Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur rêve - Page 25 sur 25
Paris patchwork
Je marche dans tes rues
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés
Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m’aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots
Je m’assoie sur tes bancs
Je regarde tes monuments
Je trinque à la santé de tes amants
Je laisse couler ta seine
Sous tes ponts ta rengaine
Toujours après la peine
Je pleure dans tes taxis
Quand tu brilles sous la pluie
C’que t’es belle en pleine nuit
Je pisse dans tes caniveaux
C’est d’la faute à Hugo
Et j’picolle en argot
Je dors dans tes hôtels
J’adore ta tour Eiffel
Au moins elle, elle est fidèle
Quand j’te quitte un peu loin
Tu ressembles au chagrin
Ça m’fait un mal de chien
Paris Paris combien
Paris tout c’que tu veux
Boul’vard des bouleversés
Paris tu m’as renversé
Paris tu m’as laissé
Paris Paris combien
Paris tout c’que tu veux
Paris Paris tenu
Paris Paris perdu
Paris tu m’as laissé
Sur ton pavé
(...)
"Paris" de Marc Lavoine, en duo avec Souad Massi est un délice !
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés
Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m’aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots
Je m’assoie sur tes bancs
Je regarde tes monuments
Je trinque à la santé de tes amants
Je laisse couler ta seine
Sous tes ponts ta rengaine
Toujours après la peine
Je pleure dans tes taxis
Quand tu brilles sous la pluie
C’que t’es belle en pleine nuit
Je pisse dans tes caniveaux
C’est d’la faute à Hugo
Et j’picolle en argot
Je dors dans tes hôtels
J’adore ta tour Eiffel
Au moins elle, elle est fidèle
Quand j’te quitte un peu loin
Tu ressembles au chagrin
Ça m’fait un mal de chien
Paris Paris combien
Paris tout c’que tu veux
Boul’vard des bouleversés
Paris tu m’as renversé
Paris tu m’as laissé
Paris Paris combien
Paris tout c’que tu veux
Paris Paris tenu
Paris Paris perdu
Paris tu m’as laissé
Sur ton pavé
(...)
"Paris" de Marc Lavoine, en duo avec Souad Massi est un délice !
Jeu 05 Fév 2004, 09:55 par
PetitPrince sur Citations
Retour au bureau
Si je la vois le matin, c’est irrémédiable: la journée est foutue.
C’est idiot, je pourrais faire semblant, utiliser un ton social impersonnel, lui demander comment ça va sans en avoir rien à faire, et tout ça et tout ça. Mais non ça ne passe pas.
Je lui dit bonjour et son éclat me brûle, mon cœur s’emballe et il faut que je donne le change, si possible en essayant de faire progresser les choses où d’en prendre la mesure. Je suis à peine capable de lui dire bonjour…
Ce sentiment d’échec me mine, non pas parce que je ne gagne pas, mais parce que je suis peut-être en train de perdre. Je me dis qu’au moins je fais passer un message bien malgré moi. Ma gène ne doit pas être invisible surtout aux yeux d’une femme, qui, à mon sens, doit savoir repérer ça. C’est amusant, je me doutais qu’après cette soirée, où finalement on s’est un peu rencontré, nos bonjours seraient emprunts de cette même gène qui se dégageait quand on se rencontrait dans les couloirs. Comme j’aurais préféré avoir tort. Comme j’aurais préféré. Je me dis que si à ce stade, il fallait se dévoiler, ce serait quasi impossible. Trop violent. Il manque cette multitude de petits repères qui permettent de prendre la mesure de l’autre, de savoir où il en est dans ses émotions et de faire ou dire ce qu’il faut pour rester dans son sillage. Je veux quand même croire qu’il n’est nul besoin de petits repères pour savoir que chacun de nous à localisé l’autre sur son petit radar affectif. Je ne dis pas ici que nous convergeons vers une hypothétique liaison, mais plutôt que je sais qu’elle sait. Ce que je ne sais pas, c’est si elle veut.
Et c’est ça qui m’empêche de dormir et c’est ça qui est bon. Ce doute, que finalement je ne veux pas lever violemment que je veux supposer stupide comme tous ces doutes d’amoureux, ce doute je veux que nous le dissipions ensemble. Que main dans la main, nous nous attelions à cette tâche, de la façon la plus belle qu’il soit. En somme, c’est mon impatience qui me rend malheureux, pas elle. Sera-t-elle s’en servir, mais surtout voudra-t-elle le voir ? Fasse que si elle le veuille, elle comprenne les milliards d’erreurs que je vais faire. Et pour comprendre il faut connaître. Mais pourquoi est ce qu’on ne prend pas des jours de vacances qu’on se concocte un petit programme en tout bien tout honneur. Juste pour se connaître. Ca serait doux. Si ça colle pas on s’en rendrait compte doucement et ça ne ferait pas mal. Et si ça colle, on éclairerait tout doucement les zones d’ombre à la flamme de notre désir.
