Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur puisse - Page 6 sur 8
à rendre aux oubliés
Jour de Paix ! La Nuit est passée,
l’Orage aussi, le Ciel est clair.
La violence des larmes s’est tue,
la tristesse m’a abandonnée,
je ne suis plus au regret,
tendre inconnue,
de ne pouvoir t’aimer.
Que m’est-il arrivé,
quelle Folie me voulait ?
Tu pouvais être l’Amie,
celle qui me consolait,
celle que j’aurais guérie,
à force de mots vrais,
pour qui Ciel et Terre se soudaient
— Éternité réinventée.
Et ce n’est rien.
Voici que mon cœur s’est retourné,
j’ai fini de pleurer, et je reviens
sur la rive du monde,
et je dirais ce qu’il en est
— de la Mer étalée.
Suis donc ton chemin,
la pente douce de ta vie,
et je suivrai, quant à nous, le mien ;
les fleurs, les vives et les fanées ;
et légère, ton absence sous mes pas ;
et tranquille, l’impossible espoir,
sans un regret ;
et heureux, l’horizon
à nouveau déployé.
Qu’à présent je puisse
simplement ramasser
ces pierres lourdes au fond de moi,
qui ont ruiné mes illusions,
et les reprendre et les changer.
Perles de Vie à rendre aux oubliés,
comme ce nouveau goût d’aimer
— cette Rosée.
Voici que l’Aube n’est plus très loin,
les plus avancés l’ont déjà rejointe.
C’est un Ciel irisé,
un Appel que l’on entend,
la douce Musique qui s’élève
et qui vient
— l’Amour sans lien.
l’Orage aussi, le Ciel est clair.
La violence des larmes s’est tue,
la tristesse m’a abandonnée,
je ne suis plus au regret,
tendre inconnue,
de ne pouvoir t’aimer.
Que m’est-il arrivé,
quelle Folie me voulait ?
Tu pouvais être l’Amie,
celle qui me consolait,
celle que j’aurais guérie,
à force de mots vrais,
pour qui Ciel et Terre se soudaient
— Éternité réinventée.
Et ce n’est rien.
Voici que mon cœur s’est retourné,
j’ai fini de pleurer, et je reviens
sur la rive du monde,
et je dirais ce qu’il en est
— de la Mer étalée.
Suis donc ton chemin,
la pente douce de ta vie,
et je suivrai, quant à nous, le mien ;
les fleurs, les vives et les fanées ;
et légère, ton absence sous mes pas ;
et tranquille, l’impossible espoir,
sans un regret ;
et heureux, l’horizon
à nouveau déployé.
Qu’à présent je puisse
simplement ramasser
ces pierres lourdes au fond de moi,
qui ont ruiné mes illusions,
et les reprendre et les changer.
Perles de Vie à rendre aux oubliés,
comme ce nouveau goût d’aimer
— cette Rosée.
Voici que l’Aube n’est plus très loin,
les plus avancés l’ont déjà rejointe.
C’est un Ciel irisé,
un Appel que l’on entend,
la douce Musique qui s’élève
et qui vient
— l’Amour sans lien.
Mer 19 Avril 2006, 08:29 par
Iris sur Un monde parfait
PRINTEMPS
Printemps....
Avec le printemps qui revient
On sent monter en soi comme un renouveau
C’est le calme après la tempête
Mille images champêtres
Le corps se déplie doucement
Et se tend vers ce nouvel amant
Viens me prendre mon roi
Je serai toute à toi
Fais courir tes doigts sur mon corps offert
Et nous partirons sans croiser le fer
A l’unissons de nos corps fébriles
Qui se joignent et se séparent à souhait
Murmures des mots tendres, des mots forts des mots doux
Au creux de mon oreilles tendues pour accueillir des bisous
Pénètre en moi en va et vient
Dans l’union de nos âmes apaisées
Et faits courir tes doigts nerveux
Autour de mes seins tendus
Jusqu’à ce que l’on n’en puisse plus
Viens me rejoindre dans un élan fatal
Afin d’unir nos deux âmes.
Avec le printemps qui revient
On sent monter en soi comme un renouveau
C’est le calme après la tempête
Mille images champêtres
Le corps se déplie doucement
Et se tend vers ce nouvel amant
Viens me prendre mon roi
Je serai toute à toi
Fais courir tes doigts sur mon corps offert
Et nous partirons sans croiser le fer
A l’unissons de nos corps fébriles
Qui se joignent et se séparent à souhait
Murmures des mots tendres, des mots forts des mots doux
Au creux de mon oreilles tendues pour accueillir des bisous
Pénètre en moi en va et vient
Dans l’union de nos âmes apaisées
Et faits courir tes doigts nerveux
Autour de mes seins tendus
Jusqu’à ce que l’on n’en puisse plus
Viens me rejoindre dans un élan fatal
Afin d’unir nos deux âmes.
Dim 09 Avril 2006, 13:14 par
Hécate sur L'amour en vrac
Désert
Oui, c’est entre l’Alpha et l’Omega que j’ai dû me tromper, au croisement des routes... A l’orée des doutes. Lorsque j’ai laissé la raison l’emporter et mon cœur transpercer. Pourtant comme une soif vive, le désir de l’amour, ce rêve de toujours qui s’accroche à ma vie. Les rires et les larmes sont si doux quelques fois... Accepter l’impossible, accueillir la souffrance, mourir dans la distance. En vain je t’ai cherché : amour, t’ai-je dit, est-ce toi que j’attends ? Non, m’as-tu répondu à chaque fois, j’appartiens à une autre, je ne suis pas pour toi... Où te caches-tu donc, où donc te trouverai-je ? J’ai voulu me suffire de ces amours prêts à porter que l’on me proposait, mais peine perdue, aucun ne convenait. Chaque fois, malgré ma faiblesse croissante et mon épuisement, sans un mot, sans un cri, j’ai repris mon bâton de pèlerin, j’ai parcouru la route, je ne me suis point arrêtée. J’ai cru t’avoir trouvé ; Seigneur, mais alors, quelle souffrance ! Voilà ce que l’illusion de l’amour m’a apporté : oh ! Quel oiseau de proie. Et mon cœur s’en est allé, à moitié déchiré par les serres cruelles. Comment vivre sans lui ? La blessure est profonde, je cherche par le monde, quelqu’un pour la soigner... Hélas, de médecin je n’en ai point trouvé qui puisse me guérir. Parfois, comme un mirage je crois l’avoir rejoint mais que je m’en approche et je vois que c’est feint : il disparaît dans l’air comme brumes au matin. Que mon espoir s’envole et je retombe à terre. Ma soif est languissante, ma vie est éphémère. Mes heures me semblent vaines et vraiment éloignées de la joie qui naguère avait fleuri en moi. Comme je veux l’oublier, mes larmes coulent, amères, j’ai soif de la tendresse qui habillait nos pas. Allons, viens, n’attends pas. Le silence est cruel, coupant comme une pierre, faisant saigner tout bas...
