Doute

    Je n’ai jamais eu l’angoisse de la page blanche. Tous ces mots, ces morceaux de vie, ces phrases ne m’appartiennent pas. Je me tiens là, au bord de mes rires, de mes larmes, et les choses se font et se défont sans mon accord. Je n’en suis que le locataire. Je mets parfois à nu des souvenirs égarés, des histoires imparfaites au goût amer et les silences que je ne me résouds jamais à briser. Je ne sais parler que de moi. Mes doutes, mes craintes. Ecrire est un joli miroir finalement, où tout ce qui nous déplait peut être corrigé d’un coup de gomme. Je me demande si tout cela durera, si je pourrais encore soigner chaque blessure par un pansement de littérature. N’être au final qu’un passage est sans doute la chose qui me terrorise le plus. Que ferai-je si, un jour, ce théâtre s’effondrait...


    Il me faudrait vivre, et . Les sentiments sont inutiles si on ne peut les conter. Alors je reste, et j’écris.
Mer 08 Oct 2008, 17:19 par ysmael sur Mille choses

Rêves

Il y a toujours un rêve qui nous fait oublier
Les nuits de solitude les amours naufragés
Il y a toujours un souvenir tout prés de nous
Qui nous fait les beaux moments vécus
Il y a toujours un temps qui nous fait souvenir
Qu’il existe des portes qu’on ne peut pas ouvrir
Il y a toujours un temps qui nous fait espérer
Des promesses et des lettres perdues à tout jamais
Il y a toujours une route un sentier un chemin
Qui t’empêche d’arriver qui trompe ton destin
Il y a toujours une âme qui te tend la main
Qui t’ouvre son cœur qui veut t’accompagner
Laissez moi laissez moi rêver laissez moi je dois arriver
Mon amour m’attends je dois le trouver
Sam 29 Déc 2007, 07:12 par pierre de la carolina sur L'amour en vrac

Absence minée-râle...

Y’a des journuits comme ça, où je voudrais être statique,
me cacher derrière une ombre sans faille,
personne pour me trouver,
respirer le parfum un peu suave de l’oubli complet ...
Je ferme les yeux, je laisse mon corps s’alourdir,
j’enferme mon esprit pour ne bientôt plus rien sentir ni .
Sourde, aveugle, insensible à tout.
Je deviens une absence minérale.
Je veux être une pierre,
pas penser...
pas sentir...
pas aimer...
pas haïr...
pas parler...
pas bien...
pas mal...
pas mourir.
Une pierre...
insensible, inconsciente, froide :
c’est bon de ne rien sentir, de ne rien vouloir, ne rien croire, ne rien attendre...
L’inconscience toute proche, qui me guette, qui me gagne.
Bientôt, me promet-elle, tu n’y verras plus rien.
Une pierre...
J’attends.
Je laisse venir.
Je veux devenir une pierre...
perdue ou lunaire pour ne pas être ramassée,
ne pas être touchée ni même regardée,
ne pas être jetée...
Je m’applique.
J’oublie.
Je m’en fous
Jeu 27 Sep 2007, 21:20 par Luna_Lou sur Mille choses

Il suffit de pas grand chose ( 7 )...

Aimer ce n’est pas savoir
C’est ...

Mais je ne ressens plus rien!
Ven 31 Août 2007, 00:51 par Loyd sur Mille choses

Pluie

L’aube inonde à peine les prairies que déjà je laissse vagabonder mes pensées. Dans un souffle, comme une brise légère, je pousse un soupir. Je rêve de toi, celui que je ne connais même pas. Je t’imagine au travers d’une morale, je te sculpte un visage, je t’invente un regard. Je fouille dans ma mémoire pour éviter des pièges qu’un coup de foudre sans réflexion peut cacher.

J’entends même ton rire malgré le chant des crapauds qui ce matin ressemblait à un glas triste et froid. Appel à la pluie

Je perçois la douceur de tes mots silencieux. Je t’invente sans retenu, pareil à un poème d’une midinette de quinze ans que seul l’âge peut excuser cette naïveté. Indolence d’une jeunesse qui s’étire sur le verbe aimer. Je perçois le son grave de tes paroles tandis que le vent s’offusque de la tiédeur de ce matin.

