Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur reins - Page 3 sur 5
Rendez-vous
Jeanne enfila son manteau, prit les clefs sur la console et virevolta sur le palier. L’amour lui donnait des ailes.
Elle traversa le jardin innondé, enjambant les flaques d’eau qui creusaient l’allée. Près de l’appentis les roses hachées par la pluie pendaient lamentablement. Elle en fut attristée.
Jeanne ouvrit le portail et se retrouva sur le trottoir.
Montmartre était à ses pieds. Le spectre d’un arc-en-ciel offrait ses couleurs dans une arcade parfaite qui semblait naître de la terre.
Jeanne dévala les escaliers de la butte en se disant que c’était un bonheur de posséder un jardin dans la ville.
A dix neuf heures, elle traversait le Boulevard St Germain.
Depuis plusieurs mois, Louis lui donnait rendez-vous à l’hôtel St Charles, rue de la Huchette.
Ils s’étaient rencontrés en Normandie. Dès le premier regard, ils étaient tombés amoureux.
Elle arrivait toujours la première à l’hôtel, prenait la clef à la réception agacée par le sourire narquois de l’employé.
Elle attendait l’ascenceur, toujours avec la même impatience et trouvait çà interminable.
A peine entrée dans la chambre, elle faisait glisser sa robe sur le parquet et s’engouffrait dans la salle de bain.
Après sa douche, elle aimait sentir ses cheveux humides lui caresser les reins.
Le corps enveloppé d’un voile de talc parfumé, elle s’allongeait, espérant que son amant s’engloutirait dans cette subtilité évanescente répandue dans l’air.
Blanche et nue, elle attendait, abandonnant son corps à l’étreinte, la jambe gauche allongée et la droite repliée, dévoilant le sillon de son sexe humide.
Lorsque Louis entra dans la chambre, elle s’était assoupie.
Grand, mince, les cheveux bruns et les yeux noirs, il ressemblait à un prince arabe.
Il s’approcha pour chuchoter à son oreille des mots qu’elle ne comprenait pas, mais elle lui offrit son corps sans pudeur.
Louis caressa le sexe ouvert, prit entre ses doigts le petit bouton charnu, elle laissa son plaisir l’envahir.
Louis la satisfaisait toujours dans son étreinte et voulait s’endormir en elle, aprés avoir vu dans le miroir leurs corps parcourus d’ondes frémissantes.
Ils ne faisaient plus qu’un seul être, une seule âme, avant de sombrer dans cette petite mort qu’ils voulaient éternelle.
Elle traversa le jardin innondé, enjambant les flaques d’eau qui creusaient l’allée. Près de l’appentis les roses hachées par la pluie pendaient lamentablement. Elle en fut attristée.
Jeanne ouvrit le portail et se retrouva sur le trottoir.
Montmartre était à ses pieds. Le spectre d’un arc-en-ciel offrait ses couleurs dans une arcade parfaite qui semblait naître de la terre.
Jeanne dévala les escaliers de la butte en se disant que c’était un bonheur de posséder un jardin dans la ville.
A dix neuf heures, elle traversait le Boulevard St Germain.
Depuis plusieurs mois, Louis lui donnait rendez-vous à l’hôtel St Charles, rue de la Huchette.
Ils s’étaient rencontrés en Normandie. Dès le premier regard, ils étaient tombés amoureux.
Elle arrivait toujours la première à l’hôtel, prenait la clef à la réception agacée par le sourire narquois de l’employé.
Elle attendait l’ascenceur, toujours avec la même impatience et trouvait çà interminable.
A peine entrée dans la chambre, elle faisait glisser sa robe sur le parquet et s’engouffrait dans la salle de bain.
Après sa douche, elle aimait sentir ses cheveux humides lui caresser les reins.
Le corps enveloppé d’un voile de talc parfumé, elle s’allongeait, espérant que son amant s’engloutirait dans cette subtilité évanescente répandue dans l’air.
Blanche et nue, elle attendait, abandonnant son corps à l’étreinte, la jambe gauche allongée et la droite repliée, dévoilant le sillon de son sexe humide.
Lorsque Louis entra dans la chambre, elle s’était assoupie.
Grand, mince, les cheveux bruns et les yeux noirs, il ressemblait à un prince arabe.
Il s’approcha pour chuchoter à son oreille des mots qu’elle ne comprenait pas, mais elle lui offrit son corps sans pudeur.
Louis caressa le sexe ouvert, prit entre ses doigts le petit bouton charnu, elle laissa son plaisir l’envahir.
Louis la satisfaisait toujours dans son étreinte et voulait s’endormir en elle, aprés avoir vu dans le miroir leurs corps parcourus d’ondes frémissantes.
Ils ne faisaient plus qu’un seul être, une seule âme, avant de sombrer dans cette petite mort qu’ils voulaient éternelle.
Lun 12 Fév 2007, 19:31 par
lavinadiere sur Histoires d'amour
En confidence
Je me disais, tantôt, se blottir sous la couette
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.

Jeu 25 Jan 2007, 12:03 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Bohémienne
Danse danse sur les flammes d’un feu de camp
Feu de joie
Brille brille dans la nuit sans effroi
Brûlent tes yeux de braise
Demain le soleil encore se lèvera
Danse danse et conjure le mal
Qui a peur de ta joie
Qui veut te briser les reins
Et t’étreint
Enroule-toi et tourne tourne
Frappe le sol de ton talon lève les bras vers le Ciel
Danse danse
Il tourne sur lui-même et s’étend foudroyé
Le feu crépite et chante pour toi
Danse danse et puis, délivrée,
Endors-toi dans les bras de l’aurore
Feu de joie
Brille brille dans la nuit sans effroi
Brûlent tes yeux de braise
Demain le soleil encore se lèvera
Danse danse et conjure le mal
Qui a peur de ta joie
Qui veut te briser les reins
Et t’étreint
Enroule-toi et tourne tourne
Frappe le sol de ton talon lève les bras vers le Ciel
Danse danse
Il tourne sur lui-même et s’étend foudroyé
Le feu crépite et chante pour toi
Danse danse et puis, délivrée,
Endors-toi dans les bras de l’aurore
Mer 03 Jan 2007, 19:33 par
dolce vita sur La séduction
TANGO
Mais qu’ est-ce que je fous là
Je sombre au fond de toi
Quelle heure est-il est quel feu me noie
Fait-il noir ou clair, je n’sais pas
Ma peau se colle au rouge de ton sang qui bouge
Et qui coule vers moi
Je danse et je me bats
Et j’ enroule mes chevilles autour de toi
Mes jambes se plient
Je contourne tes hanches
Sur mes reins se joue ta revanche
Je prie en vain mais toi tu ris, une soif s’ assouvit
Je danse ou je me bats
Je n’sais pas , je n’sais pas
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L’un de nous deux est plus fort
Quand mon corps se tord
Mais le doute s’ installe
Je me sens comme en cavale
La vie me pousse dans la course
Mon corps qui te repousse
Tes gestes me rappellent que tu n’ as pas sur moi
Le droit que je te dois, je danse et je me bats
Mais comment dire à qui, à quoi, à qui je suis
Quand de n’ appartenir qu’ à toi est le défi
Ey si je te disais qu’ il n’ y a pas que toi
Je danse et tu te bats
Je danse et tu te bats
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L’un de nous deux est plus fort
Tango mi amor
Tango mon corps
Ne t’ appartient pas encore
Et si mon âme s’ en sort
Mon corps, lui, se tord.
