Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur quitte
Flic ou vuyou
Comme tous les matins depuis un mois, Patrick se réveille éssoufflé et en sueur.
Toutes les nuits, c’est le même rêve érotique qui le met dans cet état, il est si intense qu’il a l’impression de l’avoir vécu vraiment.
Il est assis sur une chaise, et une jolie blonde appparaît, elle porte un uniforme de policière (casquette, robe à fermeture éclair,matraque,bas noirs...)
S’approchant de lui, elle commence à se déhancher lascivement sur "Etienne" de Guesh Patty. Il est fasciné et ne la quitte pas des yeux, la température est montée de quelques degrés d’un seul coup.
Elle le regarde dans les yeux et fait glisser très lentement la fermeture éclair de sa robe, et, dénude une épaule puis l’autre et la laisse tomber à ses pieds, dévoilant son corps moulé dans une guêpière noire bordée de rouge.
Elle s’avance vers lui, s’assoit à califourchon sur ses jambes, plonge son regard dans le sien et l’embrasse. Un baiser à peine appuyé d’abord, puis elle passe sa langue sur ses lèvres avant de la lui mettre dans la bouche en un baiser torride. Et attrapant les menottes accrochées à sa jarretiére, elle lui attache les mains aux barreaux de la chaise et se lève pour rejoindre son amie qui vient d’entrer en scéne, une brune incendiaire, et toutes les deux entreprennent de se déshabiller mutuellement, non sans se caresser et s’embrasser, rendant fou de désir leur prisonnier qui se trouve très à l’étroit dans son pantalon.
Il ne se tient plus sur sa chaise et se tortille pour essayer de se libérer, mais c’est peine perdue. Les deux déesses s’approchent , et la blonde s’assoit sur lui, se penche, et frotte ses fesses contre son sexe, tandis que la brune est à genoux devant son amie et lui suçote les tétons, puis la blonde se plaque contre le torse du prisonnier et la brune, entre ses jambes fait tourner sa langue autour de son clitoris.
Pas question de le libérer, elles se relèvent et se mettent à le déshabiller, il se retrouve chemise ouverte, pantalon et caleçon ôtés. Ensuite la blonde grimpe sur lui et s’empale sur son sexe qui est aussi dur que du marbre tant il est excité, et commence à le chevaucher, la brune, elle, postée derrière son amie lui caresse les seins et titille les mamelons qu’elle pince doucement entre ses doigts, puis elles inversent les rôles, notre prisonnier est aux anges, aux prises avec deux superbes créatures. Elles prennent son sexe dans leur bouche à tour de rôle, le suçe, le léche jusqu’ à ce qu’il éjacule et se badigeonnent les seins de sa semence.
Elles le libèrent et partent comme si de rien n’était en lui faisant un clin d’oeil.
Un policier qui rêve d’être prisonnier, psychologie classique me direz vous, de plus je ne crois pas que seuls les flics aimeraient être dans cette situation .
Toutes les nuits, c’est le même rêve érotique qui le met dans cet état, il est si intense qu’il a l’impression de l’avoir vécu vraiment.
Il est assis sur une chaise, et une jolie blonde appparaît, elle porte un uniforme de policière (casquette, robe à fermeture éclair,matraque,bas noirs...)
S’approchant de lui, elle commence à se déhancher lascivement sur "Etienne" de Guesh Patty. Il est fasciné et ne la quitte pas des yeux, la température est montée de quelques degrés d’un seul coup.
Elle le regarde dans les yeux et fait glisser très lentement la fermeture éclair de sa robe, et, dénude une épaule puis l’autre et la laisse tomber à ses pieds, dévoilant son corps moulé dans une guêpière noire bordée de rouge.
Elle s’avance vers lui, s’assoit à califourchon sur ses jambes, plonge son regard dans le sien et l’embrasse. Un baiser à peine appuyé d’abord, puis elle passe sa langue sur ses lèvres avant de la lui mettre dans la bouche en un baiser torride. Et attrapant les menottes accrochées à sa jarretiére, elle lui attache les mains aux barreaux de la chaise et se lève pour rejoindre son amie qui vient d’entrer en scéne, une brune incendiaire, et toutes les deux entreprennent de se déshabiller mutuellement, non sans se caresser et s’embrasser, rendant fou de désir leur prisonnier qui se trouve très à l’étroit dans son pantalon.
Il ne se tient plus sur sa chaise et se tortille pour essayer de se libérer, mais c’est peine perdue. Les deux déesses s’approchent , et la blonde s’assoit sur lui, se penche, et frotte ses fesses contre son sexe, tandis que la brune est à genoux devant son amie et lui suçote les tétons, puis la blonde se plaque contre le torse du prisonnier et la brune, entre ses jambes fait tourner sa langue autour de son clitoris.
Pas question de le libérer, elles se relèvent et se mettent à le déshabiller, il se retrouve chemise ouverte, pantalon et caleçon ôtés. Ensuite la blonde grimpe sur lui et s’empale sur son sexe qui est aussi dur que du marbre tant il est excité, et commence à le chevaucher, la brune, elle, postée derrière son amie lui caresse les seins et titille les mamelons qu’elle pince doucement entre ses doigts, puis elles inversent les rôles, notre prisonnier est aux anges, aux prises avec deux superbes créatures. Elles prennent son sexe dans leur bouche à tour de rôle, le suçe, le léche jusqu’ à ce qu’il éjacule et se badigeonnent les seins de sa semence.
Elles le libèrent et partent comme si de rien n’était en lui faisant un clin d’oeil.
Un policier qui rêve d’être prisonnier, psychologie classique me direz vous, de plus je ne crois pas que seuls les flics aimeraient être dans cette situation .
Sam 22 Oct 2016, 23:28 par
Bridget sur Les liaisons sulfureuses
De lune à l’autre
De lune à l’autre
Ce soir la lune me toque
Tendrement, elle se moque
Elle dispense ses rayons
D’une chevelure nylon
J’entends ses cils battre et
Son cœur murmurer
Ses lèvres sèches ou mouillées
A moi de deviner.
Un silence de soie
Revêt nos corps aux abois.
Nul ne saurait bouger
L’attente perle en secret.
Et l’autre, en qui l’oser
Celui d’escarmouche sage
Tendre élan de passage,
Ou celui gladiateur
Du glaive et de sueur.
A un souffle de la rixe
Nos intérieurs prolixes
Retiennent pour peu de temps
Les courants de ce vent.
Nos murs suintent le désir
Le frêle côtoie le pire.
Au porte du durcir
Mon âme veut s’assouvir
Dans le feu de son antre.
Elle m’incite dans son ventre
De miel et de ferveur.
Primes soubresauts, candeur
Pour s’offrir comme une proie,
Laissent place à l’électrique
Des envolées lyriques.
De deux en un, émois en toi
Le chant des corps que l’on s’octroie,
Me voici m’injectant en fontaine lactée
Dans l’ultime furie de nos corps emmêlés.
Ouverte à cette offrande, banderilles dorsales,
Elle me quitte un instant pour des sphères verticales.
jime
Ce soir la lune me toque
Tendrement, elle se moque
Elle dispense ses rayons
D’une chevelure nylon
J’entends ses cils battre et
Son cœur murmurer
Ses lèvres sèches ou mouillées
A moi de deviner.
Un silence de soie
Revêt nos corps aux abois.
Nul ne saurait bouger
L’attente perle en secret.
Et l’autre, en qui l’oser
Celui d’escarmouche sage
Tendre élan de passage,
Ou celui gladiateur
Du glaive et de sueur.
A un souffle de la rixe
Nos intérieurs prolixes
Retiennent pour peu de temps
Les courants de ce vent.
Nos murs suintent le désir
Le frêle côtoie le pire.
Au porte du durcir
Mon âme veut s’assouvir
Dans le feu de son antre.
Elle m’incite dans son ventre
De miel et de ferveur.
Primes soubresauts, candeur
Pour s’offrir comme une proie,
Laissent place à l’électrique
Des envolées lyriques.
De deux en un, émois en toi
Le chant des corps que l’on s’octroie,
Me voici m’injectant en fontaine lactée
Dans l’ultime furie de nos corps emmêlés.
Ouverte à cette offrande, banderilles dorsales,
Elle me quitte un instant pour des sphères verticales.
jime
Ven 30 Jan 2015, 15:54 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
Re: la chambre de l'intendant ( duo )
La chambre de l’intendant
C’est bien tentant
De rester dans l’alcôve de l’intendant
Quand il est absent.
Ailleurs il est appelé,
Et là, il doit s’ramener…
Située au dernier étage,
Il faut bien du courage
Pour grimper ses escaliers,
Pas d’ascenseur,
Un bon exercice pour le cœur
Deux fois par semaine, Suzette,
La jolie soubrette,
Vient chasser la poussière à coups de plumeau
Et lave à grandes eaux
Tous y passent, meubles, livres, feuilles
Ils en disent des choses tous ses recueils
Même quand Suzette n’est plus là
Pour critiquer les choses déplacées ici et là
Mais la soubrette est tenace
Les crayons n’ont qu’à retrouver leur place
Les bouquins plus dociles sont rangés
Et la poubelle est vidée
L’écran nettoyé, le sol désinfecté
Cette fois elle va pouvoir se reposer
Dans le sofa rapiécé
Après avoir préparé l’eau pour le thé
Bien qu’elle préfère le chocolat
Mais l’intendant n’en a pas
Après avoir sorti sa barre de nougat
Elle quitte ses chaussures
Une liberté qui rassure
Contemple le ciel tout bleu
Et ferme les yeux
Le tic-tac de l’obsolète pendule
En fond doucement ondule
Berceuse qui dans le sommeil va l’entraîner
Elle n’entend pas l’intendant inspiré
Tourner l’huis pour dans la pièce entrer
Et pour cause, par la porte il n’est pas passé
Du miroir il a surgi
Sans l’once d’un petit bruit
De retour d’un voyage en imaginaire
Pour y régler quelques affaires
Le voilà tout surpris
De trouver sur son sofa Suzette assoupie
Il découvre un souffle régulier
Et sous ses paupières beaucoup d’activité
C’est une rêveuse, pour lui ce n’est pas une surprise
Il l’avait deviné la première fois, lorsqu’elle était assise
Une idée lui traverse l’esprit
Non… Ce serait pure folie !
Et pourquoi pas partager ce secret finalement
Franchir à deux c’est peut-être cela l’aboutissement
Il s’assoit et doucement réveille la soubrette
Elle, surprise reste totalement muette
Anxieuse de la façon dont va réagir l’intendant
Lui s’adresse à elle dans l’instant
Vous aimez voyager par le rêve, je le sais
Je suis touché qu’en mon absence vous lisiez
On va dire que c’était une sorte de test ou d’épreuve
Maintenant vous allez devoir vous mettre à l’œuvre
Lisant dans son regard un quiproquo
Il lui saisit la main illico
Et la faisant se relever dans la lumière du soir
Il lui propose de s’approcher avec lui du miroir
Vous intéresse t il de savoir d’où je tire mes récits
Après un court silence résonne un timide… Oui !
Alors tenez fort ma main et suivez moi ce soir
Puis ils font un pas, puis deux vers le miroir
L’impression de tomber, de tournoyer
Pour finir par se retrouver
Debout au milieu d’un immense damier
Un ciel différent; de la couleur,
Partout, de la couleur !
Je sais que vous aimez le chocolat dit l’intendant
Et bien approchez vous de cet arbre là, devant.
Suzette découvre une plante géante
Vraiment fort appétissante
Ployant sous une multitude de fruits chocolatés
L’intendant s’assoit pour la contempler se sustenter
Lorsque votre désir de cacao sera assouvi
Je vous emmène visiter ce monde ci
Il devrait vous conquérir
Il accorde volontiers tous les désirs
Si ça vous tente… Je cherchais une belle âme
Pour y séjourner définitivement
Vous avez le temps pour me répondre Madame
Évidemment
…
caressedesyeux et Patrick Arnoux 24.03.2014 ( Tous Droits Réservés )
C’est bien tentant
De rester dans l’alcôve de l’intendant
Quand il est absent.
Ailleurs il est appelé,
Et là, il doit s’ramener…
Située au dernier étage,
Il faut bien du courage
Pour grimper ses escaliers,
Pas d’ascenseur,
Un bon exercice pour le cœur
Deux fois par semaine, Suzette,
La jolie soubrette,
Vient chasser la poussière à coups de plumeau
Et lave à grandes eaux
Tous y passent, meubles, livres, feuilles
Ils en disent des choses tous ses recueils
Même quand Suzette n’est plus là
Pour critiquer les choses déplacées ici et là
Mais la soubrette est tenace
Les crayons n’ont qu’à retrouver leur place
Les bouquins plus dociles sont rangés
Et la poubelle est vidée
L’écran nettoyé, le sol désinfecté
Cette fois elle va pouvoir se reposer
Dans le sofa rapiécé
Après avoir préparé l’eau pour le thé
Bien qu’elle préfère le chocolat
Mais l’intendant n’en a pas
Après avoir sorti sa barre de nougat
Elle quitte ses chaussures
Une liberté qui rassure
Contemple le ciel tout bleu
Et ferme les yeux
Le tic-tac de l’obsolète pendule
En fond doucement ondule
Berceuse qui dans le sommeil va l’entraîner
Elle n’entend pas l’intendant inspiré
Tourner l’huis pour dans la pièce entrer
Et pour cause, par la porte il n’est pas passé
Du miroir il a surgi
Sans l’once d’un petit bruit
De retour d’un voyage en imaginaire
Pour y régler quelques affaires
Le voilà tout surpris
De trouver sur son sofa Suzette assoupie
Il découvre un souffle régulier
Et sous ses paupières beaucoup d’activité
C’est une rêveuse, pour lui ce n’est pas une surprise
Il l’avait deviné la première fois, lorsqu’elle était assise
Une idée lui traverse l’esprit
Non… Ce serait pure folie !
Et pourquoi pas partager ce secret finalement
Franchir à deux c’est peut-être cela l’aboutissement
Il s’assoit et doucement réveille la soubrette
Elle, surprise reste totalement muette
Anxieuse de la façon dont va réagir l’intendant
Lui s’adresse à elle dans l’instant
Vous aimez voyager par le rêve, je le sais
Je suis touché qu’en mon absence vous lisiez
On va dire que c’était une sorte de test ou d’épreuve
Maintenant vous allez devoir vous mettre à l’œuvre
Lisant dans son regard un quiproquo
Il lui saisit la main illico
Et la faisant se relever dans la lumière du soir
Il lui propose de s’approcher avec lui du miroir
Vous intéresse t il de savoir d’où je tire mes récits
Après un court silence résonne un timide… Oui !
Alors tenez fort ma main et suivez moi ce soir
Puis ils font un pas, puis deux vers le miroir
L’impression de tomber, de tournoyer
Pour finir par se retrouver
Debout au milieu d’un immense damier
Un ciel différent; de la couleur,
Partout, de la couleur !
Je sais que vous aimez le chocolat dit l’intendant
Et bien approchez vous de cet arbre là, devant.
Suzette découvre une plante géante
Vraiment fort appétissante
Ployant sous une multitude de fruits chocolatés
L’intendant s’assoit pour la contempler se sustenter
Lorsque votre désir de cacao sera assouvi
Je vous emmène visiter ce monde ci
Il devrait vous conquérir
Il accorde volontiers tous les désirs
Si ça vous tente… Je cherchais une belle âme
Pour y séjourner définitivement
Vous avez le temps pour me répondre Madame
Évidemment
…
caressedesyeux et Patrick Arnoux 24.03.2014 ( Tous Droits Réservés )
Mar 25 Mars 2014, 18:14 par
caressedesyeux sur Mille choses
La chambre de l'intendant ( duo caressedesyeux/patrick)
[color=blue
C’est bien tentant
De rester dans l’alcôve de l’intendant
Quand il est absent.
Ailleurs il est appelé,
Et là, il doit s’ramener…
Située au dernier étage,
Il faut bien du courage
Pour grimper ses escaliers,
Pas d’ascenseur,
Un bon exercice pour le cœur
Deux fois par semaine, Suzette,
La jolie soubrette,
Vient chasser la poussière à coups de plumeau
Et lave à grandes eaux
Tous y passent, meubles, livres, feuilles
Ils en disent des choses tous ses recueils
Même quand Suzette n’est plus là
Pour critiquer les choses déplacées ici et là
Mais la soubrette est tenace
Les crayons n’ont qu’à retrouver leur place
Les bouquins plus dociles sont rangés
Et la poubelle est vidée
L’écran nettoyé, le sol désinfecté
Cette fois elle va pouvoir se reposer
Dans le sofa rapiécé
Après avoir préparé l’eau pour le thé
Bien qu’elle préfère le chocolat
Mais l’intendant n’en a pas
Après avoir sorti sa barre de nougat
Elle quitte ses chaussures
Une liberté qui rassure
Contemple le ciel tout bleu
Et ferme les yeux
Le tic-tac de l’obsolète pendule
En fond doucement ondule
Berceuse qui dans le sommeil va l’entraîner
Elle n’entend pas l’intendant inspiré
Tourner l’huis pour dans la pièce entrer
Et pour cause, par la porte il n’est pas passé
Du miroir il a surgi
Sans l’once d’un petit bruit
De retour d’un voyage en imaginaire
Pour y régler quelques affaires
Le voilà tout surpris
De trouver sur son sofa Suzette assoupie
Il découvre un souffle régulier
Et sous ses paupières beaucoup d’activité
C’est une rêveuse, pour lui ce n’est pas une surprise
Il l’avait deviné la première fois, lorsqu’elle était assise
Une idée lui traverse l’esprit
Non… Ce serait pure folie !
Et pourquoi pas partager ce secret finalement
Franchir à deux c’est peut-être cela l’aboutissement
Il s’assoit et doucement réveille la soubrette
Elle, surprise reste totalement muette
Anxieuse de la façon dont va réagir l’intendant
Lui s’adresse à elle dans l’instant
Vous aimez voyager par le rêve, je le sais
Je suis touché qu’en mon absence vous lisiez
On va dire que c’était une sorte de test ou d’épreuve
Maintenant vous allez devoir vous mettre à l’œuvre
Lisant dans son regard un quiproquo
Il lui saisit la main illico
Et la faisant se relever dans la lumière du soir
Il lui propose de s’approcher avec lui du miroir
Vous intéresse t il de savoir d’où je tire mes récits
Après un court silence résonne un timide… Oui !
Alors tenez fort ma main et suivez moi ce soir
Puis ils font un pas, puis deux vers le miroir
L’impression de tomber, de tournoyer
Pour finir par se retrouver
Debout au milieu d’un immense damier
Un ciel différent; de la couleur,
Partout, de la couleur !
Je sais que vous aimez le chocolat dit l’intendant
Et bien approchez vous de cet arbre là, devant.
Suzette découvre une plante géante
Vraiment fort appétissante
Ployant sous une multitude de fruits chocolatés
L’intendant s’assoit pour la contempler se sustenter
Lorsque votre désir de cacao sera assouvi
Je vous emmène visiter ce monde ci
Il devrait vous conquérir
Il accorde volontiers tous les désirs
Si ça vous tente… Je cherchais une belle âme
Pour y séjourner définitivement
Vous avez le temps pour me répondre Madame
Évidemment
…
caressedesyeux et Patrick Arnoux 24.03.2014 ( Tous Droits Réservés )[/color]
C’est bien tentant
De rester dans l’alcôve de l’intendant
Quand il est absent.
Ailleurs il est appelé,
Et là, il doit s’ramener…
Située au dernier étage,
Il faut bien du courage
Pour grimper ses escaliers,
Pas d’ascenseur,
Un bon exercice pour le cœur
Deux fois par semaine, Suzette,
La jolie soubrette,
Vient chasser la poussière à coups de plumeau
Et lave à grandes eaux
Tous y passent, meubles, livres, feuilles
Ils en disent des choses tous ses recueils
Même quand Suzette n’est plus là
Pour critiquer les choses déplacées ici et là
Mais la soubrette est tenace
Les crayons n’ont qu’à retrouver leur place
Les bouquins plus dociles sont rangés
Et la poubelle est vidée
L’écran nettoyé, le sol désinfecté
Cette fois elle va pouvoir se reposer
Dans le sofa rapiécé
Après avoir préparé l’eau pour le thé
Bien qu’elle préfère le chocolat
Mais l’intendant n’en a pas
Après avoir sorti sa barre de nougat
Elle quitte ses chaussures
Une liberté qui rassure
Contemple le ciel tout bleu
Et ferme les yeux
Le tic-tac de l’obsolète pendule
En fond doucement ondule
Berceuse qui dans le sommeil va l’entraîner
Elle n’entend pas l’intendant inspiré
Tourner l’huis pour dans la pièce entrer
Et pour cause, par la porte il n’est pas passé
Du miroir il a surgi
Sans l’once d’un petit bruit
De retour d’un voyage en imaginaire
Pour y régler quelques affaires
Le voilà tout surpris
De trouver sur son sofa Suzette assoupie
Il découvre un souffle régulier
Et sous ses paupières beaucoup d’activité
C’est une rêveuse, pour lui ce n’est pas une surprise
Il l’avait deviné la première fois, lorsqu’elle était assise
Une idée lui traverse l’esprit
Non… Ce serait pure folie !
Et pourquoi pas partager ce secret finalement
Franchir à deux c’est peut-être cela l’aboutissement
Il s’assoit et doucement réveille la soubrette
Elle, surprise reste totalement muette
Anxieuse de la façon dont va réagir l’intendant
Lui s’adresse à elle dans l’instant
Vous aimez voyager par le rêve, je le sais
Je suis touché qu’en mon absence vous lisiez
On va dire que c’était une sorte de test ou d’épreuve
Maintenant vous allez devoir vous mettre à l’œuvre
Lisant dans son regard un quiproquo
Il lui saisit la main illico
Et la faisant se relever dans la lumière du soir
Il lui propose de s’approcher avec lui du miroir
Vous intéresse t il de savoir d’où je tire mes récits
Après un court silence résonne un timide… Oui !
Alors tenez fort ma main et suivez moi ce soir
Puis ils font un pas, puis deux vers le miroir
L’impression de tomber, de tournoyer
Pour finir par se retrouver
Debout au milieu d’un immense damier
Un ciel différent; de la couleur,
Partout, de la couleur !
Je sais que vous aimez le chocolat dit l’intendant
Et bien approchez vous de cet arbre là, devant.
Suzette découvre une plante géante
Vraiment fort appétissante
Ployant sous une multitude de fruits chocolatés
L’intendant s’assoit pour la contempler se sustenter
Lorsque votre désir de cacao sera assouvi
Je vous emmène visiter ce monde ci
Il devrait vous conquérir
Il accorde volontiers tous les désirs
Si ça vous tente… Je cherchais une belle âme
Pour y séjourner définitivement
Vous avez le temps pour me répondre Madame
Évidemment
…
caressedesyeux et Patrick Arnoux 24.03.2014 ( Tous Droits Réservés )[/color]
Mar 25 Mars 2014, 18:13 par
caressedesyeux sur Mille choses
L'amour est-il un crime ? chapitre 8
coucou, voici pour vous le chapitre 8, en espérant de ne pas avoir fait de fautes ^^ bonne lecture :
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Mer 23 Oct 2013, 17:42 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
L'amour est-il un crime ? chapitre 7
Eh bien bonjour tout le monde désolé de ce petit retard, mais le chapitre bien qu’il soit moyennement long à prit un peut plus de temps. Donc le voici bonne lecture ^^
ps : il y a un lemon donc + 14 pour ce chapitre âmes sensible à s’abstenir merci !
Chapitre 7 : Noël approche
Point de vue Haruka.
Depuis la demande en mariage, deux semaines venais de s’écouler, et les vacances d’hiver furent enfin arrivé. Il est au alentours de 21 heures, et je me retrouvait dans le salon regardant un peut la télévision. Michi prenait sa douche, et je l’attendais. Ah … Et dire que nous allons passer notre premier noël ensemble, sa me rendait heureuse et nostalgique à la fois.
Michiru – ah … Quoi de mieux qu’une bonne douche.
Elle se dirige vers moi, et vint prendre place à ma droite. Passant son bras gauche derrière mon dos, et lovant sa tête au creux de mon cou, sa main droite se posant sur ma poitrine. Je sourit, je vint allonger mon bras droit sur ses épaules, et de ma main gauche je vint tendrement lui caresser l’épaule. Mh elle sent vraiment bon, et elle est très jolie ainsi. Elle porte un petit short blanc accompagné d’un long polo beige à manche longue, elle a des petite lunettes noire sur les yeux, et ses cheveux son tiré vers la gauche. Elle est vraiment jolie comme un cœur.
Michiru – dis Haru, je peux te poser une question ?
Moi – bien sur mon ange. Qui y’a t-il ?
Je vint couper la télévision et vint mettre Michi sur mes genoux. Entourant son dos, et le caressant.
Michiru – es ce que tu pourrais venir avec moi demain, chercher mes affaires dans mon ancienne maison, même si mon père n’y est plus elle est encore ouverte.
