Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur rester - Page 5 sur 9
La veste à Pépé.
La veste à Pépé.
La veste à Pépé sent "Pépé" même quand Pépé n’est pas dedans.
Velours marron comme il se doit pour tout faire à la ferme et à la maison.
Je n’ai jamais vu Pépé sans sa veste, été comme hiver.
Il est possible qu’il soit né dedans et que la veste ait grandi avec lui.
Mon Pépé, je l’aime bien mais l’odeur de la veste à Pépé, encore plus.
Quand il n’est pas là, il laisse toujours délicatement un peu d’odeur de sa veste
que je suis à la trace pour retrouver mon Pépé.
Comment vous décrire l’odeur de la veste à Pépé ? Mettez-y d’abord toutes
les odeurs de la ferme sans oublier les vaches, les poules et les cochons,
l’herbe mouillée et la rosée du matin. Ensuite, c’est un peu secret car il s’agit
de tous les efforts de la journée. Dame, une ferme, çà occupe son homme !
Quand vient Pépé, je ferme les yeux et hume ce délicieux parfum qui ne provient
que de mon Pépé. C’est mon Pépé et je l’aime. C’est son odeur et je l’aime aussi.
Au fait, quelle est l’odeur des autres Pépé ?
Pépé, c’est Pépé vermicelle. C’est lui qui a mis des chiffres et des lettres dans
mon potage. Il m’a dit de m’amuser avec et que, peut-être, je n’aurai pas besoin
d’aller à l’école. J’ai recraché tous les chiffres et j’ai gardé toutes les lettres.
Bien souvent, en associant les lettres, cela ne voulait rien dire, mais parfois,
je trouvais mon bonheur dans le grand Larousse en haut de l’étagère.
(Pour tout savoir, il faut monter sur le tabouret.)
C’est grâce à Pépé que je peux vous écrire aujourd’hui.
Je suis sûr que vous sentez l’odeur de la veste à Pépé car cette odeur est mêlée
à l’encre et au papier. Humez et vous découvrirez l’odeur à Pépé.
Aujourd’hui, j’ai grandi et j’ai oublié mon costume du dimanche, celui que je mettais
pour aller au village avec Pépé. Pépé a oublié de respirer et j’ai perdu Pépé.
Pourtant, je l’aimais bien mon costume du dimanche. J’en étais même très fier.
Un costume d’homme du haut de mes trois pommes.
Quelle fière allure avec les cheveux bien peignés.
Tout à l’unisson jusqu’aux chaussettes et chaussures bien cirées.
Un costume du dimanche, çà vous change un homme !
Un costume du dimanche, çà ne se porte que le dimanche.
Ce soir, j’attendrai six jours pour porter mon costume du dimanche.
Quelle joie et qu’elle fierté devant les copains de mesurer nos effets.
Nous étions les rois de la ville, avec parfois, à la boutonnière, un œillet.
Pas de bagarre ce jour-là, tout le monde le comprend.
Demain, c’est dimanche et je vais mettre mon costume du dimanche.
Chérie, as-tu vu mon costume, celui que je ne mets que le dimanche ?
A la poubelle, me dis-tu, car j’ai beaucoup grandi ?
Sans costume pour le dimanche, je préfère rester au lit.
Costume du dimanche, reviens-nous vite car demain, c’est dimanche
Dimanche, je mettrai la veste à Pépé. Il aimera çà !
La veste à Pépé sent "Pépé" même quand Pépé n’est pas dedans.
Velours marron comme il se doit pour tout faire à la ferme et à la maison.
Je n’ai jamais vu Pépé sans sa veste, été comme hiver.
Il est possible qu’il soit né dedans et que la veste ait grandi avec lui.
Mon Pépé, je l’aime bien mais l’odeur de la veste à Pépé, encore plus.
Quand il n’est pas là, il laisse toujours délicatement un peu d’odeur de sa veste
que je suis à la trace pour retrouver mon Pépé.
Comment vous décrire l’odeur de la veste à Pépé ? Mettez-y d’abord toutes
les odeurs de la ferme sans oublier les vaches, les poules et les cochons,
l’herbe mouillée et la rosée du matin. Ensuite, c’est un peu secret car il s’agit
de tous les efforts de la journée. Dame, une ferme, çà occupe son homme !
Quand vient Pépé, je ferme les yeux et hume ce délicieux parfum qui ne provient
que de mon Pépé. C’est mon Pépé et je l’aime. C’est son odeur et je l’aime aussi.
Au fait, quelle est l’odeur des autres Pépé ?
Pépé, c’est Pépé vermicelle. C’est lui qui a mis des chiffres et des lettres dans
mon potage. Il m’a dit de m’amuser avec et que, peut-être, je n’aurai pas besoin
d’aller à l’école. J’ai recraché tous les chiffres et j’ai gardé toutes les lettres.
Bien souvent, en associant les lettres, cela ne voulait rien dire, mais parfois,
je trouvais mon bonheur dans le grand Larousse en haut de l’étagère.
(Pour tout savoir, il faut monter sur le tabouret.)
C’est grâce à Pépé que je peux vous écrire aujourd’hui.
Je suis sûr que vous sentez l’odeur de la veste à Pépé car cette odeur est mêlée
à l’encre et au papier. Humez et vous découvrirez l’odeur à Pépé.