Rick Allison / Lara Fabian.
Je sombre au fond de toi
Quelle heure est-il est quel feu me noie
Fait-il noir ou clair, je n’sais pas
Ma peau se colle au rouge de ton sang qui bouge
Et qui coule vers moi
Je danse et je me bats
Et j’ enroule mes chevilles autour de toi
Mes jambes se plient
Je contourne tes hanches
Sur mes reins se joue ta revanche
Je prie en vain mais toi tu ris, une soif s’ assouvit
Je danse ou je me bats
Je n’sais pas , je n’sais pas
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L’un de nous deux est plus fort
Quand mon corps se tord
Mais le doute s’ installe
Je me sens comme en cavale
La vie me pousse dans la course
Mon corps qui te repousse
Tes gestes me rappellent que tu n’ as pas sur moi
Le droit que je te dois, je danse et je me bats
Mais comment dire à qui, à quoi, à qui je suis
Quand de n’ appartenir qu’ à toi est le défi
Ey si je te disais qu’ il n’ y a pas que toi
Je danse et tu te bats
Je danse et tu te bats
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L’un de nous deux est plus fort
Tango mi amor
Tango mon corps
Ne t’ appartient pas encore
Et si mon âme s’ en sort
Mon corps, lui, se tord.
Rick Allison / Lara Fabian.
Jeu 26 Oct 2006, 09:10 par
Chogokinette sur Citations
L'amour, c'est quoi ? grande interrogation ...
Mes amours passagères,
N’ont pas toujours étaient d’enfer ...
( poème passéiste sur mes conquêtes et le sexe ... sniff! )
Je dois être d’un autre âge,
Où les femmes étaient soumises et sauvages.
D’une époque aussi lointaine que l’âge de fer.
Où il suffisait de s’aimer pour le faire ...
Cet âge, aujourd’hui me rend amère.
Où est passée cette époque éphémère.
Toutes autour, sont devenues sages.
Où son mes jolies conquête de passages.
Sont elles devenues responsables et austères ?
Ont elles peur à ce point de la misère ?
Qu’il faille leur montrer notre bien être
Et bien paraître, tout cela m’exaspère ...
Au risque de ne pas paraître très sage,
Je rêve de conquêtes de mon âge.
Où les femmes infidèles et légères,
S’offriraient tous les plaisirs en pleine la lumière !
Sans tabou ni retenue, que celle de la chair.
Sortant de l’ombre et des valeurs monétaires !
Je suis prêt à offrir du plaisir de mes mains
De ma bouche et de mes reins
Plutôt séduire, quitte à déplaire,
Que se battre et croiser le fer.
Sans mensonges, à qui lira ce message
Je propose mes talents aux massages
Sans contrepartie financières,
Et sans arrière pensée grossière,
Juste comme il se doit, avec les manières.
Surtout ne me classer pas anthropophage
Moi qui suis à l’aube d’un grands âge
Je suis encore vert et prêt à le faire
Et malgré mes envies passagères
Me voilà condamner à battre le fer ...
Sans amour, dans un monde froid et austère ...
N’ont pas toujours étaient d’enfer ...
( poème passéiste sur mes conquêtes et le sexe ... sniff! )
Je dois être d’un autre âge,
Où les femmes étaient soumises et sauvages.
D’une époque aussi lointaine que l’âge de fer.
Où il suffisait de s’aimer pour le faire ...
Cet âge, aujourd’hui me rend amère.
Où est passée cette époque éphémère.
Toutes autour, sont devenues sages.
Où son mes jolies conquête de passages.
Sont elles devenues responsables et austères ?
Ont elles peur à ce point de la misère ?
Qu’il faille leur montrer notre bien être
Et bien paraître, tout cela m’exaspère ...
Au risque de ne pas paraître très sage,
Je rêve de conquêtes de mon âge.
Où les femmes infidèles et légères,
S’offriraient tous les plaisirs en pleine la lumière !
Sans tabou ni retenue, que celle de la chair.
Sortant de l’ombre et des valeurs monétaires !
Je suis prêt à offrir du plaisir de mes mains
De ma bouche et de mes reins
Plutôt séduire, quitte à déplaire,
Que se battre et croiser le fer.
Sans mensonges, à qui lira ce message
Je propose mes talents aux massages
Sans contrepartie financières,
Et sans arrière pensée grossière,
Juste comme il se doit, avec les manières.
Surtout ne me classer pas anthropophage
Moi qui suis à l’aube d’un grands âge
Je suis encore vert et prêt à le faire
Et malgré mes envies passagères
Me voilà condamner à battre le fer ...
Sans amour, dans un monde froid et austère ...
Jeu 05 Oct 2006, 20:13 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
La rivière de ton coeur
Si tu m’abandonnes un jour,
je garderai en moi tout l’amour,
Que j’ai pour toi,
Le goût de tes lèvres à ma bouche,
Les caresses de tes mains au creux de mes reins en transe,
La saveur épicée de ton corps en émoi,
La couleur de ton si doux et beau sourire, image bonheur,
La douceur de ton visage, velours du coeur a l’infini,
La profondeur de tes yeux.
Emporte-moi dans la rivière de ton coeur,
Emmène mes pas vers un sentier fait de fleurs,
Je ferai couler dans tes veines, sang d’amour.
Fais-moi une petite place au creux de toi,
Sois sur mon chemin mon guide, mon tendre prince,
Je ne veux que la richesse de ton amour.
je garderai en moi tout l’amour,
Que j’ai pour toi,
Le goût de tes lèvres à ma bouche,
Les caresses de tes mains au creux de mes reins en transe,
La saveur épicée de ton corps en émoi,
La couleur de ton si doux et beau sourire, image bonheur,
La douceur de ton visage, velours du coeur a l’infini,
La profondeur de tes yeux.
Emporte-moi dans la rivière de ton coeur,
Emmène mes pas vers un sentier fait de fleurs,
Je ferai couler dans tes veines, sang d’amour.
Fais-moi une petite place au creux de toi,
Sois sur mon chemin mon guide, mon tendre prince,
Je ne veux que la richesse de ton amour.
Mer 06 Sep 2006, 21:32 par
joullia sur Histoires d'amour
L’ardeur de tes flammes crépitantes
Je sens l’ardeur de tes flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le bout des doigts,
J’entends aussi le désir que tu chuchotes au plus profond de toi
Et je vois ton corps qui grelotte de désir intense.
Il appelle timidement mes mains pour qu’elles le caressent.
Couine de plaisir et crie de rage.
Les mots de la passion ont un doux visage d’ange
Tes yeux langoureux et profonds !
Les mots du cœur ont une couleur rouge foudroyant
Des baisers tendres et une douce saveur subtile et délicate
D’un mélange de parfums et de sueurs
Où la douceur embrasse la douceur de nos corps.
Mes lèvres qui se penchent sur tes reins.
Je sens l’ardeur des flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le corps,
Je te veux dans mes petit bras.
Je te veux dans mes draps.
