Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur séduire - Page 4 sur 5
Séduire
Quelle amertume? Je n’ai aucune amertume sur les hommes que j’ai aimés ou qui m’ont aimée. Parfois un regard attendri, d’autres fois amusé, à certains moments quelques regrets. Mais jamais d’amertume. Si un jour ils m’ont plus, si un jour ils m’ont fait vibrer, c’est que quelque part il y avait quelque chose en eux... quelque chose qu’il avait inventé pour l’occasion, pour me séduire, pour se plaire à eux aussi sans doute. Je regrette qu’ils n’aient pas entretenu ce quelque chose, qu’ils n’aient pas su le préserver, ou peut-être moi le faire durer.
Ils se fardent de qualités comme nous nous fardons de poudre. A la différence qu’au réveil notre maquillage a disparu, et que parfois certains gardent encore leur masque. Peut-être que ce qui est en dessous est trop laid à montrer, peut-être qu’ils manquent de confiance en eux, sans doute nous connaissent-ils mal et nous inventent des exigences que nous n’avions pas...
Dans l’amour, le plus beau moment est celui de la séduction. Non pas celui où nous nous fardons, cachés derrière de jolies voitures, de gros salaires, des dessous affriolants ou des séances d’esthéticienne, mais celui où peu à peu, nous nous effeuillons, laissant apparaitre l’émotion qui nous envahit, la douceur qui nous habite, la fragilité qui nous possède, la passion qui nous obsède. Quand tout cela disparait, il reste la possession, l’appartenance, la jalousie, les revendications, les attentes, les devoirs, les obligations. Tout ce qui fait qu’on devient laid, qu’on oublie que rien n’est jamais acquis, qu’aimer c’est bien plus dur qu’on ne le pense...
La première séduction est la plus simple, séduire au-delà du temps est un véritable art. Une oeuvre d’une vie entière, séduire une seule personne ou en séduire tant de différentes, peu importe, la beauté du tableau se verra sur les années où vous aurez séduits. Sur les amants qui deviennent des amis, les amis qui deviennent des amants, les amants-amis qui restent des amours.
Et s’il reste de l’amertume... c’est que vous n’avez pas été séduit, ou que vous-même n’avez jamais plu... c’est que pour vous, ce n’est qu’un jeu, et que vous êtes mauvais joueur.
Ils se fardent de qualités comme nous nous fardons de poudre. A la différence qu’au réveil notre maquillage a disparu, et que parfois certains gardent encore leur masque. Peut-être que ce qui est en dessous est trop laid à montrer, peut-être qu’ils manquent de confiance en eux, sans doute nous connaissent-ils mal et nous inventent des exigences que nous n’avions pas...
Dans l’amour, le plus beau moment est celui de la séduction. Non pas celui où nous nous fardons, cachés derrière de jolies voitures, de gros salaires, des dessous affriolants ou des séances d’esthéticienne, mais celui où peu à peu, nous nous effeuillons, laissant apparaitre l’émotion qui nous envahit, la douceur qui nous habite, la fragilité qui nous possède, la passion qui nous obsède. Quand tout cela disparait, il reste la possession, l’appartenance, la jalousie, les revendications, les attentes, les devoirs, les obligations. Tout ce qui fait qu’on devient laid, qu’on oublie que rien n’est jamais acquis, qu’aimer c’est bien plus dur qu’on ne le pense...
La première séduction est la plus simple, séduire au-delà du temps est un véritable art. Une oeuvre d’une vie entière, séduire une seule personne ou en séduire tant de différentes, peu importe, la beauté du tableau se verra sur les années où vous aurez séduits. Sur les amants qui deviennent des amis, les amis qui deviennent des amants, les amants-amis qui restent des amours.
Et s’il reste de l’amertume... c’est que vous n’avez pas été séduit, ou que vous-même n’avez jamais plu... c’est que pour vous, ce n’est qu’un jeu, et que vous êtes mauvais joueur.
Mar 31 Août 2004, 09:51 par
la marquise de sade sur La séduction
L'anti-séduction
la marquise de sade a écrit: |
Il y a quelques mois, nous avions entamé l’effeuillage de nos élans amoureux. Je le dépoussière, le frotte un peu, l’astique pour qu’il brille et vous propose d’oter un nouveau voile qui nous couvre.
Si nous avons cherché déjà nos rendez-vous inhabituels, ce qui peut nous séduire chez l’autre ainsi que ce qui nous faisait totalement fondre, nous ne savons pas encore ce qui peut provoquer des sentiments inverses. Qu’est-ce qui nous fait fuir? La Marquise... plumeau |
L’anti-séducteur.
Il a l’air charmant et sympa mais fondamentalement il est dénué de savoir-vivre et de classe. Il m’invite à prendre un verre dans une très jolie taverne mais il appelle le serveur....en claquant des doigts!
Il tente de me faire rire avec des histoires que lui seul qualifie de drôles, il manque de subtilité et de finesse, quant à la discrétion, son rire tonitruant révèle qu’elle lui est parfaitement étrangère.
Sa conversation est banale, il n’a pas vraiment de passions dans la vie, ceci expliquant peut-être cela!
Nous quittons l’établissement, il règle l’addition mais omet le pourboire.
Nous nous dirigeons vers la voiture, nous nous y installons sans qu’il ait pensé à m’ouvrir la portière sous prétexte que "les femmes ont voulu l’égalité des sexes"!!!
Arrivés devant chez moi, mes au-revoirs sont brefs et assez froids mais je perçois pourtant dans son regard une petite lueur de "propriété" comme si le fait d’avoir bu un cocktail en sa compagnie faisait de moi une femme "acquise".
Au moment de s’éloigner, il fait "crier" les pneus de sa voiture.
Et lorsque vingt minutes après, je reçois un sms de sa part, me demandant si j’ai passé une bonne soirée et surtout si je pense à lui, j’efface son nom de mon répertoire!
Syolann
Jeu 19 Août 2004, 21:19 par
syolann sur La séduction
Jeu d'antan
Il y a quelques mois, nous avions entamé l’effeuillage de nos élans amoureux. Je le dépoussière, le frotte un peu, l’astique pour qu’il brille et vous propose d’oter un nouveau voile qui nous couvre.
Si nous avons cherché déjà nos rendez-vous inhabituels, ce qui peut nous séduire chez l’autre ainsi que ce qui nous faisait totalement fondre, nous ne savons pas encore ce qui peut provoquer des sentiments inverses.
Qu’est-ce qui nous fait fuir?
La Marquise... plumeau
Si nous avons cherché déjà nos rendez-vous inhabituels, ce qui peut nous séduire chez l’autre ainsi que ce qui nous faisait totalement fondre, nous ne savons pas encore ce qui peut provoquer des sentiments inverses.
Qu’est-ce qui nous fait fuir?
La Marquise... plumeau
Jeu 19 Août 2004, 03:00 par
la marquise de sade sur La séduction
De grace, mentez moi !
De grace, mentez moi !
Ne me dites pas la vérité, faites-moi esperer et bercez-moi d’illusions.
Je vous en prie, faites taire mon esprit,
ne me permettez pas de vous aimer, mais invitez-moi à vous desirer.
Pour être mon amant, il faut me faire succomber. Flattez-moi, rassurez-moi !
Sous vos yeux je veux me sentir rayonnante.
Je veux croire que toutes les autres n’existent plus pour vous.
Je veux être la seule qui compte pour vous,
je veux être l’unique objet de vos préoccupations.