Aujourd’hui, j’ai grandi et j’ai oublié mon costume du dimanche, celui que je mettais
pour aller au village avec Pépé. Pépé a oublié de respirer et j’ai perdu Pépé.
Pourtant, je l’aimais bien mon costume du dimanche. J’en étais même très fier.
Un costume d’homme du haut de mes trois pommes.
Quelle fière allure avec les cheveux bien peignés.
Tout à l’unisson jusqu’aux chaussettes et chaussures bien cirées.
Un costume du dimanche, çà vous change un homme !
Un costume du dimanche, çà ne se porte que le dimanche.
Ce soir, j’attendrai six jours pour porter mon costume du dimanche.
Quelle joie et qu’elle fierté devant les copains de mesurer nos effets.
Nous étions les rois de la ville, avec parfois, à la boutonnière, un œillet.
Pas de bagarre ce jour-là, tout le monde le comprend.
Demain, c’est dimanche et je vais mettre mon costume du dimanche.
Chérie, as-tu vu mon costume, celui que je ne mets que le dimanche ?
A la poubelle, me dis-tu, car j’ai beaucoup grandi ?
Sans costume pour le dimanche, je préfère rester au lit.
Costume du dimanche, reviens-nous vite car demain, c’est dimanche
Dimanche, je mettrai la veste à Pépé. Il aimera çà !
Dim 22 Juil 2007, 09:34 par
Xavier Huon sur Mille choses
Espérance ( 3 )...
Peut on espérer et rester les bras croisés?
Loyd
Loyd
Jeu 05 Juil 2007, 23:29 par
Loyd sur Un monde parfait
Histoire d'un monde où...
L’homme et la femme se prennent, se déprennent,
s’entreprennent, se reprennent et se surprennent,
mais ils ne se comprennent pas.
Edmond Thiaudière
L’espoir est que les hommes puissent comprendre ce qu’est être une femme,
que les femmes puissent comprendre que les hommes ne sont ni à combattre ni à soumettre.
Que les hommes et les femmes puissent rester des amants.
Monique Canto-Sperber
s’entreprennent, se reprennent et se surprennent,
mais ils ne se comprennent pas.
Edmond Thiaudière
L’espoir est que les hommes puissent comprendre ce qu’est être une femme,
que les femmes puissent comprendre que les hommes ne sont ni à combattre ni à soumettre.
Que les hommes et les femmes puissent rester des amants.
Monique Canto-Sperber
Dim 01 Juil 2007, 21:36 par
Satine sur Un monde parfait
Le lever du soleil
Avant l’aurore je m’éveille
Pour voir le lever du soleil
Instant d’une rare beauté
Il ne faut jamais le manquer
Dissimulé sous l’horizon
Le soleil décide de sortir
La clarté l’éclat des rayons
Nous illuminent et nous attirent
Mais c’est vraiment un grand mystère
Qui plane autour de cette terre
Qu’est-ce qui rend ce moment magique
Et qu’est-ce qui le rend magnifique
Très simple pour les scientifiques
Mais pour moi il est très complexe
Il restera énigmatique
Tant qu’il existera a Aix
Là-bas j’y emmène mon fils
Pour qu’il puisse goûter ce délice
Subjugués par tant de couleurs
Nous pouvons connaître le bonheur
Des larmes ruissellent de nos yeux
La joie de vivre coule à flot
Nous pouvons rejoindre les cieux
Jamais spectacle ne fut si beau
Rouge orangé jaune brillant
Avec un peu de rose perçant
Une couleur mauve harmonieuse
Donne une recette merveilleuse
Ce moment paraît éphémère
Mais il se grave dans nos mémoires
Et au fil du jour il nous sert
A mieux aborder le soir
Je n’arrive pas à m’expliquer
Ce que fait le soleil caché
Comment d’un coup on peut le voir
Alors qu’avant il faisait noir
La nature est mystérieuse
Toujours présente autour de nous
Elle sait rester silencieuse
Elle a donc de nombreux atouts
Ô que j’aime ce beau soleil
Cette nature vraiment vivante
Qui au fil de l’année m’éveille
Et rend ma vie très rayonnante
Si le soleil devait mourir
J’aimerais autant l’être avant
Je ne pourrais pas le voir en sang
L’aurore n’existerait plus
Et donc le monde serait perdu
Je serais obligé de fuir
Jérôme
Pour voir le lever du soleil
Instant d’une rare beauté
Il ne faut jamais le manquer
Dissimulé sous l’horizon
Le soleil décide de sortir
La clarté l’éclat des rayons
Nous illuminent et nous attirent
Mais c’est vraiment un grand mystère
Qui plane autour de cette terre
Qu’est-ce qui rend ce moment magique
Et qu’est-ce qui le rend magnifique
Très simple pour les scientifiques
Mais pour moi il est très complexe
Il restera énigmatique
Tant qu’il existera a Aix
Là-bas j’y emmène mon fils
Pour qu’il puisse goûter ce délice
Subjugués par tant de couleurs
Nous pouvons connaître le bonheur
Des larmes ruissellent de nos yeux
La joie de vivre coule à flot
Nous pouvons rejoindre les cieux
Jamais spectacle ne fut si beau
Rouge orangé jaune brillant
Avec un peu de rose perçant
Une couleur mauve harmonieuse
Donne une recette merveilleuse
Ce moment paraît éphémère
Mais il se grave dans nos mémoires
Et au fil du jour il nous sert
A mieux aborder le soir
Je n’arrive pas à m’expliquer
