Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur quelqu’un - Page 4 sur 11
De la célébrité et de l'usage que l'on en a
Ce qui est admirable, comme me le disait un ami, c’est la façon dont on peut se moquer de quelqu’un lorsqu’on a une position qui procure une certaine liberté d’action ou de parole, avec suffisance, pour ensuite faire son mea culpa et le tout pour du fric (audience à la clef). Mais ne regardons pas cela, du reste, on peut croire au miracle et à la réelle prise de conscience des spectateurs ; pour nous, apprenons juste à ne pas juger trop vite, à ne pas nous moquer de l’autre quelle qu’en soit la raison. Humilier l’autre ne nous rend pas meilleur, cela nous avilit. Lorsque j’ai vu la vidéo pour la première fois (je ne regarde pas la télé), j’ai été saisie par la fraicheur de cette femme de près de 48 ans comme elle s’est plue à le dire laquelle fraicheur, confiance, voire innocence contrastait terriblement avec les mines entendues des moqueurs et j’ai eu honte... pour eux. Eux, les juges, riches, beaux, célèbres, qui au lieu d’être bienveillants, se sont permis de mépriser ceux que la vie n’a pas choyés mais qui continuent de croire et d’espérer : aucune compassion ! Quelle suffisance ! Toute seule face à la foule, Susan n’en continuait pas moins de défendre sa position, parlant d’elle, de son rêve malgré les quolibets et les mines entendues. Faut-il être "gifted" (surdoué ou plus doué que les autres) pour être respecté en ce monde ?! Et si l’émotion lui avait fait poussé un "couac", les juges et la plèbe, à son tour, auraient-ils eu les yeux aussi humides et auraient-ils fait leur mea culpa devant cet être humain humilié par leurs soins ? Faut-il que l’humain soit devant l’évidence pour qu’il apprenne à regarder l’autre avec bonté ? Il est toujours à se soucier du paraître mais l’être au fond, qu’en a-t-il fait ? Qu’est-il advenu de lui, oui, qu’est-il advenu de nous ?!
Dim 26 Avril 2009, 07:14 par
dolce vita sur Citations
Un jour...
"Un jour mon prince viendra[...] "
Ceci n’est pas un message privé pour l’administrateur !! Lol !!
Revenons au message :
"Un jour mon prince viendra[...]"
Allez, les filles, avouez que c’est ce qu’on espère au fond de nous quoiqu’on en dise mais, flûte, qu’est-ce qu’ils sont longs à venir !! Est-ce que quelqu’un a une suggestion pour leur éviter de se perdre en route ?
Dolce
Ceci n’est pas un message privé pour l’administrateur !! Lol !!
Revenons au message :
"Un jour mon prince viendra[...]"
Allez, les filles, avouez que c’est ce qu’on espère au fond de nous quoiqu’on en dise mais, flûte, qu’est-ce qu’ils sont longs à venir !! Est-ce que quelqu’un a une suggestion pour leur éviter de se perdre en route ?
Dolce
Dim 12 Avril 2009, 12:18 par
dolce vita sur Citations
Grâce
Tes propos me semblent bien agressifs et condescendants pour quelqu’un qui prône la tolérance et l’amour de l’autre.
Je ne suis pas parfait, je le sais bien. J’ai juste la prétention d’être cohérent avec ce que je suis et d’aligner mes actes avec mes paroles.
Par respect pour les lecteurs et le maître du site, merci de ne pas utiliser un forum public pour lancer des attaques personnelles, et de plus insultantes.
Je ne suis pas parfait, je le sais bien. J’ai juste la prétention d’être cohérent avec ce que je suis et d’aligner mes actes avec mes paroles.
Par respect pour les lecteurs et le maître du site, merci de ne pas utiliser un forum public pour lancer des attaques personnelles, et de plus insultantes.
Dim 07 Déc 2008, 11:50 par
la_tulipe_noire sur La vie à deux
Les derniers jours de l’homme invisible
Je dois me lever tôt ce matin, me préparer vite et sortir, j’ai sauté mon petit-déjeuner, comme hier et avant-hier, comme chaque jour passé sans toi dans ma vie
je traverse les collines qui t’éloignent et les immenses murs qui nous séparent, la route est interminable, c’est pour cette raison que je dois partir tôt… juste pour venir te voir à temps.
Le ciel commence à se chagriner, et à lâcher ses larmes qui noient ma tête et inondent mon esprit, mais tes yeux m’interpellent, et je ne peux résister à leurs appels,
essoufflé mais déterminé, j’arrive à ta porte, et j’attends que quelqu’un l’ouvre,
pour que je puisse m’inviter à ton monde.
Ton père ouvre l’issue, et j’en profite pour rentrer, je glisse entre les murailles de ta demeure, et je monte l’escalier qui m’emmène vers ta chambre,
je regard les nombreuses photographies qui décorent ces murs et je sens l’amour qui s’y dégage,
j’ouvre la porte de ta chambre délicatement,
et mon cœur s’emballe rien qu’en te voyant…
je m’assis face à toi, sur cette petite chaise, que j’ai crue faite juste pour moi,
et je t’observe dormir, je reste là, et je ne m’inquiète pas, personne ne peut me voir… Car je suis invisible ! aussi clair que du cristal, aussi transparent que l’amour que je porte pour toi,
je me souviens à peine de mon visage, car même les miroirs ne peuvent le refléter,
je n’arrive plus à parler, ni à écrire, je suis invisible, et plus personne ne se souvient de mon existence, même pas toi,
je le suis devenu, le jour où tu es partie, le jour ou j’ai décidé de te laisser partir…, de te laisser du temps, et voir ce que je vaux à tes yeux, Mais je n’ai pas pu t’enlever de mon cœur, alors que tu l’as occupé depuis longtemps, depuis ce jour, je n’ai pas cessé de te hanter comme un esprit, à observer chaque minute de ta vie, chaque rire que tu émets.