Faites-le moi croire, et vous commencerez à me plaire.
Car en homme du monde, je le sais, je le sens,
vous ne commettrez pas l’erreur de confondre
séduire, et aimer.
Ne me dites pas la vérité, faites-moi esperer et bercez-moi d’illusions.
Je vous en prie, faites taire mon esprit,
ne me permettez pas de vous aimer, mais invitez-moi à vous desirer.
Pour être mon amant, il faut me faire succomber. Flattez-moi, rassurez-moi !
Sous vos yeux je veux me sentir rayonnante.
Je veux croire que toutes les autres n’existent plus pour vous.
Je veux être la seule qui compte pour vous,
je veux être l’unique objet de vos préoccupations.
Faites-le moi croire, et vous commencerez à me plaire.
Car en homme du monde, je le sais, je le sens,
vous ne commettrez pas l’erreur de confondre
séduire, et aimer.
Lun 19 Juil 2004, 14:07 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
Il est là !
Ca y est, Il est là, avec toute ces promesses, ses envies et ses caresses. On l’attendait, on savait qu’il viendrait, et dans un enorme fracas, il a fait son entrée. Et curieusement, ca nous a un peu ... fatigué.
Les femmes courent pour perdre leurs petit ventre qu’elles ont tendrement entretenu parce que leur corps n’avait pas besoin tant de se montrer trop nu. Et bientot, elles porteront les robes légères qu’on porte dans sud, dévoilant d’insupportables charmes au teint doré.
Les hommes courent aussi, pour fabriquer des belles tablettes d’abdominaux, des cuisses profilées et des épaules rassurantes. Certains commencent même déja à s’offrir aux rayons du soleil pour gagner ce hâle qui vous fera craquer, vous mesdames.
La nature dévoile ses chairs tendres, avec ses petits bourgeons timides, nous faisant redécouvrir l’incomparable et ennivrante delicatesse des parfums qu’elle a choisi pour nous séduire.
Ca y est, le printemps est là.
Les femmes courent pour perdre leurs petit ventre qu’elles ont tendrement entretenu parce que leur corps n’avait pas besoin tant de se montrer trop nu. Et bientot, elles porteront les robes légères qu’on porte dans sud, dévoilant d’insupportables charmes au teint doré.
Les hommes courent aussi, pour fabriquer des belles tablettes d’abdominaux, des cuisses profilées et des épaules rassurantes. Certains commencent même déja à s’offrir aux rayons du soleil pour gagner ce hâle qui vous fera craquer, vous mesdames.
La nature dévoile ses chairs tendres, avec ses petits bourgeons timides, nous faisant redécouvrir l’incomparable et ennivrante delicatesse des parfums qu’elle a choisi pour nous séduire.
Ca y est, le printemps est là.
Mar 27 Avril 2004, 07:47 par
PetitPrince sur Edito
Ces petits mots...
Avec tous ces petits mots,
Qui s’alignent sur ta peau,
Avec tous ces grands frissons,
Dis, on se pose pas de questions.
Une soirée dans un pré, éclairés d’une bougie,
Les rossignols martèlent de leurs chants,
Sifflent goulûment à la vie, déchirent la nuit.
Le temps, de s’arrêter, fait semblant.
Puis, le début, d’une valse lente,
Un mot, des rires, les caresses,
Il y a une complicité presque offensante,
Sous ces instants de tourmente.
Tu me prends la main, car ce soir,
Oui, tu vas me faire découvrir ton endroit à toi,
Ile secrète, ta cabane au fond des bois,
Ton lieu de solitude, ta cathédrale de désespoirs.
Nous marchons dans les herbes, les obstacles évitons,
Ta voix est calme, déterminée, tu me tiens fort la main,
Nous arrivons dans ton antre, ton boudoir à toi,
Les rais de lune auréolent cet endroit.
Cette clairière, au milieu des bois, isolée,
Et cette cabane, fière d’y trôner.
Nous escaladons, arrivons sur le foin, cela sent bon,
Il fait presque tiède, et pourtant, nous tremblons.
Sur ma tempe ta main, tendre, étonnée,
N’a cesse de m’arracher
A cette douce torpeur,
A cette envie de cocon tendrement enlacés.
Avec beaucoup de douceur et de fermeté
Ta main parcourt sur moi, la nuque, le cou,
Je sens ta chaleur, je te sens me convoiter,
J’aime ces mots, leur force, ils sont doux…
Ta main se fait de plus en plus expérimentée,
Sur mon dos, dessine des cercles entrelacés,
Je savoure, me laisse séduire par tant de talent,
Mon corps, hypnotisé, répond à tes douceurs tendrement.
Ces minutes semblent durer à jamais,
Rien ne bouge, pas un bruit, la nuit est comme arrêtée
Ces frissons montent , prennent leur temps,
Comme sous ta main, mon corps se fait docile, captivé.
Je t’encourage par des soupirs impossibles à réfréner,
Et, lentement, nous nous laissons glisser,
Vers les sulfureux délices
Et de leurs formidables abysses….
(Ce qu’il s’est passé ensuite, la question vous vous posez !
Ces instants trop intenses ne vous seront pas contés !
Ils sont gardés, en secret,
Tout au fond de mon jardinet….!)
De notre coma idyllique peu à peu,
Nous reprenons nos esprits,
Étonnés quelque peu,
De nous trouver ici….
Le silence, puis, peu à peu les bruits de la nuit,
Du foin dans les cheveux, tu souris,
Pas un mot, dans ce silence quasi-absolu,
Nos muscles engourdis, nos corps repus.
C’est un soir de plein lune,
De question aucune….
Un moment d’intense tendresse,
Et de terribles confesses…
Balade nocturne, entremêlée de frissons….
Avec tous ces petits mots
Ainsi que cette ponctuation,
Qui peu à peu… s’éteignent sur ta peau…
Qui s’alignent sur ta peau,
Avec tous ces grands frissons,
Dis, on se pose pas de questions.
Une soirée dans un pré, éclairés d’une bougie,
Les rossignols martèlent de leurs chants,
Sifflent goulûment à la vie, déchirent la nuit.
Le temps, de s’arrêter, fait semblant.
Puis, le début, d’une valse lente,
Un mot, des rires, les caresses,
Il y a une complicité presque offensante,
Sous ces instants de tourmente.
Tu me prends la main, car ce soir,
Oui, tu vas me faire découvrir ton endroit à toi,
Ile secrète, ta cabane au fond des bois,
Ton lieu de solitude, ta cathédrale de désespoirs.
Nous marchons dans les herbes, les obstacles évitons,
Ta voix est calme, déterminée, tu me tiens fort la main,
Nous arrivons dans ton antre, ton boudoir à toi,
Les rais de lune auréolent cet endroit.
Cette clairière, au milieu des bois, isolée,
Et cette cabane, fière d’y trôner.
Nous escaladons, arrivons sur le foin, cela sent bon,
Il fait presque tiède, et pourtant, nous tremblons.
Sur ma tempe ta main, tendre, étonnée,
N’a cesse de m’arracher
A cette douce torpeur,
A cette envie de cocon tendrement enlacés.
Avec beaucoup de douceur et de fermeté
Ta main parcourt sur moi, la nuque, le cou,
Je sens ta chaleur, je te sens me convoiter,
J’aime ces mots, leur force, ils sont doux…
Ta main se fait de plus en plus expérimentée,
Sur mon dos, dessine des cercles entrelacés,
Je savoure, me laisse séduire par tant de talent,
Mon corps, hypnotisé, répond à tes douceurs tendrement.