Ce que fait le soleil caché
Comment d’un coup on peut le voir
Alors qu’avant il faisait noir
La nature est mystérieuse
Toujours présente autour de nous
Elle sait rester silencieuse
Elle a donc de nombreux atouts
Ô que j’aime ce beau soleil
Cette nature vraiment vivante
Qui au fil de l’année m’éveille
Et rend ma vie très rayonnante
Si le soleil devait mourir
J’aimerais autant l’être avant
Je ne pourrais pas le voir en sang
L’aurore n’existerait plus
Et donc le monde serait perdu
Je serais obligé de fuir
Jérôme
Mar 08 Mai 2007, 20:39 par
jejefofo sur Mille choses
La nature
La nature est mystérieuse
Elle est présente autour de nous
Elle sait rester silencieuse
Et possède de nombreux attouts
Ô soleil envoie ta lumière
Qu’elle vienne nous illuminer
Et de toi nous rendre plus fier
Nous voulons tous les jours t’aimer
Elle est présente autour de nous
Elle sait rester silencieuse
Et possède de nombreux attouts
Ô soleil envoie ta lumière
Qu’elle vienne nous illuminer
Et de toi nous rendre plus fier
Nous voulons tous les jours t’aimer
Jeu 26 Avril 2007, 20:33 par
jejefofo sur Mille choses
Pensées fugaces
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
pensées focalisées
sur le doute et l’absence
Je pense à toi toujours
tu es là dans mes cieux
dans mes rêves d’Amour
mes songes inharmonieux
Je ne resterai pas
dans cet indéfini
je guiderai mes pas
je dois rester en vie
Je vais partir sûrement
t’échapper pour de vrai
m’éloigner tendrement
effacer cet attrait
Qui nous lie maintenant
depuis longtemps déjà
semblant nier le temps
se nourrir de combats.
Je veux rester sereine
éternelle et vivante
ou bien partir sans peine
heureuse et dilétante
Tu resteras pour moi
cet espoir de promesse
cette brume, cet émoi
cet élan de tendresse.
Je t’aime encore bien sûr
je te désire toujours
je pars vers d’autre azur
sans espoir de retour
Ces mots sont là pour toi
qu’ils te nourrissent enfin
qu’ils rencontrent ta foi
qu’ils te fassent être bien
Dans tes incertitudes
ta peur d’aimer vraiment
sache que ma solitude
s’inscrit comme un aimant
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
je renie le passé
et poursuis ma sentence
La vie est ainsi faite
que les choses essentielles
se cachent et se répètent
sous l’aval du ciel.
la lune en ascendance
pensées focalisées
sur le doute et l’absence
Je pense à toi toujours
tu es là dans mes cieux
dans mes rêves d’Amour
mes songes inharmonieux
Je ne resterai pas
dans cet indéfini
je guiderai mes pas
je dois rester en vie
Je vais partir sûrement
t’échapper pour de vrai
m’éloigner tendrement
effacer cet attrait
Qui nous lie maintenant
depuis longtemps déjà
semblant nier le temps
se nourrir de combats.
Je veux rester sereine
éternelle et vivante
ou bien partir sans peine
heureuse et dilétante
Tu resteras pour moi
cet espoir de promesse
cette brume, cet émoi
cet élan de tendresse.
Je t’aime encore bien sûr
je te désire toujours
je pars vers d’autre azur
sans espoir de retour
Ces mots sont là pour toi
qu’ils te nourrissent enfin
qu’ils rencontrent ta foi
qu’ils te fassent être bien
Dans tes incertitudes
ta peur d’aimer vraiment
sache que ma solitude
s’inscrit comme un aimant
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
je renie le passé
et poursuis ma sentence
La vie est ainsi faite
que les choses essentielles
se cachent et se répètent
sous l’aval du ciel.
Lun 26 Mars 2007, 17:36 par
jatea sur L'amour en vrac
Tapis rouge
Tapis rouge.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 17:28 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
Chercher
Mystère de la vie
Mystère de l’amour
Mystère de la souffrance
La vie coule dans notre être
Nous remplissant ou nous vidant
Sens que l’on cherche
Sens que l’on donne
Rester en éveil
Sans tout comprendre
En faisant confiance
Paix dans la soif
Cet instant est unique
A tous ceux que j’aime
Mystère de l’amour
Mystère de la souffrance
La vie coule dans notre être
Nous remplissant ou nous vidant
Sens que l’on cherche
Sens que l’on donne
Rester en éveil
Sans tout comprendre
En faisant confiance
Paix dans la soif
Cet instant est unique
A tous ceux que j’aime
Sam 30 Sep 2006, 20:51 par
coupdecoeur sur Mille choses
Je désire devenir et rester TON Unique Oeuvre Personnelle
C’est très sincère ce soir,
Mon amour pour toi, me fait mieux me comprendre,
Par les tristesses que je te provoque,
Tu es un sculpteur, qui façonne de ses mains,
L’image d’une statut qui te correspondra,
Parlera à ton âme salvatrice,
Sous tes doigts si tendrement habiles,
Que j’ai envie de me sentir libre,
J’apparais,me forme,me dévoile,
Petit à petit, dans la patience,
Scultant les imperfections,
Pour, au final,
Voir dans ton doux et merveilleux regard : satisfaction et plaisirs.