Mar 21 Mars 2006, 21:29 par
dolce vita sur Histoires d'amour
Folie douce pour une jolie douce...
Des yeux magnifiques, des yeux qui parlent d’une histoire que j’ai envie d’entendre, ces yeux déposés délicatement sur un visage doux à la peau claire et délicate, des lèvres sans artifice d’un rose tendre sur un sourire retenu, le feu de ses cheveux donne une certaine fougue l’envie de jouer à des jeux d’enfant.
Ce visage est venu m’embrumer, elle n’est certainement pas un top modèle, celui que l’on rencontre dans ces magasine à la plastique soi-disant parfaite, certainement pas ! au contraire elle est d’un naturel parfait, je sens qu’elle respire la bonne humeur, qu’elle est douce et tendre à le fois, mais peut devenir une furie.
L’envie, l’envie incontournable d’entrer dans sa vie de l’aborder et lui dire que je ne pouvais faire autrement, sous peine de passer pour un fou échappé d’un asile, lui dire que le message lu en elle m’a littéralement rendu incapable de tout raisonnement cohérent, et de lui parler sans perdre un instant, dans ce discours tenter de la rassurer sur mes intentions, un échange entre nous, une simple conversation m’abreuver de ses paroles me suffirais, qu’elles s’écoulent à flot que je puisse boire ses mots et m’enivrer.
Cela pourrait paraître le message d’un fou, mais celui-ci n’est que le message d’un naufrager qui vient de voir une île magnifique inaccessible, voulant s’épuiser à atteindre le rivage, serait-ce une véritable folie ? Je ne sais rien d’elle, une parfaite inconnue, ne la connaître que par son visage et pourtant, j’en sais tellement, cela me paraît étrange, complètement surréaliste de faire ce genre de démarche digne d’une histoire venue d’un temps passé et romanesque, ma façons de faire va certainement lui paraître ridicule ou complètement hors sujet, mais je ne pouvais faire autrement, ma réaction ne pouvait se faire attendre, l’écriture devenait automatique comme si une autre personne avait pris possession de mes mains pour écrire ces phrases.
Prendre le risque de passer pour un fou, un dingue de plus, prendre toute l’attention nécessaire pour lui prouver le contraire et insistant sur ma respectueuse distance, pour ne pas l’effrayer ou la voir fuir aussitôt. Des milliers de questions s’égarent en moi sur le quotidien de ce visage, un homme ? Une vie de famille ? D’où vient-elle ? Qui est-elle ? Mais mon égoïsme a pris les devants pour prendre contact et laisser parler sans retenue les mots que je ne dis jamais.
Ce n’est pas une bouteille à la mer suppliant de l’aide pour un désespéré au bord de la noyade, il n’en est rien, c’est le regard d’un artiste qui vient de découvrir une œuvre d’art, que dis-je ? un chef d’œuvre ! une femme à la beauté naturelle qui pourrait me rendre fou, et l’envie de sombrer dans cette folie, me noyer d’elle.
L’étique aurait voulu sans doute que je lui parle de choses et d’autres sans véritable importance, juste pour engendrer une conversation tout aussi banale, je reteins ma folie en laisse, car elle voudrait lui écrire tant de mots, mais je ne la connais pas, je ne peux en aucun cas lui en dire plus, les hypothèses fusent sur ses réactions, comment pourrait-elle réagir ?…
Ce visage est venu m’embrumer, elle n’est certainement pas un top modèle, celui que l’on rencontre dans ces magasine à la plastique soi-disant parfaite, certainement pas ! au contraire elle est d’un naturel parfait, je sens qu’elle respire la bonne humeur, qu’elle est douce et tendre à le fois, mais peut devenir une furie.
L’envie, l’envie incontournable d’entrer dans sa vie de l’aborder et lui dire que je ne pouvais faire autrement, sous peine de passer pour un fou échappé d’un asile, lui dire que le message lu en elle m’a littéralement rendu incapable de tout raisonnement cohérent, et de lui parler sans perdre un instant, dans ce discours tenter de la rassurer sur mes intentions, un échange entre nous, une simple conversation m’abreuver de ses paroles me suffirais, qu’elles s’écoulent à flot que je puisse boire ses mots et m’enivrer.
Cela pourrait paraître le message d’un fou, mais celui-ci n’est que le message d’un naufrager qui vient de voir une île magnifique inaccessible, voulant s’épuiser à atteindre le rivage, serait-ce une véritable folie ? Je ne sais rien d’elle, une parfaite inconnue, ne la connaître que par son visage et pourtant, j’en sais tellement, cela me paraît étrange, complètement surréaliste de faire ce genre de démarche digne d’une histoire venue d’un temps passé et romanesque, ma façons de faire va certainement lui paraître ridicule ou complètement hors sujet, mais je ne pouvais faire autrement, ma réaction ne pouvait se faire attendre, l’écriture devenait automatique comme si une autre personne avait pris possession de mes mains pour écrire ces phrases.
Prendre le risque de passer pour un fou, un dingue de plus, prendre toute l’attention nécessaire pour lui prouver le contraire et insistant sur ma respectueuse distance, pour ne pas l’effrayer ou la voir fuir aussitôt. Des milliers de questions s’égarent en moi sur le quotidien de ce visage, un homme ? Une vie de famille ? D’où vient-elle ? Qui est-elle ? Mais mon égoïsme a pris les devants pour prendre contact et laisser parler sans retenue les mots que je ne dis jamais.
Ce n’est pas une bouteille à la mer suppliant de l’aide pour un désespéré au bord de la noyade, il n’en est rien, c’est le regard d’un artiste qui vient de découvrir une œuvre d’art, que dis-je ? un chef d’œuvre ! une femme à la beauté naturelle qui pourrait me rendre fou, et l’envie de sombrer dans cette folie, me noyer d’elle.
L’étique aurait voulu sans doute que je lui parle de choses et d’autres sans véritable importance, juste pour engendrer une conversation tout aussi banale, je reteins ma folie en laisse, car elle voudrait lui écrire tant de mots, mais je ne la connais pas, je ne peux en aucun cas lui en dire plus, les hypothèses fusent sur ses réactions, comment pourrait-elle réagir ?…
Lun 13 Mars 2006, 12:46 par
Kaléïdoscope sur L'amour en vrac
Ecrire
Comme une bouteille à la mer vers toi
L’ennui qui me traverse parfois
Ces instants où l’éternité me guette
Ce désir d’absolu qui m’arrête
Contre l’oubli et le renoncement
Contre la médiocrité des sentiments
Comme on aime d’Amour
Pour que brillent nos jours
Que les mots nous délivrent
Et que je puisse en vivre
Comme un appel au beau
Pour enflammer les mots
Encore pour sublimer
Nos plus humbles pensées
L’ennui qui me traverse parfois
Ces instants où l’éternité me guette
Ce désir d’absolu qui m’arrête
Contre l’oubli et le renoncement
Contre la médiocrité des sentiments
Comme on aime d’Amour
Pour que brillent nos jours
Que les mots nous délivrent
Et que je puisse en vivre
Comme un appel au beau
Pour enflammer les mots
Encore pour sublimer
Nos plus humbles pensées
Jeu 02 Mars 2006, 11:07 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Parce que tu es toi
Quoique tu fasses, où que tu sois...
