Sade's girls

Au 69 de la rue des roses, la discussion était animée entre Bridget et ses deux amies, kate et Mary.

- Mais tu n’y penses pas,moi,en club libertin, tu es complétement folle!

- Oh si,j’y pense, et même je fais plus que ça,j’ai déjà commencé les préparatifs avec Kate,et en accord avec ton futur mari,qui soit dit en passant,à trouvé l’idée d’enterrer ta vie de jeune fille au "Sade" excellente!

- Quoi? Ca m’étonnerait fort que Pete accepte que je me rende dans un endroit pareil, rien que le nom me donne la chair de poule!

- Oh tu me fais rire vierge Mary, oui ça s’appelle "Le Sade", en référence au Marquis,précurseur du libertinage,et dont le mot sadique vient de son nom,mais personne ne va être torturé,ni assassiner,tout se passe entre adultes consentants,et nul n’est obligé de faire quoi que ce soit!

- C’ est vrai,je ne vois pas pourquoi tu en fais toute une histoire,tu ne nous connais pas encore aprés toutes ces années,tu crois que l’on t’emmenerait dans un lieu où il y aurait un risque pour ta santé ou pour ta vie,et la nôtre aussi soit dit en passant, la confiance régne!

- Mais non,je ne doute pas de vous deux,mais seulement je suis quelqu’un de très pudique,alors qu’est ce que j’irai faire dans ce lieu de débauche,ce n’est pas pour moi!

- Bon stop mère Thérésa,samedi en huit,nous irons enterrer ta vie de jeune fille au "Sade", un point c’est tout,et on va s’éclater,fin de la discussion!

Sur ces mots,Kate et Bridget se retirèrent en laissant Mary à ses réflexions. Elles avaient encore du pain sur la planche pour faire de cette soirée un moment mémorable.

Le samedi suivant,nos trois amies se mirent en route pour "Le Sade",qui se trouvait à Fallusbourg,un petit village isolé,à 50 kilométres de Petite Pucelle. Elles étaient très excitées à l’idée de connaître enfin ce lieu en vrai,car une brochure peut donner une idée,certes,mais y entrer est une toute autre chose. Même Mary,avec qui ça avait été la croix et la bannière pour lui faire accepter de porter la tenue très sexy que Kate et bridget lui avait choisi. Il faut dire qu’elles s’étaient toutes trois transformées en vamps.
Kate arborait une robe bleue ultra courte,cintrée à la taille,au dos nu vertigineux s’arrêtant à la naissance de ses fesses,des bas résille au bord de dentelle bleue et des escarpins de la même couleur.
Bridget quant à elle,portait une mini robe en latex noire lacée dans le dos,des bas avec une couture à l’arrière, ajoutant une note de charme à ses jambes au galbe parfait. Ses longs cheveux blonds formaient une couronne de tresses autour de son doux visage,cette coiffure sage contrastait avec le côté trash de sa tenue.
Et Mary,avait une robe blanche,transparente aux endroits stratégiques,très courte aussi,des bas blancs avec des flots rouges sur la jarretière,et des chaussures à talons blanches bordées de rouge.
Ses deux amies avaient éclater de rire devant sa mine horrifiée quand elle s’était vue dans le miroir,et avaient lever les yeux au ciel en disant " nonne un jour,nonne toujours".

Elles n’eurent pas de mal à trouver le club qui se trouvait dans une impasse appelée "chemin luxuriant",éclairée par des ampoules rouges plantées sur des lampadaires en forme de fourches.
Il fallait ouvrir la vitre de la voiture pour appuyer sur un bouton,et deux portes sculptées s’ouvraient tel le battement des ailes d’un ange prêt pour l’envol.
Elles pénétrèrent dans l’antre du mâle. Le propriétaire de l’établissement, François Xavier Delamol,les reçut,trop heureux de compter trois superbes créatures parmi sa clientéle,et leur fit visiter son domaine.
Dés l’entrée,le décor était planté,semi obscurité,lampes amovibles aux murs,simulant les bougies des châteaux des temps jadis, en fond sonore,"Sadeness" d’énigma.
Tout le personnel était habillé de la même façon,perruqueblanche coiffée en queue de cheval basse,attachée par un flot noir,frac gris serti d’un liseré bleu à la marquis de Sade.
La partie bar était,elle un peu plus éclairée,il y avait une piste de danse avec au milieu une cage à l’intérieur de laquelle se trouvait une femme en guêpière rouge,qui dansait de façon lascive mais avec classe,elle était d’une grande beauté,un corps parfait,de longs cheveux noirs,mais c’est surtout son visage qui interpellait,car elle avait un regard envoutant dans lequel on plongeait comme dans un abîme de sensualité où on pouvait y lire une promesse d’allégresse.
Au plafond,des miroirs qui donnaient une impression d’être dédoublés quelque peu déroutante,mais excitante après tout.
Au fond de la pièce,un petit escalier menait à un couloir aux multiples portes.
Chaque espace avait sa fonction,et un nom ou une devise écrits sur la porte,il y avait donc,la salle Homo,"les nuits de Sodome", la salle SM,"à l’est de Gomore",équipée de tout ce dont on peut imaginer: Croix de Saint André,carcan,fouets,cravaches,cannes,pinces tétons,menottes,lanières,plumeaux,etc...,la salle entre filles,"love be tender",la salle par douze"plus on est de fous,plus on jouit",et la salle "speed sexting",où des hommes en érection constante étaient à la disposition de ces messieurs,dames,pour assouvir tous leurs désirs.
Il leur présenta les habitués,et parmi eux,Coco Siredi,impuissant depuis qu’il s’était fait suçer par une bombe sexuelle qui s"était avérée être un transexuel,Henry Lenuck,monté à faire palir Rocco Siffredi de jalousie,et contre attente,Jésus Latté,un curé qui venait ici dans le but de sauver les âmes pécheresses des affres de la luxure.
On le laissait entrer car cela amusait les clients et attirait les curieux qui voulaient se rendre compte par eux mêmes,et vérifier si c’était un vrai curé ou un client déguisé,ou un membre du personnel payé pour amuser la galerie. Il y avait aussi une cliente qui aimait se grimer en nonne délurée,et qui se faisait appeler "soeur tebaise.com"
Nos trois amies étaient émerveillées,cet endroit suintait la sensualité et l’érotisme de toutes ses portes,tout était fait pour vous inciter à l’allégresse.
Elles se dirigèrent vers le bar,et s’assirent sur les sièges disposés devant,qui formaient des mains,l’assise étant la paume,et le dossier les doigts,ils étaient très confortable et diffusaient une douce chaleur qui vous détendait instantanément.
Le barman leur présenta la carte des cocktails,et elles choisirent un "sex on the bitch" pour Bridget,un"pine collamoi" pour Kate,et un"virgin moridio" pour Mary.
Après deux verres,il était temps de commencer la fête et elles se dirigèrent vers la piste de danse,dansèrent de façon sensuelle au milieu des habitués qui se délectaient de ce spectacle. Soeur Tebaise.com leur fit son numéro ,exhibant un vibromasseur,disant "Gode n’est jamais loin de moi" en éclatant de rire.
Le curé,quant à lui,tentait toujours de convaincre les libertins de renoncer au vice et de retrouver des comportements plus sains,autant vous dire qu’il prêchait dans le désert.
Bridget tourna la tête et cru être frappée par la foudre quand son regard croisa celui de l’homme qui venait d’arriver,il était très beau,un corps sans défaut dans son pantalon noir,sa chemise blanche et son petit gilet ajusté par dessus,son visage à moitié dissimulé par un masque vénitien qui laissait filtrer ses yeux pénétrants était époustouflant,ses cheveux qui lui tombaient en boucles sur la nuque donnaient envie d’y enfoncer les doigts.Il s’avança sur la piste sans quitter Bridget des yeux,alla droit vers elle,la prit par la taille et ils entamèrent une danse très sensuelle comme s’ils étaient amants depuis longtemps alors qu’ils se voyaient pour la première fois,c’étaité electrique entre eux. Il lui tendit la main,elle y mit la sienne et ils quittèrent la piste pour rejoindre la salle SM.
Il l’attira à lui et ils échangèrent un baiser torride,il embrassa son cou,ses épaules et fit glisser les bretelles de sa robe,lui prit es poignets qu’il attacha avec une lanière de cuir,fit descendre une barre de suspension du plafond et y fixa l’ attache. Bridget se retrouva les bras attachés au dessus de la tête. Il lui banda les yeux,sortit son I pod,lui mit les écouteurs sur les oreilles et la chanson"crazy in love" de Beyoncé se fit entendre.
Il lui ôta sa robe et son string,admira le spectacle de sa silhouette parfaite,mince et ferme,se plaça derrière elle,déposa de petits baisers sur sa nuque,attrapa un plumeauet parcouru tout son corps avec,la faisant frissonner,puis il s’empara d’un fouet aux lanières surmontées de petites perles,il s’amusa à alterner caresses et petits coups de fouet,veillant à garder ce lien ténu entre plaisir et douleur. Bridget n’avait jamais connu de telles sensations auparavant,et tandis que dans ses oreilles résonnait"haunted" de la même beyoncé,son bel inconnu se délectait de ce que sa prisonnière soit aussi réceptive. Il prit son visage entre ses mains et écrasa sa bouche sur la sienne en un baiser sauvage,puis du bout de la langue parcouru son cou,descendit jusqu’à la naissance de ses seins,en suçota alternativement ses tétons,les mordilla,la faisant gémir et se contorsionner. l’excitation étant à son paroxysme,elle émit un râle qui se voulait uns supplique pour qu’il la prenne enfin. Il se recula,saisit une cravache, en cingla ses fesses,puis la fit remonter le long de sa colonne vertébrale,descendit jusqu’à son ventre qu’il frappa doucement,effleura son clitoris,provoquant un soubresaut chez sa soumise qui n’en pouvait plus de désir.Il jeta la cravache à terre,enleva son pantalon et son caleçon,mit un préservatif,la saisit par les cuisses et la pénétra d’un coup sec,lui arrachant un cri de surprise,puis se mit à la pilonner en des mouvements de va et vient de plus en plus rapides jusqu’à ce que l’orgasme la submerge tel un ras de marée emportant tout sur son passage. Bridget était dans un état second tant la jouissance fut intense,il la détacha,la prit dans ses bras,et la porta sur le lit à baldaquin qui se trouvait dans un coin de la pièce,prit un flacon de décontractant musculaire,en appliqua sur ses mains et lui frictionna les épaules et les bras,puis s’en alla.

Quand elle se réveilla,Bridget était sur un nuage de volupté. Elle s’assit sur le lit,se remémorant son torride interlude,et fut déçue de ne pas retrouver son bel inconnu à ses côtés.
Reprenant ses esprits,elle prit ses vêtements,se rhabilla,et trouva une carte où il était écrit "merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond". Elle le mit dans sa pochette et sortit de la pièce.

Pendant ce temps,ses deux amies n’étaient pas en reste,elles s’étaient attaquées au pauvre curé,avec comme objectif de lui faire découvrir les plaisirs du sexe.
Ce n’était pas une mince affaire, mais elles ne manquaient pas de persévérance ni d’arguments. Si bien qu’après plusieurs verres et minauderies,elles l’entraînèrent dans la salle SM,qui décidément attirait les foules ce soir, croisèrent Bridget qui en sortait,et lui lancèrent un regard complice.
Et ainsi,ce bon vieux Jésus Latté se trouva attaché sur la croix de Saint André avec Mary qui lui suçotait les lobes d’oreilles,et Kate qui tentait de lui faire une fellation,mais sur un sexe mou,c’est comme souffler dans un ballon crevé,il reste plat. Ceci leur inspira une chanson:
"un vieux cu, un vieux cu"
"un vieux curé de campagne"
"a retiré sa soutane"
"pour une courtisane"
"ce fut un feu de paille"
"car notre pauvre petit cureton"
"n’ayant jamais ôté son caleçon"
"ne fit pas ripaille"
"car son fusil trop chargé"
"tira avant d’avoir visé"
"dépitée notre séductrice"
"resserrant les cuisses"
"jura de ne plus jamais"
"vouloir dévergonder un curé"
Bien sûr cette ritournelle n’était pas au goût de notre prêcheur du désert,qui parvenant à se détacher,se saisit d’une cravache pour punir ces polissonnes,qui en le voyant s’exclamèrent :
- Punissez moi mon père car j’ai pêcher!
tout en relevant leurs robes,et en se penchant en avant afin d’offrir leurs fessiers à la morsure du cuir du bâton de ce pélerin de la luxure. Le cureton s’en donna à coeur joie,et les flagella à tour de rôle,leur arrachant des râles très érotiques qui le rendirent fou,et,jetant l’objet du désir,il attrapa Kate par les hanches,et la pénétra sauvagement,elle était tellement excitée qu’elle joui en criant comme une damnée pendant qu’il la pilonnait en redoublant de rudesse.
Mary,qui en avait marre de jouer les figurantes,s’écria :
-Eh Jésus,viens voir ma crêche!
en s’allongeant de manière très suggestive sur le lit,alors celui ci s’approcha,attrapa ses jambes qu’il posa de chaque côtéde ses épaules,et l’empala sans autre forme de procés en des mouvements de va et vient très lents,puis de plus en plus rythmés,de nouveau plus lents,puis plus rapides,et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il explose en elle comme l’éruption d’un volcan endormi depuis des années,et qui se réveille soudain.

La sonnerie du téléphone tira Bridget d’un sommeil lourd,elle décrocha :
-Bridget,c’est Kate,ça fait dix minutes que je suis devant ta porte,tu n’as quand même pas oublié qu’on a rendez vous chez le coiffeur,
on enterre la vie de jeune fille de Mary ce soir!

-Mais qu’est ce que tu racontes,c’était hier,on est allées au "Sade"!
-Mais c’est toi qui débloques,tu as du rêver,allez viens m’ouvrir au lieu de des bêtises!

Quand Bridget mit son trench,elle glissa machinalement ses mains dans les poches,et sentit quelque chose dans l’une d’elles,et l’en sortit,c’était une carte avec côté recto"Le Sade" écrit en lettres gothiques rouge sang,et côté verso"Merci pour cet intense moment,signé Sacha Dudémond"
Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget sur Les liaisons sulfureuses

Aventure de vacances...

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Bonjour

Chaque samedi, je viendrais relater les anecdotes de mes dernières vacances en Ecosse avec mon mari écossais.
Les superbes vacances avec mon mari, en cet été 2015.
Chaque texte sera posté à la suite du précédent.
Ainsi il sera très simple au lecteur d’avoir le repaire facilitant sa recherche.
Ce premier récit est donc le début d’une série qui, je l’espère, saura vous séduire et vous entraîner dans mes troublants excès.
Bonne découverte et bonne lecture.

Juillet à St Andrew

Cette soirée de juillet, après la visite des ruines magnifiques de la cathédrale de Saint-Andrew, nous sommes allés dans un petit restaurant.
Assis à la terrasse arrière d’un établissement plein de ce charme désuet et intemporel, la vue sur le château était de toute beauté.
Mon compagnon et moi profitions de ce climat extraordinaire et de cette lumière diaphane particulière à l’ Ecosse.
Il était vingt et une heure. Parmi les clients, il y avait trois couples, deux jeunes femmes et un monsieur seul.

Tout en mangeant, mon mari et moi bavardions. Nous avions réussi à ne pas passer la soirée dans sa famille qui le sollicite beaucoup.
Lors de nos échanges, machinalement, je regardais dans la direction du mangeur solitaire. Il portait la belle chevelure grise du quadragénaire,
Nos regards se croisèrent à quelques reprises. J’en fis pars à mon compagnon qui me fit remarquer qu’il y avait peut-être là une opportunité.
Regardant autour de moi, certaine de n’être vue que par l’inconnu, sous la table, j’écartais doucement les cuisses. Mon cœur battait fort.

J’aime être vêtue d’une jupe. Surtout en été. Je peux ainsi me sentir libre de toutes entraves vestimentaires. Ce soir-là, c’était le cas.
Une jupe courte et plissée. Sous mon T-shirt, mes tous petits seins évoluent dans une totale liberté, n’ayant pas besoin d’être soutenus.
Chaussée de baskets, je propose la silhouette de la dilettante en vacances. Mes cheveux noués en une longue natte participent encore de tout cela.
Le monsieur, lors d’un de ces mouvements de tête, se rendit rapidement compte du spectacle qui lui était offert. Cessant sa lecture.

Je croisais et décroisais mes jambes avec une exagération qui attira son attention. A présent, il louchait sous ma table tout en mangeant.
Je faisais évidemment comme si je ne me rendais compte de rien. Au bout d’une dizaine de minutes, je me levais pour aller aux toilettes.
Je voulais retirer ma culotte afin de pouvoir apprécier la satisfaction de cette situation. Opportunité qui m’excitait de plus en plus.
J’en profitais pour faire mon pissou. Quelle ne fut pas ma surprise, en sortant de la cabine, de voir l’inconnu debout devant un des deux lavabos.

En lavant mes mains, je découvris que le monsieur avait son sexe posé sur la faïence du lavabo. Avec un air des plus naturels. J’étais amusée.
Il prononça quelques mots dans un mauvais Anglais. Je fis semblant de ne rien comprendre en haussant les épaules. Sans répondre.
Je me dépêchais de me laver les mains avant de sortir des toilettes. Je revins m’asseoir pour mon aventure à mon mari.
J’avais ma petite culotte coincée dans la ceinture de ma jupe, je la rangeais dans notre petit sac à dos. L’inconnu revint s’asseoir.
Les cuisses bien écartées, le monsieur pouvait admirer ma toison pubienne de brune, épaisse et fournie. Un autre couple était arrivé.

Il me fallait ruser pour n’être vue que du monsieur. Ce dernier, faisant semblant d’être absorbé dans la lecture d’un magazine, observait avec attention.
Discrètement, je passe une main sous la table. Je commence à me toucher. L’inconnu, dont le trouble devient apparent, regarde mon manège.
Du doigt, il me montre la porte des toilettes. Je comprends l’invitation. J’en fais part à mon mari qui m’encourage à créer une nouvelle situation.
Je vous propose donc de découvrir la suite de cette étonnante aventure, dans mon récit du week-end prochain, pour ma nouvelle visite sur le forum.

A bientôt et bonne semaine.
Bises.

Isa
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Dim 07 Fév 2016, 13:18 par Isa-Belle sur Les liaisons sulfureuses

La rencontre tant attendue ( modification)

[size=24]On s’est enfin donné rendez-vous, au parc de la tête d’or, depuis le temps que j’attends ce moment. Mais avant, il me faut conter l’histoire et revenir sur mes pas.



C’était il y a si longtemps. Quinze longues années s’étaient écoulées depuis notre dernière rencontre, lorsque par un jour de chance ou de mystère je ne saurais jamais, j’ai pu admirer la photographie d’une magnifique blonde en couverture d’un célèbre magazine de mode posé sur la table basse d’une salle d’attente, celle de mon médecin traitant plus précisément. Je sursautais « Mais ce n’est pas possible elle ressemble tant à Emma »: m’étais-je dit, alors. Intrigué et pour en avoir le cœur net, j’ai appelé l’agence de mannequinat où elle travaillait et dont le nom était inscrit en bas de page.

Ce fut très difficile de convaincre la rédactrice en chef qui rétive ne voulait pas me transmettre ses coordonnées. Je dus donc lui proposer de lui transmettre les miennes allant pour cela jusqu’à la supplier. Par bonheur elle céda devant mon regard de chien battu et mes explications désespérées, et conclut en me promettant qu’elle lui communiquerait mon numéro de portable.



Je me souviens toujours d’Emma au temps où nous fréquentions le même collège, avant que ses parents ne déménageassent. C’était une adorable blondinette dont j’étais à l’époque profondément amoureux. Elle avait de magnifiques yeux gris ardoise, et deux nattes superbes qui pendaient longuement de chaque côté de son joli minois. Elle était espiègle, une vraie petite chipie, mais toujours prête à défendre les plus faibles.



Un matin où la chance se trouvait au rendez-vous de mes attentes, le portable sonna. C’était elle ! Comme d’un coup de tonnerre mon cœur ce mit à battre à tout rompre. Je perdais presque pied, mais ayant gardé encore un peu de lucidité, je pus lui parler sans trop bafouiller. Au tout début de la conversation, elle marqua sa surprise et me demanda comment j’avais fait pour la retrouver. Je lui expliquais alors le magazine et ma surprise devant la photo, puis je développais la suite. Par contre je fus sensible au fait qu’elle se souvenait toujours de moi et cela m’enchanta. Alors nous nous mîmes à évoquer les années passées, ces années d’enfance où l’on s’était si bien connu. Puis chemin faisant, s’installa une conversation plus intime durant laquelle mon cœur ne cessait de palpiter si fort que j’en suffoquais. Ce n’était pas bien grave, puisque par chance, cela ne transparaissait au téléphone. Elle se mit alors à me sa vie qui n’avait pas été si facile ses dernières années et bien moins que l’on eût pu l’imaginer. Qu’elle n’avait pas pu avoir d’enfant à la suite d’un cancer de l’utérus heureusement totalement guéri, puis un divorce douloureux d’avec un pervers narcissique qui lui avait pourri la vie cinq ans durant. Bref elle se confiait à moi et ne s’arrêtait plus tant et tant que j’eus cet étrange sentiment qu’elle serait ma future femme. De mon côté je ne savais par où commencer. Que ma vie était morne et calme, que j’étais toujours célibataire et sans enfants. Elle avait l’air étonné, et me confia tout de go qu’à l’époque, elle avait été amoureuse de moi, et je l’entendis qui en rigolait sans en être aucunement gênée. Non là jamais ! Mais jamais je n’aurai pu imaginer entendre cela. Il est vrai que j’étais à l’époque un garçon plutôt timide qui rêvait d’elle secrètement tout en m’inventant des romans, du style prince charmant sauvant la princesse aux nattes blondes.