je suis là quand tu ouvres tes yeux instantanément, chaque matin,
et quand tu regardes de mon côté,et que tu ne me vois pas
aussi quand tu t’étires en scrutant tes portables,
ou que tu trouves des appels que tu as manqué hier soir
Je suis encore là quand tu embrasses ta maman,
et lorsque tu prends ton café en regardant le vert de ton jardin,
j’attends des heures le temps que tu te prépares,
et je baisse mes yeux indiscrets quand tu prends ton bain
je suis encore là quand tu démarres ta voiture, et ajustes ta mèche devant le rétro
et que après tu mets mon CD, et tu laisses échapper une pensée à mon attention
je suis là quand tu t’arrêtes pour acheter des cigarettes, et que tu n’en trouves pas
ou quand tu t’énerves car tu trouves un embouteillage ,toujours au même endroit
je te regardes quand tu réponds à trois appels en même temps
et quand tu appelles juste les personnes les plus proches de toi
je suis là quand tu rentres au bureau, et tu ouvres ton msn
et tu t’aperçois que ta liste d’amis est toujours la même
je suis là, quand tu te dis que tu vois trop de personnes ,
et que c’est jamais, jamais les bonnes
je te regarde quand tu t’esquives pour fumer une cigarette loin,
Pour que tu restes toujours la petite fille aux yeux de ton père
Je suis là encore, quand tu parles au téléphone pendant des heures
Et quand après tu te dis que les hommes sont tous les mêmes
Je suis là quand tu les rencontres, et quand ils essayent de te gagner à leurs causes
ou lorsque tu résistes et qu’en même temps tu veux pas mettre de la peine dans leur coeur
je m’attriste quand tu as tellement mal à la tête,
et quand tu te demandes quand ceci va finir, tout de même
je me réjouis quand tu rentres à la maison et tu embrasses tes parents
et je comprends quand tu dis que tu es prête a tout pour ne pas les perdre
je tente de te rassurer quand tu as peur du passé
et j’essaye sans veine, de te réchauffer quand tu attrapes froid au cœur
je dois partir et te laisser te reposer maintenant , quoique je sais que tu vas pas le faire,
car il me reste plus beaucoup de temps, pour que disparais et que je m’efface entièrement de ton cœur.
je traverse les collines qui t’éloignent et les immenses murs qui nous séparent, la route est interminable, c’est pour cette raison que je dois partir tôt… juste pour venir te voir à temps.
Le ciel commence à se chagriner, et à lâcher ses larmes qui noient ma tête et inondent mon esprit, mais tes yeux m’interpellent, et je ne peux résister à leurs appels,
essoufflé mais déterminé, j’arrive à ta porte, et j’attends que quelqu’un l’ouvre,
pour que je puisse m’inviter à ton monde.
Ton père ouvre l’issue, et j’en profite pour rentrer, je glisse entre les murailles de ta demeure, et je monte l’escalier qui m’emmène vers ta chambre,
je regard les nombreuses photographies qui décorent ces murs et je sens l’amour qui s’y dégage,
j’ouvre la porte de ta chambre délicatement,
et mon cœur s’emballe rien qu’en te voyant…
je m’assis face à toi, sur cette petite chaise, que j’ai crue faite juste pour moi,
et je t’observe dormir, je reste là, et je ne m’inquiète pas, personne ne peut me voir… Car je suis invisible ! aussi clair que du cristal, aussi transparent que l’amour que je porte pour toi,
je me souviens à peine de mon visage, car même les miroirs ne peuvent le refléter,
je n’arrive plus à parler, ni à écrire, je suis invisible, et plus personne ne se souvient de mon existence, même pas toi,
je le suis devenu, le jour où tu es partie, le jour ou j’ai décidé de te laisser partir…, de te laisser du temps, et voir ce que je vaux à tes yeux, Mais je n’ai pas pu t’enlever de mon cœur, alors que tu l’as occupé depuis longtemps, depuis ce jour, je n’ai pas cessé de te hanter comme un esprit, à observer chaque minute de ta vie, chaque rire que tu émets.
je suis là quand tu ouvres tes yeux instantanément, chaque matin,
et quand tu regardes de mon côté,et que tu ne me vois pas
aussi quand tu t’étires en scrutant tes portables,
ou que tu trouves des appels que tu as manqué hier soir
Je suis encore là quand tu embrasses ta maman,
et lorsque tu prends ton café en regardant le vert de ton jardin,
j’attends des heures le temps que tu te prépares,
et je baisse mes yeux indiscrets quand tu prends ton bain
je suis encore là quand tu démarres ta voiture, et ajustes ta mèche devant le rétro
et que après tu mets mon CD, et tu laisses échapper une pensée à mon attention
je suis là quand tu t’arrêtes pour acheter des cigarettes, et que tu n’en trouves pas
ou quand tu t’énerves car tu trouves un embouteillage ,toujours au même endroit
je te regardes quand tu réponds à trois appels en même temps
et quand tu appelles juste les personnes les plus proches de toi
je suis là quand tu rentres au bureau, et tu ouvres ton msn
et tu t’aperçois que ta liste d’amis est toujours la même
je suis là, quand tu te dis que tu vois trop de personnes ,
et que c’est jamais, jamais les bonnes
je te regarde quand tu t’esquives pour fumer une cigarette loin,
Pour que tu restes toujours la petite fille aux yeux de ton père
Je suis là encore, quand tu parles au téléphone pendant des heures
Et quand après tu te dis que les hommes sont tous les mêmes
Je suis là quand tu les rencontres, et quand ils essayent de te gagner à leurs causes
ou lorsque tu résistes et qu’en même temps tu veux pas mettre de la peine dans leur coeur
je m’attriste quand tu as tellement mal à la tête,
et quand tu te demandes quand ceci va finir, tout de même
je me réjouis quand tu rentres à la maison et tu embrasses tes parents
et je comprends quand tu dis que tu es prête a tout pour ne pas les perdre
je tente de te rassurer quand tu as peur du passé
et j’essaye sans veine, de te réchauffer quand tu attrapes froid au cœur
je dois partir et te laisser te reposer maintenant , quoique je sais que tu vas pas le faire,
car il me reste plus beaucoup de temps, pour que disparais et que je m’efface entièrement de ton cœur.