Je te veux poème.
Je te veux poète.
Je te veux une tempête.
Que rien n’arrête.
Je te veux comme tu es.
Qu’on s’embrasse dans la différence, dans l’innocence
Et dans le silence de notre désir.
Qu’on s’embrasse à ne plus en finir,
Que la douce lueur du matin nous dévoile l’un à l’autre
Dans la plus merveilleuse lumière aux mille reflets de couleurs
Et qu’au petit matin nous formions plus qu’un Nous,
Et que ce Nous se transforme en Amour réel,
Celui dont même la mort ne peut défaire.
julia
Et l’envie qui te brûle le bout des doigts,
J’entends aussi le désir que tu chuchotes au plus profond de toi
Et je vois ton corps qui grelotte de désir intense.
Il appelle timidement mes mains pour qu’elles le caressent.
Couine de plaisir et crie de rage.
Les mots de la passion ont un doux visage d’ange
Tes yeux langoureux et profonds !
Les mots du cœur ont une couleur rouge foudroyant
Des baisers tendres et une douce saveur subtile et délicate
D’un mélange de parfums et de sueurs
Où la douceur embrasse la douceur de nos corps.
Mes lèvres qui se penchent sur tes reins.
Je sens l’ardeur des flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le corps,
Je te veux dans mes petit bras.
Je te veux dans mes draps.
Je te veux poème.
Je te veux poète.
Je te veux une tempête.
Que rien n’arrête.
Je te veux comme tu es.
Qu’on s’embrasse dans la différence, dans l’innocence
Et dans le silence de notre désir.
Qu’on s’embrasse à ne plus en finir,
Que la douce lueur du matin nous dévoile l’un à l’autre
Dans la plus merveilleuse lumière aux mille reflets de couleurs
Et qu’au petit matin nous formions plus qu’un Nous,
Et que ce Nous se transforme en Amour réel,
Celui dont même la mort ne peut défaire.
julia

Lun 21 Août 2006, 11:27 par
joullia sur La séduction
A mon amour
Comme le drapeau qui flotte au vent
Mon âme a flotté loin de toi
Mât dressé fièrement
Je viens te prendre
Claquements réguliers
Comme ces coups de reins
Qui font monter le cri de ta jouissance
Dans cet infini éternel
Mon âme a flotté loin de toi
Mât dressé fièrement
Je viens te prendre
Claquements réguliers
Comme ces coups de reins
Qui font monter le cri de ta jouissance
Dans cet infini éternel
Mar 11 Juil 2006, 13:28 par
coupdecoeur sur L'amour en vrac
Chère Marquise
Que je suis heureuse de vous lire !
Vous savoir parmi nous me fait vraiment plaisir !
Mais pour venir au contenu de votre lettre
J’y trouve en résumé ce que la vie peut être...
Hélas, Madame, nul n’est à l’abri du grain !
Et lorsque la tempête fait rage
En effet, lorsque gronde l’orage :
Que faire de mieux que d’aller à l’abri
Et reprendre courage auprès de bons amis ?
Celui qui n’a de cœur que le nom peut-il souffrir ?
Mais peut-il à l’inverse éprouver du plaisir ?
Il faut, Madame, pour pouvoir s’élever
En ces cieux éthérés où l’amour vous conduit
Connaître tout autant l’abîme en cette vie.
Voilà notre héritage, voilà tout le secret :
Puisque pour bien aimer il faut souffrir aussi
Jouissons du premier et passons les ennuis...
Mais que de coups de reins qui égaillent les coeurs
Et qui donnent aux amants une si belle ardeur,
Voilà, chère Marquise, ce qu’il faut souhaiter !
Et que le fier Amour qui a su vous charmer
Et qui, je le comprends, n’en fait bien qu’à sa tête
Saura bien le coquin ne plus vous faire pleurer...
Et vous faire savourer les fruits de sa conquête ! ! !
Vous savoir parmi nous me fait vraiment plaisir !
Mais pour venir au contenu de votre lettre
J’y trouve en résumé ce que la vie peut être...
Hélas, Madame, nul n’est à l’abri du grain !
Et lorsque la tempête fait rage
En effet, lorsque gronde l’orage :
Que faire de mieux que d’aller à l’abri
Et reprendre courage auprès de bons amis ?
Celui qui n’a de cœur que le nom peut-il souffrir ?
Mais peut-il à l’inverse éprouver du plaisir ?
Il faut, Madame, pour pouvoir s’élever
En ces cieux éthérés où l’amour vous conduit
Connaître tout autant l’abîme en cette vie.
Voilà notre héritage, voilà tout le secret :
Puisque pour bien aimer il faut souffrir aussi
Jouissons du premier et passons les ennuis...
Mais que de coups de reins qui égaillent les coeurs
Et qui donnent aux amants une si belle ardeur,
Voilà, chère Marquise, ce qu’il faut souhaiter !
Et que le fier Amour qui a su vous charmer
Et qui, je le comprends, n’en fait bien qu’à sa tête
Saura bien le coquin ne plus vous faire pleurer...
Et vous faire savourer les fruits de sa conquête ! ! !
Sam 10 Juin 2006, 22:17 par
dolce vita sur Un monde parfait
Chère Dolce Vita
C’est avec un peu de retard que je découvre votre prière
Et vos mots délicats me touchent en mon secret repère
Le temps m’attache souvent à des ports moins doux
Que les lignes des âmes tendres où j’ai semé tant de cailloux
De belles histoires, des larmes amères ou mes passions enivrantes.
Je vous lis néanmoins, avec autant de candeurs innoncentes
Quand je découvre les plumes exquises se livrer sans gêne
Aux partages de l’amour et des plaisirs suprêmes...
Je ne suis jamais bien loin
Entre deux courants d’air
Deux coups de reins
Je reprends ici mon souffle
Et mes souvenirs en cas de tempète
La marquise ...
Et vos mots délicats me touchent en mon secret repère
Le temps m’attache souvent à des ports moins doux
Que les lignes des âmes tendres où j’ai semé tant de cailloux
De belles histoires, des larmes amères ou mes passions enivrantes.
Je vous lis néanmoins, avec autant de candeurs innoncentes
Quand je découvre les plumes exquises se livrer sans gêne
Aux partages de l’amour et des plaisirs suprêmes...
Je ne suis jamais bien loin
Entre deux courants d’air
Deux coups de reins
Je reprends ici mon souffle
Et mes souvenirs en cas de tempète
La marquise ...
Sam 10 Juin 2006, 21:44 par
la marquise de sade sur Un monde parfait
Je t'aime moi non plus
Je t’aime
oh, oui je t’aime!
moi non plus
oh, mon amour...
comme la vague irrésolu
je vais je vais et je viens
entre tes reins
et je
me retiens - je t’aime je t’aime
oh, oui je t’aime !
moi non plus
oh mon amour...
tu es la vague, moi l’île nue
tu vas et tu viens
entre mes reins
tu vas et tu viens
entre mes reins
et je
te rejoins - je t’aime je t’aime
moi non plus
oh, mon amour...
comme la vague irrésolu
je vais je vais et je viens
entre tes reins
et je
me retiens
tu vas et tu viens
entre mes reins
tu vas et tu viens
entre mes reins
et je
te rejoins - je t’aime je t’aime
oh, oui je t’aime !
moi non plus
oh mon amour...
l’amour physique est sans issue
je vais et je viens
entre tes reins
je vais et je viens
et je me retiens
non ! main-
tenant
Viens !