Après de longues, elle me dit qu’elle a des choses à faire qu’elle était au regret de me laisser. Alors avant de raccrocher, je parvins à lui demander s’il l’on pouvait se rencontrer. Elle me répondit pourquoi pas ? Rendez-vous fut pris au parc de la tête d’or.





Et aujourd’hui, je suis arrivé au lieu du rendez-vous. J’appréhende, un peu, et je pense qu’elle aussi. Enfin on verra bien. Afin de nous reconnaitre, nous avions convenu que je tiendrais une fleur dans ma main... Et pas n’importe quelle fleur. La reine des fleurs. Une rose. Une rose d’une belle robe foncée, tirant presque au noir. Elle pour sa part devait s’habiller en rouge



À présent j’attends assis sur un banc assis, regardant à droite puis à gauche, puis en scrutant au loin

Je regarde ma montre, déjà cinq minutes de retard. J’aime la ponctualité, ne supporte pas les personnes qui ne le sont pas, mais malgré tout je patiente souhaitant vraiment la revoir.

Elle arrive enfin, avec ce sourire charmeur, ses cheveux couleur miel, qui flottent librement sur ses épaules, mais je ne me rappelais plus qu’elle était aussi grande, comme quoi les photos et les souvenirs sont trompeurs. Elle me tend les bras, la première, et j’accepte volontiers son geste en la serrant contre moi



Elle porte comme convenu une magnifique robe rouge éclatante........ Une beauté à en couper le souffle. [/size]
Lun 05 Oct 2015, 18:06 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Au parc de la tête d’or





On s’est enfin donné rendez-vous, au parc de la tête d’or, depuis le temps que j’attends ce moment. Mais avant, il me faut conter l’histoire et revenir sur mes pas.



C’était il y a si longtemps. Quinze longues années s’étaient écoulées depuis notre dernière rencontre, lorsque par un jour de chance ou de mystère je ne saurais jamais, j’ai pu admirer la photographie d’une magnifique blonde en couverture d’un célèbre magazine de mode posé sur la table basse d’une salle d’attente, celle de mon médecin traitant plus précisément. Je sursautais « Mais ce n’est pas possible elle ressemble tant à Emma »: m’étais-je dit, alors. Intrigué et pour en avoir le cœur net, j’ai appelé l’agence de mannequinat où elle travaillait et dont le nom était inscrit en bas de page.

Ce fut très difficile de convaincre la rédactrice en chef qui rétive ne voulait pas me transmettre ses coordonnées. Je dus donc lui proposer de lui transmettre les miennes allant pour cela jusqu’à la supplier. Par bonheur elle céda devant mon regard de chien battu et mes explications désespérées, et conclut en me promettant qu’elle lui communiquerait mon numéro de portable.



Je me souviens toujours d’Emma au temps où nous fréquentions le même collège, avant que ses parents ne déménageassent. C’était une adorable blondinette dont j’étais à l’époque profondément amoureux. Elle avait de magnifiques yeux gris ardoise, et deux nattes superbes qui pendaient longuement de chaque côté de son joli minois. Elle était espiègle, une vraie petite chipie, mais toujours prête à défendre les plus faibles.



Un matin où la chance se trouvait au rendez-vous de mes attentes, le portable sonna. C’était elle ! Comme d’un coup de tonnerre mon cœur ce mit à battre à tout rompre. Je perdais presque pied, mais ayant gardé encore un peu de lucidité, je pus lui parler sans trop bafouiller. Au tout début de la conversation, elle marqua sa surprise et me demanda comment j’avais fait pour la retrouver. Je lui expliquais alors le magazine et ma surprise devant la photo, puis je développais la suite. Par contre je fus sensible au fait qu’elle se souvenait toujours de moi et cela m’enchanta. Alors nous nous mîmes à évoquer les années passées, ces années d’enfance où l’on s’était si bien connu. Puis chemin faisant, s’installa une conversation plus intime durant laquelle mon cœur ne cessait de palpiter si fort que j’en suffoquais. Ce n’était pas bien grave, puisque par chance, cela ne transparaissait au téléphone. Elle se mit alors à me sa vie qui n’avait pas été si facile ses dernières années et bien moins que l’on eût pu l’imaginer. Qu’elle n’avait pas pu avoir d’enfant à la suite d’un cancer de l’utérus heureusement totalement guéri, puis un divorce douloureux d’avec un pervers narcissique qui lui avait pourri la vie cinq ans durant. Bref elle se confiait à moi et ne s’arrêtait plus tant et tant que j’eus cet étrange sentiment qu’elle serait ma future femme. De mon côté je ne savais par où commencer. Que ma vie était morne et calme, que j’étais toujours célibataire et sans enfants. Elle avait l’air étonné, et me confia tout de go qu’à l’époque, elle avait été amoureuse de moi, et je l’entendis qui en rigolait sans en être aucunement gênée. Non là jamais ! Mais jamais je n’aurai pu imaginer entendre cela. Il est vrai que j’étais à l’époque un garçon plutôt timide qui rêvait d’elle secrètement tout en m’inventant des romans, du style prince charmant sauvant la princesse aux nattes blondes.

Après de longues, elle me dit qu’elle a des choses à faire qu’elle était au regret de me laisser. Alors avant de raccrocher, je parvins à lui demander s’il l’on pouvait se rencontrer. Elle me répondit pourquoi pas ? Rendez-vous fut pris au parc de la tête d’or.





Et aujourd’hui, je suis arrivé au lieu du rendez-vous. J’appréhende, un peu, et je pense qu’elle aussi. Enfin on verra bien. Afin de nous reconnaitre, nous avions convenu que je tiendrais une fleur dans ma main... Et pas n’importe quelle fleur. La reine des fleurs. Une rose. Une rose d’une belle robe foncée, tirant presque au noir. Elle pour sa part devait s’habiller en rouge



À présent j’attends assis sur un banc assis, regardant à droite puis à gauche, puis en scrutant au loin

Je regarde ma montre, déjà cinq minutes de retard. J’aime la ponctualité, ne supporte pas les personnes qui ne le sont pas, mais malgré tout je patiente souhaitant vraiment la revoir.

Elle arrive enfin, avec ce sourire charmeur, ses cheveux couleur miel, qui flottent librement sur ses épaules, mais je ne me rappelais plus qu’elle était aussi grande, comme quoi les photos et les souvenirs sont trompeurs. Elle me tend les bras, la première, et j’accepte volontiers son geste en la serrant contre moi



Elle porte comme convenu une magnifique robe rouge éclatante........ Une beauté à en couper le souffle.
Lun 05 Oct 2015, 16:32 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 7

Eh bien bonjour tout le monde désolé de ce petit retard, mais le chapitre bien qu’il soit moyennement long à prit un peut plus de temps. Donc le voici bonne lecture ^^

ps : il y a un lemon donc + 14 pour ce chapitre âmes sensible à s’abstenir merci !

Chapitre 7 : Noël approche

Point de vue Haruka.

Depuis la demande en mariage, deux semaines venais de s’écouler, et les vacances d’hiver furent enfin arrivé. Il est au alentours de 21 heures, et je me retrouvait dans le salon regardant un peut la télévision. Michi prenait sa douche, et je l’attendais. Ah … Et dire que nous allons passer notre premier noël ensemble, sa me rendait heureuse et nostalgique à la fois.

Michiru – ah … Quoi de mieux qu’une bonne douche.

Elle se dirige vers moi, et vint prendre place à ma droite. Passant son bras gauche derrière mon dos, et lovant sa tête au creux de mon cou, sa main droite se posant sur ma poitrine. Je sourit, je vint allonger mon bras droit sur ses épaules, et de ma main gauche je vint tendrement lui caresser l’épaule. Mh elle sent vraiment bon, et elle est très jolie ainsi. Elle porte un petit short blanc accompagné d’un long polo beige à manche longue, elle a des petite lunettes noire sur les yeux, et ses cheveux son tiré vers la gauche. Elle est vraiment jolie comme un cœur.

Michiru – dis Haru, je peux te poser une question ?
Moi – bien sur mon ange. Qui y’a t-il ?

Je vint couper la télévision et vint mettre Michi sur mes genoux. Entourant son dos, et le caressant.

Michiru – es ce que tu pourrais venir avec moi demain, chercher mes affaires dans mon ancienne maison, même si mon père n’y est plus elle est encore ouverte.
Moi – oui pourquoi pas !
Michiru – merci ma chérie, je t’aime.
Moi – moi aussi mon trésor je t’aime et plus que tout.

Elle me sourit et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Je souris et répond à son baiser en l’allongeant sur le canapé. Ses bras s’enroulent autour de ma nuque, et ses doigts allèrent caresser ma cheveulure. Cela me rendait si heureuse de me retrouver comme sa avec elle, sans que personne ne se mettent en travers de notre petit nid d’amour.

Je laisse ma main droite monter à sa cheveulure et mes doigts s’emmêlent à l’intérieur, et de mon pouce caresse ses cheveux. Alors que je laissa ma main gauche allait gentiment caresser sa cuisse.

Nos langues se trouvent et se caressent tendrement entres elles. Je remonte doucement afin d’être à sa hauteur, et vint la serrer dans mes bras.


Michiru – hm …

Mon cœur se mit à tanguer dans ma poitrine, une monté d’adrénaline se répend dans mon corps. Notre baiser s’approfondit, et d’un geste doux, je lui caresse la joue, bougeant doucement la tête pour mieux apprécier ce bonheur qui m’enivre de plus en plus. Nos lèvres se séparent, et je vint coller mon front contre le sien, la regardant avec amour. Son nez se mit à caresser le mien, et cela m’adoucie un peut plus.

Moi – dis moi … Que veux tu que l’ont face, pour notre premier noël ensemble ?
Michiru – plein de choses, mais la première c’est de passer du temps avec toi ma jolie blonde !
Moi – ma chérie … Je t’aime tu sais.
Michiru – moi aussi Haru, et vraiment très fort !

Je lui sourit, caresse sa joue, et la regarde avec douceur. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, elle est tout ce qu’un homme et une femme puisse rêver d’avoir.

Moi – au faite …
Michiru – oui, qui y’a t-il ?
Moi – à propos de notre mariage, tu aimerais porter mon nom, et ou que moi je porte le tiens ma chérie ?

Pour simple réponse, elle ma sourit de toute ses dents, sa main se pose sur ma joue, et me la caresse.

Michiru – eh bien … En y réfléchissant, j’aimerais beaucoup porter ton nom, Michiru Tenoh. Ah … Sa fait rêver !

Je me suis mise à sourire, je lui embrasse le nez, et caresse sa chevelure.

Moi – dans ce cas … Es ce que la futur madame Tenoh m’accompagnerais demain pour allait essayer sa bague ?
Michiru – oui. Oh Haruka, si tu savait à quel point je suis heureuse.
Moi – moi aussi je suis heureuse, heureuse de pouvoir enfin t’aimer librement. Je t’aime mon trésor !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore mon amour.

On se sourit, et dans un geste doux, nos lèvres vinrent se goûter amoureusement. Je laisse tendrement mes bras la serrer contre moi, tout en prenant soin de fermer son cœur à l’intérieur du miens. Ah … Je ne sais plus quoi dire, hormis que je n’aurais jamais crue que l’amour puisse prendre une grande parti de notre vie.

Je retire doucement mes lèvres, et la dévisage avec tendresse, et remarque avec un sourire qu’elle venais de s’endormir. Je me retire doucement, et vint la prendre dans mes bras, j’étteins la petite lampe qui se trouve à côté du meuble ou réside la télévision. Et me dirige vers l’étage. Une fois dans notre chambre, je ferme la porte et vint déposer mon ange sous les draps, lui retirant les lunettes au passage et la couvrit, je caresse doucement sa joue, et parti me dévêtir. J’enfile simplement un pantalon blanc et un tee-shirt de même couleur, et parti ensuite me lover sous la couette. Je vint doucement la prendre dans mes bras, entour son dos, et murmure avant de sombrer dans le sommeil :


Moi – bonne nuit mon cœur.

Je lui embrasse le front, et m’endormis serrer contre ma douce.

Point de vue Narrateur.

Cette nuit là, Haruka tout comme Michiru laissèrent leur esprit vagabonder, mais chacune d’entre elles penser à la même chose : leur mariage ! Un événement important dans la vie d’un couple, cela ne fait peut être que quatre petit mois qu’elles son ensemble, mais chacune d’entre elle avaient ce désir d’assouvir ce dont elles rêve chaque jour depuis leur rencontre, le rêve de fonder une vrai famille, elles voulaient se sentirent plus proche l’une de l’autre, malgré leur statu Haruka et Michiru s’aiment d’un amour profond et véritable, voulant chaque jour tomber dans ce bonheur qui enlace mélodieusement leur cœur.

Point de vue Michiru.

Rah, c’est pas vrai, pourquoi sa passe pas, j’ai un de ses mal de crâne c’est horrible. Je me trouve assise sur une chaise dans la cuisine une tasse de lait chaud à la main, je viens juste de prendre de quoi calmer mon mal de crâne et espère qu’il va vite partir.

Malgré sa, je n’arrête pas de penser à Haruka, et à tout ses évènements qui se sont produit ces derniers mois. J’étais très heureuse d’avoir eu le courage de lui faire ma demande, bien que sa soit tôt j’avais cette envie de me rapprocher d’elle, et de faire partie d’elle, c’est dingue toutes mes peurs se sont envolées, j’ai même réussi a unir mon cœur au sien pendant une nuit … Une nuit magique et inoubliable pour moi, chaque jours, chaque heures ou chaque secondes, j’ai envie de me sentir encore plus prêt d’elle, et sa, il va bien falloir que je réusisse à surmonter cette peur qui me ronge depuis bien trop longtemps à cose de ce monstre. Si je veux pouvoir rester avec elle, il faut que j’y arrive. Et je me donnerais les moyens pour y arriver.

Je laisse mon regard balayer la pièce, et ce dernier tombe nez à nez sur la pendule, cette dernière affiche neuf heure, je vais donc préparer son petit déjeuner, sa m’occupera et m’aidera à penser à autre chose que ce foutu mal de tête.

J’allume la machine à café, et sorti du placard un filtre à café, que je place dans la machine, je prend une petite boîte ou il y avait d’écrit « cofee » et commence à verser un peu de cette substance marron parfumé dans le filtre, branche la machine et appuya sur open.

En attendant que son café soit prêt, je prend un plateau, et y dépose une sous tasse avec quelque tartines que je beurra légèrement. Quand le petit clique de la machine retentit, j’arrête cette dernière, prend le manche du réservoir, et alla verser le liquide noir dans la tasse. Je mit un demi sucre dans ce dernier, le remue doucement, et avec un doux sourire sur le visage, monta à l’étage. Je longe le couloir, et vint doucement entrer dans notre chambre, ou je prit soin de fermer la porte. Je pose le plateau sur la table de nuit, et met mes lunette, j’avais un peut mal aux yeux. Je sens mon téléphone vibrer, je me demande qui cela peut être à une heure si tôt, je déverrouille l’appareille, et remarque que c’est un message, avec un numéro que je ne connais pas, intriguer, j’appui sur lecture et me mit à lire le message :


« Michiru, si tu as ce message, cela veux dire que je ne me suis pas trompé de numéro, j’espère que tu vas bien, et que tu mène la vie dont tu as toujours rêver, celle d’une vie de princesse, je pense fort à toi, et sa chaque jour depuis ma séparation avec toi, je ne vais pas brusquer les choses, car je sais que pour toi sa a étaient très dure, si tu veux de plus ample informations rend toi à cette adresse, la bas ils te dirons se que tu as besoin de savoir, sache que je t’aime ma petite princesse, et espère te revoir très bientôt. »

mais … Qui c’est ? Je fut grandement surprise de ce message, relisant chaque ligne. Aucune idée, et cette adresse ? Je suis perdu d’un coup, il va falloir que j’en parle à Haruka.

Je pose mon cellulaire sur l’oreiller, et me dirige avec le sourire vers ma petite femme, avec douceur, je vint m’allonger sur elle, et la contemple. Elle est tellement belle quand elle dors, et pas que en dormant, elle est belle naturellement. Je caresse doucement sa joue, et écarte quelques mèches de ses yeux sa respiration est douce et régulière, j’ai encore du mal à croire que je me retrouve dans ce genre de situation avec elle.

Doucement ses yeux s’ouvre, et je lui sourit tendrement.


Moi – bonjour ma jolie blonde, bien dormis.
Haruka – bonjour à toi ma chérie, oui très bien, mais dis moi c’est bien la première fois que tu est levé la première.
Moi – ah ah … Il y a une première fois à tout comme on dit, et puis je me suis réveiller avec un mal de crâne atroce.
Haruka – ah … Et sa va mieux ?
Moi – bah j’ai prie de quoi calmer la douleur … Tu sais que tu est belle quand tu dors.

Elle ma sourit, sa main c’est posé sur ma joue, et avec tendresse,
je vint déposer mes lèvres sur les siennes. Mêlant mes doigts dans ses cheveux, mon corps caresse tendrement le sien, ses mains caresse mon dos, et sa langue parti jouer avec la mienne qui était d’humeur câline et sauvage. Mon cœur s’accellaire au rythme de notre baiser qui deviens de plus en plus tendre et long.


Je me sens tellement bien là comme sa, allongé sur elle, goûtant avec douceur, ce plaisir dont je ne me lace pas. Un vrai bonheur. On se détachent doucement, et nos yeux se happent, s’attachent et se dévorent, sa main se pose sur ma joue et ses doigts caressent ma peau.


Haruka – mh … J’aime beaucoup ce côté là de toi !
Moi – lequel mon ange, celui qui se sent timide ou alors celui qui prend les devant ?
Haruka – celui qui prend les devant.
Moi – dans ce cas, je vais tout faire pour ne pas décevoir ma petite femme chérie.

Elle eu un grand sourire, sourire ou sous entendue se montrer, je lui caresse les lèvres la dévisageant avec intensité. Mon dieu c’est … C’est impressionnant à quel point mon cœur bat vite, je sens ses mains passer sous mon polo et ses main caressent mon dos.

Ses mains son si douce, c’est vraiment agréable d’être caressé par elle. Je vint lui embrasser le front, et descend doucement laissant mes lèvres glisser le long de son nez. Arrivé à ses lèvres que j’aime embêter, je la regarde dans les yeux, les siens me caresse, et l’un deux me fait un clin d’oeil, oh Haruka c’est dingue cette envie que j’ai de pousser les limites, ton nez caresse le mien, et tendrement je vint lui mordre ses lèvres, sortant ma langue pour laisser une trace de mon passage sur sa bouche, je voie sa langue sortir et s’emparer de la mienne. Nos lèvres ne se touchent pas, juste nos langue qui se découvre s’enlacent et se caresse, enflamment chaque minutes le désir que je ressent. Je me penche et alla lui embrasser longuement le cou, laissant mes mains baladeuse se faufiler sous son tee-shirt blanc. Mes doigts caresse sa peau, jusqu’à monter à sa poitrine et titiller un de ses mamelons. Ses bras me serre, et me caresse, sa voix lâche des petits gémissement, se qui provoque une décharge à mon cœur, je lui faisait donc de l’effet et s’en est tout à fait plaisant. Je remonte doucement et nos lèvres s’unir dans un tendre et langoureux baiser.

Je pose ma tête sur son épaule droite et monta ma main droite à son visage caressant sa joue et mêlant mes doigts dans sa chevelure, j’avais chaud, mais je n’eu le temps de redire ce mot que ma jolie blonde retira mon polo, et de même je lui retire son tee-shirt. Nos corps étaient préssé l’un contre l’autre, sa main gauche est venue jouer tendrement sur mon visage, et nos langues s’enflammées à chaque caresse. Une étrange mais agréable sensation se fait sentir au niveau de mon bas ventre, un désir brûlent parcour mon corps, je me rapproche d’avantage d’elle, et continue de l’embrasser le plus tendrement possible, laissant libre court à mes émotions et sentiments.

Doucement ont se détachent, mais voulant encore garder cette avidité nos lèvres se tapotes entre elles, créant ainsi de doux petit claquements. Sa main remet en place quelques unes de mes mèches, son sourire ne la pas quitté, et ses yeux son doux et amoureux.


Haruka – tu m’impressionne de jour en jour.
Moi – et ce n’est pas pour me déplaire …
Haruka – chuut … Et si, ont resté là ? Je me sent bien tout contre toi, ma petite femme à moi.

Je sourit, je retire mes lunettes, et lui sourit tendrement caressant sa joue, descendant doucement à ses lèvres. Je m’approche de son visage, et lui embrasse le nez, j’étais heureuse d’avoir réussi à vaincre ma peur, j’ai réussi à dépasser un cap, et me sent encore plus proche d’elle maintenant.

Moi – je ne pourrais te dire non, car tout contre toi je me sent bien et en sécurité. Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon trésor !

Nous nous sommes sourit, et nos lèvres se son caressés délicatement. Je lui caresse la joue, et laissa mon cœur s’exprimer. Quelques petites minutes après, j’avais remi mon polo et Haru son tee-shirt, je me trouver entre ses jambes, toujours dans notre lit, et je lui faisait un câlin pendant qu’elle déjeuner.

Moi – au faite ma chérie !
Haruka – oui qui y’a t-il ?
Moi – tout à l’heure, j’ai reçu sa comme message, je suis censé faire quoi maintenant ?

Je montre le message à ma jolie blonde, et elle le lue. Tout comme moi elle fut surprise, je la regarde attendant une réponse.

Haruka – mais … Je connais cette adresse, c’est à quelques minute d’ici et c’est un orphelinat.
Moi – un … Orphelinat ?