Sam 05 Jan 2008, 11:35 par
heartbreakid sur Histoires d'amour
La vie
Tu ne peux plus te retourner
La vie est là qui te pousse, inévitable
Vers un avenir qui s’assombrit a tes yeux
Qui te rend triste inexorable
Une vie que tu voyais jadis
Pleine de joies et de plaisirs
Quelqu’un a détruit tes rêves
Quelqu’un a trompe ton amour
Te laissant des regrets amers
Et des larmes pour toujours
Tu te sentiras perdue et seule
Tu souhaiteras n’être pas née
Alors rappelle-toi de moi
De ce qu’un jour je t’ai dit
La vie est belle tu verras
Comme en dépit des chagrins tu trouveras
La force de résister de ne pas sombrer
Tu trouveras des amis
Qui seront a coté de toi pour la vie
Et tu retrouveras le bonheur et l’amour
L’amour sincère, l’amour vrai
Celui que tu as toujours attendu
Celui que tu as toujours espéré
La vie est là qui te pousse, inévitable
Vers un avenir qui s’assombrit a tes yeux
Qui te rend triste inexorable
Une vie que tu voyais jadis
Pleine de joies et de plaisirs
Quelqu’un a détruit tes rêves
Quelqu’un a trompe ton amour
Te laissant des regrets amers
Et des larmes pour toujours
Tu te sentiras perdue et seule
Tu souhaiteras n’être pas née
Alors rappelle-toi de moi
De ce qu’un jour je t’ai dit
La vie est belle tu verras
Comme en dépit des chagrins tu trouveras
La force de résister de ne pas sombrer
Tu trouveras des amis
Qui seront a coté de toi pour la vie
Et tu retrouveras le bonheur et l’amour
L’amour sincère, l’amour vrai
Celui que tu as toujours attendu
Celui que tu as toujours espéré
Sam 29 Déc 2007, 07:17 par
pierre de la carolina sur L'amour en vrac
Comment réussir en amour? suite...
Stéphane,
Je les avais posé mes valises mais on m’a congédié, comme ça un beau matin après tous ces mots d’engagement, d’amour pour la vie auxquels j’ai bêtement cru. Alors ce n’est pas que je crois qu’il ne faut pas poser ses valises, c’est seulement que je l’ai appris à mes dépends.
Mais bien sûr que je me souhaite de pouvoir le faire avec un homme qui me correspondra et à qui je correspondrait, reste à le rencontrer sur ma route!
Une des clefs peut-être pour trouver la bonne personne est, je crois, de ne pas la chercher... je m’explique. Il me semble, lorsque je regarde autour de moi, des couples d’amis qui s’entendent plutôt bien, qui ont fondé une famille, que ce qui a uni leur relation c’est cette évidence qui s’est imposée à eux. Ils se sentaient bien ensembles, avaient le regard porté vers la même direction mais avec chacun leur alterité. Peut-être est cela la clef? Juste "sentir" comme une évidence que c’est la bonne personne? Avoir le coeur serein et non rempli de doutes? Avoir le sentiment que l’autre est prêt à nous épauler dans tous les moments de la vie? se sentir bien, même sans mots ensembles. Avoir confiance. Bien sûr la vie n’est pas un conte de fées, bien sûr que des coups durs un couple en traverse, mais si il y a du respect, de la confiance et de l’amour ce sont déjà de bonnes bases. Et puis savoir être honnête, communiquer, construire sur des bases saines, pour que la maison puisse s’étoffer, d’étage en étage. Je vois les choses un peu comme ça, mais je ne sais pas de quoi sera fait mon lendemain amoureux? Je verrai bien, je vais laisser faire le temps, et le hasard des rencontres.
Je suis étonnée de tes mots à mon égard car nous ne nous connaissons pas, et je doute, pardonne-moi ma franchise, que je sois la meilleure chose qui te soit arrivée alors que tu ne sais rien de moi et moi de toi.
Je ne recherche pas ici à ce que quelqu’un d’autre panse mes blessures à ma place ou inversement, ce serait je pense une erreur. il n’y a que moi qui puisse le faire.
Je peux par contre donner mon point de vue féminin sur la relation amoureuse en toute amitié.
j’espère que tu ne me tiendra pas rigueur d’être directe mais j’ai besoin ces jours ci de me préserver. j’ai le cœur trop embrouillé, et douloureusement abimé et je ne veux pas qu’il y ait d’ambigüité.
Mais je suis prête à être une oreille attentive et si je peux t’aider à y voir plus clair, si de ton côté tu peux m’apporter un éclairage sur le point de vue de l’homme en amour alors j’en serai heureuse!
Et si mes mots ont pu te redonner de l’énergie et t’apporter ne serait-ce qu’un peu? Alors c’est une belle récompense pour moi.
Je crois que lorsqu’on écrit c’est toujours avec l’espoir qu’un autre que soi y trouvera quelque chose qui l’éclairera. Quand je lis un livre ou un texte c’est ce que je cherche, des clefs de compréhension dans tous les domaines de la vie.
En tous les cas ce soir est un soir de blues, de bleus à l’âme, mais je suppose que cela ira mieux demain?
Accepter qu’un amour se meurt est toujours une terrible douleur... Je dois l’accepter mais j’ai terriblement mal et rien ni personne ne peut me soulager, c’est ainsi... Je dois traverser cette tourmente intérieure pour renaitre un peu plus loin. je n’ai malheureusement pas le choix.
Pourquoi certains êtres ne savent-ils que blesser ceux qui les aiment? je n’en sais rien... Je ne suis plus sûre ce soir d’être la meilleure personne pour t’éclairer tellement je me sens confuse.
Bon courage à toi Stéphane, et bonne soirée. à bientôt!
Sophy
Je les avais posé mes valises mais on m’a congédié, comme ça un beau matin après tous ces mots d’engagement, d’amour pour la vie auxquels j’ai bêtement cru. Alors ce n’est pas que je crois qu’il ne faut pas poser ses valises, c’est seulement que je l’ai appris à mes dépends.
Mais bien sûr que je me souhaite de pouvoir le faire avec un homme qui me correspondra et à qui je correspondrait, reste à le rencontrer sur ma route!
Une des clefs peut-être pour trouver la bonne personne est, je crois, de ne pas la chercher... je m’explique. Il me semble, lorsque je regarde autour de moi, des couples d’amis qui s’entendent plutôt bien, qui ont fondé une famille, que ce qui a uni leur relation c’est cette évidence qui s’est imposée à eux. Ils se sentaient bien ensembles, avaient le regard porté vers la même direction mais avec chacun leur alterité. Peut-être est cela la clef? Juste "sentir" comme une évidence que c’est la bonne personne? Avoir le coeur serein et non rempli de doutes? Avoir le sentiment que l’autre est prêt à nous épauler dans tous les moments de la vie? se sentir bien, même sans mots ensembles. Avoir confiance. Bien sûr la vie n’est pas un conte de fées, bien sûr que des coups durs un couple en traverse, mais si il y a du respect, de la confiance et de l’amour ce sont déjà de bonnes bases. Et puis savoir être honnête, communiquer, construire sur des bases saines, pour que la maison puisse s’étoffer, d’étage en étage. Je vois les choses un peu comme ça, mais je ne sais pas de quoi sera fait mon lendemain amoureux? Je verrai bien, je vais laisser faire le temps, et le hasard des rencontres.
