La chaleur d'un réconfort



Il est bien loin, mais si proche finalement,
Il est un doux réconfort pour mon cœur
J’ai pourtant cherché mais n’ai jamais trouvé
Et voilà qu’il se pointe un bon matin
Tranquille, serein, l’air de rien,
Comme un vent venu d’ailleurs....
Un air pétillant et plein d’entrain
Un peu taquin, un peu coquin.

Elle est entrée dans ma vie tel un grain qui passe
Il mouille, inonde, bouleverse et s’en va sans regrets
Et voilà, depuis ce jour, que l’esprit son image ressasse
Et que le cœur élaborant rêves et projets
Mais la flamme de la passion n’est pas commune
Même si, de part et d’autre, il y a grand intérêt
Ce n’est pour nos cœurs la même fortune
Car, dans ses vues, c’est l’amitié le sujet.

Plein d’attentions, avenant et prévenant...
Tout s’anime soudainement
Le noir fait place au blanc
La brume s’efface, le soleil devient chantant...

Si ce n’est l’amour gardons l’amitié
L’approcher chaque jour, pouvoir l’admirer
C’est déjà beaucoup, c’est inespéré
Pour celui qui, à ce jour, son ami veut rester
Jeu 23 Juin 2011, 17:07 par caressedesyeux sur Mille choses

La rose, l'encolie et l'amour ...

ahmoui Regardons la beauté d’une rose !
Elle qui est si aimée des amoureux ardents,
Elle qui a de merveilleuses senteurs de mille lieux,
Elle qui revêtit les toisons les plus différentes de la terre,
Elle qui conquit les coeurs mêmes les plus rudes,
Elle qui dévoile une délicatesse de facettes,
Elle qui sait r au grès du vent et de la saison,
Elle qui évoque l’amour dans le monde,
Elle qui a ce langage universel,
Elle a qui on dédit tant de poème...

ahmoui Regardons la beauté de l’ancolie !
Elle qui de fins pétales en forme de clochette,
Elle qui est si délicate et douce,
Elle qui le jour et s’endort la nuit,
Elle qui n’a aucune odeur,
Elle qui vêtit peut de toison,
Elle qui repousse les admirateurs,
Elle qui qui dévoile sa beauté qu’a ceux qui prennent le temps de s’arrêter la regarder,
Elle si timide et si seul,
Elle qui évoque l’amour,
Elle qui s’est fait voler sa place,
Elle qui voudrait dire tant de belle chose,

Devons nous choisir la rose ou l’ancolie ?
La beauté intérieure ou extérieure ?
L’amour ou la haine ?
La vie ou la mort ?

Sachons que dans le langage des fleurs,
De multiples fleurs désignent l’amour,
Certaines plus jolies que d’autre,
Certaines avec plus de senteurs,
Mais au final ne faut’-il pas choisir la fleur qui nous correspond le mieux ?
Arretons de parler toujours de la rose qui peut être futile.
Un destin trace chaque destiné des fleurs comme le nôtre,

Qu’elle est donc la fleur qui me représente ? .... doute
Dim 30 Juil 2006, 09:09 par joullia sur L'amour en vrac

La vie, l'amour

La vie, la vie ça se trouve
Dans l’amour.
L’amour, l’amour ça se perd
Dans la vie.
La vie, la vie ça se donne
Par l’amour.
L’amour, l’amour ça se prend
Par envie.
La vie, la vie ça rêve
A l’amour.
L’amour, l’amour
A la vie,
Car la vie, mais c’est l’amour.

Oui la vie, c’est l’amour
Et l’amour, c’est la vie.
Pas de vie, sans amour.
Pas d’amour, sans la vie.
Notre vie pour l’amour,
Notre amour pour la vie.
Mon amour, tu es ma vie.

La vie, la vie ça chante
Dans l’amour.
L’amour, l’amour ça crie
Dans la vie.
La vie, la vie nous donne
Tout l’amour.
L’amour, l’amour nous prend
Toute la vie.
La vie, la vie ça meurt
Pour l’amour.
L’amour, l’amour ça vit
Pour la vie.
C’est l’amour
Et c’est la vie...

Edith Piaf
Mer 24 Mai 2006, 20:49 par Satine sur Parler d'amour

Toujours elle

A ta pensée,
Mon cœur se noue
Je te vois, t’imagine
Mais une tristesse persiste.

A ta vue,
Mon cœur ralentit
Je te regarde, te respecte
Mais il me reste un vide profond.

A ton écoute,
Mon cœur est fier
J’entends tes lèvres, pas tes paroles
Mais je reste sur ma fin.

A ton approche,
Mon cœur
Je suis pressé, content
Mais j’en désire toujours plus.

A tes cotés,
Mon cœur s’emballe
Je profite, te languis
Et un certain bonheur émerge.