Moi – oui pourquoi pas !
Michiru – merci ma chérie, je t’aime.
Moi – moi aussi mon trésor je t’aime et plus que tout.
Elle me sourit et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Je souris et répond à son baiser en l’allongeant sur le canapé. Ses bras s’enroulent autour de ma nuque, et ses doigts allèrent caresser ma cheveulure. Cela me rendait si heureuse de me retrouver comme sa avec elle, sans que personne ne se mettent en travers de notre petit nid d’amour.
Je laisse ma main droite monter à sa cheveulure et mes doigts s’emmêlent à l’intérieur, et de mon pouce caresse ses cheveux. Alors que je laissa ma main gauche allait gentiment caresser sa cuisse.
Nos langues se trouvent et se caressent tendrement entres elles. Je remonte doucement afin d’être à sa hauteur, et vint la serrer dans mes bras.
Michiru – hm …
Mon cœur se mit à tanguer dans ma poitrine, une monté d’adrénaline se répend dans mon corps. Notre baiser s’approfondit, et d’un geste doux, je lui caresse la joue, bougeant doucement la tête pour mieux apprécier ce bonheur qui m’enivre de plus en plus. Nos lèvres se séparent, et je vint coller mon front contre le sien, la regardant avec amour. Son nez se mit à caresser le mien, et cela m’adoucie un peut plus.
Moi – dis moi … Que veux tu que l’ont face, pour notre premier noël ensemble ?
Michiru – plein de choses, mais la première c’est de passer du temps avec toi ma jolie blonde !
Moi – ma chérie … Je t’aime tu sais.
Michiru – moi aussi Haru, et vraiment très fort !
Je lui sourit, caresse sa joue, et la regarde avec douceur. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, elle est tout ce qu’un homme et une femme puisse rêver d’avoir.
Moi – au faite …
Michiru – oui, qui y’a t-il ?
Moi – à propos de notre mariage, tu aimerais porter mon nom, et ou que moi je porte le tiens ma chérie ?
Pour simple réponse, elle ma sourit de toute ses dents, sa main se pose sur ma joue, et me la caresse.
Michiru – eh bien … En y réfléchissant, j’aimerais beaucoup porter ton nom, Michiru Tenoh. Ah … Sa fait rêver !
Je me suis mise à sourire, je lui embrasse le nez, et caresse sa chevelure.
Moi – dans ce cas … Es ce que la futur madame Tenoh m’accompagnerais demain pour allait essayer sa bague ?
Michiru – oui. Oh Haruka, si tu savait à quel point je suis heureuse.
Moi – moi aussi je suis heureuse, heureuse de pouvoir enfin t’aimer librement. Je t’aime mon trésor !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore mon amour.
On se sourit, et dans un geste doux, nos lèvres vinrent se goûter amoureusement. Je laisse tendrement mes bras la serrer contre moi, tout en prenant soin de fermer son cœur à l’intérieur du miens. Ah … Je ne sais plus quoi dire, hormis que je n’aurais jamais crue que l’amour puisse prendre une grande parti de notre vie.
Je retire doucement mes lèvres, et la dévisage avec tendresse, et remarque avec un sourire qu’elle venais de s’endormir. Je me retire doucement, et vint la prendre dans mes bras, j’étteins la petite lampe qui se trouve à côté du meuble ou réside la télévision. Et me dirige vers l’étage. Une fois dans notre chambre, je ferme la porte et vint déposer mon ange sous les draps, lui retirant les lunettes au passage et la couvrit, je caresse doucement sa joue, et parti me dévêtir. J’enfile simplement un pantalon blanc et un tee-shirt de même couleur, et parti ensuite me lover sous la couette. Je vint doucement la prendre dans mes bras, entour son dos, et murmure avant de sombrer dans le sommeil :
Moi – bonne nuit mon cœur.
Je lui embrasse le front, et m’endormis serrer contre ma douce.
Point de vue Narrateur.
Cette nuit là, Haruka tout comme Michiru laissèrent leur esprit vagabonder, mais chacune d’entre elles penser à la même chose : leur mariage ! Un événement important dans la vie d’un couple, cela ne fait peut être que quatre petit mois qu’elles son ensemble, mais chacune d’entre elle avaient ce désir d’assouvir ce dont elles rêve chaque jour depuis leur rencontre, le rêve de fonder une vrai famille, elles voulaient se sentirent plus proche l’une de l’autre, malgré leur statu Haruka et Michiru s’aiment d’un amour profond et véritable, voulant chaque jour tomber dans ce bonheur qui enlace mélodieusement leur cœur.
Point de vue Michiru.
Rah, c’est pas vrai, pourquoi sa passe pas, j’ai un de ses mal de crâne c’est horrible. Je me trouve assise sur une chaise dans la cuisine une tasse de lait chaud à la main, je viens juste de prendre de quoi calmer mon mal de crâne et espère qu’il va vite partir.
Malgré sa, je n’arrête pas de penser à Haruka, et à tout ses évènements qui se sont produit ces derniers mois. J’étais très heureuse d’avoir eu le courage de lui faire ma demande, bien que sa soit tôt j’avais cette envie de me rapprocher d’elle, et de faire partie d’elle, c’est dingue toutes mes peurs se sont envolées, j’ai même réussi a unir mon cœur au sien pendant une nuit … Une nuit magique et inoubliable pour moi, chaque jours, chaque heures ou chaque secondes, j’ai envie de me sentir encore plus prêt d’elle, et sa, il va bien falloir que je réusisse à surmonter cette peur qui me ronge depuis bien trop longtemps à cose de ce monstre. Si je veux pouvoir rester avec elle, il faut que j’y arrive. Et je me donnerais les moyens pour y arriver.
Je laisse mon regard balayer la pièce, et ce dernier tombe nez à nez sur la pendule, cette dernière affiche neuf heure, je vais donc préparer son petit déjeuner, sa m’occupera et m’aidera à penser à autre chose que ce foutu mal de tête.
J’allume la machine à café, et sorti du placard un filtre à café, que je place dans la machine, je prend une petite boîte ou il y avait d’écrit « cofee » et commence à verser un peu de cette substance marron parfumé dans le filtre, branche la machine et appuya sur open.
En attendant que son café soit prêt, je prend un plateau, et y dépose une sous tasse avec quelque tartines que je beurra légèrement. Quand le petit clique de la machine retentit, j’arrête cette dernière, prend le manche du réservoir, et alla verser le liquide noir dans la tasse. Je mit un demi sucre dans ce dernier, le remue doucement, et avec un doux sourire sur le visage, monta à l’étage. Je longe le couloir, et vint doucement entrer dans notre chambre, ou je prit soin de fermer la porte. Je pose le plateau sur la table de nuit, et met mes lunette, j’avais un peut mal aux yeux. Je sens mon téléphone vibrer, je me demande qui cela peut être à une heure si tôt, je déverrouille l’appareille, et remarque que c’est un message, avec un numéro que je ne connais pas, intriguer, j’appui sur lecture et me mit à lire le message :
« Michiru, si tu as ce message, cela veux dire que je ne me suis pas trompé de numéro, j’espère que tu vas bien, et que tu mène la vie dont tu as toujours rêver, celle d’une vie de princesse, je pense fort à toi, et sa chaque jour depuis ma séparation avec toi, je ne vais pas brusquer les choses, car je sais que pour toi sa a étaient très dure, si tu veux de plus ample informations rend toi à cette adresse, la bas ils te dirons se que tu as besoin de savoir, sache que je t’aime ma petite princesse, et espère te revoir très bientôt. »
mais … Qui c’est ? Je fut grandement surprise de ce message, relisant chaque ligne. Aucune idée, et cette adresse ? Je suis perdu d’un coup, il va falloir que j’en parle à Haruka.
Je pose mon cellulaire sur l’oreiller, et me dirige avec le sourire vers ma petite femme, avec douceur, je vint m’allonger sur elle, et la contemple. Elle est tellement belle quand elle dors, et pas que en dormant, elle est belle naturellement. Je caresse doucement sa joue, et écarte quelques mèches de ses yeux sa respiration est douce et régulière, j’ai encore du mal à croire que je me retrouve dans ce genre de situation avec elle.
Doucement ses yeux s’ouvre, et je lui sourit tendrement.
Moi – bonjour ma jolie blonde, bien dormis.
Haruka – bonjour à toi ma chérie, oui très bien, mais dis moi c’est bien la première fois que tu est levé la première.
Moi – ah ah … Il y a une première fois à tout comme on dit, et puis je me suis réveiller avec un mal de crâne atroce.
Haruka – ah … Et sa va mieux ?
Moi – bah j’ai prie de quoi calmer la douleur … Tu sais que tu est belle quand tu dors.
Elle ma sourit, sa main c’est posé sur ma joue, et avec tendresse,
je vint déposer mes lèvres sur les siennes. Mêlant mes doigts dans ses cheveux, mon corps caresse tendrement le sien, ses mains caresse mon dos, et sa langue parti jouer avec la mienne qui était d’humeur câline et sauvage. Mon cœur s’accellaire au rythme de notre baiser qui deviens de plus en plus tendre et long.
Je me sens tellement bien là comme sa, allongé sur elle, goûtant avec douceur, ce plaisir dont je ne me lace pas. Un vrai bonheur. On se détachent doucement, et nos yeux se happent, s’attachent et se dévorent, sa main se pose sur ma joue et ses doigts caressent ma peau.
Haruka – mh … J’aime beaucoup ce côté là de toi !
Moi – lequel mon ange, celui qui se sent timide ou alors celui qui prend les devant ?
Haruka – celui qui prend les devant.
Moi – dans ce cas, je vais tout faire pour ne pas décevoir ma petite femme chérie.
Elle eu un grand sourire, sourire ou sous entendue se montrer, je lui caresse les lèvres la dévisageant avec intensité. Mon dieu c’est … C’est impressionnant à quel point mon cœur bat vite, je sens ses mains passer sous mon polo et ses main caressent mon dos.
Ses mains son si douce, c’est vraiment agréable d’être caressé par elle. Je vint lui embrasser le front, et descend doucement laissant mes lèvres glisser le long de son nez. Arrivé à ses lèvres que j’aime embêter, je la regarde dans les yeux, les siens me caresse, et l’un deux me fait un clin d’oeil, oh Haruka c’est dingue cette envie que j’ai de pousser les limites, ton nez caresse le mien, et tendrement je vint lui mordre ses lèvres, sortant ma langue pour laisser une trace de mon passage sur sa bouche, je voie sa langue sortir et s’emparer de la mienne. Nos lèvres ne se touchent pas, juste nos langue qui se découvre s’enlacent et se caresse, enflamment chaque minutes le désir que je ressent. Je me penche et alla lui embrasser longuement le cou, laissant mes mains baladeuse se faufiler sous son tee-shirt blanc. Mes doigts caresse sa peau, jusqu’à monter à sa poitrine et titiller un de ses mamelons. Ses bras me serre, et me caresse, sa voix lâche des petits gémissement, se qui provoque une décharge à mon cœur, je lui faisait donc de l’effet et s’en est tout à fait plaisant. Je remonte doucement et nos lèvres s’unir dans un tendre et langoureux baiser.
Je pose ma tête sur son épaule droite et monta ma main droite à son visage caressant sa joue et mêlant mes doigts dans sa chevelure, j’avais chaud, mais je n’eu le temps de redire ce mot que ma jolie blonde retira mon polo, et de même je lui retire son tee-shirt. Nos corps étaient préssé l’un contre l’autre, sa main gauche est venue jouer tendrement sur mon visage, et nos langues s’enflammées à chaque caresse. Une étrange mais agréable sensation se fait sentir au niveau de mon bas ventre, un désir brûlent parcour mon corps, je me rapproche d’avantage d’elle, et continue de l’embrasser le plus tendrement possible, laissant libre court à mes émotions et sentiments.
Doucement ont se détachent, mais voulant encore garder cette avidité nos lèvres se tapotes entre elles, créant ainsi de doux petit claquements. Sa main remet en place quelques unes de mes mèches, son sourire ne la pas quitté, et ses yeux son doux et amoureux.
Haruka – tu m’impressionne de jour en jour.
Moi – et ce n’est pas pour me déplaire …
Haruka – chuut … Et si, ont resté là ? Je me sent bien tout contre toi, ma petite femme à moi.
Je sourit, je retire mes lunettes, et lui sourit tendrement caressant sa joue, descendant doucement à ses lèvres. Je m’approche de son visage, et lui embrasse le nez, j’étais heureuse d’avoir réussi à vaincre ma peur, j’ai réussi à dépasser un cap, et me sent encore plus proche d’elle maintenant.
Moi – je ne pourrais te dire non, car tout contre toi je me sent bien et en sécurité. Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon trésor !
Nous nous sommes sourit, et nos lèvres se son caressés délicatement. Je lui caresse la joue, et laissa mon cœur s’exprimer. Quelques petites minutes après, j’avais remi mon polo et Haru son tee-shirt, je me trouver entre ses jambes, toujours dans notre lit, et je lui faisait un câlin pendant qu’elle déjeuner.
Moi – au faite ma chérie !
Haruka – oui qui y’a t-il ?
Moi – tout à l’heure, j’ai reçu sa comme message, je suis censé faire quoi maintenant ?
Je montre le message à ma jolie blonde, et elle le lue. Tout comme moi elle fut surprise, je la regarde attendant une réponse.
Haruka – mais … Je connais cette adresse, c’est à quelques minute d’ici et c’est un orphelinat.
Moi – un … Orphelinat ?
Mes yeux fixe le mur, j’essaie de comprendre le sens de ses mots, ma gorge se serre, et mon cœur s’arrête de battre pendant quelques minutes, pour je ne sais quel raison, j’avais peur de connaître une seconde vérité, car cette fois ci je sais que je ne pourrais pas le surmonter toute seule. Je sent mon menton se soulever, et mes yeux qui son vide croisent ceux de la femme que j’aime. Elle me caresse la joue, son regard et doux et son sourire chaleureux.
Haruka – tu veux qu’ont aille faire un tour cet après-midi ?
Moi – je … Je n’aie pas envie de t’embêter avec sa.
Tout se mélange dans ma tête, et je ne comprend plus rien, pour je ne sais quelle raison j’avais envie d’exploser de colère, je lève mes yeux vers elle, toujours aussi perturber par cette nouvelle, je lui caresse la joue et dit :
Moi – et si … On m’avait encore mentit.
Haruka – dans ce cas, je serait la pour te soutenir mon amour, je ne pourrais pas te laisser dans un tel état.
Moi – ma chérie … Je … Même si j’ai peur de connaître une seconde vérité, il va falloir que j’y aille. Et puis je … j’aie pas envie de t’embêter avec s …
Haruka – chuut … Tu ne m’embête pas, et puis au moins je pourrais être la si tu en a besoin.
Moi – merci … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon cœur !
Je lui sourit, et l’embrassa doucement. Un baiser tout doux et regorgé de tendresse. Je m’appui contre elle, laissant mon portable valser sur le lit, je monte ma main à son visage et lui caresse du bout des doigts. Je me sent bien avec elle, et quelques fois je me pose cette question.
« que ferais-je à cet heure ci, si je ne l’avait jamais connue. »
je me le demande bien. Je me détache doucement, et vint la serrer contre moi. Un petit moment bien agréable. Ou je pouvais entendre mon cœur se soulever.
Les minutes venaient de s’écouler, et je me trouver assise sur le canapé, et m’amuser à me faire des petites tresses. Ma jolie blonde était parti chercher le courier. Tiens beh quand ont parle du loup, la voilà qui se dirige vers moi, avec un colis.
Moi – qu’es ce que c’est ?
Haruka – je ne sais pas, mais c’est pour toi.
Moi – pour moi ??
Je fut surprise, et prend le colis qu’elle me tendais. Elle prend place à mes côtés, et je vint m’appuyer contre elle. Son bras passe derrière mon dos et à son tour, elle se mis à me serrer dans ses bras.
Je commence à ouvrir le carton, et sorti parmit tout ses polistyrènes des photos. Sur l’une d’elle on voyais une petite fille au cheveux bleu écum comme moi, cette petite fille au sourire angélique est au côté de deux adultes sûrement ses parents, la seconde était la même petite fille en train de sourire, sur cette photo elle avait les cheveux plus court un petit carré qui la rendais très mignonne.
Mais pourquoi avais-je reçu ses photos ? Qui me les a envoyé, mais surtout comment cette personne sais que j’habite ici, sa m’intrigue de plus en plus. Bon aller stop il suffit de se torturer l’esprit, après tout je suis Michiru Kaio, et j’ai surmonter bien plus douloureux que sa. Je me tapote les joues comme pour me réveiller.
Moi – bon aller, je vais arrêter de me torturer, et profiter de ce que la vie m’offre plutot que de pleurer.
Haruka – bien parler !
Début du lemon :
Je me tourne et lui sourit. Je pose le carton sur le canapé et alla me lover dans ses bras, je m’assoie sur ses jambes, et vint délicatement prendre son visage dans mes mains. Je sent ses bras s’enrouler autour de mon dos, et doucement, je lui caresse les joues avec mes pouces.
Moi – oui, il faut savoir profiter de ce que la vie nous offre, et arrêter de voir tout noir comme tu me la dit.
Je voie ses lèvres s’étirer en un doux sourire, je lui embrasse le nez, et continue de la regarder avec tendresse.
Haruka – et … Que comptes tu faire ?
Moi – eh bien … Déjà passer du temps avec la femme que j’aime.
Haruka – ah oui ? Eh … Qu’aimerais tu faire ?
Moi – tout … Lui faire des câlins, lui dire sans gêne se que je ressent et ce qu’elle est pour moi, et l’embrasser le plus tendrement possible.
Elle ma sourit, son front c’est collé contre le mien, et elle a doucement caresser ma joue.
Haruka – hm … Tu sais que tu m’intéresse là, alors es ce que … Je pourrais avoir un doux baiser de ma petite femme chérie ?
Moi – je t’aime Haruka !
Haruka – mais moi aussi je t’aime ma douce et ravissant Michiru.
Je lui sourit, et déposa tendrement mes lèvres sur les sienne afin de crée un doux moment. Je me rapproche doucement et laissa mes bras s’enrouler autour de ses épaules. Ses mains parcour mon dos, et le sien se pose sur le siège du canapé. Ses mains me rapproche d’elle, et passe sous mon polo car j’étais toujours en pijama contrairement à ma jolie blonde qui était déjà habillé, et qui sentait bon au passage. L’eau de cologne qu’elle c’est mise sent vraiment bon, et c’est très agréable de l’embrasser dans ses conditions. Je laisse doucement ma langue aller valser avec la sienne, mon cœur battait tellement vite, et je me sentait vraiment bien.
En manque d’aire, on se séparent, mais nos yeux continuent de se caresser. Elle écarte une petite mèche de mes yeux et sa voix qui est si belle à mes oreilles résonne.
Haruka – tu sais que j’aime ce petit côté la de toi, celui qui a beaucoup plus d’assurance, je l’aime beaucoup.
Moi – ah oui … Eh bien j’en suis ravie que cela plaise à mon professeur.
Haruka – quand vas tu arrêter de m’appeller comme sa ?
Moi – hm … Attend laisse moi deux minutes, jamais !!
Haruka – dans ce cas mademoiselle Kaio sa change tout.
Moi – comment sa tout ? Vous m’intriguer fortement professeur !
Je la voyais sourire de plus en plus, ses mains s’aventure sous mon polo, et fini par me le retirer.
Haruka – te rappelle tu de la dernière leçon ?
Moi – hm … Non, malheureusement, mais de quelle leçon parlez-vous professeur, mais surtout, quel est ce cour est t-il normal ou particulier ?
Haruka – hm … Vous ne retenez pas grand chose mademoiselle, je vais devoir vous punir, c’est un cour particulier.
Moi – s’il vous plait, ne soyez pas sévère avec moi … Et expliquez moi votre leçon particulière professeur !
On se souriait, elle me fit un petit clin d’oeil, et dit en faisant rouler l’une de mes bretelle de soutien-gorge sur mon bras.
Haruka – hm … Je vais réfléchir à votre punition, en attendant mademoiselle Kaio je vais vous demander une faveur ?
Moi – une faveur ? Et laquelle professeur Tenoh.
Haruka – si vous arrivé à me séduire, alors peut être que je levrer la punition.
Moi – mh … Vous séduire ? Mais comment dois-je m’y prendre ?
Lui demandais-je d’une voix sensuelle et mielleuse tout en déboutant sa chemise.
Haruka – pour sa mademoiselle je vous laisse carte blanche !
Moi – dans ce cas, je n’échouerais pas à ma tache.
Je monte à son oreille et lui susurre langoureusement :
Moi – pro.fe.ss.eur.
Je lui mordille délicatement lobe de l’oreille, et longe son visage la couvrant de baiser. Ses mains venaient de dégrafer mon soutien-gorge, et ce dernier tomba sur le sol. Je lui soulève le menton du bout de mon index, la dévisage d’un regard coquin et malicieux à la fois.
Moi – vous êtes … Vraiment sexy professeur.
Un sourire tendre se dessine sur ses lèvres, elle me caresse la joue, et elle me répond de la même manière :
Haruka – hm … Et vous mademoiselle vous êtes à croquer.
Moi – mais, je ne suis pas à manger vous savez !
Haruka – hm, je n’en suis pas si sur que sa. Votre jolie minoie me donne horriblement faim mademoiselle Kaio.
Moi – hm … Et dites moi, par quoi voulez-vous commencer ?
Je me suis sentit à se moment la valser vers la droite et me retrouve allongé sur le canapé. Haruka se trouvant au dessus de moi, je sourit, et la regarde malicieusement, un sourire pervers sur le visage.
Haruka – mh … Je ne sais pas beaucoup de chose s’offre à moi, mais pourquoi ne pas s’attaquer à la partie la plus délicieuse ?
Moi – professeur vous êtes perverse !
Haruka – et vous mademoiselle vous êtes délicieuse.
Je lui offre une petite moue dont j’avais le secret, je la regarde le sourire au lèvres, me frottant le menton du bout du doigt.
Moi – s’il vous plais professeur Tenoh, soyez gentil avec moi !
Haruka – je serait aussi douce qu’un agnau mademoiselle.
Je sourit, notre petit jeu m’amuser beaucoup, et me permetter de me liberer de cette peur, mais dieu que cela fait du bien. Je sent les lèvres de ma jolie blonde prêt de mon oreille gauche, son souffle chaud au creux de mon ouïe, et sa langue qui se met à lécher le bas de mon oreille, mon cœur faillit exploser, ses lèvres descende le long de mon visage, mordant tendrement mes lèvres, elle descend un peut plus et vint m’embrasser le cou. Laissant mes mains prendre soin de retirer sa chemise, et mes doigts les faisant rouler prêt de sa bretelle.
Moi – ah … Mh, oh professeur vous … Vous êtes si douce et vous … M’exciter tellement.
Sa y’es j’ai osé lui dire, je sent ses lèvres longer vers ma poitrine et ses baisers continuent sensuellement leur chemin, que c’est bon, je me sent de plus en plus enivrer par ses caresse et ses baisers qui se sont maintenant attaquer à mes mamelons. Je … J’ai l’impression d’avoir détremper mon linge intime tant l’excitation me prend.
Je dirige mes mains vers son pantalon, et lui défait le bouton et le fait glisser le long de ses jambes, mama cet effet qu’elle me fait c’est dingue, j’ai envie d’elle, j’ai envie de connaître l’extase de cette excitation sauvage.
Point de vue Haruka.
Dans peut de temps je sent que je vais craquer, je ne contrôle plus mes gestes ainsi que mes lèvres qui l’embrasse sensuellement. Je descend jusqu’à son nombril et vint lui embrasser lui lécher, montant ma main droite à son sein et de mon index et mon pouce lui titille tendrement le mamelon, diable cet effet qu’elle me procurer, même notre première fois n’avais pas était aussi intense. Elle m’exiter terriblement, et me sentait de plus en plus serrer dans mon linge.
Je remonte à son oreille et murmure :
Moi – mademoiselle Kaio, si vous saviez à quel point j’ai envie de vous.
Michiru – moi aussi professeur j’ai envie de vous, vous m’exiter tellement, je n’arrive plus à contenir ce désir en moi.
Moi – mh … L’envie de vous faire tendrement l’amour me tient.
Michiru – oh oui … Faite moi l’amour professeur, je ne tient plus.
Je sourit, heureuse qu’elle est pue dépasser ce cap … Je me lève et vint la prendre dans mes bras, la conduisant dans notre chambre.
Michiru – ou m’emenez-vous professeur Tenoh ?
Moi – dans un endroit ou nous seront à l’abrit des regards mademoiselle.
Une fois dans la pièce, je ferme la porte, et allongea Michi sur le lit, me mettant au dessus d’elle, nous couvrant avec la couette.
Moi – maintenant mademoiselle Kaio je vais vous faire tendrement l’amour, ainsi vous n’oublierais plus vos leçons.