C’est un bonheur !
De s’éveiller à la vie,
De s’ouvrir délicatement au grès de la douce brise,
Qui berce ton amour et qui me construit et me conduit,
A la conscience d’une vie possible et différente.
Une oeuvre une fois terminée n’appartient plus à son createur,
on dit, qu’il l’a créée pour le plaisir des autres.
Mais je désire devenir et rester TON Unique Oeuvre Personnelle,
Pour que mon coeur,
Soit déposé vibrant et ardant d’amour entre tes mains,
ET me conserve à jamais, moi belle oeuvre si sauvage et délicate.
julia
Mon amour pour toi, me fait mieux me comprendre,
Par les tristesses que je te provoque,
Tu es un sculpteur, qui façonne de ses mains,
L’image d’une statut qui te correspondra,
Parlera à ton âme salvatrice,
Sous tes doigts si tendrement habiles,
Que j’ai envie de me sentir libre,
J’apparais,me forme,me dévoile,
Petit à petit, dans la patience,
Scultant les imperfections,
Pour, au final,
Voir dans ton doux et merveilleux regard : satisfaction et plaisirs.
C’est un bonheur !
De s’éveiller à la vie,
De s’ouvrir délicatement au grès de la douce brise,
Qui berce ton amour et qui me construit et me conduit,
A la conscience d’une vie possible et différente.
Une oeuvre une fois terminée n’appartient plus à son createur,
on dit, qu’il l’a créée pour le plaisir des autres.
Mais je désire devenir et rester TON Unique Oeuvre Personnelle,
Pour que mon coeur,
Soit déposé vibrant et ardant d’amour entre tes mains,
ET me conserve à jamais, moi belle oeuvre si sauvage et délicate.
julia
Sam 02 Sep 2006, 00:44 par
joullia sur L'amour en vrac
Mon cœur est à présent de diamant
Venant de mon cœur, venu de mon âme,
J’écris d’une main qui tremble un peu de peur,
Ce poème d’amour en faibles lueurs,
En t’exprimant simplement la grandeur,
De l’amour qui crée mon bonheur,
De mes sentiments remplis de douceur…
Je te crie mon amour,
Un chant est là pour te le faire entendre,
Je t’envoie ce rossignol pour
Qu’il te chuchote mon amour,
Hélas le rossignol s’est envolé…
Laissant derrière lui les secrets
Des sentiments inachevés.
Mais pendant son envol il a laissé tomber,
Dans la paume de ta main ces morceaux de poèmes…
Tu resteras de marbre ou muet,
Me laissant dans le silence et l’ignorance,
Face à ce poème qui n’a qu’une place,
A ce jour celle de mon amour
Qui pour toujours surpasse la normalité…
Mon cœur m’a ouvert les yeux un beau jour,
Et qu’y avait-il à voir ?
Quelque chose ou quelqu’un ?
Peut-être rien aux yeux de beaucoup.
Pourtant me suis-je dit un matin :
Que mon cœur était malade,
Il n’en est rien, il est de jade,
Je continue mon chemin, je continue ma ballade,
Et tout d’un coup, pendant ma promenade solitaire…
J’avais enfin compris mes sentiments,
Mon cœur est à présent de diamant,
Mon cœur a retrouvé la fougue de ma jeunesse.
Puis je t’ai aperçu à nouveau à une soirée,
Parlé par curiosité,
Des liens se sont tissés
Aujourd’hui éloignés, hélas distancés,
Je t’avais espéré, sans cesse imaginé,
Ne change pas, préserve toi, prends soin de toi,
Ce « toi » délicat dont les aléas ont le droit de porter leur choix envers moi,
Cette aura qui m’orientera vers ton habit de soie pour couvrir le froid de ton désarroi,
Oui, il ne tient qu’à toi de demander après moi pour te tenir dans mes bras et te donner de la joie.
Sur ton chemin le pire comme le meilleur,
Agrémenteront ta vie de jours en heures,
Mais je serai près de toi pour t’éviter les malheurs,
Je parsèmerai sous tes pieds des pétales de bonheur,
Pour que ton destin s’épanouisse comme le font les fleurs.
Et que ton chemin ne subisse ni les pleurs ni les douleurs.
Je prendrai soin de te tendre la main,
Au petit matin où tu en ressentiras le besoin.
Je te donnerai les ailes de la liberté,
Et je garderai un oeil attentionné,
Je ne suis pas là pour t’espionner, te coller ou t’enfermer,
Mais pour te protéger, te préserver et te garder.
Tu es un enchantement à mes yeux,
Pas un idéalisme malheureux,
Fais de ton mieux pour rester pur,
Pour ne jamais foncer dans le mur.
Ce n’est vraiment pas facile de te dire de ma voix tremblante,
Par mes maladroits mots l’amour qui m’enchante;
Inexpliqués, compliqués et osés,
Sont les seuls mots que j’ai trouvés.
Pourtant ici les termes sont clairs,
Il n’y a rien de plus sincère,
Que ce que mon coeur te crie à s’en arracher,
Pour que tu l’entendes.