Ca, c’est un rêve. La réalité est toute autre. Se connaître sera possible par le biais de rencontres informellements organisées. Ce genre de soirée ou on vient pour un motif qui est totalement différent de celui qui nous anime. Un motif derrière lequel on peut se cacher, se protéger. A ce moment il faut peut-être utiliser un vocabulaire ambigu, au milieu de gens dont on veut cacher notre réelle motivation. Quel paradoxe ! Etre obligé de cacher ce que l’on voudrait voir éclater au grand jour. Et vu comment je suis volubile quand je l’ai devant moi, c’est pas gagné du tout. Je me suis rendu compte que mes extrapolations me menaient sur des sentiers hasardeux, où l’illusion se jouait de moi, me prenait dans ses bras, pour me rendre à cette réalité trop froide ensuite. Alors je ne veux plus espérer, ça fait mal. Je veux juste rêver. Juste imaginer ce que pourrait générer la satisfaction du besoin qui me ronge.
Si auparavant mes erreurs me la faisaient percevoir comme promise, mon recalage me la fait voir comme possible.
Et mon cœur s’emballe de la même façon.
C’est idiot, je pourrais faire semblant, utiliser un ton social impersonnel, lui demander comment ça va sans en avoir rien à faire, et tout ça et tout ça. Mais non ça ne passe pas.
Je lui dit bonjour et son éclat me brûle, mon cœur s’emballe et il faut que je donne le change, si possible en essayant de faire progresser les choses où d’en prendre la mesure. Je suis à peine capable de lui dire bonjour…
Ce sentiment d’échec me mine, non pas parce que je ne gagne pas, mais parce que je suis peut-être en train de perdre. Je me dis qu’au moins je fais passer un message bien malgré moi. Ma gène ne doit pas être invisible surtout aux yeux d’une femme, qui, à mon sens, doit savoir repérer ça. C’est amusant, je me doutais qu’après cette soirée, où finalement on s’est un peu rencontré, nos bonjours seraient emprunts de cette même gène qui se dégageait quand on se rencontrait dans les couloirs. Comme j’aurais préféré avoir tort. Comme j’aurais préféré. Je me dis que si à ce stade, il fallait se dévoiler, ce serait quasi impossible. Trop violent. Il manque cette multitude de petits repères qui permettent de prendre la mesure de l’autre, de savoir où il en est dans ses émotions et de faire ou dire ce qu’il faut pour rester dans son sillage. Je veux quand même croire qu’il n’est nul besoin de petits repères pour savoir que chacun de nous à localisé l’autre sur son petit radar affectif. Je ne dis pas ici que nous convergeons vers une hypothétique liaison, mais plutôt que je sais qu’elle sait. Ce que je ne sais pas, c’est si elle veut.
Et c’est ça qui m’empêche de dormir et c’est ça qui est bon. Ce doute, que finalement je ne veux pas lever violemment que je veux supposer stupide comme tous ces doutes d’amoureux, ce doute je veux que nous le dissipions ensemble. Que main dans la main, nous nous attelions à cette tâche, de la façon la plus belle qu’il soit. En somme, c’est mon impatience qui me rend malheureux, pas elle. Sera-t-elle s’en servir, mais surtout voudra-t-elle le voir ? Fasse que si elle le veuille, elle comprenne les milliards d’erreurs que je vais faire. Et pour comprendre il faut connaître. Mais pourquoi est ce qu’on ne prend pas des jours de vacances qu’on se concocte un petit programme en tout bien tout honneur. Juste pour se connaître. Ca serait doux. Si ça colle pas on s’en rendrait compte doucement et ça ne ferait pas mal. Et si ça colle, on éclairerait tout doucement les zones d’ombre à la flamme de notre désir.
Ca, c’est un rêve. La réalité est toute autre. Se connaître sera possible par le biais de rencontres informellements organisées. Ce genre de soirée ou on vient pour un motif qui est totalement différent de celui qui nous anime. Un motif derrière lequel on peut se cacher, se protéger. A ce moment il faut peut-être utiliser un vocabulaire ambigu, au milieu de gens dont on veut cacher notre réelle motivation. Quel paradoxe ! Etre obligé de cacher ce que l’on voudrait voir éclater au grand jour. Et vu comment je suis volubile quand je l’ai devant moi, c’est pas gagné du tout. Je me suis rendu compte que mes extrapolations me menaient sur des sentiers hasardeux, où l’illusion se jouait de moi, me prenait dans ses bras, pour me rendre à cette réalité trop froide ensuite. Alors je ne veux plus espérer, ça fait mal. Je veux juste rêver. Juste imaginer ce que pourrait générer la satisfaction du besoin qui me ronge.