Michiru – allez y professeur je suis entièrement à vous.
Je sourit, et le cœur prêt à frôler la crise cardiaque, je vint l’embrasser langoureusement. Laissant mon cœur s’exprimer.
Fin du lemon
Point de vue Narrateur.
Dans cet appartement, enfermer dans leur chambre, Haruka et Michiru vienne de découvrir se que sont les plaisir de la jouissance, emporter dans leur petit jeu de séduction, elles se sont livrées à elles même, goûtant au véritable plaisir de l’amour. Ce petit jeu les aura bien rapprochées, et chacunes d’entre elles aurons finalement réussi à dépasser leur peur, celle de Michiru, de ne plus pouvoir désirer par les attouchements de son père, et Haruka par peur et de manque de confiance. Mais à présent les voilà encore plus unis enlacé dans les bras de la femme qu’elles désirent, elles firent l’amour sans gêne et avec beaucoup mais beaucoup de tendresse et d’amour.
Point de vue Michiru.
Ah … Que sa fait du bien une douche, je coupe l’eau, et vint m’enrouler dans une serviette ainsi je ne pourrait attraper froid. Je me place devant le miroir, et me regarde. Je voyais un sourire … Un sourire heureux un sourire d’une femme comblé. Depuis se qui c’est passé entre elle et moi, j’ai l’impression d’avoir prit plus d’assurance, et me sent femme, oui c’est sa, depuis que j’ai dépasser ma peur, je me sentait un peut plus femme, et cela n’est pas pour me déplaire.
Une fois que je fut sèche, je commence à m’habiller, d’un jean bleu foncer, un petit chemisier noir, et un pull gris à col bateau. Je prend pas la suite le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement. C’est … C’est incroyable comme je peux me sentir bien. Quand j’eue terminé, je débranche le sèche cheveux, et à l’aide d’une bombe de laque, je m’en mit mettant toute ma chevelure sur le côté gauche. Par la suite, je met les boucle que ma jolie blonde m’a offert, ainsi que la petite chaîne en argent.
Je prit du laïner et me fit le contour de l’œil doucement, et répéta mon geste avec l’autre. Je me passe un peut de gloss sur mes lèvres, car bon, c’est pas que je n’aime pas le rouge à lèvres mais je c’est que beaucoup d’animaux meurt pour faire ce genre de produit cosmétique, je trouve sa abjecte et répugnant, j’en met juste quand c’est pour une occasion. Je prit un flacon de parfum « Intime » me mit trois petit pchites, et enfin sortie de la salle de bain, me dirigeant vers la cuisine ou Haru se trouvé.
Je me mit derrière elle entour son ventre et dis le sourire aux lèvres.
Moi – hm sa sent bon … Que fais ma petite femme chérie de bon à manger.
Elle se tourne, et sourit en me voyant, je m’approche, et lui arrange un peut le col de sa chemise. Pour ensuite venir caresser sa joue.
Haruka – tu est vraiment ravissante ma chérie !
Moi – merci mon ange, mais que nous fais tu à manger ?
Haruka – des nouilles japonaise.
Moi – hm, sa va être bon tout sa.
Je la voie mettre le couvercle sur la marmite elle mis le minuteur, retire le tablier qu’elle porter, et vint me prendre la main. Sans rien dire, je la suis, et je la voie prendre place sur la rebord du canapé, et ses mains prend les miennes.
Haruka – je suis vraiment heureuse !
Moi – ah oui ? Pourquoi ?
Je m’approche, me mettant entre ses jambes, et prenant tendrement son visage dans mes mains, lui caressant à l’aide de mes pouces. Je sent ses bras, entourer mon dos, et son sourire s’agrandit.
Haruka – car grâce à une personne si particulière, j’ai réussi à vaincre ma peur.
Je sourit, comprenant ou elle voulais en venir. Je lui sourit tendrement, et vint caresser son front avec le mien. Jouant avec son nez.
Moi – je suis aussi très heureuse d’avoir vaincu ma peur, car à présent … Je me sent encore plus proche de toi, et je me sent … Un peut plus femme.
Elle ma sourit, ses lèvres tapotent doucement les miennes, et sa voix résonne.
Haruka – mais tu est déjà un petit bout de femme, tu est belle et même à 18 ans tu est déjà une jolie jeune femme … Ma petite femme à moi.
Je sourit, je lui caresse la joue, écartant quelques mèches de ses yeux, un regard que je ne cessairait de regader et d’admirer.
Moi – tu sais … Par moment, j’ai l’impression de rêver.
Haruka – pourquoi ?
Moi – car je n’aurais jamais crue rencontrer le grand amour au lycée, et je n’aurais jamais crue tomber éperdument amoureuse de l’un de mes professeurs.
Haruka – mais moi, je ne regrette rien … Je suis très heureuse d’avoir fait ta rencontre mon trésor.
Moi – moi non plus je ne regrette pas, d’avoir trouvé la moitié de mon cœur … Je t’aime Haruka, c’est dingue à quel point jee peux t’aimer.
Haruka – moi aussi je t’aime chaton, et je t’aime sincèrement !
On se sourit et ses lèvres attrapèrent amoureusement les miennes. Je sourit, et me laisse faire avec bonheur, caressant ses joue, et l’embrassant tendrement. Décidément ce petit jeu nous avait grandement rapproché l’une de l’autre, et c’était vraiment un délice. On se détachent doucement, ses doigts remette quelques mèches sur le côté, et moi je continue de la dévorer du regard.
Moi – il me tarde le jour ou je serait devenue véritablement ta femme.
Haruka – mais tu l’est déjà … Tu est ma femme celle que j’aime et désir plus que tout.
Moi – Haru …
Haruka – chuut …
Et tendrement nos lèvres s’unir de nouveau dans un long et doux baiser. Haruka, quand arrêteras-tu de me rendre ainsi ? De me rendre si amoureuse et heureuse, tu as un don, ou alors c’est que vraiment je suis folle. Oui folle de toi de tes bras tes mots et tes lèvres. La magie prit doucement fin, et je lui dit en enroulant sa nuque et en la serrant dans mes bras.
Moi – je ferais tout pour te garder avec moi, sa fait longtemps que je rêve de rencontrer le grand amour, et maintenant que je les trouvais, je ne compte pas le laisser filer dans les bras de quelqu’un d’autre. Tu est devenue si importante à mes yeux que je n’ose plus imaginer ma vie sans toi … Ma si jolie blonde, ma femme!
Haruka – moi non plus je ne veux pas te perdre, et te laisser partir dans les bras d’une autre personne, tu est celle qui donne enfin un sens à ma vie, celle qui me comprend … Ma douce et tendre Michiru, tu es devenue indispensable à ma vie, tu est mon oxygène ma raison de vivre tu est … La femme de ma vie.
Je sourit, et la serre contre moi, lui embrassant tendrement la nuque. Ses mains me caresse, et je me sent bien avec elle. Je laisse mon regard s’encrer dans le sien, et caresse doucement sa joue.
Moi – Haruka … Ma douce et jolie blonde toi seule emflamme mon cœur, je t’aime.
Haruka – moi aussi ma chérie et je t’aime bien plus que sa encore !
On se sourit, et un petit câlin s’installe entre nous. Je pose ma tête sur son épaule droit et lui caresse le dos, lui déposant un doux baiser sur sa nuque. Ses mains caresse le mien, et je me laisse prendre dans cette douce étreinte.
Haruka – dis moi … Où es ce que tu veux manger ?
Moi – n’importe où tant que je suis avec toi.
Haruka – hm … Ma chérie !
Elle caresse mon dos, allant mêler ses doigts dans mes cheveux et posant ses lèvres sur mon cou. Je n’aurais jamais crue que notre petit jeu puisse nous rapprocher autant.
Après ce petit câlin bien agréable, c’est avec le sourire que je partit mettre le couvert sur le balcon, il faisait bon, et un peut d’air frais ne ferait pas de mal. Soudain j’entend mon téléphone sonnait, surprise je décroche et dis :
Moi – oui allo ?
Cléo – salut Michi !
Moi – teh Cléo ça va ?
Cléo – bah tout rool, et toi ?
Je met mes écouteurs, rangeant mon cellulaire dans ma poche.
Moi – bah écoute tout va pour le mieux.
Cléo – ouh … Sa sent l’amour, sa se passe bien avec ton professeur ?
Moi – très bien, c’est le pure bonheur.
Cléo – ah ouais pourquoi sa ?
Je sent des bras entourer ma taille, je sourit, et répond en appuyant mon dos contre elle.
Moi – eh bien … Je vais avoir le bonheur de l’épouser.
Cléo – quoi ?? C’est pas vrai.
Moi – si si, lorsque je suis revenue de mon stage nous avons fêté son anniversaire, et je lui est demandé sa main.
Cléo – mais enfin c’est supère sa !! oh Michi je suis si heureuse pour vous.
Moi – merci Cléo sa me touche que tu soit heureuse !
Cléo – heureuse ? Non mais attend ma meilleure amie va se marier bien sûr que je suis heureuse même supère heureuse.
Moi – merci tes vraiment génial, je t’adore !!
Cléo – moi aussi et très fort.
Je sourit, heureuse que Cléo l’aie bien prit, je prend sa main droite et lui dépose un baiser.
Cléo – tu pourrais m’envoyer une photo de toute les deux s’il te plais ?
Moi – oui bien sur, mais pour sa faut que je raccroche !
Cléo – ok.
Et notre communication se coupa. Je pose ma tête juste à côté de la sienne, ses lèvres son contre ma joue gauche, ses mains caressant mon ventre, et une fois que je trouva le bouton pour l’appareil photo je nous cadre, et appuya sur le bouton.
Heureuse je cherche le numéro de Cléo, et une fois trouvais je lui envoie la photo. Je sourit, et me tourne afin de croiser son regard.
Moi – je suis heureuse, Cléo la vraiment très bien prit.
Haruka – tant mieux alors … Allé vien on va manger trésor !
Moi – ok dans ce cas …
Je lui soulève le menton et déposa mes lèvres sur les sienne. Oui depuis ce qui c’est passé, je me sentait beaucoup femme et j’avais prit beaucoup plus d’assurance. Elle me sourit, et doucement elle répond à mes baiser.
Haruka – allé ma petite femme à table.
Moi – c’est que ma jolie blonde me donne des ordres maintenant.
Elle ma sourit, m’embrasse le front, et nous prîmes place l’une en face de l’autre. Je pose ma main sur la sienne, et c’est en souriant que nous commencions à manger. Mon téléphone se met à sonner mais je ne répond pas, car de un nous étions à table et que c’est très impolie pour la personne qui est en face de nous.
Moi – quand même … Cette histoire de message avec une adresse d’un orphelina me perturbe.
Haruka – c’est vrai que c’est louche, mais je pense qu’il va falloir y’aller faire un tour.
Moi – oui, bien que sa me face peur !
Haruka – je serait là moi.
Moi – merci mon amour !
Je lui sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je prend les couverts, et alla mettre ses dernier dans le lave vaisselle, puis mon portable ce met à sonner, surprise, je prend ce dernier et dit :
Moi – oui allo ?
? - Michiru ?
Moi – euh … Oui c’est moi, qui est à l’apareil ?
Je regarde Haru, qui m’observe avec un doux sourire.
? - Ah Michiru je suis bien heureux de t’entendre, je suis le directeur de l’orphelina. Comment vas tu ?
Je m’arrête et pose ma main sur le plan de travail et aval difficilement. Mes yeux se ferment, et je me tourne vers ma jolie blonde, je regarde mon téléphone et raccroche, impuissante face à sa.
Haruka – que ce passe t-il mon trésor ?
Elle ma relever le visage et d’un geste doux ma caresser la joue, j’essaie de resister, mais les larmes se font de plus en plus prenante.
Moi – c’e … C’était l’orphelina … Je … Je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression de vivre dans un menssonge.
Puis mon portable se met de nouveau à sonner, je regarde ce dernier et voie que c’est le même numéro, je vint me lover dans les bras de ma douce, et épuisé me laisse tomber.
Moi – c’est encore … Le même numéro, je fais quoi ?
Haruka – tu as confiance en moi ?
Moi – bien sur quel question.
Haruka – alors laisse moi faire ok !
Elle me prend le visage et me posa un délicat baiser sur les lèvres, caressant mon visage. C’est une chance que je l’aie à mes côtés. J’entour son dos, et me laisse bercer par son câlin et ses mains qui me caresse agréablement.
On se décollent doucement, et doucement, je caresse sa joue en soufflant.
Haruka – laisse moi faire trésor, d’accord ?
Moi – d’accord.
Elle me sourit, me tapote doucement le nez, me fit un clin d’oeil, et répondit à l’appel.
Point de vue Haruka.
Je me dirige vers le balcon et dis en m’accoudant contre ce dernier.
Moi – oui allo ?
? - Michiru ? Pourquoi as tu raccroché !
Moi – excusez moi, mais ce n’est pas Michiru au téléphone.
? - ah ? Et à qui ai-je à faire dans ce cas ?
Moi – je me présente Haruka Tehoh, je suis sa femme. Et vous ?
? - bonjour madame Tenoh , en faite je suis le directeur de l’orphelina « Tout petit »
Moi – bonjour monsieur, je suis désolé, mais Michiru, n’est pas en état de répondre, donc que lui voulez vous ?
? - je comprend, eh bien j’aurais aimais savoir comment elle allait, si depuis qu’elle est parti de chez nous, si elle mène une vie normal ?
Je rester là à écouter ce directeur, si j’arrive à bien comprendre, Michi a était adopté, ce qui veux dire que ses parents doicvent se trouver quelque part dans ce monde. J’étais heureuse et mélancolique à la fois, heureuse car elle avait peut être une chance de revoir ses véritable parent, et mélancolique dans le sens ou je ne pourrais peut être plus la voir si elle s’en va avec eux. Je regarde l’horizon et retiens mon chagrin du mieux que je peux.
Moi – eh bien oui elle va très bien, mais puis-je vous poser une question ?
? - oui bien sur.
Moi – comment avez vous eu son numéro ?
? - eh bien, j’ai d’abord fait des recherche sur internet, et comme je ne trouvait rien, j’ai consulté le botin, et au niveau des page blanche en allant à la lettre K j’ai trouvé son non et son prénom ainsi que son numéro !
Moi – je comprend mieux, mais serait t-il possible que l’ont puisse vous voir pour mettre toute cette histoire au clair ?
? - oui oui bien sur madame, la petite Michiru nous manques beaucoup, donc que deriez vous de nous voir vers 13 heure ?
Moi – très bien, dans ce cas je vous dit à tout à l’heure.
Et sans que je ne puisse continuer, la communication se coupa. Je regarde le ciel perdu, mon cœur me fait mal, dans un sens j’ai envie de la voir heureuse mais dans l’autre je n’aie pas envie qu’elle s’en aille loin de moi, loin de notre histoire, car pour moi, sa compte. Je me retourne et me dirige vers le salon, ou Michi se trouvais assise sur le canapé, à regarder les photos qu’elle a reçu ce matin.
Je m’approche d’elle, enroule son cou, et ses yeux qui son vide son humide. Je lui caresse les épaules, et lui murmure :
Moi – sa va aller Michi, je suis là !
Michiru – merci, mais dis moi qu’es ce que l’ont va faire ?
Moi – le directeur de l’orphelina veux nous rencontrer.
Michiru – et cas tu dis ?
Moi – j’ai accepter pour mettre au moins cette histoire au clair.
Michiru – mais je … Imagine si je dois à tout hasard rencontrer mes véritable parents ? Imagine si ils me demande de les suivrent ? Je n’aie pas envie, parce ce que … Parce qu’ici j’ai ma vie, et j’ai surtout ma vie privé qui compte beaucoup pour moi, je n’ose pas imaginer une minute ma vie sans toi.
Je sourit, au moins je ne suis pas la seule à être contre cette idée. Je lui caresse la joue, et lui murmure :
Moi – écoute, pour moi aussi il est hors de question que je te laisse partir, mais j’aimerais au moins en savoir plus sur ce qui tes arrivé, pour ainsi t’aider du mieux que je peut pour te soutenir ma chérie … Je ne pourrais jamais, te laisser partir loin de moi.
Michiru – oh Haruka …
et sans que je ne dise quoique se soit d’autre, ses lèvres s’emparent des miennes. Je lui soulève le visage, caressant ses joues de mes pouces, et répond avec tendresse à sa douceur. Mon cœur bat tellement fort, avec tout se qui c’est passé etre nous je ne cesse de penser à elle, à nous, à notre histoire qui est devenue importante à mes yeux au fil des mois.
Ont se décollent doucement, je lui fit un doux sourire, et lui embrasse le nez.
Moi – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi Michi !
Michiru – pareil, tu pourras toujours compter sur moi !
Nos yeux se caressent, et je continue mon geste avec douceur sur ses joues. Les minutes s’écoulent, et lorsque une heures sonna, je commence à fermer le store du salon et attend Michi qui est parti à l’étage. Elle redescend quelques minutes après, je lui sourit, et tout en lui prenant la main, nous quitons la maison. Je ferme la porte à clés, et longe le couloir.
Sa tête se pose sur mon épaule droite, et je l’entend soupirer, je caresse sa main pour la détendre. Une fois dans le parking souterrain, je déverrouille l’alarme, monte et une fois que nous fûmes toutes les deux prête, je démarre, fit une marche arrière, et partit direction l’orphelina.
Pendant le trajet Michi était silencieuse, elle avait mis sa main sur ma jambes, je n’aime pas la voir dans cet état, arriver à un feu rouge, je m’arrête, et pue prendre sa main dans la mienne.
Point de vue Michiru.
Je tourne mes yeux et voie Haruka qui me regarder l’air inquiète. Je lui sourit doucement, et serre sa main dans la mienne.
Moi – désolé de te faire du souci mon amour.
Haruka – ce n’est rien, ne t’inquiète pas mon trésor.
On se sourit, je m’approche et lui posa un doux baiser qu’elle me rendit avec bonheur. Tant qu’elle est à mes côtés, je n’est pas à avoir peur, la seule chose que j’espère, et que personne ne me l’enlève. Je ne pourrais pas supporter la séparation.
Quand ont fut arrivé, ma jolie blonde se gare, et c’est le cœur battant à la chamade que je sorti de la voiture. Haru enclanche l’alarme, elle me prit la main et me guida vers le bâtiment. J’avais une boule au ventre, comment allais-je réagir ? Quel genre de vérité allais-je connaître. Tout cela me fait peur, mais je n’aie pas pour autant envie de baisser les bras, je voulais enfin en avoir le cœur net.
Une fois devant la porte, je souffle un bon coup, Haru vint m’embrasser la joue en me serrant la main. Et nous entrâmes dans l’orphelina. L’intérieur du bâtiment est sombre, des poutres noire trônaient dans la maison, le sol recouvert d’une moquette grise. Je passe en revue le bâtiment, et aucuns souvenirs me reviens se que je trouve assez bizarre.
Je caresse doucement sa main, et lui sourit comme pour lui dire que j’allais bien. Elle me fit un clin d’oeil, et je continue à avancer. Puis une petite fille au long cheveux blond comme Haru apparue, elle nous regardée.
Moi – bonjour toi …
Je vint m’accroupir, et lui sourit gentiment. Je la voie se diriger vers moi, elle pose sa petite main sur ma joue et me regarde. Elle devait avoir 3 ans tout au plus, elle possède de jolie yeux caramel, et elle se mit dans mes bras. Je sourit et me relève.
Petite fille – bon … Zour madame !
Moi – bonjour petit cœur, comment tu t’appelle ?
Petite fille – Anastasia, et vous ?
Moi – c’est très jolie, moi c’est Michiru.
Elle me sourit, et je lui rendit chaleureusement. Ses petit yeux marron se tourne et Anastasia se mit à parler.
Anastasia – bonzour madame.
Haruka – bonjour poussin, tu vas bien ?
Anastasia – oui.
On se sourit tendrement, ma jolie blonde met sa main sur mon dos et nous continuons d’avancer vers le couloir essayant de trouver le bureau du directeur. Au loin je voie une porte avec une pancarte ou il y avait d’inscrit « Monsieur Petit » sa doit être là, je me baisse et repose Anastasia qui affiche une petite moue.
Anastasia – vous viendrais me dire au revoir ?
Moi – promis.
Elle me tend son petit doigt, se qui m’attendrit un peut plus, j’aime beaucoup les enfants, et j’ai le désir d’en avoir plus tard. Je lui tend mon petit doigt, et le serre.
Moi - croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer.
Elle avait dit en même tant que moi, et cela me fit sourire. Je me redresse et affiche un doux sourire à ma cher et tendre, qui remet quelques mèches bleu derrière mon oreille. Je lui prend la main et souffle un bon coup.
Moi – aller, j’ai déjà surmonter plus dur que sa !
Haruka – et puis moi je suis là.
Moi – oui je sais, et c’est bien sa qui me rend heureuse ma chérie !
On se sourit, ses lèvres caressent les miennes pendant une fraction de seconde, je lui rendit avec tendresse, et enfin toqua à la porte.
? - oui entré.
Je souffle un dernier coup, et abaisse la poignet poussant la porte pour entrer dans le bureau. L’homme qui était derrière ce dernier ce lève les yeux grand ouvert comme si il était étonné. Il s’approche de nous et s’exclame d’une voix grave mais douce.
? - Michiru c’est bien toi … C’est bien toi mon enfant ?
Moi – bonjour monsieur.
? - Oh Michiru, tu as tellement grandit, tu est devenue une belle jeune femme, mais viens donc t’asseoir. Bonjour madame Tenoh.
Haruka – bonjour monsieur !
J’allai prendre prendre place devant le bureau, à la gauche de ma jolie blonde qui serra ma main dans la sienne. Une femme de taille moyenne et d’âge ancien fait son apparition et se poste à la droite du vieux monsieur qui me regarde depuis tout à l’heure. Elle est habillée d’une robe noire surmonté d’un petit tablier blanc.
Directeur – Michiru, je suis vraiment très heureux de te revoir, mais que fais tu maintenant ? Et sa se passe bien avec tes parents ?
Michi respire et inspire, ce n’est pas le moment de se montrer faible, je serre la main d’Haruka, et dis :
Moi – eh bien … Comment dire, cela va faire un peut plus de trois ans que je ne côtoie plus mes parents et que je ne vis plus avec eux. Je ne sais pas se qui c’est passé réellement mais …
Mon cœur se serre et j’ai du mal à articuler.
Moi – ma mère est morte des mains de mon père qui voulais récuperer ses biens ainsi que ma garde, durant des années j’ai vécu un enfer, quand je rentrer de la primaire, mère m’enfermer dans un placard, et dès qu’elle partais, père en profité pour me battre, j’ai eu droit au coup de ceintures à la règle, et aux écrasement de ses cigarette, je lui server de coussin, il m’obliger à me mettre à quatre pattes et il allongé ses jambes sur moi, il me surnomé de guenond, de petite traîner que j’étais bonne à faire les trottoire, il m’avait même dis un jour qu’il m’apprendrais le chemin des prostituers et je …
C’est dure de raconter tout sa, et je n’aie pas pue retenir mes larme qui se mette à caresser mes joues.
Moi – il me forcer à me dénuder devant lui, si je refuser de lui obéir je finissait dans son lit, et il … Il … Il a osé me violer en me droguant.
Je ne relève pas la tête, mais continuer de deverser mon chagrin, sa fait trop longtemps que je garde sa en moi, je serrer la main d’Haruka dans la mienne, et n’oser plus rien dire.
Directeur – non … Sa, sa ne peux pas être vrai, ils étaient si gentilent pourtant lorsqu’ils sont venuent t’adopter, et sa na pas était facile !
Moi – j’ai du mal à croire que j’ai était adopter, qui je suis réellement ? Qui son mes véritable parents, je veux savoir, j’en est assez de vivre dans le mensonge.
Directeur – Je suis profondément désolé Michiru pour se qui tes arrivé vraiment, je n’aurais jamais crue qu’ils puissent être d’une cruauté effroyable. Avant de tout te raconter, je vais te présenter une personne, c’est elle qui c’est occupé de toi lorsque tu est venu ici. Martine approche s’il te plais.
La femme qui était à ses côté s’approche et me regarde peiné, elle a du entendre mes propos. Elle ma relever le menton et mes larmes valsent sur mes joues.
Martine – Michiru, ma toute petite, si tu savait comme je regrette de t’avoir confier à des monstre pareil, pendant des années je me suis occupé de toi, toi qui était si seule, si solitaire. Tu resté devant la fenêtre de ta chambre espérant que ta mère et ton père vienne te chercher. Quand tu voyais tes camarade partir avec le sourire au bras d’un couple tu t’enfermer à clés et tu joué du violon en pleurant. Pendant longtemps j’ai veiller sur toi, et je voie que tu as beaucoup grandit, tu est devenue si belle.
Je la regarde, ses mots avait apaisé mes pleurs, mais je continue d’avoir mal au cœur comme si un poignard m’avais transpercer. Je m’approche d’Haruka, et cala ma tête dans son cou, posant ma main gauche sur son épaule. Ses main m’enroulent et me serre contre elle.