Mes yeux fixe le mur, j’essaie de comprendre le sens de ses mots, ma gorge se serre, et mon cœur s’arrête de battre pendant quelques minutes, pour je ne sais quel raison, j’avais peur de connaître une seconde vérité, car cette fois ci je sais que je ne pourrais pas le surmonter toute seule. Je sent mon menton se soulever, et mes yeux qui son vide croisent ceux de la femme que j’aime. Elle me caresse la joue, son regard et doux et son sourire chaleureux.


Haruka – tu veux qu’ont aille faire un tour cet après-midi ?
Moi – je … Je n’aie pas envie de t’embêter avec sa.

Tout se mélange dans ma tête, et je ne comprend plus rien, pour je ne sais quelle raison j’avais envie d’exploser de colère, je lève mes yeux vers elle, toujours aussi perturber par cette nouvelle, je lui caresse la joue et dit :

Moi – et si … On m’avait encore mentit.
Haruka – dans ce cas, je serait la pour te soutenir mon amour, je ne pourrais pas te laisser dans un tel état.
Moi – ma chérie … Je … Même si j’ai peur de connaître une seconde vérité, il va falloir que j’y aille. Et puis je … j’aie pas envie de t’embêter avec s …
Haruka – chuut … Tu ne m’embête pas, et puis au moins je pourrais être la si tu en a besoin.
Moi – merci … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon cœur !

Je lui sourit, et l’embrassa doucement. Un baiser tout doux et regorgé de tendresse. Je m’appui contre elle, laissant mon portable valser sur le lit, je monte ma main à son visage et lui caresse du bout des doigts. Je me sent bien avec elle, et quelques fois je me pose cette question.

« que ferais-je à cet heure ci, si je ne l’avait jamais connue. »

je me le demande bien. Je me détache doucement, et vint la serrer contre moi. Un petit moment bien agréable. Ou je pouvais entendre mon cœur se soulever.

Les minutes venaient de s’écouler, et je me trouver assise sur le canapé, et m’amuser à me faire des petites tresses. Ma jolie blonde était parti chercher le courier. Tiens beh quand ont parle du loup, la voilà qui se dirige vers moi, avec un colis.


Moi – qu’es ce que c’est ?
Haruka – je ne sais pas, mais c’est pour toi.
Moi – pour moi ??

Je fut surprise, et prend le colis qu’elle me tendais. Elle prend place à mes côtés, et je vint m’appuyer contre elle. Son bras passe derrière mon dos et à son tour, elle se mis à me serrer dans ses bras.

Je commence à ouvrir le carton, et sorti parmit tout ses polistyrènes des photos. Sur l’une d’elle on voyais une petite fille au cheveux bleu écum comme moi, cette petite fille au sourire angélique est au côté de deux adultes sûrement ses parents, la seconde était la même petite fille en train de sourire, sur cette photo elle avait les cheveux plus court un petit carré qui la rendais très mignonne.


Mais pourquoi avais-je reçu ses photos ? Qui me les a envoyé, mais surtout comment cette personne sais que j’habite ici, sa m’intrigue de plus en plus. Bon aller stop il suffit de se torturer l’esprit, après tout je suis Michiru Kaio, et j’ai surmonter bien plus douloureux que sa. Je me tapote les joues comme pour me réveiller.

Moi – bon aller, je vais arrêter de me torturer, et profiter de ce que la vie m’offre plutot que de pleurer.
Haruka – bien parler !

Début du lemon :

Je me tourne et lui sourit. Je pose le carton sur le canapé et alla me lover dans ses bras, je m’assoie sur ses jambes, et vint délicatement prendre son visage dans mes mains. Je sent ses bras s’enrouler autour de mon dos, et doucement, je lui caresse les joues avec mes pouces.

Moi – oui, il faut savoir profiter de ce que la vie nous offre, et arrêter de voir tout noir comme tu me la dit.

Je voie ses lèvres s’étirer en un doux sourire, je lui embrasse le nez, et continue de la regarder avec tendresse.

Haruka – et … Que comptes tu faire ?
Moi – eh bien … Déjà passer du temps avec la femme que j’aime.
Haruka – ah oui ? Eh … Qu’aimerais tu faire ?
Moi – tout … Lui faire des câlins, lui dire sans gêne se que je ressent et ce qu’elle est pour moi, et l’embrasser le plus tendrement possible.

Elle ma sourit, son front c’est collé contre le mien, et elle a doucement caresser ma joue.

Haruka – hm … Tu sais que tu m’intéresse là, alors es ce que … Je pourrais avoir un doux baiser de ma petite femme chérie ?
Moi – je t’aime Haruka !
Haruka – mais moi aussi je t’aime ma douce et ravissant Michiru.

Je lui sourit, et déposa tendrement mes lèvres sur les sienne afin de crée un doux moment. Je me rapproche doucement et laissa mes bras s’enrouler autour de ses épaules. Ses mains parcour mon dos, et le sien se pose sur le siège du canapé. Ses mains me rapproche d’elle, et passe sous mon polo car j’étais toujours en pijama contrairement à ma jolie blonde qui était déjà habillé, et qui sentait bon au passage. L’eau de cologne qu’elle c’est mise sent vraiment bon, et c’est très agréable de l’embrasser dans ses conditions. Je laisse doucement ma langue aller valser avec la sienne, mon cœur battait tellement vite, et je me sentait vraiment bien.

En manque d’aire, on se séparent, mais nos yeux continuent de se caresser. Elle écarte une petite mèche de mes yeux et sa voix qui est si belle à mes oreilles résonne.

Haruka – tu sais que j’aime ce petit côté la de toi, celui qui a beaucoup plus d’assurance, je l’aime beaucoup.
Moi – ah oui … Eh bien j’en suis ravie que cela plaise à mon professeur.
Haruka – quand vas tu arrêter de m’appeller comme sa ?
Moi – hm … Attend laisse moi deux minutes, jamais !!
Haruka – dans ce cas mademoiselle Kaio sa change tout.
Moi – comment sa tout ? Vous m’intriguer fortement professeur !

Je la voyais sourire de plus en plus, ses mains s’aventure sous mon polo, et fini par me le retirer.

Haruka – te rappelle tu de la dernière leçon ?
Moi – hm … Non, malheureusement, mais de quelle leçon parlez-vous professeur, mais surtout, quel est ce cour est t-il normal ou particulier ?
Haruka – hm … Vous ne retenez pas grand chose mademoiselle, je vais devoir vous punir, c’est un cour particulier.
Moi – s’il vous plait, ne soyez pas sévère avec moi … Et expliquez moi votre leçon particulière professeur !

On se souriait, elle me fit un petit clin d’oeil, et dit en faisant rouler l’une de mes bretelle de soutien-gorge sur mon bras.

Haruka – hm … Je vais réfléchir à votre punition, en attendant mademoiselle Kaio je vais vous demander une faveur ?
Moi – une faveur ? Et laquelle professeur Tenoh.
Haruka – si vous arrivé à me séduire, alors peut être que je levrer la punition.
Moi – mh … Vous séduire ? Mais comment dois-je m’y prendre ?

Lui demandais-je d’une voix sensuelle et mielleuse tout en déboutant sa chemise.

Haruka – pour sa mademoiselle je vous laisse carte blanche !
Moi – dans ce cas, je n’échouerais pas à ma tache.

Je monte à son oreille et lui susurre langoureusement :

Moi – pro.fe.ss.eur.

Je lui mordille délicatement lobe de l’oreille, et longe son visage la couvrant de baiser. Ses mains venaient de dégrafer mon soutien-gorge, et ce dernier tomba sur le sol. Je lui soulève le menton du bout de mon index, la dévisage d’un regard coquin et malicieux à la fois.

Moi – vous êtes … Vraiment sexy professeur.

Un sourire tendre se dessine sur ses lèvres, elle me caresse la joue, et elle me répond de la même manière :

Haruka – hm … Et vous mademoiselle vous êtes à croquer.
Moi – mais, je ne suis pas à manger vous savez !
Haruka – hm, je n’en suis pas si sur que sa. Votre jolie minoie me donne horriblement faim mademoiselle Kaio.
Moi – hm … Et dites moi, par quoi voulez-vous commencer ?

Je me suis sentit à se moment la valser vers la droite et me retrouve allongé sur le canapé. Haruka se trouvant au dessus de moi, je sourit, et la regarde malicieusement, un sourire pervers sur le visage.

Haruka – mh … Je ne sais pas beaucoup de chose s’offre à moi, mais pourquoi ne pas s’attaquer à la partie la plus délicieuse ?
Moi – professeur vous êtes perverse !
Haruka – et vous mademoiselle vous êtes délicieuse.

Je lui offre une petite moue dont j’avais le secret, je la regarde le sourire au lèvres, me frottant le menton du bout du doigt.

Moi – s’il vous plais professeur Tenoh, soyez gentil avec moi !
Haruka – je serait aussi douce qu’un agnau mademoiselle.

Je sourit, notre petit jeu m’amuser beaucoup, et me permetter de me liberer de cette peur, mais dieu que cela fait du bien. Je sent les lèvres de ma jolie blonde prêt de mon oreille gauche, son souffle chaud au creux de mon ouïe, et sa langue qui se met à lécher le bas de mon oreille, mon cœur faillit exploser, ses lèvres descende le long de mon visage, mordant tendrement mes lèvres, elle descend un peut plus et vint m’embrasser le cou. Laissant mes mains prendre soin de retirer sa chemise, et mes doigts les faisant rouler prêt de sa bretelle.

Moi – ah … Mh, oh professeur vous … Vous êtes si douce et vous … M’exciter tellement.

Sa y’es j’ai osé lui dire, je sent ses lèvres longer vers ma poitrine et ses baisers continuent sensuellement leur chemin, que c’est bon, je me sent de plus en plus enivrer par ses caresse et ses baisers qui se sont maintenant attaquer à mes mamelons. Je … J’ai l’impression d’avoir détremper mon linge intime tant l’excitation me prend.


Je dirige mes mains vers son pantalon, et lui défait le bouton et le fait glisser le long de ses jambes, mama cet effet qu’elle me fait c’est dingue, j’ai envie d’elle, j’ai envie de connaître l’extase de cette excitation sauvage.

Point de vue Haruka.

Dans peut de temps je sent que je vais craquer, je ne contrôle plus mes gestes ainsi que mes lèvres qui l’embrasse sensuellement. Je descend jusqu’à son nombril et vint lui embrasser lui lécher, montant ma main droite à son sein et de mon index et mon pouce lui titille tendrement le mamelon, diable cet effet qu’elle me procurer, même notre première fois n’avais pas était aussi intense. Elle m’exiter terriblement, et me sentait de plus en plus serrer dans mon linge.

Je remonte à son oreille et murmure :

Moi – mademoiselle Kaio, si vous saviez à quel point j’ai envie de vous.
Michiru – moi aussi professeur j’ai envie de vous, vous m’exiter tellement, je n’arrive plus à contenir ce désir en moi.
Moi – mh … L’envie de vous faire tendrement l’amour me tient.
Michiru – oh oui … Faite moi l’amour professeur, je ne tient plus.

Je sourit, heureuse qu’elle est pue dépasser ce cap … Je me lève et vint la prendre dans mes bras, la conduisant dans notre chambre.

Michiru – ou m’emenez-vous professeur Tenoh ?
Moi – dans un endroit ou nous seront à l’abrit des regards mademoiselle.

Une fois dans la pièce, je ferme la porte, et allongea Michi sur le lit, me mettant au dessus d’elle, nous couvrant avec la couette.

Moi – maintenant mademoiselle Kaio je vais vous faire tendrement l’amour, ainsi vous n’oublierais plus vos leçons.
Michiru – allez y professeur je suis entièrement à vous.

Je sourit, et le cœur prêt à frôler la crise cardiaque, je vint l’embrasser langoureusement. Laissant mon cœur s’exprimer.

Fin du lemon

Point de vue Narrateur.

Dans cet appartement, enfermer dans leur chambre, Haruka et Michiru vienne de découvrir se que sont les plaisir de la jouissance, emporter dans leur petit jeu de séduction, elles se sont livrées à elles même, goûtant au véritable plaisir de l’amour. Ce petit jeu les aura bien rapprochées, et chacunes d’entre elles aurons finalement réussi à dépasser leur peur, celle de Michiru, de ne plus pouvoir désirer par les attouchements de son père, et Haruka par peur et de manque de confiance. Mais à présent les voilà encore plus unis enlacé dans les bras de la femme qu’elles désirent, elles firent l’amour sans gêne et avec beaucoup mais beaucoup de tendresse et d’amour.

Point de vue Michiru.

Ah … Que sa fait du bien une douche, je coupe l’eau, et vint m’enrouler dans une serviette ainsi je ne pourrait attraper froid. Je me place devant le miroir, et me regarde. Je voyais un sourire … Un sourire heureux un sourire d’une femme comblé. Depuis se qui c’est passé entre elle et moi, j’ai l’impression d’avoir prit plus d’assurance, et me sent femme, oui c’est sa, depuis que j’ai dépasser ma peur, je me sentait un peut plus femme, et cela n’est pas pour me déplaire.

Une fois que je fut sèche, je commence à m’habiller, d’un jean bleu foncer, un petit chemisier noir, et un pull gris à col bateau. Je prend pas la suite le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement. C’est … C’est incroyable comme je peux me sentir bien. Quand j’eue terminé, je débranche le sèche cheveux, et à l’aide d’une bombe de laque, je m’en mit mettant toute ma chevelure sur le côté gauche. Par la suite, je met les boucle que ma jolie blonde m’a offert, ainsi que la petite chaîne en argent.

Je prit du laïner et me fit le contour de l’œil doucement, et répéta mon geste avec l’autre. Je me passe un peut de gloss sur mes lèvres, car bon, c’est pas que je n’aime pas le rouge à lèvres mais je c’est que beaucoup d’animaux meurt pour faire ce genre de produit cosmétique, je trouve sa abjecte et répugnant, j’en met juste quand c’est pour une occasion. Je prit un flacon de parfum « Intime » me mit trois petit pchites, et enfin sortie de la salle de bain, me dirigeant vers la cuisine ou Haru se trouvé.

Je me mit derrière elle entour son ventre et dis le sourire aux lèvres.

Moi – hm sa sent bon … Que fais ma petite femme chérie de bon à manger.

Elle se tourne, et sourit en me voyant, je m’approche, et lui arrange un peut le col de sa chemise. Pour ensuite venir caresser sa joue.

Haruka – tu est vraiment ravissante ma chérie !
Moi – merci mon ange, mais que nous fais tu à manger ?
Haruka – des nouilles japonaise.
Moi – hm, sa va être bon tout sa.

Je la voie mettre le couvercle sur la marmite elle mis le minuteur, retire le tablier qu’elle porter, et vint me prendre la main. Sans rien dire, je la suis, et je la voie prendre place sur la rebord du canapé, et ses mains prend les miennes.

Haruka – je suis vraiment heureuse !
Moi – ah oui ? Pourquoi ?

Je m’approche, me mettant entre ses jambes, et prenant tendrement son visage dans mes mains, lui caressant à l’aide de mes pouces. Je sent ses bras, entourer mon dos, et son sourire s’agrandit.

Haruka – car grâce à une personne si particulière, j’ai réussi à vaincre ma peur.

Je sourit, comprenant ou elle voulais en venir. Je lui sourit tendrement, et vint caresser son front avec le mien. Jouant avec son nez.

Moi – je suis aussi très heureuse d’avoir vaincu ma peur, car à présent … Je me sent encore plus proche de toi, et je me sent … Un peut plus femme.

Elle ma sourit, ses lèvres tapotent doucement les miennes, et sa voix résonne.

Haruka – mais tu est déjà un petit bout de femme, tu est belle et même à 18 ans tu est déjà une jolie jeune femme … Ma petite femme à moi.

Je sourit, je lui caresse la joue, écartant quelques mèches de ses yeux, un regard que je ne cessairait de regader et d’admirer.

Moi – tu sais … Par moment, j’ai l’impression de rêver.
Haruka – pourquoi ?
Moi – car je n’aurais jamais crue rencontrer le grand amour au lycée, et je n’aurais jamais crue tomber éperdument amoureuse de l’un de mes professeurs.
Haruka – mais moi, je ne regrette rien … Je suis très heureuse d’avoir fait ta rencontre mon trésor.
Moi – moi non plus je ne regrette pas, d’avoir trouvé la moitié de mon cœur … Je t’aime Haruka, c’est dingue à quel point jee peux t’aimer.
Haruka – moi aussi je t’aime chaton, et je t’aime sincèrement !

On se sourit et ses lèvres attrapèrent amoureusement les miennes. Je sourit, et me laisse faire avec bonheur, caressant ses joue, et l’embrassant tendrement. Décidément ce petit jeu nous avait grandement rapproché l’une de l’autre, et c’était vraiment un délice. On se détachent doucement, ses doigts remette quelques mèches sur le côté, et moi je continue de la dévorer du regard.

Moi – il me tarde le jour ou je serait devenue véritablement ta femme.
Haruka – mais tu l’est déjà … Tu est ma femme celle que j’aime et désir plus que tout.
Moi – Haru …
Haruka – chuut …

Et tendrement nos lèvres s’unir de nouveau dans un long et doux baiser. Haruka, quand arrêteras-tu de me rendre ainsi ? De me rendre si amoureuse et heureuse, tu as un don, ou alors c’est que vraiment je suis folle. Oui folle de toi de tes bras tes mots et tes lèvres. La magie prit doucement fin, et je lui dit en enroulant sa nuque et en la serrant dans mes bras.

Moi – je ferais tout pour te garder avec moi, sa fait longtemps que je rêve de rencontrer le grand amour, et maintenant que je les trouvais, je ne compte pas le laisser filer dans les bras de quelqu’un d’autre. Tu est devenue si importante à mes yeux que je n’ose plus imaginer ma vie sans toi … Ma si jolie blonde, ma femme!
Haruka – moi non plus je ne veux pas te perdre, et te laisser partir dans les bras d’une autre personne, tu est celle qui donne enfin un sens à ma vie, celle qui me comprend … Ma douce et tendre Michiru, tu es devenue indispensable à ma vie, tu est mon oxygène ma raison de vivre tu est … La femme de ma vie.

Je sourit, et la serre contre moi, lui embrassant tendrement la nuque. Ses mains me caresse, et je me sent bien avec elle. Je laisse mon regard s’encrer dans le sien, et caresse doucement sa joue.

Moi – Haruka … Ma douce et jolie blonde toi seule emflamme mon cœur, je t’aime.
Haruka – moi aussi ma chérie et je t’aime bien plus que sa encore !

On se sourit, et un petit câlin s’installe entre nous. Je pose ma tête sur son épaule droit et lui caresse le dos, lui déposant un doux baiser sur sa nuque. Ses mains caresse le mien, et je me laisse prendre dans cette douce étreinte.

Haruka – dis moi … Où es ce que tu veux manger ?
Moi – n’importe où tant que je suis avec toi.
Haruka – hm … Ma chérie !

Elle caresse mon dos, allant mêler ses doigts dans mes cheveux et posant ses lèvres sur mon cou. Je n’aurais jamais crue que notre petit jeu puisse nous rapprocher autant.

Après ce petit câlin bien agréable, c’est avec le sourire que je partit mettre le couvert sur le balcon, il faisait bon, et un peut d’air frais ne ferait pas de mal. Soudain j’entend mon téléphone sonnait, surprise je décroche et dis :


Moi – oui allo ?
Cléo – salut Michi !
Moi – teh Cléo ça va ?
Cléo – bah tout rool, et toi ?

Je met mes écouteurs, rangeant mon cellulaire dans ma poche.

Moi – bah écoute tout va pour le mieux.
Cléo – ouh … Sa sent l’amour, sa se passe bien avec ton professeur ?
Moi – très bien, c’est le pure bonheur.
Cléo – ah ouais pourquoi sa ?

Je sent des bras entourer ma taille, je sourit, et répond en appuyant mon dos contre elle.

Moi – eh bien … Je vais avoir le bonheur de l’épouser.
Cléo – quoi ?? C’est pas vrai.
Moi – si si, lorsque je suis revenue de mon stage nous avons fêté son anniversaire, et je lui est demandé sa main.
Cléo – mais enfin c’est supère sa !! oh Michi je suis si heureuse pour vous.
Moi – merci Cléo sa me touche que tu soit heureuse !
Cléo – heureuse ? Non mais attend ma meilleure amie va se marier bien sûr que je suis heureuse même supère heureuse.
Moi – merci tes vraiment génial, je t’adore !!
Cléo – moi aussi et très fort.

Je sourit, heureuse que Cléo l’aie bien prit, je prend sa main droite et lui dépose un baiser.

Cléo – tu pourrais m’envoyer une photo de toute les deux s’il te plais ?
Moi – oui bien sur, mais pour sa faut que je raccroche !
Cléo – ok.

Et notre communication se coupa. Je pose ma tête juste à côté de la sienne, ses lèvres son contre ma joue gauche, ses mains caressant mon ventre, et une fois que je trouva le bouton pour l’appareil photo je nous cadre, et appuya sur le bouton.

Heureuse je cherche le numéro de Cléo, et une fois trouvais je lui envoie la photo. Je sourit, et me tourne afin de croiser son regard.


Moi – je suis heureuse, Cléo la vraiment très bien prit.
Haruka – tant mieux alors … Allé vien on va manger trésor !
Moi – ok dans ce cas …

Je lui soulève le menton et déposa mes lèvres sur les sienne. Oui depuis ce qui c’est passé, je me sentait beaucoup femme et j’avais prit beaucoup plus d’assurance. Elle me sourit, et doucement elle répond à mes baiser.

Haruka – allé ma petite femme à table.
Moi – c’est que ma jolie blonde me donne des ordres maintenant.