Ces minutes semblent durer à jamais,
Rien ne bouge, pas un bruit, la nuit est comme arrêtée
Ces frissons montent , prennent leur temps,
Comme sous ta main, mon corps se fait docile, captivé.
Je t’encourage par des soupirs impossibles à réfréner,
Et, lentement, nous nous laissons glisser,
Vers les sulfureux délices
Et de leurs formidables abysses….
(Ce qu’il s’est passé ensuite, la question vous vous posez !
Ces instants trop intenses ne vous seront pas contés !
Ils sont gardés, en secret,
Tout au fond de mon jardinet….!)
De notre coma idyllique peu à peu,
Nous reprenons nos esprits,
Étonnés quelque peu,
De nous trouver ici….
Le silence, puis, peu à peu les bruits de la nuit,
Du foin dans les cheveux, tu souris,
Pas un mot, dans ce silence quasi-absolu,
Nos muscles engourdis, nos corps repus.
C’est un soir de plein lune,
De question aucune….
Un moment d’intense tendresse,
Et de terribles confesses…
Balade nocturne, entremêlée de frissons….
Avec tous ces petits mots
Ainsi que cette ponctuation,
Qui peu à peu… s’éteignent sur ta peau…
Lun 26 Avril 2004, 23:52 par
à mon étoile sur Les liaisons sulfureuses
Ce qui me fait craquer, c'est le savoir faire
Ce qui me plait le plus en matière de séduction, c’est de savourer le jeu de séduction parfait que l’autre me fait subir. La beauté s’allie au charme, les rires se succedent aux regards, de serieux en légereté, la soumission est ponctuée de rebellion. Afin que la saveur soit aussi douce qu’épicée, cette parade doit être orchestrée à partir d’une compréhension quasi intime de mes gouts, mes humeurs, mes peurs et mes désirs.
Me séduire, c’est donc faire monter la mayo, comme on dit chez moi...
Me faire craquer, c’est faire alors un break tendre et amoureux quand la formidable tension atteint son paroxysme, que la fiévre est brulante de désir et d’extase.
C’est d’un coup changer de rythme, pour s’enfoncer dans le registre de la tendresse et y gouter toutes ses promesses.
Me séduire, c’est donc faire monter la mayo, comme on dit chez moi...
Me faire craquer, c’est faire alors un break tendre et amoureux quand la formidable tension atteint son paroxysme, que la fiévre est brulante de désir et d’extase.
C’est d’un coup changer de rythme, pour s’enfoncer dans le registre de la tendresse et y gouter toutes ses promesses.
Dim 28 Mars 2004, 13:59 par
PetitPrince sur La séduction
Hymne à la séduction...
Mon coeur pose son regard sur ce site
Et du bout des doigts je caresse le mythe,
Ce love dont tout le monde parle,
Plus doux qu’un savon Dove et pourtant parfois brutal,
Séduction est son nom, Laurent son disciple en toute occasion
Ici, un forum érigé en son nom, je bâtirai autour de vos constructions
Des centaines, des milliers, des millions de châteaux de rimes
En guise de clin d’oeil à toutes ses victimes,
Je parle de l’art de séduire qui rapproche les êtres entre eux
Et qui fait que de nos souvenirs nous sommes toujours amoureux..
Mer 03 Mars 2004, 21:54 par
Laurent sur La séduction
La parution
En fouinant à droite à gauche, j’ai appris que le plus difficile pour un écrivain, était de soumettre ses textes à la lecture des autres. La pudeur, la peur de la critique, la peur de devoir corriger quelque chose qui est relié directement à ses tripes, je ne sais pas trop comment définir cette angoisse.
Déjà, le forum en lui-même nous permet à tous, je parle des membres, de créer et de soumettre tyranniquement nos créations à la lecture de tous et toutes. Quelque fois un commentaire s’échappe par messagerie privée, rien de plus, et c’est confortable.
Nous franchissons un pas de plus, en regroupant toutes nos créations dans de jolis documents imprimables, mis en page avec amour, corrigés avec tendresse, et résolument faits pour séduire.
Ma seule peine réside dans la correction des fautes d’orthograhe, qui reste un travail de titan sur des documents de plus de 100 pages. J’ai fait pour le mieux, pardonnez aux posteurs ainsi qu’à moi-même, nos quelques erreurs.
Déjà, le forum en lui-même nous permet à tous, je parle des membres, de créer et de soumettre tyranniquement nos créations à la lecture de tous et toutes. Quelque fois un commentaire s’échappe par messagerie privée, rien de plus, et c’est confortable.
Nous franchissons un pas de plus, en regroupant toutes nos créations dans de jolis documents imprimables, mis en page avec amour, corrigés avec tendresse, et résolument faits pour séduire.
Ma seule peine réside dans la correction des fautes d’orthograhe, qui reste un travail de titan sur des documents de plus de 100 pages. J’ai fait pour le mieux, pardonnez aux posteurs ainsi qu’à moi-même, nos quelques erreurs.
Lun 26 Jan 2004, 09:23 par
PetitPrince sur Parutions
Pizzeria La Roma, bonsoir!
Un soir d’été, nous nous sommes retrouvés entre amis pour sortir. Nous avons entamé la soirée par un apéritif bien arrosé, à rire au bord de la piscine, à danser un peu, à discuter de choses et d’autres.
Nous étions vraiment une fine équipe.
Mais à force de faire les « cons » nous avions oublié que nous n’avions pas prévu de quoi manger, il nous fallut alors songer à trouver un restaurant qui accepterait à cette heure avancé de province, un groupe de 10 personnes turbulentes sous les effets de quelques verres d’alcool.
Des uns et des autres vinrent des avis diversifiés, nous appelâmes quelques restaurants, essuyant malheureusement, des refus à chaque fois.
Je pris le téléphone et appelais un pizzeria sans grande réputation c’est sûr, mais qui nous accepterait peut être.
Tout le monde d’un air moqueur me disait :
«Vas y use de ta voie sensuelle, amadoue les, sois langoureuse, ils ne vont pas pouvoir te refuser».
Je n’avais pas besoin d’adapter ma voie, elle est, a ce qu’il m’a été dit à mainte reprise, craquante naturellement, merci Maman et Papa de m’avoir donner cette voie qui semble plaire à tout le monde, je reconnais que cela m’a été utile à plus d’une reprise.
- Pizzeria La Roma, bonsoir !
- Bonsoir, je désirais savoir si vous accepteriez un groupe malgré l’heure avancée de la soirée ?
- Combien de personnes êtes vous, me répondit mon correspondant, d’une voie charmante avec un léger accent italien ?
- Heu ! Nous sommes 10 personnes ! S’il vous plait ne nous refusez pas, nous n’avons trouver aucun restaurant pour nous accueillir !
- Il est effectivement un peu tard, en pleine semaine nous fermons assez tôt, le restaurant est presque vide. Vous patientez, je vais demander à mon cuisinier s’il accepte de rester encore un peu ?
- Vous êtes adorable, je ne quitte pas.
Mes amis, en face se moquaient de moi rapport au cinéma que je venais de faire à mon correspondant.
- Si vous arrivez tout de suite, mon cuisiniez reste, mais venez vraiment rapidement.
