux personnes matures qui s’aiment, doivent s’aider mutuellement à devenir aussi libres que possible. Il ne doit y avoir aucun esprit de domination. Comment peut-on aimer une personne et vouloir la dominer en même temps ? Plus la liberté est respectée, plus le couple devient uni. L’amour ne s’épanouit que dans la liberté. En érigeant des barreaux ; en construisant une prison, aussi dorée soit-elle, on tue l’amour.

L’amour est comme une fleur et la fleur n’est heureuse que lorsque son parfum est libéré aux quatre vents. On ne peut la faire pousser en tirant sur ses pétales. Elle ne s’épanouit qu’en puisant elle-même dans la terre, la nourriture dont elle a besoin. Ce qui ne l’empêche nullement de se joindre aux autres fleurs pour former un magnifique jardin.

15 septembre 2006 Jean-Claude St-Louis - http://portailalbert.info/article.php3?id_article=403

http://luz-arco-iris.over-blog.com/article-l-amour-veritable-jean-claude-st-louis-58505756.html
Sam 20 Avril 2013, 21:40 par inlove sur L'amour en vrac

La colombe ou la liberté, en destinée

L’amour en vrac? c’est le mot clé de ce texte, l’amour, notre amour est en vrac.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces douleurs qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais combien tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.

Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un bonheur entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le bonheur je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le bonheur, tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est triste, je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,

je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
Ven 20 Juil 2012, 23:53 par inlove sur L'amour en vrac

L'attention


Je n’ai pas besoin de grandes démonstrations de passion
Je n’ai pas besoin de grands élans d’émotion
J’ai juste besoin d’un peu d’attention
Car j’ai tant besoin de ta tendresse,
Une main, un doigt sur mon visage,
Comme un bonjour, une caresse,
Comme une invite, un message
Des bras qui m’encerclent tendrement la taille
Des "bisous spontanés" au creux du cou
Des petits riens qui font finalement tout.
Des petits gestes qui me font sentir que, pour toi, j’existe
M’accueillir avec un beau sourire quand je rentre
Me prendre affectueusement dans tes bras
Juste parce que la journée t’aura semblé longue
Juste parce que je t’aurai manqué tellement
Et que tu m’embrasses fougueusement
Tant tu serais content de me retrouver
Et je verrai tes yeux pétiller de joie
De ce regard qui me couve et qui
Que tu as encore et toujours envie de moi
Que tu es encore et toujours amoureux
Qu’il reste encore de ce tendre émoi
De ce désir, de cette appétence de moi
De cette ardeur à se retrouver tous les deux
Rien que toi et moi pour de moments enrichissants
Des touts petits moments pleins de complicité
Petits instants d’éternité
Ces tout petits mots que tu trouves idiots,
Mais que tu aimes car ils te font sourire, malgré tout.
Ces simples mots que tu ne dis plus
Une envie tout simplement d’avoir un peu d’attention
Qui révèle beaucoup de passion....
Lun 23 Jan 2012, 20:49 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

L'humanité!

Je pense à l’être humain que je suis ?

Créature complexe, mystérieuse et assez souvent incompréhensible… !
Un organisme multicellulaire, intelligent et rusé !
J’ai beau cherché en nous cette humanité qui en fait nous distingue des autres êtres vivants, des autres animaux qui nous ressemblent !
Hélas elle (l’humanité) n’a jamais existé qu’à l’état latent, un état qui a du mal à se développer et à faire surface.
Nous sommes une espèce qui tout en ayant de l’intelligence et la pensée nous avons transformé notre identité et l’objet même de notre existence.
On est pourtant très fragiles, et de nombreuses questions restent encore sans réponses en relation avec l’univers et l’avenir de la vie sur terre ?
L’infini continue de bouger méthodiquement et harmonieusement malgré l’influence négative de l’homme.
Nous avons provoqué une course sans limites qui se caractérise par une soif aveugle, un amour exagéré pour tout ce qui brille ; attire et fait envi... même au dépens de la nature que nous poussons à agir contre elle –même, nous avons pollué l’air que nous respirons !
Le signe extérieur l’emporte !