[i]Serge Gainsbourg[/i]
oh, oui je t’aime!
moi non plus
oh, mon amour...
comme la vague irrésolu
je vais je vais et je viens
entre tes reins
et je
me retiens - je t’aime je t’aime
oh, oui je t’aime !
moi non plus
oh mon amour...
tu es la vague, moi l’île nue
tu vas et tu viens
entre mes reins
tu vas et tu viens
entre mes reins
et je
te rejoins - je t’aime je t’aime
moi non plus
oh, mon amour...
comme la vague irrésolu
je vais je vais et je viens
entre tes reins
et je
me retiens
tu vas et tu viens
entre mes reins
tu vas et tu viens
entre mes reins
et je
te rejoins - je t’aime je t’aime
oh, oui je t’aime !
moi non plus
oh mon amour...
l’amour physique est sans issue
je vais et je viens
entre tes reins
je vais et je viens
et je me retiens
non ! main-
tenant
Viens !
[i]Serge Gainsbourg[/i]
Jeu 25 Mai 2006, 21:22 par
dolce vita sur Citations
Accords tendus A corps trouvés
Tu composes et je joue nos arpèges
En do majeur je descends jusque tes reins
tandis qu’ en ré mineur tu pizzicates sur mes seins
Tu jazzies sur mon ventre dans le mi tant du lit
Le fa sonne sa blue note
Le sol nous étourdi
et à l’unissons nous chantons la.. la.. là
Mais si mais si dans cet accord tant dû
c’est la mélodie du bonheur
do le do il a bon dos
ré rayon de soleil d’or
mi t’es la moitié de mon tout
fa tu retiens la mélodie mon amour
sol cette terre ou nous marchons ensemble pour de bon
la c’est là ou nous allons
toi et moi amour samba
si ... Dommage qu’il y ait un si
pourtant la gamme était si jolie
mais juste après cette note bémol
toujours il y a le do qui revient tu me tient
dans son accord tendu vers ce désir absolu
Harmonie inimitable
nos corps se sont trouvés
et c’est une symphonie pas pathétique pas héroïque
c’est la notre en là ... Majeur
avec voix diphoniques
deux notes pour une seule voix
Nos corps tendus
Nos corps trouvés
En do majeur je descends jusque tes reins
tandis qu’ en ré mineur tu pizzicates sur mes seins
Tu jazzies sur mon ventre dans le mi tant du lit
Le fa sonne sa blue note
Le sol nous étourdi
et à l’unissons nous chantons la.. la.. là
Mais si mais si dans cet accord tant dû
c’est la mélodie du bonheur
do le do il a bon dos
ré rayon de soleil d’or
mi t’es la moitié de mon tout
fa tu retiens la mélodie mon amour
sol cette terre ou nous marchons ensemble pour de bon
la c’est là ou nous allons
toi et moi amour samba
si ... Dommage qu’il y ait un si
pourtant la gamme était si jolie
mais juste après cette note bémol
toujours il y a le do qui revient tu me tient
dans son accord tendu vers ce désir absolu
Harmonie inimitable
nos corps se sont trouvés
et c’est une symphonie pas pathétique pas héroïque
c’est la notre en là ... Majeur
avec voix diphoniques
deux notes pour une seule voix
Nos corps tendus
Nos corps trouvés
Mar 04 Avril 2006, 08:09 par
Tanit sur Mille choses
Dresser l'attente
Que dire encore ?
Je te porte frémissante au creux de mon ventre pour que toi, tu aies un jour en toi mes yeux, enfoncés aussi loin que possible.
Un lac tout bleu, l’ondée illuminée et le halo doré des lunes à venir.
En sens-tu tout le vrai ? Je l’étendrai, le beau qui nous unit.
Comme je te veux ! Comme je te sens, versée en moi.
Je ne sais comment le ciel s’y est pris, pour descendre par la cheminée, déposer sur la cendre refroidie l’arc-en-ciel sans pareil, quel trésor sous mes yeux, jaune et bleu seulement, qui donc a bien pu l’inventer ?
En moi aussi la mer était en flamme, en moi aussi l’ultime braise s’est apaisée ; elle était si violente, qui aurait pu le croire, en la voyant infatigablement se rallumer, brûler de ci de là les mondes anciens en moi, les mondes anticipés aussi, qu’il ne reste plus rien, là où tu prendras place.
Comme je t’espère, comme je crois comprendre nos regards, et comme encore je n’ose y croire, après tant d’agonies.
Pourtant pour toi, par toi, et par-dessus mon toit, jamais je ne fus homme ainsi, me tenant par la main, je ne sais même comment, pour m’emmener danser de rien entre tes reins, ô si comme je crois tu voulais.
Mais même, cela peut-être ne suffira pas : malgré ce que dit la philosophie, on peut aimer en vrai, pourtant en vain, pourtant pour rien.
On peut tout traverser, et ne rien ramener.
Il n’est pas si facile de se sentir en même temps éclairs et puis jets bleus ; trop de lumière est un enfer, le trop d’amour sombre en mystère – et moi, ici, de quoi donc ai-je l’air ?
Je t’espère à en être humilié, sachant pourtant pouvoir encore vivre sans toi et même, s’il le fallait, t’ajouter à l’absence ; à toi aussi te dire adieu, de toi aussi, peut-être, en recevoir le pire ; exposer aux corbeaux le chant des oiseaux bleus.
Qu’en ont-ils retenu, du bout de ce bec qui leur sert de morale ?
Mais ne crois pas que je t’abandonnerai, quoi qu’il m’en coûte.
Puisque tout est détruit, qu’il n’y a même plus de route, la lumière passera.
Et moi, je la suivrai.
Je te porte frémissante au creux de mon ventre pour que toi, tu aies un jour en toi mes yeux, enfoncés aussi loin que possible.
Un lac tout bleu, l’ondée illuminée et le halo doré des lunes à venir.
En sens-tu tout le vrai ? Je l’étendrai, le beau qui nous unit.
Comme je te veux ! Comme je te sens, versée en moi.
Je ne sais comment le ciel s’y est pris, pour descendre par la cheminée, déposer sur la cendre refroidie l’arc-en-ciel sans pareil, quel trésor sous mes yeux, jaune et bleu seulement, qui donc a bien pu l’inventer ?
En moi aussi la mer était en flamme, en moi aussi l’ultime braise s’est apaisée ; elle était si violente, qui aurait pu le croire, en la voyant infatigablement se rallumer, brûler de ci de là les mondes anciens en moi, les mondes anticipés aussi, qu’il ne reste plus rien, là où tu prendras place.
Comme je t’espère, comme je crois comprendre nos regards, et comme encore je n’ose y croire, après tant d’agonies.
Pourtant pour toi, par toi, et par-dessus mon toit, jamais je ne fus homme ainsi, me tenant par la main, je ne sais même comment, pour m’emmener danser de rien entre tes reins, ô si comme je crois tu voulais.