Si auparavant mes erreurs me la faisaient percevoir comme promise, mon recalage me la fait voir comme possible.
Et mon cœur s’emballe de la même façon.
Mer 04 Fév 2004, 10:57 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
Pour ma douce !
Viens, viens, viens contre moi,
Et tout doucement colles ta peau
Tiens, tiens, voila de l’émoi
Simplement, je veux que ce soit beau.
Encore, encore, encore je le veux,
Que pleine de désir, tu te donnes à moi
Toujours, toujours, pour nous rendre heureux
Qu’on s’aime, se prenne, mille et une fois.
Gemit, gemit, gemit de tes yeux
Et dis dans un souffle, combien tu aimes ca
Cries, cries et tire mes cheveux
Quand vers l’extreme nos pas vont par là.
Dors, dors, dors ma chérie
Dans un sommeil d’Ange, que tout le monde t’envie
Et reve, reve comme tombe la nuit
D’une étreinte sans tréve, d’un amour sans merci.
Et tout doucement colles ta peau
Tiens, tiens, voila de l’émoi
Simplement, je veux que ce soit beau.
Encore, encore, encore je le veux,
Que pleine de désir, tu te donnes à moi
Toujours, toujours, pour nous rendre heureux
Qu’on s’aime, se prenne, mille et une fois.
Gemit, gemit, gemit de tes yeux
Et dis dans un souffle, combien tu aimes ca
Cries, cries et tire mes cheveux
Quand vers l’extreme nos pas vont par là.
Dors, dors, dors ma chérie
Dans un sommeil d’Ange, que tout le monde t’envie
Et reve, reve comme tombe la nuit
D’une étreinte sans tréve, d’un amour sans merci.
Lun 02 Fév 2004, 17:15 par
PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses
Des mots pour se dire...
De mots, l’on crée les tentations,
d’aveux, l’on crée l’envie,
de séduction, l’on se vet pour plaire,
de tendresse, l’on s’accorde,
d’attirance, l’on se repait.
De manques, l’on se signifie,
d’envies, l’on se fait part,
de besoins, l’on s’avoue,
de risques, l’on se tente,
de réalités, l’on crée le besoin.
De regards, l’on se joue,
de contacts, l’on s’électrise,
de sourires, l’on s’amuse,
de sensualité, l’on s’offre,
d’impatience, l’on s’effraie,
de patience, l’on se taquine.
De mots, peut-on alors se défaire ?
de non dit, doit-on oublier ?
de ce qui n’a été, peut-on oublier ?
du rêve à la réalité, peut-on se perdre ?
d’envies, doit-on se frustrer ?
Et la vie ainsi reprendre son cours ?
Tu me manques déjà, encore, beaucoup,
J’ai cette envie de tes mains,
cette envie de ta bouche,
cette envie de sentir les plaisirs de toi naître en moi,
cette envie de faire naître les plaisirs dans tes yeux.
J’ai cette envie de nos regards joueurs,
cette envie de nos peaux qui s’effleurent,
cette envie de nos corps l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, l’un pour l’autre.
J’ai cette envie de te sentir tenté,
cette envie de voir naître ton impatience,
cette envie que ta patience soit hors limites,
cette envie de l’éveil du désir,
cette envie de l’envie de toi, de moi,
cette envie de te découvrir, autrement qu’hier, et jamais comme demain.
N’oublie pas les mots qui parlent,
ceux là même qui ne trichent pas tant on s’avoue.
N’oublie pas la force des ressentis,
des plaisirs qui n’attendent que d’être.
N’oublie pas la magie, le magicien,
la colombe, l’étonnement et l’émerveillement.
N’oublie pas.
d’aveux, l’on crée l’envie,
de séduction, l’on se vet pour plaire,
de tendresse, l’on s’accorde,
d’attirance, l’on se repait.
De manques, l’on se signifie,
d’envies, l’on se fait part,
de besoins, l’on s’avoue,
de risques, l’on se tente,
de réalités, l’on crée le besoin.
De regards, l’on se joue,
de contacts, l’on s’électrise,
de sourires, l’on s’amuse,
de sensualité, l’on s’offre,
d’impatience, l’on s’effraie,
de patience, l’on se taquine.