Martine – bonjour madame excuser je ne vous avez pas vue, qui êtes vous ?
Haruka – ce n’est rien, je suis Haruka Tenoh et suis la femme de Michiru.
Martine – oh … Je voie !
Directeur – Michiru, tiens regarde.
Je lève mes yeux et remarque un gros dossier, je m’approche doucement de ce dernier, reniffle un peut et m’essuie les yeux. J’ouvre le dossier et voie plein de dessin le premier représenter une famille une petite fille tenais les main d’un homme et d’une femme, tout les trois aborder un magnifique sourire, la petite fille avait le cheveux écume comme moi. Le second représenter un cœur avec deux princesses, je continue de feuilleter le dossier, et au bout d’u moment je voie une enveloppe, je prend cette dernière, et l’ouvre, déplie la feuille, et mettant mon dos contre le dossier du siège, je commence à la lire.
« Michiru ma chérie, si tu lis cette lettre sa veux dire que tu as grandit et que tu est en état de comprendre ce qui c’est passé. Tu est née un 21 octobre à Venise, la plus belle ville que je n’aie jamais visité. Ton père et moi sommes très heureux de tavoir mis au monde, tu est tout pour nous, mais voilà à l’époque ou tu as fait notre bonheur, nous étions très pauvre, et n’avais de quoi que de nourrir deux personnes, tu doit trouver sa égoiste de notre part, mais nous avons d’abord penser à toi, et je désirer plus que tout te voir heureuse, alors ton père et moi avions décidé de te confier à un orphelinat et que des adultes puisse t’aimer et s’occuper de toi comme il se doit. J’espère que tu est herureuse et que tu ne m’en voudra pas d’avoir prit cette dessision. Ta maman et ton papa qui t’aime plus que tout »
je ne bouge plus, le papier deviens transparant et l’écriture s’éfface, je plaque ma main sur ma bouche, et mon corps se met à trempbler, alors … Ma mère et mon père mon mit ici non parce ce qu’ils ne m’aimer pas mais l’argent manqué cruellement, je ne sais pas quoi dire ou même penser, je replie la lettre, la remet dans l’enveloppe, et pose cette dernière sur les dessins.
Moi – que … Que sont t-il devenus ?
Directeur – eh bien à ce que j’ai pue comprendre, ta mère est dirige un restaurant cinq étoile, et ton père est chef d’une entreprise pour fabriquer le papier. Après t’avoir confire à notre orphelina ils ont tout fait pour remonter la pente, malheureusement ils …
Moi – ils quoi ?
Je le regarde la peur au ventre. Je n’arrive pas à contrôler mes larmes, et mon corps continue de trembler.
Directeur – malheureusement ils on décidé de ne plus te voir, depuis qu’ils ont bâtient leur entreprise ils on cessaient de prendre des nouvelles, et veulent continuer à vivre ainsi.
Haruka – mais enfin c’est impossible, des parents ne peuvent pas avoir de tes propos surtout si il s’agit de leurs enfants.
Directeur – je le sais bien madame, mais que voulez vous, ils ont préféré mettre en œuvre se qu’ils avaient échoué.
Moi – je vous remercie pour toutes ses informations, mais pourrais-je prendre le dossier ,
Directeur – bien entendue Michiru, et je suis vraiment désolé pour se que tu as appris.
Moi – ce n’est rien ne vous inquiétez pas.
Je commence à me lever, je ne voulais pas rester une seconde de plus ici, je sert la main du directeur, sourit à la vieille femme, et sortie le cœur meurtri.
Anastasia – ah vous êtes revenu.
Je sourit faiblement, et me baisse pour prendre la petite dans mes bras.
Moi – je te dis à bientôt.
Anastasia – oui et merci !
Moi – de quoi ma puce ?
Anastasia – parce que vous êtes la première à me serrer dans vos bras.
Moi – et je le referais autant de fois que je te reverer !
Je lui embrasse le front, et Haruka aussi, et enfin nous sortîmes de l’orphelina.
Haruka – Michi …
Je ne répond pas, mes larmes avaient de nouveau envahie mon visage. Je monte dans la voiture et m’attache, et Haru vint démarrer en posant sa main sur la mienne.
Moi – pourquoi … Pourquoi sa doit se passer comme sa, qu’es ce que j’ai fait pour mériter sa, je me suis plier j’ai fait tout se que l’ont me disait de faire jusqu’à me retrouver dans un lit nue face à un homme qui ma torturer violer et droguer à plusieurs reprise, pourquoi ne veullent t-ils pas me voirent, j’en est assez, assez que l’on me piétine ?
Je ne me retenais plus, je fondit littéralement en larmes cachant mes yeux de ma main droite. Je sent la voiture s’arrêter, et me sentit soulever. Surprise je retire ma main et remarque que nous étions arriver dans la parking, et que Haru m’avait prise dans ses bras. Jenroule son dos, et love ma tête dans son cou coté gauche et hurle intérieurement de douleur.
Moi – pourquoi mes propre parents ne veulent pas de moi ? Pourquoi préfèrent t-ils se couvrir de gloire et de paillette plutôt que de voir leur fille grandir. Ce n’est pas juste, alors que j’étais persuadé que ma mère était morte et mon père en prison.
Je me serrer contre la femme que j’aime pleurant à chaude larme, blessé et peiné.
Point de vue Haruka.
J’ai mal de la voir comme sa, c’est … Moi même je n’en reviens pas que des parents puisse renier leur propre fille à leur travail, je vint la serrer aussi fort que je le pouvais.
Moi – Chuut … Calme toi mon ange, je … Je suis profondément désolé pour se que tu as appris, mais moi je suis là, et je le serait toujours, mais ne te retiens pas si tu as envie de pleurer ou hurler fait le, mais je t’en supplit ne te détruit pas.
Elle remonte ses yeux qui son inonder de larmes, et me regarde, je lui essui les goûte d’eau salé, et lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire.
Michiru – Haru si tu savait comme je …
Moi – chuut …
Et poussé par une infini tendresse, je l’embrassa le plus tendrement possible. Ses mains me serre, et l’une d’elles se pose sur ma joue et me la caresse. Malgré la tendresse que je lui transmettait à travers ce baiser moi même j’avais mal au cœur d’avoir appris cette nouvelle, je ne voulais pas la voir dans cet état de souffrance, sa me déchirer plus qu’autre chose, et l’envie de verser des larmes de compassion me tient.
Apparemment je ne suis pas assez résistante car une petite larme solitaire dévale ma joue gauche. On se détachent doucement, je lui caresse la joue en lui souriant. Sa main vint chasser la larme, et elle me dis :
Michiru – Haru …
Moi – ce n’est rien, je suis juste peiné de se qui t’arrive trésor.
Je lui embrasse le front, et me détache. Je sort de la voiture, enclanche l’alarme, et longea le parking jusqu’à la sortie. Michi se serrer contre moi, et sa main caresser ma peau. Je lui sourit, et monte les quatre étages. Une fois devant la porte, Michi prit les clés et les insère dans la serrure et tourna deux fois vers la droite.
Je rentre à l’intérieur, et monte à l’étage. Pénètre dans la salle de bain et ferme la porte. Je dépose ma douce sur le sol devant le lavabo, prit un coton le mouille et vint lui démaquiller les yeux. Mon cœur battait si vite, mais m’occuper d’elle me procurer un bien fou. Quelques larmes roulent le long de ses joues, et doucement je lui essui stopant unes d’elle avec un baiser.
Je commence par lui retirer le pull, et vint débouter son chemisier. Retirant son jean, puis son soutien-gorge, et sa lingerie intime. Je m’approche de la baignoire, et fait couller l’eau, cherchant la bonne température. Quand cette dernière fut prête, je mit un bouchon sur l’évacution, et me tourne vers Michi, je la prend dans mes bras, et la pose doucement dans la baignoire. Je m’accroupie, m’appui sur le rebord, je lui caresse la joue, et lui murmure d’un ton doux :
Moi – maintenant tu vas te détendre dans ce bain d’accord ? Je ne veux plus te voir comme sa, si tu as le moindre souci je suis là ma chérie, et je le serait toujours … Je t’aime mon amour, et quoiqu’il arrive je serait là.
Michiru – je t’aime tant Haruka … Pour moi, tu est comme ma deuxième famille.
Je sourit, lui soulève le menton et lui posa un baiser. De nombreuse minutes nous restons comme sa, je pense que savoir que l’ont peut toujours compter l’une sur l’autre nous renforce, et cela depuis notre rencontres. La magie prit douement fin, je lui caresse sa lèvres inférieur, et lui fit un petit clin d’oeil.
Moi – allé, détend toi maintenant, tu en a besoin, si tu as un souci je serait en-bas.
Michiru – merci … Ma chérie !
Moi – ce n’est rien, c’est normal.
Je l’embrasse sur le front, lui tapote le nez, et sortie de la salle de bain la laissant se détendre. Je descend et me dirige vers le canapé, met des petites lunettes, et sort de mon sac qui se trouver à côté du meuble des copies et à l’aide d’un stylo rouge commence à corriger.
Sa me fait penser, que les bulletins ne devrait plus tarder, le directeur m’ayant expliquer qu’il y avait eu un souci au niveau de l’informatique, les bulletins des élèves auraient un peut de retard.
Après quelques minutes, je pose mon stylo ayant tout terminé, et monte à l’étage pour aller voir comment allait Michi. Pour ma plus grande surprise, je ne la trouva pas dans la salle de bain, d’ailleurs, celle-ci était rangé et sentait bon. Inquiète je ferme la porte, et me dirige vers la pièce du fond qui était notre chambre, j’ouvre doucement la porte, et eu un tendre sourire, elle était couchée. Je m’approche, et la couvre, allant fermer les volets par la suite. Je lui pose un doux baiser sur la joue, et parti la laissant dormir. Avec toutes ces nouvelles pas très joyeuse qu’elle a appris je la comprend. Donc je croix que je vais faire un peut de rangement, puis après je ferait un peut de repassage de nos affaires.
Au alentours de 19 heures, alors que je me trouve assise sur le canapé en train de lire, j’entends du bruit, surprise je me tourne et sourit en voyant que c’était Michi qui descendait les escaliers. Elle se dirige vers le canapé, et d’un geste tout à fait naturelle, elle c’est lové dans mes bras.
Moi – bien dormis ? Je lui caresse les cheveux
Michiru – oui, sa ma fait du bien !
Moi – je veux bien te croire dormir 7 heures d’affilé, sa ne peux être que reposant.
Elle remonte sa tête, elle est encore endormis derrière ses petite lunette noire, je sourit, et caresse son visage. Ses mains se mettent sur les miennes et ses doigts efleure ma peau.
Moi – tu vas mieux ?
Michiru – un peut oui, merci Haru pour se que tu as fais !
Moi – ce n’est rien voyons ma chérie.
Je lui sourit, et nos lèvres s’unir dans un doux baiser. Je me laisse basculer sur le dossier du canapé la serrant contre moi et allant carreser son dos passant mes main sous son polo. Je sent ses mains se posées sur mes joues eet ses pouce me caresse.
Mon cœur se met à me brûler dans ma poitrine, nos langue se trouve et se câline sauvagement.
Michiru – hm …
Mon cœur s’enflamme, et je la serre de plus en plus fort contre moi. On se décollent doucement et nos fronts se caressent, et les battements de mon cœur s’accelaire.
Michiru – je t’aime !
Moi – moi aussi mon trésor.
On se sourit, et nos mains caressent le corps de l’autre. Nos yeux son encrés l’un dans l’autre, je lui embrasse le nez, et fait durer le plaisir. Je descend doucement ferme les yeux et caresse son nez avec le mien, attrapant sa lèvre, et la caresse. Je lui caresse le dos, c’est impressionnant à quel point je peut la désirer, à quel point je suis attiré par elle. Je sent ses lèvres répondre à mon petit jeu, et elle fait pareille.
Moi – si tu savais ( l’embrasse ) à quel point je te ( l’embrasse de nouveau ) désir ma tendre Michiru.
Je sent sa langue s’enrouler dans la mienne, elle s’approche et vint se coller à moi, en manque d’oxygène on se décollent, je lui sourit, lui tapote le bout du nez, et sa voix me murmure :
Michiru – moi aussi, je te désir plus que tout … Ma jolie blonde.
Je sourit, et caresse sa joue. Notre petit câlin dura un petit moment, et sans faire attention, nous nous étions endormies sur le canapé. Michi dans mes bras.
Eh voila la fin de ce chapitre, en espérant ne pas
ps : il y a un lemon donc + 14 pour ce chapitre âmes sensible à s’abstenir merci !
Chapitre 7 : Noël approche
Point de vue Haruka.
Depuis la demande en mariage, deux semaines venais de s’écouler, et les vacances d’hiver furent enfin arrivé. Il est au alentours de 21 heures, et je me retrouvait dans le salon regardant un peut la télévision. Michi prenait sa douche, et je l’attendais. Ah … Et dire que nous allons passer notre premier noël ensemble, sa me rendait heureuse et nostalgique à la fois.
Michiru – ah … Quoi de mieux qu’une bonne douche.
Elle se dirige vers moi, et vint prendre place à ma droite. Passant son bras gauche derrière mon dos, et lovant sa tête au creux de mon cou, sa main droite se posant sur ma poitrine. Je sourit, je vint allonger mon bras droit sur ses épaules, et de ma main gauche je vint tendrement lui caresser l’épaule. Mh elle sent vraiment bon, et elle est très jolie ainsi. Elle porte un petit short blanc accompagné d’un long polo beige à manche longue, elle a des petite lunettes noire sur les yeux, et ses cheveux son tiré vers la gauche. Elle est vraiment jolie comme un cœur.
Michiru – dis Haru, je peux te poser une question ?
Moi – bien sur mon ange. Qui y’a t-il ?
Je vint couper la télévision et vint mettre Michi sur mes genoux. Entourant son dos, et le caressant.
Michiru – es ce que tu pourrais venir avec moi demain, chercher mes affaires dans mon ancienne maison, même si mon père n’y est plus elle est encore ouverte.
Moi – oui pourquoi pas !
Michiru – merci ma chérie, je t’aime.
Moi – moi aussi mon trésor je t’aime et plus que tout.
Elle me sourit et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Je souris et répond à son baiser en l’allongeant sur le canapé. Ses bras s’enroulent autour de ma nuque, et ses doigts allèrent caresser ma cheveulure. Cela me rendait si heureuse de me retrouver comme sa avec elle, sans que personne ne se mettent en travers de notre petit nid d’amour.
Je laisse ma main droite monter à sa cheveulure et mes doigts s’emmêlent à l’intérieur, et de mon pouce caresse ses cheveux. Alors que je laissa ma main gauche allait gentiment caresser sa cuisse.
Nos langues se trouvent et se caressent tendrement entres elles. Je remonte doucement afin d’être à sa hauteur, et vint la serrer dans mes bras.
Michiru – hm …
Mon cœur se mit à tanguer dans ma poitrine, une monté d’adrénaline se répend dans mon corps. Notre baiser s’approfondit, et d’un geste doux, je lui caresse la joue, bougeant doucement la tête pour mieux apprécier ce bonheur qui m’enivre de plus en plus. Nos lèvres se séparent, et je vint coller mon front contre le sien, la regardant avec amour. Son nez se mit à caresser le mien, et cela m’adoucie un peut plus.
Moi – dis moi … Que veux tu que l’ont face, pour notre premier noël ensemble ?
Michiru – plein de choses, mais la première c’est de passer du temps avec toi ma jolie blonde !
Moi – ma chérie … Je t’aime tu sais.
Michiru – moi aussi Haru, et vraiment très fort !
Je lui sourit, caresse sa joue, et la regarde avec douceur. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, elle est tout ce qu’un homme et une femme puisse rêver d’avoir.
Moi – au faite …
Michiru – oui, qui y’a t-il ?
Moi – à propos de notre mariage, tu aimerais porter mon nom, et ou que moi je porte le tiens ma chérie ?
Pour simple réponse, elle ma sourit de toute ses dents, sa main se pose sur ma joue, et me la caresse.
Michiru – eh bien … En y réfléchissant, j’aimerais beaucoup porter ton nom, Michiru Tenoh. Ah … Sa fait rêver !
Je me suis mise à sourire, je lui embrasse le nez, et caresse sa chevelure.
Moi – dans ce cas … Es ce que la futur madame Tenoh m’accompagnerais demain pour allait essayer sa bague ?
Michiru – oui. Oh Haruka, si tu savait à quel point je suis heureuse.
Moi – moi aussi je suis heureuse, heureuse de pouvoir enfin t’aimer librement. Je t’aime mon trésor !
Michiru – je t’aime bien plus que sa encore mon amour.
On se sourit, et dans un geste doux, nos lèvres vinrent se goûter amoureusement. Je laisse tendrement mes bras la serrer contre moi, tout en prenant soin de fermer son cœur à l’intérieur du miens. Ah … Je ne sais plus quoi dire, hormis que je n’aurais jamais crue que l’amour puisse prendre une grande parti de notre vie.
Je retire doucement mes lèvres, et la dévisage avec tendresse, et remarque avec un sourire qu’elle venais de s’endormir. Je me retire doucement, et vint la prendre dans mes bras, j’étteins la petite lampe qui se trouve à côté du meuble ou réside la télévision. Et me dirige vers l’étage. Une fois dans notre chambre, je ferme la porte et vint déposer mon ange sous les draps, lui retirant les lunettes au passage et la couvrit, je caresse doucement sa joue, et parti me dévêtir. J’enfile simplement un pantalon blanc et un tee-shirt de même couleur, et parti ensuite me lover sous la couette. Je vint doucement la prendre dans mes bras, entour son dos, et murmure avant de sombrer dans le sommeil :
Moi – bonne nuit mon cœur.
Je lui embrasse le front, et m’endormis serrer contre ma douce.
Point de vue Narrateur.
Cette nuit là, Haruka tout comme Michiru laissèrent leur esprit vagabonder, mais chacune d’entre elles penser à la même chose : leur mariage ! Un événement important dans la vie d’un couple, cela ne fait peut être que quatre petit mois qu’elles son ensemble, mais chacune d’entre elle avaient ce désir d’assouvir ce dont elles rêve chaque jour depuis leur rencontre, le rêve de fonder une vrai famille, elles voulaient se sentirent plus proche l’une de l’autre, malgré leur statu Haruka et Michiru s’aiment d’un amour profond et véritable, voulant chaque jour tomber dans ce bonheur qui enlace mélodieusement leur cœur.
Point de vue Michiru.
Rah, c’est pas vrai, pourquoi sa passe pas, j’ai un de ses mal de crâne c’est horrible. Je me trouve assise sur une chaise dans la cuisine une tasse de lait chaud à la main, je viens juste de prendre de quoi calmer mon mal de crâne et espère qu’il va vite partir.
Malgré sa, je n’arrête pas de penser à Haruka, et à tout ses évènements qui se sont produit ces derniers mois. J’étais très heureuse d’avoir eu le courage de lui faire ma demande, bien que sa soit tôt j’avais cette envie de me rapprocher d’elle, et de faire partie d’elle, c’est dingue toutes mes peurs se sont envolées, j’ai même réussi a unir mon cœur au sien pendant une nuit … Une nuit magique et inoubliable pour moi, chaque jours, chaque heures ou chaque secondes, j’ai envie de me sentir encore plus prêt d’elle, et sa, il va bien falloir que je réusisse à surmonter cette peur qui me ronge depuis bien trop longtemps à cose de ce monstre. Si je veux pouvoir rester avec elle, il faut que j’y arrive. Et je me donnerais les moyens pour y arriver.
Je laisse mon regard balayer la pièce, et ce dernier tombe nez à nez sur la pendule, cette dernière affiche neuf heure, je vais donc préparer son petit déjeuner, sa m’occupera et m’aidera à penser à autre chose que ce foutu mal de tête.
J’allume la machine à café, et sorti du placard un filtre à café, que je place dans la machine, je prend une petite boîte ou il y avait d’écrit « cofee » et commence à verser un peu de cette substance marron parfumé dans le filtre, branche la machine et appuya sur open.
En attendant que son café soit prêt, je prend un plateau, et y dépose une sous tasse avec quelque tartines que je beurra légèrement. Quand le petit clique de la machine retentit, j’arrête cette dernière, prend le manche du réservoir, et alla verser le liquide noir dans la tasse. Je mit un demi sucre dans ce dernier, le remue doucement, et avec un doux sourire sur le visage, monta à l’étage. Je longe le couloir, et vint doucement entrer dans notre chambre, ou je prit soin de fermer la porte. Je pose le plateau sur la table de nuit, et met mes lunette, j’avais un peut mal aux yeux. Je sens mon téléphone vibrer, je me demande qui cela peut être à une heure si tôt, je déverrouille l’appareille, et remarque que c’est un message, avec un numéro que je ne connais pas, intriguer, j’appui sur lecture et me mit à lire le message :
« Michiru, si tu as ce message, cela veux dire que je ne me suis pas trompé de numéro, j’espère que tu vas bien, et que tu mène la vie dont tu as toujours rêver, celle d’une vie de princesse, je pense fort à toi, et sa chaque jour depuis ma séparation avec toi, je ne vais pas brusquer les choses, car je sais que pour toi sa a étaient très dure, si tu veux de plus ample informations rend toi à cette adresse, la bas ils te dirons se que tu as besoin de savoir, sache que je t’aime ma petite princesse, et espère te revoir très bientôt. »
mais … Qui c’est ? Je fut grandement surprise de ce message, relisant chaque ligne. Aucune idée, et cette adresse ? Je suis perdu d’un coup, il va falloir que j’en parle à Haruka.
Je pose mon cellulaire sur l’oreiller, et me dirige avec le sourire vers ma petite femme, avec douceur, je vint m’allonger sur elle, et la contemple. Elle est tellement belle quand elle dors, et pas que en dormant, elle est belle naturellement. Je caresse doucement sa joue, et écarte quelques mèches de ses yeux sa respiration est douce et régulière, j’ai encore du mal à croire que je me retrouve dans ce genre de situation avec elle.
Doucement ses yeux s’ouvre, et je lui sourit tendrement.
Moi – bonjour ma jolie blonde, bien dormis.
Haruka – bonjour à toi ma chérie, oui très bien, mais dis moi c’est bien la première fois que tu est levé la première.
Moi – ah ah … Il y a une première fois à tout comme on dit, et puis je me suis réveiller avec un mal de crâne atroce.
Haruka – ah … Et sa va mieux ?
Moi – bah j’ai prie de quoi calmer la douleur … Tu sais que tu est belle quand tu dors.
Elle ma sourit, sa main c’est posé sur ma joue, et avec tendresse,
je vint déposer mes lèvres sur les siennes. Mêlant mes doigts dans ses cheveux, mon corps caresse tendrement le sien, ses mains caresse mon dos, et sa langue parti jouer avec la mienne qui était d’humeur câline et sauvage. Mon cœur s’accellaire au rythme de notre baiser qui deviens de plus en plus tendre et long.
Je me sens tellement bien là comme sa, allongé sur elle, goûtant avec douceur, ce plaisir dont je ne me lace pas. Un vrai bonheur. On se détachent doucement, et nos yeux se happent, s’attachent et se dévorent, sa main se pose sur ma joue et ses doigts caressent ma peau.
Haruka – mh … J’aime beaucoup ce côté là de toi !
Moi – lequel mon ange, celui qui se sent timide ou alors celui qui prend les devant ?
Haruka – celui qui prend les devant.
Moi – dans ce cas, je vais tout faire pour ne pas décevoir ma petite femme chérie.
Elle eu un grand sourire, sourire ou sous entendue se montrer, je lui caresse les lèvres la dévisageant avec intensité. Mon dieu c’est … C’est impressionnant à quel point mon cœur bat vite, je sens ses mains passer sous mon polo et ses main caressent mon dos.
Ses mains son si douce, c’est vraiment agréable d’être caressé par elle. Je vint lui embrasser le front, et descend doucement laissant mes lèvres glisser le long de son nez. Arrivé à ses lèvres que j’aime embêter, je la regarde dans les yeux, les siens me caresse, et l’un deux me fait un clin d’oeil, oh Haruka c’est dingue cette envie que j’ai de pousser les limites, ton nez caresse le mien, et tendrement je vint lui mordre ses lèvres, sortant ma langue pour laisser une trace de mon passage sur sa bouche, je voie sa langue sortir et s’emparer de la mienne. Nos lèvres ne se touchent pas, juste nos langue qui se découvre s’enlacent et se caresse, enflamment chaque minutes le désir que je ressent. Je me penche et alla lui embrasser longuement le cou, laissant mes mains baladeuse se faufiler sous son tee-shirt blanc. Mes doigts caresse sa peau, jusqu’à monter à sa poitrine et titiller un de ses mamelons. Ses bras me serre, et me caresse, sa voix lâche des petits gémissement, se qui provoque une décharge à mon cœur, je lui faisait donc de l’effet et s’en est tout à fait plaisant. Je remonte doucement et nos lèvres s’unir dans un tendre et langoureux baiser.