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Que je puisse te voir ou je ne te vois pas :
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
L’amour a eu le désir de naître en moi :
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Ce que je vis n’est pas de tout repos ;
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Tu as ouvert mon coeur aux autres parce que
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Contre tout espoir, contre toute logique
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
ici ou là-bas, un jour, on se retrouvera :
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Ce jour-là, dans nos regards on lira :
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai...
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Que je puisse te voir ou je ne te vois pas :
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
L’amour a eu le désir de naître en moi :
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Ce que je vis n’est pas de tout repos ;
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Tu as ouvert mon coeur aux autres parce que
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Contre tout espoir, contre toute logique
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
ici ou là-bas, un jour, on se retrouvera :
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai.
Ce jour-là, dans nos regards on lira :
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai...
Lun 20 Fév 2006, 12:48 par
dolce vita sur La vie à deux
La vague est dans mon âme
La vague est dans mon âme
Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.
Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.
Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je t’ai sue près de moi, je t’ai vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.
Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.
Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.
Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.
Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je t’ai sue près de moi, je t’ai vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.
Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.
Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Sam 18 Fév 2006, 10:18 par
Iris sur L'amour en vrac
« La tua paura è anche un po' la mia »
Ta peur est un peu la mienne, mais de grâce, ne te détourne pas...
La croix je l’ai connue jusqu’à la lie j’ai bu... Ne te détourne pas.
Pour ne pas souffrir vaut-il mieux donc mourir ? Ne te détourne pas.
Et si nos coeurs appellent, voudrais-tu les nier ? Ne te détourne pas.
Ta peur est un peu la mienne, mais vois-tu, je ne m’enfuirai pas.
Pourquoi ne pas me dire tes désirs, tes pensées ? Je ne m’enfuirai pas.
Ô, parle-moi de toi, que je puisse t’écouter... Je ne m’enfuirai pas.
Ta douleur est présente, je l’entends qui jaillit... Je ne m’enfuirai pas.
Ta peur est un peu la mienne, mais viens, viens danser avec moi.
Nos chemins se rejoignent viens danser avec moi.
J’ai quitté ma robe de tristesse et puis les larmes aussi : viens danser avec moi.
Nos pas seront si doux et nous oublierons tout : viens danser avec moi...
La croix je l’ai connue jusqu’à la lie j’ai bu... Ne te détourne pas.
Pour ne pas souffrir vaut-il mieux donc mourir ? Ne te détourne pas.
Et si nos coeurs appellent, voudrais-tu les nier ? Ne te détourne pas.
Ta peur est un peu la mienne, mais vois-tu, je ne m’enfuirai pas.
Pourquoi ne pas me dire tes désirs, tes pensées ? Je ne m’enfuirai pas.
Ô, parle-moi de toi, que je puisse t’écouter... Je ne m’enfuirai pas.
Ta douleur est présente, je l’entends qui jaillit... Je ne m’enfuirai pas.
Ta peur est un peu la mienne, mais viens, viens danser avec moi.
Nos chemins se rejoignent viens danser avec moi.
J’ai quitté ma robe de tristesse et puis les larmes aussi : viens danser avec moi.
Nos pas seront si doux et nous oublierons tout : viens danser avec moi...
Ven 17 Fév 2006, 15:22 par
dolce vita sur La première fois
La vague est dans mon âme
La vague est dans mon âme
Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.
Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.
Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je t’ai sue près de moi, je t’ai vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.
Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.
Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Je sais ce que je veux au plus profond de moi ; n’être bien que de rien, ne plus attendre quoi que ce soit, être la bonne nouvelle, quand le facteur n’y est pas.
Que ma joie ne soit pas dans un sourire de toi, mais comme cette tristesse en moi ; universelle et sans frontière.
Alors il n’y a plus de moi qui tienne, larme je suis, perdue en haute mer, mer je suis, vague est mon âme.
Si je t’espère, c’est pour défaire mes rêves à chaque fois, le signe le plus sûr se dérobe à sa loi, aimer est pour moi l’absence de repère, le sang de tous les frères.
Je t’ai sue près de moi, je t’ai vue me vouloir, acheminer tes pas vers moi, et disparaître à chaque fois.
Ainsi en va ma vie, qui ne veut pas.
Un monde d’amour s’est invité tout au bout de mon âme, et j’ai lancé la voile, et tout s’est dérobé.
Ta jupe noire s’est envolée, loin de mes rêves, blanche est mon âme, d’avoir si froid.
Au réveil ce matin, je ne te voulais plus, enfin léger de toi, mais lourd encore de moi.
Et c’est ainsi que tu reviens, je n’ai rien d’autre à faire que de m’attendre à toi. Sachant ne pas savoir, quelque chose en moi veut quand même de toi.
Alors je te suivrai, mais détachée de moi, comme un soleil qui flotte, ou bien cette ombre qui s’évade, la flèche dans le ciel, qui n’a plus besoin d’arc.
Je ne veux donc que me défaire, tout perdre à chaque fois, être l’amour en son mystère, et puis surtout clouer le bec à cette croix, maudite croix, qui crie à chaque trahison. Et pour rien, dire merci.
Mon dieu, mon dieu, que j’abandonne enfin tous les pourquoi.
Et que sans fin je puisse de tout mon corps mourir et vivre comme la vague.
Ven 17 Fév 2006, 14:35 par
Iris sur Un monde parfait
Pauvre Don Juan...
Lasse, j’avais pris ma voiture, une fois de plus, pour échapper aux sanglots qui m’étouffaient, besoin d’espace, besoin de respirer : Pourquoi ? Pourquoi jouent-ils donc à m’aimer ? Piètre comédie de funestes pantins qui plagient la mélodie de l’amour sans savoir la jouer. Pourquoi ce désir fou d’aimer et d’être aimée en vérité, à la folie, sans règles ni loi, juste dans la soif d’un amour que je sens brûler au plus profond de moi. Avec tristesse, force m’est de reconnaître que je les trouve vains malgré eux, malgré moi... Qu’ont-ils fait de la tendresse ? Aimant le tennis, les femmes, le chocolat... Consommant de l’amour pour une heure de folie, calculant bénéfice, intérêt et tout ça. Ils me donneraient envie de vomir, ces petits gars ! Si j’appelle l’amour ce n’est non par commodité ou pour combler un vide, c’est bien pour t’aimer. Ils viennent me séduire parfois et puis, me parlent d’elles, de leur cœur tout là-bas : mortel ennui. Je les écoute en soupirant, martelant mon bureau au rythme de mes rêveries distraites. Et s’ils ont un cœur qu’ils ont laissé près d’elles, que font-ils donc ici ? ! Et que croient-ils trouver ? L’aumône d’un sourire ou celle d’un baiser ? Tel autre qui en parlant d’amour évalue le profit que saurait lui procurer notre commerce... De l’amour je ne veux que l’amour et rien d’autre. Cette relation privilégiée entre deux êtres, dans une tendre complicité, par nos différences enflammée. Et pourtant, comme une enfant blessée, le cœur déchiré par la meute rugissante et futile, je m’en vais quand je voudrais recevoir et donner tout l’amour qu’en mon cœur le Dieu qui m’a créée a pu verser.