Un peu comme le pas lourd des chevaux galopants sur les pages d’un cahier de l’écolier furieux d’être là plutôt que dehors pour siffler dans une herbe verte et fraîche de ce printemps.

Je désaltére mes pensées dans un puits de fantasmes imaginaires dont je connais la fantaisie. Imagination avide sans limite que je lâche sans bride. Je peux respirer le parfum de ta peau, le deviner, le saisir pour le laisser rouler sur mes pensées. Indolente, insouciante de cette léthargie charnue de tendresse je pose autour de toi une lumière pleine de clarté, de saveur, d’appétit.

Ciel violacé, ambiance jaunâtre qui annonce un orage.
L’odeur même de la pluie se fait sentir lorsque coléreuse elle tombe sur la terre battue pour agglutiner la poussière sur le sol.. Climat lourd qui colle à la peau pour transpirer un instant dans l’attente d’une émotion qui va éclater
Une hirondelle rase la terre, un vol parfait avant que la pluie vienne éternuer sa mélodie sur l’étang du champ voisin.

Perdue dans mes pensées je continue à t’écouter, plus présent mais si imaginaire. Je sens ta main dans mes cheveux, je sens ta bouche sur la mienne. Je ferme les yeux pour cet imaginaire.

La pluie s’abat brutale sur le bitume de la rue, ricoche, rebondit pour s’affaler et ruisseler dans le caniveau. Les crapauds se sont tus, ravis de ce déluge.

J’ai dessiné tes cheveux, j’ai façonné ton buste sans entendre la pluie chanter sur les vitres de ma maison. Je laisse ta main courir sur mon visage, parcourir les courbes de mon corps. Chaque caresse est silencieuse, muette d’encore. Je te raconte, tu te livres sans parole.

Le tonnerre gronde, pour sans doute me réveiller.
Je suis sourde à son appel

. Je m’invente un monde de couleurs, de miel, de douceur où le salé se mêle au sucré. Sueur entrelace le charnel. Parfum boisé se mêle avec l’arôme de la menthe. Tout devient confus, tout monte en puissance. Accélération. Souffle. Endiguée.
Après la pluie, le calme revient. Les rayons du soleil envahissent les prairies, les crapauds redoublent d’allégresse, toi tu t’évanouies comme la vapeur de l’eau sur le bitume.

Reste….
Mer 02 Mai 2007, 22:00 par Fille du peuple sur L'amour en vrac

T'éveiller

J’aime tout ce que tu es que tu ne perçois pas,
Qui pourrait te surprendre si tu l’apercevais,
J’aime tout ce que tu caches, veux garder en retrait,
Tout ce que tu exprimes lorsque tu n’es pas toi.

Tes doutes indécisions, tes regards pleins d’émoi
Ce contrôle d’illusions, ce semblant d’assurance,
Qui dévoilent à mes yeux ton amer repentance
Tes regrets infondés de ne pas être droit.

Aimer c’est , être bien malgré tout,
Respirer, être heureuse, sereine malgré le flou,
Imaginer ta vie, désirer la nourrir

Je voulais te toucher, te goûter, te ravir,
M’abandonner discrète, éventuellement mourir,
à cette histoire réelle que tu ne perçois pas.
Ven 13 Avril 2007, 16:29 par jatea sur Parler d'amour

Ce soir encore je pense a toi

Ce soir encore je pense à toi,
j’ai du mal à m’y résigner,
mais je dois faire ce dur choix,
par amour pour toi.

Comprendras-tu mon choix ?
Je ne le pense pas et je sais....
que tu m’en veux terriblement
d’avoir éveillé ce désir en toi.

Comment pourrais-je vivre ?
Comment pourrais-je me regarder ?
Dans le miroir du matin,
dans le reflet de tes yeux pétillants de ces mille étoiles...
En me culpabilisant de te faire porter mon lourd fardeau !

Laisser chanter mon coeur, mon âme, mon émoi,
écouter la douce raison de mon amour pour toi
serait de la folie amère et égoïste.
Je ne veux pas être responsable de cette douleur,
que tu pourrais en me voyant,
chaque nuit revivre des flashs back.
Je ne veux pas brider ton amour si merveilleux,
parce que tu mérites vraiment d’être heureux.
Auprès d’une femme qui te comblera de bonheur,
qui saura être ta femme, ton amie, ta maîtresse et la mère de tes enfants.