- Le temps de prendre nos voitures et nous sommes là, merci, vraiment merci ! Je maintiens, vous êtes vraiment adorable !
Aussitôt dit, aussitôt fait, le temps de nous engouffrer dans les voitures, un quart d’heure après nous étions arrivés à la Pizzeria.
A la queue leu leu nous sommes entrés, accueillis gentiment par celui qui semblait être le patron, ma fois pas laid du tout cet homme, tout du moins ce que je pouvais en voir d’où j’étais, la dernière de la queue. En m’approchant, je pouvais progressivement percevoir sa voie, je commençais à me rendre compte qu’il s’agissait de mon correspondant. Une charmante voie, avec un doux accent italien, et bel homme, hmmm quelle chance qu’il ait accepter de nous recevoir, me dis-je.
- Bonsoir, Mademoiselle ! me dit-il en prenant ma main qu’il porta à ses lèvres pour y déposer un baiser.
- Suis-je toujours aussi ‘adorable’ ? me lança-t-il ?
Que répondre ? Comment échapper alors à cette attaque de front, ses yeux dans mes yeux, ma main encore dans sa main, je sentais une bouffée de chaleur monter en moi, mes joues alors devaient être bien rosies face à une telle audace.
Sans me démonter pour autant, gardant mes yeux dans ses yeux je lui décrochait mon plus doux sourire, serrant sa main je l’attirais à moi, sur sa joue je lui déposait un baiser et lui susurrais à l’oreille un remercie en lui demandant de venir trinquer avec nous pour l’apéritif. Ce qu’il accepta avec ce qui semblait être un air de plaisir.
J’eu alors l’impression que la soirée ne faisait que commencer.
Lorsque j’eu rejoins mes amis à la table, je fus, il va de soi, le sujet des railleries :
- Tu tapes à l’oreille plutôt qu’à l’œil toi! me lança l’un.
- Egale à toi-même ! me lança l’autre.
- Vas y ma poule, profite de la vie!
- Veinarde! les copines me dirent.
Il est vrai que ce charmant avait, de prime abords, tout ce qu’il fallait pour m’attirer, le regard chaud méditerranéen, avec cet air de vous déshabiller de haut en bas; ce teint mat qui attire l’œil de toute les femmes, surtout lorsque de belle dents blanches scintillent en contraste au moindre sourire; un contact de peau, de ses mains, doux; un contact de ses lèvres, déjà un doux souvenir de celles-ci effleurant la peau de ma main; et un corps…. Tout pour plaire cet homme.
Je me retrouvais alors assise contre le mur, face au restaurant comme en première place face à une scène, et je pouvais déjà me rendre compte qu’il ne cessait de m’épier de son regard tueur.
Oui, la soirée ne faisait que commencer.
Il vint alors vers nous pour prendre la commande des apéritifs, se plantant juste au bout de la table où je me trouvais. Il aurait pu aller à l’autre bout, mais non c’est précisément là ou je me trouvais qu’il a choisi de venir, aurait il eu aussi un déclic? Tout semblait déjà le laisser entendre. Alors mon joli, sans problème, à nous deux.
Une fois nos commande notées, celle de nos repas de même pour libérer le cuisinier, il allait s’en aller s’occuper de tout, je l’ai attrapé par sa chemise :
- mais vous trinquez avec nous, vous me l’avez promis?
- oui, j’arriverais en même temps que vos apéritifs, sans aucun problème.
Il continua son chemin et je pus, de dos qu’il était, admirer son fessier. Sous son pantalon, je pouvais me rendre compte qu’il était bien musclé, que cela devait être bon de le tenir dans ses mains… calme tes ardeurs ma belle, rien n’est encore joué, même si son regard te parle déjà, peut être a-t-il femme et enfants qui attendent son retour au foyer….
Occupée que j’étais à la discussion avec mes amis, je ne pouvais m’empêcher de le regarder du coin de l’œil, tout comme lui avait l’air de le faire à mon attention. Il arrivait vers nous avec son plateau chargé de nos verres d’apéritifs. Il commença à servir à l’autre bout de la table pour finir avec mon verre qu’il me tendit avec un grand sourire. Il posa le plateau sur la table voisine, pris le dernier verre restant dessus, le sien, une chaise et vint s’asseoir à mon bout de table, seul le pied de celle-ci était entre nous. Nous trinquâmes tous, lorsque vint notre tour, c’est, yeux dans les yeux, que nous le fîmes, je portais le verre à ma bouche légèrement entrouverte et pris une légère lampée de martini, enlevant mon verre, sous son regard accroché à moi, de ma langue je me mis à lécher mes lèvres appréciant la sensation du sucre.
Les discussions entre les uns et les autres se poursuivaient, je ne les entendais plus que vaguement, j’étais ailleurs, à imaginer d’autres choses, et j’avais en cet instant la certitude que je n’étais pas la seule.
Il fallait maintenant lancer la machine, ne pas laisser la banalité prendre place, je m’approchais plus de la table, les fesses au bord de ma chaise, ainsi mes jambes croisées ont pu vaincre la barrière du pied de la table, et sa jambe gauche se retrouva collée à la mienne. A ce contact, je sentis qu’il n’y mit aucune résistance, bien au contraire, il accentua le contact. Tout au long de l’apéritif, nous sommes restés ainsi, avec quelques mouvements de caresses parfois entre nos deux jambes, j’aimais déjà ce contact malgré son pantalon qui était ainsi la dernière barrière entre nos peaux.
Mes amis, n’étant pas là que pour rire, commencèrent à manifester une légère impatience quant à leur faim. Il est vrai qu’avec seulement quelques alcools ingurgités depuis le début de la soirée, les estomacs devaient commencer à crier famine, de manger les calmerait un peu aussi.
Mon beau patron s’est alors levé, profitant de cet instant, sa main au rebord de sa chaise il caressa mon genoux, ce fut un coup d’électricité qui me parcouru tant il était inattendu, et, dans mon ventre, de cette caresse je ressentis les effets accentués.
Je me suis alors levée pour aller au toilettes, non sans, au passage lancer un regard à mon bel italien.
Je me suis rafraîchie le visage, histoire de calmer la chaleur qui m’envahissait lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Dans la glace je le vis rentrer et se diriger vers moi, je me suis retourner et contre moi il s’est collé, de sa bouche il s’empara de ma bouche, il pris mes hanches entre ses mains, et me plaqua contre son ventre. Je sentis son envie contre moi, sa langue fouillant ma bouche, ses mains sur ma poitrine. L’instant était fou, pas une seconde pour réfléchir à la situation cocasse, juste prendre cette fougue et s’y laisser aller le temps qu’elle durera.
Il quitta ma bouche, plongea son regard dans le mien et de sa charmante voie, avec toujours cet accent bien italien, il me dit :
- Je ne regrette pas de vous avoir dit oui. Tu es vraiment très belle, la soirée ne fait que commencer.
Il tourna les talons et disparu comme il était apparu, me laissant là toute chaude, toute humide qu’il m’avait rendue entre mes jambes, toute excitée que je pouvais l’être alors.