De mots, peut-on alors se défaire ?
de non dit, doit-on oublier ?
de ce qui n’a été, peut-on oublier ?
du rêve à la réalité, peut-on se perdre ?
d’envies, doit-on se frustrer ?
Et la vie ainsi reprendre son cours ?
Tu me manques déjà, encore, beaucoup,
J’ai cette envie de tes mains,
cette envie de ta bouche,
cette envie de sentir les plaisirs de toi naître en moi,
cette envie de faire naître les plaisirs dans tes yeux.
J’ai cette envie de nos regards joueurs,
cette envie de nos peaux qui s’effleurent,
cette envie de nos corps l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, l’un pour l’autre.
J’ai cette envie de te sentir tenté,
cette envie de voir naître ton impatience,
cette envie que ta patience soit hors limites,
cette envie de l’éveil du désir,
cette envie de l’envie de toi, de moi,
cette envie de te découvrir, autrement qu’hier, et jamais comme demain.
N’oublie pas les mots qui parlent,
ceux là même qui ne trichent pas tant on s’avoue.
N’oublie pas la force des ressentis,
des plaisirs qui n’attendent que d’être.
N’oublie pas la magie, le magicien,
la colombe, l’étonnement et l’émerveillement.
N’oublie pas.
Sam 24 Jan 2004, 01:33 par
Ri1kedesBêtises sur La séduction
de bon matin
Pour faire suite à mon précédent post dans les liaisons sulfureuses je vous donne la suite, imaginée par la damoiselle à qui j’avais originellement destiné "j’irai au bout de ce rêve". Biensur le contenu ne m’engage en rien puisque ce n’est point moi qui l’ai rédigé ...excusez les fautes d’orthographe mais cette personne n’est pas française (et nous savons bien que les étrangers ont parfois du mal avec la langue française ...oui oui c’est à toi que je parle )... finalement il n’y a pas tant de fautes que ça, hugo s’en remettra ...j’ai vraiment une vie "trépignante"
Le lendemain matin nous étions tous deux serrés l’un contre l’autre. Non ce n’étais pas un rêve, j’étais bien dans ses bras. Nous avions passé la nuit dans un hôtel à Paris pas loin de mon bureau.
Je me faisais un peu de soucis quant à l’affaire qu’il m’avait confiée, simplement pour des raisons déonthologiques. Je pensais que je serais moins objective et qu’il faudrait sans doute passer le dossier à mon confrère. Mais en faisant ça, aurais-je l’occasion de le revoir aussi fréquement ? En même temps j’étais la spécialiste en matière de PI, et d’autre part, je connaissais parfaitement la mentalité de la partie adverse.
Vincent et moi dormions profondément, mais tout à coup je sentis une main douce entre mes jambes, très douce, qui me caressait si légèrement que je dus m’éveiller pour m’assurer qu’elle m’avait réellement touchée avec une _expression d’une telle douceur que je ne bougeai pas.
Réveillée par cette caresse, je me retournais pour voir mon compagnon. Mais il dormait. Il dormait toujours profondément. Mais avec sa caresse, mon sang bouillait déjà. Je me retournais pour mieux le voir. Pour déceler tout indice d’éveil. Mes doigt peignaient ses cheveux. Je l’observais... mais ses yeux étaient bien fermés et son visage apaisé. Je caraissais ses paupières, son nez, sa bouche... Je posais mes lèvres sur son front. Mais cela ne le réveillait pas. Il faut dire que nous nous étions bien exercés durant la nuit et que nous n’avions dormi que par épisodes.
Ma respiration et mon poul s’accéléraient d’avantage. Je me sentais à nouveau en feu ! Mmm cette caresse du matin et rien qu’à penser à ce que nous avions vécu la veille et cette nuit ! Je ne voulais pas le réveiller mais au contraire, je voulais qu’il se repose. Mais j’avais encore envie de lui. En douceur je l’aidais à se mettre sur le dos et m’allongeais sur lui. Je titillais ses seins de la pointe de ma langue, ça m’excite énormement. Puis, je léchais son torse et je descendais jusqu’à sa taille, titillant aussi son nombril... puis son sexe ! Ahhh ! Il était là, il m’attendait. Je le pris dans mes mains puis avec mes lèvres chaudes assoifées de lui. Je le sentais durcir dans ma bouche. Vincent s’éveillait doucement et bougeait un peu malgré son sommeil. Que rêvait-il ?
Je continuais à me délecter de sa verge vigoureuse et en même temps douce et oh combien savoureuse lorsque sa main attrappa ma tête pour caresser mes cheveux. Ces derniers tombaient sur mon visage et mon regard perçait ce rideau noir entre lequel je voyais Vincent profiter de ses instants, ses yeux encore fermés. Le plaisir se dessinait sur son visage. Je levais ma tête pour mieux fixer son regard. Pour continuer à lui apporter monts et merveilles, je massais son sexe entre mes seins, petits et chauds, très chauds, et je caressais aussi le mien humide et chaud.