Cette stupidité matérielle que l’être humain a inventée qui écrase ; et tue le sentiment ainsi que les vraies qualités de l’humanité.
Ce mot en fait qui veut tout dire et qui ne plus rien de nos jours, c’est un peu pareil quand on parle de la conscience, l’honnêteté, la vérité, la sagesse. Ce n’est que des mots !

L’homme ne sait plus quoi faire, il court chaque jour un peu plus que de coutume à la poursuite de l’argent... ?Il continue de construire des usines, des armes et des bombes et pollue l’atmosphère !
Nous avons fini par oublier presque qu’on est fait de chair, de sang et d’os, tout à fait naturels comme tous les autres mortels.
L’abri et l’habit ou tout simplement l’argent nous laisse croire qu’on est différent, on construit des espaces gigantesques largement équipées, des immeubles qui épousent le ciel, plusieurs étages en hauteur, ou les escaliers, ascenseurs et portes se confondent dans un bruit qui dérange.
Des terres agricoles qui produisent et assurent l’alimentation des hommes et du bétail se transforment en usines, immeubles ou autres…
Aucun souci pour l’environnement et l’avenir de nos enfants et de la planète terre !la pollution s’engage, s’installe et change le visage de la nature ?
Des voitures de toute sortes qui klaxonnent ;des façons de dire regardez –moi, des téléphones qui sonnent partout même dans les cimetières .
Des manières qui se robotisent, une humanité qui agonise.
Chermed 2006
Ven 20 Jan 2012, 15:25 par chermed sur Mille choses

L'attention


J’ai tant besoin de ta tendresse,
Une main, un doigt sur mon visage ,comme une caresse,
Des bras qui m’encercle la taille
Des "bisous" spontanés" au creux du cou
Des petits rien qui font finalement tout.
Sentir que j’existe ...............
M ’accueillir à peine rentrée, à t’en "jeter" dans mes bras en m’embrassant fougueusement.
Voir tes yeux qui pétillent me regarder.
Et qui que tu as encore envie de moi.
Se retrouver rien que nous deux
Pour de petits moments enrichissants.
Des petits mots
Que toi tu trouves idiot , mais qui te font sourire, malgré tout.
Une envie tout simplement d’attention
Et beaucoup de passion............

caressedesyeux
Jeu 01 Avril 2010, 14:27 par caressedesyeux sur La déclaration d'amour

Les couleurs (noir)


Noir,
Un bandeau je cacherai tes yeux, pour des jeux amoureux,
Noir
Le petit noir dont un carré fondant à déguster avec toi sans modération,
Noir,
Sans le blanc ,Il en serait malheureux.
Noir,
Ma guêpière aux nombreux lacets Que tu défais........;
Noir
Ses belles africaines qui se déhanchent de leurs danses.........
Noir,
Une rose si rare que je t’offre
Et qui tant de choses.

caressedesyeux



Mer 31 Mars 2010, 13:19 par caressedesyeux sur Mille choses

Envie d'écrire, envie de sourire

Il écrit pour se souvenir d’un sourire, synonyme de tendresse. Comment était ce sourire ? Comment sentait-il autant de tendresse dans ce sourire ? Pourquoi un simple sourire beaucoup ?
Parce que l’Homme ne peut grandir sans amour, sans regard, sans l’Autre.
Mais pourquoi ? Mais pourquoi ?
Sam 02 Jan 2010, 23:10 par Solina sur Un monde parfait