Fatiguée d’être comme un caillou par les flots ballotté, je t’appelais en vain : "viens vite auprès de moi, que de l’amour enfin je puisse contempler le visage ici bas"... Trop souvent séduite par de faux reflets dont je sais m’éloigner, moi qui ne fais semblant, ni soupèse mes sentiments ; l’amour, de moi, longtemps, va-t-il se dérober ? Ils jouent à des jeux, font des mines, se rengorgent, personnages de carnaval, piètres. Je manque d’artifices, refusant de tromper. Je ne vais pas mentir et prétendre aimer ce qui me fait vomir... L’amour auquel j’aspire est-il bien de ce monde ? Et est-il bien pour moi ? Ce sera lui ou rien. L’Amour non pas l’ersatz, un placebo, guimauve ou bien triste miroir aux alouettes sur lequel les oiseaux sans cervelle vont briser et leur cœur et leurs ailes sans se décourager... Je les revoie qui feignent l’amour fou alors qu’ils sont mariés, pas libres ou occupés et ne cherchent vraiment qu’à jouir sans aimer et n’ont rien à donner que leurs tendres regrets. Où es-tu donc parti, existes-tu ailleurs que dans mes rêveries, toi que j’appelle ainsi ? Je vais fermer mon cœur à leurs mots doucereux, je ne répondrais plus qu’en découvrant tes yeux...
Fatiguée d’être comme un caillou par les flots ballotté, je t’appelais en vain : "viens vite auprès de moi, que de l’amour enfin je puisse contempler le visage ici bas"... Trop souvent séduite par de faux reflets dont je sais m’éloigner, moi qui ne fais semblant, ni soupèse mes sentiments ; l’amour, de moi, longtemps, va-t-il se dérober ? Ils jouent à des jeux, font des mines, se rengorgent, personnages de carnaval, piètres. Je manque d’artifices, refusant de tromper. Je ne vais pas mentir et prétendre aimer ce qui me fait vomir... L’amour auquel j’aspire est-il bien de ce monde ? Et est-il bien pour moi ? Ce sera lui ou rien. L’Amour non pas l’ersatz, un placebo, guimauve ou bien triste miroir aux alouettes sur lequel les oiseaux sans cervelle vont briser et leur cœur et leurs ailes sans se décourager... Je les revoie qui feignent l’amour fou alors qu’ils sont mariés, pas libres ou occupés et ne cherchent vraiment qu’à jouir sans aimer et n’ont rien à donner que leurs tendres regrets. Où es-tu donc parti, existes-tu ailleurs que dans mes rêveries, toi que j’appelle ainsi ? Je vais fermer mon cœur à leurs mots doucereux, je ne répondrais plus qu’en découvrant tes yeux...
Jeu 16 Fév 2006, 11:54 par
dolce vita sur La séduction
Léna punie...
Léna punie…
Mois de septembre. Lotissement vidé des estivants. Pourtant, le soleil tapait dur, la mer était belle, sa température était plus que clémente. J’allais encore nager deux fois par jour.
Charly, le Chef de la bande du haut, et Gus, son frêle écuyer, étaient encore là. Ils sont venus me conter leurs derniers démêlés à la fin du mois d’août avec la bande du bas. Cela avait tourné en Bérésina, vu le départ hâtif de certains ‘aoûtiens’. Ils avaient été faits prisonniers. Puis, attachés l’un à l’autre, autour d’un gros arbre, on leur avait enlevé shorts et slips et passé le cul au cirage !
Charly, fou de rage et d’humiliation, jurait qu’il se vengerait par n’importe quel moyen…
J’ai commencé par leur dire que tout cela était prévisible, qu’ils n’étaient plus à l’âge de tels enfantillages qui avaient fini par tourner en eau de boudin… Et j’ai failli leur rire au nez, quand Charly a ajouté que Léna, l’égérie des ‘baroudeurs du Hamiz’ les avait traités de : « P’tites bites… », la pire des injures !
Cette Léna, de… quelque chose, m’avait gonflé les deux fois où j’avais participé à leurs rencontres. C’était une grande Fille, solidement bâtie, de presque 16 ans : lippe dédaigneuse sur un visage d’impératrice romaine… Le verbe haut et incitant sa troupe au combat !
La seconde fois, je l’avais entendue commander :
- Tous sur lui…
Ce "lui", étant moi… J’avais oublié leurs règles de pseudo chevalerie, et… avec les pieds, j’en avais ‘castagné’ deux, et fait fuir un troisième, avant d’escalader un mur en ruines. D’en haut, après leur avoir fait un bras d’honneur, j’avais sauté de l’autre côté et disparu dans les ruines où ils m’avaient cherché en vain !
A cause de ça, je n’ai pas été long à être convaincu de les aider dans leur plan machiavélique, puisqu’elle était encore là en septembre.
Ils l’avaient guettée :
-Elle descend vers cinq heures et demi ( 17h30) sur la petite plage de la crique, en bas de chez elle. Il n’y a pas un chat à cette heure-là. Mais pour qu’elle ne gueule pas, il faudra lui mettre une serviette mouillée, attachée derrière la tête, comme ils l’ont fait pour nous…Il faut que tu arrives avec ta barque dans la petite crique des rochers d’à-côté. Une fois attachée, on la met dans la barque et on l’emmène dans notre Q.G ( Ruines Romaines ). Là, on l’attache à une colonne et on lui met le ‘cul’ à l’air… Il faut qu’elle paye, la salope !