Tu sais que j’ai encore envie de toi, de te manger, de te dévorer jour et nuit, dis-je à Vincent. Je n’avais pas osé lui dire comme ça, si vite. Après tout, on ne se connaît pas beaucoup. Ses traits montraient bien le plaisir de l’hommage rendu à sa virilité et l’étonnement devant ma franchise qu’il n’attendait pas chez une personne de mon éducation.
Vincent prit entre deux doigts le bout d’un de mes seins et le malaxa doucement, puis plus fort en le sentant durcir et s’ériger. Je frissonnais sous cette caresse.Il se pencha sur ma poitrine, prit la pointe du sein bien dure entre ses lèvres… J’étais en extase. Je caressais la pointe de mes seins avec mes doigt embibés de mon elixir. Souvent les hommes ignorent combien les caresses sur la pointe des seins peuvent nous exciter. La pointe des seins est la clé pour l’orgasme. Mais à Vincent, je n’avais rien à lui apprendre. Il était parfait: doux et tonique à la fois et surtout expérimenté.
Je m’écartais un peu de lui pour qu’il voit ma masturbation. Cela devrait aussi lui plaire... devant lui jambes écartées je massais mon abricot. Nos regards en feu se fixaient lorsqu’il prit mon corps avec ses mains et m’avançat à lui. Je m’assis sur son sexe qu’il introduit soigneusement au plus profond de moi. Et nous nous envolions à nouveau vers le Paradis. Il m’était impossible de savoir combien de fois nous nous étions ainsi envolés en adoptant les positions habituelles et en expérimentant de nouvelles. Nous voulions nous découvrir.
Il faisait une chaleur torride dans la chambre de l’hôtel, malgré la température extérieur. Nous nous aperçumes, lorsque je l’accompagnais prendre son taxi pour se rendre à la gare, qu’il neigeait.
Le lendemain matin nous étions tous deux serrés l’un contre l’autre. Non ce n’étais pas un rêve, j’étais bien dans ses bras. Nous avions passé la nuit dans un hôtel à Paris pas loin de mon bureau.
Je me faisais un peu de soucis quant à l’affaire qu’il m’avait confiée, simplement pour des raisons déonthologiques. Je pensais que je serais moins objective et qu’il faudrait sans doute passer le dossier à mon confrère. Mais en faisant ça, aurais-je l’occasion de le revoir aussi fréquement ? En même temps j’étais la spécialiste en matière de PI, et d’autre part, je connaissais parfaitement la mentalité de la partie adverse.
Vincent et moi dormions profondément, mais tout à coup je sentis une main douce entre mes jambes, très douce, qui me caressait si légèrement que je dus m’éveiller pour m’assurer qu’elle m’avait réellement touchée avec une _expression d’une telle douceur que je ne bougeai pas.
Réveillée par cette caresse, je me retournais pour voir mon compagnon. Mais il dormait. Il dormait toujours profondément. Mais avec sa caresse, mon sang bouillait déjà. Je me retournais pour mieux le voir. Pour déceler tout indice d’éveil. Mes doigt peignaient ses cheveux. Je l’observais... mais ses yeux étaient bien fermés et son visage apaisé. Je caraissais ses paupières, son nez, sa bouche... Je posais mes lèvres sur son front. Mais cela ne le réveillait pas. Il faut dire que nous nous étions bien exercés durant la nuit et que nous n’avions dormi que par épisodes.
Ma respiration et mon poul s’accéléraient d’avantage. Je me sentais à nouveau en feu ! Mmm cette caresse du matin et rien qu’à penser à ce que nous avions vécu la veille et cette nuit ! Je ne voulais pas le réveiller mais au contraire, je voulais qu’il se repose. Mais j’avais encore envie de lui. En douceur je l’aidais à se mettre sur le dos et m’allongeais sur lui. Je titillais ses seins de la pointe de ma langue, ça m’excite énormement. Puis, je léchais son torse et je descendais jusqu’à sa taille, titillant aussi son nombril... puis son sexe ! Ahhh ! Il était là, il m’attendait. Je le pris dans mes mains puis avec mes lèvres chaudes assoifées de lui. Je le sentais durcir dans ma bouche. Vincent s’éveillait doucement et bougeait un peu malgré son sommeil. Que rêvait-il ?