Je suis étonnée de tes mots à mon égard car nous ne nous connaissons pas, et je doute, pardonne-moi ma franchise, que je sois la meilleure chose qui te soit arrivée alors que tu ne sais rien de moi et moi de toi.
Je ne recherche pas ici à ce que quelqu’un d’autre panse mes blessures à ma place ou inversement, ce serait je pense une erreur. il n’y a que moi qui puisse le faire.
Je peux par contre donner mon point de vue féminin sur la relation amoureuse en toute amitié.
j’espère que tu ne me tiendra pas rigueur d’être directe mais j’ai besoin ces jours ci de me préserver. j’ai le cœur trop embrouillé, et douloureusement abimé et je ne veux pas qu’il y ait d’ambigüité.
Mais je suis prête à être une oreille attentive et si je peux t’aider à y voir plus clair, si de ton côté tu peux m’apporter un éclairage sur le point de vue de l’homme en amour alors j’en serai heureuse!
Et si mes mots ont pu te redonner de l’énergie et t’apporter ne serait-ce qu’un peu? Alors c’est une belle récompense pour moi.
Je crois que lorsqu’on écrit c’est toujours avec l’espoir qu’un autre que soi y trouvera quelque chose qui l’éclairera. Quand je lis un livre ou un texte c’est ce que je cherche, des clefs de compréhension dans tous les domaines de la vie.
En tous les cas ce soir est un soir de blues, de bleus à l’âme, mais je suppose que cela ira mieux demain?
Accepter qu’un amour se meurt est toujours une terrible douleur... Je dois l’accepter mais j’ai terriblement mal et rien ni personne ne peut me soulager, c’est ainsi... Je dois traverser cette tourmente intérieure pour renaitre un peu plus loin. je n’ai malheureusement pas le choix.
Pourquoi certains êtres ne savent-ils que blesser ceux qui les aiment? je n’en sais rien... Je ne suis plus sûre ce soir d’être la meilleure personne pour t’éclairer tellement je me sens confuse.
Bon courage à toi Stéphane, et bonne soirée. à bientôt!
Sophy
Mer 28 Nov 2007, 22:27 par
Sophy sur Histoires d'amour
UN PAPA
UN PAPA
*INTRO SOLO : PIANO.
Un papa, c’est l’homme courageux que dieu a créé
C’est celui, sur qui une maman peut s’épauler
Un papa, c’est fort dans l’adversité
C’est celui, sur qui l’on peut toujours compter
Un papa, c’est quelqu’un de merveilleux
Qui sait être présent, quand on a besoin de lui
Qui vous écoute, vous suggère et vous défend de son mieux
Un papa, c’est celui qui peut être l’un de vos meilleurs amis
*REFRAIN X1 :
*Chaque enfant sur terre, a droit à ses deux parents
Même séparés et divisés ; l’amour, et le rôle d’un papa
Ne sont pas de moindre valeur, que l’amour et le rôle d’une maman
Croyez moi…
Si pour une mère, l’enfant est la chair de sa chair
Il est pour le père, le prolongement de l’humanité
Un papa, c’est toujours fier de ses enfants
Quand çà va mal, il vous tend la main pour vous aider
Ses conseils judicieux, vous les appréciez énormément
Et dans les jours moins beaux, il sait vite vous réconforter
Un papa, c’est celui qui sait cacher ses peines
C’est l’homme qui essaiera de ne jamais pleurer
C’est un être au cœur tendre et à l’âme sereine
Un papa, c’est celui qui se sacrifiera pour vous sauver
*REFRAIN X1 :
*Chaque enfant sur terre, a droit à ses deux parents
Même séparés et divisés ; l’amour, et le rôle d’un papa
Ne sont pas de moindre valeur, que l’amour et rôle d’une maman
Croyez moi…
Si pour une mère, l’enfant est la chair de sa chair
Il est pour le père, le prolongement de l’humanité
Aujourd’hui, c’est moi qui vous remercie mes petits anges
Aujourd’hui, c’est vous trois qui me donner la force et le courage
De pouvoir me relever de si bas, afin de ne plus rester à terre
Et de voir de si haut, ce qu’on a pu détruire avec autant de haine
J’ai tant prié, le cœur exposé à toutes les apparences
Pour vous éviter mes amours, tout un tas de souffrances
Pour que votre maman prenne tout son temps, pour réfléchir
Mais elle a préféré les bras de son amant, pour s’enfuir
*REFRAIN X2 :
*Chaque enfant sur terre, a droit à ses deux parents
Même séparés et divisés ; l’amour, et le rôle d’un papa
Ne sont pas de moindre valeur, que l’amour et le rôle d’une maman
Croyez moi…
Si pour une mère, l’enfant est la chair de sa chair
Il est pour le père, le prolongement de l’humanité
*LE FINAL : SOLO PIANO.
leslarmesducoeur
*INTRO SOLO : PIANO.
Un papa, c’est l’homme courageux que dieu a créé
C’est celui, sur qui une maman peut s’épauler
Un papa, c’est fort dans l’adversité
C’est celui, sur qui l’on peut toujours compter
Un papa, c’est quelqu’un de merveilleux
Qui sait être présent, quand on a besoin de lui
Qui vous écoute, vous suggère et vous défend de son mieux
Un papa, c’est celui qui peut être l’un de vos meilleurs amis
*REFRAIN X1 :
*Chaque enfant sur terre, a droit à ses deux parents
Même séparés et divisés ; l’amour, et le rôle d’un papa
Ne sont pas de moindre valeur, que l’amour et le rôle d’une maman
Croyez moi…
Si pour une mère, l’enfant est la chair de sa chair
Il est pour le père, le prolongement de l’humanité
Un papa, c’est toujours fier de ses enfants
Quand çà va mal, il vous tend la main pour vous aider
Ses conseils judicieux, vous les appréciez énormément
Et dans les jours moins beaux, il sait vite vous réconforter
Un papa, c’est celui qui sait cacher ses peines
C’est l’homme qui essaiera de ne jamais pleurer
C’est un être au cœur tendre et à l’âme sereine
Un papa, c’est celui qui se sacrifiera pour vous sauver
*REFRAIN X1 :
*Chaque enfant sur terre, a droit à ses deux parents
Même séparés et divisés ; l’amour, et le rôle d’un papa
Ne sont pas de moindre valeur, que l’amour et rôle d’une maman
Croyez moi…
Si pour une mère, l’enfant est la chair de sa chair
Il est pour le père, le prolongement de l’humanité
Aujourd’hui, c’est moi qui vous remercie mes petits anges
Aujourd’hui, c’est vous trois qui me donner la force et le courage
De pouvoir me relever de si bas, afin de ne plus rester à terre
Et de voir de si haut, ce qu’on a pu détruire avec autant de haine
J’ai tant prié, le cœur exposé à toutes les apparences
Pour vous éviter mes amours, tout un tas de souffrances
Pour que votre maman prenne tout son temps, pour réfléchir
Mais elle a préféré les bras de son amant, pour s’enfuir
*REFRAIN X2 :
*Chaque enfant sur terre, a droit à ses deux parents
Même séparés et divisés ; l’amour, et le rôle d’un papa
Ne sont pas de moindre valeur, que l’amour et le rôle d’une maman
Croyez moi…
Si pour une mère, l’enfant est la chair de sa chair
Il est pour le père, le prolongement de l’humanité
*LE FINAL : SOLO PIANO.