Je pose ma tête sur son épaule droite et monta ma main droite à son visage caressant sa joue et mêlant mes doigts dans sa chevelure, j’avais chaud, mais je n’eu le temps de redire ce mot que ma jolie blonde retira mon polo, et de même je lui retire son tee-shirt. Nos corps étaient préssé l’un contre l’autre, sa main gauche est venue jouer tendrement sur mon visage, et nos langues s’enflammées à chaque caresse. Une étrange mais agréable sensation se fait sentir au niveau de mon bas ventre, un désir brûlent parcour mon corps, je me rapproche d’avantage d’elle, et continue de l’embrasser le plus tendrement possible, laissant libre court à mes émotions et sentiments.
Doucement ont se détachent, mais voulant encore garder cette avidité nos lèvres se tapotes entre elles, créant ainsi de doux petit claquements. Sa main remet en place quelques unes de mes mèches, son sourire ne la pas quitté, et ses yeux son doux et amoureux.
Haruka – tu m’impressionne de jour en jour.
Moi – et ce n’est pas pour me déplaire …
Haruka – chuut … Et si, ont resté là ? Je me sent bien tout contre toi, ma petite femme à moi.
Je sourit, je retire mes lunettes, et lui sourit tendrement caressant sa joue, descendant doucement à ses lèvres. Je m’approche de son visage, et lui embrasse le nez, j’étais heureuse d’avoir réussi à vaincre ma peur, j’ai réussi à dépasser un cap, et me sent encore plus proche d’elle maintenant.
Moi – je ne pourrais te dire non, car tout contre toi je me sent bien et en sécurité. Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon trésor !
Nous nous sommes sourit, et nos lèvres se son caressés délicatement. Je lui caresse la joue, et laissa mon cœur s’exprimer. Quelques petites minutes après, j’avais remi mon polo et Haru son tee-shirt, je me trouver entre ses jambes, toujours dans notre lit, et je lui faisait un câlin pendant qu’elle déjeuner.
Moi – au faite ma chérie !
Haruka – oui qui y’a t-il ?
Moi – tout à l’heure, j’ai reçu sa comme message, je suis censé faire quoi maintenant ?
Je montre le message à ma jolie blonde, et elle le lue. Tout comme moi elle fut surprise, je la regarde attendant une réponse.
Haruka – mais … Je connais cette adresse, c’est à quelques minute d’ici et c’est un orphelinat.
Moi – un … Orphelinat ?
Mes yeux fixe le mur, j’essaie de comprendre le sens de ses mots, ma gorge se serre, et mon cœur s’arrête de battre pendant quelques minutes, pour je ne sais quel raison, j’avais peur de connaître une seconde vérité, car cette fois ci je sais que je ne pourrais pas le surmonter toute seule. Je sent mon menton se soulever, et mes yeux qui son vide croisent ceux de la femme que j’aime. Elle me caresse la joue, son regard et doux et son sourire chaleureux.
Haruka – tu veux qu’ont aille faire un tour cet après-midi ?
Moi – je … Je n’aie pas envie de t’embêter avec sa.
Tout se mélange dans ma tête, et je ne comprend plus rien, pour je ne sais quelle raison j’avais envie d’exploser de colère, je lève mes yeux vers elle, toujours aussi perturber par cette nouvelle, je lui caresse la joue et dit :
Moi – et si … On m’avait encore mentit.
Haruka – dans ce cas, je serait la pour te soutenir mon amour, je ne pourrais pas te laisser dans un tel état.
Moi – ma chérie … Je … Même si j’ai peur de connaître une seconde vérité, il va falloir que j’y aille. Et puis je … j’aie pas envie de t’embêter avec s …
Haruka – chuut … Tu ne m’embête pas, et puis au moins je pourrais être la si tu en a besoin.
Moi – merci … Je t’aime.
Haruka – moi aussi mon cœur !
Je lui sourit, et l’embrassa doucement. Un baiser tout doux et regorgé de tendresse. Je m’appui contre elle, laissant mon portable valser sur le lit, je monte ma main à son visage et lui caresse du bout des doigts. Je me sent bien avec elle, et quelques fois je me pose cette question.
« que ferais-je à cet heure ci, si je ne l’avait jamais connue. »
je me le demande bien. Je me détache doucement, et vint la serrer contre moi. Un petit moment bien agréable. Ou je pouvais entendre mon cœur se soulever.
Les minutes venaient de s’écouler, et je me trouver assise sur le canapé, et m’amuser à me faire des petites tresses. Ma jolie blonde était parti chercher le courier. Tiens beh quand ont parle du loup, la voilà qui se dirige vers moi, avec un colis.
Moi – qu’es ce que c’est ?
Haruka – je ne sais pas, mais c’est pour toi.
Moi – pour moi ??
Je fut surprise, et prend le colis qu’elle me tendais. Elle prend place à mes côtés, et je vint m’appuyer contre elle. Son bras passe derrière mon dos et à son tour, elle se mis à me serrer dans ses bras.
Je commence à ouvrir le carton, et sorti parmit tout ses polistyrènes des photos. Sur l’une d’elle on voyais une petite fille au cheveux bleu écum comme moi, cette petite fille au sourire angélique est au côté de deux adultes sûrement ses parents, la seconde était la même petite fille en train de sourire, sur cette photo elle avait les cheveux plus court un petit carré qui la rendais très mignonne.
Mais pourquoi avais-je reçu ses photos ? Qui me les a envoyé, mais surtout comment cette personne sais que j’habite ici, sa m’intrigue de plus en plus. Bon aller stop il suffit de se torturer l’esprit, après tout je suis Michiru Kaio, et j’ai surmonter bien plus douloureux que sa. Je me tapote les joues comme pour me réveiller.
Moi – bon aller, je vais arrêter de me torturer, et profiter de ce que la vie m’offre plutot que de pleurer.
Haruka – bien parler !
Début du lemon :
Je me tourne et lui sourit. Je pose le carton sur le canapé et alla me lover dans ses bras, je m’assoie sur ses jambes, et vint délicatement prendre son visage dans mes mains. Je sent ses bras s’enrouler autour de mon dos, et doucement, je lui caresse les joues avec mes pouces.
Moi – oui, il faut savoir profiter de ce que la vie nous offre, et arrêter de voir tout noir comme tu me la dit.
Je voie ses lèvres s’étirer en un doux sourire, je lui embrasse le nez, et continue de la regarder avec tendresse.
Haruka – et … Que comptes tu faire ?
Moi – eh bien … Déjà passer du temps avec la femme que j’aime.
Haruka – ah oui ? Eh … Qu’aimerais tu faire ?
Moi – tout … Lui faire des câlins, lui dire sans gêne se que je ressent et ce qu’elle est pour moi, et l’embrasser le plus tendrement possible.
Elle ma sourit, son front c’est collé contre le mien, et elle a doucement caresser ma joue.
Haruka – hm … Tu sais que tu m’intéresse là, alors es ce que … Je pourrais avoir un doux baiser de ma petite femme chérie ?
Moi – je t’aime Haruka !
Haruka – mais moi aussi je t’aime ma douce et ravissant Michiru.
Je lui sourit, et déposa tendrement mes lèvres sur les sienne afin de crée un doux moment. Je me rapproche doucement et laissa mes bras s’enrouler autour de ses épaules. Ses mains parcour mon dos, et le sien se pose sur le siège du canapé. Ses mains me rapproche d’elle, et passe sous mon polo car j’étais toujours en pijama contrairement à ma jolie blonde qui était déjà habillé, et qui sentait bon au passage. L’eau de cologne qu’elle c’est mise sent vraiment bon, et c’est très agréable de l’embrasser dans ses conditions. Je laisse doucement ma langue aller valser avec la sienne, mon cœur battait tellement vite, et je me sentait vraiment bien.
En manque d’aire, on se séparent, mais nos yeux continuent de se caresser. Elle écarte une petite mèche de mes yeux et sa voix qui est si belle à mes oreilles résonne.
Haruka – tu sais que j’aime ce petit côté la de toi, celui qui a beaucoup plus d’assurance, je l’aime beaucoup.
Moi – ah oui … Eh bien j’en suis ravie que cela plaise à mon professeur.
Haruka – quand vas tu arrêter de m’appeller comme sa ?
Moi – hm … Attend laisse moi deux minutes, jamais !!
Haruka – dans ce cas mademoiselle Kaio sa change tout.
Moi – comment sa tout ? Vous m’intriguer fortement professeur !
Je la voyais sourire de plus en plus, ses mains s’aventure sous mon polo, et fini par me le retirer.
Haruka – te rappelle tu de la dernière leçon ?
Moi – hm … Non, malheureusement, mais de quelle leçon parlez-vous professeur, mais surtout, quel est ce cour est t-il normal ou particulier ?
Haruka – hm … Vous ne retenez pas grand chose mademoiselle, je vais devoir vous punir, c’est un cour particulier.
Moi – s’il vous plait, ne soyez pas sévère avec moi … Et expliquez moi votre leçon particulière professeur !
On se souriait, elle me fit un petit clin d’oeil, et dit en faisant rouler l’une de mes bretelle de soutien-gorge sur mon bras.
Haruka – hm … Je vais réfléchir à votre punition, en attendant mademoiselle Kaio je vais vous demander une faveur ?
Moi – une faveur ? Et laquelle professeur Tenoh.
Haruka – si vous arrivé à me séduire, alors peut être que je levrer la punition.
Moi – mh … Vous séduire ? Mais comment dois-je m’y prendre ?
Lui demandais-je d’une voix sensuelle et mielleuse tout en déboutant sa chemise.
Haruka – pour sa mademoiselle je vous laisse carte blanche !
Moi – dans ce cas, je n’échouerais pas à ma tache.
Je monte à son oreille et lui susurre langoureusement :
Moi – pro.fe.ss.eur.
Je lui mordille délicatement lobe de l’oreille, et longe son visage la couvrant de baiser. Ses mains venaient de dégrafer mon soutien-gorge, et ce dernier tomba sur le sol. Je lui soulève le menton du bout de mon index, la dévisage d’un regard coquin et malicieux à la fois.
Moi – vous êtes … Vraiment sexy professeur.
Un sourire tendre se dessine sur ses lèvres, elle me caresse la joue, et elle me répond de la même manière :
Haruka – hm … Et vous mademoiselle vous êtes à croquer.
Moi – mais, je ne suis pas à manger vous savez !
Haruka – hm, je n’en suis pas si sur que sa. Votre jolie minoie me donne horriblement faim mademoiselle Kaio.
Moi – hm … Et dites moi, par quoi voulez-vous commencer ?
Je me suis sentit à se moment la valser vers la droite et me retrouve allongé sur le canapé. Haruka se trouvant au dessus de moi, je sourit, et la regarde malicieusement, un sourire pervers sur le visage.
Haruka – mh … Je ne sais pas beaucoup de chose s’offre à moi, mais pourquoi ne pas s’attaquer à la partie la plus délicieuse ?
Moi – professeur vous êtes perverse !
Haruka – et vous mademoiselle vous êtes délicieuse.
Je lui offre une petite moue dont j’avais le secret, je la regarde le sourire au lèvres, me frottant le menton du bout du doigt.
Moi – s’il vous plais professeur Tenoh, soyez gentil avec moi !
Haruka – je serait aussi douce qu’un agnau mademoiselle.
Je sourit, notre petit jeu m’amuser beaucoup, et me permetter de me liberer de cette peur, mais dieu que cela fait du bien. Je sent les lèvres de ma jolie blonde prêt de mon oreille gauche, son souffle chaud au creux de mon ouïe, et sa langue qui se met à lécher le bas de mon oreille, mon cœur faillit exploser, ses lèvres descende le long de mon visage, mordant tendrement mes lèvres, elle descend un peut plus et vint m’embrasser le cou. Laissant mes mains prendre soin de retirer sa chemise, et mes doigts les faisant rouler prêt de sa bretelle.
Moi – ah … Mh, oh professeur vous … Vous êtes si douce et vous … M’exciter tellement.
Sa y’es j’ai osé lui dire, je sent ses lèvres longer vers ma poitrine et ses baisers continuent sensuellement leur chemin, que c’est bon, je me sent de plus en plus enivrer par ses caresse et ses baisers qui se sont maintenant attaquer à mes mamelons. Je … J’ai l’impression d’avoir détremper mon linge intime tant l’excitation me prend.
Je dirige mes mains vers son pantalon, et lui défait le bouton et le fait glisser le long de ses jambes, mama cet effet qu’elle me fait c’est dingue, j’ai envie d’elle, j’ai envie de connaître l’extase de cette excitation sauvage.
Point de vue Haruka.
Dans peut de temps je sent que je vais craquer, je ne contrôle plus mes gestes ainsi que mes lèvres qui l’embrasse sensuellement. Je descend jusqu’à son nombril et vint lui embrasser lui lécher, montant ma main droite à son sein et de mon index et mon pouce lui titille tendrement le mamelon, diable cet effet qu’elle me procurer, même notre première fois n’avais pas était aussi intense. Elle m’exiter terriblement, et me sentait de plus en plus serrer dans mon linge.
Je remonte à son oreille et murmure :
Moi – mademoiselle Kaio, si vous saviez à quel point j’ai envie de vous.
Michiru – moi aussi professeur j’ai envie de vous, vous m’exiter tellement, je n’arrive plus à contenir ce désir en moi.
Moi – mh … L’envie de vous faire tendrement l’amour me tient.
Michiru – oh oui … Faite moi l’amour professeur, je ne tient plus.
Je sourit, heureuse qu’elle est pue dépasser ce cap … Je me lève et vint la prendre dans mes bras, la conduisant dans notre chambre.
Michiru – ou m’emenez-vous professeur Tenoh ?
Moi – dans un endroit ou nous seront à l’abrit des regards mademoiselle.
Une fois dans la pièce, je ferme la porte, et allongea Michi sur le lit, me mettant au dessus d’elle, nous couvrant avec la couette.
Moi – maintenant mademoiselle Kaio je vais vous faire tendrement l’amour, ainsi vous n’oublierais plus vos leçons.
Michiru – allez y professeur je suis entièrement à vous.
Je sourit, et le cœur prêt à frôler la crise cardiaque, je vint l’embrasser langoureusement. Laissant mon cœur s’exprimer.
Fin du lemon
Point de vue Narrateur.
Dans cet appartement, enfermer dans leur chambre, Haruka et Michiru vienne de découvrir se que sont les plaisir de la jouissance, emporter dans leur petit jeu de séduction, elles se sont livrées à elles même, goûtant au véritable plaisir de l’amour. Ce petit jeu les aura bien rapprochées, et chacunes d’entre elles aurons finalement réussi à dépasser leur peur, celle de Michiru, de ne plus pouvoir désirer par les attouchements de son père, et Haruka par peur et de manque de confiance. Mais à présent les voilà encore plus unis enlacé dans les bras de la femme qu’elles désirent, elles firent l’amour sans gêne et avec beaucoup mais beaucoup de tendresse et d’amour.
Point de vue Michiru.
Ah … Que sa fait du bien une douche, je coupe l’eau, et vint m’enrouler dans une serviette ainsi je ne pourrait attraper froid. Je me place devant le miroir, et me regarde. Je voyais un sourire … Un sourire heureux un sourire d’une femme comblé. Depuis se qui c’est passé entre elle et moi, j’ai l’impression d’avoir prit plus d’assurance, et me sent femme, oui c’est sa, depuis que j’ai dépasser ma peur, je me sentait un peut plus femme, et cela n’est pas pour me déplaire.
Une fois que je fut sèche, je commence à m’habiller, d’un jean bleu foncer, un petit chemisier noir, et un pull gris à col bateau. Je prend pas la suite le sèche cheveux branche la machine, et active le soufflement. C’est … C’est incroyable comme je peux me sentir bien. Quand j’eue terminé, je débranche le sèche cheveux, et à l’aide d’une bombe de laque, je m’en mit mettant toute ma chevelure sur le côté gauche. Par la suite, je met les boucle que ma jolie blonde m’a offert, ainsi que la petite chaîne en argent.
Je prit du laïner et me fit le contour de l’œil doucement, et répéta mon geste avec l’autre. Je me passe un peut de gloss sur mes lèvres, car bon, c’est pas que je n’aime pas le rouge à lèvres mais je c’est que beaucoup d’animaux meurt pour faire ce genre de produit cosmétique, je trouve sa abjecte et répugnant, j’en met juste quand c’est pour une occasion. Je prit un flacon de parfum « Intime » me mit trois petit pchites, et enfin sortie de la salle de bain, me dirigeant vers la cuisine ou Haru se trouvé.
Je me mit derrière elle entour son ventre et dis le sourire aux lèvres.
Moi – hm sa sent bon … Que fais ma petite femme chérie de bon à manger.
Elle se tourne, et sourit en me voyant, je m’approche, et lui arrange un peut le col de sa chemise. Pour ensuite venir caresser sa joue.
Haruka – tu est vraiment ravissante ma chérie !
Moi – merci mon ange, mais que nous fais tu à manger ?
Haruka – des nouilles japonaise.
Moi – hm, sa va être bon tout sa.
Je la voie mettre le couvercle sur la marmite elle mis le minuteur, retire le tablier qu’elle porter, et vint me prendre la main. Sans rien dire, je la suis, et je la voie prendre place sur la rebord du canapé, et ses mains prend les miennes.
Haruka – je suis vraiment heureuse !
Moi – ah oui ? Pourquoi ?
Je m’approche, me mettant entre ses jambes, et prenant tendrement son visage dans mes mains, lui caressant à l’aide de mes pouces. Je sent ses bras, entourer mon dos, et son sourire s’agrandit.
Haruka – car grâce à une personne si particulière, j’ai réussi à vaincre ma peur.
Je sourit, comprenant ou elle voulais en venir. Je lui sourit tendrement, et vint caresser son front avec le mien. Jouant avec son nez.
Moi – je suis aussi très heureuse d’avoir vaincu ma peur, car à présent … Je me sent encore plus proche de toi, et je me sent … Un peut plus femme.
Elle ma sourit, ses lèvres tapotent doucement les miennes, et sa voix résonne.
Haruka – mais tu est déjà un petit bout de femme, tu est belle et même à 18 ans tu est déjà une jolie jeune femme … Ma petite femme à moi.
Je sourit, je lui caresse la joue, écartant quelques mèches de ses yeux, un regard que je ne cessairait de regader et d’admirer.
Moi – tu sais … Par moment, j’ai l’impression de rêver.
Haruka – pourquoi ?
Moi – car je n’aurais jamais crue rencontrer le grand amour au lycée, et je n’aurais jamais crue tomber éperdument amoureuse de l’un de mes professeurs.
Haruka – mais moi, je ne regrette rien … Je suis très heureuse d’avoir fait ta rencontre mon trésor.
Moi – moi non plus je ne regrette pas, d’avoir trouvé la moitié de mon cœur … Je t’aime Haruka, c’est dingue à quel point jee peux t’aimer.
Haruka – moi aussi je t’aime chaton, et je t’aime sincèrement !
On se sourit et ses lèvres attrapèrent amoureusement les miennes. Je sourit, et me laisse faire avec bonheur, caressant ses joue, et l’embrassant tendrement. Décidément ce petit jeu nous avait grandement rapproché l’une de l’autre, et c’était vraiment un délice. On se détachent doucement, ses doigts remette quelques mèches sur le côté, et moi je continue de la dévorer du regard.
Moi – il me tarde le jour ou je serait devenue véritablement ta femme.
Haruka – mais tu l’est déjà … Tu est ma femme celle que j’aime et désir plus que tout.
Moi – Haru …
Haruka – chuut …
Et tendrement nos lèvres s’unir de nouveau dans un long et doux baiser. Haruka, quand arrêteras-tu de me rendre ainsi ? De me rendre si amoureuse et heureuse, tu as un don, ou alors c’est que vraiment je suis folle. Oui folle de toi de tes bras tes mots et tes lèvres. La magie prit doucement fin, et je lui dit en enroulant sa nuque et en la serrant dans mes bras.
Moi – je ferais tout pour te garder avec moi, sa fait longtemps que je rêve de rencontrer le grand amour, et maintenant que je les trouvais, je ne compte pas le laisser filer dans les bras de quelqu’un d’autre. Tu est devenue si importante à mes yeux que je n’ose plus imaginer ma vie sans toi … Ma si jolie blonde, ma femme!
Haruka – moi non plus je ne veux pas te perdre, et te laisser partir dans les bras d’une autre personne, tu est celle qui donne enfin un sens à ma vie, celle qui me comprend … Ma douce et tendre Michiru, tu es devenue indispensable à ma vie, tu est mon oxygène ma raison de vivre tu est … La femme de ma vie.
Je sourit, et la serre contre moi, lui embrassant tendrement la nuque. Ses mains me caresse, et je me sent bien avec elle. Je laisse mon regard s’encrer dans le sien, et caresse doucement sa joue.
Moi – Haruka … Ma douce et jolie blonde toi seule emflamme mon cœur, je t’aime.
Haruka – moi aussi ma chérie et je t’aime bien plus que sa encore !
On se sourit, et un petit câlin s’installe entre nous. Je pose ma tête sur son épaule droit et lui caresse le dos, lui déposant un doux baiser sur sa nuque. Ses mains caresse le mien, et je me laisse prendre dans cette douce étreinte.
Haruka – dis moi … Où es ce que tu veux manger ?
Moi – n’importe où tant que je suis avec toi.
Haruka – hm … Ma chérie !
Elle caresse mon dos, allant mêler ses doigts dans mes cheveux et posant ses lèvres sur mon cou. Je n’aurais jamais crue que notre petit jeu puisse nous rapprocher autant.
Après ce petit câlin bien agréable, c’est avec le sourire que je partit mettre le couvert sur le balcon, il faisait bon, et un peut d’air frais ne ferait pas de mal. Soudain j’entend mon téléphone sonnait, surprise je décroche et dis :
Moi – oui allo ?
Cléo – salut Michi !
Moi – teh Cléo ça va ?
Cléo – bah tout rool, et toi ?
Je met mes écouteurs, rangeant mon cellulaire dans ma poche.
Moi – bah écoute tout va pour le mieux.
Cléo – ouh … Sa sent l’amour, sa se passe bien avec ton professeur ?
Moi – très bien, c’est le pure bonheur.
Cléo – ah ouais pourquoi sa ?
Je sent des bras entourer ma taille, je sourit, et répond en appuyant mon dos contre elle.
Moi – eh bien … Je vais avoir le bonheur de l’épouser.
Cléo – quoi ?? C’est pas vrai.
Moi – si si, lorsque je suis revenue de mon stage nous avons fêté son anniversaire, et je lui est demandé sa main.
Cléo – mais enfin c’est supère sa !! oh Michi je suis si heureuse pour vous.
Moi – merci Cléo sa me touche que tu soit heureuse !
Cléo – heureuse ? Non mais attend ma meilleure amie va se marier bien sûr que je suis heureuse même supère heureuse.
Moi – merci tes vraiment génial, je t’adore !!
Cléo – moi aussi et très fort.
Je sourit, heureuse que Cléo l’aie bien prit, je prend sa main droite et lui dépose un baiser.
Cléo – tu pourrais m’envoyer une photo de toute les deux s’il te plais ?
Moi – oui bien sur, mais pour sa faut que je raccroche !
Cléo – ok.
Et notre communication se coupa. Je pose ma tête juste à côté de la sienne, ses lèvres son contre ma joue gauche, ses mains caressant mon ventre, et une fois que je trouva le bouton pour l’appareil photo je nous cadre, et appuya sur le bouton.
Heureuse je cherche le numéro de Cléo, et une fois trouvais je lui envoie la photo. Je sourit, et me tourne afin de croiser son regard.
Moi – je suis heureuse, Cléo la vraiment très bien prit.
Haruka – tant mieux alors … Allé vien on va manger trésor !
Moi – ok dans ce cas …
Je lui soulève le menton et déposa mes lèvres sur les sienne. Oui depuis ce qui c’est passé, je me sentait beaucoup femme et j’avais prit beaucoup plus d’assurance. Elle me sourit, et doucement elle répond à mes baiser.
Haruka – allé ma petite femme à table.
Moi – c’est que ma jolie blonde me donne des ordres maintenant.
Elle ma sourit, m’embrasse le front, et nous prîmes place l’une en face de l’autre. Je pose ma main sur la sienne, et c’est en souriant que nous commencions à manger. Mon téléphone se met à sonner mais je ne répond pas, car de un nous étions à table et que c’est très impolie pour la personne qui est en face de nous.
Moi – quand même … Cette histoire de message avec une adresse d’un orphelina me perturbe.
Haruka – c’est vrai que c’est louche, mais je pense qu’il va falloir y’aller faire un tour.
Moi – oui, bien que sa me face peur !
Haruka – je serait là moi.
Moi – merci mon amour !