Je viens a toi

Je viens en peine mon cher amant, car la vérité n’est pas belle, le monde n’est pas beau, et mon coeur n’est pas sain… Je viens avouer, cracher, renier pour toujours le mensonge. Car il n’a cessé de ronger mes entrailles, il n’a cessé d’étouffer mes poumons, brûler mes yeux et détruit mes muscles, il n’a pas arrêté et petit a petit il a réussi a anéantir mon corps. Et je ne peux plus aujourd’hui, par manque de force, continuer à te regarder dans les yeux. Et je peux te jurer que la vérité, si elle avait été dite depuis bien longtemps aurait beaucoup moins pesé sur mon cœur que celle que je dois assumer maintenant.
Je viens dans la tristesse et dans la honte, car mon cœur ne bat plus, mes yeux ne pleurent plus et mon corps est fatigué… Il est encore trop dure de t’avouer des sentiments portés par mon cœur, que j’ai caché depuis si longtemps, il est bien compliqué de te dire quel souvenir j’essaie de retrouver et pourtant qui n’est plus la. Un souvenir qui était censé être ancré dans ma peau, écrit sur mes lèvres, respirer par mon nez, mais un souvenir dont je ne retrouve plus ni le goût, ni l’espoir, ni même la force de le retrouver. Le souvenir que je t’aime ou plutôt que je t’ai aimé car il a disparut de ma mémoire, a été effacé de mes pensées, a fuit de mon esprit et j’en suis navrée car je n’ai pas su le retenir. Je ne sais même plus ce que le mot je t’aime et pourtant Dieu sait que je l’ai utilisé mainte fois pour te rassurer qu’il y avait encore quelque chose entre nous.
Je viens, je viens vers toi et c’est l’essentiel, car j’ai su t’avouer que mon sourire était partit avec tous les autres sentiments joyeux d’ailleurs. Car j’ai su te dire combien je ne t’aimais plus, combien tu ne me manques pas et combien cela m’attriste. Car, quelle est la plus grande peine que de ne pouvoir retrouver la chose ou le souvenir qu’on avait de plus cher au monde? Je suis désolée de te rendre triste, de secouer tes sentiments amoureux. Et je suis vraiment désolée d’arrêter ton cœur à jamais… Car tu ne mérites pas cela, mais tu ne mérites pas non plus le mensonge…
Je viens a toi, une dernière fois, te dire et peut être te rassurer qu’un jour, oui, un jour au moins, je t’ai aimé a la folie.
Dim 29 Juin 2008, 22:35 par Arual sur L'amour en vrac

La vie ( 28 )...

Vouloir écarter de sa route toute souffrance, se soustraire à une part essentielle de la vie humaine.

Konrad Lorenz
Dim 15 Juin 2008, 16:53 par Satine sur Mille choses

Muse...

D’après la définition du dictionnaire de l’académie française,
muse , je cite " se dit de la Personne ou du sentiment qui inspire un poète ".
Je soulignerais humblement que sur le chemin de ma vie, je n’ai rencontré point de poète...
J’avais envie d’employer le mot " muse " comme une métaphore.
Oui, j’aurais aimé être une muse.
J’aurais voulu être celle auprès de laquelle
un poète, un peintre, un musicien, un sculpteur trouve son inspiration...
Vous allez penser à la lecture de ce texte,
Quelle prétention de vouloir être la muse de quelqu’un ?
Je vous comprends...

Dans la définition du mot " muse " apparaît le mot " sentiment ".
L’amour fait partie de ce que l’on appelle " les sentiments ".
Il ya différentes façons d’aimer ou d’être aimée.
Alors, oui, j’avoue...
J’aurais voulu être une source d’inspiration
pour vivre cette complicité particulière
qui existe entre sa muse et celui qui exprime son art,
afin qu’à travers les mots, les tableaux, les notes, les sculptures
il reste une trace de Moi pour l’éternité.

J’aurais tant voulu être aimée comme une muse, une petite muse, une toute petite muse...

Ce n’est pas par vanité que j’écris cela.
C’est pour me persuader que
Oui, j’ai existé...


Marie
Lun 14 Mai 2007, 11:38 par Satine sur Parler d'amour

L'amour, c'est quoi ?

Tomber amoureux cela quoi ?
On peut regarder dans le dictionnaire.
Bien entendu, on aura une défiition
Celle du dictionnaire :
Une relation amoureuse est une relation entre deux
personnes (de sexe différent ou non), en général basée sur une
attirance physique, intellectuelle, et/ou émotionnelle.
Bien sûr, on pourrait dire qu’elle est juste, appropriée,
précise, conforme à ce que l’on s"en fait...
Mais une définiton est-elle universelle ?
Peut -on avoir sa propre défintion du sentiment amoureux ?
Certainement...puisque chaque histoire est unqiue...alors une définiton universelle n’a pas sa place..ou du moins pas pour moi...
Et doit-on dire à quelqu’un pourquoi on a des sentiments ?
Non
Quand on aime, on ne sait jamais pourquoi.
Le reste n’est que bagatelle...