Je t’aime.
J’écris d’une main qui tremble un peu de peur,
Ce poème d’amour en faibles lueurs,
En t’exprimant simplement la grandeur,
De l’amour qui crée mon bonheur,
De mes sentiments remplis de douceur…
Je te crie mon amour,
Un chant est là pour te le faire entendre,
Je t’envoie ce rossignol pour
Qu’il te chuchote mon amour,
Hélas le rossignol s’est envolé…
Laissant derrière lui les secrets
Des sentiments inachevés.
Mais pendant son envol il a laissé tomber,
Dans la paume de ta main ces morceaux de poèmes…
Tu resteras de marbre ou muet,
Me laissant dans le silence et l’ignorance,
Face à ce poème qui n’a qu’une place,
A ce jour celle de mon amour
Qui pour toujours surpasse la normalité…
Mon cœur m’a ouvert les yeux un beau jour,
Et qu’y avait-il à voir ?
Quelque chose ou quelqu’un ?
Peut-être rien aux yeux de beaucoup.
Pourtant me suis-je dit un matin :
Que mon cœur était malade,
Il n’en est rien, il est de jade,
Je continue mon chemin, je continue ma ballade,
Et tout d’un coup, pendant ma promenade solitaire…
J’avais enfin compris mes sentiments,
Mon cœur est à présent de diamant,
Mon cœur a retrouvé la fougue de ma jeunesse.
Puis je t’ai aperçu à nouveau à une soirée,
Parlé par curiosité,
Des liens se sont tissés
Aujourd’hui éloignés, hélas distancés,
Je t’avais espéré, sans cesse imaginé,
Ne change pas, préserve toi, prends soin de toi,
Ce « toi » délicat dont les aléas ont le droit de porter leur choix envers moi,
Cette aura qui m’orientera vers ton habit de soie pour couvrir le froid de ton désarroi,
Oui, il ne tient qu’à toi de demander après moi pour te tenir dans mes bras et te donner de la joie.
Sur ton chemin le pire comme le meilleur,
Agrémenteront ta vie de jours en heures,
Mais je serai près de toi pour t’éviter les malheurs,
Je parsèmerai sous tes pieds des pétales de bonheur,
Pour que ton destin s’épanouisse comme le font les fleurs.
Et que ton chemin ne subisse ni les pleurs ni les douleurs.
Je prendrai soin de te tendre la main,
Au petit matin où tu en ressentiras le besoin.
Je te donnerai les ailes de la liberté,
Et je garderai un oeil attentionné,
Je ne suis pas là pour t’espionner, te coller ou t’enfermer,
Mais pour te protéger, te préserver et te garder.
Tu es un enchantement à mes yeux,
Pas un idéalisme malheureux,
Fais de ton mieux pour rester pur,
Pour ne jamais foncer dans le mur.
Ce n’est vraiment pas facile de te dire de ma voix tremblante,
Par mes maladroits mots l’amour qui m’enchante;
Inexpliqués, compliqués et osés,
Sont les seuls mots que j’ai trouvés.
Pourtant ici les termes sont clairs,
Il n’y a rien de plus sincère,
Que ce que mon coeur te crie à s’en arracher,
Pour que tu l’entendes.
Je t’aime.
Jeu 24 Août 2006, 22:58 par
joullia sur Parler d'amour
Jusqu'à ce qu'il joue son "mâle"...
Vous étiez bien ensemble,
Tout du moins en apparence,
Car tu avais un lourd secret
Que personne ne voyait...
Toi tu l’aimais, tu aurais tout fait pour lui,
Lui n’avait qu’une chose en tête, t’avoir dans son lit..
Il a donc joué l’amoureux,
Tu es entré dans son jeu.
Tu ne voyais pas le mal
Jusqu’à ce qu’il joue son "mâle"...
Cet homme si prévenant,
S’est transformé en homme violent;
Il te frappe sans compter,
Ne pensant même pas que tu pourrais y rester...
Ce lourd secret commence à peser,
Mais tu ne peux l’affronter;
Enfuis toi en courant
Avant qu’on ne te retrouve en sang...
Il te frappe tous les soirs
Et personne ne peut ou ne veut le savoir.
Tu sors toujours une excuse,
Pour ces traces, qui jours après jours, t’usent...
Tu ne peux le laisser continuer,
Tu mérites mieux, le bonheur...
Tu dois le quitter et l’oublier,
Et vivre sans plus aucune peur...
Tu metras du temps a oublier les peurs,
Mais tu y arriveras .....
Tu peux le faire comme je l’ai fais ....
Poème dédié à toutes celles qui ont vécu cela...
julia
Tout du moins en apparence,
Car tu avais un lourd secret
Que personne ne voyait...
Toi tu l’aimais, tu aurais tout fait pour lui,
Lui n’avait qu’une chose en tête, t’avoir dans son lit..
Il a donc joué l’amoureux,
Tu es entré dans son jeu.
Tu ne voyais pas le mal
Jusqu’à ce qu’il joue son "mâle"...
Cet homme si prévenant,
S’est transformé en homme violent;
Il te frappe sans compter,
Ne pensant même pas que tu pourrais y rester...
Ce lourd secret commence à peser,
Mais tu ne peux l’affronter;
Enfuis toi en courant
Avant qu’on ne te retrouve en sang...