Ta présence me manque à chaque moment,
A chaque instant précieux de notre vie.
Lun 24 Jan 2005, 22:34 par Ady sur L'amour en vrac

La vie à trois

Chaque matin, une pensée pour elle
Dans les rues, tout lui rapelle son sourire
Sur ses lèvres, le souvenir de ses baisers d’une nuit
Dans son coeur, ses mots qui résonnent

Je t’aime prononcé quand il l’appelle
Tu me manques murmuré dans un soupir
Quand viens-tu demandé avec envie
A demain en raccrochant le téléphone

Chaque jour, il construit leur archipel
Dans un message, il l’a fait rire
Dans un espoir, il l’a séduit
Elle ne résiste pas et frissonne

Chaque soir, un espoir
D’encore quelques minutes embellir
Avant d’oublier le délit
Retrouver celle à qui il se donne

Chaque nuit, dans ces rêves de merveilles
Il cherche ses baisers pour jouir
Il entend qu’elle gémit
C’est à une autre qu’il s’abandonne
Mar 31 Août 2004, 13:00 par la marquise de sade sur La vie à deux

Un cadeau!

Comme tous les soirs à la même heure, on sonne à ma porte. Je sais que c’est toi et mon cœur bat à rompre…
J’aime faire durer cet instant pour mieux savourer ce qui va suivre, car je sais exactement ce que tu vas faire en franchissant le pas de la porte. Je sais que tu vas me sourire, que tu vas t’avancer vers moi, que tu vas passer ta main sur mon dos et que tu vas m’embrasser de ce baiser -synapse qui transmet de ma bouche à mon cœur et mon corps une mer de sentiments qui se déchaîne en moi. Et tu sais, en m’embrassant de ce baiser là, que je vais perdre pied, que mon corps va s’affoler et que je vais fondre dans tes bras.

Je connais aussi le langage secret de tes lèvres ; par exemple, ce soir, ton baiser me dit que tu ne resteras pas longtemps car elle est là, elle t’attend… elle, celle qu’on appelle « ta femme », celle qui t’appelle quand nous sommes allongés côte à côte dans le grand lit défait et à qui tu réponds très vite en t’enfuyant presque de ma chambre.

Elle, celle qui vit sous le même toit que toi, celle qui croit partager ta vie. Mais ta vie, c’est avec moi que tu la partages car c’est bien à moi que tu confies tes espoirs et tes déceptions. C’est moi qui devine tes peines, qui te permets de t’oublier et de vivre libéré de ces carcans qui t’empêchent de respirer.

J’ai su dès le premier instant où je t’ai vu que j’allais souffrir de t’aimer mais je t’ai aimé.
Je m’étais fait , depuis longtemps, depuis toujours, une certaine idée de l’amour, telle que je l’avais lu dans les romans, un amour fait de douleur et de frustration.

… Tu as arrêté de m’embrasser, tu me regardes, tu sais que j’ai compris, « Arrête s’il te plaît… tu en fait tout une montagne, tu sais bien qu’il n’y a que toi qui compte ! Mais je … », tu n’en diras pas plus ; tu vois mes larmes couler sans s’arrêter comme si toute l’eau de mon corps se transformait en un flot de larmes ininterrompues…

J’ai l’impression d’être dans un théâtre de marionnettes où toi et moi serions manipulés par elle, par l’autre, celle dont je ne peux prononcer le nom…

Tu me portes dans tes bras et me pose délicatement sur le lit ; tu te débarrasses de tes vêtements, m’enlèves les miens … je me laisse faire, poupée de chiffons entre tes mains.

Tes lèvres caressent mes cheveux, ma bouche, mes joues, mes yeux pour assécher le trop-plein d’eau que j’ai pleuré. Tes doigts glissent sur ma peau, tantôt courant, tantôt s’attardant sur un grain de beauté ou sur mon nombril dont tu dis qu’il te fascine par sa forme.

Je reste indifférente à tes caresses, à tes va-et-vient sur mon corps mais mon désir peu à peu et je coule sur ton torse pour tester le goût de ta peau. Elle est douce, sucrée. Je la goûte, je l’explore, je palpe le moelleux, sonde les aspérités.

A ton contact, j’oublie tout et il me semble que je pourrai tout accepter de toi. Je pourrai ainsi rester des heures à te prouver que j’aime jouir de ta peau, de ton odeur que j’accepte et fait mienne et qui est tout ce qu’il me reste de toi quand tu me quittes.
Mais je n’aime que trop ce moment où les deux ne font plus qu’un, fusionnés l’un dans l’autre.


Soudain je m’arrête, tu me regardes étonné… mais tu sais très bien ce que je vais dire car tu me devines mieux que quiconque et je le dis pour que tu en prennes toute la mesure : « je veux un enfant de toi ».

Car si je ne peux pas t’avoir entièrement à moi, laisse moi quelque chose qui soit toi…je t’en prie… je t’aime.
Mer 02 Juin 2004, 21:52 par personnel.et.confidentiel sur L'amour en vrac
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Ecrire sur s’éveille

Ecrire sur s’éveille La chaleur d'un réconfort, La rose, l'encolie et l'amour ..., La vie, l'amour, Toujours elle, La vie à trois, Un cadeau!,
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La citation d'amour

Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.

La Rochefoucauld.

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