Comment pourrais-je te faire vivre tout ça ?
Mon coeur, lui, chante les douces mélodies de l’amour,
mais ma raison refuse de te faire souffrir.
Et pour cela, je dois faire en sorte que ton désir passe.
Pourtant, j’aurais aimé être la femme que je décris plus haut,
mais je n’en serais pas capable.
Sam 06 Jan 2007, 23:06 par joullia sur Parler d'amour

Lettre ouverte au Père Noël

Cher Père Noël,

Tu sais - comme moi - que je ne suis plus une petite fille et ce depuis bien des années. Néanmoins, j’entends tellement dire que je suis restée enfant que je t’écris cette lettre... Oh, tu peux te moquer de moi, ce ne seront pas les premiers sarcasmes et puis, je suis comme je suis, n’est-ce pas, si cela te fait rire alors tant mieux, c’est un peu de joie que je t’aurais donnée.
L’amour ? C’est l’amour qui est au coeur de ma demande. Car tu l’as bien compris je viens vers toi avec un coeur implorant. Père Noël, voilà bien des années que je regarde l’amour et ne le vis pas, je le contemple le nez collé contre la vitre du bonheur. Enfant on m’avait appris que l’amour se méritait, mais non, non, je sais aujourd’hui qu’il est gratuit et que, de surcroît, on en a tous besoin pour vivre. Et oui, tous autant que nous sommes. Certains le ressentent mais il reste sans objet... D’autres ont perdu le chemin de leur coeur à force d’enfermement.
Ma vie m’est presque à charge : à quoi sert de vivre si l’on ne peut remplir sa vocation, à quoi sert de l’amour lorsqu’il demeure unilatéral et qu’en fin de compte on ne ressent sa morçure que pour savoir que l’on est privé de ses joies ? Ma vocation propre est dans l’amour. L’amour, je l’espère, j’y crois naïvement à chaque instant. Cependant, il ne me reste entre les doigts - sitôt mon coeur enflammé - que des cendres : l’être aimé/aimant où est-il ? Un petit génie m’avait demandé de faire un voeu, je l’ai fait mais hélas, le génie s’est enfui avec mon voeu sous le bras et mon coeur saigne... Je suis fatiguée.
J’ai besoin d’aimer et d’être aimée Père Noël, c’est le moteur de ma vie, c’est l’amour qui me donne la force de me battre, la force d’avancer, la force de me relever.
Nous sommes nombreux à connaître la solitude du coeur, alors je t’en prie pour Noël, puisses-tu apporter à toutes ces âmes la joie de l’amour partagé. Pas des tas d’amour de surconsommation à prendre et à jeter après usage, non, l’amour, tendre et vrai, l’amour propre à chacun, à chacune.
Je t’embrasse bien doucement de tout mon coeur d’enfant puisqu’enfant il y a.
Avec une pluie de tendresse,

Dolce
Mar 19 Déc 2006, 13:27 par dolce vita sur Mille choses

Le manque de Toi ...

Le manque de Toi me pèse chaque jour... et s’il faut que tu me manques pour t’aimer, te le faire savoir et te le faire ... Comment te dire, te crier et t’écrire mon amour... Que tu me manques...

Philippe.
Dim 15 Oct 2006, 10:44 par coeur lourd sur Mille choses

Et si...

Et si pour être aimé (e)
Il ne fallait pas chercher à s’imposer
Mais savoir
Faire le manque de soi...

Marie rose
Mer 27 Sep 2006, 20:22 par Satine sur Mille choses

A la découvert des trésors cachés

Je t’attends dans la nuit, assise sur le banc,
De mes rivières de songes,
Rien ne peut me réchauffer le coeur autant,
Que mes rêveries de Toi,
De Nous,
Comme avant.

Dans le calme de la nuit,
Caressée par ces douces brises voluptueuses,
Les yeux fermés,
Je peux entendre tes pas et ton doux parfum,
Et tu arrives....