Il te frappe tous les soirs
Et personne ne peut ou ne veut le savoir.
Tu sors toujours une excuse,
Pour ces traces, qui jours après jours, t’usent...
Tu ne peux le laisser continuer,
Tu mérites mieux, le bonheur...
Tu dois le quitter et l’oublier,
Et vivre sans plus aucune peur...
Tu metras du temps a oublier les peurs,
Mais tu y arriveras .....
Tu peux le faire comme je l’ai fais ....
Poème dédié à toutes celles qui ont vécu cela...
julia
Mer 23 Août 2006, 00:45 par
joullia sur Mille choses
Batailles de mots
Je cherche les plus beaux mots,
les plus belles rimes,
pour te dire mon désir.
Je cherche les plus belles phrases ,
pour toucher ton coeur et y rester.
Batailles à coups de mots, de couleurs
pour faire fuir celles qui te cherchent.
Moi je bataille juste avec mon coeur....
pour te dire tous ces mots au fond de moi.....
daulphin
les plus belles rimes,
pour te dire mon désir.
Je cherche les plus belles phrases ,
pour toucher ton coeur et y rester.
Batailles à coups de mots, de couleurs
pour faire fuir celles qui te cherchent.
Moi je bataille juste avec mon coeur....
pour te dire tous ces mots au fond de moi.....
daulphin
Mer 09 Août 2006, 15:57 par
daulphin sur Amour internet
Le rêve, ce qui prévaut quand l'autre est derrière son écran
Je rêve de toi mon Coquinou !
J’arrêterais le temps pour rester dans tes bras
Pour un instant contre toi, je ferais n’importe quoi
Je frôle la folie, je t’imagine dans ma vie
Tu ne me connais pas, moi je rêve sans cesse à toi.
Je me crée des peurs, des catastrophes terribles
Lorsque je m’imagine que ce n’est pas possible
Ou que pour toujours loin de moi tu vivras
Sans que jamais je ne me trouve près de toi.
Pour un instant fantastique, doux et féerique
J’aime te contempler même dans mes pensées.
Un être comme toi, plein d’ardeur, de chaleur
Me comble de joie, anime mes rêves en douceur.
Je me fais des scénarios tous les jours les plus beaux
Lorsque mon corps tremble
Ce n’est que pour toi mon ange.
Viens faire de ma vie un courant électrique
Qui m’apportera sans cesse des sensations magiques
Seule ta présence m’apportera cette joie
Ces moments intenses d’être seule avec toi.
Nous tapisserons le sol, de nos corps fébriles
Nous pointerons le ciel pour cristalliser le temps
Nous ferons danser les vents aux rythmes de nos désirs
Grimper l’humidité, balayer nos pensées hostiles
Inviter l’oubli pour ne penser qu’à nous
S’inventer la vie, tout cela que pour nous...
Auteur du Québec
J’arrêterais le temps pour rester dans tes bras
Pour un instant contre toi, je ferais n’importe quoi
Je frôle la folie, je t’imagine dans ma vie
Tu ne me connais pas, moi je rêve sans cesse à toi.
Je me crée des peurs, des catastrophes terribles
Lorsque je m’imagine que ce n’est pas possible
Ou que pour toujours loin de moi tu vivras
Sans que jamais je ne me trouve près de toi.
Pour un instant fantastique, doux et féerique
J’aime te contempler même dans mes pensées.
Un être comme toi, plein d’ardeur, de chaleur
Me comble de joie, anime mes rêves en douceur.
Je me fais des scénarios tous les jours les plus beaux
Lorsque mon corps tremble
Ce n’est que pour toi mon ange.
Viens faire de ma vie un courant électrique
Qui m’apportera sans cesse des sensations magiques
Seule ta présence m’apportera cette joie
Ces moments intenses d’être seule avec toi.
Nous tapisserons le sol, de nos corps fébriles
Nous pointerons le ciel pour cristalliser le temps
Nous ferons danser les vents aux rythmes de nos désirs
Grimper l’humidité, balayer nos pensées hostiles
Inviter l’oubli pour ne penser qu’à nous
S’inventer la vie, tout cela que pour nous...
Auteur du Québec
Sam 05 Août 2006, 23:50 par
malicia sur Amour internet
Etre humain
Au jour d’aujourd’hui, qu’est-ce qui vous fait fantasmer ?
- La paix dans le monde ? non ... je m’en doutais.
Être mondialement célèbre ?
Est-ce cela votre fantasme ?
Est-ce l’idée de gagner le prix nobel de la Paix peut être ?
Remporter un trophé aux MTV Howards ?
Est-ce que vous rêvez de mettre la main sur un beau gosse, doté d’une personnalité extraordinaire sous des airs de mauvais garçon, mais que vous deviniez intérieurement habité d’une noble passion , et qui aprés avoir fait l’amour évite de roupiller ?
Le fantasme doit réster du domaine de l’imaginaire, parce que dés l’instant même où vous optenez ce que vous voulez, vous vous en éloignez et vous n’en voulez plus.
Pour continuer d’exister, le désir à besoin de voir ses objets perpétuellement absents. Ce n’est pas telle chose que vous voulez, c’est le fantasme de cette chose. C’est donc en cela que le désir reste le moteur de nos rêves les plus délirants.