Mais même, cela peut-être ne suffira pas : malgré ce que dit la philosophie, on peut aimer en vrai, pourtant en vain, pourtant pour rien.
On peut tout traverser, et ne rien ramener.
Il n’est pas si facile de se sentir en même temps éclairs et puis jets bleus ; trop de lumière est un enfer, le trop d’amour sombre en mystère – et moi, ici, de quoi donc ai-je l’air ?
Je t’espère à en être humilié, sachant pourtant pouvoir encore vivre sans toi et même, s’il le fallait, t’ajouter à l’absence ; à toi aussi te dire adieu, de toi aussi, peut-être, en recevoir le pire ; exposer aux corbeaux le chant des oiseaux bleus.
Qu’en ont-ils retenu, du bout de ce bec qui leur sert de morale ?
Mais ne crois pas que je t’abandonnerai, quoi qu’il m’en coûte.
Puisque tout est détruit, qu’il n’y a même plus de route, la lumière passera.
Et moi, je la suivrai.
Mar 14 Fév 2006, 20:36 par
Iris sur La première fois
Paula, la toute, toute première fois...
En ce début d’août, j’avais 13 ans : on m’en donnait 15 et plus ! Je mesurais déjà un mètre soixante quinze, et mes soixante cinq kilos n’étaient qu’os et muscles ! J’avais tout fait pour çà : Pour vaincre ma peur des coups à l’école, un cousin m’avait donné des leçons de ‘savatte’ la boxe française, en m’indiquant toute la préparation physique qui va avec. Je m’y livrais quotidiennement depuis des années…
Transformé physiquement, j’avais un air décidé, mais qui cachait ma timidité naturelle et mes incertitudes face à la vie. J’étais travaillé par une libido précoce, exacerbée par certaines approches avec Gina, mon premier ‘flirt’. Et aussi par l’écoute des rodomontades de Copains d’école, plus âgés, qui se disaient très avertis, je n’avais qu’une idée : concrétiser moi aussi…
Pendant ces vacances d’été, en plus de l’aide que j’apportais à l’entretien de notre jardin, mon père m’avait obtenu d’arroser trois jardins voisins en plus du nôtre : De quoi m’acheter un vélo neuf pour ma rentrée scolaire.
Et dans l’un d’eux en août, sont arrivés les propriétaires et… Paula !
Paula, c’était une petite bonne comme on les appelait alors ! elle s’est mise à venir ‘me tenir la jambe’, expression imagée de l’époque, et je l’ai d’abord trouvée‘casse-pieds’ ! A mon corps défendant j’ai appris qu’elle avait 31 ans ( Une femme ‘mûre’ pour moi ! ) Qu’elle était Tchèque, arrivée là du fait de circonstances extraordinaires, et malgré ses efforts, elle se faisait comprendre en Français même si elle était encore fâchée avec la grammaire et les nuances de notre langue !
Ce n’était pas une beauté de catalogue, mais si j’avais eu son âge ou plus, je l’aurais trouvée ‘pas mal’ ! Petite, assez… dodue ( ! ) Le visage assez rond et un peu poupin. Des yeux noirs, très vifs. Une bouche pulpeuse, et des petites dents très blanches qui m’a fait apprécier ses sourires… Cheveux noirs et lisses, soigneusement nattés. Une peau laiteuse qu’elle n’avait pas le temps d’exposer au soleil ! Une poitrine que je jugeais conséquente et appétissante car visiblement pas enfermée dans un soutien gorge sous la blouse fine de travail, qui plaquait aussi des fesses rebondies qui m’ont fait loucher plus d’une fois…
« Petite cause grands effets » pendant ses créneaux de repos, elle ne sortait pas, le justifiant pas :
-Dehors, des sales types pas respecter Paula…
Et ensuite :
-Patronne prête son vélo, toi m’apprendre à quatre (16) heures ?
Dés lors, vous pouvez imaginer la scène : Elle en perdition, comme ‘une poule qui a trouvé un couteau’ perchée sur ce vieux ‘tacot’, dans les allées cimentées du jardin. Moi, tenant le guidon d’une main, et l’autre sous la selle. Elle, collée à moi en gloussant, alors que j’essayais de l’équilibrer…
Après midi brûlant, phéromones de son corps en sueur ? j’étais bien sûr en érection quasi douloureuse !
Je m’étais lancé ce défi d’en ‘niquer’ une ( mots de là bas ! ) à la première occasion. J’ai commencé par me dire :
-T’es pas cap…
Me collant encore plus à elle, la main quittant la selle pour devenir baladeuse…et l’instant d’après, lui faisant des bisous, sur la joue, cherchant une bouche qu’elle dérobait en se tournant sur le côté. Je me suis alors rabattu sur le cou ! Qui a justement dit : « C’est fou, les baisers dans l’cou… »
Elle était rouge, elle avait chaud, sa blouse était collée par la transpiration… ses seins un peu lourds, sans soutien gorge tressautaient, les pointes assombrissaient la blouse sous laquelle elles dansaient… Pari de plus en plus osé, ma main a quitté le guidon et est venue en caresser un…par-dessus la blouse ! Et l’autre main, lui ‘pelotait’ carrément les fesses…
Elle piaillait, se fâchait :
-Petit cochon…pas bien çà…
Mais s’affolait dés que je la lâchais pour la laisser rouler seule :
-Non ! Tenir moi…toi ‘reprendre moi’ (sic)
Et je la reprenais…dans mes bras !
Tout cela par épisodes, entre deux changements de place du tuyau d’arrosage. A la fin, elle est partie, fâchée, en maugréant dans sa langue !
Je m’en suis voulu, après coup. Physiologiquement elle aurait pu être ma Mère…Et, je n’avais aucun scrupule ni retenue avec elle, je me suis dit :
-C’est parce que c’est une ‘Bonne’ que je fais çà ? Elle mérite mon respect autant qu’une autre…
Serments qui volent, et qui s’envolent… dés que revient la tentation !
Le lendemain après midi, elle m’a hélé du grillage qui séparait les deux jardins :
-Tout à l’heure, tu apprends à moi ? Si toi gentil, moi progrès, et Paula t’embrasse…après !
Au lieu de descendre à la plage après l’arrosage, je suis allé la retrouver. Toujours pas ‘gentil’ je l’ai encore plus cajolée, serrée de prés, l’embrassant…où je pouvais poser mes lèvres, et ma main a encore plus osé…
Elle s’est insinuée dans la blouse pour pétrir son gros ‘Néné’… ce qui l’a fait piailler encore plus, car on tanguait. Des zigs et des zags qui lui faisaient dire :
-Arrêtes, petit cochon…moi, jamais apprendre comme çà !
A l’arrêt, au fond du jardin, juste derrière la cabane à outils, je l’ai prise dans mes bras :
-Donnes moi le baiser promis ?
-Toi pas mériter…
Mais elle n’a pu en dire plus, mes lèvres étaient sur sa bouche qui ne s’est pas dérobée…Elle a dit après :
-Oh ! Toi, tu sais…déjà fait, hein ? Petit cochon !
Elle était molle dans mes bras maintenant, un défi terrible m’a traversé l’esprit. Je lui ai dit, la voix rauque, à la fois comminatoire et pas très assurée :
-Viens dans la cabane avec moi !