Je continuais à me délecter de sa verge vigoureuse et en même temps douce et oh combien savoureuse lorsque sa main attrappa ma tête pour caresser mes cheveux. Ces derniers tombaient sur mon visage et mon regard perçait ce rideau noir entre lequel je voyais Vincent profiter de ses instants, ses yeux encore fermés. Le plaisir se dessinait sur son visage. Je levais ma tête pour mieux fixer son regard. Pour continuer à lui apporter monts et merveilles, je massais son sexe entre mes seins, petits et chauds, très chauds, et je caressais aussi le mien humide et chaud.
Tu sais que j’ai encore envie de toi, de te manger, de te dévorer jour et nuit, dis-je à Vincent. Je n’avais pas osé lui dire comme ça, si vite. Après tout, on ne se connaît pas beaucoup. Ses traits montraient bien le plaisir de l’hommage rendu à sa virilité et l’étonnement devant ma franchise qu’il n’attendait pas chez une personne de mon éducation.
Vincent prit entre deux doigts le bout d’un de mes seins et le malaxa doucement, puis plus fort en le sentant durcir et s’ériger. Je frissonnais sous cette caresse.Il se pencha sur ma poitrine, prit la pointe du sein bien dure entre ses lèvres… J’étais en extase. Je caressais la pointe de mes seins avec mes doigt embibés de mon elixir. Souvent les hommes ignorent combien les caresses sur la pointe des seins peuvent nous exciter. La pointe des seins est la clé pour l’orgasme. Mais à Vincent, je n’avais rien à lui apprendre. Il était parfait: doux et tonique à la fois et surtout expérimenté.
Je m’écartais un peu de lui pour qu’il voit ma masturbation. Cela devrait aussi lui plaire... devant lui jambes écartées je massais mon abricot. Nos regards en feu se fixaient lorsqu’il prit mon corps avec ses mains et m’avançat à lui. Je m’assis sur son sexe qu’il introduit soigneusement au plus profond de moi. Et nous nous envolions à nouveau vers le Paradis. Il m’était impossible de savoir combien de fois nous nous étions ainsi envolés en adoptant les positions habituelles et en expérimentant de nouvelles. Nous voulions nous découvrir.
Il faisait une chaleur torride dans la chambre de l’hôtel, malgré la température extérieur. Nous nous aperçumes, lorsque je l’accompagnais prendre son taxi pour se rendre à la gare, qu’il neigeait.
Mar 20 Jan 2004, 08:13 par
la_tulipe_noire sur Les liaisons sulfureuses
du sexe? vraiment, du pur sexe ?? rhoooooooooo
Mais c’est qui qui a eu l’idée d’ouvrir cette rubrique ?? c’est qui le (ou la … )pervers profond qui va nous livrer ses fantasmes les plus salaces ? c’est qui qui va transcender les interdits, braver la morale judéo chrétienne, flouer toute l’éducation bien pensante que m’a inculquée ma pôv’ mère ??
(euh.. petit prince ? on est obligé d’écrire sous son nom ? je peux prendre un pseudo pour cacher le pseudo qui cache mon vrai nom ? on peut signer Anonyme ? écrire en tant qu’invité ? on est vraiment obligé de se faire une réputation de salope sur tout le net en disant qu’on rêve de se faire défoncer par un étalon arabe à longue crinière ondulée sous les yeux horrifiés de Sœur Marie Thérèse pendant qu’un dogue allemand vous lèche profondément et qu’un homme de petite taille aux cheveux bleus et rouges vous engouffre son gourdin dans la bouche ??? hein ?? dis ?? tu peux me répondre ?? )
La marquise.. euh.. oops … je voulais dire Shéhérazade et les quarante voleurs
(euh.. petit prince ? on est obligé d’écrire sous son nom ? je peux prendre un pseudo pour cacher le pseudo qui cache mon vrai nom ? on peut signer Anonyme ? écrire en tant qu’invité ? on est vraiment obligé de se faire une réputation de salope sur tout le net en disant qu’on rêve de se faire défoncer par un étalon arabe à longue crinière ondulée sous les yeux horrifiés de Sœur Marie Thérèse pendant qu’un dogue allemand vous lèche profondément et qu’un homme de petite taille aux cheveux bleus et rouges vous engouffre son gourdin dans la bouche ??? hein ?? dis ?? tu peux me répondre ?? )
La marquise.. euh.. oops … je voulais dire Shéhérazade et les quarante voleurs
Mar 13 Jan 2004, 11:57 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Re: rêver ... à l'impossible rêve ....
la marquise de sade a écrit: |
La trace d’un rêve n’est pas moins réelle que celle d’un pas. Georges Duby |
Moi qui suis une éternelle rêveuse... peut-être même trop, je me demande si je ne vis pas parfois ma vie par procuration, oubliant qu’il y a aussi une réalité ... j’ai presqu’envie de dire que la trace d’un rêve est bien plus réelle que celle d’un pas...