Elle ma sourit, m’embrasse le front, et nous prîmes place l’une en face de l’autre. Je pose ma main sur la sienne, et c’est en souriant que nous commencions à manger. Mon téléphone se met à sonner mais je ne répond pas, car de un nous étions à table et que c’est très impolie pour la personne qui est en face de nous.

Moi – quand même … Cette histoire de message avec une adresse d’un orphelina me perturbe.
Haruka – c’est vrai que c’est louche, mais je pense qu’il va falloir y’aller faire un tour.
Moi – oui, bien que sa me face peur !
Haruka – je serait là moi.
Moi – merci mon amour !

Je lui sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je prend les couverts, et alla mettre ses dernier dans le lave vaisselle, puis mon portable ce met à sonner, surprise, je prend ce dernier et dit :

Moi – oui allo ?
? - Michiru ?
Moi – euh … Oui c’est moi, qui est à l’apareil ?

Je regarde Haru, qui m’observe avec un doux sourire.

? - Ah Michiru je suis bien heureux de t’entendre, je suis le directeur de l’orphelina. Comment vas tu ?

Je m’arrête et pose ma main sur le plan de travail et aval difficilement. Mes yeux se ferment, et je me tourne vers ma jolie blonde, je regarde mon téléphone et raccroche, impuissante face à sa.

Haruka – que ce passe t-il mon trésor ?

Elle ma relever le visage et d’un geste doux ma caresser la joue, j’essaie de resister, mais les larmes se font de plus en plus prenante.

Moi – c’e … C’était l’orphelina … Je … Je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression de vivre dans un menssonge.

Puis mon portable se met de nouveau à sonner, je regarde ce dernier et voie que c’est le même numéro, je vint me lover dans les bras de ma douce, et épuisé me laisse tomber.

Moi – c’est encore … Le même numéro, je fais quoi ?
Haruka – tu as confiance en moi ?
Moi – bien sur quel question.
Haruka – alors laisse moi faire ok !

Elle me prend le visage et me posa un délicat baiser sur les lèvres, caressant mon visage. C’est une chance que je l’aie à mes côtés. J’entour son dos, et me laisse bercer par son câlin et ses mains qui me caresse agréablement.

On se décollent doucement, et doucement, je caresse sa joue en soufflant.


Haruka – laisse moi faire trésor, d’accord ?
Moi – d’accord.

Elle me sourit, me tapote doucement le nez, me fit un clin d’oeil, et répondit à l’appel.

Point de vue Haruka.

Je me dirige vers le balcon et dis en m’accoudant contre ce dernier.

Moi – oui allo ?
? - Michiru ? Pourquoi as tu raccroché !
Moi – excusez moi, mais ce n’est pas Michiru au téléphone.
? - ah ? Et à qui ai-je à faire dans ce cas ?
Moi – je me présente Haruka Tehoh, je suis sa femme. Et vous ?
? - bonjour madame Tenoh , en faite je suis le directeur de l’orphelina « Tout petit »
Moi – bonjour monsieur, je suis désolé, mais Michiru, n’est pas en état de répondre, donc que lui voulez vous ?
? - je comprend, eh bien j’aurais aimais savoir comment elle allait, si depuis qu’elle est parti de chez nous, si elle mène une vie normal ?

Je rester là à écouter ce directeur, si j’arrive à bien comprendre, Michi a était adopté, ce qui veux dire que ses parents doicvent se trouver quelque part dans ce monde. J’étais heureuse et mélancolique à la fois, heureuse car elle avait peut être une chance de revoir ses véritable parent, et mélancolique dans le sens ou je ne pourrais peut être plus la voir si elle s’en va avec eux. Je regarde l’horizon et retiens mon chagrin du mieux que je peux.

Moi – eh bien oui elle va très bien, mais puis-je vous poser une question ?
? - oui bien sur.
Moi – comment avez vous eu son numéro ?
? - eh bien, j’ai d’abord fait des recherche sur internet, et comme je ne trouvait rien, j’ai consulté le botin, et au niveau des page blanche en allant à la lettre K j’ai trouvé son non et son prénom ainsi que son numéro !
Moi – je comprend mieux, mais serait t-il possible que l’ont puisse vous voir pour mettre toute cette histoire au clair ?
? - oui oui bien sur madame, la petite Michiru nous manques beaucoup, donc que deriez vous de nous voir vers 13 heure ?
Moi – très bien, dans ce cas je vous dit à tout à l’heure.

Et sans que je ne puisse continuer, la communication se coupa. Je regarde le ciel perdu, mon cœur me fait mal, dans un sens j’ai envie de la voir heureuse mais dans l’autre je n’aie pas envie qu’elle s’en aille loin de moi, loin de notre histoire, car pour moi, sa compte. Je me retourne et me dirige vers le salon, ou Michi se trouvais assise sur le canapé, à regarder les photos qu’elle a reçu ce matin.

Je m’approche d’elle, enroule son cou, et ses yeux qui son vide son humide. Je lui caresse les épaules, et lui murmure :

Moi – sa va aller Michi, je suis là !
Michiru – merci, mais dis moi qu’es ce que l’ont va faire ?
Moi – le directeur de l’orphelina veux nous rencontrer.
Michiru – et cas tu dis ?
Moi – j’ai accepter pour mettre au moins cette histoire au clair.
Michiru – mais je … Imagine si je dois à tout hasard rencontrer mes véritable parents ? Imagine si ils me demande de les suivrent ? Je n’aie pas envie, parce ce que … Parce qu’ici j’ai ma vie, et j’ai surtout ma vie privé qui compte beaucoup pour moi, je n’ose pas imaginer une minute ma vie sans toi.

Je sourit, au moins je ne suis pas la seule à être contre cette idée. Je lui caresse la joue, et lui murmure :

Moi – écoute, pour moi aussi il est hors de question que je te laisse partir, mais j’aimerais au moins en savoir plus sur ce qui tes arrivé, pour ainsi t’aider du mieux que je peut pour te soutenir ma chérie … Je ne pourrais jamais, te laisser partir loin de moi.
Michiru – oh Haruka …

et sans que je ne dise quoique se soit d’autre, ses lèvres s’emparent des miennes. Je lui soulève le visage, caressant ses joues de mes pouces, et répond avec tendresse à sa douceur. Mon cœur bat tellement fort, avec tout se qui c’est passé etre nous je ne cesse de penser à elle, à nous, à notre histoire qui est devenue importante à mes yeux au fil des mois.

Ont se décollent doucement, je lui fit un doux sourire, et lui embrasse le nez.


Moi – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi Michi !
Michiru – pareil, tu pourras toujours compter sur moi !

Nos yeux se caressent, et je continue mon geste avec douceur sur ses joues. Les minutes s’écoulent, et lorsque une heures sonna, je commence à fermer le store du salon et attend Michi qui est parti à l’étage. Elle redescend quelques minutes après, je lui sourit, et tout en lui prenant la main, nous quitons la maison. Je ferme la porte à clés, et longe le couloir.

Sa tête se pose sur mon épaule droite, et je l’entend soupirer, je caresse sa main pour la détendre. Une fois dans le parking souterrain, je déverrouille l’alarme, monte et une fois que nous fûmes toutes les deux prête, je démarre, fit une marche arrière, et partit direction l’orphelina.

Pendant le trajet Michi était silencieuse, elle avait mis sa main sur ma jambes, je n’aime pas la voir dans cet état, arriver à un feu rouge, je m’arrête, et pue prendre sa main dans la mienne.


Point de vue Michiru.

Je tourne mes yeux et voie Haruka qui me regarder l’air inquiète. Je lui sourit doucement, et serre sa main dans la mienne.

Moi – désolé de te faire du souci mon amour.
Haruka – ce n’est rien, ne t’inquiète pas mon trésor.

On se sourit, je m’approche et lui posa un doux baiser qu’elle me rendit avec bonheur. Tant qu’elle est à mes côtés, je n’est pas à avoir peur, la seule chose que j’espère, et que personne ne me l’enlève. Je ne pourrais pas supporter la séparation.

Quand ont fut arrivé, ma jolie blonde se gare, et c’est le cœur battant à la chamade que je sorti de la voiture. Haru enclanche l’alarme, elle me prit la main et me guida vers le bâtiment. J’avais une boule au ventre, comment allais-je réagir ? Quel genre de vérité allais-je connaître. Tout cela me fait peur, mais je n’aie pas pour autant envie de baisser les bras, je voulais enfin en avoir le cœur net.


Une fois devant la porte, je souffle un bon coup, Haru vint m’embrasser la joue en me serrant la main. Et nous entrâmes dans l’orphelina. L’intérieur du bâtiment est sombre, des poutres noire trônaient dans la maison, le sol recouvert d’une moquette grise. Je passe en revue le bâtiment, et aucuns souvenirs me reviens se que je trouve assez bizarre.

Je caresse doucement sa main, et lui sourit comme pour lui dire que j’allais bien. Elle me fit un clin d’oeil, et je continue à avancer. Puis une petite fille au long cheveux blond comme Haru apparue, elle nous regardée.


Moi – bonjour toi …

Je vint m’accroupir, et lui sourit gentiment. Je la voie se diriger vers moi, elle pose sa petite main sur ma joue et me regarde. Elle devait avoir 3 ans tout au plus, elle possède de jolie yeux caramel, et elle se mit dans mes bras. Je sourit et me relève.


Petite fille – bon … Zour madame !
Moi – bonjour petit cœur, comment tu t’appelle ?
Petite fille – Anastasia, et vous ?
Moi – c’est très jolie, moi c’est Michiru.

Elle me sourit, et je lui rendit chaleureusement. Ses petit yeux marron se tourne et Anastasia se mit à parler.

Anastasia – bonzour madame.
Haruka – bonjour poussin, tu vas bien ?
Anastasia – oui.

On se sourit tendrement, ma jolie blonde met sa main sur mon dos et nous continuons d’avancer vers le couloir essayant de trouver le bureau du directeur. Au loin je voie une porte avec une pancarte ou il y avait d’inscrit « Monsieur Petit » sa doit être là, je me baisse et repose Anastasia qui affiche une petite moue.

Anastasia – vous viendrais me dire au revoir ?
Moi – promis.

Elle me tend son petit doigt, se qui m’attendrit un peut plus, j’aime beaucoup les enfants, et j’ai le désir d’en avoir plus tard. Je lui tend mon petit doigt, et le serre.

Moi - croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer.

Elle avait dit en même tant que moi, et cela me fit sourire. Je me redresse et affiche un doux sourire à ma cher et tendre, qui remet quelques mèches bleu derrière mon oreille. Je lui prend la main et souffle un bon coup.

Moi – aller, j’ai déjà surmonter plus dur que sa !
Haruka – et puis moi je suis là.
Moi – oui je sais, et c’est bien sa qui me rend heureuse ma chérie !

On se sourit, ses lèvres caressent les miennes pendant une fraction de seconde, je lui rendit avec tendresse, et enfin toqua à la porte.

? - oui entré.

Je souffle un dernier coup, et abaisse la poignet poussant la porte pour entrer dans le bureau. L’homme qui était derrière ce dernier ce lève les yeux grand ouvert comme si il était étonné. Il s’approche de nous et s’exclame d’une voix grave mais douce.

? - Michiru c’est bien toi … C’est bien toi mon enfant ?
Moi – bonjour monsieur.
? - Oh Michiru, tu as tellement grandit, tu est devenue une belle jeune femme, mais viens donc t’asseoir. Bonjour madame Tenoh.
Haruka – bonjour monsieur !

J’allai prendre prendre place devant le bureau, à la gauche de ma jolie blonde qui serra ma main dans la sienne. Une femme de taille moyenne et d’âge ancien fait son apparition et se poste à la droite du vieux monsieur qui me regarde depuis tout à l’heure. Elle est habillée d’une robe noire surmonté d’un petit tablier blanc.

Directeur – Michiru, je suis vraiment très heureux de te revoir, mais que fais tu maintenant ? Et sa se passe bien avec tes parents ?

Michi respire et inspire, ce n’est pas le moment de se montrer faible, je serre la main d’Haruka, et dis :

Moi – eh bien … Comment dire, cela va faire un peut plus de trois ans que je ne côtoie plus mes parents et que je ne vis plus avec eux. Je ne sais pas se qui c’est passé réellement mais …

Mon cœur se serre et j’ai du mal à articuler.

Moi – ma mère est morte des mains de mon père qui voulais récuperer ses biens ainsi que ma garde, durant des années j’ai vécu un enfer, quand je rentrer de la primaire, mère m’enfermer dans un placard, et dès qu’elle partais, père en profité pour me battre, j’ai eu droit au coup de ceintures à la règle, et aux écrasement de ses cigarette, je lui server de coussin, il m’obliger à me mettre à quatre pattes et il allongé ses jambes sur moi, il me surnomé de guenond, de petite traîner que j’étais bonne à faire les trottoire, il m’avait même dis un jour qu’il m’apprendrais le chemin des prostituers et je …

C’est dure de tout sa, et je n’aie pas pue retenir mes larme qui se mette à caresser mes joues.

Moi – il me forcer à me dénuder devant lui, si je refuser de lui obéir je finissait dans son lit, et il … Il … Il a osé me violer en me droguant.

Je ne relève pas la tête, mais continuer de deverser mon chagrin, sa fait trop longtemps que je garde sa en moi, je serrer la main d’Haruka dans la mienne, et n’oser plus rien dire.

Directeur – non … Sa, sa ne peux pas être vrai, ils étaient si gentilent pourtant lorsqu’ils sont venuent t’adopter, et sa na pas était facile !
Moi – j’ai du mal à croire que j’ai était adopter, qui je suis réellement ? Qui son mes véritable parents, je veux savoir, j’en est assez de vivre dans le mensonge.
Directeur – Je suis profondément désolé Michiru pour se qui tes arrivé vraiment, je n’aurais jamais crue qu’ils puissent être d’une cruauté effroyable. Avant de tout te , je vais te présenter une personne, c’est elle qui c’est occupé de toi lorsque tu est venu ici. Martine approche s’il te plais.

La femme qui était à ses côté s’approche et me regarde peiné, elle a du entendre mes propos. Elle ma relever le menton et mes larmes valsent sur mes joues.

Martine – Michiru, ma toute petite, si tu savait comme je regrette de t’avoir confier à des monstre pareil, pendant des années je me suis occupé de toi, toi qui était si seule, si solitaire. Tu resté devant la fenêtre de ta chambre espérant que ta mère et ton père vienne te chercher. Quand tu voyais tes camarade partir avec le sourire au bras d’un couple tu t’enfermer à clés et tu joué du violon en pleurant. Pendant longtemps j’ai veiller sur toi, et je voie que tu as beaucoup grandit, tu est devenue si belle.

Je la regarde, ses mots avait apaisé mes pleurs, mais je continue d’avoir mal au cœur comme si un poignard m’avais transpercer. Je m’approche d’Haruka, et cala ma tête dans son cou, posant ma main gauche sur son épaule. Ses main m’enroulent et me serre contre elle.

Martine – bonjour madame excuser je ne vous avez pas vue, qui êtes vous ?
Haruka – ce n’est rien, je suis Haruka Tenoh et suis la femme de Michiru.
Martine – oh … Je voie !
Directeur – Michiru, tiens regarde.

Je lève mes yeux et remarque un gros dossier, je m’approche doucement de ce dernier, reniffle un peut et m’essuie les yeux. J’ouvre le dossier et voie plein de dessin le premier représenter une famille une petite fille tenais les main d’un homme et d’une femme, tout les trois aborder un magnifique sourire, la petite fille avait le cheveux écume comme moi. Le second représenter un cœur avec deux princesses, je continue de feuilleter le dossier, et au bout d’u moment je voie une enveloppe, je prend cette dernière, et l’ouvre, déplie la feuille, et mettant mon dos contre le dossier du siège, je commence à la lire.

« Michiru ma chérie, si tu lis cette lettre sa veux dire que tu as grandit et que tu est en état de comprendre ce qui c’est passé. Tu est née un 21 octobre à Venise, la plus belle ville que je n’aie jamais visité. Ton père et moi sommes très heureux de tavoir mis au monde, tu est tout pour nous, mais voilà à l’époque ou tu as fait notre bonheur, nous étions très pauvre, et n’avais de quoi que de nourrir deux personnes, tu doit trouver sa égoiste de notre part, mais nous avons d’abord penser à toi, et je désirer plus que tout te voir heureuse, alors ton père et moi avions décidé de te confier à un orphelinat et que des adultes puisse t’aimer et s’occuper de toi comme il se doit. J’espère que tu est herureuse et que tu ne m’en voudra pas d’avoir prit cette dessision. Ta maman et ton papa qui t’aime plus que tout »

je ne bouge plus, le papier deviens transparant et l’écriture s’éfface, je plaque ma main sur ma bouche, et mon corps se met à trempbler, alors … Ma mère et mon père mon mit ici non parce ce qu’ils ne m’aimer pas mais l’argent manqué cruellement, je ne sais pas quoi dire ou même penser, je replie la lettre, la remet dans l’enveloppe, et pose cette dernière sur les dessins.

Moi – que … Que sont t-il devenus ?
Directeur – eh bien à ce que j’ai pue comprendre, ta mère est dirige un restaurant cinq étoile, et ton père est chef d’une entreprise pour fabriquer le papier. Après t’avoir confire à notre orphelina ils ont tout fait pour remonter la pente, malheureusement ils …
Moi – ils quoi ?

Je le regarde la peur au ventre. Je n’arrive pas à contrôler mes larmes, et mon corps continue de trembler.


Directeur – malheureusement ils on décidé de ne plus te voir, depuis qu’ils ont bâtient leur entreprise ils on cessaient de prendre des nouvelles, et veulent continuer à vivre ainsi.
Haruka – mais enfin c’est impossible, des parents ne peuvent pas avoir de tes propos surtout si il s’agit de leurs enfants.
Directeur – je le sais bien madame, mais que voulez vous, ils ont préféré mettre en œuvre se qu’ils avaient échoué.
Moi – je vous remercie pour toutes ses informations, mais pourrais-je prendre le dossier ,
Directeur – bien entendue Michiru, et je suis vraiment désolé pour se que tu as appris.
Moi – ce n’est rien ne vous inquiétez pas.

Je commence à me lever, je ne voulais pas rester une seconde de plus ici, je sert la main du directeur, sourit à la vieille femme, et sortie le cœur meurtri.

Anastasia – ah vous êtes revenu.

Je sourit faiblement, et me baisse pour prendre la petite dans mes bras.

Moi – je te dis à bientôt.
Anastasia – oui et merci !
Moi – de quoi ma puce ?
Anastasia – parce que vous êtes la première à me serrer dans vos bras.
Moi – et je le referais autant de fois que je te reverer !

Je lui embrasse le front, et Haruka aussi, et enfin nous sortîmes de l’orphelina.

Haruka – Michi …

Je ne répond pas, mes larmes avaient de nouveau envahie mon visage. Je monte dans la voiture et m’attache, et Haru vint démarrer en posant sa main sur la mienne.

Moi – pourquoi … Pourquoi sa doit se passer comme sa, qu’es ce que j’ai fait pour mériter sa, je me suis plier j’ai fait tout se que l’ont me disait de faire jusqu’à me retrouver dans un lit nue face à un homme qui ma torturer violer et droguer à plusieurs reprise, pourquoi ne veullent t-ils pas me voirent, j’en est assez, assez que l’on me piétine ?

Je ne me retenais plus, je fondit littéralement en larmes cachant mes yeux de ma main droite. Je sent la voiture s’arrêter, et me sentit soulever. Surprise je retire ma main et remarque que nous étions arriver dans la parking, et que Haru m’avait prise dans ses bras. Jenroule son dos, et love ma tête dans son cou coté gauche et hurle intérieurement de douleur.

Moi – pourquoi mes propre parents ne veulent pas de moi ? Pourquoi préfèrent t-ils se couvrir de gloire et de paillette plutôt que de voir leur fille grandir. Ce n’est pas juste, alors que j’étais persuadé que ma mère était morte et mon père en prison.

Je me serrer contre la femme que j’aime pleurant à chaude larme, blessé et peiné.

Point de vue Haruka.

J’ai mal de la voir comme sa, c’est … Moi même je n’en reviens pas que des parents puisse renier leur propre fille à leur travail, je vint la serrer aussi fort que je le pouvais.

Moi – Chuut … Calme toi mon ange, je … Je suis profondément désolé pour se que tu as appris, mais moi je suis là, et je le serait toujours, mais ne te retiens pas si tu as envie de pleurer ou hurler fait le, mais je t’en supplit ne te détruit pas.

Elle remonte ses yeux qui son inonder de larmes, et me regarde, je lui essui les goûte d’eau salé, et lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire.

Michiru – Haru si tu savait comme je …
Moi – chuut …

Et poussé par une infini tendresse, je l’embrassa le plus tendrement possible. Ses mains me serre, et l’une d’elles se pose sur ma joue et me la caresse. Malgré la tendresse que je lui transmettait à travers ce baiser moi même j’avais mal au cœur d’avoir appris cette nouvelle, je ne voulais pas la voir dans cet état de souffrance, sa me déchirer plus qu’autre chose, et l’envie de verser des larmes de compassion me tient.

Apparemment je ne suis pas assez résistante car une petite larme solitaire dévale ma joue gauche. On se détachent doucement, je lui caresse la joue en lui souriant. Sa main vint chasser la larme, et elle me dis :


Michiru – Haru …
Moi – ce n’est rien, je suis juste peiné de se qui t’arrive trésor.

Je lui embrasse le front, et me détache. Je sort de la voiture, enclanche l’alarme, et longea le parking jusqu’à la sortie. Michi se serrer contre moi, et sa main caresser ma peau. Je lui sourit, et monte les quatre étages. Une fois devant la porte, Michi prit les clés et les insère dans la serrure et tourna deux fois vers la droite.