J’ai ouvert la porte, main sur ses reins, je l’y ai poussée : Elle savait bien ce que je voulais... Elle avait du y penser, car ses patrons étaient à un bridge, ce soir là !
Je savais qu’il y avait une grosse bâche pliée en quatre sur l’étagère du fond. La porte refermée, il a d’abord fait sombre mais mes yeux se sont vite fait à cette demi obscurité. De plus, il y avait un rai de lumière qui tombait du haut de la porte, mal jointée .J’ai posé la bâche au sol, l’ai dépliée…et sans un mot, on s’est allongés !
Je l’ai encore embrassée longuement, mettant la langue cette fois, comme avec Gina…ma main baladeuse s’est promenée, a relevé la blouse. Elle s’est un peu dégagée, a dégrafé les boutons…J’ai enlevé mon short et mon tricot. Elle a aidé ma main à faire glisser sa culotte, et elle m’a aidé à enlever mon slip : nous étions nus et mon sexe collé à sa chair brûlante !
Je retrouve en moi, tout ce que j’ai pensé durant toute la corrida :
-‘P’.. ! Çà y est…elle veut bien : j’vais la ’niquer’…’p’… ! Ses ‘nichons’ qu’est-ce qu’y sont gros… un peu mous ? C’est pas Gina ! mais çà fait rien, j’vais lui ‘bouffer’ !
J’entendais sa respiration mais comme moi, elle se taisait. J’ai encore pensé :
-‘P…’ ! J’ai la main dessus ( son sexe !) C’est chaud et mouillé…comme Gina, mais plus écarté ( mon doigt s’y était glissé !)…’P…’ ! Maintenant c’est le ‘Zob’ que j’vais y rentrer !
Je me suis mis sur elle : elle n’avait plus le même visage…dans ce rai de lumière qui l’éclairait en plein, çà m’a fait presque peur (!) mais j’étais déjà entre ses cuisses, ma main a guidé mon sexe, il est entré comme dans du beurre : J’étais en elle !
Elle a eu un gros soupir, moi j’ai pensé :
-Facile…’P’… ! C’est chaud, c’est bon…
Mais je ne bougeais pas, et elle a dit, voix rauque :
-Il faut toi, bouger…çà, toi pas encore fait, hein ?
[ Çà devait encore plus l’exciter !]
M’est revenu à l’esprit, les ‘conneries’ des deux Dadais de mon école : « Tu rentres, tu sors, çà fait ressort… »
J’ai failli sortir à tout de bon en reculant trop, follement excité…Ah ! Ce va et vient !
Ses mains crispées sur mes reins, elle retenait mes élans, exagérés, mais déjà je…jouissais en éructant tout en pensant :
-C’est autre chose que maillot contre maillot
[ Le frotti frotta, avec Gina ! ]
Et une joie indescriptible, mêlée de fierté m’a fait murmurer :
-Qu’est-ce que c’est bon !
Et penser :
-‘P…’ ! J’ai déchargé dans le ventre d’une femme…
Satisfait, sexe encore durci, je me suis laissé aller sur elle, osant penser encore :
-‘P…’ ! Avec Gigi, çà aurait été encore meilleur, j’en suis sûr !
[ Ingratitude humaine ! ]
C’est alors qu’elle m’a dit de cette voix que je ne connaissais pas encore :
-Toi, content, hein ! petit cochon…mais à Paula maintenant : Toi mettre sur ton dos, moi dessus…
Et les gestes aidant, je me suis retrouvé dessous, et elle toujours embrochée, au-dessus de moi. Relevée sur les coudes elle a commencé à se tortiller, marmonnant, la voix rauque :
-Toi, toujours raide, c’est bon pour Paula…
Je voyais son visage crispé, les yeux un peu retournés : j’ai encore évoqué celui de Gina ! Elle s’est mise à danser de façon désordonnée, et avec un recul trop grand, mon sexe est sorti ; elle l’a remis avec sa main, disant :
-Toi, mets les mains sur mes fesses, empêches ‘le’ sortir !
Puis elle s’est mise à gémir, à crier presque, dans sa langue…J’étais tellement sidéré que j’ai failli ‘débander’… mais pour la première fois, et depuis il en a été toujours ainsi, j’ai pensé :
-Restes raide, ‘p…’ ! Qu’elle prenne son plaisir…après tu la retourneras, pour toi !
Ce que j’ai fait, quand elle s’est abattue sur moi, disant :
-Bon ! … bon ! pour Paula…
Cela a vraiment duré cette fois, et j’ai pris conscience de tout ce qu’il y a d’exaltant à besogner une femme…être en elle, dominateur ( on le croit !) La possédant à sa guise, à son rythme : lent, rapide, à grands coups pour s’enfoncer, puis en se retirant lentement, et en s’enfonçant avec un bruit de gorge et cette pensée:
-‘P’ ! Qu’est-ce que c’est bon’ !
A la fin, une chevauchée à cru, qu’on ne domine plus : Le rut d’une bête qui jouit bruyamment…suivi d’un abattement :
« Seuls la Femme et le coq chantent après le coït… »
Et comme pour Gina ( quand çà ‘partait’ dans le slip ou le maillot !) qui se demandait ce qui m’arrivait, j’ai embrassé Paula, sur les yeux, sur le bout du nez, puis la bouche, langues mêlées…Elle a apprécié, disant essoufflée :
-Toi, gentil…bon coq aussi…Paula pas pris plaisir comme çà, depuis Jan ! deux ans déjà, l’autre, Hans, gros cochon pensé qu’à lui !
Avec elle, il y avait beaucoup de nuances de Petit à … gros cochon !
Et moi, comme Gabin, je me suis dit : « Maintenant, je sais… »
Mais comme lui, je ne savais … presque rien ! Ce soir là, j’ai été dans la ‘lune’… au propre et au figuré !
………………………………………………………………………………………………………………….
Avec Paula déjà, il y a eu d’autres péripéties contées dans une autre épisode…
Jan Goure
Transformé physiquement, j’avais un air décidé, mais qui cachait ma timidité naturelle et mes incertitudes face à la vie. J’étais travaillé par une libido précoce, exacerbée par certaines approches avec Gina, mon premier ‘flirt’. Et aussi par l’écoute des rodomontades de Copains d’école, plus âgés, qui se disaient très avertis, je n’avais qu’une idée : concrétiser moi aussi…
Pendant ces vacances d’été, en plus de l’aide que j’apportais à l’entretien de notre jardin, mon père m’avait obtenu d’arroser trois jardins voisins en plus du nôtre : De quoi m’acheter un vélo neuf pour ma rentrée scolaire.
Et dans l’un d’eux en août, sont arrivés les propriétaires et… Paula !
Paula, c’était une petite bonne comme on les appelait alors ! elle s’est mise à venir ‘me tenir la jambe’, expression imagée de l’époque, et je l’ai d’abord trouvée‘casse-pieds’ ! A mon corps défendant j’ai appris qu’elle avait 31 ans ( Une femme ‘mûre’ pour moi ! ) Qu’elle était Tchèque, arrivée là du fait de circonstances extraordinaires, et malgré ses efforts, elle se faisait comprendre en Français même si elle était encore fâchée avec la grammaire et les nuances de notre langue !