Comme ça, mon bel hidalgo, avait la même impression que moi…. et il n’avait pas tort. J’étais d’un coup sur une autre planète. De retour à la table, certains de mes amis me regardaient interrogateurs. Ils me connaissent bien et savent que je ne me retiendrais pas d’aller au bout de mes plaisirs. J’aime séduire, j’aime la séduction, ce jeu qui fait monter le feu. Dans le respect des uns et des autres, ils savent ce dont je suis capable, mais pas de les abandonnés pour un bel homme, quel qu’il soit, je tisse ma toile tranquillement, tout en restant présente auprès d’eux, et toujours à la fin de nos soirées, mes jeux de séduction arrivant la plupart du temps à leur fin, je les laisse rentrer et m’attarde sans jamais de faux prétextes. Ils avaient là, bien compris que cette soirée se finirait des plus agréablement pour moi, et je savais que demain mon téléphone sonnerait non stop des appels de tous ces vilains curieux de vouloir connaître l’aboutissement.
Sourires complices, rires, et railleries, nous attaquions notre repas.
Etant donné le nombre d’assiettes à servir, les plats chauds arrivant, le cuisinier ayant fini ainsi son travail, vint donner un coup de main à mon bel italien pour le service. Lorsqu’il servit ma voisine de table, je ne sais comment il s’y pris, mais de l’assiette tout le contenu tomba, une partie sur la table, une autre par terre, et ma jupe n’y échappa pas. Les rires fusèrent tant que mon italien arriva aussitôt avec un regard d’interrogation devant l’air pantois de son cuisinier.
Et moi je n’arrêtais plus de rire, de ce rire nerveux face à une situation à la fois délicate, bête, gênante, comme lorsque l’on tombe dans la rue et que tout le monde vous regarde. Je ne pouvais interrompre ce rire qui devint communicatif, il se mit de même à rire à pleines dents. Mais il repris son rôle de patron et se dirigea vers le comptoir pour prendre un torchon qu’il passa sous l’eau chaude, revint et me le donna. Cela ne suffit pas à faire disparaître le résultat de cet arrosage alimentaire. Il s’en rendit compte, me pris par la main, et m’emmena je ne savais encore où, se retournant pour dire à son cuisinier qu’il pouvait s’en aller.
…
Nous étions vraiment une fine équipe.
Mais à force de faire les « cons » nous avions oublié que nous n’avions pas prévu de quoi manger, il nous fallut alors songer à trouver un restaurant qui accepterait à cette heure avancé de province, un groupe de 10 personnes turbulentes sous les effets de quelques verres d’alcool.
Des uns et des autres vinrent des avis diversifiés, nous appelâmes quelques restaurants, essuyant malheureusement, des refus à chaque fois.
Je pris le téléphone et appelais un pizzeria sans grande réputation c’est sûr, mais qui nous accepterait peut être.
Tout le monde d’un air moqueur me disait :
«Vas y use de ta voie sensuelle, amadoue les, sois langoureuse, ils ne vont pas pouvoir te refuser».
Je n’avais pas besoin d’adapter ma voie, elle est, a ce qu’il m’a été dit à mainte reprise, craquante naturellement, merci Maman et Papa de m’avoir donner cette voie qui semble plaire à tout le monde, je reconnais que cela m’a été utile à plus d’une reprise.
- Pizzeria La Roma, bonsoir !
- Bonsoir, je désirais savoir si vous accepteriez un groupe malgré l’heure avancée de la soirée ?
- Combien de personnes êtes vous, me répondit mon correspondant, d’une voie charmante avec un léger accent italien ?
- Heu ! Nous sommes 10 personnes ! S’il vous plait ne nous refusez pas, nous n’avons trouver aucun restaurant pour nous accueillir !
- Il est effectivement un peu tard, en pleine semaine nous fermons assez tôt, le restaurant est presque vide. Vous patientez, je vais demander à mon cuisinier s’il accepte de rester encore un peu ?
- Vous êtes adorable, je ne quitte pas.
Mes amis, en face se moquaient de moi rapport au cinéma que je venais de faire à mon correspondant.
- Si vous arrivez tout de suite, mon cuisiniez reste, mais venez vraiment rapidement.
- Le temps de prendre nos voitures et nous sommes là, merci, vraiment merci ! Je maintiens, vous êtes vraiment adorable !
Aussitôt dit, aussitôt fait, le temps de nous engouffrer dans les voitures, un quart d’heure après nous étions arrivés à la Pizzeria.
A la queue leu leu nous sommes entrés, accueillis gentiment par celui qui semblait être le patron, ma fois pas laid du tout cet homme, tout du moins ce que je pouvais en voir d’où j’étais, la dernière de la queue. En m’approchant, je pouvais progressivement percevoir sa voie, je commençais à me rendre compte qu’il s’agissait de mon correspondant. Une charmante voie, avec un doux accent italien, et bel homme, hmmm quelle chance qu’il ait accepter de nous recevoir, me dis-je.
- Bonsoir, Mademoiselle ! me dit-il en prenant ma main qu’il porta à ses lèvres pour y déposer un baiser.
- Suis-je toujours aussi ‘adorable’ ? me lança-t-il ?
Que répondre ? Comment échapper alors à cette attaque de front, ses yeux dans mes yeux, ma main encore dans sa main, je sentais une bouffée de chaleur monter en moi, mes joues alors devaient être bien rosies face à une telle audace.
Sans me démonter pour autant, gardant mes yeux dans ses yeux je lui décrochait mon plus doux sourire, serrant sa main je l’attirais à moi, sur sa joue je lui déposait un baiser et lui susurrais à l’oreille un remercie en lui demandant de venir trinquer avec nous pour l’apéritif. Ce qu’il accepta avec ce qui semblait être un air de plaisir.
J’eu alors l’impression que la soirée ne faisait que commencer.
Lorsque j’eu rejoins mes amis à la table, je fus, il va de soi, le sujet des railleries :
- Tu tapes à l’oreille plutôt qu’à l’œil toi! me lança l’un.
- Egale à toi-même ! me lança l’autre.
- Vas y ma poule, profite de la vie!
- Veinarde! les copines me dirent.
Il est vrai que ce charmant avait, de prime abords, tout ce qu’il fallait pour m’attirer, le regard chaud méditerranéen, avec cet air de vous déshabiller de haut en bas; ce teint mat qui attire l’œil de toute les femmes, surtout lorsque de belle dents blanches scintillent en contraste au moindre sourire; un contact de peau, de ses mains, doux; un contact de ses lèvres, déjà un doux souvenir de celles-ci effleurant la peau de ma main; et un corps…. Tout pour plaire cet homme.
Je me retrouvais alors assise contre le mur, face au restaurant comme en première place face à une scène, et je pouvais déjà me rendre compte qu’il ne cessait de m’épier de son regard tueur.
Oui, la soirée ne faisait que commencer.
Il vint alors vers nous pour prendre la commande des apéritifs, se plantant juste au bout de la table où je me trouvais. Il aurait pu aller à l’autre bout, mais non c’est précisément là ou je me trouvais qu’il a choisi de venir, aurait il eu aussi un déclic? Tout semblait déjà le laisser entendre. Alors mon joli, sans problème, à nous deux.
Une fois nos commande notées, celle de nos repas de même pour libérer le cuisinier, il allait s’en aller s’occuper de tout, je l’ai attrapé par sa chemise :
- mais vous trinquez avec nous, vous me l’avez promis?
- oui, j’arriverais en même temps que vos apéritifs, sans aucun problème.
Il continua son chemin et je pus, de dos qu’il était, admirer son fessier. Sous son pantalon, je pouvais me rendre compte qu’il était bien musclé, que cela devait être bon de le tenir dans ses mains… calme tes ardeurs ma belle, rien n’est encore joué, même si son regard te parle déjà, peut être a-t-il femme et enfants qui attendent son retour au foyer….