Je rentre à l’intérieur, et monte à l’étage. Pénètre dans la salle de bain et ferme la porte. Je dépose ma douce sur le sol devant le lavabo, prit un coton le mouille et vint lui démaquiller les yeux. Mon cœur battait si vite, mais m’occuper d’elle me procurer un bien fou. Quelques larmes roulent le long de ses joues, et doucement je lui essui stopant unes d’elle avec un baiser.

Je commence par lui retirer le pull, et vint débouter son chemisier. Retirant son jean, puis son soutien-gorge, et sa lingerie intime. Je m’approche de la baignoire, et fait couller l’eau, cherchant la bonne température. Quand cette dernière fut prête, je mit un bouchon sur l’évacution, et me tourne vers Michi, je la prend dans mes bras, et la pose doucement dans la baignoire. Je m’accroupie, m’appui sur le rebord, je lui caresse la joue, et lui murmure d’un ton doux :

Moi – maintenant tu vas te détendre dans ce bain d’accord ? Je ne veux plus te voir comme sa, si tu as le moindre souci je suis là ma chérie, et je le serait toujours … Je t’aime mon amour, et quoiqu’il arrive je serait là.
Michiru – je t’aime tant Haruka … Pour moi, tu est comme ma deuxième famille.

Je sourit, lui soulève le menton et lui posa un baiser. De nombreuse minutes nous restons comme sa, je pense que savoir que l’ont peut toujours compter l’une sur l’autre nous renforce, et cela depuis notre rencontres. La magie prit douement fin, je lui caresse sa lèvres inférieur, et lui fit un petit clin d’oeil.

Moi – allé, détend toi maintenant, tu en a besoin, si tu as un souci je serait en-bas.
Michiru – merci … Ma chérie !
Moi – ce n’est rien, c’est normal.

Je l’embrasse sur le front, lui tapote le nez, et sortie de la salle de bain la laissant se détendre. Je descend et me dirige vers le canapé, met des petites lunettes, et sort de mon sac qui se trouver à côté du meuble des copies et à l’aide d’un stylo rouge commence à corriger.

Sa me fait penser, que les bulletins ne devrait plus tarder, le directeur m’ayant expliquer qu’il y avait eu un souci au niveau de l’informatique, les bulletins des élèves auraient un peut de retard.


Après quelques minutes, je pose mon stylo ayant tout terminé, et monte à l’étage pour aller voir comment allait Michi. Pour ma plus grande surprise, je ne la trouva pas dans la salle de bain, d’ailleurs, celle-ci était rangé et sentait bon. Inquiète je ferme la porte, et me dirige vers la pièce du fond qui était notre chambre, j’ouvre doucement la porte, et eu un tendre sourire, elle était couchée. Je m’approche, et la couvre, allant fermer les volets par la suite. Je lui pose un doux baiser sur la joue, et parti la laissant dormir. Avec toutes ces nouvelles pas très joyeuse qu’elle a appris je la comprend. Donc je croix que je vais faire un peut de rangement, puis après je ferait un peut de repassage de nos affaires.

Au alentours de 19 heures, alors que je me trouve assise sur le canapé en train de lire, j’entends du bruit, surprise je me tourne et sourit en voyant que c’était Michi qui descendait les escaliers. Elle se dirige vers le canapé, et d’un geste tout à fait naturelle, elle c’est lové dans mes bras.

Moi – bien dormis ? Je lui caresse les cheveux
Michiru – oui, sa ma fait du bien !
Moi – je veux bien te croire dormir 7 heures d’affilé, sa ne peux être que reposant.

Elle remonte sa tête, elle est encore endormis derrière ses petite lunette noire, je sourit, et caresse son visage. Ses mains se mettent sur les miennes et ses doigts efleure ma peau.

Moi – tu vas mieux ?
Michiru – un peut oui, merci Haru pour se que tu as fais !
Moi – ce n’est rien voyons ma chérie.

Je lui sourit, et nos lèvres s’unir dans un doux baiser. Je me laisse basculer sur le dossier du canapé la serrant contre moi et allant carreser son dos passant mes main sous son polo. Je sent ses mains se posées sur mes joues eet ses pouce me caresse.

Mon cœur se met à me brûler dans ma poitrine, nos langue se trouve et se câline sauvagement.


Michiru – hm …

Mon cœur s’enflamme, et je la serre de plus en plus fort contre moi. On se décollent doucement et nos fronts se caressent, et les battements de mon cœur s’accelaire.


Michiru – je t’aime !
Moi – moi aussi mon trésor.

On se sourit, et nos mains caressent le corps de l’autre. Nos yeux son encrés l’un dans l’autre, je lui embrasse le nez, et fait durer le plaisir. Je descend doucement ferme les yeux et caresse son nez avec le mien, attrapant sa lèvre, et la caresse. Je lui caresse le dos, c’est impressionnant à quel point je peut la désirer, à quel point je suis attiré par elle. Je sent ses lèvres répondre à mon petit jeu, et elle fait pareille.

Moi – si tu savais ( l’embrasse ) à quel point je te ( l’embrasse de nouveau ) désir ma tendre Michiru.

Je sent sa langue s’enrouler dans la mienne, elle s’approche et vint se coller à moi, en manque d’oxygène on se décollent, je lui sourit, lui tapote le bout du nez, et sa voix me murmure :

Michiru – moi aussi, je te désir plus que tout … Ma jolie blonde.

Je sourit, et caresse sa joue. Notre petit câlin dura un petit moment, et sans faire attention, nous nous étions endormies sur le canapé. Michi dans mes bras.

Eh voila la fin de ce chapitre, en espérant ne pas
Mer 23 Oct 2013, 14:54 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 6

Hello hello, voici le chapitre 6 un peut court, mais toujours regorgé de douceur et d’amour ^^ bonne lecture :


Chapitre 6 : Une belle preuve d’amour

Point de vue Narrateur.

Voila maintenant deux petit mois qui se sont écoulés sur la capitale Japonaise. Depuis l’anniversaire de Michiru beaucoup de chose se sont produite, cette dernière était partie en stage pour une durée de 4 semaines pour parfaire ses connaissance en mathématique pour ainsi pouvoir réaliser le rêve de sa défunte mère. Pendant ce temps Haruka continuer son train train quotidien, bien que la vie lui semblais un peut plus triste sans Michiru. Elle n’avait qu’une seule hâte : que cette dernière revienne, car avec son stage, et les réunions de parents d’élèves ainsi que de conseils de discipline elles n’avaient pas pue se revoir et passer du temps ensemble. Nous nous retrouvons devant chez la jeune blonde ou la bonne humeur régnais. A l’intérieur de ce petit studio se trouvait Michiru et Betty qui faisait de la cuisine préparant un gâteau pour l’anniversaire d’Haruka.

Point de vue Michiru.

Ah … Me tarde que Haru revienne, elle ma tellement manquée. Je suis rentré aujourd’hui de Tokyo, et même si c’est 4 semaines de stages ont étaient très longues c’était très constructif et j’ai aquis bien plus de connaissance ce qui me rendait de très bonne humeur.

Malgré sa, comme Haru et moi on a pas pue se voir, nous n’avons pas pue faire son anniversaire, et même si nous étions le 15 décembre, je voulais lui fêter ses 24 ans avec madame Clife qui est une ses plus proche collègue.

Madame Clife – alors Michiru dis moi comment c’est passé ton stage ?
Moi – parfaitement bien, j’ai appris beaucoup de choses au cours de ses 4 semaines comme résoudre des équations comment faire pour placer le x en tant voulut dans un calcul mental. C’était tout bonnement génial.
Madame Clife – c’est très bien tout sa … Oh mais, c’est jolie ce que tu as autour du cou. C’est ton petit ami qui te la offert ?

Si vous saviez qui m’a offert cette petite chaîne vous serez bien surprise. Ah cette chaîne, je les garder tout au long de mon apprentissage, sa me faisait penser à elle à chaque fois. Ah ma jolie blonde j’ai hâte que tu revienne à la maison, car bien des choses ont changé durant ses 4 semaines d’absence.

Soudain je sent mon téléphone vibrer, surprise, je prend ce dernier en main et regarde qui cela peut être. J’eue un grand sourire en voyant que c’était Haru qui m’appeller, je met les écouteurs et répond à l’apel, le cœur battant à la chamade.

Haruka – bonjour ma chérie !
Moi – Ah … Si tu savais comme il est bon d’entendre ta voix.
Haruka – oui c’est vraiment agréable de pouvoir t’entendre de nouveau. Alors comment c’est passé ce stage.

Je sourit, c’est un bonheur de l’entendre de nouveau, je verse du lait dans un récipiant et madame Clife qui me sourit se met à remuer.

Moi – bah sa c’est supère bien passé, j’ai appris beaucoup de chose, et cela était une expérience très enrichissante.
Haruka – tant mieux alors.
Moi – oui, et toi alors comment ça va ?
Haruka – ça va, un peut fatigué de ses réunions et conseils, le directeur est parti faire des photocopies d’un dossier, donc j’en aie profité pour t’appeller.
Moi – c’est vraiment très gentil. Si tu savait à quel point tu m’as manquer Haru.
Haruka – toi aussi chaton tu m’as beaucoup manqué, et je n’aie qu’une hâte, c’est celle de rentrer.
Moi – ah bonheur, je vais pouvoir retrouver tes bras !
Haruka – oui moi aussi, vite que la réunion se termine, je t’envoie un message dès que je sort du lycée.
Moi – d’accord pas de souci ma jolie blonde.
Haruka – aller je te laisse, le directeur reviens, bisou mon cœur je t’aime à ce soir !
Moi – bisou ma chérie je t’aime aussi !

Et heureuse la communication se coupa. Je retire les écouteurs et pose mon téléphone sur le plan de travail. Mon cœur battait tellement vite, j’abordais un magnifique sourire, trop heureuse de l’avoir entendue.

Madame Clife – eh bien, sa à l’air de bien se passer … Mais, tu aimes les filles ?
Moi – oui.

Sans prêter attention à son regard, je continue de préparer le gâteau. Par la suite, je mit se dernier au four, et alla me préparer. Je monte à l’étage, et m’enferme dans notre chambre. J’enfile simplement une robe bleu écume, avec un petit cache cœur bleu ciel.

Je met les boucles en argent qu’elle ma offert, est me maquille légèrement avec un peu de laïner noir et du rouge à lèvres rouge. Je laisse mes cheveux lâchés juste à les tenir avec de la laque pour les faire tenir sur le côté gauche. Puis enfin j’entend mon téléphone vibrer, avec précipitation je le saisit et consulte ma messagerie.

« je suis là dans 5 minutes »

Sa y’est elle arive, bonheur bonheur bonheur. Avec le grand sourire, je descend, et préviens madame Clife et monsieur Gastempête que Haruka allait bientôt arrivé.

Madame Clife – ok, on se tiens prêt !
Monsieur Gastempête – oui.

Contre toute attente j’allai me cacher derrière le frigidaire et attendit avec le cœur battant à la chamade que ma jolie blonde arrive.

Point de vue Haruka.

Une fois arrivé devant l’immeuble, j’allai me garer au parking, éteins le moteur me détache et sortie avec mon sac. Remettant ma chemise en place. J’avais hâte de la retrouver. J’enclenche l’alarme, et enfin me dirige vers l’entrée du bâtiment. Ah … Cette journée ma épuisée, j’espère que je n’aurais pas à faire sa tout les jours.

Une fois prêt de la porte de chez moi, j’ouvre la porte et la …

?? - SURPRISE !!!!

je reçu des confetti en pleine figure, et cela me fit sourire, me doutant bien de qui était derrière tout sa.

Moi – Betty, Clément ?? mais que faite vous ici ?
Betty – enfin Haruka, même si nous somme en retard, nous fêtons ton anniversaire.
Clément – bon anniversaire !!
Moi – euh … Merci.

Je pose mon sac, et regarde dans tout les coin si je ne la voie pas. Mon sourire s’agrandit en la voyant apparaître … Elle est tellement belle, je lui ouvre mes bras, et c’est avec le sourire elle se réfugia contre mon cœur.

Michiru – te voilà enfin de retour.
Moi – bonjour ma chérie, heureuse de te revoir !
Michiru – tu m’as tellement manqué sa était dure 1 mois sans toi.

Je lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire, je m’approche d’elle et lui murmure :

Moi – toi aussi, tu m’as beaucoup manqué Michi …
Michiru – Haru …
Moi – chuut.

Et sans lui laisser le temps de répondre, je posa mes lèvres sur les siennes. Je descend mes mains à son dos, et le caresse, alors que ses doigts à elle caresser mes joues. Ah … Quel bonheur de pouvoir la retrouver, sa voix, son sourire, ses câlins tout ma manqué chez elle. On se détachent doucement, nos fronts se caresse, et je lui dit en écartant une petite mèche de ses yeux :

Moi – tu es magnifique.
Michiru – merci et … Même si c’est en retard, joyeux anniversaire … Ma jolie blonde.

Elle est vraiment adorable, je l’aime. Je caresse sa joue de mon index, lui embrasse le nez, et me dirige avec elle vers mes collègues qui afficher une mine décomposé.

Clément – Haruka tu …
Betty – ce n’est pas possible vous … Mais enfin c’est …
Moi – oui, je suis désolé si je ne vous en aie pas parlé avant, mais oui Michiru et moi sommes ensemble depuis 3 mois.
Betty – mais enfin Haruka, sais tu ce que tu fait, tu est son professeur.
Moi – peut être, mais en dehors du lycée nous sommes deux citoyennes tout à fait ordinaire, et je suis vraiment amoureuse d’elle.
Michiru – quant à moi, je tiens énormément à Haruka, et en suis éperdument amoureuse.
Clément – c’est vrai que vue comme sa …
Betty – mais enfin je … Sa ne peux pas être vrai, vous êtes peut êtes deux citoyennes, mais vous êtes professeur/élève.
Moi – oui mais …
Michiru – après ses 3 mois de bonheur …
Moi/Michiru – nous nous aimons énormément !
Moi – et je ferait tout pour la garder auprès de moi.

Elle me sourit, je lui caresse la joue, et vint l’embrasser avec douceur.

Moi – tu m’attend là je reviens !
Michiru – oui, mais fait vite …

Je l’embrasse sur le nez, lui caresse sa main, et parti à l’étage me dévêtir. En entrant dans notre petit nid d’amour, je remarque un mot sur la table de nuit suivi d’un petit appareil audio avec des écouteurs. Surprise je prend la petite machine met les écouteurs, prend place sur le lit, et lue le mot.

« j’y est mis tout mon cœur »

je sourit, et je vint mettre play, et sa voix sa si jolie voix résonne.

« bon … Euh, par ou commencer ? Haruka aujourd’hui nous sommes le 2 novembre, un jour spécial pour toi … Je te souhaite un très joyeux anniversaire ma jolie blonde, et j’aimerais te dire quelque chose important et qui me tiens à cœur. Voila maintenant 3 mois que nous nous connaissons toutes les deux, je ne vais pas mentir, mais je suis vraiment très heureuse d’être avec toi. Lorsque je t’aie vue la première fois au lycée, je n’oser pas le dire, mais je t’admirer déjà, tu as vraiment fait fondre mon cœur sous tout les angles. J’étais tellement heureuse de savoir que tu éprouver la même chose que moi, je t’aime vraiment beaucoup et ne souhaite que te voir heureuse. Après j’ai beaucoup réfléchit, et je suis aller me renseigner à la mairie pour pouvoir se marier un jour, la femme qui ma reçu ma dit qu’il falait aller à la mairie et signer des papiers et après le mariage pourrais se faire, j’aimerais de tout mon cœur fonder notre propre famille à toute les deux afin que tu soit heureuse, car peut importe ce qu’il arrivera je serait toujours là pour toi pour t’épauler et te soutenir, des disputes il y en aura comme dans tout les couples mais je veux dire que je serait la avec toi dans les bons et les mauvais moment. Pour moi tu est toute, ma jolie blonde ma femme à moi que j’aime tant, ma chérie … Mais surtout tu est ma plus belle histoire d’amour Haruka, et avec toi, je sais que je pourrais avancer. Voila je tes dis tout se que je ressenter, je t’aime et sa éperdument mon amour je t’embrasse très fort et j’ai hâte de rentrer à la maison pour te serrer dans mes bras. Joyeux anniversaire ma chérie je t’aime. »

plusieurs larmes roulent sur mes joue, des larmes de joie et de bonheur. Se qu’elle a dit ma profondément touché, personne à part elle et Greg ne m’avait montré autant d’attachements, Greg est mon petit frère de trois ans seulement, mais pour des raison financière il est parti, et je me suis retrouvé seule avec des parents qui ne mon jamais porter dans leur cœur, qui ne mon jamais aimé, ma mère après quelques années de lutte acharné est morte d’un cancer, mais malgré tout je l’aime et la porte dans mon cœur. Je ne suis jamais tomber amoureuse … Jusqu’à ce que je rencontre Michi, elle a réussi à me faire changer d’air, elle ma comprise après lui avoir une partie de ma vie. Elle ne ma jamais rejeter, et par moment j’ai l’impression d’en profiter, profiter de sa gentillesse, mais je l’aime et en suis profondément amoureuse, je ferait tout pour pouvoir la garder avec moi.

D’une main tremblante, je prend mon téléphone et lui envoya un sms. J’avais besoin d’elle là maintenant. Je l’entend monter, et la voilà. La porte se ferme et je sens ses mains se poser sur mes genoux.


Michiru – qu’es ce qu’il y a ma chérie ?

Je ne dit rien et vint la prendre dans mes bras, la serrant contre moi. Laissant mes larmes de bonheur se déverser.

Moi – merci … Merci d’être la chaque jour avec moi, se que tu as dis ma beaucoup touché, et je suis heureuse de voir que tu prend nos projet à cœur … Ma douce et tendre Michiru je t’aime si tu savais à quel point je peux t’aimer, peut importe se qui arrivera je ferait tout pour te garder avec moi, j’ai déjà perdu trop de personne que j’aime et je n’aie pas envie que tu soit la seconde.

Je lève mes yeux afin de la regarder, ses mains se sont posés sur mes joues et d’un geste tendre elle efface mes larmes.

Michiru – tu sais … Bien que jeune, j’étais sincère dans mes propos, tout se que j’ai dis, je l’aie dis avec le cœur … Mon amour, je t’aime plus que tout, et ferait moi aussi tout pour te garder prêt de moi, car j’en suis consciente je suis éperdument amoureuse de toi, et veux crée un avenir heureux avec toi, même si sa doit prendre 2 3 jusqu’à 4 ans, je m’en fiche, tout se qui m’importe et de t’aimer et te rendre heureuse, car … Tu es la femme de ma vie, je t’aime Haruka et sincèrement.

Je sourit tendrement, lui caresse la joue, et vint poser mes lèvres sur les siennes. Ses bras enroule ma nuque, et ses doigts caresse ma chevelure. Je laisse mes mains caresser son dos, allant tendrement caresser sa langue. Je l’aime, s’en est devenue ma drogue, et je ne veux pas que sa s’arrête, je vint la serrer dans mes bras, laissant mon cœur s’exprimer. Ont se détachent doucement, et je vint lui caresser la joue lui offrant mon plus beau sourire.


Moi – je t’aime ma chérie, je t’aime si fort.
Michiru – moi aussi Haru et vraiment très fort.

Je lui sourit, l’embrasse doucement, et c’est avec le cœur léger et sa main dans la mienne, que nous descendions les escaliers.

Betty – à vous voilà … Haruka ? Mais enfin qu’es ce qui t’arrive ?
Clément – ta les yeux rouge.
Moi – ce n’est rien, c’est juste un trop plein d’émotion !

Je prit tendrement Michi dans mes bras, et vint la câliner. Sa tête se pose sur mon épaule gauche, et ses mains s’emêlent avec les miennes.

Moi – en tout cas merci beaucoup, c’est très gentil d’avoir penser à mon anniversaire !
Clément – oh mais tu sais, c’est surtout Michiru qu’il faut remercier, c’est elle qui a tout organisée.

Je sourit, regarde ma douce dans les yeux et lui dit en caressant son ventre :

Moi – dans ce cas … Merci à toi mon trésor.
Michiru – ce n’est rien, c’est tout naturelle !

Je lui sourit, et dépose tendrement mes lèvres sur les siennes. Oui maintenant je c’est que avec elle je peux être heureuse.

Puis après ce doux baiser, Betty et Clément mon offert mes cadeaux. Clément m’a offert un livre sur les blagues, et cela me fit rire, repensant à nos petits délire en salle des professeurs. Betty elle m’avait donné un cadre avec comme photo toute l’équipe des enseignant avec chacun leur signature.


Moi – merci, sa me fait siupère plaisir !
Betty – j’espère que tu continuera à être une exélente professeur !
Moi – ne t’inquiète pas pour sa.

Puis j’ai vue Michi se mettre face à Betty, se qui me surpris.

Michiru – madame Clife, je ne vous demande pas de sauter de joie face à notre révélation, juste à accepter le fait que nous soyons ensemble, vous savez, je l’aime profondément et sincèrement, et ne souhaite que son bonheur.

Elle c’est tourné vers moi et a dis :

Michiru – peut importe notre statu, je continuerais à l’aimer aussi fort que je le peut, c’est pourquoi aujourd’hui mercredi 15 décembre j’ai quelque chose d’important à lui demander, et je ne prend pas sa à la légère, je suis tout à fait sérieuse.

Elle commence à me faire peur, bien qu’elle aborde un magnifique sourire, je me demande bien se qu’elle a derrière la tête. Je voie ses mains prendre les miennes, et ses jolie yeux azur caresse mes prunelle émeraude.