leslarmesducoeur
Ven 21 Sep 2007, 07:22 par
leslarmesducoeur sur Le grimoire d'amour
Une page se tourne . . .
Une page se tourne.
Elle ne veut plus de moi c’est décidé.
Alors laissez moi vous dicter le fond de mes pensées.
Non je ne me jetterais pas d’un pont.
Bien qu’un peu suicidaire par mes dires, je rêve d’une romance digne de ce nom.
J’espère mériter quelqu’un de bien.
Celle-ci n’était pas si mal en dépit d’une immaturité quelque peu exagérée.
J’ai tout perdu et par la même récupère ma liberté.
Je te dis adieu en modèle de gentillesse et ta pitié je n’en veux pas.
A présent je compte les heures, les jours.
Quand te rendras tu comptes que tu as gâché un si précieux trésor, notre amour ?
Quand cesseras-tu de te doper à l’effet de plaire petit cœur.
Pourquoi n’attache-je que très peu d’importance au fait que tu me jettes lâchement ?
Réfléchis-y.
Ma philosophie de vie est exemplaire,
Je la dois peut être à la mort de mon père.
Pourtant tu es un Ange mon cœur, j’en suis tellement certain.
Elle ne veut plus de moi c’est décidé.
Alors laissez moi vous dicter le fond de mes pensées.
Non je ne me jetterais pas d’un pont.
Bien qu’un peu suicidaire par mes dires, je rêve d’une romance digne de ce nom.
J’espère mériter quelqu’un de bien.
Celle-ci n’était pas si mal en dépit d’une immaturité quelque peu exagérée.
J’ai tout perdu et par la même récupère ma liberté.
Je te dis adieu en modèle de gentillesse et ta pitié je n’en veux pas.
A présent je compte les heures, les jours.
Quand te rendras tu comptes que tu as gâché un si précieux trésor, notre amour ?
Quand cesseras-tu de te doper à l’effet de plaire petit cœur.
Pourquoi n’attache-je que très peu d’importance au fait que tu me jettes lâchement ?
Réfléchis-y.
Ma philosophie de vie est exemplaire,
Je la dois peut être à la mort de mon père.
Pourtant tu es un Ange mon cœur, j’en suis tellement certain.
Sam 18 Août 2007, 00:59 par
Johann sur Parler d'amour
Un ange...
J’ai eu la vie facile mais je n’servais à rien
Puis j’ai partagé sa peine, aujourd’hui je suis quelqu’un
Sarah, reine des femmes, devant elle je m’incline
Car je peux voir ce matin un ange dans ma cuisine
Sarah, elle est belle mais seulement quand elle est nue
Le corps tendu par ses grands airs, mes doigts collés à sa nuque
Sarah, reine des femmes, devant elle je m’incline
Car je peux voir ce matin un ange...
Kyo - Sarah
Puis j’ai partagé sa peine, aujourd’hui je suis quelqu’un
Sarah, reine des femmes, devant elle je m’incline
Car je peux voir ce matin un ange dans ma cuisine
Sarah, elle est belle mais seulement quand elle est nue
Le corps tendu par ses grands airs, mes doigts collés à sa nuque
Sarah, reine des femmes, devant elle je m’incline
Car je peux voir ce matin un ange...
Kyo - Sarah
Les yeux de mes phantasmes.. (1)
Quand les yeux de ma tête sont allés à la rencontre des tiens, quelques fois auparavant, avec un petit poli sourire sur mes lèvres, ta seule réaction fut ce sourire typique de toutes les femmes de ce métropole..un sourire que j’ai de la difficulté à décrire (imaginez quelqu’un qui vous fait un demi-sourire froid, tout en prenant un grand soin de sceller les lèvres et de cacher les dents...), un sourire qui se veut plutôt un avertissement, sous-entendant: "je n’accepte pas ton sourire, mais je ne veux pas te laisser sans que j’y réponde. La prochaine fois, ne me souris plus!"
Alors, vu ta réaction choquante, ce sont maintenant les yeux de ma pensée qui se posent sur ta frêle silhouette de jeune étudiante, avec toute liberté, chaque fois que tu passes près de moi, et chaque fois que tu traverses les couloirs de ma mémoire..
Alors, vu ta réaction choquante, ce sont maintenant les yeux de ma pensée qui se posent sur ta frêle silhouette de jeune étudiante, avec toute liberté, chaque fois que tu passes près de moi, et chaque fois que tu traverses les couloirs de ma mémoire..
Mar 29 Mai 2007, 22:04 par
Marvinus sur Parler d'amour
Comme une guitare
Je me suis souvent demandée... Est-il normal que l’amour traîne éternellement dans son sillage la douleur, la souffrance et la peur ? Dans tous les livres, ils en parlent comme d’une chose merveilleuse et douloureuse... Mais pour moi, ça n’a jamais été que source de désespoir. On se vexe si facilement quand on aime ! Un rien nous blesse et on est sans arrêt dans l’attente désespérée d’obtenir quelque chose de l’être aimé... Sans jamais rien recevoir qui en vaille la peine...