Programme respecté, avec la pastéra ( barque ) je les ai rejoints dans la petite crique désignée. Avec Rabah et Marcel, ils étaient quatre. Comme des Sioux sur le sentier de la guerre, nous avons rampé pour aboutir sur la plage à quelques vingt mètres derrière elle. Sur sa grande serviette de bain, elle était allongée sur le ventre, lisant, face à la mer. J’avais en mains, la serviette mouillée, roulée en diagonale, tenue par les deux bouts. Elle ne m’a entendu qu’au dernier moment et s’est soulevée sur les coudes pour regarder derrière elle…
Mais j’étais déjà à genoux sur son dos, la serviette, passée par-dessus sa tête, s’est appliquée sur sa bouche… Je l’ai serrée très fort, et nouée sur la nuque ! Elle a crié, mais trop tard… Sa voix était étouffée ! Elle n’a pas pu gigoter longtemps, les quatre autres lui tenaient bras et jambes, et les attachaient avec des serviettes mouillées, reliées par une corde…
On l’a transportée comme un paquet remuant, mais solidement tenu, dans la barque où on l’a jetée plus que posée sur le fond. Charly s’est assis sur elle, Gus tenant la corde. Rabah et Marcel nous ont dit :
- Nous, on vous rejoint dans les ruines…
Pendant que je ramais, j’apercevais ses yeux qui d’abord, lançaient des éclairs, mais qui peu à peu, devenaient apeurés… Dame ! Charly se régalait de lui annoncer que c’était à son tour d’être attachée :
- A poil…On va bien voir si t’as une grosse chatte, toi, puisque tu dis qu’on on a "des p’tites bites"… »
Au bas des ruines, dans la crique d’arrivée, seul Rabah nous attendait. Marcel s’était ‘dégonflé’ en route… On l’a à nouveau portée à quatre, jusqu’à la grande salle à ciel ouvert où il y avait une colonne torsadée, tronquée…
Charly a dit :
- Cà va faire l’affaire… On va la pencher dessus et Gus tiendra la corde de l’autre côté.
Rabah et moi, accroupis, nous lui tenions chacun une jambe par la cheville. Elle poussait des cris, étouffés par la serviette, et gigotait… Mais, penchée à 45°, le torse collé à la pierre, elle ne pouvait rien faire !
Elle avait un maillot deux pièces. Charlie, sans ménagement a tiré le bas, l’a fait glisser, mais elle gigotait et on a eu du mal à le lui sortir pied après pied… Jusque là, je n’avais vu que le côté farce de la situation, mais soudain j’ai réalisé son incongruité : J’avais les yeux à quelques centimètres de la belle founette d’une fille de 16 ans… Poils frisés, presque dorés, autour d’une fente bien dessinée, sans que les ‘lèvres’ soient apparentes comme chez Paula !
J’ai pensé :
-‘P…’ ! C’est pas du boulot, j’suis en train de bander, c’est dégueulasse…
J’ai tourné la tête, et dit à Charly :
- Cà va pas ! C’est une fille…
Mais lui :
-On, va lui passer le zob dans les fesses, chacun son tour : elle saura qui a la plus grosse queue, comme ça !
Du coin de l’œil, j’ai vu qu’il avait abaissé son maillot et qu’il avait sa bite à la main
( Il ne bandait même pas, ce con !) Mais il l’approchait des fesses de Léna…
En un éclair, j’ai réalisé que c’était grave et quasiment en même temps, je me suis relevé, épaule en avant et j’ai frappé Charlie sur la poitrine… Il est tombé en arrière, sur une grande touffe broussailleuse mais molle, heureusement : bite au vent, il aurait pu être comique en toute autre occasion !
Il s’est mis à gueuler :
- Ouhouille ! P… ! Qu’est-ce qui t’prend ?
J’ai hurlé :
- Bande de cons… La fille d’un juge ? Vous voulez finir en maison de correction jusqu’à 20 ans Et à Rabah, en Arabe :
- Ton Père comme le mien, ils nous casseraient les reins…
Puis, à nouveau, en Français :
- Foutez l’camp ! J’vais la libérer et la ramener. Assez de ‘conneries’ comme ça !
Je crois qu’ils avaient réalisé eux aussi que ça pouvait être grave : Rabah, était piteux… Gus ne bronchait pas, tenant toujours la corde. Charlie devant ma rage, s’est relevé en se réajustant et en disant :
- Çà fait rien, on a vu son ‘Q’… : Elle s’en rappellera, cette salope !
Ils se sont éclipsés tous les trois. J’avais déjà détaché la serviette de la nuque et je suis passé de l’autre côté pour détacher les mains, retenues par la corde : j’ai vu qu’elle pleurait !
Elle ne bougeait pas. J’ai ramassé son maillot et le lui ai tendu. A ma grande surprise, elle a dit :
- Merci !… Mais il faut que je pisse !
Et elle s’est accroupie sur place, ajoutant :
- C’est la trouille…
J’avais son maillot à la main, je me suis détourné… Alors elle a claironné de sa voix habituelle :
- Tu peux bien te retourner maintenant… Depuis une heure (là elle exagérait !) que tu vois mon ’Q’… Et le reste !
Puis plus bas :
-T’en as pas perdu la vue ? ‘P…’ ! Je m’en suis fichu partout et j’ai rien pour m’essuyer !
- Descendons à la crique ? J’avais pris ta serviette de bain pour qu’on ne te croie pas noyée… Tu pourras te tremper dans la mer et t’essuyer après ! lui ai-je dit.
Son maillot toujours à la main, je l’ai aidée de l’autre (elle était pieds nus) sur le chemin, puis sur les galets ronds. Heureusement qu’il commençait à faire sombre : on n’aurait pu deviner de loin qu’elle était cul nu ! Elle s’est assise dans l’eau et d’un coup elle s’est remise à pleurer à gros sanglots qui lui secouaient les épaules… Je me suis avancé dans l’eau, disant :
- Arrête Léna… On a été trop loin… Mais c’est fini !
Elle a hoqueté :
- C’est une réaction nerveuse… Passe-moi ma serviette, s’il te plaît !
Ce que j’ai fait, puis, je lui ai tendu son maillot, qu’elle a remis enfin. Dans la barque elle ne pleurait plus. Je sentais ses yeux rivés sur moi…Elle a redit :
-Merci !…Sans toi, il m’aurait passé sa saloperie dans les fesses, ce cochon-là !
Sans réfléchir, j’ai répondu :
- ‘P…’ ! C’est de moi que j’ai eu peur… Je ne me serais pas contenté de ça, moi !
- Tu l’as déjà fait comme ça ?
Moi, faraud :
- Y a pas si longtemps : avec la bonne des voisins… Et c’est facile !
Comme elle ne disait plus rien, j’ai cru bon d’expliquer :
- Je savais que vous alliez trop loin avec vos conneries… Je l’avais dit à Charlie ! Avoue que vous n’y aviez pas été de main morte, avec eux ? Il se disait déshonoré, le Charly…
- Oui, mais c’était lors de rencontres concertées… Pas par traîtrise comme ça… Et ils vont raconter à tout le monde qu’ils ont vu mon ‘Q’, ces petits ‘cons’ !