Tes douces et belles lèvres
Humidifie ma peau tout en émoi,
La douceur extrême de ta peau,
Réveille en moi, des passions et des désirs extrêmes,
Quand tes belles mains parcourent mon corps,
A la découvert des trésors cachés,
Qui n’appartiennent qu’à Toi.
J’entends alors ton doux coeur,
Battre dans des rythmes envoûtants,
Seule moi peux entendre cette douce mélodie.
Et mon âme se blottit contre ton âme,
Juste là, contre nos deux coeurs.

Ton sourire si beau,
Et tes yeux ! Ô tes yeux !
Je les perçois comme des étoiles,
Ils brillent tant que par mis,
Les constellations, les cieux,
Je ne peux pas me tromper.
Je savoure ce spectacle étoilé.

Et là, apaisée, heureuse, je m’endors,
Avec ton beau sourire en mémoire,
La dernière image,
Tes rires complices,
Le dernier son,
Dans ma nuit.


Ainsi enveloppée et protégée
Dans tes bras d’Amour,
Je m’endors en sécurité.

julia aime timide
Dim 27 Août 2006, 14:57 par joullia sur Parler d'amour

Destin Eternel de Notre Amour

Je viens avec ces quelques petits mots
Te raconter mon Belle Amour Incontournable,
Avec l’espoir que tu puisses vraiment
Ces frissons incessants, ces fortes sensations,
Ces désirs fervents, ces émotions, qui brûlent dans mon cœur,
Comme un feu attisé par un doux vent incessant,
Et dans mon âme et dans tout mon être,
L’amour et le désire se mélange en une seul passion, Toi.

Ressens et écoute les vents, comme ils soufflent
Avec ces mots murmurés tout autour de Toi mon petit Coeur d’Amour:
« Je t’aime », je suis Tienne, tu es Mien,
Et rien ne peut changer ce « Destin Eternel de Notre Amour » !
Rien ne peut plus m’effrayer avec Toi à mes côtés,
Tu es mon refuge ou rien n’est impossible.
Dim 27 Août 2006, 14:21 par joullia sur Parler d'amour

Mon avis n’a d'importance que si mes mots te vont au coeur

A travers cet hymne où mes mots te seront exprimés,
A travers mes phrases où sincérité te sera déclarée,
Je désire mettre fin au silence de la réalité,
Et te dire une fois pour toute la pure vérité.

Souvent les mots me manquent, l’inspiration s’évade et la peur des mots m’envahit;
Parfois les phrases surgissent avec le regret de les avoir prononcées et sur mes lèvres
Pire encore, parler pour rien, ne pas me faire comprendre sont les sentiments qui s’emparent de ma vie.

Oui, j’ai besoin de te le dire de tout mon coeur
Que seul ton bien-être peut faire mon bonheur.

Permets-moi de te représenter
L’importance que mon coeur peut te porter,
Ta valeur à mes yeux dépassant
Le plus charmant de sentiments.

Comme un soleil sans lumière, une lune sans ombre,
Une terre sans fleurs, un ciel sans couleurs,
Une fraise sans goût, un repas sans saveur,
Une voix sans paroles, un regard sans vision,
Une existence sans destin, une vie en dérision...

J’aimerai éprouver un jour le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien,
J’aimerai croire que le véritable amour existera encore demain,
Pouvoir un jour recevoir autant que je puisse donner,
Pouvoir l’intérêt de vivre et d’exister.

Et cela je le trouve dans le pourquoi de mes actes et de mes pensées vis à vis de ta personne
Dans mes faits et gestes qui m’amènent vers toi, à être telle que je suis, telle que je résonne.

Je souhaiterais te rendre heureux à chaque instant où tu vas mal,
Je souhaiterais que tu comprennes mon attitude,
Redonner le sourire à tes lèvres quand il n’est pas présent,
Te redonner aussi la liberté de vivre quand je me dois d’être distante.

S’il faudrait traverser à pied le désert,
S’il fallait nager le long d’une grande mer,
Rien que pour te sauver
Je le ferais sans hésiter.

Quand tu te seras éloigné
Et que le destin aura voulu nous séparer,
Je continuerai à chaque instant de penser a toi,
Avec l’espoir que tu n’auras pas changé.

Oui je penserai à tous ses moments passés avec toi,
A toutes les conversations que l’on a pu avoir,
Sur ton tchat.