Je lui sourit, et nous continuâmes de manger. A la fin de ce dernier, je prend les couverts, et alla mettre ses dernier dans le lave vaisselle, puis mon portable ce met à sonner, surprise, je prend ce dernier et dit :
Moi – oui allo ?
? - Michiru ?
Moi – euh … Oui c’est moi, qui est à l’apareil ?
Je regarde Haru, qui m’observe avec un doux sourire.
? - Ah Michiru je suis bien heureux de t’entendre, je suis le directeur de l’orphelina. Comment vas tu ?
Je m’arrête et pose ma main sur le plan de travail et aval difficilement. Mes yeux se ferment, et je me tourne vers ma jolie blonde, je regarde mon téléphone et raccroche, impuissante face à sa.
Haruka – que ce passe t-il mon trésor ?
Elle ma relever le visage et d’un geste doux ma caresser la joue, j’essaie de resister, mais les larmes se font de plus en plus prenante.
Moi – c’e … C’était l’orphelina … Je … Je ne sais plus quoi faire, j’ai l’impression de vivre dans un menssonge.
Puis mon portable se met de nouveau à sonner, je regarde ce dernier et voie que c’est le même numéro, je vint me lover dans les bras de ma douce, et épuisé me laisse tomber.
Moi – c’est encore … Le même numéro, je fais quoi ?
Haruka – tu as confiance en moi ?
Moi – bien sur quel question.
Haruka – alors laisse moi faire ok !
Elle me prend le visage et me posa un délicat baiser sur les lèvres, caressant mon visage. C’est une chance que je l’aie à mes côtés. J’entour son dos, et me laisse bercer par son câlin et ses mains qui me caresse agréablement.
On se décollent doucement, et doucement, je caresse sa joue en soufflant.
Haruka – laisse moi faire trésor, d’accord ?
Moi – d’accord.
Elle me sourit, me tapote doucement le nez, me fit un clin d’oeil, et répondit à l’appel.
Point de vue Haruka.
Je me dirige vers le balcon et dis en m’accoudant contre ce dernier.
Moi – oui allo ?
? - Michiru ? Pourquoi as tu raccroché !
Moi – excusez moi, mais ce n’est pas Michiru au téléphone.
? - ah ? Et à qui ai-je à faire dans ce cas ?
Moi – je me présente Haruka Tehoh, je suis sa femme. Et vous ?
? - bonjour madame Tenoh , en faite je suis le directeur de l’orphelina « Tout petit »
Moi – bonjour monsieur, je suis désolé, mais Michiru, n’est pas en état de répondre, donc que lui voulez vous ?
? - je comprend, eh bien j’aurais aimais savoir comment elle allait, si depuis qu’elle est parti de chez nous, si elle mène une vie normal ?
Je rester là à écouter ce directeur, si j’arrive à bien comprendre, Michi a était adopté, ce qui veux dire que ses parents doicvent se trouver quelque part dans ce monde. J’étais heureuse et mélancolique à la fois, heureuse car elle avait peut être une chance de revoir ses véritable parent, et mélancolique dans le sens ou je ne pourrais peut être plus la voir si elle s’en va avec eux. Je regarde l’horizon et retiens mon chagrin du mieux que je peux.
Moi – eh bien oui elle va très bien, mais puis-je vous poser une question ?
? - oui bien sur.
Moi – comment avez vous eu son numéro ?
? - eh bien, j’ai d’abord fait des recherche sur internet, et comme je ne trouvait rien, j’ai consulté le botin, et au niveau des page blanche en allant à la lettre K j’ai trouvé son non et son prénom ainsi que son numéro !
Moi – je comprend mieux, mais serait t-il possible que l’ont puisse vous voir pour mettre toute cette histoire au clair ?
? - oui oui bien sur madame, la petite Michiru nous manques beaucoup, donc que deriez vous de nous voir vers 13 heure ?
Moi – très bien, dans ce cas je vous dit à tout à l’heure.
Et sans que je ne puisse continuer, la communication se coupa. Je regarde le ciel perdu, mon cœur me fait mal, dans un sens j’ai envie de la voir heureuse mais dans l’autre je n’aie pas envie qu’elle s’en aille loin de moi, loin de notre histoire, car pour moi, sa compte. Je me retourne et me dirige vers le salon, ou Michi se trouvais assise sur le canapé, à regarder les photos qu’elle a reçu ce matin.
Je m’approche d’elle, enroule son cou, et ses yeux qui son vide son humide. Je lui caresse les épaules, et lui murmure :
Moi – sa va aller Michi, je suis là !
Michiru – merci, mais dis moi qu’es ce que l’ont va faire ?
Moi – le directeur de l’orphelina veux nous rencontrer.
Michiru – et cas tu dis ?
Moi – j’ai accepter pour mettre au moins cette histoire au clair.
Michiru – mais je … Imagine si je dois à tout hasard rencontrer mes véritable parents ? Imagine si ils me demande de les suivrent ? Je n’aie pas envie, parce ce que … Parce qu’ici j’ai ma vie, et j’ai surtout ma vie privé qui compte beaucoup pour moi, je n’ose pas imaginer une minute ma vie sans toi.
Je sourit, au moins je ne suis pas la seule à être contre cette idée. Je lui caresse la joue, et lui murmure :
Moi – écoute, pour moi aussi il est hors de question que je te laisse partir, mais j’aimerais au moins en savoir plus sur ce qui tes arrivé, pour ainsi t’aider du mieux que je peut pour te soutenir ma chérie … Je ne pourrais jamais, te laisser partir loin de moi.
Michiru – oh Haruka …
et sans que je ne dise quoique se soit d’autre, ses lèvres s’emparent des miennes. Je lui soulève le visage, caressant ses joues de mes pouces, et répond avec tendresse à sa douceur. Mon cœur bat tellement fort, avec tout se qui c’est passé etre nous je ne cesse de penser à elle, à nous, à notre histoire qui est devenue importante à mes yeux au fil des mois.
Ont se décollent doucement, je lui fit un doux sourire, et lui embrasse le nez.
Moi – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi Michi !
Michiru – pareil, tu pourras toujours compter sur moi !
Nos yeux se caressent, et je continue mon geste avec douceur sur ses joues. Les minutes s’écoulent, et lorsque une heures sonna, je commence à fermer le store du salon et attend Michi qui est parti à l’étage. Elle redescend quelques minutes après, je lui sourit, et tout en lui prenant la main, nous quitons la maison. Je ferme la porte à clés, et longe le couloir.
Sa tête se pose sur mon épaule droite, et je l’entend soupirer, je caresse sa main pour la détendre. Une fois dans le parking souterrain, je déverrouille l’alarme, monte et une fois que nous fûmes toutes les deux prête, je démarre, fit une marche arrière, et partit direction l’orphelina.
Pendant le trajet Michi était silencieuse, elle avait mis sa main sur ma jambes, je n’aime pas la voir dans cet état, arriver à un feu rouge, je m’arrête, et pue prendre sa main dans la mienne.
Point de vue Michiru.
Je tourne mes yeux et voie Haruka qui me regarder l’air inquiète. Je lui sourit doucement, et serre sa main dans la mienne.
Moi – désolé de te faire du souci mon amour.
Haruka – ce n’est rien, ne t’inquiète pas mon trésor.
On se sourit, je m’approche et lui posa un doux baiser qu’elle me rendit avec bonheur. Tant qu’elle est à mes côtés, je n’est pas à avoir peur, la seule chose que j’espère, et que personne ne me l’enlève. Je ne pourrais pas supporter la séparation.
Quand ont fut arrivé, ma jolie blonde se gare, et c’est le cœur battant à la chamade que je sorti de la voiture. Haru enclanche l’alarme, elle me prit la main et me guida vers le bâtiment. J’avais une boule au ventre, comment allais-je réagir ? Quel genre de vérité allais-je connaître. Tout cela me fait peur, mais je n’aie pas pour autant envie de baisser les bras, je voulais enfin en avoir le cœur net.
Une fois devant la porte, je souffle un bon coup, Haru vint m’embrasser la joue en me serrant la main. Et nous entrâmes dans l’orphelina. L’intérieur du bâtiment est sombre, des poutres noire trônaient dans la maison, le sol recouvert d’une moquette grise. Je passe en revue le bâtiment, et aucuns souvenirs me reviens se que je trouve assez bizarre.
Je caresse doucement sa main, et lui sourit comme pour lui dire que j’allais bien. Elle me fit un clin d’oeil, et je continue à avancer. Puis une petite fille au long cheveux blond comme Haru apparue, elle nous regardée.
Moi – bonjour toi …
Je vint m’accroupir, et lui sourit gentiment. Je la voie se diriger vers moi, elle pose sa petite main sur ma joue et me regarde. Elle devait avoir 3 ans tout au plus, elle possède de jolie yeux caramel, et elle se mit dans mes bras. Je sourit et me relève.
Petite fille – bon … Zour madame !
Moi – bonjour petit cœur, comment tu t’appelle ?
Petite fille – Anastasia, et vous ?
Moi – c’est très jolie, moi c’est Michiru.
Elle me sourit, et je lui rendit chaleureusement. Ses petit yeux marron se tourne et Anastasia se mit à parler.
Anastasia – bonzour madame.
Haruka – bonjour poussin, tu vas bien ?
Anastasia – oui.
On se sourit tendrement, ma jolie blonde met sa main sur mon dos et nous continuons d’avancer vers le couloir essayant de trouver le bureau du directeur. Au loin je voie une porte avec une pancarte ou il y avait d’inscrit « Monsieur Petit » sa doit être là, je me baisse et repose Anastasia qui affiche une petite moue.
Anastasia – vous viendrais me dire au revoir ?
Moi – promis.
Elle me tend son petit doigt, se qui m’attendrit un peut plus, j’aime beaucoup les enfants, et j’ai le désir d’en avoir plus tard. Je lui tend mon petit doigt, et le serre.
Moi - croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer.
Elle avait dit en même tant que moi, et cela me fit sourire. Je me redresse et affiche un doux sourire à ma cher et tendre, qui remet quelques mèches bleu derrière mon oreille. Je lui prend la main et souffle un bon coup.
Moi – aller, j’ai déjà surmonter plus dur que sa !
Haruka – et puis moi je suis là.
Moi – oui je sais, et c’est bien sa qui me rend heureuse ma chérie !
On se sourit, ses lèvres caressent les miennes pendant une fraction de seconde, je lui rendit avec tendresse, et enfin toqua à la porte.
? - oui entré.
Je souffle un dernier coup, et abaisse la poignet poussant la porte pour entrer dans le bureau. L’homme qui était derrière ce dernier ce lève les yeux grand ouvert comme si il était étonné. Il s’approche de nous et s’exclame d’une voix grave mais douce.
? - Michiru c’est bien toi … C’est bien toi mon enfant ?
Moi – bonjour monsieur.
? - Oh Michiru, tu as tellement grandit, tu est devenue une belle jeune femme, mais viens donc t’asseoir. Bonjour madame Tenoh.
Haruka – bonjour monsieur !
J’allai prendre prendre place devant le bureau, à la gauche de ma jolie blonde qui serra ma main dans la sienne. Une femme de taille moyenne et d’âge ancien fait son apparition et se poste à la droite du vieux monsieur qui me regarde depuis tout à l’heure. Elle est habillée d’une robe noire surmonté d’un petit tablier blanc.
Directeur – Michiru, je suis vraiment très heureux de te revoir, mais que fais tu maintenant ? Et sa se passe bien avec tes parents ?
Michi respire et inspire, ce n’est pas le moment de se montrer faible, je serre la main d’Haruka, et dis :
Moi – eh bien … Comment dire, cela va faire un peut plus de trois ans que je ne côtoie plus mes parents et que je ne vis plus avec eux. Je ne sais pas se qui c’est passé réellement mais …
Mon cœur se serre et j’ai du mal à articuler.
Moi – ma mère est morte des mains de mon père qui voulais récuperer ses biens ainsi que ma garde, durant des années j’ai vécu un enfer, quand je rentrer de la primaire, mère m’enfermer dans un placard, et dès qu’elle partais, père en profité pour me battre, j’ai eu droit au coup de ceintures à la règle, et aux écrasement de ses cigarette, je lui server de coussin, il m’obliger à me mettre à quatre pattes et il allongé ses jambes sur moi, il me surnomé de guenond, de petite traîner que j’étais bonne à faire les trottoire, il m’avait même dis un jour qu’il m’apprendrais le chemin des prostituers et je …
C’est dure de raconter tout sa, et je n’aie pas pue retenir mes larme qui se mette à caresser mes joues.
Moi – il me forcer à me dénuder devant lui, si je refuser de lui obéir je finissait dans son lit, et il … Il … Il a osé me violer en me droguant.
Je ne relève pas la tête, mais continuer de deverser mon chagrin, sa fait trop longtemps que je garde sa en moi, je serrer la main d’Haruka dans la mienne, et n’oser plus rien dire.
Directeur – non … Sa, sa ne peux pas être vrai, ils étaient si gentilent pourtant lorsqu’ils sont venuent t’adopter, et sa na pas était facile !
Moi – j’ai du mal à croire que j’ai était adopter, qui je suis réellement ? Qui son mes véritable parents, je veux savoir, j’en est assez de vivre dans le mensonge.
Directeur – Je suis profondément désolé Michiru pour se qui tes arrivé vraiment, je n’aurais jamais crue qu’ils puissent être d’une cruauté effroyable. Avant de tout te raconter, je vais te présenter une personne, c’est elle qui c’est occupé de toi lorsque tu est venu ici. Martine approche s’il te plais.
La femme qui était à ses côté s’approche et me regarde peiné, elle a du entendre mes propos. Elle ma relever le menton et mes larmes valsent sur mes joues.
Martine – Michiru, ma toute petite, si tu savait comme je regrette de t’avoir confier à des monstre pareil, pendant des années je me suis occupé de toi, toi qui était si seule, si solitaire. Tu resté devant la fenêtre de ta chambre espérant que ta mère et ton père vienne te chercher. Quand tu voyais tes camarade partir avec le sourire au bras d’un couple tu t’enfermer à clés et tu joué du violon en pleurant. Pendant longtemps j’ai veiller sur toi, et je voie que tu as beaucoup grandit, tu est devenue si belle.
Je la regarde, ses mots avait apaisé mes pleurs, mais je continue d’avoir mal au cœur comme si un poignard m’avais transpercer. Je m’approche d’Haruka, et cala ma tête dans son cou, posant ma main gauche sur son épaule. Ses main m’enroulent et me serre contre elle.
Martine – bonjour madame excuser je ne vous avez pas vue, qui êtes vous ?
Haruka – ce n’est rien, je suis Haruka Tenoh et suis la femme de Michiru.
Martine – oh … Je voie !
Directeur – Michiru, tiens regarde.
Je lève mes yeux et remarque un gros dossier, je m’approche doucement de ce dernier, reniffle un peut et m’essuie les yeux. J’ouvre le dossier et voie plein de dessin le premier représenter une famille une petite fille tenais les main d’un homme et d’une femme, tout les trois aborder un magnifique sourire, la petite fille avait le cheveux écume comme moi. Le second représenter un cœur avec deux princesses, je continue de feuilleter le dossier, et au bout d’u moment je voie une enveloppe, je prend cette dernière, et l’ouvre, déplie la feuille, et mettant mon dos contre le dossier du siège, je commence à la lire.
« Michiru ma chérie, si tu lis cette lettre sa veux dire que tu as grandit et que tu est en état de comprendre ce qui c’est passé. Tu est née un 21 octobre à Venise, la plus belle ville que je n’aie jamais visité. Ton père et moi sommes très heureux de tavoir mis au monde, tu est tout pour nous, mais voilà à l’époque ou tu as fait notre bonheur, nous étions très pauvre, et n’avais de quoi que de nourrir deux personnes, tu doit trouver sa égoiste de notre part, mais nous avons d’abord penser à toi, et je désirer plus que tout te voir heureuse, alors ton père et moi avions décidé de te confier à un orphelinat et que des adultes puisse t’aimer et s’occuper de toi comme il se doit. J’espère que tu est herureuse et que tu ne m’en voudra pas d’avoir prit cette dessision. Ta maman et ton papa qui t’aime plus que tout »
je ne bouge plus, le papier deviens transparant et l’écriture s’éfface, je plaque ma main sur ma bouche, et mon corps se met à trempbler, alors … Ma mère et mon père mon mit ici non parce ce qu’ils ne m’aimer pas mais l’argent manqué cruellement, je ne sais pas quoi dire ou même penser, je replie la lettre, la remet dans l’enveloppe, et pose cette dernière sur les dessins.
Moi – que … Que sont t-il devenus ?
Directeur – eh bien à ce que j’ai pue comprendre, ta mère est dirige un restaurant cinq étoile, et ton père est chef d’une entreprise pour fabriquer le papier. Après t’avoir confire à notre orphelina ils ont tout fait pour remonter la pente, malheureusement ils …
Moi – ils quoi ?
Je le regarde la peur au ventre. Je n’arrive pas à contrôler mes larmes, et mon corps continue de trembler.
Directeur – malheureusement ils on décidé de ne plus te voir, depuis qu’ils ont bâtient leur entreprise ils on cessaient de prendre des nouvelles, et veulent continuer à vivre ainsi.
Haruka – mais enfin c’est impossible, des parents ne peuvent pas avoir de tes propos surtout si il s’agit de leurs enfants.
Directeur – je le sais bien madame, mais que voulez vous, ils ont préféré mettre en œuvre se qu’ils avaient échoué.
Moi – je vous remercie pour toutes ses informations, mais pourrais-je prendre le dossier ,
Directeur – bien entendue Michiru, et je suis vraiment désolé pour se que tu as appris.
Moi – ce n’est rien ne vous inquiétez pas.
Je commence à me lever, je ne voulais pas rester une seconde de plus ici, je sert la main du directeur, sourit à la vieille femme, et sortie le cœur meurtri.
Anastasia – ah vous êtes revenu.
Je sourit faiblement, et me baisse pour prendre la petite dans mes bras.
Moi – je te dis à bientôt.
Anastasia – oui et merci !
Moi – de quoi ma puce ?
Anastasia – parce que vous êtes la première à me serrer dans vos bras.
Moi – et je le referais autant de fois que je te reverer !
Je lui embrasse le front, et Haruka aussi, et enfin nous sortîmes de l’orphelina.
Haruka – Michi …
Je ne répond pas, mes larmes avaient de nouveau envahie mon visage. Je monte dans la voiture et m’attache, et Haru vint démarrer en posant sa main sur la mienne.
Moi – pourquoi … Pourquoi sa doit se passer comme sa, qu’es ce que j’ai fait pour mériter sa, je me suis plier j’ai fait tout se que l’ont me disait de faire jusqu’à me retrouver dans un lit nue face à un homme qui ma torturer violer et droguer à plusieurs reprise, pourquoi ne veullent t-ils pas me voirent, j’en est assez, assez que l’on me piétine ?
Je ne me retenais plus, je fondit littéralement en larmes cachant mes yeux de ma main droite. Je sent la voiture s’arrêter, et me sentit soulever. Surprise je retire ma main et remarque que nous étions arriver dans la parking, et que Haru m’avait prise dans ses bras. Jenroule son dos, et love ma tête dans son cou coté gauche et hurle intérieurement de douleur.
Moi – pourquoi mes propre parents ne veulent pas de moi ? Pourquoi préfèrent t-ils se couvrir de gloire et de paillette plutôt que de voir leur fille grandir. Ce n’est pas juste, alors que j’étais persuadé que ma mère était morte et mon père en prison.
Je me serrer contre la femme que j’aime pleurant à chaude larme, blessé et peiné.
Point de vue Haruka.
J’ai mal de la voir comme sa, c’est … Moi même je n’en reviens pas que des parents puisse renier leur propre fille à leur travail, je vint la serrer aussi fort que je le pouvais.
Moi – Chuut … Calme toi mon ange, je … Je suis profondément désolé pour se que tu as appris, mais moi je suis là, et je le serait toujours, mais ne te retiens pas si tu as envie de pleurer ou hurler fait le, mais je t’en supplit ne te détruit pas.
Elle remonte ses yeux qui son inonder de larmes, et me regarde, je lui essui les goûte d’eau salé, et lui caresse la joue, lui offrant un doux sourire.
Michiru – Haru si tu savait comme je …
Moi – chuut …
Et poussé par une infini tendresse, je l’embrassa le plus tendrement possible. Ses mains me serre, et l’une d’elles se pose sur ma joue et me la caresse. Malgré la tendresse que je lui transmettait à travers ce baiser moi même j’avais mal au cœur d’avoir appris cette nouvelle, je ne voulais pas la voir dans cet état de souffrance, sa me déchirer plus qu’autre chose, et l’envie de verser des larmes de compassion me tient.
Apparemment je ne suis pas assez résistante car une petite larme solitaire dévale ma joue gauche. On se détachent doucement, je lui caresse la joue en lui souriant. Sa main vint chasser la larme, et elle me dis :
Michiru – Haru …
Moi – ce n’est rien, je suis juste peiné de se qui t’arrive trésor.
Je lui embrasse le front, et me détache. Je sort de la voiture, enclanche l’alarme, et longea le parking jusqu’à la sortie. Michi se serrer contre moi, et sa main caresser ma peau. Je lui sourit, et monte les quatre étages. Une fois devant la porte, Michi prit les clés et les insère dans la serrure et tourna deux fois vers la droite.
Je rentre à l’intérieur, et monte à l’étage. Pénètre dans la salle de bain et ferme la porte. Je dépose ma douce sur le sol devant le lavabo, prit un coton le mouille et vint lui démaquiller les yeux. Mon cœur battait si vite, mais m’occuper d’elle me procurer un bien fou. Quelques larmes roulent le long de ses joues, et doucement je lui essui stopant unes d’elle avec un baiser.
Je commence par lui retirer le pull, et vint débouter son chemisier. Retirant son jean, puis son soutien-gorge, et sa lingerie intime. Je m’approche de la baignoire, et fait couller l’eau, cherchant la bonne température. Quand cette dernière fut prête, je mit un bouchon sur l’évacution, et me tourne vers Michi, je la prend dans mes bras, et la pose doucement dans la baignoire. Je m’accroupie, m’appui sur le rebord, je lui caresse la joue, et lui murmure d’un ton doux :
Moi – maintenant tu vas te détendre dans ce bain d’accord ? Je ne veux plus te voir comme sa, si tu as le moindre souci je suis là ma chérie, et je le serait toujours … Je t’aime mon amour, et quoiqu’il arrive je serait là.
Michiru – je t’aime tant Haruka … Pour moi, tu est comme ma deuxième famille.
Je sourit, lui soulève le menton et lui posa un baiser. De nombreuse minutes nous restons comme sa, je pense que savoir que l’ont peut toujours compter l’une sur l’autre nous renforce, et cela depuis notre rencontres. La magie prit douement fin, je lui caresse sa lèvres inférieur, et lui fit un petit clin d’oeil.
Moi – allé, détend toi maintenant, tu en a besoin, si tu as un souci je serait en-bas.
Michiru – merci … Ma chérie !
Moi – ce n’est rien, c’est normal.
Je l’embrasse sur le front, lui tapote le nez, et sortie de la salle de bain la laissant se détendre. Je descend et me dirige vers le canapé, met des petites lunettes, et sort de mon sac qui se trouver à côté du meuble des copies et à l’aide d’un stylo rouge commence à corriger.
Sa me fait penser, que les bulletins ne devrait plus tarder, le directeur m’ayant expliquer qu’il y avait eu un souci au niveau de l’informatique, les bulletins des élèves auraient un peut de retard.
Après quelques minutes, je pose mon stylo ayant tout terminé, et monte à l’étage pour aller voir comment allait Michi. Pour ma plus grande surprise, je ne la trouva pas dans la salle de bain, d’ailleurs, celle-ci était rangé et sentait bon. Inquiète je ferme la porte, et me dirige vers la pièce du fond qui était notre chambre, j’ouvre doucement la porte, et eu un tendre sourire, elle était couchée. Je m’approche, et la couvre, allant fermer les volets par la suite. Je lui pose un doux baiser sur la joue, et parti la laissant dormir. Avec toutes ces nouvelles pas très joyeuse qu’elle a appris je la comprend. Donc je croix que je vais faire un peut de rangement, puis après je ferait un peut de repassage de nos affaires.
Au alentours de 19 heures, alors que je me trouve assise sur le canapé en train de lire, j’entends du bruit, surprise je me tourne et sourit en voyant que c’était Michi qui descendait les escaliers. Elle se dirige vers le canapé, et d’un geste tout à fait naturelle, elle c’est lové dans mes bras.
Moi – bien dormis ? Je lui caresse les cheveux
Michiru – oui, sa ma fait du bien !
Moi – je veux bien te croire dormir 7 heures d’affilé, sa ne peux être que reposant.
Elle remonte sa tête, elle est encore endormis derrière ses petite lunette noire, je sourit, et caresse son visage. Ses mains se mettent sur les miennes et ses doigts efleure ma peau.
Moi – tu vas mieux ?
Michiru – un peut oui, merci Haru pour se que tu as fais !