Occupée que j’étais à la discussion avec mes amis, je ne pouvais m’empêcher de le regarder du coin de l’œil, tout comme lui avait l’air de le faire à mon attention. Il arrivait vers nous avec son plateau chargé de nos verres d’apéritifs. Il commença à servir à l’autre bout de la table pour finir avec mon verre qu’il me tendit avec un grand sourire. Il posa le plateau sur la table voisine, pris le dernier verre restant dessus, le sien, une chaise et vint s’asseoir à mon bout de table, seul le pied de celle-ci était entre nous. Nous trinquâmes tous, lorsque vint notre tour, c’est, yeux dans les yeux, que nous le fîmes, je portais le verre à ma bouche légèrement entrouverte et pris une légère lampée de martini, enlevant mon verre, sous son regard accroché à moi, de ma langue je me mis à lécher mes lèvres appréciant la sensation du sucre.
Les discussions entre les uns et les autres se poursuivaient, je ne les entendais plus que vaguement, j’étais ailleurs, à imaginer d’autres choses, et j’avais en cet instant la certitude que je n’étais pas la seule.
Il fallait maintenant lancer la machine, ne pas laisser la banalité prendre place, je m’approchais plus de la table, les fesses au bord de ma chaise, ainsi mes jambes croisées ont pu vaincre la barrière du pied de la table, et sa jambe gauche se retrouva collée à la mienne. A ce contact, je sentis qu’il n’y mit aucune résistance, bien au contraire, il accentua le contact. Tout au long de l’apéritif, nous sommes restés ainsi, avec quelques mouvements de caresses parfois entre nos deux jambes, j’aimais déjà ce contact malgré son pantalon qui était ainsi la dernière barrière entre nos peaux.
Mes amis, n’étant pas là que pour rire, commencèrent à manifester une légère impatience quant à leur faim. Il est vrai qu’avec seulement quelques alcools ingurgités depuis le début de la soirée, les estomacs devaient commencer à crier famine, de manger les calmerait un peu aussi.
Mon beau patron s’est alors levé, profitant de cet instant, sa main au rebord de sa chaise il caressa mon genoux, ce fut un coup d’électricité qui me parcouru tant il était inattendu, et, dans mon ventre, de cette caresse je ressentis les effets accentués.
Je me suis alors levée pour aller au toilettes, non sans, au passage lancer un regard à mon bel italien.
Je me suis rafraîchie le visage, histoire de calmer la chaleur qui m’envahissait lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Dans la glace je le vis rentrer et se diriger vers moi, je me suis retourner et contre moi il s’est collé, de sa bouche il s’empara de ma bouche, il pris mes hanches entre ses mains, et me plaqua contre son ventre. Je sentis son envie contre moi, sa langue fouillant ma bouche, ses mains sur ma poitrine. L’instant était fou, pas une seconde pour réfléchir à la situation cocasse, juste prendre cette fougue et s’y laisser aller le temps qu’elle durera.
Il quitta ma bouche, plongea son regard dans le mien et de sa charmante voie, avec toujours cet accent bien italien, il me dit :
- Je ne regrette pas de vous avoir dit oui. Tu es vraiment très belle, la soirée ne fait que commencer.
Il tourna les talons et disparu comme il était apparu, me laissant là toute chaude, toute humide qu’il m’avait rendue entre mes jambes, toute excitée que je pouvais l’être alors.
Comme ça, mon bel hidalgo, avait la même impression que moi…. et il n’avait pas tort. J’étais d’un coup sur une autre planète. De retour à la table, certains de mes amis me regardaient interrogateurs. Ils me connaissent bien et savent que je ne me retiendrais pas d’aller au bout de mes plaisirs. J’aime séduire, j’aime la séduction, ce jeu qui fait monter le feu. Dans le respect des uns et des autres, ils savent ce dont je suis capable, mais pas de les abandonnés pour un bel homme, quel qu’il soit, je tisse ma toile tranquillement, tout en restant présente auprès d’eux, et toujours à la fin de nos soirées, mes jeux de séduction arrivant la plupart du temps à leur fin, je les laisse rentrer et m’attarde sans jamais de faux prétextes. Ils avaient là, bien compris que cette soirée se finirait des plus agréablement pour moi, et je savais que demain mon téléphone sonnerait non stop des appels de tous ces vilains curieux de vouloir connaître l’aboutissement.
Sourires complices, rires, et railleries, nous attaquions notre repas.
Etant donné le nombre d’assiettes à servir, les plats chauds arrivant, le cuisinier ayant fini ainsi son travail, vint donner un coup de main à mon bel italien pour le service. Lorsqu’il servit ma voisine de table, je ne sais comment il s’y pris, mais de l’assiette tout le contenu tomba, une partie sur la table, une autre par terre, et ma jupe n’y échappa pas. Les rires fusèrent tant que mon italien arriva aussitôt avec un regard d’interrogation devant l’air pantois de son cuisinier.
Et moi je n’arrêtais plus de rire, de ce rire nerveux face à une situation à la fois délicate, bête, gênante, comme lorsque l’on tombe dans la rue et que tout le monde vous regarde. Je ne pouvais interrompre ce rire qui devint communicatif, il se mit de même à rire à pleines dents. Mais il repris son rôle de patron et se dirigea vers le comptoir pour prendre un torchon qu’il passa sous l’eau chaude, revint et me le donna. Cela ne suffit pas à faire disparaître le résultat de cet arrosage alimentaire. Il s’en rendit compte, me pris par la main, et m’emmena je ne savais encore où, se retournant pour dire à son cuisinier qu’il pouvait s’en aller.
…
Mar 20 Jan 2004, 23:11 par
Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses
Houlaaaa
C’est vrai qu’en ouvrant cette rubrique, nous prenons un risque de sombrer dans la vulgarité, la grossiéreté gratuite, l’obscénité malsaine . Ca serait complètement décalé par rapport à l’ambiance générale du site, qui est fondée sur l’évocation, l’élégance, la poesie.
Ainsi marquise, tes posts sur la pipe à dent, ainsi que sur les massages culinaires sont à mon sens dans le ton exact de ce qu’il faut écrire dans les liaisons sulfureuses. Rappelons qu’il faut séduire, donner envie, et que comme chacun sait, une femme nue est bien moins attirante que celle qui est encore habillée ne fusse qu’un tout petit peu. Il en va de meme avec les posts je pense.
Mais alors, comment décrire cette scéne de nain qui chevauche le dogue allemand de Soeur Marie Therese pendant que cette derniere flatte le fabuleux gourdin de son voisin aux cheveux rouges et bleus ? Et surtout, où es-tu toi, dans cette fantastique allégorie ? Dessus ? Dessous ? Sans dessus dessous ? Sans dessous ?
Le mot d’ordre : restez beaux dans ce que vous faites, beaux dans ce que vous dites. Distillez avec art les mots qui offusquent, et mettez encore plus de talent à évoquer ceux que la grossièreté pourrait rendre laids.
Ainsi marquise, tes posts sur la pipe à dent, ainsi que sur les massages culinaires sont à mon sens dans le ton exact de ce qu’il faut écrire dans les liaisons sulfureuses. Rappelons qu’il faut séduire, donner envie, et que comme chacun sait, une femme nue est bien moins attirante que celle qui est encore habillée ne fusse qu’un tout petit peu. Il en va de meme avec les posts je pense.