Mon rêve serait de pouvoir te garder
A mes cotés, tout près de moi;
Mais dans mon coeur tu resteras
A tout jamais, pour l’éternité.

S’il n’est pas faux que mon coeur t’aime encore,
Je ne peux lui dire de se taire et de mourir.
Ma seule force pour pouvoir le faire survivre,
Est de donner son amour.

Comme les étoiles dans le ciel,
Comme les grains de sables du désert;
Même si je ne suis qu’une particule de sel
Parmi les eaux des plus vastes mers,
J’apprécierai tes qualités
Sans jamais les sous-estimer.

Mon avis n’a d’importance que si mes mots te vont au coeur,
Mes vers n’ont pas de raisons d’être si pour toi ils n’ont pas de valeur.
Et tes autres amies qui t’aiment, je n’en serai plus jalouse,
Et ta future petite amie sera à mes yeux bien plus douce.

Je ne peux me mentir à moi-même sans que tu y perçois la vérité,,
Je ne peux que comprendre en regardant ton douloureux passé.

Je ne peux m’empêcher de décrire sur un tas de feuille ce qui m’entoure
Et d’écrire mes faits et gestes pour un soulagement en retour;
Mais quand mes petits doigts pensent faire quelque chose de sage,
Quand sans cesse je me relis en tournant peu à peu les pages,
Je fini par avoir de nombreux remords,
Pour enfin m’apitoyer sur mon triste sort.

Il est dit dans des proverbes:
Qui sème l’amour récolte le bonheur;
Ou bien encore:
Ton amour est la plus belle fleur dans le jardin de mon petit coeur.

Bien que ces paroles ne proviennent pas de mon inspiration,
Ils semblent avoir été écrits avec beaucoup de raisons.
Sont-ils vrais, sont-ils faux?
Après tout ce ne sont que des mots...

Tu es un homme si magnifique
Par tes couleurs tu es le plus beau;
Tu es pour moi autant symbolique
De la paix qu’évoque une hirondelle.

Tu me fais penser à un jolie fleuve,
Si fougueux mais plein de coeur.
Une absence d’une longue minute,
Une courte seconde sans ta présence,
Et la vie devient comme un arbre en Octobre,
Tout retombe comme une feuille devenue sobre.

Ta franchise toujours sincère
M’as souvent remis les pieds sur terre;
Bien qu’elle m’a souvent blessée
Au point de sans cesse pleurée.

Je suis comme un vase brisée
Mais c’est une chance que tu sois là
Pour me dire tout mes faux pas
Je ne le répèterai jamais assez, tu es l’homme pour qui j’ai le plus de respect,
Tu es l’homme en qui sans peur je porterai ma confiance,
Car il existe entre nous des ressemblances.

Oui ce poème ne devrait pas exister,
Je voulais dire, te redire que je t’aime non pas pour une apparence;
C’était pour partager avec quelqu’un de bien une belle histoire,
Considérer et être considérer comme un don de l’existence,
Profiter de la vie à deux.

Mon coeur s’est exprimé sans doute pour la dernière fois,
Et il est temps d’en arrêter là;
Mais avant de terminer ce poème,
Je voulais simplement te dire: Je t’aime.
Mer 23 Août 2006, 01:24 par joullia sur Parler d'amour

Elle a vaincu

Je n’ai plus la force de me battre,
Le mammifère marin a gagné...
Tu te fiches bien de ce que je peux ,
Courir après 2 lapines en même temps,
Cela ne se fait pas... surtout lorsqu’elles sont toutes deux sur le
même site.
Tu n’as même pas attendu de me rencontrer.
Que veux-tu que je te dise ce soir ?
Que mes espoirs viennent d’être brisés... Oui, ils le sont ?
Te dire mon amour pour toi ? Je pense que l’avoir assez crié.
Et cette venue à Paris pour te voir.
Le temps s’est arrêté ce soir, mais pas pour l’amour.
Le temps des amours est celui des malheurs.
J’en ai marre.
Alors j’arrête de me battre, la mort a vaincu ce soir.
Tout est noir, même la journée était sans couleur,
Je sors des urgences où tu n’étais pas là.
Alors au revoir et soies heureux avec ton dauphin.
Tu mérites sans doute d’être heureux,
Plus que moi de toute facon.
Elle aussi sûrement le mérite plus que moi.
Mer 09 Août 2006, 21:27 par joullia sur Amour internet

L'hirondelle pleur de ses peurs qui fond fuire le faucon

Le faucon est doux et généreux,
Le faucon lui aussi recherche le grand bonheur,
Le faucon a lui aussi vécu des choses tristes,
Mais l’hirondelle ne sait pas plus,
Le faucon ve un lien reel avec la petite hirondelle,
Le faucon se sent frustré et agacé,
Par le refus de l’hirondelle.