Marie
Jeu 05 Oct 2006, 18:09 par Satine sur Histoires d'amour

Re: RETROUVER MON EX QUE J'AIME ENCORE !!!

Thierry,

Tout d’abord, le fait de ne pas aimer les disputes au sein d’un couple est plutôt honorable. Pourquoi ne pas en avoir parlé à votre amie ? Pourquoi ne pas lui expliquer aujourd’hui, les raisons de votre départ ? Pouvez-vous discutter avec elle de ce qui vous faisait vous mettre en colère tous deux ? Parfois, malgré tout l’amour que l’on peut éprouver l’un pour l’autre, on peut avoir des modes de communication différents et ne pas être compatibles... Il faut voir avec elle comment vous pouvez élaborer déjà les bases d’une saine amitié. Ne pas se précipiter... En prenant le temps de vous re-découvrir, en laissant chacun libre de penser différemment de l’autre : s’aimer ne pas être toujours sur la même longueur d’onde. Mais il convient d’exprimer en douceur son point de vue. Elle a été blessée, à vous de montrer votre bonne volonté à contruire quelque chose de fort et de durable avec elle, en actes et en paroles. Et bien sûr, si vous êtes deux à être de bonne volonté, votre couple ne peut être que solide et paisible... Encore faut-il que vous soyez deux à le vouloir : vous devez respecter son ressenti.
Courage, Thierry, quoiqu’il advienne, ne pensez pas que l’amour ne peut se vivre qu’avec une seule personne. Laissez le temps au temps... Il cicatrise bien des blessures. Surtout, il faut le temps pour qu’un enfant grandisse il faut le temps aussi pour qu’un amour puisse s’enraciner...
Sam 05 Août 2006, 14:19 par dolce vita sur Parler d'amour

Tout d'abord: comment accoster une demoiselle.

Avant de lui parler, il faut l’accoster, et si on est attentif, c’est là que tout se joue. Une confidence d’une de mes amies, mais finalement une évidence, les femmes sont trés sensibles à ce premier moment.

Et la règle d’or est qu’elles n’aiment pas se sentir agressées. Logique.

Alors exit la l’insistance lourde, les pécheurs auront évidemment plus de chance que les chasseurs dans cet art consommé de l’approche. Si vous êtes d’un tempérament chasseur, optez pour la chasse à l’affût plutôt que la chasse à cour, et si vous êtes un pécheur, choisissez la bonne mouche ....

Pour mettre toutes les chances de réussite de vote coté, il faut que vous soyez sincère. Vous sentez profondément que la demoiselle vous plait ? Ok, alors on peut continuer. Examinez la situation et envisagez quelque chose qu’il serait naturel de faire, de dire ou de demander. Si vous ne trouvez pas, REGLE DEUX, passez votre chemin. Car ce qui n’est pas naturel, sera perçu comme une agression. Et non seulement vous échouerez, mais en plus vous ferez du tort à quelqu’un qui finalement compte déjà un peu.

Pour finir, accoster ne en rien conclure. Accoster, ca peut être la seule et unique étape de votre rencontre, comme le début d’une aventure, d’une passion, d’un amour. Ne soyez pas gourmand, vous seriez agressif sinon. Cueillez le moment enchanteur et réussi d’une rencontre façonnée d’amour et de respect. Avec ca en tête, tout sera bon.

Bonnes rencontres !
Mer 14 Juin 2006, 19:20 par PetitPrince sur Le grimoire d'amour
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Ecrire sur signifie

Ecrire sur signifie Chaque feuille qui tombe me rapproche de toi, Le rendez-vous duo marilyn/hamilcar, L'amour véritable: magnifique!!!, La colombe ou la liberté, en destinée, L'attention, L'humanité!, L'attention, Les couleurs (noir), Envie d'écrire, envie de sourire, Je viens a toi, La vie ( 28 )..., Muse..., L'amour, c'est quoi ?, Re: RETROUVER MON EX QUE J'AIME ENCORE !!!, Tout d'abord: comment accoster une demoiselle.,
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Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.

La Rochefoucauld.

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