Ce n’était pas une beauté de catalogue, mais si j’avais eu son âge ou plus, je l’aurais trouvée ‘pas mal’ ! Petite, assez… dodue ( ! ) Le visage assez rond et un peu poupin. Des yeux noirs, très vifs. Une bouche pulpeuse, et des petites dents très blanches qui m’a fait apprécier ses sourires… Cheveux noirs et lisses, soigneusement nattés. Une peau laiteuse qu’elle n’avait pas le temps d’exposer au soleil ! Une poitrine que je jugeais conséquente et appétissante car visiblement pas enfermée dans un soutien gorge sous la blouse fine de travail, qui plaquait aussi des fesses rebondies qui m’ont fait loucher plus d’une fois…
« Petite cause grands effets » pendant ses créneaux de repos, elle ne sortait pas, le justifiant pas :
-Dehors, des sales types pas respecter Paula…
Et ensuite :
-Patronne prête son vélo, toi m’apprendre à quatre (16) heures ?
Dés lors, vous pouvez imaginer la scène : Elle en perdition, comme ‘une poule qui a trouvé un couteau’ perchée sur ce vieux ‘tacot’, dans les allées cimentées du jardin. Moi, tenant le guidon d’une main, et l’autre sous la selle. Elle, collée à moi en gloussant, alors que j’essayais de l’équilibrer…
Après midi brûlant, phéromones de son corps en sueur ? j’étais bien sûr en érection quasi douloureuse !
Je m’étais lancé ce défi d’en ‘niquer’ une ( mots de là bas ! ) à la première occasion. J’ai commencé par me dire :
-T’es pas cap…
Me collant encore plus à elle, la main quittant la selle pour devenir baladeuse…et l’instant d’après, lui faisant des bisous, sur la joue, cherchant une bouche qu’elle dérobait en se tournant sur le côté. Je me suis alors rabattu sur le cou ! Qui a justement dit : « C’est fou, les baisers dans l’cou… »
Elle était rouge, elle avait chaud, sa blouse était collée par la transpiration… ses seins un peu lourds, sans soutien gorge tressautaient, les pointes assombrissaient la blouse sous laquelle elles dansaient… Pari de plus en plus osé, ma main a quitté le guidon et est venue en caresser un…par-dessus la blouse ! Et l’autre main, lui ‘pelotait’ carrément les fesses…
Elle piaillait, se fâchait :
-Petit cochon…pas bien çà…
Mais s’affolait dés que je la lâchais pour la laisser rouler seule :
-Non ! Tenir moi…toi ‘reprendre moi’ (sic)
Et je la reprenais…dans mes bras !
Tout cela par épisodes, entre deux changements de place du tuyau d’arrosage. A la fin, elle est partie, fâchée, en maugréant dans sa langue !
Je m’en suis voulu, après coup. Physiologiquement elle aurait pu être ma Mère…Et, je n’avais aucun scrupule ni retenue avec elle, je me suis dit :
-C’est parce que c’est une ‘Bonne’ que je fais çà ? Elle mérite mon respect autant qu’une autre…
Serments qui volent, et qui s’envolent… dés que revient la tentation !
Le lendemain après midi, elle m’a hélé du grillage qui séparait les deux jardins :
-Tout à l’heure, tu apprends à moi ? Si toi gentil, moi progrès, et Paula t’embrasse…après !
Au lieu de descendre à la plage après l’arrosage, je suis allé la retrouver. Toujours pas ‘gentil’ je l’ai encore plus cajolée, serrée de prés, l’embrassant…où je pouvais poser mes lèvres, et ma main a encore plus osé…
Elle s’est insinuée dans la blouse pour pétrir son gros ‘Néné’… ce qui l’a fait piailler encore plus, car on tanguait. Des zigs et des zags qui lui faisaient dire :
-Arrêtes, petit cochon…moi, jamais apprendre comme çà !
A l’arrêt, au fond du jardin, juste derrière la cabane à outils, je l’ai prise dans mes bras :
-Donnes moi le baiser promis ?
-Toi pas mériter…
Mais elle n’a pu en dire plus, mes lèvres étaient sur sa bouche qui ne s’est pas dérobée…Elle a dit après :
-Oh ! Toi, tu sais…déjà fait, hein ? Petit cochon !
Elle était molle dans mes bras maintenant, un défi terrible m’a traversé l’esprit. Je lui ai dit, la voix rauque, à la fois comminatoire et pas très assurée :
-Viens dans la cabane avec moi !
J’ai ouvert la porte, main sur ses reins, je l’y ai poussée : Elle savait bien ce que je voulais... Elle avait du y penser, car ses patrons étaient à un bridge, ce soir là !
Je savais qu’il y avait une grosse bâche pliée en quatre sur l’étagère du fond. La porte refermée, il a d’abord fait sombre mais mes yeux se sont vite fait à cette demi obscurité. De plus, il y avait un rai de lumière qui tombait du haut de la porte, mal jointée .J’ai posé la bâche au sol, l’ai dépliée…et sans un mot, on s’est allongés !
Je l’ai encore embrassée longuement, mettant la langue cette fois, comme avec Gina…ma main baladeuse s’est promenée, a relevé la blouse. Elle s’est un peu dégagée, a dégrafé les boutons…J’ai enlevé mon short et mon tricot. Elle a aidé ma main à faire glisser sa culotte, et elle m’a aidé à enlever mon slip : nous étions nus et mon sexe collé à sa chair brûlante !
Je retrouve en moi, tout ce que j’ai pensé durant toute la corrida :
-‘P’.. ! Çà y est…elle veut bien : j’vais la ’niquer’…’p’… ! Ses ‘nichons’ qu’est-ce qu’y sont gros… un peu mous ? C’est pas Gina ! mais çà fait rien, j’vais lui ‘bouffer’ !
J’entendais sa respiration mais comme moi, elle se taisait. J’ai encore pensé :
-‘P…’ ! J’ai la main dessus ( son sexe !) C’est chaud et mouillé…comme Gina, mais plus écarté ( mon doigt s’y était glissé !)…’P…’ ! Maintenant c’est le ‘Zob’ que j’vais y rentrer !
Je me suis mis sur elle : elle n’avait plus le même visage…dans ce rai de lumière qui l’éclairait en plein, çà m’a fait presque peur (!) mais j’étais déjà entre ses cuisses, ma main a guidé mon sexe, il est entré comme dans du beurre : J’étais en elle !
Elle a eu un gros soupir, moi j’ai pensé :
-Facile…’P’… ! C’est chaud, c’est bon…
Mais je ne bougeais pas, et elle a dit, voix rauque :
-Il faut toi, bouger…çà, toi pas encore fait, hein ?
[ Çà devait encore plus l’exciter !]
M’est revenu à l’esprit, les ‘conneries’ des deux Dadais de mon école : « Tu rentres, tu sors, çà fait ressort… »
J’ai failli sortir à tout de bon en reculant trop, follement excité…Ah ! Ce va et vient !
Ses mains crispées sur mes reins, elle retenait mes élans, exagérés, mais déjà je…jouissais en éructant tout en pensant :
-C’est autre chose que maillot contre maillot
[ Le frotti frotta, avec Gina ! ]
Et une joie indescriptible, mêlée de fierté m’a fait murmurer :
-Qu’est-ce que c’est bon !