Michiru – Haruka, depuis notre rencontre tu as réussi à faire de ma vie un véritable compte de fée, j’aimerais à mon tour pouvoir rendre la tienne encore plus belle et faire de notre histoire une merveilleuse aventure. Alors moi Michiru Kaio j’aimerais te demander quelque chose !

Ne me dite pas que … Ce n’est pas vrai, si c’est bien se que je pense elle va me rendre encore plus heureuse que je ne le suis déjà. Je la voie poser son genoux droit sur le sol, et sortir d’une petite poche de son cache coeur une boîte noir, non, ma tendre chérie je t’aime.

Elle a doucement ouvert l’écrin, là ou je vis tout mon bonheur.


Michiru – par cette bague, j’aimerais te demander sincèrement … Haruka Tenoh veux tu devenir ma femme.

Je ne sais plus quoi dire, je n’aurais jamais crue qu’elle puisse avoir le courage de demander ma main, je m’approche d’elle, et la relève, la dévisageant avec tendresse. Je caresse sa joue, et lui répond avec le sourire :

Moi – oui je le veux.

Son sourire c’est agrandit, et elle ma passée la bague au doigt. Je vint la prendre dans mes bras, lui prend le menton et lui dit tendrement :

Moi – j’espère que tu sais dans quoi tu viens de t’embarquer ? Je ne compte plus te lâcher … Ma chérie si tu savait à quel point je suis heureuse.
Michiru – oui, je sais dans quoi je m’embarque, mais si c’est avec toi, alors je suis prête à tout, et je suis de même très heureuse … Uni à jamais ma jolie blonde ?
Moi – Uni à jamais mon trésor.

Et après ses paroles tendre nos lèvres vinrent crée un instant magique et amoureux. Je n’en reviens pas, elle a eu le courage de me le demander, moi je compter lui faire ma demande le jour de noël, mais le fait que Michi est fait le premier pat me prouve encore une fois que je ne regrette pas notre union. Et que je suis prête à m’engager sérieusement avec elle. On se décollent doucement, et le sourire aux lèvres, je vint l’enlacer tendrement dans mes bras.

Clément – alors sa … C’est une surprise, toute mes félicitations et mes vœux de bonheur les plus sincère à vous deux.
Moi – merci Clément.
Michiru – merci monsieur !
Betty – Haruka, j’espère que tu sais dans quoi tu t’engages !
Moi – oui je le sais parfaitement, mais voies tu, j’ai enfin eu la chance de rencontrer le grand amour, et je ne veux pas le laisser filer. Je l’aime et veux construire mon futur dans ses bras.

Elle c’est mise à sourire, et ses lèvres ont tendrement embrassé ma joue. Je la regarde avec amour, caresse son ventre, et l’embrassa à mon tour sur sa tampe droite.

Betty – bon eh bien … Toutes mes félicitations et que sa dure.
Michiru – merci beaucoup madame Clife !
Moi – merci Betty, merci beaucoup.

Et après sa, nous avons continuer à discuter en mangeant le gâteau que Michi et Betty avait fait. Et c’est plus heureuse que jamais que je câlina Michi tout au long de la soirée. Je l’aime et je compte bien la garder prisonnière de mon cœur.

Et voila c’est fini ^^ bon le chapitre 7 est en cour d’écriture, mais je ferait au plus vite pour le poster. [/i]
Dim 20 Oct 2013, 18:16 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Écouter c'est...

L’écoute est un bon moyen d’aimer. L’écoute est un bon moyen de bien juger. Nous jugeons tous mais pouvons-nous écouter pour mieux juger? Souvent, les gens écoutent seulement pour répondre, pour démontrer leur point de vue. Mais peut-on donner un bon point de vue sans écouter vraiment attentivement? Le jour où j’ai connu l’écoute, le vrai, j’ai été séduite, conquise face aux biens faits sur ma vie et sur mon amour-propre. Je me suis vraiment sentie aimé pour une des premières fois lors qu’enfin, quelqu’un a prit le temps de m’écouter, de s’intéresser à moi. Depuis, j’écoute attentivement. Ce fut l’effet de donner au suivant.

L’écoute m’a transformé positivement car la personne qui m’en a fait cadeau m’a fait ressentir importante et belle. Elle m’a fait prendre conscience que l’écoute permet de s’entendre parler, oui, s’entendre parler. Lorsque le discours est libre, nous avons l’occasion de nous entendre nous-même et souvent, dans ce processus, nous découvrons des solutions pour soi-même; nous faisons des prises de conscience. Des vérités se révèlent. Aussi, quand une personne écoute et prend le temps de découvrir l’ensemble de ce que l’autre vie, elle peut mieux non seulement comprendre mais aussi guider. Pour moi, l’écoute est l’une des plus belles preuves d’amour. Écouter, c’est faire attention à la réalité de l’autre...

Les relations les plus belles sont celles où l’échange est mutuel, où chacun à son temps pour se dire, parler, se . Aussi, l’écoute permet d’observer la vie. De la voir telle qu’elle est. L’écoute est une forme d’observation, qui permet de mieux voir la réalité qui nous entoure. Se retrouver dans un groupe et écouter, observer, c’est là le moyen de bien connaître les autres et de profiter de leurs expériences pour notre propre vie.

Pour écouter, nous avons besoin d’être dépourvu de jugement rapide, pourvu d’attention sur l’autre et non sur ce que l’on se dit par rapport à ce que l’autre dit. Être attentif, c’est de s’oublier un moment, de faire fi de notre discours intérieur pour mieux entendre l’autre. Écouter est difficile, c’est une façon de faire qui demande de l’effort. Écouter c’est aussi parfois faire répéter car il est difficile de se détacher de notre discours intérieur. Celui qui parle ne sera jamais vexé si vous prenez le temps d’admettre que vous avez perdu un moment d’attention, d’écoute. Il saura que malgré votre distraction, votre désir est tout de même de l’écouter.

Écouter guéri les gens... Pour l’avoir fait si souvent, je le sais viscéralement. Je ne peux plus retourner en arrière et tenter de convaincre les gens sans prendre le temps de les écouter. Beaucoup vivent des difficultés face au fait que les gens peuvent se plaindre de leur vie. Mais tous avons besoin de moments d’écoute, qu’importe le contenu du discours. Écouter donne aussi de la crédibilité. Quand on écoute, on sait mieux ce que l’autre peut vivre; alors si un jour celui que vous écoutez vous demande votre avis, vous serez certainement de bon conseil puisque vous connaissez l’ensemble de l’histoire de sa vie ou de ce qu’il vit à ce moment même. Votre jugement sera porteur de connaissances face à leur vie.

Parfois, je peux passer des heures à écouter et j’apprends beaucoup.

L’écoute est un cadeau, pour soi-même et pour l’autre. Il rend intelligent par la compréhension de ce que l’autre vie. Écouter est plus puissant que parler et donne davantage de l’influence sur les autres.

Écouter, c’est aimer et rencontrer l’autre dans ce qu’il vit et c’est un bonbon délicieux de se sentir entendu.
Lun 16 Sep 2013, 00:40 par Peacefulminding sur Articles

Solution pour mon ex

Bonjour a tous


Je suis MELISSA DUMONTIER. Je viens pour témoigner de la compétence d’une personne. Certains pourront croire que je suis venu pour lui faire de la pub oui j’accepte puisqu’il le mérite vraiment d’autant plus qu’il a réussir à réaliser mon vœu le plus cher en moins d’un mois.il y a 2 ans

De cela mon mari avait coupé tout contact avec moi parce qu’il était tombé amoureux d’une autre fille dans son lieu de travail. Après une petite dispute sur ce sujet il a décidé de rompre totalement avec moi. Alors que je l’aimais encore profondément. Je ne pouvais pas supporter cela. Un jour je me baladais sur le net quand je suis tombé par mégarde sur une annonce parlant de retour de l’être aimé. Sans vous mentir des le début je n’avais pas taillé d’importance a cela. Mais j’avais quand même gardé les contacts du monsieur. Tandis que les jours passaient j’avais de plus en plus mal car les amies venaient souvent me dire qu’elles viennent de voire mon ex avec l’autre fille et qu’ils avaient l’air très amoureux. Sans arrière pensé j’ai décidé de contacter le monsieur car comme le disait un proverbe " qui ne risque rien n’a rien" c’est comme cela il m’a demandé nos informations pour une quelconque consultation sans doute je lui ai fournis tout ce dont il avait besoin. Il ne m’a rien pris. Une semaine après les rituels que le monsieur à faire j’ai reçu un texto de mon ex. Un truc du genre " allo bonjour c’était tout juste un petit bonjour comment vas tu?? Bref quelque chose de ce genre. Je n’en croyais pas mes yeux j’ai expliqué cela au monsieur qui m’a conseiller de ne pas lui répondre que c’est le premier signe. Une semaine plu tard cette fois ci c’est un appel. Je n’ai pas décroché car le monsieur m’en avait défendu selon lui et ses divinités si je lui réponds tout est à reprendre a zéro. J’ai suivi ses conseils. Mais la troisième semaine j’étais dans mon jardin entrain de faire la lecture comme d’habitude quand il est venu. J’ai automatiquement reconnu le son de sa voiture. Il était seul j’ai fais comme si de rien n’était. Il est entré je l’ai bien accueillir et comme d’habitude je suis venu pour te rendre visite. Depuis ce temps il m’envoie des messages sans cesse et essaye de m’appeler et c’est comme ça on a repris peu a peu notre relation. J’aurais appris par la suite il s’est disputer avec l’autre fille et qu’ils ne sont plus ensemble. Aujourd’hui il est encore fou de moi. Alors si je me permets de tout cela c’est pour vous faire croire qu’il existe encore le vrai.

Vous pouvez avoir besoin des services de ce maître pour résoudre vos différents : ali.marabout@live.fr ou alimarabout@live.fr



Je suis heureuse dans ma vie grâce à cet homme



Merci
Dim 19 Mai 2013, 02:16 par dumontier10 sur L'amour en vrac

Fraîcheur des beaux jours

Fraîcheur des beaux jours
Me rend coquette sans détour
D’une robe légère, je me pare
Mais des sous-vêtements, je me sépare
Une robe légère et c’est tout
La caresse du tissu partout
Courant d’air coquin
Étonnement de tes mains
À la découverte de ce faux oubli
A la découverte de mon jardin fleuri
J’imagine tes mains me fouiller
À la recherche de petit bout de tissus oublié
De cette recherche, je te laisse imaginer
La finalité n’est pas à ...



Sam 16 Juin 2012, 08:01 par Djinn sur La séduction

Lui dire

Comme si elle avait toujours su


J’ai approché fiévreux, un pays inconnu
Pris un avion volé pour la rejoindre mieux
Inventé pour elle des jours jamais plus vieux
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

La serrer dans mes bras sans bruit et sans chahut
La couvrir de caresses et de mille tendresses
Ne danser rien qu’avec elle des nuits au goût d’ivresse
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

Lui dire des mots d’amour, de ceux qu’on a vécus
Poser chaque syllabe sur ses lèvres sucrées
Construire sur des je t’aime la vie qu’elle a rêvé
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

Lui les joies qu’en moi elle a cousues
Que quand elle n’est plus là, les heures comptent double
Que j’ai dessiné pour elle tout un monde sans eaux troubles
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

M’allonger tout près d’elle je n’en demande pas plus
Prendre sa main dans ma main, la poser sur mon cœur
J’ai caché quelque part ces instants de bonheur
Je voudrais le lui dire, comme si elle avait toujours su

Jime
Mer 13 Juin 2012, 10:39 par Jime sur Parler d'amour

Lasse, je t'aimais.

Je ne voudrais faire preuve de rancune pour rien au monde mais comment oublier le mal fait, je te le demande?
Toi qui sait ô combien oublier est un mot, biaisé, un mot qui nous a tous baisé.
Il te suffit d’une musique pour te souvenir, il me suffit d’une chanson pour que ma mémoire opère le passé.
Tant de fois on se voulait du bien et on se faisait du mal, le monde tournait à l’envers.
L’univers entier s’inversait sous nos pieds.
Je ne veux pas et je n’ai jamais voulu être celle qui dresse la liste des reproches et des remontrances.
Je n’ai jamais voulu souffrir ni nuire à autrui.
La seule nourriture affective je la voulais pure et diététique, je la voulais esthétique mais non chimique.
Bref, je n’ai pas les dons pour faire un roman, mais la poésie l’emporterait tout de même sur les paroles si je me dois de te répondre et de t’écrire.

Je ne peux plus être brève.
Trop de choses sont dans la longueur et le quantitatif et en oublient le qualitatif.
Trop peu de lumière: les gens vivent pour la durée et non l’intensité.
Trop de matériel dans les regards.
Si peu d’arbres.
Le béton a remplacé le vert de nos prairies.
Les amoureux ne savent plus ce que c’est qu’être deux.
On vit une époque d’enfer.
Alors on cherche le bonheur.
Et lorsqu’on le trouve, on a la foi.
La foi en l’amour et en la magie du destin.
En la destinée.
Je pourrais te parler, et bercer tout ton monde, mais devrais-je te parler d’amour?
Doit-on parler d’amour?
Je ne peux rien effacer du passé.
Tu as fait, et tu fais, qu’y puis-je?
Je ne sais plus qui est qui, qui est quoi, qui fait qui, qui fait quoi,
je ne sais même plus pourquoi.
Je sais juste que tu m’as planté à maintes reprises à coup de couteau dans le dos, et que j’ai mis du temps à m’en remettre.
Je sais juste que tu étais là à me laisser agoniser pour morte ensanglantée sur le sol.
La bouche ouverte dégoulinant le sang comme le Christ.
Ce monde est crucifié, je n’y peux rien.
On a les médicaments mais on laisse crever les gens.
Tout ça pour que des requins portent des dents en or à se les casser sur le corail.
Je ne suis plus de ce monde.
Je ne pleure plus, seules les larmes qui lavent ou qui montent aux yeux me révoltent.
Je ne suis plus peinée mais touchée comme je l’ai toujours été.
Je ne suis plus peinée car j’ai appris que la peine nourrissait les requins.
J’ai appris que le malheur des uns faisait le bonheur de certains.
Je ne veux pas manger de ce pain.
Je ne souhaite de mal à personne, ni à toi, ni à quiconque.
Je ne sais pas qui tu es, je ne sais pas qui vous êtes, je suis là seule derrière mon écran en aveugle, mais je n’oublie jamais qui je suis.
Je ne perds jamais de vue que je suis dans un aquarium virtuel ici où certains s’y sont noyés même.
Je ne perds jamais de vue le brouillard de ce port avec ses bateaux et ses fameux poissons.
Je ne perds jamais de vue la mer.
Quoi te dire, j’en ai tellement bavé que j’ai puisé la force dans l’indifférence.
Leur morale, ils peuvent se la garder, j’en ai trop vu, et j’en sais trop pour me taire.
Si en Afrique ils meurent faute d’un doliprane, ici on meurt faute de soutien.
C’est à peu de choses près la même chose: on laisse crever les gens.
Pas mourir, crever.
Pour faire un test, criez au suicide vous verrez, nul ne vous répondra.
Ce ferait écho, vallée, ce ferait au mieux augmenter l’audience.
Et à qui reviendra les bénéfices? à personne qui me lit sans doute.
Ici, en Occident, on préfère ( on exclusif non inclusif ) vendre un poison qui rapporte que commercialiser et rendre accessible l’antidote.
Ce n’est pas l’amour qui tue mais l’usage qu’on en fait.
Je ne regrette pas de t’avoir aimé.
Je déplore l’usage que tu en as fait.
Mais je ne t’en veux plus.
Qui que tu sois.
Je suis fatiguée du succès mal placé, ça ne vient plus me flatter.
Tu ne sais plus ce que je vis.
Je ne parle pas de ce qui me tient le plus à coeur en ce moment là par exemple.
Mes rêves ils sont simples et basiques.
Marre des papillons sur les fleurs, marre de tes problèmes sans solutions.
Quant à l’amitié, je ne pense pas que le mot soit assez adapté au contexte car je sais encore qui sont mes amis.
A trop vouloir forcer, les portes restent fermées.
Il y a une délicatesse à ouvrir une porte.
Si on vole la clé, faut pas s’étonner que la serrure soit changée.
J’en ai simplement marre, même si je voudrais bien te consoler, marre d’être la sauveuse tant attendue que je ne suis pas.
Je ne peux pas t’aider si tu ne t’aides pas toi même.
Lasse, je suis lasse.
Sèche tes larmes, ça n’en vaut pas la peine.
Cherche dans ton présent ou futur comment tu peux inverser la tendance, et changer,
car moi je ne peux plus rien changer.
Je suis bien, du moins je fais aller, et j’ai tiré un trait pour avancer.
J’ai toujours le coeur sur la main, mais j’ai de moins en moins la main sur l’ordi.
J’espère en un meilleur lendemain, encore et toujours, mais je ne cherche plus dans le passé.
Je préfère la nouveauté, le frais, ce qui ne m’a jamais blessé.
Je sais qu’on peut vite être déçu donc je n’y crois plus, mais j’espère encore trouver un trésor.
Quelqu’un qui simplement prendrait ma main sans l’abîmer.
Il n’y a pas de mots pour tout le mal que tu m’as fait, ça ne s’écrit même pas tellement c’est violent.
C’est inommable, impensable.
Inimaginable. Et l’on se moque des excuses virtuelles sans vive voix.
Tu vois beaucoup de mots, trop de maux.
Mes amis ils répondent au moindre appel et ils ne me parlent pas via un pseudo virtuel.
Mes amis n’ont jamais été ma plaie.Même imparfaits.
Ni chaud, ni froid, je n’ai malheureusement plus rien à te dire, ni à toi ni à un écran quelqu’il soit.
J’en perdrais mon humanité.
Ce que j’attendrais de toi? ou plûtôt ce que j’attendais? un trésor de simplicité qui simplement sait me prendre sans m’abîmer.
Sam 21 Jan 2012, 01:44 par maisonverte sur Parler d'amour

Pourquoi ?

- Ta présence m’émeut-elle ?
- Suis-je transportée lorsque je te rencontre ?
- Quelque chose d’indicible m’échappe ?
- Ce... que je ne peux te ?
- Si tu penses que notre histoire est impossible,
pourquoi l’entretiens-tu, à ta manière ?
Mar 04 Oct 2011, 14:30 par évènement sur Mille choses

Sieste flaneuse

sieste flâneuse,


Pressentir celui que l’on aime du bout des doigts, lentement. Découvrir chaque grains de peau, chaque frissons . Laisser chuchoter mes doigts pour te ressentir, te connaître, te ...Laisser le temps prendre son temps, sans précipitation. Sentir chaque tressauts pour mieux deviner, sentir du bout des doigts chaque frémissement. Entendre ton souffle se retenir pour laisser échapper un long soupir. Faire une escale pour déceler un appel, une envie... reprendre plus doucement, pour mieux te donner un tremblement de délice. Se poser. Reprendre ma découverte avec ma bouche. Juste pour connaître le goût de chaque trouble. Te soupçonner impatient dans tes gémissements. Minutieusement sans retenue te faire tressaillir lorsque mes doigts contourne ton désir. Jeu d’ivresse que mes touchers t’offrent avec une infinie tendresse, parce que c’est toi. Cette promenade parsemée de milles éclats laisse entrevoir une pause lorsque tendu je te devinerais. J’entendrais le murmure de ta chair friande d’ effleurements mais savants de manières délicates. Je saisirais ta demande, sans parole, de prolonger cette sieste flaneuse pour te conduire au vertige. Mes doigts, ma bouche se feront complices de ta peau afin de chaparder ton désir.

La sieste flâneuse c’est celle qui offre mais qui ne prend rien. Celle qui veut que rien ne s’arrête. La sieste flâneuse c’est la découverte de l’autre. Celle qui dit encore sans avoir de fin véritable, celle qui annonce le début d’un ravissement certain. Prometteuse d’une complicité amoureuse. La sieste flâneuse n’écoute pas le temps, n’entend pas les bruits. Elle isole de tout pour recevoir un sentiment d’abandon dans sa chair. Puissant et orageux. Torride et douceur qui s’accouplent.

La sieste flâneuse donne faim sans contexte, sans rassasié celui que l’on aime. Douce comme un matin où la rosée prend la place dans des draps, tendre comme la nuit lorsque la lune inonde des corps entrelacés.

fille du peuple
Ven 30 Sep 2011, 05:37 par Fille du peuple sur Histoires d'amour

Aventures amoureuses et sexuelles d’un quasi trentenaire ii

17 mars 2004 dans son journal intime : "Si à trente ans, je suis encore puceau, j’irai quand même chez les putes"

Découvertes

Notre héros avait 24 ans. Il était toujours puceau. Il avait mis une petite annonce sur un site web : "puceau cherche initiatrice".

La semaine de la mise en ligne de cette annonce, il recevait une lettre d’une lectrice de la bibliothèque dans laquelle il travaillait. Elle avait dix années de moins que lui. Sa lettre était une déclaration d’amour. Cela l’avait touché mais il avait du répondre par la négative à cause de son travail et de son âge. Elle rougissait à sa vue. Il fallut attendre qu’il se décidât à mettre une petite annonce pour qu’il reçoive une déclaration d’amour.

Quelques jours plus tard, il recevait une réponse d’une masseuse d’une ville du Nord. Elle l’invitait à se faire masser dans son salon. C’est comme cela qu’à l’aube de ces 25 ans, il alla chez cette femme. Une femme très belle et en petite tenue. L’ambiance de la chambre était calme, tranquille et tamisé. Il y avait une douce musique de fond, avec le bruit d’une fontaine. Elle l’invita à se déshabiller. Il se mit tout nu et alla se coucher sur le ventre sur la table de massage.