J’ai parfois l’impression que l’amour nous balaye et nous reverse, laissant dans notre coeur dans grandes marques indélébiles, comme l’érosion d’un rocher par la mer... L’amour détruit, pourquoi ? Pourquoi ce n’est pas cette chose tendre qu’on espère tous ? cette chose qui nous réchauffe le coeur ? Cette chose que chacun est sensé bénir et apprécier ? Pourquoi quand j’aime, j’ai l’impression de mourir ?
Je ne comprends pas non plus... Pourquoi l’amour des autres me blesse-t-il autant ? Pourquoi me donne-t-il envie de pleurer et de hurler ? Pourquoi quand quelqu’un m’aime je n’arrive qu’à lui en vouloir ? Je ne veux pas qu’on m’aime.... et je veux qu’on m’aime...
Lorsqu’on ne m’aime pas, j’ai l’impression que le monde alentour est gris et sans saveur... Quand on m’aime, il prend la couleur du sang et le goût cuivré de la douleur... Mon esprit est alors comme un nuage d’encens... J’étouffe, j’apprécie, et je souffre de toutes les épines que sa senteur agréable plante en moi.
Je ne veux pas aimer... Parce que je ne veux pas mourir. je ne veux pas avoir cette impression désagréable de ne plus être moi-même, cette douleur terrible qui me ronge les entrailles comme un vers qui me boufferait le coeur... Mais lorsque je n’aime pas, j’ai l’impression d’être morte. Je ne souffre plus, mais je ne vis plus.... Est-ce dire que la vie est souffrance ? Ai-je a tout prix besoin d’un stimulant fort et aggressif pour forcer mon coeur à battre ?
En fait, je suis comme une corde de guitare... Lorsqu’on me caresse je vibre et tremble, je souffre, la tension me fait presque céder. Mais lorsque plus rien ne me touche, je suis morte... la poussière empli ma caisse de résonnance et ma voix s’enfonce au plus profond de moi... En attente de quelqu’un pour me blesser à nouveau.
J’ai parfois l’impression que l’amour nous balaye et nous reverse, laissant dans notre coeur dans grandes marques indélébiles, comme l’érosion d’un rocher par la mer... L’amour détruit, pourquoi ? Pourquoi ce n’est pas cette chose tendre qu’on espère tous ? cette chose qui nous réchauffe le coeur ? Cette chose que chacun est sensé bénir et apprécier ? Pourquoi quand j’aime, j’ai l’impression de mourir ?
Je ne comprends pas non plus... Pourquoi l’amour des autres me blesse-t-il autant ? Pourquoi me donne-t-il envie de pleurer et de hurler ? Pourquoi quand quelqu’un m’aime je n’arrive qu’à lui en vouloir ? Je ne veux pas qu’on m’aime.... et je veux qu’on m’aime...
Lorsqu’on ne m’aime pas, j’ai l’impression que le monde alentour est gris et sans saveur... Quand on m’aime, il prend la couleur du sang et le goût cuivré de la douleur... Mon esprit est alors comme un nuage d’encens... J’étouffe, j’apprécie, et je souffre de toutes les épines que sa senteur agréable plante en moi.
Je ne veux pas aimer... Parce que je ne veux pas mourir. je ne veux pas avoir cette impression désagréable de ne plus être moi-même, cette douleur terrible qui me ronge les entrailles comme un vers qui me boufferait le coeur... Mais lorsque je n’aime pas, j’ai l’impression d’être morte. Je ne souffre plus, mais je ne vis plus.... Est-ce dire que la vie est souffrance ? Ai-je a tout prix besoin d’un stimulant fort et aggressif pour forcer mon coeur à battre ?
En fait, je suis comme une corde de guitare... Lorsqu’on me caresse je vibre et tremble, je souffre, la tension me fait presque céder. Mais lorsque plus rien ne me touche, je suis morte... la poussière empli ma caisse de résonnance et ma voix s’enfonce au plus profond de moi... En attente de quelqu’un pour me blesser à nouveau.
Mer 16 Mai 2007, 16:42 par
Ayakai sur L'amour en vrac
Muse...
D’après la définition du dictionnaire de l’académie française,
muse signifie , je cite " se dit de la Personne ou du sentiment qui inspire un poète ".
Je soulignerais humblement que sur le chemin de ma vie, je n’ai rencontré point de poète...
J’avais envie d’employer le mot " muse " comme une métaphore.
Oui, j’aurais aimé être une muse.
J’aurais voulu être celle auprès de laquelle
un poète, un peintre, un musicien, un sculpteur trouve son inspiration...
Vous allez penser à la lecture de ce texte,
Quelle prétention de vouloir être la muse de quelqu’un ?
Je vous comprends...
Dans la définition du mot " muse " apparaît le mot " sentiment ".
L’amour fait partie de ce que l’on appelle " les sentiments ".
Il ya différentes façons d’aimer ou d’être aimée.
Alors, oui, j’avoue...
J’aurais voulu être une source d’inspiration
pour vivre cette complicité particulière
qui existe entre sa muse et celui qui exprime son art,
afin qu’à travers les mots, les tableaux, les notes, les sculptures
il reste une trace de Moi pour l’éternité.
J’aurais tant voulu être aimée comme une muse, une petite muse, une toute petite muse...
Ce n’est pas par vanité que j’écris cela.
C’est pour me persuader que
Oui, j’ai existé...
Marie
muse signifie , je cite " se dit de la Personne ou du sentiment qui inspire un poète ".
Je soulignerais humblement que sur le chemin de ma vie, je n’ai rencontré point de poète...
J’avais envie d’employer le mot " muse " comme une métaphore.
Oui, j’aurais aimé être une muse.
J’aurais voulu être celle auprès de laquelle
un poète, un peintre, un musicien, un sculpteur trouve son inspiration...
Vous allez penser à la lecture de ce texte,
Quelle prétention de vouloir être la muse de quelqu’un ?
Je vous comprends...
Dans la définition du mot " muse " apparaît le mot " sentiment ".
L’amour fait partie de ce que l’on appelle " les sentiments ".
Il ya différentes façons d’aimer ou d’être aimée.
Alors, oui, j’avoue...
J’aurais voulu être une source d’inspiration
pour vivre cette complicité particulière
qui existe entre sa muse et celui qui exprime son art,
afin qu’à travers les mots, les tableaux, les notes, les sculptures
il reste une trace de Moi pour l’éternité.
J’aurais tant voulu être aimée comme une muse, une petite muse, une toute petite muse...
Ce n’est pas par vanité que j’écris cela.