La marquise ... ce rêve bleuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu, c’est un nouveau rêve en couleuuuuuuuuuuuuuuuuur
Lun 01 Déc 2003, 18:44 par
la marquise de sade sur Citations
rêver ... à l'impossible rêve ....
La trace d’un rêve n’est pas moins réelle que celle d’un pas.
Georges Duby
Georges Duby
Sam 29 Nov 2003, 21:32 par
la marquise de sade sur Citations
Inversion
Aujourd’hui pour la première fois, j’ai testé ma profession de l’autre côté.... Faut que je vous raconte!
6h30... l’infernale sonnerie de mon réveil retentit me tirant inopinément (non, non, ce n’est pas un gros mot! ) d’un rêve tendre et légèrement ... .... Après un passage prolongé et indispensable à la salle de bain (environ 18minutes montre en main pour effacer les traces de ma nuit agitée et surtout des marques d’oreillers ensoleillant mes joues ) je me hâtai, car je suis une éternelle stressée du retard quoique je sois perpétuellement en avance ( comprendra qui voudra ) d’enfourcher mes chaussures spéciales marche active ( 84 euros au prisunic du coin ) pour gagner mon lieu de travail...
Surprise , et non des moindres ... j’ai 1h d’avance!! je me suis trompée dans l’heure, ça ne commençait qu’à 9h et non 8h ... fichtre! ce n’est point ce petit contre temps qui va me gâcher la journée me dis-je!! Que nenni... la machine à café allait très bien s’en charger!
9h tapante... mon rôle d’élève allait commencer, car pour ceux qui ne le sauraient pas.. et je crois que c’est le cas de vous tous je suis prof ... et aujourd’hui, c’est journée de formation! Je m’installai donc à la place de l’élève par excellence ... près du radiateur ! Mon dieu! qu’on y est bien! Il fait chaud, c’est confortable, légèrement ombré, on y entend à peine les bruits des énergumènes bien décidés à améliorer nos connaissances ... L’avant midi se passe, les feuilles volettent dans le parc voisin, un écureuil fait ses provisions pour l’hiver, les passants emmitouflés dans leur pardessus luttent contre le vent, et moi je rêvasse...
L’après midi se déroule de même, perturbée par quelques interrogations totalement incompréhensibles des professeurs : "Mademoiselle? voulez vous nous expliquer votre point de vue sur les évaluations certificatives des compétences transversales dans l’enseignement de votre discipline?" me demande gentiment le monsieur " Non" réponse nette précise, franche, ne demandant aucun commentaire inutile ...
Aaaaaaaaaaaaaaah qu’il est bon d’être élève.. ce n’était pas la première fois pour moi, mais en tout cas cela faisait bien longtemps que cela ne m’était plus arrivé ...
Demain au programme de la leçon : comment ke ça fait quand on est prof ... j’inverse les rôles, préparez vous chères petites têtes blondes.. surtout toi petit Benjamin... le radiateur est déjà réservé!
La marquise ... cancre qui s’ignorait!
6h30... l’infernale sonnerie de mon réveil retentit me tirant inopinément (non, non, ce n’est pas un gros mot! ) d’un rêve tendre et légèrement ... .... Après un passage prolongé et indispensable à la salle de bain (environ 18minutes montre en main pour effacer les traces de ma nuit agitée et surtout des marques d’oreillers ensoleillant mes joues ) je me hâtai, car je suis une éternelle stressée du retard quoique je sois perpétuellement en avance ( comprendra qui voudra ) d’enfourcher mes chaussures spéciales marche active ( 84 euros au prisunic du coin ) pour gagner mon lieu de travail...
Surprise , et non des moindres ... j’ai 1h d’avance!! je me suis trompée dans l’heure, ça ne commençait qu’à 9h et non 8h ... fichtre! ce n’est point ce petit contre temps qui va me gâcher la journée me dis-je!! Que nenni... la machine à café allait très bien s’en charger!
9h tapante... mon rôle d’élève allait commencer, car pour ceux qui ne le sauraient pas.. et je crois que c’est le cas de vous tous je suis prof ... et aujourd’hui, c’est journée de formation! Je m’installai donc à la place de l’élève par excellence ... près du radiateur ! Mon dieu! qu’on y est bien! Il fait chaud, c’est confortable, légèrement ombré, on y entend à peine les bruits des énergumènes bien décidés à améliorer nos connaissances ... L’avant midi se passe, les feuilles volettent dans le parc voisin, un écureuil fait ses provisions pour l’hiver, les passants emmitouflés dans leur pardessus luttent contre le vent, et moi je rêvasse...