Moi – ce n’est rien voyons ma chérie.
Je lui sourit, et nos lèvres s’unir dans un doux baiser. Je me laisse basculer sur le dossier du canapé la serrant contre moi et allant carreser son dos passant mes main sous son polo. Je sent ses mains se posées sur mes joues eet ses pouce me caresse.
Mon cœur se met à me brûler dans ma poitrine, nos langue se trouve et se câline sauvagement.
Michiru – hm …
Mon cœur s’enflamme, et je la serre de plus en plus fort contre moi. On se décollent doucement et nos fronts se caressent, et les battements de mon cœur s’accelaire.
Michiru – je t’aime !
Moi – moi aussi mon trésor.
On se sourit, et nos mains caressent le corps de l’autre. Nos yeux son encrés l’un dans l’autre, je lui embrasse le nez, et fait durer le plaisir. Je descend doucement ferme les yeux et caresse son nez avec le mien, attrapant sa lèvre, et la caresse. Je lui caresse le dos, c’est impressionnant à quel point je peut la désirer, à quel point je suis attiré par elle. Je sent ses lèvres répondre à mon petit jeu, et elle fait pareille.
Moi – si tu savais ( l’embrasse ) à quel point je te ( l’embrasse de nouveau ) désir ma tendre Michiru.
Je sent sa langue s’enrouler dans la mienne, elle s’approche et vint se coller à moi, en manque d’oxygène on se décollent, je lui sourit, lui tapote le bout du nez, et sa voix me murmure :
Michiru – moi aussi, je te désir plus que tout … Ma jolie blonde.
Je sourit, et caresse sa joue. Notre petit câlin dura un petit moment, et sans faire attention, nous nous étions endormies sur le canapé. Michi dans mes bras.
Eh voila la fin de ce chapitre, en espérant ne pas
Mer 23 Oct 2013, 14:54 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Ma muse (ecrit au masculin)
Je me concentre, de voir ma muse dormir, afin de la dessiner sans la réveiller.
Et j’en profite pour sortir mon "calepin" et mon crayon qui ne quitte jamais ma poche de mon pantalon.
Je l’entends murmurer tout bas, et sa respiration se fait lente, et profonde.
Suis-je dans tes songes Dis moi belle ANAIS?
Elle si pudique, dort nue malgré tout , et j’en ai profité pour enlever ce qui l’a recouvre
Ma belle muse brune, à la toison couleur charbon
Peuple mes rêves, en gambadant main dans la main, à travers cette garrigue
Et dont les cigales se délectent de nos jeux amoureux...
Je gomme, je rectifie, de ses belles courbes qui ne me laisse pas indifférent
En prenant tout mon temps...
Je rêve encore, en finalisant, par de petite touche, de couleur chatoyante
Et en glissant mon pinceau sur sa peau.
Pour en recouvrir son corps complètement...
Mon œuvre est bientôt achevée
Mais je ne me lasse pas de la regarder , et j’en profite encore et encore
Juste pour rêver.
Sam 25 Mai 2013, 09:47 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
L'amie farouche mdr
L’amie farouche
Elle ne peut faire un pas sans moi
Et me suit de partout où que j’aille
Toujours prête à livrer bataille
Dés qu’on suscite mes émois
Comme si, de moi, elle ne pouvait se passer
Telle mon autre qui ne me quitte jamais
Comme si elle avait besoin de moi
Qu’il n’existait personne d’autre
Comme j’ai besoin d’elle
Qui me défend des coups bien bas
Des scélérats, voleurs et usurpateurs
Elle met fin aux discussions
Sans faire de quartier
Attention à ses décisions
Des têtes vont tomber !!!
Fine et aiguisée comme il se doit
Elle est toujours ma salvatrice...
Sa riposte donne un coup amer
Sa réplique est dévastatrice
Un goût à ne pas me déplaire
Lorsqu’elle montre le bout de sa pointe
Elle vous laisse une chance de fuir...
Elle tranche si froide et si solide
Elle laisse des traces à jamais
Je la serre si fort dans mes mains
Qu’elle en cause de grands chagrins
Mes gestes souvent si lestes,
Elle en fait tomber des vestes...
Pourtant chaque nuit dans mon lit,
Elle dort d’un sommeil paisible et léger
Mais elle bondit au moindre bruit
Que personne ne peut approcher
Épée de Damoclès, allons ! Réveille toi
Il est temps d’aller couper des têtes !!! mdr
Ven 09 Nov 2012, 16:07 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
La colombe ou la liberté, en destinée
L’amour en vrac? c’est le mot clé de ce texte, l’amour, notre amour est en vrac.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces douleurs qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais combien tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.
Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui signifie tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un bonheur entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le bonheur je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le bonheur, tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est triste, je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,
je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
On vit dans un monde de putes, je suis bien d’accord avec ce concept.
Et car on vit dans un monde de putes, l’argent régit le cœur de plus vils d’entre nous.
Pauvre riche, l’argent nous a séparé.
c’est ce qui m’a fait pleurer.
je n’ai pas pleuré de te perdre ou de déception, ça j’en ai l’habitude et je ne pleure plus pour personne car je me suis fortifiée.
Ce fut une obligation dans mon cursus, et mon parcours me l’a permis.
J’ai donc un cœur tendre, sensible, ouvert, tout le temps amoureux, mais désormais bien accroché.
J’ai été programmée pour aimer, programmée pour ne plus sombrer.
Je ne ferais aucune polémique ni aucun débat sur le sujet, ni sur nous deux.
Si je t’écris ce soir je ne sais pas vraiment pourquoi ni ce que j’en attends, ou si je sais, juste me soulager de ces douleurs qui nous ont gagnées.
des malentendus, des discordes, tout ce qui tue l’amour.
Tout ce qui a tué mes sentiments.
Maintenant la haine a remplacé mon amour pour toi, et ce n’est plus de l’amour mais du mépris, de la colère, de la rancune aussi.
Me venger n’est pas au programme, mais combien tu vas payer, ça je sais que tu vas le regretter, tandis que je n’aurais aucun regret.
Un jour tu te diras "ah oui elle avait raison, je réagis trop tard et ne comprends que maintenant, et je regrette: elle me manque etc."
et tu ne seras pas le premier, car dans le genre talent précurseur, j’ai le premier prix et j’ai de l’avance sur toi.
je sais avant toi, ce qui advient, sans ne savoir l’avenir pour autant.
quand je te lis, je n’y comprends rien, ton style est dépareillé, tes mots sont dé-variés, ton cœur avarié...
tu parles d’amour comme on parle du malheur et ça me donne la nausée avant même d’avoir goûté au plat...
tu pourras me rendre tout l’argent que tu me dois ça n’achètera jamais l’effacement de ma peine.
de la peine oui que du matériel nous sépare mais pas étonnant quand je vois que tu me prends pour ton objet.
moi je n’ai qu’un objet c’est les droits de l’homme, les droits de la femme, le droit des enfants, le droit des victimes, et le droit des malades à la dignité.
je me rassemble à quelques bénévoles pour venir en aide à des pauvres gens que cette société a voulu réduire à néant et au silence des plus humiliants.
Humiliation oui, quand au silence se réduit la peur, et quant à la peur se substitue l’angoisse aux tripes.
Trop de salopes courent les rues, font les trottoirs à la recherche du malheur perdu.
Stérile est ce désir suspendu au fil des désillusions.
Puérile est le caprice de l’enfant sous couvert de souffrance donne l’illusion à l’adulte devenu grand qu’il existe.
Je déteste ce que tu fais de moi: je t’insulte à tout va, je t’en veux ou pas, plus ou moins, peu importe il est trop tard pour discuter.
Raccrocher au mieux, parler à un répondeur, pour se déverser des ses non-dits.
Quelle arme brise l’indifférence?
à l’indifférence répondre par l’indifférence et surtout ne jamais verser une larme.
si je pleure ce sera pour la juste cause, pour la noble cause, pour ce monde pourri, qui donne le dégoût, même les rats n’aiment plus cette vie.
avant on parlait d’avenir, pour cette terre, ce jour on ne parle plus que de la sauver...
notre planète, ô terre-mère, pardonne les humains de leur débilité.
pardonne l’humanité d’être aussi stupide que la stupidité.
pardonne nous d’être si petits, si fragiles, si insolents et pour les pires si ingrats.
pardonne nous, car nous sommes foutus.
nous ne sommes plus de ce monde, nous errons, nous traversons notre temps, nous tuons le temps, nous bouffons la vie, nous sombrons...lentement dans ce noir...
dans cette guerre qui nous assaillit, dans la haine, non dans l’erreur mais dans la faute.
la faute de ne plus être solidaires, la faute aux égoïstes, à l’égocentrisme, qui laisse l’autre crever pour ne pas l’aider.
volontairement, certains nuisent à autrui, juste par méchanceté gratuite, et ça, c’est encore pire que la malhonnêteté.
C’est lâche et sournois.
voilà tout ce que tu m’inspires, du noir, et du noir, et encore du noir.
un peu de rouge mais juste pour le sang.
la sang du christ, le sang de ces enfants assassinés au nom d’une religion, le sang dans ton assiette, quand ta viande est saignante...
le sang, voilà ta seule couleur.
Les larmes elles n’ont pas de couleur, elles sont transparentes.
Elles sont translucides, on y voit à travers.
On y voit quoi, du cinéma ou ce qu’on a dans les veines.
Pleure un bon coup, une bonne fois pour toutes, une bonne dépression et après ça ira mieux, crois moi tu ne pleureras plus pour rien.
ah oui, pourquoi pleurais-tu déjà?
car selon toi je te devais quelque chose?
ah bon depuis quand l’amour se doit?
on peut devoir de l’argent mais devoir de l’amour, j’ai jamais vu ça.
à part dans un mariage ou à la limite dans un couple et encore, l’amour n’est pas un devoir mais un état incontrôlable et jamais acquis oui je sais tu n’aimes pas quand je dis ça mais c’est vrai.
oui je sais tu n’aimes pas la vérité.
alors tu veux que je t’en balance un peu de réalité? histoire de réveiller tes neurones qui sont fatiguées mais tiennent des nerfs?
la réalité c’est que j’étais en train de tomber amoureuse de toi, je t’ai aimé, puis après ça me passait un peu tel un coup d’amour éphémère car cela ne marchait pas.
Puis tu revenais, donc à nouveau j’espérais.
à chaque fois je t’aimais un peu plus, je te découvrais, et tu me surprenais.
tu étais comme j’attendais, tu faisais ce que je voulais, enfin à peu près car comme je viens de le souligner du début de notre rencontre à la fin il y a eu des hauts et des bas.
et ce n’est pas parce que je me suis libérée que deux mois après non, c’est car, cela n’allait pas.
tu ne faisais pas ce que je souhaitais, alors je me dispersais j’allais voir ailleurs sans vraiment aller voir ailleurs, mais comprends que mon ressenti partait dans tous les sens.
j’étais perdue et déstabilisée et tu sais pourquoi?
parce que tu n’étais pas là près de moi.
tu étais là, tu me montrais indirectement ton attention et intérêt mais pas vraiment.
tu attendais tout de moi, que je fasse tout, tu me laissais tout te donner, sans lâcher ne serait-ce qu’un aveu.
Tu ne me disais pas que tu m’aimais, tu ne me montrais pas tes sentiments et je souffrais.
tu me laissais seule, le soir, la nuit, le jour, aux repas.
tu me laissais tout faire toute seule, faisant mine de me soutenir mais me laissant bien galérer.
tu te foutais de si j’avais à manger, si j’arrivais à manger, tu te foutais de moi.
tu ne te rendais pas compte de mon mal-être avec toi, du malaise, et du manquement.
je n’étais pas heureuse, et dans la durée.
tu voulais limite que je dorme par terre, tu te moquais que je dorme dans un lit ou dans un canapé comme une pauvre fille.
tu te foutais de m’envoyer au bagne, de me rabaisser car tu te sens toi même dans l’infériorité intellectuelle et que tu peines à comprendre mes collègues et moi.
tu voulais que je supporte tes enfants alors que déjà toi je ne te supporte pas.
je t’ai dit de rester avec tes gosses, et ce n’est pas méchant, mais je ne me vois pas avec tes gosses et toi vu les conflits entre nous deux.
déjà qu’à deux on se dispute alors former une famille harmonieuse est carrément impossible.
il n’y a aucune crédibilité à notre union et pourtant si je t’écris là encore c’est bien que j’étais sincère et que je t’aimais
car pourquoi écrire autant à quelqu’un dont on se fiche?
à ce point, tous ces mots là, ils veulent bien dire quelque chose même si ce n’est pas la quantité qui signifie tout?
pourquoi autant, de choses à te dire et toujours rien à te dire.
car te dire c’est parler à un mur, et ne rien dire, c’est impossible après tout ce qui s’est passé
mes potes me disent de ne pas me prendre la tête, mais c’est dur, de ne pas se prendre la tête, avec tout ce que tu me fais subir
tu m’as martyrisé et je le maintiens encore devant témoins.
tu voudrais que j’oublie que je pardonne et te laisse une seconde chance
que je te dise que tu es prêt.
je sais que ton père t’a manqué enfant et que tu as eu des remontées de souvenirs à ce sujet quant on s’est connus mais ce n’est pas une excuse à tes mauvais gestes à mon égard
le pardon n’a pas de prix, le pardon n’a pas de prix
pour te pardonner il me faudrait des milliers de mots doux réparateurs dont tu es bien incapable
tu ne comprends même pas mon rejet
tu crois que je me suis foutue de toi, que j’ai juste voulu profiter ou du moins me moquer de toi sans rien partager de réciproque alors que c’est totalement faux et c’est pourquoi je te dis que tu te trompes
j’étais vraiment prête à m’investir et à construire
à aller jusqu’au bout des choses avec toi
j’avais envie de toi
j’étais dans mon lit allongée vulnérable à tes formes, à tes lèvres et à tes mains
j’étais sous ton emprise et je t’attendais
j’étais heureuse de t’avoir trouvé
je te pensais mature, et avenant, attentionné, sensible, gentils...
je te pensais quelqu’un de bien.
je n’attendais qu’une chose que tu me rejoignes que je te donne la clé, de chez moi, ou bien que tu me la demandes donnée par avance
je n’attendais qu’une chose, que tu viennes, que tu me prennes dans tes bras
que tu me parles, avec ton corps si ta voix avait un bug
avec tes lèvres pour me dire je t’aime
je voulais que tu viennes là me rassurer, me sentir en sécurité contre toi quand je m’endors
je voulais me mettre en boule sous nos draps et ne plus jamais te quitter
je voulais faire un monde autour de toi, telle une protection, un bonheur entretenu, je me voulais parfaite pour toi, je voulais tout faire et tout le temps pour toi
je me levais le matin j’allais travailler pour toi
je voulais gagner beaucoup d’argent et toujours plus pour que tu sois heureuse car même si l’argent ne fait pas le bonheur je voulais pas que tu te soucies pour tes enfants et les nôtres ( j’en voulais avec toi ) de l’aspect financier
je voulais que si l’on ne travaille pas pour la gloire, qu’on travaille pour être riches, et la gloire viendra avec ou inversement
je voulais te couvrir d’or, et surtout d’amour, pour ne jamais que tu pleures
j’ai sans doute voulu trop te gâter mais je ne peux m’en vouloir si tu en as fait un caprice
je voulais que tu sois fier de moi, que nos enfants soient fiers de leurs parents, de leurs métiers, car comment me sentir une bonne mère si mes enfants ne sont pas fiers de moi?
je ne voulais pas d’un père ou d’une mère ni pauvres ni malheureux
je voulais le bonheur, tout simplement apprendre à s’aimer au fil du temps un peu plus chaque jour
une vie simple, sans préjugés, sans jugements, sans jalousies, sans envies déplacées...
et au lieu de ça la vulgarité a remplacé la douceur, et le langage soutenu
on n’a plus que le mot pute à la bouche quant on a les boules
on sent la violence nous envahir et on a envie de tout casser
de prendre un objet et de le briser
et ça, c’est bien le signe de la fin d’une relation selon moi
quand on a envie de prendre un objet et de l’exploser
puis qu’on se dit pour se rassurer jamais je ne te toucherai toi.
certes jamais je ne te toucherai mais c’est pas l’envie qui m’a manqué donc je préfère tout arrêter oui
je ne suis pas de celle qui reste dans ces conditions.
tu me rends mauvaise, mais vraiment quoi et encore je me retiens et heureusement que d’une part ça ne me fait pas ça sans causalité, d’autre part je sais que je ne suis pas comme ça quand je suis amoureuse
je ne suis plus amoureuse par malheur
je ressens encore des restes
des restes néfastes
une pilule mal digérée...
je ne me sens pas en sécurité avec toi, ni dans une relation avec toi.
tu me fais peur car tu as peur et c’est contagieux la peur.
tu as peur donc j’ai peur.
( face à toi pas les autres c’est pour ça que je vais voir ailleurs enfin que j’aimerais aller voir ailleurs car je ne cherche pas non plus )
j’aurais pu choisir n’importe qui pour te faire mourir de jalousie et je ne l’ai pas fait mais la maladie s’en est chargée et t’as fait mourir de jalousie sans que j’ai besoin d’agir
je pourrais me venger sur plein de points et facilement mais ce n’est pas mes méthodes, j’ai des techniques bien plus au point; je veux juste que justice soit faite, et surtout la paix, que tu me fiches la paix
je ne sais même pas pourquoi on se sépare ni pourquoi tu t’es énervé ainsi quand c’est parti en live entre nous, en premier lieu, car depuis je suis énervée aussi dans une certaine mesure que je tempère beaucoup malgré tout, car je sais que malgré ma colère à toute épreuve et mes forces, je suis plus calme que toi
je suis une fausse calme et toi un faux nerveux
tu t’énerves là mais c’est du cinéma ça aussi comme tes larmes.
c’est pas de la colère mais de l’hystérie
et pas de l’hystérie de conversion et l’hystérie tout court.
c’est pourquoi je n’ai plus aucune compassion envers toi
tu ne souffres pas, tu n’es pas malade physiquement, tu es juste pervers et malade sans doute oui, mais pas d’une maladie qui fait souffrir
tu es bien comme ça dans ta vie, tu te relèves aussi vite que tu tombes car tu voles bien bas...
la voilà la vérité!
je deviendrais cynique si je continue trop à dire ce que je pense de toi et sans vouloir te vexer encore une fois je ne dis que ce que je pense en bien comme en mal
toi tu me crois quand je dis du mal mais pas quand je dis du bien.
c’est ça qui est fou.
non?
moi je voulais sortir avec toi, voilà faut être clair, enfin je ne disais pas non car je ne savais pas clairement si un partage était possible tu sais maintenant que ce qui compte n’est pas le désir mais le partage donc l’amour, et que l’amour sans partage n’en est pas, enfin j’espère qu’au moins tu as compris ça.
si je t’ai appris au moins une chose, j’en suis ravie.
voilà je t’ai écrit un roman qui ne changera rien à notre sort désespéré;
je voulais sortir avec toi et au dernier moment tu m’as dégagé mais tu prétends que tu avais une bonne raison ou que c’est moi qui me suis défilée ou je ne sais pas quoi
je ne t’ai jamais dit que tu étais qu’un ami pour moi, jamais, ça aussi tu l’as inventé
j’ai peut être employé ce terme une fois à ton égard car je ne pouvais pas te dire mieux que ça sur ta ligne professionnelle comme ça.
je voulais te dire mon amour en face et en tête à tête donc seule à seul.
je ne voulais pas de tous ces gens dont tu nous entourais
je ne comprenais pas pourquoi tu avais besoin de parler de moi à tout le monde alors que je suis la première et seule concernée
et tout le monde sait mieux que moi ce que tu ressens pour moi car à moi tu ne dis jamais rien
tu es ce silence qui m’exaspère, pas celui des églises, pas celui des églises...
tu ne dis rien ou que de la merde, tu ne fais rien ou que de la merde, je ne sais même plus quand tu as fait un truc bien pour moi, ça doit faire si longtemps.
j’ai mal de voir à quel point je ne te comprends pas, de a à z, et sans parler de normal, je ne trouve pas ça bien
je sais pas tu as cru que je voulais aller voir quelqu’un d’autre alors que je n’ai eu personne d’autre depuis toute cette histoire
je ne sais pas ce que tu croyais
que je pensais qu’à mon travail, mais il me faut bien travailler pour te satisfaire, voudrais tu d’une femme sans profession?
c’est ça pour mère de tes enfants que tu veux? ou tu veux que nos enfants soient fiers de moi et de mon travail?
c’est pas pour moi et t’oublier que je faisais tout ça c’était pour nous et notre avenir
pour que notre couple soit stable comme nos emplois
je ne voulais pas faire passer le travail avant ni le reste avant mais tout passait comme priorités pour moi
car si je suis mal dans mon travail comment je pourrais être bien avec toi ou dans ma vie?
c’est mon épanouissement.
je voulais travailler avec toi en couple en plus donc bon je pense justement que je sacrifiais une partie de mon travail pour toi et pour tout partager et travailler avec toi
qui a fait des efforts et sacrifices pour me rapprocher de toi
qui a renoncé à une partie presque majeure de son emploi du temps
qui s’est rendue libre et sans jamais te faire sentir que tu étais de trop dans ma vie
qui a fait une place pour toi à mes côtés
qui bordel qui?
je ne trouve plus les mots non avec toi, et je n’y capte rien et vu que tu ne t’expliques cela restera un malentendu dans ce bas monde où l’on n’a plus de facilités à détruire qu’à construire...
c’est ce qui est triste, je suis en vrac, comme notre amour, tout part en vrille, ça part en couille, mes textes donnent la gerbe car c’est la merde....
comment te dire hein que toi sans moi ça veut dire quoi?
putain pourquoi on complique toujours tout dans cette putain de vie de merde, hein pourquoi?
ce serait si simple de se boire un petit café, de se dire ce qu’on pense et de se réconcilier, même si l’on doit en venir aux faits et donc soit se mettre ensemble soit oublier cette idée.
je n’arrive plus à aimer, enfin, je n’arrive plus à t’aimer
tu dis que tu m’aimes mais tu me maltraites alors je me dis que ta vision n’est pas la mienne
que nous ne sommes pas sur la même longueur d’ondes
un jour d’ailleurs le jour où tout s’est effondré, tu m’as dit nous n’avons pas les mêmes attentes et je n’ai pas compris pourquoi
maintenant je me dis que tu pensais que je ne voulais pas de toi
et je ne sais pas pourquoi tu pensais ça
ensuite concernant la fidélité, il y a bien longtemps que je suis fidèle, et ça aussi j’ai appris à gérer une situation sans tomber dans ce panneau, dans lequel on peut facilement s’adonner quant on n’a pas eu le bon coach à un moment dans sa vie.
c’est pour ça que je suis célibataire, entre autres, car je ne me vois pas encore fidèle à quelqu’un alors que je n’ai personne forcément comment pourrais-je être fidèle célibataire?
je ne trompe personne forcément car je n’ai personne
je suis seule et par choix, j’ai quitté mon conjoint car ça n’allait plus et je n’ai aucun regret
vaut mieux être seule que mal accompagnée, je dis non merci à la banalité
je dis non merci aux mensonges
je dis non merci aux enfers, et aux cauchemars, je dis non merci à tout ça
alors je suis seule oui, seule pour être libre de m’ouvrir enfin à la bonne personne un jour ou l’autre
demain, ou un peu plus loin, devant, l’horizon n’est pas tracé, l’horizon nous attend vierge et disposé à nous combler
je suis amnésique du futur, car je ne me souviendrai que du bon, que de celui que je garderai pour toujours.
ce ne fut pas toi, dommage, j’aurais bien aimé ne pas me tromper, ne pas nous tromper, ne pas se tromper, en ce sens là oui je te l’accorde nous nous sommes bien trompés.
nous avons cru changer le monde, nous avons cru trouver en l’autre ce qu’on cherchait, et en revanche nous avons souffert...
si dieu existait, il ne laisserait pas ça se passer, ou bien alors il existe et forme le destin.
tu n’es donc peut être pas destiné.
la liberté, je la concède contre un mari,
je marie ma liberté à mon futur mari.
que j’aime par avance forcément.
comment pourrais-je ne pas l’aimer?
on ne se marie pas pour se marier, enfin pas de nos jours, et pas lorsqu’on est normalement constitué
on se marie par amour, par engagement, car on pense avoir trouvé la bonne personne, et surtout car on se sent prêt
voilà la vérité
je n’ai pas d’enfants et que dieu m’en préserve tant que l’amour ne sera pas au rendez-vous et tant que la haine avortera mes enfants.
Ven 20 Juil 2012, 23:53 par
inlove sur L'amour en vrac
Passage à l'acte
Une heure du matin.
Dans cette rue sordide.
Des femmes alignées comme des réverbères, le long de la rue.
A leur manière d’ailleurs, elles éclairent.
Elles aussi.
La vie de certaines âmes. En peine.
Comme la tienne ce soir un peu.