Elle commença à le masser en faisant des cercles de haut en bas et des diagonales sur son dos et en lui effleurant l’anus, puis lui chatouillant les testicules. Elle utilisait une huile chauffée à température du corps, une sensation très agréable. Ils discutèrent de tout et de rien. Elle lui demanda ensuite de se mettre sur le dos. Elle lui massa le ventre et aussi les tétons, et encore les couilles, et puis elle prit son sexe bien en main tout en douceur et commença à le branler de haut en bas. Il éjacula et orgasma, elle continua à le masser et lui essuya le ventre avec un mouchoir. Notre héros était heureux. La masseuse lui offrit ce massage qu’il prit comme un don. Et avant de partir, elle lui avait dit que c’était de dommage de donner sa virginité à une inconnue et de faire l’amour pour la première fois sans sentiment. Elle était la première femme à le faire jouir.

Ses relations

Pour son quart de siècle, ses amis lui avaient offert une poupée gonflable, il utilisa cet objet. Il fut déçu car il s’attendait à trouver une pute. Il testa cette poupée mais n’arriva pas éjaculer dans le trou vaginal, il lubrifia la bouche de la poupée. Il enfila une capote et éjacula dans la bouche de cette femme en plastique.

Notre héros avait un très grand carnets d’adresses. Il avait aussi sa bande d’amis. Des véritables amis qui ne l’avaient jamais jugé sur son célibat. Il avait toujours été invité à leurs repas. Ils avaient fêtés tous leurs anniversaires ensemble. Ils se voyaient en moyenne une fois par mois depuis passé dix années. Ces amis avec qui il était sorti de nombreuses fois ensemble- Ils faisaient la noce dans les campagnes de leur région et les cités de leur pays. Sa bande d’amis, il les connaissait depuis qu’il était tout petit. Il était le seul de la bande à ne pas avoir de copine. Les copines de ses amis étaient pour lui ses sœurs. Ils pouvaient se confier à elle. Il recevait beaucoup de petits câlins de leur part. Leurs présences lui étaient bénéfique. Il en apprenait chaque fois plus sur les femmes. Elles lui donnaient des conseils. Il savait que si il avait besoin d’elles, elles seraient là. Elles disaient de lui qu’il était un homme à marier. Un jour, il viendrait accompagner à ces soirées. Sa copine participerait à leurs soirées de filles.

Notre héros fréquentait aussi la rue. La rue juge contrairement aux amis. Il était traité d’homosexuel, de retardé, de croyant et d’anormal d’être encore puceau à 25 ans. Les beaux discours sur le mariage, ces lascars en avaient rien à foutre. Ils venaient tous de familles mono-parentales. Notre héros avait toujours su se faire respecter des autres mais la pression d’être encore puceau selon son statut social augmentait, de plus il avait aussi envie de découvrir le sexe. C’était des gamins qui lui faisaient la morale. Les femmes étaient inexistantes dans ce milieux et quand un lascars manquait à l’appel. C’était qu’il avait rencontré une go. Une fois en couple, le lascars se rangeait si il découvrait l’amour. Il se donnait comme nouveau but la construction d’un foyer. Souvent certains revenaient à la rue mais c’était blessé, endetté et avec une haine contre le genre féminin. Les femmes causent beaucoup de ravage dans la psychologie d’un homme. Ici le langage est aussi beaucoup plus cru. La femme est une pute mais dans le bon sens du terme. Une femme sert à reproduire et son rôle est de rester à la maison. Les femmes se font tourner. L’amour se résume à un film pornographique. Les petites passent à la casserole. Elles seront traumatisées et blessée à vie. Il faut du pognon pour avoir une belle femme. L’idéal féminin étaient les filles de Playboy. La femme était devenue un objet de consommation. Notre héros fréquentait aussi le monde de la nuit, il y avait les lovers. Ces gars se préparaient aussi longtemps que des femmes. Ils peaufinaient des détails comme les sourcils. et se soignaient comme des acteurs de cinéma. Notre héros savait que ces longues heures derrière le miroir étaient bénéfique en femme. Ceux qui choppaient plusieurs femmes dans une soirée. Ces ginos qui ne lâchaient pas l’affaire. Des men qui se prenaient trente râteaux dans la soirée mais la trente et unième demande était la bonne. Ces casseurs de cœurs finissait toujours la soirée chez une chaudasse. Ces gars persévéraient dans le seul but de se vider les couilles et de leurs exploits le lendemain aux lascars du village.

Les initiatrices

Quelques semaines plus tard à 25 ans révolus, il rencontra via petite annonce, une femme qui était d’accord d’être son initiatrice. Elle avait quelques années de moins que lui. Elle travaillait dans le même milieu professionnel que lui. Elle mesurait un mètre huitante pour un poids de soixante kilos. Elle était très expérimentée. Elle était en couple mais un couple libertin. Elle avait beaucoup de lingerie. Elle avait de petits seins. Son sexe était mi-rasé. Ils parlèrent ensemble durant un mois. Il pourrait tout lui faire sauf la sodomie réservée à son copain. Il était en confiance. Ce jour avait bien été préparé. Un jour, ils prirent rendez-vous. Il loua une chambre d’hôtel dans la capitale. Il alla la chercher à la gare et ils allèrent ensemble dans la chambre. Ils s’assirent sur le lit et ils commencèrent. Ils s’embrassèrent. Ils se déshabillèrent. Il embrassa tous son corps de petits bisous. Il la doigta, il lui lécha la chatte, il la caressa, elle le suça, il la pénétra mais il n avait aucun plaisir à cause de la capote. Il continua jusqu’à ce qu’il transpire et ne puisse plus donner, alors il se coucha et elle commença à le sucer longuement et puis elle le finit en le branlant. Il éjacula. Ils s’endormirent l’un à côté de l’autre. Durant toute la nuit, sa main se balada sur ce grand corps féminin, et il l’embrassa, et lui donna des milliers de bisous. Il put enfin découvrir le corps féminin dans sa profondeur et son entier.

Le lendemain, il était un autre homme. Il lui semblait que toute les femmes le regardaient. Il avait changé. Il n’était plus puceau et ne le serait plus jamais.

Le soir même dans une autre ville, il y avait un concert de rap américain. Il était avec ses amis. Avec l’aide de son meilleur ami de soirée, il abordèrent une fille qu’ils connaissaient déjà de vue. Elle était noiraude. Elle avait la même taille que lui et une grosse poitrine. Elle était vêtue simplement comme il l’aimait. Il s’approcha d’elle. Ils dansèrent ensemble et s’approchèrent. Il se cherchèrent l’un après l’autre et puis leurs lèvres se collèrent ensemble. Ils s’embrassèrent. Notre héros remerciait le seigneur pour tout cela. Ils passèrent la nuit ensemble chez un de ses amis. Il en était à sa deuxième expérience sexuelle. Cette fois ci, il y avait de l’alcool et du THC, mais il lui parut qu’il assura mieux que la première fois. La taille de sa partenaire lui facilitait aussi la tâche. Il n’arriva pas à jouir ce soir là. Ils dormirent ensemble toute la nuit. Le matin au réveil, notre héros, pensait qu’il avait enfin trouvé son oiseau rare et que la quête de l’amour serait finie. De plus, il ne pouvait pas simplement coucher une seule fois avec cette fille. Il était obligé de la respecter à cause des liens qui l’attachaient à certains membres de sa belle famille. Il était une personne avec des principes. Il avait couchait avec cette fille et si cette fille voulait de lui. Il la choisirait et l’aimerait- Elle deviendrai sa femme et la maman de ses enfants. Ce petit trésor pensait qu’il réfléchissait à comment il allait la jeter et elle luit dit quelque chose mais il comprit : « Ce n’était que pour une nuit » Il était très déçu mais en même temps délivré! C’était sur un accord commun. Elle aurait pu devenir sa princesse. Il était mal-entendant.

Après ces deux nuits, il avait mal aux muscles mais découvert un nouveau sport : le sport matelas.
Deux soirs de suite avec deux femmes différentes, c’était pas mal pour une première entrée en matière. Il rentra dans son village natal en héros. Il avait des choses à aux mioches de son village.

L’espagnole

Quelques temps après sur un réseau social, il rencontra une espagnole, de onze ans son ainée. Elle était belle. Elle avait un corps de vénus. C’était un ancien mannequin, une femme magnifique. Elle avait des yeux couleurs de saphirs et des cheveux noirs ! Cette femme se confia à lui et lui raconta plusieurs épisodes de sa vie. Elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait perdu sa mère. Son père la battait. Elle s’était enfuie de la maison et avait vécu dans la rue. Elle avait touché à la drogue et à survivait grâce à de petits jobs. Un jour, elle tomba enceinte et apprit que le père de son enfant la trompait. Elle resta forte pour donner le meilleur d’elle-même à cet ange. Elle cultiva une haine et une méfiance des hommes. Elle n’avait plus confiance en l’Amour. Notre héros tomba amoureux de cette femme. Il l’avait séduite par les mots. Ses histoires l’avaient inspirée et il lui avait écrit des textes. Ses textes l’avaient touchée et séduite. Elle était très cultivée et aimait aussi beaucoup lire et surtout le lire. Ils avaient de grands échanges philosophiques et ésotériques. Quand il la rencontra, il était en période d’examen. C’était plaisant d’avoir une copine avec qui parler de ce qu’il avait fait la journée, qui lui tenait les pouces, qui lui souhaitait une belle journée, qui lui donnait du courage, qui partageait avec lui ses joies et ses soucis.

Un soir alors qu’elle était dans une mauvaise phase, elle l’invita chez elle. Il avait les mots justes et une oreille attentive. Il était ici pour la prendre dans ses bras et la protéger. Elle voulait dormir dans les bras d’un homme.Cette première nuit fut magique, comme toutes celles qui suivirent.
C’étaient des nuits enfumées, avec une douce lumière,une ambiance romantique, des caresses, des massages, des bisous, des baisers, des jeux de langue. Il alla à plusieurs reprises chez elle. C’était toujours merveilleux, dans l’amour, dans une entente parfaite, dans une fusion des corps mais sans aucune pénétration, seulement par des caresses, des léchages, des cunnilingus.

Il tomba amoureux de cette espagnole. Il en devint accroc. Il s’y était attaché comme le petit prince à sa rose. Il insista pour la revoir- Il l avait toujours respectés. Il avait tout fait la pour la séduire- Il lui avait trouvé des objets introuvables. Ils se prirent même la tête car il ne comprenait pas qu’elle ne voulait pas être sa copine, mais juste une amie, mieux qu’une amie ! Un jour, elle lui mentit et elle but au lieu de l’accueillir chez elle. Mais lui ne comprenait plus rien !..elle lui fit tourner la tête...Il s’était trouvé un nouveau but. Il commença à lui écrire des lettres- Elle était sa muse...puis il mélangea tout ! Amitié, amour, tendresse, sexe. Il la blessa suite à une rencontre. Il se blessa et abandonna cette conquête. Il était myope.

Cette femme l’avait marquée. L’amour rend aveugle.
Heureusement, que cette femme le respectait et certainement l’avait aussi aimé car elle aurait pu faire n’importe quoi de lui. C’est comme cela qu’il s’intéressa aux femmes dominatrices. Il avait vu chez elle une paire de menottes. Elle avait bien dressé son chien de combat.

Imaginaire de notre héros

Il aimait lire et écrire. Il adorait les livres. Il travaillait en bibliothèque. Il avait lu beaucoup de livres sur les religions, des textes sacrés, des traités d’angéologie, des discours philosophique, des études psychologique, des manuels d’astrologie, des cours de numérologie et des parchemins ésotériques. Il s’intéressait aussi à l’histoire, la géographie ainsi qu’à tous les domaines du savoir universels. Il croyait en l’univers infini. Il était un individualiste. Il voyait en beaucoup de chose des signes mais ces signes se révélaient souvent faux. Il ne savait pas encore les lire. Il en voyait d’ailleurs toujours. Il lisait énormément donc beaucoup de mots défilaient sous ses yeux. Il voyait des signes toutes les deux pages et se créait des films qui ne se réalisaient jamais. Il tombait souvent de haut mais il savait toujours se relever. Il n’avait jamais rencontré personne ces dernières années parce qu’il pensait que son ange lui tomberait dessus tout seul. Il avait marché des kilomètres dans les campagne, les forêt, les villages et les villes dans l’attente de cette rencontre. Il croyait aux contes pour enfant et aux père noël. Il en avait pourtant rencontré du monde mais jamais cette douce-moitié.

Il cherchait dans la réalité ce qu’il avait lu dans des livres. Il en était déçu. Le chemin pour atteindre le monde merveilleux de l’amour et de la joie était semé d’embuches.

Deux livres le marquèrent s’étaient l’Art d’aimer d’Ovide et Le Manuel du Guerrier de la Lumière de Paulo Coehlo. Ces deux livres vont le suivre jusqu’à la fin de cette histoire.

Il tenait aussi un journal intime depuis ses dix-sept ans. Il adorait écrire. Quand il tombait de passion pour une femme,il ne pouvait s’empêcher de lui écrire des doux messages via mail, sms, des romans, des poèmes mais la plus part du temps elles prenaient peur. Elles n’étaient pas habituées à recevoir un tel flot de mots doux indirectement d’Amour d’un inconnu. Elles s’enfuyaient et il n’avaient plus de nouvelles. Il ne lui restait plus que son journal intime.

Il s’efforçait d’être un Guerrier de la Lumière et de promouvoir la Paix, l’Amour et l’Unité !


Différents mode de sexualité

Notre héros en arrivait à des conclusions dramatiques sur les femmes. Elles étaient toutes des putes, des salopes, des pétasses, des chiennes. Il commença à entretenir une haine de la femme. Il se demanda si les femmes aimaient mieux les profiteurs, les enfoirés, les salopards, les violents à des hommes attentionnés, intelligents, gentils et serviables. Il devait arrêter de mettre la femme sur un piédestal.

La femme est un être humain de sexe féminin pouvant reproduire l’espèce humaine après s’être fait fécondée par un être humain de sexe masculin. C’est de l’ordre biologique. Historiquement, cela fait depuis le début de l’humanité qu’elle se fait dominer. Ce mythe est inscrit dans les gènes de ses semblables comme naturel. Il comprit qu’il était un homme et qu’il avait le droit de profiter des femmes. Ce n’était pas un mal dans cette société. La femme sert a assouvir les pulsions des hommes, s’occuper du foyer et élever les gamins.

Notre petit gars se dit alors faisons comme tout le monde, contrairement aux autres, il savait ce qu’il faisait et y allait en toute connaissance de cause. Après tout, il n avait jamais manqué de respect à une femme et apparemment leur manquer un peu de respect était tout à fait tolérable.

Notre héros s’en alla explorer le monde du sexe taxé.

Le sexe est une drogue et comme toute drogue, il y a un marché. C’est comme cela qu’il partit à la découverte des prostituées. Il utilisa leurs services à trois reprises mais s’y promena très régulièrement dans les quartiers chauds de différentes grandes villes. Il appréciait le fait de pouvoir choisir un être humain et le fait des le payer pour un service. Le service était trop court à son goût. Il aimait vraiment trop les câlins et les préliminaires mais cela lui permettait de passer ses pulsions sexuelles.

Sa première prostituée était une brésilienne habillée tout de blanc. Elle avait un joli cul. C’était une jolie blonde avec un beaux corps. Elle se trouvait sur l’avenue de la route de Genève dans la capitale. Ils étaient ensuite allé dans une chambre à côté de la rue. Elle lui avait demandé l’argent avant, et puis elle s’était déshabillée. Il s’était aussi déshabillé. Elle lui avait nettoyé le sexe et son entres-jambes avec papier humide. Elle l’avait branlé un peu, histoire de faire gonfler son membre et lui avait enfilé une capote...elle l’avait sucé...ensuite elle s’était mise comme une chienne afin qu’il la prenne en levrette. Il n’avait jamais essayé cette position et elle remarqua qu’il était un débutant. Elle se mit alors sur le dos et leva les jambes et il l a pris en position du missionnaire...Il la pénétra mais cela ne venait pas, puis elle a serré son vagin et il est venu d’un coup en elle...Elle lui a enlevé le préservatif et essuyé, son sexe. Elle lui a fait comprendre qu’il pouvait se rhabiller et puis il était sortit et notre héros était rentré chez lui...un billet bleu pour ça ! Il avait découvert le sexe taxé...La prostitution était légale dans son pays. La majorité sexuelle était à seize ans. Ses deux autres expériences eurent lieu dans une capitale européenne dans laquelle les prostituées peuvent louer des vitrines pour mieux se mettre en valeur. Il choisit une petite noiraude, étudiante, d’origine italienne. C’était caillante, un suck & fuck pour 50euros ! Et puis une grande blonde, d’origine portugaise avec qui c’était trop bon...et qui le chauffa grave. Elle lui faisait des envies de bisous, mais sans l’embrasser et fit une toute meilleure entrée en matière que les deux autres. Elle était certainement déjà plus expérimentée ou contente d’avoir un joli jeune homme comme client. C’était sa dernière et meilleure pute. Maintenant, il savait que si il avait de l’argent, il ne serait plus jamais en manque de sexe. Cette expérience lui enlevait un grand poids dans sa vie.

C’est comme cela que par une escapade dans une ville européenne, il se fit entraîner dans un cabaret. Jennifer l’accostât. C’était une normande, une belle femme, une grande blonde, habillée très classe et raffinée, elle portait un immense décolté. Elle l’emmena dans une pièce. C’était une pièce entourée de rideaux rouge et bleu tout en velours. C’était un cadre luxueux rien que pour lui et elle. C’était très classe ! Il n y avait qu’une table et un banc. Ils assirent l’un à coté de l’autre. Ils parlèrent ensemble- Il pouvait la caresser, la toucher, lui faire des bisous...elle lui fit une danse très chaude, ou elle se frotta contre lui et lui prodigua quelques caresses. Il resta trois heures en sa compagnie et il but une bière , elle but un cocktail et ils burent une bouteille de champagne pour 760 euros. Notre petit homme s’était fait roulé. Il s’était fait arnaqué. Il était tombé sous le charme de Jennifer. Les racoleurs ont bien vu qu’il était un naïf touriste, mais un bon touriste se fait toujours arnaquer. Un monde de faux-culs et d’hypocrites qui n’ont d’intérêt que l’argent que vous avez. Un business très bien géré et totalement légal. Il était rentré démoralisé à son hôtel et il était allé se branler dans les toilettes de celui-ci. Après dans la journée, il s’acheta le manuel du guerrier de la lumière et tout alla mieux. Ce n’était pas si grave.

Un soir sur un chat, il discuta avec un pseudo "homme-passif". Notre héros lui demanda : « ce que cela voulait dire ? »il lui écrivit : « Viens chez moi et tu verras » . C’est comme cela qu’il arriva chez ce type, qui était tout nu avec un collier et une laisse. Ce gros balèze lui dit avec une voix de tapette : « Vous êtes le Maître, je suis le chien! »
Heureusement pour notre héros qu’il possédait un chien au foyer familial et qu’il savait comment s’y prendre. Ce soir là, il découvrit le bdsm et expérimenta plusieurs pratiques sm. Il revit une autre fois cette pute mais lui demandant de se travestir. C’était une soumise avec une bite. Le jeux de la domination lui plaisait bien mais il n’aimait pas les hommes. Il se fit lécher l’anus et sucer les couilles- Il a fessé cet esclave avec divers moyens comme une cravache et un martinet. Elle demandait que son nouveau Maître y aille encore plus fort. Enfermé dans cette cave et ayant vu pleins de films de taulards, il sodomisa cette chienne et lui fit une éjaculation faciale. Enfin il adora jouer le rôle de master bdsm et il aima prendre un rôle comme dans une pièce de théâtre. Il aima surtout pouvoir frapper une personne avec son consentement. Il découvrait une nouvelle façon de vivre la sexualité. Il n’a pu embrasser cet homme. Il ne s’est pas laissé mettre un doigt dans le cul. Il n’avait pas d’attirance pour les hommes. Il se décida à ne plus avoir d’expérience homosexuelle mais ne renoncerait pas aux jeux de la domination si il rencontrait une soumise consentante. Il la guiderait volontiers dans un accord commun.

Un après-midi sur un chat, il rencontra une vielle nymphomane de cinquante ans son ainée...Une véritable chienne. Ils se donnèrent rendez-vous dans la gare du Nord. Ils vinrent le chercher à la gare. Elle portait un simple manteau, avec un soutien gorge, un porte-jarretelle et des talons aiguilles- Elle était maquillée. Elle était rousse. Elle s’était parfumée. Ils s’installèrent à l’arrière de la voiture. Son époux conduisait et ils commencèrent à se chauffer dans l’auto. Elle était vielle mais excitante. Ils commencèrent à se toucher, à se caresser, à se faire des petits bisous pendant que la voiture traversait la ville. Notre héros se croyait dans un film de cul. Son cocu de chauffeur s’arrêta dans une clairière en forêt et il sorti...et elle mouillait comme une truie...elle n’avait jamais autant mouillé ce qu’elle lui avoua quelques jours après sur msn. Il la pelota et ensuite elle lui prit le sexe dans la main et il éjacula précocement...cette situation était tellement excitante...il lui mit deux doigts dans le vagin et la doigta activement, le temps que son érection revienne...une fois le gland redevenu dur...il enfila la capote...et baisa cette vielle salope...ensuite il la retourna comme une chienne...il se prenait pour une star du porno...mais il avait peur de la craquer...il jouit de nouveau...putain de salope de vielle...Le sexe hardcore s’était aussi possible pour lui ! Il se rhabilla et ils le ramenèrent à la gare! En trente minute chronos !