L’après midi se déroule de même, perturbée par quelques interrogations totalement incompréhensibles des professeurs : "Mademoiselle? voulez vous nous expliquer votre point de vue sur les évaluations certificatives des compétences transversales dans l’enseignement de votre discipline?" me demande gentiment le monsieur " Non" réponse nette précise, franche, ne demandant aucun commentaire inutile ...
Aaaaaaaaaaaaaaah qu’il est bon d’être élève.. ce n’était pas la première fois pour moi, mais en tout cas cela faisait bien longtemps que cela ne m’était plus arrivé ...
Demain au programme de la leçon : comment ke ça fait quand on est prof ... j’inverse les rôles, préparez vous chères petites têtes blondes.. surtout toi petit Benjamin... le radiateur est déjà réservé!
La marquise ... cancre qui s’ignorait!
Lun 17 Nov 2003, 20:28 par
la marquise de sade sur La première fois
une histoire exceptionelle... le meme rêve que tant d'autres
Des MP, j’en ai partagé des milliers, avec des gens de tout bord, de tout milieux, de toute profession, de tout âge, de tout pays. Au fil des conversations, des liens se lient, plus ou moins forts, plus ou moins intenses. Si mon humour les domine généralement, arrive souvent un jour ou un soir, où les langues se délient. On est plus nostalgique, on se pose des questions, et on raconte une histoire, une aventure. Combien de fois ai-je entendu cette même histoire. La rencontre de l’être complémentaire! Celui ou celle qui pense comme vous, ressent les mêmes choses, au même moment. La complicité parfaite. Cette histoire on me l’a raconté mille fois, et je l’ai vécue aussi mille fois.
Comment expliquer que chacun notre tour nous avons eu cette impression? La magie du net? Pourquoi pensons-nous tous avoir rencontré à quelques centaines de kilomètres de nous, celui qui nous est destiné? Moi je dirais ...l’imagination...le fantasme... le désir d’y croire.. le rêve... Nous recevons des mots et nous les transcrivons, les adaptons à ce que nous attendons. Nous imaginons sa voix, ses sourires, ses émotions, ses envies... comme nous les aimerions...
Puis arrive l’appel téléphonique tant attendu, le rendez-vous tant désiré ... et là... l’imagination fait place à la réalité... les rêvent deviennent moins intenses, la complicité se perd, les sourires moins tendres ... le rapprochement nous éloigne... irrémédiablement.
Pierre, Paul, Jacques, Elise ou Carine, tous ont vécu cette histoire qu’ils pensaient unique ... mais il restera une chose... tous ces mails, tous ces mots, tous ces instants de bonheur n’auront pas été vain, ils nous auront fait croire au bonheur, sourire à la vie, ils nous auront fait croire en nos rêves...
La marquise de Sade qui continue de rêver...
Comment expliquer que chacun notre tour nous avons eu cette impression? La magie du net? Pourquoi pensons-nous tous avoir rencontré à quelques centaines de kilomètres de nous, celui qui nous est destiné? Moi je dirais ...l’imagination...le fantasme... le désir d’y croire.. le rêve... Nous recevons des mots et nous les transcrivons, les adaptons à ce que nous attendons. Nous imaginons sa voix, ses sourires, ses émotions, ses envies... comme nous les aimerions...
Puis arrive l’appel téléphonique tant attendu, le rendez-vous tant désiré ... et là... l’imagination fait place à la réalité... les rêvent deviennent moins intenses, la complicité se perd, les sourires moins tendres ... le rapprochement nous éloigne... irrémédiablement.
Pierre, Paul, Jacques, Elise ou Carine, tous ont vécu cette histoire qu’ils pensaient unique ... mais il restera une chose... tous ces mails, tous ces mots, tous ces instants de bonheur n’auront pas été vain, ils nous auront fait croire au bonheur, sourire à la vie, ils nous auront fait croire en nos rêves...
La marquise de Sade qui continue de rêver...
Dim 02 Nov 2003, 23:38 par
la marquise de sade sur Amour internet
Ecrire sur rêve
Paris patchwork, Retour au bureau, Pour ma douce !, Des mots pour se dire..., de bon matin, du sexe? vraiment, du pur sexe ?? rhoooooooooo, Re: rêver ... à l'impossible rêve ...., rêver ... à l'impossible rêve ...., Inversion, une histoire exceptionelle... le meme rêve que tant d'autres,Il y a 370 textes utilisant le mot rêve. Ces pages présentent les textes correspondant.
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