Nous ne sommes jamais aussi véritablement heureux qu’en imaginant un bonheur futur. Pourquoi disons nous que " la traque est plus excitante que la capture ?"
Méfiez-vous lorsque vous faites un voeux, parce qu’il risque de se réaliser, et vous serez condamnés à ne plus vouloir ce que vous avez obtenu.
La conclusion est que vivre pour satisfaire ses besoins n’apporte aucun bonheur.
Mais être pleinement humain en l’occurence, c’est s’efforcer de vivre par ses idées et ses idéaux. Et en aucun cas se mesurer l’oeuvre d’une vie par le nombre de victoires en termes de désirs comblés. Mais par ces petits moments de compassion, de générosité, de rationalité, voir même de sacrifices, parce qu’à l’heure des comptes, la seule vraie façon de mesurer toute la valeur d’une vie, de notre vie, est d’abord d’éstimer la valeur de la vie des autres ....
- La paix dans le monde ? non ... je m’en doutais.
Être mondialement célèbre ?
Est-ce cela votre fantasme ?
Est-ce l’idée de gagner le prix nobel de la Paix peut être ?
Remporter un trophé aux MTV Howards ?
Est-ce que vous rêvez de mettre la main sur un beau gosse, doté d’une personnalité extraordinaire sous des airs de mauvais garçon, mais que vous deviniez intérieurement habité d’une noble passion , et qui aprés avoir fait l’amour évite de roupiller ?
Le fantasme doit réster du domaine de l’imaginaire, parce que dés l’instant même où vous optenez ce que vous voulez, vous vous en éloignez et vous n’en voulez plus.
Pour continuer d’exister, le désir à besoin de voir ses objets perpétuellement absents. Ce n’est pas telle chose que vous voulez, c’est le fantasme de cette chose. C’est donc en cela que le désir reste le moteur de nos rêves les plus délirants.
Nous ne sommes jamais aussi véritablement heureux qu’en imaginant un bonheur futur. Pourquoi disons nous que " la traque est plus excitante que la capture ?"
Méfiez-vous lorsque vous faites un voeux, parce qu’il risque de se réaliser, et vous serez condamnés à ne plus vouloir ce que vous avez obtenu.
La conclusion est que vivre pour satisfaire ses besoins n’apporte aucun bonheur.
Mais être pleinement humain en l’occurence, c’est s’efforcer de vivre par ses idées et ses idéaux. Et en aucun cas se mesurer l’oeuvre d’une vie par le nombre de victoires en termes de désirs comblés. Mais par ces petits moments de compassion, de générosité, de rationalité, voir même de sacrifices, parce qu’à l’heure des comptes, la seule vraie façon de mesurer toute la valeur d’une vie, de notre vie, est d’abord d’éstimer la valeur de la vie des autres ....
Ven 28 Juil 2006, 17:04 par
joullia sur Un monde parfait
Ce que j’aime en toi…
Le matin câlin où tu me réveilles doucement, tes mains caressant mon corps. A moitié dans tes bras, à moitié dans les bras de Morphée, avoir cette folle impression encore de rêver. Le rêve se mélange alors à la réalité pour me donner l’impression qu’un ange est à mes côtés… Mi ange, mi démon qui éveille en moi le désir et la passion. Un réveil coquin qui me laissera le sourire jusqu’au lendemain.
Te regarder, marcher, penser, rêver… Laisser mes yeux glisser sur ton doux visage et sur tes courbes qui ne font pas de moi un sage. Ton petit jean moulé dans lequel j’aime te voir te trémousser. Jouer avec ta crinière qui te donne ce côté sauvage, renforcé par le parfum que tu laisses dans ton sillage.
Ton décolleté qui semble m’appeler. Ton épaule et ton ventre dénudés qui me donnent envie de les embrasser. Le long de ton cou remonter, en le couvrant de baisers… Bref toutes ces parties de ton corps qui me laissent te voir et te désirer, à tout moment de la journée. Simples apparitions mais qui me font perdre la raison.
Tes lèvres tantôt mouillées, tantôt satin, qui glissent sur les miennes avec un goût certain. Tes mains sur ma nuque, me donnent une chaleur qui m’apaise et produit en moi le bien-être que tout un chacun rêve. Ces après-midi où poussée par un désir brutal tu t’enflammes, et je me fais esclave pour assouvir tes fantasmes.
Tes mots tantôt taquins, tantôt coquins, sont les graines qui fleurissent au long de notre parcours et dans tes abondants compliments je me sens homme pour te faire la court.
Une curiosité dans tous les domaines inégalée, font de toi quelqu’un de cultivé. Ouverte à toute discussion, tu répondras présente pour que nous en débattions. Il n’y a point tabou qui te fait peur, car tu ne veux pas rester dans la secte des beaux parleurs. Paroles et écoute, tu as tout et tu sais t’en servir, car même si tu entends mes désirs, tu sais aussi m’apporter le réconfort, dans les moments où je ne comprends plus mon sort. Je sais que même si je suis parfois un peu ours, tu me comprends et cela vaut tous les tours, jusqu’à la fin des temps.