Virtualité

N’ayant jamais eu de relation, il s’était un créé un substitut à ce manque par l’utilisation de messagerie instantanée. Le fait de draguer des filles, puis de chatter avec elle dans ce monde virtuel lui permettait d’affiner sa plume et de connaître la psychologie féminine. Il avait souvent répété des même histoires. Il s’était pris de passion pour plusieurs filles. Il était aussi passé par une période ou il pensait que rencontrer une soumise serait l’idéal pour son mode de vie. Il avait créé toute sortes de relations virtuelles. Il avait commencé à utiliser ces plates formes de discussion lorsqu’il était au lycée. Il était devenu un chatteur expert en dix années d’activités. Il avait les bons mots et savait rebondir au bon moment. Ces discussions avec ces inconnues lui procuraient du plaisir tel qu’une drogue. Ces discussions lui comblaient un manque affectif réel. Ces relations virtuelles lui avaient même fait baisser parfois sa consommation de nicotine et de THC. Nous vivons dans une société qui en moins de dix ans, faute de place sur la planète, c’est agrandie sur la toile virtuelle. Les sans adresse électroniques deviennent de plus en plus marginalisé. Ces nombreux échanges sur des chats lui avaient évité des nombreuses consultation chez un psychologue. Les dialogues en direct ont quelques qualités mais aussi des défauts. Le plus grand danger est l’isolement car bien que la personne chatte avec plusieurs personnes. Elle n’utilise pas le sens du toucher mais avec la simple lecture de mots sur un écran, l’autre personne est capable de transmettre des émotions, envoyée dans notre cerveau qui font travailler notre imagination afin de provoquer une simple érection ou un malaise d’angoisse comme devant une fille réelle.

De plus comme beaucoup de ses relations réelles étaient parties depuis le terrain virtuel, souvent quand il chattaient avec une fille, il savait qu’il y avait des chances que cette première étape, se suive par une rencontre si le feeling passait entre les deux personnes. Une rencontre ne signifiait pas forcément une partie de jambe en l’air. Ces discussion avec ces femmes virtuelles lui comblait son manque affectif et les trois heures passées quotidiennement à discuter avec elles lui permettait de se mettre travail ou de gérer son association. Il vivait dans les années 2000, les rencontres sur internet étaient une pratique courante.

Il en passera des heures à écrire sur des forums, à envoyer des e-mails à des inconnues, de discuter sur des dialogues en direct. Certaines de ses relations l’enverront droit dans le trou et il se fit encore du mal tout seul. Il croyait en des relations mais rien du tout. Elles disparaissaient sans laisser de nouvelles. Elles ne venaient pas aux rendez-vous. Il était un passionné et dès qu’il commençait à s’éprendre pour une femme, il y mettait toute son énergie.

Il adorait écrire mais ne s’était jamais plus vraiment emballé dans une conquête avec des mots. Il avait remarqué le pouvoir des mots en écrivant à l’Espagnole. Il savait que sa plume était puissante. Il avait de nouveau peur d’expérimenter le sentiment d’Amour.



Redécouverte de l’amour

Après un long chemin parcouru dans l’obscurité et les ténèbres. Il était prêt à redevenir un gentleman. Il n avait pas eu plus de succès, en traitant les femmes de salopes. Il rencontra une fille qui le marqua et avec qui il passa une nuit ensemble. C’était le premier jour de l’an 2010. Il devaient simplement se voir et aller boire un verre, ils dansèrent toute la nuit et finirent par coucher ensemble

Quelques années avant, elle avait été la première à lui écrire un sms suite à une soirée passée dans un festival. Elle avait été adoptée, suite à la mort de sa mère. Elle n’avait jamais connu sa mère biologique. Son pays d’origine était la terre du peuple tupi-guarani. Elle avait des cheveux noirs, des magnifiques yeux toujours très soigné dans leur maquillage. Elle s’habillait style skateuse. Elle n’avait jamais accepté sa féminité. Quand elle s’habillait en fille, elle devenait encore plus jolie. Elle portait des bijoux avec de jolies pierres turquoise qui rendait son visage lumineux. Elle avait un charme incroyable. Il l’avait rencontré lorsqu’il travaillait dans la vente. Elle était en couple mais cela ne les empêchait pas de se regarder et de se sourire tendrement. Elle le kiffait. Plusieurs fois, ils s’étaient croisé au grès du hasard jusqu’à ce festival. Ils restèrent ensemble toute la soirée. Ils discutèrent- Ils allèrent dans la forêt autour du feux de bois et il la raccompagnât à pied jusqu’à chez elle. Il n’était pas automobiliste. Le sms qu’il reçut le lendemain, avait été compris comme un signe. Ils se revirent pour aller voir une jam de graffiti et passèrent encore toutes la soirée ensemble. Il avait fait des efforts et il l’avait invitée contrairement, aux autres filles. Elle lui avait posé un lapin. Ils se revirent plusieurs fois, mais jamais notre héros lui prenait la main, lui touchait le bras ou essayait un quelque conque signe d’affection. Il était encore puceau au début de ses rencontres avec elle. Elle supportait mieux l’alcool que lui. L’alcool et les sentiments amoureux se mélangeait en lui comme un mauvais cocktail. Ce mélange le rendait malade. Leurs échanges étaient aussi très riches. Ils se confièrent mais jamais il lui dit qu’il éprouvait quelques sentiments pour elle.
Ce n’était pas la première fois qu’il se trouvait dans cette situation. Il se créait des amies. Il cherchait des amantes. Il voulait une copine. Il n’arrivait pas à la rejeter. Il se retrouvait dans des situations ambigüe et ce n’était pas la première fois.

Après, il devint fou de cette fille. Il commençait à s y attacher et plus de nouvelles jusqu’à la soirée du 1er de l’an. Ils firent l’amour. Elle lui dit qu’il était une bête de sexe. Elle le suça. Il lui donna pleins de bisous. Il lui dit : « Je t’aime ». Le lendemain, en partant de chez elle, il s’est dit cette fois, super, il a enfin une copine. Il l’aimait et malgré son caractère et ses sauts d’humeurs entre le noir et le blanc. Il était prêt à s’investir dans une relation à long terme. Il était prêt à aider une femme. La joie fut de courte durée, en retournant chez elle et s’attendant à embrasser sa copine. Elle lui dit qu’elle préférait qu’ils restent ami comme avant. Le choc, coup de poignard, heureusement, il avait une tête de mari-jeanne. Il fuma un gros kéké. Il s’en alla. C’était la vie ! Il acceptait. Le combat devait continuer.

Sexualité alternative dans un sens spirituel

Biographie BDSM de notre héros

Découverte de ce monde en 2007.
Pratiques sur deux soumis et un travestis entre 2007 et 2008. Un peu près cinq session de deux heures de temps, soit une expérience réelle en tout de 10h00 de temps.
L’expérimentation me démangeait trop. Le virtuel me lassait, je voulais du concret mais je ne souhaite plus dominer d’homme tant que je n’aurai pas pu dominer une femme. Je ne connaissais encore rien du tout de ce monde. J’ai eu l’occasion avec ces soumis de tester énormément de techniques mais c’est clair que je ne suis pas expérimenté. Je me suis testé au bondage, cire de bougie, travail des seins, traite du soumis, travail de l’anus, les promener en laisse, crachat, insulte, fessée avec ceinture, cravache, spatule en bois, martinet, paddle, obligation de se travestir.

A la recherche d’une soumise pour vie de couple depuis 2008. J’ai le temps et je n’ai plus eu de pratiques sm depuis 2008.
"A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes."


Depuis 2007, j’ai aussi essayé plusieurs fois la domination virtuelle mais cela n’a jamais duré très longtemps, manque de temps des soumises. J’aime bien diriger la vie de la soumise en accord avec que nous avons décidé ensemble. Je peux aussi faire un programme sur mesure, régime, bien être personnel, aide dans le monde professionnel ou simplement pour que tu te dépasses et que tu découvres la soumise que tu es. Mes soumises sont respectées comme des reines car du moment qu’elles m’appartiennent, je veux le meilleur pour elle et que l’on puisse travailler au mieux le programme établis ensemble pour sa progression dans la voie de la soumission. Les choses qui m’appartiennent sont protégées, adorées, et j’en prends le plus grand soin et respect. Je n’oublie jamais qu’avant d’être une soumise,tu es un être humain, et plus particulièrement une femme.

Depuis 2008, je suis en train d’écrire un roman qui a pour cadre le bdsm. Je me suis beaucoup documenté sur le sujet. Entretien avec des Maîtresses, Maîtres, soumises, soumis, ainsi que de nombreuses lectures de livres, articles, blogs, site web, dialogue en direct.

Au plaisir d’échanger quelques mots avec vous.

Meilleures salutations.


Cette petite annonce qui avait plus de ressemblance à un curriculum vitae déboucha sur quelques relations virtuelles et réelles dont deux qui le marquèrent et d’autres qui lui refirent du mal. Il commençait à comprendre les règles du jeux. Un chemin entre amour et haine, entre plaisir et déceptions mais pour ces quelques moments de plaisir, le temps et la patience en valaient la chandelle. C’était dommage de passer à côté de l’Amour, c’est dans le moment présent et futur que nous vivons.

Il rencontra une hermaphrodite. Il s’agit du troisième genre. Cet être humain a les deux sexe comme les anges. C’est une naissance sur deux cents enfants et pourtant il en avait jamais entendu parlé avant cette rencontre. Il n’y eut qu’une courte correspondance et quelques échanges téléphoniques.

Il rencontra aussi par le biais de cette annonce et fit connaissance d’une soumise qui était devenue par la suite une amie-amante. Elle avait une fausse jambe. Elle mesurait un mètre huitante. Sa rencontre a été entourée de signe. Une relation ambiguë s’en est suivie mais qu’il a très bien géré. Il devenait meilleure dans ses relations avec les femmes.

Femme soumise du Sud

Il la rencontra vers la période de Noël sur un chat. C’est une période difficile pour les femmes célibataires car elles sont seules, sans famille. Ces femmes sont très fragiles et beaucoup plus réceptive au doux mots en cette période de l’année. Notre chasseur la séduisit très facilement. Elle ne parlait pas bien le français. Elle lui téléphona et ils se virent le lendemain. Elle vint chez lui. C’était la première femme qu’il invitait chez lui. Il la sauta, vite fait, bien fait et la raccompagna à la gare. Elle le rappela, et il retournât chez elle durant près de six mois. Elle était parfaite. Elle ne parlait pas. Elle lui préparait à manger. Elle lui faisait sa lessive. Elle lui coulait des bains. Elle était un peu plus petite que lui. Elle avait un petit ventre, mais une fois habillée et bien maquillée. Elle devait craquante. Elle avait vingt années de plus que lui. Elle était mère de deux adolescents. Elle était chômeuse. Elle était veuve de son premier mariage. Elle s’était fait trompée par son deuxième époux. Elle était divorcée. Elle était malade. Il n’avait aucun sentiment pour elle. C’était une bonne soumise. Il l’appelait deux fois par semaine. Il allait se vider les couilles chez elle. Ils dormaient ensemble et puis il repartait le matin au travail en ayant déjeuné. Il put s’entraîner à l’endurance. Il la prenait en levrette et lui mettait des claques sur les fesses. Il lui mettait des doigts dans le cul. Elle le suçait longuement. Il n’utilisa jamais de capotes avec cette femme. Il venait très vite la première fois, et puis pour ses deux prochaines éjaculations le temps était bien plus long...il la faisait jouir. Elle l’adorait. Elle en devenait accroc et elle voulait qu’il vienne habiter chez elle. Elle avait beaucoup de qualités mais il n’était pas satisfait intellectuellement. Elle était trop vieille.

Maman

Sa maman l’avait mis au monde au mois de février. La parole divine qui accompagnait ce jour était la suivante : « L’Éternel est avec moi comme un puissant »Il était du signe du du verseau, ascendant scorpion. Il était du signe astrologique chinois Le chien. Il était l’aîné. Quatre ans plus tard, ils étaient arrivés. Il s’agissait de ses deux petits frères, des jumeaux. Il dut apprendre à partager sa maman, sa chambre. Il était souvent inquiet pour elle. Il voulait toujours savoir ou elle se trouvait. Il avait peur d’être abandonné encore une fois. Il développa une certaine jalousie face à ses frères. Ils rencontrèrent pleins de filles. Ils furent dépucelés avant lui. Ils avaient eu les même parents. Elle lui avait toujours recommandé de faire attention, de toujours bien se protéger et que faire cet acte impliquait d’aimer profondément sa partenaire. Elle leurs avait achetés des livres sur l’éducation sexuelle. Malgré tout cela, elle fut sa plus grande femme. Elle lui a donné la vie. Elle l’a aimé. Elle l a nourris. Elle l a caressé. Elle l’a élevé, Elle l’a soigné. Elle l’a éduqué. Elle lui a donné tout l’amour et tous les atouts dont il avait besoin pour prendre son envol dans le monde des adultes. Elle avait toujours fait des régimes. Elle avait toujours eu quelque kilos en trop. Sa maman était belle parce qu’elle était sa maman. Il ne l’avait pas choisie mais il l’avait aimée. Il aimait sa maman. Il était son premier fils. Il remerciait sa maman pour tout ce qu’elle avait fait pour lui. Il savait qu’elle avait donné le meilleur pour lui.


Conclusion

L’aventure de notre héros se terminera ici. Il croit toujours en l’Amour malgré ses déboires. L’écriture de sa vie lui a permis de relativiser et de se dire que dans ses malheurs. Il avait la chance de ne pas avoir de malheur. Il pensait qu’il n’avait eu aucune expérience mais en relisant ses cahiers intimes. Il se sentait encore plus fort et se disait qu’il devait être normal. Il se trouvait encore plus beaux et se réjouissait de se connaître encore plus. L’écriture de ce texte a été une belle thérapie. C’étaient vingt ans de vie mise sur papier.

Cette histoire a été écrite suite à sa dernière rencontre sur un chat. Elle portait un joli prénom. Elle voulait garder contact avec lui. Elle ne l’avait pas repoussé à la lecture de son pseudo, ni de son prénom. En parlant avec elle, il avait vu énormément de signe comme toujours. Ils s’étaient même rencontrés et elle avait envie de le revoir. Elle était malade et elle avait du aller aux urgences. Notre héros invoquait l’univers pour qu’elle aille mieux et se demandait en marchant pour sa soirée... qu’avait-il fait pour mériter cela? Pour une fois qu’une chatteuse acceptait de le rencontrer, il fallait qu’elle tombe malade le jour et à l’heure de leur rencontre ! Elle était restée hospitalisée une semaine. Ils chattèrent beaucoup ensemble. Notre héros se prit d’affection pour cette femme. Elle s’était confiée à lui. Elle lui avait parlé de sa famille, de sa rupture. Elle était jolie. Elle lui avait même envoyé une photo d’elle. Il ne pouvait s’empêcher de l’ouvrir plusieurs fois dans la journée pour la voir. Elle avait des cheveux couleurs d’or, des yeux couleurs ciel et était un peu plus grande que lui. Elle était intelligente et voulait devenir conductrice de locomotive. Elle s’intéressait à ce qu’il faisait. Il avait déjà peur de la perdre. Il essayait de l’ignorer mais il craquait toujours et ne pouvait s’empêcher de lui dire bonjour. Heureusement pour lui ou pour elle, qu’il n’avait plus de connexion internet à la maison. Cette coupure lui a permis de pondre « les aventure amoureuses et sexuelles d’un presque trentenaire. »

Notre héros avait peur qu’elle s’enfuie à cause de son envie de toujours lui parler, lui écrire. Il ne voulait pas la déranger. Il devait retenir ses pulsions pour lui écrire. Il avait envie de la revoir et peut-être créer quelque chose avec elle. De plus, il redoutait de devoir lui dire qu’il n’était jamais sorti avec une fille. Elle allait aussi comme d’autres fuir à l’annonce de cette vérité ou vouloir devenir son amie. Peu importe, elle lui aurait permis de déballer ses confessions amoureuses, d’aller, de l’avant et de continuer son combat. Il s’est toujours relevé. Il désirait bientôt pouvoir démarrer une expérience de vie à deux et c’était clair qu’il ne ferait plus les même erreurs ! Il savait ce qu’il cherchait maintenant !

Il l’avait rencontrée le lendemain après avoir récité « l’invocation du jeune homme à marier ».

Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sms au point final de cette histoire. Sourire.

Fin


Invocation du jeune homme à marier

Seigneur Tout Puissant !
E coutez votre enfant ! ...
Faites-moi trouver femme
Qui vienne calmer ma flamme!
Jolie...je le voudrais bien...
Laide...ça ne me fera rien
Pourvu qu’elle soit gentille
Comme vous Sainte-Pétronille !
Puis, je désire ardemment
Qu’elle ait du tempérament.
Qu’elle soit silencieuse,
Douce, laborieuse ! ...
Bref toutes les qualités
Qui me donneront félicité
Saint-Joseph, Saint Louis, Saint Lazare
Trouvez-moi cet oiseau rare,
Que voudrait chacun de nous,
Et qui doit être chez vous...
Pardon, si je vous dérange...
En somme, je voudrais un ange !


Jeaneck, mai 2011
Mar 17 Mai 2011, 14:41 par Jeaneck sur La vie à deux

Je suis partie, tu ne m'as pas retenu...

    ...Personne ne me retient.
    Jamais.
    Mais toi tu aurais pu.
    Tu aurais dut.
    Tu aurais dut me dire de rester avec toi, car je t’ai accepté. Tu étais, parfait, respectueux, charmant, intimidant, je t’aies cru. Tu m’as trahi. Mais j’ai pardonné. Je regrette de t’avoir rencontré. Tu m’as fait du mal, au point qu’en l’écrivant, je ressente toujours cette intense souffrance. Je n’ai plus confiance en moi, ni en personne. Tu ne vois pas ma souffrance car tu n’es plus là...

    Je n’ose plus te parler, je ne veux plus te parler, tout ce que tu fais c’est me ta vie, tes passions, montrer que tu es plus heureuse que moi. Maintenant que tu as une vie, que tu as un fiancé, je n’existe plus, alors que je t’ai tant aimé. Et toi, tu n’as fait que me briser.

    J’ai parlé, puis pleuré, puis hurlé jusqu’à ce que mon coeur se casse, que ce vide et ce froid l’emplisse. Je n’ai plus jamais aimé après toi. Après 3 ans. Je n’ai plus aimé. Depuis 3 ans, je n’aime plus. La blessure se rouvre, je n’en peux plus... Je suis faible, tu m’as rendu faible. Je n’y arrive plus. Depuis ton mensonge, je ne peux plus y croire. Idéalisation > remise en question.

    Malgré tout, je n’arrive pas à te détester, au contraire. Je te pardonne. Mais je souffre encore. Je souffre car tu m’ignores. J’aimerais pouvoir tout effacer, mais mon passé est toujours là, je m’attarde sur ces choses car elles ont de la valeur, car à cette époque je pensais que tu étais celui que j’attendais. L’ange qui veillait sur moi.

    Mais j’avais tort. Les anges existent-ils ? Suis-je encore capable d’y croire ? Je n’en sais rien, je sais par contre, que tu n’en es pas un. Que sur terre, les anges n’existent pas, car nous sommes humains. Je voudrais un ange, je le voudrais tellement...
    J’en avais un autre, mais lui aussi s’en est allé.
    Et tu ne m’as même pas aidé.
    Quand mon père est parti, tu n’as fait que m’enfoncer. J’avais besoin de toi, j’avais besoin de vous. Mais il n’y avait personne. J’ai lutté. Seule...

    Alors je ne fais plus confiance, pas seulement avec toi.
    Tu n’es pas la seule.
    Les autres aussi.

    Les autres ne me retiennent pas.
    Je m’en vais.
    Je suis triste.
    Pourquoi c’est toujours moi qui pleure ?
    Pourquoi c’est toujours moi qui souffre ?
    Je sais que la vie est injuste.
    Mais le restera t-elle pour moi jusqu’à la fin de mes jours ?
    Pourquoi était-elle juste pour toi ?
    Et pas pour moi ?
    Qu’ais-je fait ?
    Je n’ai rien fait.
    Pour les gens qui ne font rien, la vie est injuste...
    Ou bien c’est ma perception de la vie qui l’est.
    Toi tu dois trouver ça juste. Si tu trouves ça juste, c’est que la justice est propre à chaque personne, je ma définition de la justice n’est pas la même que la tienne.
    Ce n’est pas la vie qui est injuste.
    Ce n’est pas moi qui suis injuste.
    Ce n’est pas toi qui est injuste.

    C’est ma vision de la justice qui est injuste.

    Mais qu’est-ce que la justice ?

    La bonne fortune ?
    Le destin ?
    Je voudrais être la justice.
    Si j’étais la justice, tu serais seule.
    Si j’étais la justice, je te ferais endurer la même souffrance.
    Car tu savais que je souffrirais en apprennant la vérité.
    Tu avais fini de joué, tu as pris ton pieds et tu m’as enterré.

    Je devrais VRAIMENT te détester.
    Mais je ne ressens plus rien.
    Depuis que mon père est parti, je ne ressens plus rien.
    Je me suis protégé. Je n’ai plus voulu souffrir.
    Je ne ressens ni haine, ni joie, ni une réelle tristesse...
    Je ne sais plus ce qu’est être joyeuse, ni être malheureuse...
    Parce que ma définition de la justice veut que les autres souffrent autant que je souffre. Parce qu’elle veut que je puisse avoir ce qu’ils ont... Parce qu’elle veut que je sois heureuse plus que tu ne l’aies.

    Mais la roue tourne.

    Un jour, je serais heureuse.
    Et je te cracherais mon bonheur à la figure, te faisant comprendre que tu n’es plus rien pour moi, que tu n’es que le passé et que mon présent est plus important que mon passé.

    Je vis dans le passé.
    Il faut aller de l’avant.
    Mais je ne peux pas.
    Comment faire ?
    Je l’ignore.
Dim 04 Juil 2010, 20:41 par Nothing sur Amour internet
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