- Pour çà, tu peux être tranquille, je les reverrai demain… Tu as vu qu’en parlant de la maison de correction je les ai calmés ? Tu sais, ne dis pas : merci ! J’ai surtout pensé à mes parents…
Elle m’a coupé :
- Et les miens ? Mon père ( juge d’instruction ! ) c’est sûr, il vous aurait fait sacquer… Et ma mère, avec sa peur du quand dira-t-on ? Tu as raison, c’est bien fini ces histoires !
Puis après réflexion :
- Mais maintenant, je vais avoir peur de descendre me baigner à cinq heures (17 h). J’étudie toute la journée pour repasser ma première partie de bac en octobre, c’est mon seul moment de liberté…
- Et Milou ? ( le chef de leur bande ), ai-je demandé.
- Son Père l’a mis en boîte à bachot ; il a loupé la 2ème partie du bac, lui !
Peu après, voix changée, amicale qui se voulait charmeuse :
- Le ‘Tarzan des Ondines’… Avec toi, je n’aurais pas peur. Tu ne veux pas venir te baigner avec moi, demain ?
- Jusqu’à maintenant tu ne savais pas que j’existais…
- Détrompe-toi ! Chaque fois qu’on passait et qu’on te voyait travailler dans ton jardin, les types faisaient des réflexions, mais les filles admiraient tes muscles… Et à la plage aussi, quand tu partais nager au large… Tu es un sacré sportif, toi, pourtant tu n’as que ‘15’ ans comme Milou ?
Je n’ai pas répondu sur l’âge ( j’en avais 13 !) Mais ‘Vanitas, Vanitatis’… Flatté, j’ai dit :
- D’accord pour demain !
Nous étions arrivés, je l’ai aidée à descendre et elle m’a dit :
- Galant et prévenant avec çà ? Tu gagnes à être connu, Tarzan…
J’étais en face d’elle et sans que je puisse prévoir son geste, elle a pris ma tête à deux mains et m’a embrassé à pleine bouche, violemment, presque à m’étouffer…
Elle m’a libéré aussi soudainement, s’est retournée, a ramassé sa serviette et elle est partie à grands pas, disant avec des éclats de rire :
- C’est aussi efficace qu’une serviette mouillée ? Tu avais trop serré, tu sais ? J’ai failli étouffer !
Je n’avais pas bougé, sidéré, sans voix… Du haut des petits escaliers, elle m’a crié :
- A demain… S’il te plaît ?
Je n’ai pas eu le temps de répondre : elle avait déjà disparu !
La suite, je l’ai intitulée : « Léna comblée… »
Jan G. :
La moralité ça se forge au fil des jours et des surprises de la vie...
Mois de septembre. Lotissement vidé des estivants. Pourtant, le soleil tapait dur, la mer était belle, sa température était plus que clémente. J’allais encore nager deux fois par jour.
Charly, le Chef de la bande du haut, et Gus, son frêle écuyer, étaient encore là. Ils sont venus me conter leurs derniers démêlés à la fin du mois d’août avec la bande du bas. Cela avait tourné en Bérésina, vu le départ hâtif de certains ‘aoûtiens’. Ils avaient été faits prisonniers. Puis, attachés l’un à l’autre, autour d’un gros arbre, on leur avait enlevé shorts et slips et passé le cul au cirage !
Charly, fou de rage et d’humiliation, jurait qu’il se vengerait par n’importe quel moyen…
J’ai commencé par leur dire que tout cela était prévisible, qu’ils n’étaient plus à l’âge de tels enfantillages qui avaient fini par tourner en eau de boudin… Et j’ai failli leur rire au nez, quand Charly a ajouté que Léna, l’égérie des ‘baroudeurs du Hamiz’ les avait traités de : « P’tites bites… », la pire des injures !
Cette Léna, de… quelque chose, m’avait gonflé les deux fois où j’avais participé à leurs rencontres. C’était une grande Fille, solidement bâtie, de presque 16 ans : lippe dédaigneuse sur un visage d’impératrice romaine… Le verbe haut et incitant sa troupe au combat !
La seconde fois, je l’avais entendue commander :
- Tous sur lui…
Ce "lui", étant moi… J’avais oublié leurs règles de pseudo chevalerie, et… avec les pieds, j’en avais ‘castagné’ deux, et fait fuir un troisième, avant d’escalader un mur en ruines. D’en haut, après leur avoir fait un bras d’honneur, j’avais sauté de l’autre côté et disparu dans les ruines où ils m’avaient cherché en vain !
A cause de ça, je n’ai pas été long à être convaincu de les aider dans leur plan machiavélique, puisqu’elle était encore là en septembre.
Ils l’avaient guettée :
-Elle descend vers cinq heures et demi ( 17h30) sur la petite plage de la crique, en bas de chez elle. Il n’y a pas un chat à cette heure-là. Mais pour qu’elle ne gueule pas, il faudra lui mettre une serviette mouillée, attachée derrière la tête, comme ils l’ont fait pour nous…Il faut que tu arrives avec ta barque dans la petite crique des rochers d’à-côté. Une fois attachée, on la met dans la barque et on l’emmène dans notre Q.G ( Ruines Romaines ). Là, on l’attache à une colonne et on lui met le ‘cul’ à l’air… Il faut qu’elle paye, la salope !
Programme respecté, avec la pastéra ( barque ) je les ai rejoints dans la petite crique désignée. Avec Rabah et Marcel, ils étaient quatre. Comme des Sioux sur le sentier de la guerre, nous avons rampé pour aboutir sur la plage à quelques vingt mètres derrière elle. Sur sa grande serviette de bain, elle était allongée sur le ventre, lisant, face à la mer. J’avais en mains, la serviette mouillée, roulée en diagonale, tenue par les deux bouts. Elle ne m’a entendu qu’au dernier moment et s’est soulevée sur les coudes pour regarder derrière elle…
Mais j’étais déjà à genoux sur son dos, la serviette, passée par-dessus sa tête, s’est appliquée sur sa bouche… Je l’ai serrée très fort, et nouée sur la nuque ! Elle a crié, mais trop tard… Sa voix était étouffée ! Elle n’a pas pu gigoter longtemps, les quatre autres lui tenaient bras et jambes, et les attachaient avec des serviettes mouillées, reliées par une corde…
On l’a transportée comme un paquet remuant, mais solidement tenu, dans la barque où on l’a jetée plus que posée sur le fond. Charly s’est assis sur elle, Gus tenant la corde. Rabah et Marcel nous ont dit :
- Nous, on vous rejoint dans les ruines…
Pendant que je ramais, j’apercevais ses yeux qui d’abord, lançaient des éclairs, mais qui peu à peu, devenaient apeurés… Dame ! Charly se régalait de lui annoncer que c’était à son tour d’être attachée :
- A poil…On va bien voir si t’as une grosse chatte, toi, puisque tu dis qu’on on a "des p’tites bites"… »
Au bas des ruines, dans la crique d’arrivée, seul Rabah nous attendait. Marcel s’était ‘dégonflé’ en route… On l’a à nouveau portée à quatre, jusqu’à la grande salle à ciel ouvert où il y avait une colonne torsadée, tronquée…
Charly a dit :
- Cà va faire l’affaire… On va la pencher dessus et Gus tiendra la corde de l’autre côté.