Une heure du matin, et toi tu es là.
A trainer, à épier, à atermoyer –j’y vais, j’y vais pas.
Tu te sens encore emprisonné dans une sage attitude de circonstance.
A peine naturelle.
L’envie de braver l’interdit. Pourtant.
Flirter temporairement avec le mauvais genre.
On devient vite n’importe quoi….
Une du matin, liberté providentielle.
Une heure du matin, tu es dans cette rue blafarde.
Mal éclairé, parmi une faune où tu ne te reconnais pas
L’envie qui te tiraille dans le bas ventre t’attire inexorablement,
Lentement, inéluctablement, vers la bassesse. La chose coupable.
Une heure du matin, elle est là comme les autres.
Mais elle t’attire plus. Pourquoi ?
C’est elle. Ce sera elle.
Sa posture incitatrice, son déhanché furtif
Ont raison de tes derniers renoncements, si faibles.
Tu t’approches.
Sa silhouette fluette, sa chevelure sauvage, son air d’à peine 20 ans…
Ses deux grands yeux noirs te fixent, un sourire lui échappe.
Ton embarras de la situation.
Tu n’oses plus la regarder.
Comme par peur de regretter ton choix, regretter tout court, t’enfuir,
Faire demi-tour, pleurer, te maudire, te vomir.
Tes yeux couards cloués dans le sol.
Ils captent cependant ses fines jambes habillées de bas résilles
Plantées dans des chaussures à talons aiguilles
Qui attisent un peu plus ton excitation.
Devenue désormais irrémédiable.
Elle ouvre sa grande bouche
Qui a déjà dû malgré son jeune âge apparent
Accueillir bon gré mal gré des centaines d’hommes de tous horizons….
Un « Bonsoir vous montez ? » claque dans ta sphère
Surpris par le vouvoiement. Comme un respect.
Du coup tu restes silencieux, comme mortifié.
Elle relance, professionnelle
Le prix pour une fellation, le prix pour l’amour.
Quel amour ?
Tu ne te souviens pas de ta réponse exacte.
Ni du portillon franchi à la hâte.
En revanche, tu revois l’escalier dans lequel
Milles pensées défilent à la vitesse de l’éclair,
Où chaque marche gravie te fait osciller entre
L’amertume du regret et le stimulus de la scène qui se joue.
L’appartement. L’odeur d’un parfum fort, enivrant.
Une lumière tamisée qui t’inspire la honte.
Tu payes. Glauque.
Elle se déshabille.
Tu la regardes, un peu statufié. Exitation latente. L’attente.
Elle te dit d’en faire autant.
Exécution machinale, de manière saccadée.
Lentement comme pour retarder le moment. Paradoxal
Dialogue minimum.
Tu te sens comme un petit garçon en train de faire une bêtise.
« Tu viens ? »
Elle est allongée, nue, offerte, jambes écartées,
Et tu t’attardes un instant sur ce sexe qui t’attend.
Rasé. Béant. Suintant le passage des autres.
"Viens"
Tes yeux te piquent, tes mains sont moites, ta bouche pâteuse.
Tu t’allonges à ton tour, coiffé d’une gêne palpable.
Et d’un préservatif.
Où est donc passé ce mâle que tu croyais être ?
Si sûr de lui, si dominant, fort comme Dieu.
Sur ce lit d’infortune, tu ne le vois pas.
Il n’y a que toi, vide de ce que tu es,
Mais plein de honte.
Mais le sexe déjà raide.
Qui s’enfonce en elle. Façon vaseline.
Passage à l’acte.
Tu as quitté cette pièce façon dérobade, sans gloriole.
Tu as essayé de remettre à leur place l’ordre des choses
Marchant des heures vers nulle part.
5 heures du matin, tu es rentré chez toi.
Pas sommeil.
Tu as fait le tour de la maison vide,
Pour t’assurer que le silence qu’il y régnait
Etait bien celui auquel tu aspirais à ce moment-là.
Oui, personne pour te surprendre.
Digérer seul ton écart.
Tu n’oses pas aller t’étendre sur le lit. Conjugal.
Comme si tu pensais ne plus y avoir ta place.
Assis dans ton fauteuil.
Tu te repasses en boucle certaines images
Elles semblent vouloir s’incruster de force et violer ta mémoire.
Te punir. Peut-être.
Jime
Dans cette rue sordide.
Des femmes alignées comme des réverbères, le long de la rue.
A leur manière d’ailleurs, elles éclairent.
Elles aussi.
La vie de certaines âmes. En peine.
Comme la tienne ce soir un peu.
Une heure du matin, et toi tu es là.
A trainer, à épier, à atermoyer –j’y vais, j’y vais pas.
Tu te sens encore emprisonné dans une sage attitude de circonstance.
A peine naturelle.
L’envie de braver l’interdit. Pourtant.
Flirter temporairement avec le mauvais genre.
On devient vite n’importe quoi….
Une du matin, liberté providentielle.
Une heure du matin, tu es dans cette rue blafarde.
Mal éclairé, parmi une faune où tu ne te reconnais pas
L’envie qui te tiraille dans le bas ventre t’attire inexorablement,
Lentement, inéluctablement, vers la bassesse. La chose coupable.
Une heure du matin, elle est là comme les autres.
Mais elle t’attire plus. Pourquoi ?
C’est elle. Ce sera elle.
Sa posture incitatrice, son déhanché furtif
Ont raison de tes derniers renoncements, si faibles.
Tu t’approches.
Sa silhouette fluette, sa chevelure sauvage, son air d’à peine 20 ans…
Ses deux grands yeux noirs te fixent, un sourire lui échappe.
Ton embarras de la situation.
Tu n’oses plus la regarder.
Comme par peur de regretter ton choix, regretter tout court, t’enfuir,
Faire demi-tour, pleurer, te maudire, te vomir.
Tes yeux couards cloués dans le sol.
Ils captent cependant ses fines jambes habillées de bas résilles
Plantées dans des chaussures à talons aiguilles
Qui attisent un peu plus ton excitation.
Devenue désormais irrémédiable.
Elle ouvre sa grande bouche
Qui a déjà dû malgré son jeune âge apparent
Accueillir bon gré mal gré des centaines d’hommes de tous horizons….
Un « Bonsoir vous montez ? » claque dans ta sphère
Surpris par le vouvoiement. Comme un respect.
Du coup tu restes silencieux, comme mortifié.
Elle relance, professionnelle
Le prix pour une fellation, le prix pour l’amour.
Quel amour ?
Tu ne te souviens pas de ta réponse exacte.
Ni du portillon franchi à la hâte.
En revanche, tu revois l’escalier dans lequel
Milles pensées défilent à la vitesse de l’éclair,
Où chaque marche gravie te fait osciller entre
L’amertume du regret et le stimulus de la scène qui se joue.
L’appartement. L’odeur d’un parfum fort, enivrant.
Une lumière tamisée qui t’inspire la honte.
Tu payes. Glauque.
Elle se déshabille.
Tu la regardes, un peu statufié. Exitation latente. L’attente.
Elle te dit d’en faire autant.
Exécution machinale, de manière saccadée.
Lentement comme pour retarder le moment. Paradoxal
Dialogue minimum.
Tu te sens comme un petit garçon en train de faire une bêtise.
« Tu viens ? »
Elle est allongée, nue, offerte, jambes écartées,
Et tu t’attardes un instant sur ce sexe qui t’attend.
Rasé. Béant. Suintant le passage des autres.
"Viens"
Tes yeux te piquent, tes mains sont moites, ta bouche pâteuse.
Tu t’allonges à ton tour, coiffé d’une gêne palpable.
Et d’un préservatif.
Où est donc passé ce mâle que tu croyais être ?
Si sûr de lui, si dominant, fort comme Dieu.
Sur ce lit d’infortune, tu ne le vois pas.
Il n’y a que toi, vide de ce que tu es,
Mais plein de honte.
Mais le sexe déjà raide.
Qui s’enfonce en elle. Façon vaseline.
Passage à l’acte.
Tu as quitté cette pièce façon dérobade, sans gloriole.
Tu as essayé de remettre à leur place l’ordre des choses
Marchant des heures vers nulle part.
5 heures du matin, tu es rentré chez toi.
Pas sommeil.
Tu as fait le tour de la maison vide,
Pour t’assurer que le silence qu’il y régnait
Etait bien celui auquel tu aspirais à ce moment-là.
Oui, personne pour te surprendre.
Digérer seul ton écart.
Tu n’oses pas aller t’étendre sur le lit. Conjugal.
Comme si tu pensais ne plus y avoir ta place.
Assis dans ton fauteuil.
Tu te repasses en boucle certaines images
Elles semblent vouloir s’incruster de force et violer ta mémoire.
Te punir. Peut-être.
Jime
Jeu 12 Juil 2012, 15:29 par
Jime sur L'amour en vrac
Le secrétaire
Il vient de prendre ses fonctions
Dans cette grande et belle maison
Il espère bien faire sensation
Qu’on soit content de ses prestations
On l’a installé dans un joli bureau
Bien agréable où tout est fait pour s’y plaire
Il va pouvoir faire du beau boulot
Ce nouveau secrétaire
Mais son travail aussitôt se complique
Quand Madame dans le local rapplique
Juste vêtue de ses petits dessous
Qui mettent en valeur ses atouts
Il ouvre grand ses yeux à cette vue
Profitant de cette belle opportunité
De dévisager cette belle ingénue
Qui se montre dans toute sa beauté
Il se doit de rester froid et impassible
Devant cette belle ingénue si tentante
Le trouble est malgré tout bien visible
Face à cette belle vision alléchante
Il sent sa peau de soie s’accouder,
Tout contre le bord poli de son lutrin
Il sent la chaleur de son corps et se met à rêver
S’imaginant qu’ils n’en feront plus qu’un...
Dans son songe, il se voit doté d’une âme
Il se voit en secrétaire particulier de Madame
Planté devant elle tel un valet de chambre
Auscultant cette délicieuse silhouette d’ambre
Dans sa magnifique parure légère et frivole
Attendant qu’elle veuille bien prendre la parole,
Pour lui donner un ordre ou demander un service
Afin qu’il arrête de se tordre et mette fin au supplice
Ce sont des Georges par ci, des Georges par là
Il adore le son mielleux qui sort de sa belle bouche.
Et tous ces petits gestes affectueux lorsqu’elle le touche
Elle passe ses mains, afin qu’il brille d’un bel éclat
Comme si elle avait besoin de nettoyer la poussière sur son veston
Qu’elle avait besoin de faire étinceler les cuivres des boutons
Et qu’elle lustre avec tant de méticuleux soin cet abattant
En lui décochant ces beaux sourires, qu’il affectionne tant.
Il ne comprend toujours pas pourquoi, elle utilise cette cire d’abeille
Qui lui donne cet air guindé d’un vieux comptoir quitté la veille
Sur lequel elle aurait noyé ses ennuis amoureux dans un verre de Vodka
Lui préfère les fragrances de son eau de toilette à l’arôme de magnolia,
Qui lui rappelle tant sa jolie montagne et ses beaux versants ensoleillés
Ses doigts, si soigneusement manucurés, auraient besoin d’être réchauffés
Et il faudrait couvrir ce merveilleux corps afin qu’il ne prenne pas froid
Je me verrai bien dans ce rôle, pense-t-il, pour pouvoir m’occuper de toi.
Dans cette grande et belle maison
Il espère bien faire sensation
Qu’on soit content de ses prestations
On l’a installé dans un joli bureau
Bien agréable où tout est fait pour s’y plaire
Il va pouvoir faire du beau boulot
Ce nouveau secrétaire
Mais son travail aussitôt se complique
Quand Madame dans le local rapplique
Juste vêtue de ses petits dessous
Qui mettent en valeur ses atouts
Il ouvre grand ses yeux à cette vue
Profitant de cette belle opportunité
De dévisager cette belle ingénue
Qui se montre dans toute sa beauté
Il se doit de rester froid et impassible
Devant cette belle ingénue si tentante
Le trouble est malgré tout bien visible
Face à cette belle vision alléchante
Il sent sa peau de soie s’accouder,
Tout contre le bord poli de son lutrin
Il sent la chaleur de son corps et se met à rêver
S’imaginant qu’ils n’en feront plus qu’un...
Dans son songe, il se voit doté d’une âme
Il se voit en secrétaire particulier de Madame
Planté devant elle tel un valet de chambre
Auscultant cette délicieuse silhouette d’ambre
Dans sa magnifique parure légère et frivole
Attendant qu’elle veuille bien prendre la parole,
Pour lui donner un ordre ou demander un service
Afin qu’il arrête de se tordre et mette fin au supplice
Ce sont des Georges par ci, des Georges par là
Il adore le son mielleux qui sort de sa belle bouche.
Et tous ces petits gestes affectueux lorsqu’elle le touche
Elle passe ses mains, afin qu’il brille d’un bel éclat
Comme si elle avait besoin de nettoyer la poussière sur son veston
Qu’elle avait besoin de faire étinceler les cuivres des boutons
Et qu’elle lustre avec tant de méticuleux soin cet abattant
En lui décochant ces beaux sourires, qu’il affectionne tant.
Il ne comprend toujours pas pourquoi, elle utilise cette cire d’abeille
Qui lui donne cet air guindé d’un vieux comptoir quitté la veille
Sur lequel elle aurait noyé ses ennuis amoureux dans un verre de Vodka
Lui préfère les fragrances de son eau de toilette à l’arôme de magnolia,
Qui lui rappelle tant sa jolie montagne et ses beaux versants ensoleillés
Ses doigts, si soigneusement manucurés, auraient besoin d’être réchauffés
Et il faudrait couvrir ce merveilleux corps afin qu’il ne prenne pas froid
Je me verrai bien dans ce rôle, pense-t-il, pour pouvoir m’occuper de toi.
Sam 23 Juin 2012, 15:27 par
caressedesyeux sur Mille choses
Evanescence
Mon âme s’évapore
Au plaisir des sens
Mon âme quitte mon cops
Evanescence
Je m’éparpille lentement
Je m’évanouis
Mon corps libéré
Je m’épanouis
Une ivresse
Ma peau consumée par incandescence
Une caresse
je disparais pas évanescence
Lun 18 Juin 2012, 12:10 par
Djinn sur L'amour en vrac
Idées noires
je jette mes idées noires
un peu partout dans la pièce
tout en espérant
qu’elles t’atteignent et qu’elles te blessent
je jette mes idées noires
sur du papier blanc
tout en espérant
en atténuer le désespoir
toutes mes idées noires
sont autant de fausses promesses
auxquelles on a de cesse
de penser et de croire
toutes mes idées noires
sont mes plus belles idées
que tu as repeint en noires
lorsque tu m’as quitté
un peu partout dans la pièce
tout en espérant
qu’elles t’atteignent et qu’elles te blessent
je jette mes idées noires
sur du papier blanc
tout en espérant
en atténuer le désespoir
toutes mes idées noires
sont autant de fausses promesses
auxquelles on a de cesse
de penser et de croire
toutes mes idées noires
sont mes plus belles idées
que tu as repeint en noires
lorsque tu m’as quitté
Sam 05 Mai 2012, 12:07 par
farah sur L'amour en vrac
Cours avant la tempête
Pourquoi tu es la ? Dis moi ce que tu fait. S’il te plais qu’est ce qui ne va pas ? Tu es la , a essayé d’oublier le passée douloureux. Tu l’aimais et tu l’aime encore alors que fais tu la avec elle? Tu sais qu’elle aurai tout fait pour toi, elle restait ta meilleure amie même si tout le monde te tournait le dos. Elle te croyait toujours , ta vraie seule amie, et tu ne lui a jamais dit. Elle va quitter ce monde, sa maladie c’est aggravé, et tu reste là. Mais sache que tu ne pourra pas guérir d’elle, ni l’oublier avec une autre. Tu l’as laissé seule contre sa maladie et sa peur de la mort, tu ne lui as pas dis que tu l’aimais et elle va partir. Mais tu n’arrive pas à l’oublier, tu n’y arriveras jamais. Ton amour est profond, il t’as déjà blessé, il risque de te tuer. Elle voudrait t’avoir près d’elle, toi son ami, toi elle voudrait que tu la serre contre toi, mais tu la fuis. Pour elle, pour toi, pour la vie, rejoins la , je t’en pris, pardonne lui ses silences, ses faux pas, ses erreurs, ses absences. Pardonne lui ta souffrance, va la voir, avant que le passée t’emprisonne. Si tu continue tu seras ton propre prisonnier, comme bloquer dans le couleur de la mort. Tes regret, tes remord, tes douleurs ne la ramènera jamais, ne fais pas ça, ne te détruis pas, rejoins la. Cours.... Tu as eu peur de ses chaînes, alors que tu avis aussi les tiennes. Tout ce que tu as écris c’est son sourire qui te la dictée. Alors cours ! Avant qu’il ne soit trop tard, son cœur va cesser , alors vas je t’en pris. Vas lui dire ce que tu ressens pour elle, surmonte ta peur, cour, si tu n’osais pas , il va falloir le changer. Ton absence doit lui faire plus mal qu’une chute du haut de son toit. Je t’en pris va la voir ….
Te voilà sous la pluie, tu cours, vite, plus vite. Derrière toi, une ombre, des cris un passée, et même si elle quitte ce monde elle restera ton ombre, elle gardera ta vie, comme quand tu tombait et que le monde t’abandonnais, la main qui te manquai elle te l’offrait. Elle restera ton monde a jamais. Tu continue ta course, vite, le plus vite possible, une pluie ne cesse de tombait, on pourrait dire qu’elle tombe pour toi et pour elle, a la place de l’écume dans vos yeux. Tout en courant tu te questionne est ce que tu aura la même valeur que tu lui trouvais dans les yeux d’une autre. Sous le maquillage que dessine l’amour, auras tu le courage de la guider sur son dernier voyage ?Tu aurais voulu trouver les mots pour lui parler. Tu voulais tellement lui dire ce que veut ton cœur mais tu ne trouvais plus les mots.
La pluie coule, et coule. Ce sont les larmes du ciel, de la mort , de la vie. Le temps creuse cette vie. L’eau divine du ciel ne peut cesser, le vent souffle et murmure un air calme. Les rêve ne peuvent être brisée, ce qui dise que l’amour meurt on tord. Le mon de calme, un calme tempête et te voilà qui doucement sort de l’hôpital. Tu titube, appuyer contre le mur. Elle t’aimait, et elle n’est plus. Tu l’aime et a ne changeras pas, tu ne l’effaceras pas. Cette sensation te dévore, comme si la moitié de toi venez de mourir avec elle , tes yeux coule comme la pluie autour. Elle reste avec toi quoi qu’il en coûte, elle est dans ton cœur. Ton cœur se noie mais écoute moi : l’orage a éclaté , tu veut l’effacer retourner en arrière, mais ce n’est possible, la pluie ne cesseras pas même si le ciel se dégage, continue ton chemin et n’oublie jamais que son amour est comme le vent tu ne peut plus le voir mais tu peut le sentir et cela à jamais alors laisse l’orage éclater dans ton cœur et la pluie couler car elle t’aimera.
Te voilà sous la pluie, tu cours, vite, plus vite. Derrière toi, une ombre, des cris un passée, et même si elle quitte ce monde elle restera ton ombre, elle gardera ta vie, comme quand tu tombait et que le monde t’abandonnais, la main qui te manquai elle te l’offrait. Elle restera ton monde a jamais. Tu continue ta course, vite, le plus vite possible, une pluie ne cesse de tombait, on pourrait dire qu’elle tombe pour toi et pour elle, a la place de l’écume dans vos yeux. Tout en courant tu te questionne est ce que tu aura la même valeur que tu lui trouvais dans les yeux d’une autre. Sous le maquillage que dessine l’amour, auras tu le courage de la guider sur son dernier voyage ?Tu aurais voulu trouver les mots pour lui parler. Tu voulais tellement lui dire ce que veut ton cœur mais tu ne trouvais plus les mots.
La pluie coule, et coule. Ce sont les larmes du ciel, de la mort , de la vie. Le temps creuse cette vie. L’eau divine du ciel ne peut cesser, le vent souffle et murmure un air calme. Les rêve ne peuvent être brisée, ce qui dise que l’amour meurt on tord. Le mon de calme, un calme tempête et te voilà qui doucement sort de l’hôpital. Tu titube, appuyer contre le mur. Elle t’aimait, et elle n’est plus. Tu l’aime et a ne changeras pas, tu ne l’effaceras pas. Cette sensation te dévore, comme si la moitié de toi venez de mourir avec elle , tes yeux coule comme la pluie autour. Elle reste avec toi quoi qu’il en coûte, elle est dans ton cœur. Ton cœur se noie mais écoute moi : l’orage a éclaté , tu veut l’effacer retourner en arrière, mais ce n’est possible, la pluie ne cesseras pas même si le ciel se dégage, continue ton chemin et n’oublie jamais que son amour est comme le vent tu ne peut plus le voir mais tu peut le sentir et cela à jamais alors laisse l’orage éclater dans ton cœur et la pluie couler car elle t’aimera.
Mar 01 Mai 2012, 22:56 par
murmuran sur L'amour en vrac
Prisonnière
Je regarde toujours ailleurs, le nez collé à la vitre, le seul endroit qui permet de rêver dans ce monde qui me paraît être une prison. Même si le rêve s’écrase contre les murs froids et hostères. Un rêve avorté, emprunt d’un saisissable non-sens.
C’est absurde toute cette comédie, je ne supporte plus, je ne peux plus paraître heureuse, lorsque d’autres visages obsèrevent le mien.
Mes larmes sont du sang qui coule, traçant de grandes traînées rouges sur mes joues. Mon passé me mange, il me dévore, il veut me tuer, je vous en supplie, il n’y a plus d’espoir, comment pourrais-je vous montrer ces horreurs qui me tuent, comment pourrais-je vous dire que je n’ai plus la force, pour voir du bien en ce monde. Comment vous dire la terreur qui m’habite chaque jour, chaque nuit, chaque seconde.
Parce que la certitude d’une mort proche ne me quitte jamais. Je m’imagine pendue à chaque arbre, noyée dans chaque lac. Et lorsque je lève les yeux au ciel, je me vois sauter du haut de ces HLM.
Des pensées qui surgissent de l’enfer pour disparaître aussitôt. Elles te rappellent souvent, en 1 millième de seconde, que tu ne guériras pas, jamais.
Pour ne plus voir, je fermes les yeux, mais ce noir m’effraye, Il rejoint la mort, Il est sa complice ! Jamais je ne retrouverais le repos, finalement je suis déjà morte, il n’y a pas de Dieu ni d’Enfer, seule reste la solitude.
Mes yeux brûlent, mon dieu, tant de tristesse, ma tête vibre, mon regard qui traverse tout ce qu’il peut atteindre le rend vide, ideux...
La suite sur http://cms.reverence.webnode.fr/[/url]
C’est absurde toute cette comédie, je ne supporte plus, je ne peux plus paraître heureuse, lorsque d’autres visages obsèrevent le mien.
Mes larmes sont du sang qui coule, traçant de grandes traînées rouges sur mes joues. Mon passé me mange, il me dévore, il veut me tuer, je vous en supplie, il n’y a plus d’espoir, comment pourrais-je vous montrer ces horreurs qui me tuent, comment pourrais-je vous dire que je n’ai plus la force, pour voir du bien en ce monde. Comment vous dire la terreur qui m’habite chaque jour, chaque nuit, chaque seconde.
Parce que la certitude d’une mort proche ne me quitte jamais. Je m’imagine pendue à chaque arbre, noyée dans chaque lac. Et lorsque je lève les yeux au ciel, je me vois sauter du haut de ces HLM.
Des pensées qui surgissent de l’enfer pour disparaître aussitôt. Elles te rappellent souvent, en 1 millième de seconde, que tu ne guériras pas, jamais.
Pour ne plus voir, je fermes les yeux, mais ce noir m’effraye, Il rejoint la mort, Il est sa complice ! Jamais je ne retrouverais le repos, finalement je suis déjà morte, il n’y a pas de Dieu ni d’Enfer, seule reste la solitude.
Mes yeux brûlent, mon dieu, tant de tristesse, ma tête vibre, mon regard qui traverse tout ce qu’il peut atteindre le rend vide, ideux...
La suite sur http://cms.reverence.webnode.fr/[/url]
Ecrire sur quitte
Flic ou vuyou, De lune à l’autre, Re: la chambre de l'intendant ( duo ), La chambre de l'intendant ( duo caressedesyeux/patrick), L'amour est-il un crime ? chapitre 8, L'amour est-il un crime ? chapitre 7, Ma muse (ecrit au masculin), L'amie farouche mdr, La colombe ou la liberté, en destinée, Passage à l'acte, Le secrétaire, Evanescence, Idées noires, Cours avant la tempête, Prisonnière,Il y a 99 textes utilisant le mot quitte. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
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Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
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Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
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- l’autre
- lèvres
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- mains
- monde
- mots
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- peau
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- plaisir
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- vivre
- yeux
- âme
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
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