L’hirondelle ne lui donne pas ce lien réelle,
Parcequ’ elle est incapable de parler,
De ce que le faucon voudrait entendre dire,
L’hirondelle ne peut parler de ce secret ouvertement devant le faucon,
Parce que la douleur est intense,
Qu’elle ve pas lui faire entendre ce calvere,
Qu’elle meme ne peut oublier.
Elle aime trop le faucon,
Elle souhaite le preserver de cela,
Pour un sertain temps...
Elle lui en parlera par bride,
Au file du temps et de son amour grandissant,
jusqu’a l’instant ou elle sera prete a vider son sac,
Pour montrer a quelle point elle aime le faucon,
Comme jamais elle a aimait,
L’hirondelle meurtrie ne peut racontée de vive voix,
Son histoire, ses douleurs, ses meurtrissures les plus profondes,
L’hirondelle voudrait bien pourtant.......
Cela la soulagerait sûrement,
Mais tout son être intérieur lutte pourtant,
Mais le corbeau a toujours une emprise mentale,
Peur de revivre une énième fois,
Ce jour si noir qu’elle a voulu en mourir.
L’hirondelle n’aurait jamais avoué au faucon,
Ce lourd secret, si lui-même ne l’avait pas deviné.

L’hirondelle pleure, le faucon est parti,
Elle voudrait l’appeler, mais la peur la tétanise,
La peur chez elle est un paradoxe,
Elle n’a pas peur du faucon au contraire,
Le faucon la rassure lui donne de l’espoir,
L’hirondelle a peur d’elle,
Peur de ce qui lui traverse le coeur,
Peur de son histoire,
Peur de le décevoir,
Peur de ne pas être à la hauteur,
Peur d’être un poids pour ce si joli faucon,
Peur du regard des autres,
Peur de faire souffrir le faucon,
Peur que le faucon se lasse,
Peur qu’il souffre de mes ailes brisees,
Peur qu’il voit une autre hirondelle,
Peur de les sentiments d’amour charnel,
Peur parce que j’en ai envie au plus profond,
Mais est-ce que le mental ne viendra pas tout gâcher...
Peur de ne pas aller assez vite pour le faucon,
Peur de moi, de mes réactions et émotions,
Peur de mes pleurs, de mes cauchemars,
L’hirondelle voudrait tant que le faucon lui revienne,
Pour qu’elle puisse combattre ses peurs.
L’hirondelle voudrait tant que le faucon l’aide à penser ses ailes une bonne fois pour tout,
L’hirondelle voudrait vivre une histoire d’amour éternel avec ce joli faucon

L’hirondelle ne sait même pas si le faucon viendra lire ses poèmes,
L’hirondelle aimerait bien avoir un signe de ce faucon,
L’hirondelle comprend que le faucon ve plus,
L’hirondelle lui promet qu’il aura ce lien réel,
L’hirondelle se meurtrit, le décompte a commencé,
L’hirondelle compte les jours, les heures, les minutes, les secondes, qui la séparent du corbeau,
L’hirondelle préférerait faire le décompte qui la conduirait au faucon.
Ou l’Amour triomphera de tout.
Qui la délivrera de toute cette douleur lancinante .

Mon beau faucon reviens moi, donne-moi un signe.

L’hirondelle voudrait rencontrer le faucon,
À une date importante
Pourquoi pas le 10 août ?
Pourquoi cette date ?
Je ne peux pas le révéler ici,
Mais je te dirai la raison de cette date.
Je voudrai que ce jour soit mon renouveau.

Faite que dieu lui face lire mes poèmes et qu’il me revienne.
Ven 28 Juil 2006, 11:25 par joullia sur L'amour en vrac
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Jean Ricardou.

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