Rabah et moi, accroupis, nous lui tenions chacun une jambe par la cheville. Elle poussait des cris, étouffés par la serviette, et gigotait… Mais, penchée à 45°, le torse collé à la pierre, elle ne pouvait rien faire !
Elle avait un maillot deux pièces. Charlie, sans ménagement a tiré le bas, l’a fait glisser, mais elle gigotait et on a eu du mal à le lui sortir pied après pied… Jusque là, je n’avais vu que le côté farce de la situation, mais soudain j’ai réalisé son incongruité : J’avais les yeux à quelques centimètres de la belle founette d’une fille de 16 ans… Poils frisés, presque dorés, autour d’une fente bien dessinée, sans que les ‘lèvres’ soient apparentes comme chez Paula !
J’ai pensé :
-‘P…’ ! C’est pas du boulot, j’suis en train de bander, c’est dégueulasse…
J’ai tourné la tête, et dit à Charly :
- Cà va pas ! C’est une fille…
Mais lui :
-On, va lui passer le zob dans les fesses, chacun son tour : elle saura qui a la plus grosse queue, comme ça !
Du coin de l’œil, j’ai vu qu’il avait abaissé son maillot et qu’il avait sa bite à la main
( Il ne bandait même pas, ce con !) Mais il l’approchait des fesses de Léna…
En un éclair, j’ai réalisé que c’était grave et quasiment en même temps, je me suis relevé, épaule en avant et j’ai frappé Charlie sur la poitrine… Il est tombé en arrière, sur une grande touffe broussailleuse mais molle, heureusement : bite au vent, il aurait pu être comique en toute autre occasion !
Il s’est mis à gueuler :
- Ouhouille ! P… ! Qu’est-ce qui t’prend ?
J’ai hurlé :
- Bande de cons… La fille d’un juge ? Vous voulez finir en maison de correction jusqu’à 20 ans Et à Rabah, en Arabe :
- Ton Père comme le mien, ils nous casseraient les reins…
Puis, à nouveau, en Français :
- Foutez l’camp ! J’vais la libérer et la ramener. Assez de ‘conneries’ comme ça !
Je crois qu’ils avaient réalisé eux aussi que ça pouvait être grave : Rabah, était piteux… Gus ne bronchait pas, tenant toujours la corde. Charlie devant ma rage, s’est relevé en se réajustant et en disant :
- Çà fait rien, on a vu son ‘Q’… : Elle s’en rappellera, cette salope !
Ils se sont éclipsés tous les trois. J’avais déjà détaché la serviette de la nuque et je suis passé de l’autre côté pour détacher les mains, retenues par la corde : j’ai vu qu’elle pleurait !
Elle ne bougeait pas. J’ai ramassé son maillot et le lui ai tendu. A ma grande surprise, elle a dit :
- Merci !… Mais il faut que je pisse !
Et elle s’est accroupie sur place, ajoutant :
- C’est la trouille…
J’avais son maillot à la main, je me suis détourné… Alors elle a claironné de sa voix habituelle :
- Tu peux bien te retourner maintenant… Depuis une heure (là elle exagérait !) que tu vois mon ’Q’… Et le reste !
Puis plus bas :
-T’en as pas perdu la vue ? ‘P…’ ! Je m’en suis fichu partout et j’ai rien pour m’essuyer !
- Descendons à la crique ? J’avais pris ta serviette de bain pour qu’on ne te croie pas noyée… Tu pourras te tremper dans la mer et t’essuyer après ! lui ai-je dit.
Son maillot toujours à la main, je l’ai aidée de l’autre (elle était pieds nus) sur le chemin, puis sur les galets ronds. Heureusement qu’il commençait à faire sombre : on n’aurait pu deviner de loin qu’elle était cul nu ! Elle s’est assise dans l’eau et d’un coup elle s’est remise à pleurer à gros sanglots qui lui secouaient les épaules… Je me suis avancé dans l’eau, disant :
- Arrête Léna… On a été trop loin… Mais c’est fini !
Elle a hoqueté :
- C’est une réaction nerveuse… Passe-moi ma serviette, s’il te plaît !
Ce que j’ai fait, puis, je lui ai tendu son maillot, qu’elle a remis enfin. Dans la barque elle ne pleurait plus. Je sentais ses yeux rivés sur moi…Elle a redit :
-Merci !…Sans toi, il m’aurait passé sa saloperie dans les fesses, ce cochon-là !
Sans réfléchir, j’ai répondu :
- ‘P…’ ! C’est de moi que j’ai eu peur… Je ne me serais pas contenté de ça, moi !
- Tu l’as déjà fait comme ça ?
Moi, faraud :
- Y a pas si longtemps : avec la bonne des voisins… Et c’est facile !
Comme elle ne disait plus rien, j’ai cru bon d’expliquer :
- Je savais que vous alliez trop loin avec vos conneries… Je l’avais dit à Charlie ! Avoue que vous n’y aviez pas été de main morte, avec eux ? Il se disait déshonoré, le Charly…
- Oui, mais c’était lors de rencontres concertées… Pas par traîtrise comme ça… Et ils vont raconter à tout le monde qu’ils ont vu mon ‘Q’, ces petits ‘cons’ !
- Pour çà, tu peux être tranquille, je les reverrai demain… Tu as vu qu’en parlant de la maison de correction je les ai calmés ? Tu sais, ne dis pas : merci ! J’ai surtout pensé à mes parents…
Elle m’a coupé :
- Et les miens ? Mon père ( juge d’instruction ! ) c’est sûr, il vous aurait fait sacquer… Et ma mère, avec sa peur du quand dira-t-on ? Tu as raison, c’est bien fini ces histoires !
Puis après réflexion :
- Mais maintenant, je vais avoir peur de descendre me baigner à cinq heures (17 h). J’étudie toute la journée pour repasser ma première partie de bac en octobre, c’est mon seul moment de liberté…
- Et Milou ? ( le chef de leur bande ), ai-je demandé.
- Son Père l’a mis en boîte à bachot ; il a loupé la 2ème partie du bac, lui !
Peu après, voix changée, amicale qui se voulait charmeuse :
- Le ‘Tarzan des Ondines’… Avec toi, je n’aurais pas peur. Tu ne veux pas venir te baigner avec moi, demain ?
- Jusqu’à maintenant tu ne savais pas que j’existais…
- Détrompe-toi ! Chaque fois qu’on passait et qu’on te voyait travailler dans ton jardin, les types faisaient des réflexions, mais les filles admiraient tes muscles… Et à la plage aussi, quand tu partais nager au large… Tu es un sacré sportif, toi, pourtant tu n’as que ‘15’ ans comme Milou ?