Tes ambitions et rêves m’inspirent un profond respect, et je te donnerai tout pour que ce soit fait. La créativité qui t’anime est communicative, tu ne saurais rester donc passive. Les difficultés quelles qu’elles soient, que tu rencontres sont autant de défi, que chaque fois tu regardes de face en disant « c’est ma vie ». Ainsi tu vas de l’avant et les affrontes. Chose que peu de personnes montrent… Femme à la fois forte et faible qui sait admettre ses peurs et doutes, mais qui cherchera toujours à aller au bout de la route. Tant de traits sur lesquels je reste admirateur et qui me donnent l’envie d’être ton porteur.
La surprise d’un repas, quel qu’il soit, avec sa touche de simplicité et ses aromes parfumés. Rien de bien extraordinaire, si ce n’est que je sais qu’il est destiné à me plaire. Et puis ne disait-on pas que c’est aussi par là que le cœur d’un homme se gagna ?
Le soir, terminer cette journée sur la même note enchantée, par laquelle la journée avait commencé, de pouvoir nous assouvir à nouveau enlacés et lire dans tes yeux le bonheur d’être aimée.
Et quand enfin vient l’heure tardive de se reposer, nous nous retrouvons timidement nez à nez. Une fois la lumière tamisée, nous partageons nos dernières pensées, avant de s’endormir pour demain tout recommencer.
C’est tout ce que tu me donnes,
Et moi qui ne suis qu’homme,
Je ne pense plus qu’à toi…
Car c’est tout ça que j aime en toi…
Loyd for you
Te regarder, marcher, penser, rêver… Laisser mes yeux glisser sur ton doux visage et sur tes courbes qui ne font pas de moi un sage. Ton petit jean moulé dans lequel j’aime te voir te trémousser. Jouer avec ta crinière qui te donne ce côté sauvage, renforcé par le parfum que tu laisses dans ton sillage.
Ton décolleté qui semble m’appeler. Ton épaule et ton ventre dénudés qui me donnent envie de les embrasser. Le long de ton cou remonter, en le couvrant de baisers… Bref toutes ces parties de ton corps qui me laissent te voir et te désirer, à tout moment de la journée. Simples apparitions mais qui me font perdre la raison.
Tes lèvres tantôt mouillées, tantôt satin, qui glissent sur les miennes avec un goût certain. Tes mains sur ma nuque, me donnent une chaleur qui m’apaise et produit en moi le bien-être que tout un chacun rêve. Ces après-midi où poussée par un désir brutal tu t’enflammes, et je me fais esclave pour assouvir tes fantasmes.
Tes mots tantôt taquins, tantôt coquins, sont les graines qui fleurissent au long de notre parcours et dans tes abondants compliments je me sens homme pour te faire la court.
Une curiosité dans tous les domaines inégalée, font de toi quelqu’un de cultivé. Ouverte à toute discussion, tu répondras présente pour que nous en débattions. Il n’y a point tabou qui te fait peur, car tu ne veux pas rester dans la secte des beaux parleurs. Paroles et écoute, tu as tout et tu sais t’en servir, car même si tu entends mes désirs, tu sais aussi m’apporter le réconfort, dans les moments où je ne comprends plus mon sort. Je sais que même si je suis parfois un peu ours, tu me comprends et cela vaut tous les tours, jusqu’à la fin des temps.
Tes ambitions et rêves m’inspirent un profond respect, et je te donnerai tout pour que ce soit fait. La créativité qui t’anime est communicative, tu ne saurais rester donc passive. Les difficultés quelles qu’elles soient, que tu rencontres sont autant de défi, que chaque fois tu regardes de face en disant « c’est ma vie ». Ainsi tu vas de l’avant et les affrontes. Chose que peu de personnes montrent… Femme à la fois forte et faible qui sait admettre ses peurs et doutes, mais qui cherchera toujours à aller au bout de la route. Tant de traits sur lesquels je reste admirateur et qui me donnent l’envie d’être ton porteur.
La surprise d’un repas, quel qu’il soit, avec sa touche de simplicité et ses aromes parfumés. Rien de bien extraordinaire, si ce n’est que je sais qu’il est destiné à me plaire. Et puis ne disait-on pas que c’est aussi par là que le cœur d’un homme se gagna ?
Le soir, terminer cette journée sur la même note enchantée, par laquelle la journée avait commencé, de pouvoir nous assouvir à nouveau enlacés et lire dans tes yeux le bonheur d’être aimée.
Et quand enfin vient l’heure tardive de se reposer, nous nous retrouvons timidement nez à nez. Une fois la lumière tamisée, nous partageons nos dernières pensées, avant de s’endormir pour demain tout recommencer.
C’est tout ce que tu me donnes,
Et moi qui ne suis qu’homme,
Je ne pense plus qu’à toi…
Car c’est tout ça que j aime en toi…
Loyd for you
Ven 21 Juil 2006, 17:19 par
Loyd sur Parler d'amour
Ecrire sur rester
La veste à Pépé., Espérance ( 3 )..., Histoire d'un monde où..., Le lever du soleil, La nature, Pensées fugaces, Tapis rouge, Chercher, Je désire devenir et rester TON Unique Oeuvre Personnelle, Mon cœur est à présent de diamant, Jusqu'à ce qu'il joue son "mâle"..., Batailles de mots, Le rêve, ce qui prévaut quand l'autre est derrière son écran, Etre humain, Ce que j’aime en toi…,Il y a 127 textes utilisant le mot rester. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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