Mais alors, comment décrire cette scéne de nain qui chevauche le dogue allemand de Soeur Marie Therese pendant que cette derniere flatte le fabuleux gourdin de son voisin aux cheveux rouges et bleus ? Et surtout, où es-tu toi, dans cette fantastique allégorie ? Dessus ? Dessous ? Sans dessus dessous ? Sans dessous ?
Le mot d’ordre : restez beaux dans ce que vous faites, beaux dans ce que vous dites. Distillez avec art les mots qui offusquent, et mettez encore plus de talent à évoquer ceux que la grossièreté pourrait rendre laids.
Mar 13 Jan 2004, 12:33 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
L'année de la séduction?
Peut-être 2004 le sera sur ce forum où beaucoup se laisseront aller de leurs mots de séductions, je le souhaite à notre Petit Prince, qui s’est donné ce mal à nous fabriquer un forum séducteur.
En ce jour de nouvelle année déjà avancée, je gribouille alors ces quelques mots, après avoir laissé le Maître des lieux inaugurer cette nouvelles année de ses mots.
Osez donc séducteurs et séductrices, si ce n’est d’avouer vos premières fois, nous séduire pour une première fois de vos mots de séduction.
En ce jour de nouvelle année déjà avancée, je gribouille alors ces quelques mots, après avoir laissé le Maître des lieux inaugurer cette nouvelles année de ses mots.
Osez donc séducteurs et séductrices, si ce n’est d’avouer vos premières fois, nous séduire pour une première fois de vos mots de séduction.
Mar 06 Jan 2004, 02:50 par
Ri1kedesBêtises sur L'amour en vrac
Tiens, un peu de philosophie
soleye a écrit: |
La seduction n’est pas forcement un jeu,je crois que l’on essaye de charmer de facon consciente ou inconsciente son interlocuteur,c’est avoir l’esprit ouvert à mon sens et ca reste naturel,peux t’on forcer son talent à telle ou telle occasion, je n’en suis pas sur car on ne connait pas le ressenti de "l’autre",et etre "sur" de son talent n’est ce pas se considerer et etre un coq .De plus par definition si c’est un jeu,n’est ce pas une forme de mepris envers sa partenaire et chacun sait qu’il n’y a pas que des bons joueurs... |
Ah, c’était inévitable que les questions existentielles à caractère philosophique viennent, portées par le vent du doute dont nos cerveaux avides se repaissent, souffler sur les roses pâturages littéraires de ce site. Dur, dur, de philosopher et à la fois l’écrire en des termes qui plaisent, dont la seule vocation est d’exister pour leur naturelle beauté, leur prédisposition à flatter, inciter nos sentiments des plus tendres aux plus extatiques. Ca tombe bien, c’est la vocation de ce forum: la beauté des mots !
Tel le troubadour, qui plusieurs fois a été accusé de sorcellerie, tant ses mots portaient comme des traits précis dans le coeur des jouvencelles, je séduis par mes mots, ou du moins, soyons plus exact, tente de confectionner des plats de sonorités, dont le rythme quelque fois étudié, quelque fois naïf, vous séduit ... Séduire, nous y revoilà donc.
Séduire, d’après les gens de l’Académie, signifie "attirer", "plaire irrésistiblement", etc. Faire des pieds et des mains pour attirer le regard de la belle, jouer de ruse pour la faire vaciller ... dans mes bras !
Etre emporté par une tourmente sans fin parce qu’elle ne me regarde pas, faire de l’humour au lieu de l’amour, être chaud, être tendre, être froid, nu, bien habillé, ou cool, que d’attitudes, feintes ou non, pour attirer l’être aimé ... dans mes bras.
On y revient toujours, et si cette chasse plait, autant que sa prise, autant que sa proie, alors la pratiquer devient un plaisir, que je qualifie de ludique ... Un jeu, n’ayons pas peur des mots ...
Lun 22 Déc 2003, 17:23 par
PetitPrince sur La séduction
A l'aube
Il faut bien le dire, les premières fois c’est quand même pas une sinécure! Même si c’est avec un regard nostalgique et ému que l’on se souvient de ces moments, il n’en reste pas moins qu’on a tendance à omettre certains petits détails!
C’est qu’avant d’arriver à l’instant magique il faut se préparer! Si si parole de femme!
Et oui il est dur le moment où avant le RDV galant il faut se raser, se maquiller, s’habiller, se coiffer, appeler ses amies pour nous aider, trouver ses chaussures... Et après des heures à courir on finit par s’asseoir sur le lit, désespérée, au bord de la crise de nerf parce qu’on ne sera jamais assez belle et que décidemment il faut se mettre régime parce que la raclette entre copines la veille c’était pas une bonne idée
La semaine à été longue, très longue!
Etape.1: Il a fallu après des mois d’hibernation passer sous les mains expertes de notre esthéticienne adorée : " Mon Dieu et bien il était temps de venir nous voir, alors on commence par quelle jambe???", on s’en fout, même pas mal!
Et après des heures de conversation enrichissante sur le nouvel amant de madame Georgette, il est temps de penser à passer à l’étape suivante!
Etape.2 : Le matin en ouvrant le tiroir du bas le constat est dur mais il urgent de changer de lingerie, les culottes avec des petits nounours ça risque de casser l’ambiance. Ca tombe bien il y a toujours un magasin de lingerie dans le coin. C’est à partir de là que votre vie de femme commence à se compliquer, et que de grandes questions existentielles se posent alors à vous... " Excusez moi mais ... ça se porte dans quel sens?" , " il est où le reste du tissu?", "mince ça existe?"," ça coûte combien?... ah...oui quand même", " je comprends pas d’habitude je rentre dans du 38!!"," votre miroir là! il grossit non?", " mouahaha! vous plaisantez! Vous m’avez vu?"
Et après quelques heures de débats on peut rentrer fièrement la récolte sous le bras. Mais quelques minutes plus tard et le portefeuille vide c’est la proie au doute, les sueurs froides et toujours la même conclusion " Mon Dieu, je suis sûr qu’il va me trouver grosse et moche!!"
Etape.3 : Sans doute une des plus longues. On se doute pas qu’une armoire peut contenir autant d’habits...et pourtant! A côté la caverne d’Ali baba ( au rhum ) c’est de la gnognote.
Parce qu’après avoir trouver le haut, il faut trouver la jupe qui va avec, puis les chaussures , le manteau, le pull, le collier, les boucles d’oreilles...raaaaaa
Et après des heures de recherches dignes d’une fouille archéologique la sentence tombe : " oh m... je rentre plus dans la jupe...va falloir que je trouve autre chose!" Là les courageuse copines appelées à la rescousse quelques heures avant sont au bord de la syncope et ont commencé à entamer la bouteille de bordeaux que vous aviez soigneusement caché sous le lit.
Etape.4 : Le maquillage. Un manque d’entraînement se fait sentir, normal le dernier RDV date d’un an. Heureusement les valeureuses copines sont toujours là au cas où. "Le maquillage est notre ami il faut l’aimer aussi!"
Pas toujours si évident quand après 5 tentatives on finit généralement borgne et ressemblant à une star de film muet. Mais ça serait trop facile!!
La salle de bain c’est une chose, la lumière du jour c’en est une autre, et le regard incrédule de vos cheres et tendre amies (maintenant profondément imbibées de vin) sera là pour vous le rappeler!