Et penser :
-‘P…’ ! J’ai déchargé dans le ventre d’une femme…
Satisfait, sexe encore durci, je me suis laissé aller sur elle, osant penser encore :
-‘P…’ ! Avec Gigi, çà aurait été encore meilleur, j’en suis sûr !
[ Ingratitude humaine ! ]
C’est alors qu’elle m’a dit de cette voix que je ne connaissais pas encore :
-Toi, content, hein ! petit cochon…mais à Paula maintenant : Toi mettre sur ton dos, moi dessus…
Et les gestes aidant, je me suis retrouvé dessous, et elle toujours embrochée, au-dessus de moi. Relevée sur les coudes elle a commencé à se tortiller, marmonnant, la voix rauque :
-Toi, toujours raide, c’est bon pour Paula…
Je voyais son visage crispé, les yeux un peu retournés : j’ai encore évoqué celui de Gina ! Elle s’est mise à danser de façon désordonnée, et avec un recul trop grand, mon sexe est sorti ; elle l’a remis avec sa main, disant :
-Toi, mets les mains sur mes fesses, empêches ‘le’ sortir !
Puis elle s’est mise à gémir, à crier presque, dans sa langue…J’étais tellement sidéré que j’ai failli ‘débander’… mais pour la première fois, et depuis il en a été toujours ainsi, j’ai pensé :
-Restes raide, ‘p…’ ! Qu’elle prenne son plaisir…après tu la retourneras, pour toi !
Ce que j’ai fait, quand elle s’est abattue sur moi, disant :
-Bon ! … bon ! pour Paula…
Cela a vraiment duré cette fois, et j’ai pris conscience de tout ce qu’il y a d’exaltant à besogner une femme…être en elle, dominateur ( on le croit !) La possédant à sa guise, à son rythme : lent, rapide, à grands coups pour s’enfoncer, puis en se retirant lentement, et en s’enfonçant avec un bruit de gorge et cette pensée:
-‘P’ ! Qu’est-ce que c’est bon’ !
A la fin, une chevauchée à cru, qu’on ne domine plus : Le rut d’une bête qui jouit bruyamment…suivi d’un abattement :
« Seuls la Femme et le coq chantent après le coït… »
Et comme pour Gina ( quand çà ‘partait’ dans le slip ou le maillot !) qui se demandait ce qui m’arrivait, j’ai embrassé Paula, sur les yeux, sur le bout du nez, puis la bouche, langues mêlées…Elle a apprécié, disant essoufflée :
-Toi, gentil…bon coq aussi…Paula pas pris plaisir comme çà, depuis Jan ! deux ans déjà, l’autre, Hans, gros cochon pensé qu’à lui !
Avec elle, il y avait beaucoup de nuances de Petit à … gros cochon !
Et moi, comme Gabin, je me suis dit : « Maintenant, je sais… »
Mais comme lui, je ne savais … presque rien ! Ce soir là, j’ai été dans la ‘lune’… au propre et au figuré !
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Avec Paula déjà, il y a eu d’autres péripéties contées dans une autre épisode…
Jan Goure

Ven 13 Jan 2006, 18:15 par
jan goure sur Les liaisons sulfureuses
Le journal d'une séductrice
Le numéro d’envoi n’était pas le sien.
Il ne l’avait pas fait, mais j’avais reçu un courrier.
Déboussolée, j’ai enlevé le message, supprimé, effacé.
Le jeu avait été compris, les règles étaient établies, mais pas avec le bon partenaire. Je me faisais piéger.
Il avait lu le journal d’une séductrice et trouvé le jeu à son goût.
Je le regarde encore, j’essaye de reconnaître.
Le gland est découvert, brillant, rond, tentant. Son sexe droit, sans courbe, légèrement veiné.
J’essaye de me souvenir de cette description entre ma bouche, les images se reflètent sur ma langue.
Brillant, rond, tentant
Droit, sans courbe, légèrement veiné
Je le laisse descendre entre mes lèvres au fil de mes pensées.
Je zoome sur l’image
Un goût sucré, une légère amertume, il s’est parfumé.
Le pouce, l’index et le majeur tiennent l’ordre envoyé. Les ongles manucurés, la peau cuivrée, des mains jeunes encore, larges, des doigts moyens, pas très fins.
Les mains qui passent sur mes hanches, les frissons de l’image passent sur ma peau.
Des ongles manucurés, une peau cuivrée, jeune, une paume large. Quelques centimètres de chaleur qui caressent mon corps, lentement, j’hésite. Les mains sont trop grandes ou trop petites, trop longues ou trop courtes.
Son bracelet montre griffe mes seins quand il les palpe, je me contracte sous le métal froid, j’entends le tic tac à côté de mes tempes quand il se redresse en moi. 17h34 selon l’heure que je vois sur la photo.
A 17h34, un inconnu a bandé pour moi.
Je fouille dans ma mémoire, je retourne le passé, je laboure mon esprit, je pénètre mes souvenirs
Comme ce sexe qui s’offre à mes yeux, ce sexe passé qui revient entre mes reins me retourner.
Me faire trembler.
M’obéir. Par surprise.
Il ne l’avait pas fait, mais j’avais reçu un courrier.
Déboussolée, j’ai enlevé le message, supprimé, effacé.
Le jeu avait été compris, les règles étaient établies, mais pas avec le bon partenaire. Je me faisais piéger.
Il avait lu le journal d’une séductrice et trouvé le jeu à son goût.
Je le regarde encore, j’essaye de reconnaître.
Le gland est découvert, brillant, rond, tentant. Son sexe droit, sans courbe, légèrement veiné.
J’essaye de me souvenir de cette description entre ma bouche, les images se reflètent sur ma langue.
Brillant, rond, tentant
Droit, sans courbe, légèrement veiné
Je le laisse descendre entre mes lèvres au fil de mes pensées.
Je zoome sur l’image
Un goût sucré, une légère amertume, il s’est parfumé.
Le pouce, l’index et le majeur tiennent l’ordre envoyé. Les ongles manucurés, la peau cuivrée, des mains jeunes encore, larges, des doigts moyens, pas très fins.
Les mains qui passent sur mes hanches, les frissons de l’image passent sur ma peau.
Des ongles manucurés, une peau cuivrée, jeune, une paume large. Quelques centimètres de chaleur qui caressent mon corps, lentement, j’hésite. Les mains sont trop grandes ou trop petites, trop longues ou trop courtes.
Son bracelet montre griffe mes seins quand il les palpe, je me contracte sous le métal froid, j’entends le tic tac à côté de mes tempes quand il se redresse en moi. 17h34 selon l’heure que je vois sur la photo.
A 17h34, un inconnu a bandé pour moi.
Je fouille dans ma mémoire, je retourne le passé, je laboure mon esprit, je pénètre mes souvenirs
Comme ce sexe qui s’offre à mes yeux, ce sexe passé qui revient entre mes reins me retourner.
Me faire trembler.
M’obéir. Par surprise.
Dim 25 Sep 2005, 12:47 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur reins

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Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
La citation d'amour
La mesure de l'amour, c'est d'aimer sans mesure.
saint Augustin.
saint Augustin.
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