Je n’ai pas répondu sur l’âge ( j’en avais 13 !) Mais ‘Vanitas, Vanitatis’… Flatté, j’ai dit :
- D’accord pour demain !
Nous étions arrivés, je l’ai aidée à descendre et elle m’a dit :
- Galant et prévenant avec çà ? Tu gagnes à être connu, Tarzan…
J’étais en face d’elle et sans que je puisse prévoir son geste, elle a pris ma tête à deux mains et m’a embrassé à pleine bouche, violemment, presque à m’étouffer…
Elle m’a libéré aussi soudainement, s’est retournée, a ramassé sa serviette et elle est partie à grands pas, disant avec des éclats de rire :
- C’est aussi efficace qu’une serviette mouillée ? Tu avais trop serré, tu sais ? J’ai failli étouffer !
Je n’avais pas bougé, sidéré, sans voix… Du haut des petits escaliers, elle m’a crié :
- A demain… S’il te plaît ?
Je n’ai pas eu le temps de répondre : elle avait déjà disparu !
La suite, je l’ai intitulée : « Léna comblée… »
Jan G. :
La moralité ça se forge au fil des jours et des surprises de la vie...
Mar 17 Jan 2006, 17:38 par
jan goure sur Les liaisons sulfureuses
Chacun doit trouver son chemin
Promenant mes errances au fil de ces écrits
qu’un ami bien veillant m’aura recommandé
je fuis la lassitude d’une journée sans envie
du coin de mon bureau d’ou j’me prends à rêver
J’ai lu avec entrain les humeurs vagabondes
de celui qui nous conte son âme d’homme des sables
tu as l’ verbe joli et la rime féconde
du goût de quelques vers le spleen reconnaissable
j’ai autrefois aussi eu des errements d’esprits
la tête dans les étoiles à réinventer la vie
à remettre à plus tard, j’ai vu passer le temps
et des moments heureux j’ai raté bien souvent
D’avoir vécu d’idées, d’avoir beaucoup écrit,
d’avoir chanter l’amour je suis fier aujourd’hui,
j’ai cru toucher le ciel et l’ai surement atteint
même si au fond du gouffre on se reveille matin
Aujourd’hui je suis là, j’ai rencontré sa mère
elle ma donné un fils et m’a ramené sur terre
je mène un train de vie un peu plus matériel
mais ne suis jamais seul et c’est bien l’essentiel
Bien sur, c’est moins facile pour vivre tous ses rêves
et je ne gagne plus ni les cieux ni l’enfer
construisons notre vie avant qu’elle ne s’achêve
avec du bel amour à ceux qui nous sont chers
Je garderai la foi, qu’à mes moments perdus
je puisse encore souvent, m’échapper vers les nues ...
qu’un ami bien veillant m’aura recommandé
je fuis la lassitude d’une journée sans envie
du coin de mon bureau d’ou j’me prends à rêver
J’ai lu avec entrain les humeurs vagabondes
de celui qui nous conte son âme d’homme des sables
tu as l’ verbe joli et la rime féconde
du goût de quelques vers le spleen reconnaissable
j’ai autrefois aussi eu des errements d’esprits
la tête dans les étoiles à réinventer la vie
à remettre à plus tard, j’ai vu passer le temps
et des moments heureux j’ai raté bien souvent
D’avoir vécu d’idées, d’avoir beaucoup écrit,
d’avoir chanter l’amour je suis fier aujourd’hui,
j’ai cru toucher le ciel et l’ai surement atteint
même si au fond du gouffre on se reveille matin
Aujourd’hui je suis là, j’ai rencontré sa mère
elle ma donné un fils et m’a ramené sur terre
je mène un train de vie un peu plus matériel
mais ne suis jamais seul et c’est bien l’essentiel
Bien sur, c’est moins facile pour vivre tous ses rêves
et je ne gagne plus ni les cieux ni l’enfer
construisons notre vie avant qu’elle ne s’achêve
avec du bel amour à ceux qui nous sont chers
Je garderai la foi, qu’à mes moments perdus
je puisse encore souvent, m’échapper vers les nues ...
Ven 13 Jan 2006, 23:25 par
La vie est un poême sur L'amour en vrac
Il faut du temps...
Pour faire son deuil, il faut du temps,
Le temps que toutes les larmes coulent.
C’est un travail très épuisant
Que l’on fait seul évidemment
Et accapare chaque instant.
Ne pas chercher à l’éviter,
C’est bien par là qu’il faut passer.
La voie est périlleuse et les joies éphémères,
car pour pouvoir guérir ses maux,
Il faut les dire et non les taire...
Pour que notre cœur puisse cicatriser
Il faut cautériser la plaie.
Et le mal est cuisant aussitôt découvert.
Puis, convalescent,
Avancer pas à pas,
Parce que l’on est fragile et encore délicat
Et qu’au moindre effort la cicatrice saigne.
Il faut de la confiance,
Il faut de la douceur,
Il faut cette attention patiente
que l’amour sait donner.
Et dans un cœur à cœur doucement s’élever.
L’amour vivante source,
Va et viens incessant,
Ne cesse de donner
Et reçoit tout autant...
Le temps que toutes les larmes coulent.
C’est un travail très épuisant
Que l’on fait seul évidemment
Et accapare chaque instant.
Ne pas chercher à l’éviter,
C’est bien par là qu’il faut passer.
La voie est périlleuse et les joies éphémères,
car pour pouvoir guérir ses maux,
Il faut les dire et non les taire...
Pour que notre cœur puisse cicatriser
Il faut cautériser la plaie.
Et le mal est cuisant aussitôt découvert.
Puis, convalescent,
Avancer pas à pas,
Parce que l’on est fragile et encore délicat
Et qu’au moindre effort la cicatrice saigne.
Il faut de la confiance,
Il faut de la douceur,
Il faut cette attention patiente
que l’amour sait donner.
Et dans un cœur à cœur doucement s’élever.
L’amour vivante source,
Va et viens incessant,
Ne cesse de donner
Et reçoit tout autant...
Dim 11 Déc 2005, 19:44 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Ecrire sur puisse
à rendre aux oubliés, PRINTEMPS, Désert, Folie douce pour une jolie douce..., Habiller une femme, Ecrire, Parce que tu es toi, La vague est dans mon âme, « La tua paura è anche un po' la mia », La vague est dans mon âme, Pauvre Don Juan..., Sappho de Mytilene, Léna punie..., Chacun doit trouver son chemin, Il faut du temps...,Il y a 114 textes utilisant le mot puisse. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
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Tes désirs sont des ordres J'ai lu | |
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La citation d'amour
Il n'y a qu'une sorte d'amour, mais il y en a mille différentes copies.
La Rochefoucauld.
La Rochefoucauld.
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