C’est pour me persuader que
Oui, j’ai existé...
Marie
Lun 14 Mai 2007, 11:38 par
Satine sur Parler d'amour
Re: un simple coucou
dolce vita a écrit: |
Tu sais je pensais que ce que tu avais écrit se suffisait à soi-même. De fait, je suis d’accord avec toi sur bien des points, notamment, le fait qu’il faut être en souffrance pour répandre du mal ( de la souffrance) : on revient à la phrase clef : "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a". Qui peut prétendre en être dépourvu ? C’est un leurre.. Ceux qui souffrent profondément n’ont pas autre chose à donner que leur souffrance... Si cette souffrance est enracinée, s’ils pensent (à tord) qu’elle fait partie d’eux, voire que cette souffrance, c’est eux, ils ne seront pas prêt de s’en défaire...
Par ailleurs, ce n’est pas du courage qu’il faut mais la capacité à faire face à cette souffrance, la capacité à prendre du recul. Il y a des êtres qui peuvent en aider d’autres à sortir de cette situation à condition que l’individu concerné le veuille. Pour le bonheur, c’est une autre histoire, il semble que c’est aussi très aléatoire et dépend de l’individu, en partie lié au contexte et en partie à un héritage génétique, chimique... Comme quoi... Au plaisir de te lire chère amie, Dolce |
Salut,
C’est la première fois que j’écris sur Internet avec quelqu’un que je ne connais pas.
Je trouve cela très plaisant d’ouvrir le site et de voir qu’un message nous est adressé.
C’était simplement pour te faire un petit coucou et te souhaiter une bonne journée, à plus.
Claude
Hommage (2)
L’écran était noir. Il était au boulot et sentait son sexe se tendre. Les images qu’il avait d’elle ne cessaient de se présenter à sa mémoire et puis, tout ce qu’il ignorait. Son imagination le rendait fou. Le grain de sa peau, sa texture, caresser ses seins durcis par le plaisir. L’humidité de son sexe... Les gestes qu’elle oserait. Elle serait capable de toutes les impertinences. Il le savait.
Il la voyait là devant lui, le défiant du regard. Svelte, ses cheveux flous cachant la moitié du visage, son sourire entendu. Elle le défierait du regard. Il le voyait. Elle resterait immobile juste le temps pour elle de poser ses yeux sur tout le corps de l’homme traçant sur lui de ses yeux clairs le chemin du supplice... Puis, insouciante, elle agirait.
Passant ses doigts sous le gilet fluo. Elle se glisserait entre lui et les étoffes qui lui tenaient lieu de carapace. Du bout de la langue, des lèvres, l’effleurant, elle parcourrait un chemin humide vertical jusqu’à ses tétons qu’elle goûterait, sucerait, lécherait, mordillerait très très doucement, les mains parcourant son dos, suivant la trajectoire de la colone jusqu’aux fesses qu’elle empoignerait. Sans qu’il ne puisse un seul geste de protestation, elle déferrait son pantalon, bouton après bouton, ou fermeture à glissière ouverte de haut en bas, le cas échéant. Là, au risque que quelqu’un vienne, qu’un collègue entre dans le bureau, elle s’avancerait jusqu’à lui, ferait tomber sur ses genoux le bleu de travail aux poches amples, une nouvelle fois, les yeux plantés dans les siens, elle caresserait son boxer, la taille, les cuisses, et puis, les points sensibles : le pénis, son gland, insistant pour le mettre au supplice, les fruits ronds de sa virilité, avec beaucoup de précision, les surlignant, les dessinant de bas en haut et de haut en bas, du bout des doigts et puis, à pleines mains... Elle le pousserait à bout...
Il la voyait là devant lui, le défiant du regard. Svelte, ses cheveux flous cachant la moitié du visage, son sourire entendu. Elle le défierait du regard. Il le voyait. Elle resterait immobile juste le temps pour elle de poser ses yeux sur tout le corps de l’homme traçant sur lui de ses yeux clairs le chemin du supplice... Puis, insouciante, elle agirait.
Passant ses doigts sous le gilet fluo. Elle se glisserait entre lui et les étoffes qui lui tenaient lieu de carapace. Du bout de la langue, des lèvres, l’effleurant, elle parcourrait un chemin humide vertical jusqu’à ses tétons qu’elle goûterait, sucerait, lécherait, mordillerait très très doucement, les mains parcourant son dos, suivant la trajectoire de la colone jusqu’aux fesses qu’elle empoignerait. Sans qu’il ne puisse un seul geste de protestation, elle déferrait son pantalon, bouton après bouton, ou fermeture à glissière ouverte de haut en bas, le cas échéant. Là, au risque que quelqu’un vienne, qu’un collègue entre dans le bureau, elle s’avancerait jusqu’à lui, ferait tomber sur ses genoux le bleu de travail aux poches amples, une nouvelle fois, les yeux plantés dans les siens, elle caresserait son boxer, la taille, les cuisses, et puis, les points sensibles : le pénis, son gland, insistant pour le mettre au supplice, les fruits ronds de sa virilité, avec beaucoup de précision, les surlignant, les dessinant de bas en haut et de haut en bas, du bout des doigts et puis, à pleines mains... Elle le pousserait à bout...