Etape.5 : il ne reste plus que la coiffure et s’entraîner à porter des chaussures à talons. Enfin ça y est la ressemblance avec un femme, une vraie, approche!
Conclusion1: le grand moment tant attendu est là! Le travail du sourire et du regard n’aura pas été vain, le parfum semble avoir été à son goût, les précieux conseils des amies sur les 5 façons de séduire un homme (paru dans ELLE magasine la veille! ça c’est de la veine!) ont fonctionné, le maquillage n’a pas fait trop tâche, les habits c’était parfait, et les dessous sexy après un travail d’équipe ont finit par terre!
c’était parfait! ...
Conclusion2 : Le lendemain soirée entre copine pour une réunion de haute importance sur comment s’est déroulée la soirée ( avec les détails ça va de soit ) : " wouah!!! il est trop mignoooon!!!" , " la chaaaaaanceee!!!", " il a fait çaaaa???"
Après messieurs cela ne vous regarde pas! Nos conversations resteront à tout jamais un mystère pour le sexe masculin
C’est qu’avant d’arriver à l’instant magique il faut se préparer! Si si parole de femme!
Et oui il est dur le moment où avant le RDV galant il faut se raser, se maquiller, s’habiller, se coiffer, appeler ses amies pour nous aider, trouver ses chaussures... Et après des heures à courir on finit par s’asseoir sur le lit, désespérée, au bord de la crise de nerf parce qu’on ne sera jamais assez belle et que décidemment il faut se mettre régime parce que la raclette entre copines la veille c’était pas une bonne idée
La semaine à été longue, très longue!
Etape.1: Il a fallu après des mois d’hibernation passer sous les mains expertes de notre esthéticienne adorée : " Mon Dieu et bien il était temps de venir nous voir, alors on commence par quelle jambe???", on s’en fout, même pas mal!
Et après des heures de conversation enrichissante sur le nouvel amant de madame Georgette, il est temps de penser à passer à l’étape suivante!
Etape.2 : Le matin en ouvrant le tiroir du bas le constat est dur mais il urgent de changer de lingerie, les culottes avec des petits nounours ça risque de casser l’ambiance. Ca tombe bien il y a toujours un magasin de lingerie dans le coin. C’est à partir de là que votre vie de femme commence à se compliquer, et que de grandes questions existentielles se posent alors à vous... " Excusez moi mais ... ça se porte dans quel sens?" , " il est où le reste du tissu?", "mince ça existe?"," ça coûte combien?... ah...oui quand même", " je comprends pas d’habitude je rentre dans du 38!!"," votre miroir là! il grossit non?", " mouahaha! vous plaisantez! Vous m’avez vu?"
Et après quelques heures de débats on peut rentrer fièrement la récolte sous le bras. Mais quelques minutes plus tard et le portefeuille vide c’est la proie au doute, les sueurs froides et toujours la même conclusion " Mon Dieu, je suis sûr qu’il va me trouver grosse et moche!!"
Etape.3 : Sans doute une des plus longues. On se doute pas qu’une armoire peut contenir autant d’habits...et pourtant! A côté la caverne d’Ali baba ( au rhum ) c’est de la gnognote.
Parce qu’après avoir trouver le haut, il faut trouver la jupe qui va avec, puis les chaussures , le manteau, le pull, le collier, les boucles d’oreilles...raaaaaa
Et après des heures de recherches dignes d’une fouille archéologique la sentence tombe : " oh m... je rentre plus dans la jupe...va falloir que je trouve autre chose!" Là les courageuse copines appelées à la rescousse quelques heures avant sont au bord de la syncope et ont commencé à entamer la bouteille de bordeaux que vous aviez soigneusement caché sous le lit.
Etape.4 : Le maquillage. Un manque d’entraînement se fait sentir, normal le dernier RDV date d’un an. Heureusement les valeureuses copines sont toujours là au cas où. "Le maquillage est notre ami il faut l’aimer aussi!"
Pas toujours si évident quand après 5 tentatives on finit généralement borgne et ressemblant à une star de film muet. Mais ça serait trop facile!!
La salle de bain c’est une chose, la lumière du jour c’en est une autre, et le regard incrédule de vos cheres et tendre amies (maintenant profondément imbibées de vin) sera là pour vous le rappeler!
Etape.5 : il ne reste plus que la coiffure et s’entraîner à porter des chaussures à talons. Enfin ça y est la ressemblance avec un femme, une vraie, approche!
Conclusion1: le grand moment tant attendu est là! Le travail du sourire et du regard n’aura pas été vain, le parfum semble avoir été à son goût, les précieux conseils des amies sur les 5 façons de séduire un homme (paru dans ELLE magasine la veille! ça c’est de la veine!) ont fonctionné, le maquillage n’a pas fait trop tâche, les habits c’était parfait, et les dessous sexy après un travail d’équipe ont finit par terre!
c’était parfait! ...
Conclusion2 : Le lendemain soirée entre copine pour une réunion de haute importance sur comment s’est déroulée la soirée ( avec les détails ça va de soit ) : " wouah!!! il est trop mignoooon!!!" , " la chaaaaaanceee!!!", " il a fait çaaaa???"
Après messieurs cela ne vous regarde pas! Nos conversations resteront à tout jamais un mystère pour le sexe masculin
Ven 12 Déc 2003, 15:21 par
sobritish sur La première fois
nous jouons nous de la séduction?
soleye a écrit: |
Je m’excuse de t’avoir coupé l’herbe sous le pied concernant le point zéro. |
tu n’as fait qu’amoindrir peut-être l’effet inattendu de mon message, tu es je pense tout excusable.
soleye a écrit: |
Je me trouverai donc un autre point, puisque à priori il te semble reservé hehe! mais je ne passe pas mon temps à donner rdv la bas, moi... hehe! Peut être que l’on se rencontrera à ce point, dans une autre vie qui sait |
En ce qui concerne ce lieu de rendez-vous, il ne m’est point réservé, je n’ai d’ailleurs pas pour habitude de surprendre avec deux fois les mêmes lieux, même si c’est avec des personnes différentes. Par conséquent, on ne m’y vera plus autrement que de passage, au hasard du temps et de mes périgrinations.
soleye a écrit: |
mais je trouve que tu répond fort peu à mes interrogations... |
mais de quelles interrogations parles-tu donc là?
tu t’interroge sur le fait que la séduction puisse être un jeu?
oui d’une certaine manière elle l’est, nous ne sommes pas continuellement à tenter de séduire que pour les sentiments.
Il y a plusieurs types de séduction et cela ne signifie pas pour autant que l’on puisse jouer avec les sentiments.
Lorsque l’on vit en couple, beaucoup ont d’ailleurs l’air d’avoir, avec le temps, oublié ce que signifie SEDUIRE l’autre, et bien souvent vont jouer de leur séduction au dehors (ce qui nous ramènerait à un autre sujet déjà traité ailleurs, je n’approfondirai donc pas ici).
Dim 16 Nov 2003, 20:14 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
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Séduire, L'anti-séduction, Jeu d'antan, De grace, mentez moi !, Il est là !, Ces petits mots..., Ce qui me fait craquer, c'est le savoir faire, Hymne à la séduction..., La parution, Pizzeria La Roma, bonsoir!, Houlaaaa, L'année de la séduction?, Tiens, un peu de philosophie, A l'aube, nous jouons nous de la séduction?,Il y a 63 textes utilisant le mot séduire. Ces pages présentent les textes correspondant.
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Dans les nuages
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
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