Jeu 21 Déc 2006, 19:00 par
dolce vita sur Les liaisons sulfureuses
Petite histoire
J’étais appuyée contre la porte du bahut. Il avait plus d’une demi-heure de retard. Je soupirai. C’était habituel… Puis je le vis arriver. Toujours l’air décontracté, comme avant… Les larmes me montèrent aux yeux. Mon cœur se noua. Ma gorge se noua. Je me sentis oppressée. Je voulus lui sourire, je grimaçao. Je voulus lui faire signe mais mon bras ne bougea pas, comme si une force extérieure lui avait interdit. Que m’arrivait-il ? Je baissai la tête. Il s’avança vers moi et voulut me faire la bise. Je me laissai embrasser sans rien faire et lui demandai où il comptait m’emmener.. « Où ? Eh bien, où tu veux… ». Comment lui expliquer ? Comment lui dire que tous les endroits me conviendrait, s’il m’aimait comme je l’aimait ? Il souriait. Il avait l’air heureux… Comme s’il avait oublié ce qui s’était passé. Il me prit par la main, me souria et me demanda si j’allais bien, comme deux amoureux… Que nous étions. Je fis un petit sourire et lui parlai. Il m’emmena au jardin du sacré cœur. Comme la première fois. On s’assit au même endroit… Je retrouva le A+J entouré d’un cœur que j’avais tracé pendant qu’il était allé me chercher une glace. Il me demanda si j’avais rencontré quelqu’un. Je mis du temps à répondre. Il aurait rencontré quelqu’un ? Non… Je ne le croyais pas. Et puis… Pourquoi n’aurait-il pas d’autres aventures désormais ? J’avais l’insouciance d’une gamine… Et le cœur donné à un garçon qui ne s’en rendait pas compte. Je lui répondis par la négative et lui retournai la question. J’avais peur de la réponse. Il me répondit tranquillement, comme s’il m’eut raconté son dernier rêve… « Eh bien… Oui. » Il rougit légèrement et poursuivit. « Une fille… ». Comme si je ne m’en doutais pas ! Eh puis quoi encore ? Un dinosaure ? « Elle est dans ma classe et… ça va plutôt bien. ». Je n’en peux plus. Les larmes montèrent aux yeux. Je baissai la tête en signe de désespoir. Des larmes coulèrent sur mes yeux. Je les laissai couler. Je ne cherchai plus à les essuyer. C’était inutile. Il mit sa main sur mon épaule. Il me demanda gentiment quel était le problème. Je le regardais et émis un faible sourire. Il ne comprenait pas que c’était lui le problème… Il voulait comprendre. Je lui expliquai… « Je t’aime. ». Ce n’était pas bien long comme explication. Trois mots… Mais ces trois mots sont les plus difficiles à prononcer. Il fit une drôle de tête. Son visage devint blême. Il s’écarta un peu et me regarda bizarrement.
- Vraiment ? demanda-t-il.
Je ne répondis même pas. Il comprit.
-désolée, Alicia…
Il rouvrit la bouche pour parler mais je lui mit la main devant. « Inutile. Vas–t-en. ».
Il ne contesta pas comme à son habitude et s’en alla. Je le regardais partir, ses cheveux bruns au vent… Il se retourna. Ses yeux noisettes croisèrent les miens. J’eu l’impression que mon âme était reliée à la sienne, l’espace d’un instant. J’eu l’impression qu’un jet de lumières invisibles reliait nos regards. Puis il cligna des yeux et tout s’arrêta. Je baissais la tête. Je ne pouvais continuer à le voir. Il partit du jardin… Et de mon cœur en même temps. Mon amour pour lui partit au fur et à mesure qu’il s’éloignait... Ce fut comme s’il avait prit tout ce que j’avais de lui en moi…
Il m’avait dit qu’il m’aimait. Je lui avait dit que je l’aimais. Et puis un jour il m‘a quittée…Je n’ai pas compris pourquoi. Et je ne comprendrai sans soute jamais. Il m’avait dit qu’on resterait amis. J’avais approuvé. Mais j’espérais au fond de moi que tout redevienne comme avant. Puis il est parti du collège… Il était revenu me voir. Et maintenant il est parti de ma vie. Pour toujours.
Quelle est cette force que l’on appelle l’amour ? Quelle est cette chose mystérieuse qu’aucun de nos cinq sens ne peut interpréter ? Elle nous remplit de joie aussi vite qu’elle nous remplit de haine. Elle nous trouve… Et ne nous quitte plus. Elle nous harcèle jusqu’à qu’on perde tout ce qui nous faisait vivre. Elle peut nous démoraliser lors de nos jours les plus heureux comme nous faire vivre les jours où on pense que tout est fini.
- Vraiment ? demanda-t-il.
Je ne répondis même pas. Il comprit.
-désolée, Alicia…
Il rouvrit la bouche pour parler mais je lui mit la main devant. « Inutile. Vas–t-en. ».
Il ne contesta pas comme à son habitude et s’en alla. Je le regardais partir, ses cheveux bruns au vent… Il se retourna. Ses yeux noisettes croisèrent les miens. J’eu l’impression que mon âme était reliée à la sienne, l’espace d’un instant. J’eu l’impression qu’un jet de lumières invisibles reliait nos regards. Puis il cligna des yeux et tout s’arrêta. Je baissais la tête. Je ne pouvais continuer à le voir. Il partit du jardin… Et de mon cœur en même temps. Mon amour pour lui partit au fur et à mesure qu’il s’éloignait... Ce fut comme s’il avait prit tout ce que j’avais de lui en moi…
Il m’avait dit qu’il m’aimait. Je lui avait dit que je l’aimais. Et puis un jour il m‘a quittée…Je n’ai pas compris pourquoi. Et je ne comprendrai sans soute jamais. Il m’avait dit qu’on resterait amis. J’avais approuvé. Mais j’espérais au fond de moi que tout redevienne comme avant. Puis il est parti du collège… Il était revenu me voir. Et maintenant il est parti de ma vie. Pour toujours.
Quelle est cette force que l’on appelle l’amour ? Quelle est cette chose mystérieuse qu’aucun de nos cinq sens ne peut interpréter ? Elle nous remplit de joie aussi vite qu’elle nous remplit de haine. Elle nous trouve… Et ne nous quitte plus. Elle nous harcèle jusqu’à qu’on perde tout ce qui nous faisait vivre. Elle peut nous démoraliser lors de nos jours les plus heureux comme nous faire vivre les jours où on pense que tout est fini.
Mer 29 Nov 2006, 17:11 par
Gabouloo sur Mille choses
Ecrire sur quelqu’un
De la célébrité et de l'usage que l'on en a, Un jour..., Grâce, Les derniers jours de l’homme invisible, La vie, Comment réussir en amour? suite..., UN PAPA, Une page se tourne . . ., Un ange..., Les yeux de mes phantasmes.. (1), Comme une guitare, Muse..., Re: un simple coucou, Hommage (2), Petite histoire,Il y a 153 textes utilisant le mot quelqu’un. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
Tes désirs sont des ordres J'ai lu | |
Le bandeau J'ai lu | |
Homo erectus Gallimard | |
Récits coquins des plaisirs défendus J'ai lu | |
La femme de papier | |
Libérer son écriture et enrichir son style Editions Victoires | |
Proposition perverse | |
Le baton et la carotte La Musardine | |
Dictionnaire des idées suggérées par les mots : trouver le mot juste Le Livre de Poche | |
Exercices de style Gallimard |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Jeu 21 Nov 2024, 22:01
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 117 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 116 Invités et 1 Bot [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 357 le Jeu 21 Nov 2024, 19:25
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Google - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes